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C’est confirmé, nous sommes relaxés (prescription) sur “l’incitation à la haine” pour l’action d’occupation du chantier de #Poitiers ! Je vous laisse imaginer le niveau de rage des plaignants, de l’#UOIF au #CCIF
Après le sabotage de la croix du pic Saint-Loup, des jeunes érigent une croix provisoire
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La semaine dernière, la croix du pic Saint-Loup, près de Montpellier, était abattue, probablement sabotée par des activistes gauchistes.
Ce dimanche, des jeunes ont érigé une croix provisoire en bois et lancé un message d’espérance sur les réseaux sociaux. « Nous n’attendons pas tout de l’État. C’est-à-dire que nous agissons », déclare l’un d’eux…
Michel Piccoli, les autres facettes d’un acteur hors du commun
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Avec la mort de Michel Piccoli, à 94 ans, c’est véritablement la fin d’un certain cinéma français. Après les définitifs adieux à la scène de Jean Rochefort, Philippe Noiret, Serge Reggiani, Michel Galabru, Jean-Pierre Marielle, Yves Montand, Michel Serrault et de quelques autres qu’on oublie sûrement, Piccoli était le dernier de ces monuments millésimés.
Pour autant, ramener l’homme aux cent cinquante films, sans oublier à peu près autant de pièces de théâtre et pas loin d’une centaine de téléfilms, à son seul statut d’icône de la bourgeoisie giscardo-pompidolienne à la sauce Claude Sautet serait un brin réducteur. Les films en question ont gentiment vieilli, même s’ils se voient aujourd’hui plus comme des documentaires qu’autre chose. Il est vrai que, de par son physique – jamais il ne menace la carrière d’un Gérard Philipe – Michel Piccoli, ni laid ni beau, a au moins une prestance et, plus que tout, une voix reconnaissable entre toutes.
Cette bourgeoisie, dont il n’est pourtant pas issu, il l’incarne donc à d’innombrables reprises. Bourgeois aigris et bourgeois fourbes, bourgeois progressistes et bourgeois réactionnaires. Mais ce n’est qu’une des innombrables facettes de son talent.
Sa carrière est donc si multiple qu’elle en devient paradoxalement singulière, tout comme il est peu banal d’être l’un des seuls acteurs de France à ne pas avoir d’agent : on ne louait pas Michel Piccoli, pas plus qu’il ne se vendait, préférant travailler pour tout le monde ou presque. On le voit donc dans L’Étau (1969), l’un des plus mauvais films d’Alfred Hitchcock, mais dont la particularité est d’avoir été en grande partie scénarisé et financé par la CIA, en pleine guerre froide, tel qu’expliqué par Éric Branca, ancien rédacteur en chef de Valeurs actuelles, dans L’Ami américain.
En revanche, quand il tourne pour Mario Bava, l’un des rois du cinéma populaire italien, c’est dans son (presque) meilleur film : Danger Diabolik (1968) ! Là, en inspecteur Ginko, il traque en vain, tel Ganimard avec Arsène Lupin, ce Fantomas transalpin qu’est Diabolik. Lequel, en voyou anarchiste, fait sauter toutes les perceptions d’Italie afin de ramener un peu de justice fiscale et sociale dans le pays. Jouissif.
Plus jouissive encore est sa collaboration avec un autre cinéaste italien, le très fantasque Marco Ferreri. En 1969, il y a Dillinger est mort, sommet de nihilisme narquois qui ferait passer Le Mépris, de Jean-Luc Godard (1963), film grâce auquel Michel Piccoli devient célèbre, pour une aimable bluette de patronage. Puis, La Grande Bouffe, qui fait scandale au Festival de Cannes en 1973, époque où le vocable de transgression signifie encore quelque chose. Ce festin sans faim et sans fin, où un quarteron de notables à la retraite se suicide à coups de bonne chère et de jolie chair – les rondeurs d’Andréa Ferréol, pour ne pas les nommer –, demeure l’un des pamphlets les plus accomplis sur la société de consommation à venir ; la nôtre, en l’occurrence. Un film hautement visionnaire.
Ensuite, en 1988, il y a encore Marco Ferreri avec Y a bon les Blancs, qui dépeint les affres d’Européens soignant leurs bleus à l’âme en donnant dans l’humanitaire africain. Très logiquement, ils finissent dévorés par des cannibales persistant à lutter contre la malbouffe mondialisée et à préserver leur ancestral enracinement. Michel Piccoli y joue un prêtre manifestement dépassé par les événements.
Aujourd’hui, quelques journalistes énervés de droite nous rappellent que le défunt aurait été de gauche, ayant tour à tour soutenu le Parti communiste et Ségolène Royal. La belle affaire. Ou, plutôt, Une étrange affaire, pour paraphraser le titre du superbe film de Pierre Granier-Deferre (1981), dans lequel il est méphistophélique en patron sadique. Adieu à l’artiste, qui fut aussi un distingué et redoutable hédoniste. Comme on dit à l’armée : « Repos [éternel, NDLR], vous pouvez fumer ! » Et à la tienne, cher Michel Piccoli, ou Piccolo, comme on dit à l’heure de l’apéro.
Obama, un pion de la CIA pour la mondialisation
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On ne comprend pas toujours ce qu’il se passe aux États-Unis où les enjeux politiques sont considérables, avec des conséquences qui nous affectent profondément. Et on critique beaucoup Trump en France. Mais à travers Trump, qui est visé ? Eh bien c’est le parti républicain. Car les États Unis sont ainsi : deux partis opposés sur beaucoup de points se partagent tour à tour le pouvoir. Et qui critique Trump ? Les partisans du parti démocrate, le parti de ceux qui ne cessent de vouloir nous imposer l’ultra-mondialisation.
Certains diront : « tout de même, les États-Unis ont eu un président noir ! ». OK. Les États-Unis ont eu un président noir, mais d’une part les États-Unis continuent à maintenir leurs Noirs dans une condition inférieure pour la plupart, les méprisent toujours et voudraient les éjecter malgré les lois qui les protègent alors que les Noirs en question, les « Afro-Américains », n’ont jamais demandé à y être « importés ». D’autre part, Obama n’était pas n’importe quel Noir. Et d’ailleurs « noir » ? Non, métis, avec une mère tout à fait blanche. Ceci dit, ce sont les gènes noirs qui s’imposent généralement chez les enfants des couples mixtes.
D’autres diront : « mais Obama, c’était un type bien sympathique. Un homme qui voulait changer les choses ». Cela, c’est pourtant la façade. Qui était vraiment le personnage, et comment comprendre l’élection de cet homme, comme sorti d’un chapeau au bon moment, tout comme ce fut le cas de Macron en France ? Pour Macron, nous avons déjà décrypté son arrivée au pouvoir, grâce aux mondialistes dont il est la parfaite marionnette.
Pour Obama, ce sont les mêmes forces occultes qui le portèrent au pouvoir, et d’abord cette machine surpuissante qu’est la CIA, un État dans l’État, capable de générer des guerres abominables pour le compte de leurs marchands d’armes et de contrôler les relations entre les pays pour raisons économiques puisque cela seulement compte à leurs yeux. L’argent avant les gens. Des multinationales qui, à l’instar de Monsanto, avaient continué à empoisonner en toute connaissance de cause des milliers de malheureux sous le prétexte qu’ils ne pouvaient « pas se permettre de perdre UN dollar ».
Et Obama, dans tout cela ? Un polichinelle de la CIA lui aussi.
Tout est sorti il y a quelques temps grâce à de grands journalistes d’investigation, en particulier Wayne Madsen et John Pilger. Ils ont démontré qu’Obama était un peu produit de la CIA et que s’il appartenait à cette énorme organisation, c’était par une tradition familiale qui remontait à sa grand-mère, grâce aussi aux documents que Wikileaks a mis en ligne. Ce n’est pas pour rien que son malheureux créateur, Julian Assange, est littéralement martyrisé depuis des années. Tout comme Snowden.
De toutes ces enquêtes, qu’est-il sorti ? Wikileaks a découvert que la campagne électorale d’Obama a été financée par le directeur de la CIA de l’époque, John Brennan.
D’où venait donc ce garçon et quelle « était l’histoire secrète » de sa famille ?
Il nous faut donc remonter à sa grand-mère maternelle, la grand-mère blanche, Madelyn Dunham, vice-présidente de la Banque de Hawaï, une institution bancaire utilisée par diverses sociétés écrans de la CIA dont le rôle était le blanchiment d’argent servant à soutenir des dictateurs comme Marcos (Philippines), Suharto (Indonésie),Nguyen Van Thiêu (Vietnam)… et qui servait de base pour l’espionnage industriel au Japon, la vente d’armes aux guérillas anticommunistes, etc. On voit donc que la grand-mère d’Obama était un membre très actif de l’agence américaine. Pas seulement une agence d’espionnage mais un centre actif d’intervention dans la politique interne d’autres pays.
À voir la photo d’Obama entouré de ses grands-parents, comment imaginer que cette famille bien tranquille était un véritable nid d’espions à elle toute seule ?
Passons maintenant à la mère d’Obama, Stanley Ann Dunham, née, si l’on peut dire, au sein de la CIA.
C’est à l’université de Hawaï, en 1959, que la jeune femme rencontra Barack Obama senior, le père d’Obama, un Kenyan de 23 ans converti à l’islam, déjà marié et père de 4 enfants, subventionné pour être endoctriné et utilisé par la CIA comme futur agent d’influence en Afrique. Le jeune homme avait été choisi par le Kenyan MBoya, recruté par la CIA pour renverser le premier Président Kenyan, Kenyatta, pas assez docile. MBoya avait également la mission d’envoyer à l’université d’Hawaï, largement contrôlée par la CIA, des étudiants africains du Kenya mais aussi d’autres États africains. En 1962, Obama senior quitta Hawaï pour poursuivre ses études à Harvard dans le Massachussetts et divorça de Stanley Ann Durham. De retour au Kenya, il sera d’abord embauché dans une compagnie pétrolière, et deviendra expert en économie pour le ministère kenyan des Finances. En opposition avec le Président Kenyatta pour le compte de l’agent CIA MBoya, il est limogé, appauvri, et meurt dans un accident de voiture en 1982. Voilà donc pour le père du futur Président Obama.
Stanley Ann épousa ensuite Lolo Soetoro alors que son petit garçon avait à peine 4 ans. Elle l’avait rencontré à l’East West Center. Soetoro était indonésien et son pays le rappela en 1965 comme officier de haut rang pour aider le général Suharto et la CIA à renverser le président Sukarno, soupçonné de sympathies envers la Chine communiste. L’agente de la CIA Stanley Ann Durham avait donc mis la main sur le bon numéro.
Le jeune « Barry » Obama Soetoro, alors âgé de 10 ans, en compagnie de son beau-père Lolo Soetoro, de sa mère, Ann Dunham Obama Soetoro, et de sa demi-sœur, Maya Soetoro. (photo de famille, publiée par Bloomberg News)
La famille s’installa donc à Djakarta où le rôle assigné par la CIA à Lolo Soetoro consistait à participer au massacre de millions d’Indonésiens pro-communistes au même moment où l’agent africain MBoya, l’ancien mentor d’Obama Senior, organisait le renversement du Président ghanéen NKruma.
Madsen a révélé que dans une note déclassifiée de la CIA du 23 juillet 1966, l’agence s’appuyait sur le parti indonésien musulman Nahdatul Ulama , et que dans un rapport du 11 aout 1967 la CIA évoquait « un nouvel ordre » en Indonésie, comme plus tard, à notre époque, ils emploieraient la notion de « nouvel ordre mondial ».
Tandis que son second mari se livrait à des activités troubles pour le compte de la CIA, Stanley Ann Durham était recrutée pour enseigner l’anglais dans l’ambassade américaine de Jakarta, au sein de l’USAID, une grosse structure qui servait de couverture aux activités de la CIA en Asie du sud-est. Et comme par hasard, Stanley Ann travailla aussi pour la Fondation Ford, la Banque mondiale, la Banque asiatique de développement, la banque Rakyat (la banque publique indonésienne. Je passerai les exactions nombreuses qui furent menées par ces antennes, pas seulement en Indonésie, mais aussi dans toute l’Asie du sud-est. L’USAID a été accusée dès 1971 d’avoir contribué à des exactions, des crimes abominables, des trafics de toutes natures, sur lesquels nous n’allons pas nous étendre.
Les journalistes cités plus haut ont largement étudié tout cela. Nous ne nous étendrons pas non plus sur tous les postes exercés par la mère d’Obama dans un certain nombre d’États du monde afin de contribuer à neutraliser les activités sino-soviétiques en Asie du sud-est, malgré le principe sacré des Nations unies de non-ingérence. Ce qui nous intéressait jusqu’ici, c’était de montrer qu’Obama n’était pas soudainement sorti d’un chapeau mais était intégré depuis sa prime enfance via grand-mère, père, beau-père et mère à cette organisation titanesque qu’est la CIA. Qu’il ait lui-même appartenu à l’organisation ne nous étonnera donc pas.
À l’âge de 22 ans, nous retrouvons Barack Obama exerçant en tant qu’analyste financier au sein de la Business International Corporation, une société écran de la CIA, dans laquelle il organise des conférences réunissant des dirigeants de premier plan et l’envoi à l’étranger de journalistes favorables à l’organisation, véritables agents de propagande. À 29 ans, en 1990, le voici premier Afro-Américain à présider la prestigieuse Harvard Law Review, avant de devenir avocat et professeur de droit constitutionnel à l’université de Chicago. Il est clair qu’à partir de 1993 il est un agent actif de la CIA, qui fera de lui en 1996 le sénateur de l’Illinois, puis en 2008 le Président des États-Unis. Sa campagne a été subventionnée par les plus grandes banques américaines, JP Morgan, la Goldman Sachs, la Citigroup… mais aussi le directeur de la CIA John Brennan. Un Président dont le mandat a été entaché de nombreux scandales : les écoutes téléphoniques, la surveillance généralisée du web par la CIA via Google, Facebook, Microsoft, la traque du lanceur d’alerte Snowden comme espion, ce qui est un comble de la part d’un Président lui-même maître-espion.
Car les démocrates, c’est le village-monde, l’encouragement à l’homosexualité, les scandales pédophiles, la destruction volontaire de la culture, les génocides de populations étrangères pour le profit des multinationales américaines.
Comme cet article n’est pas un livre, je n’en évoquerai ici que quelques aspects.
En 2015, avant les présidentielles de 2016, la grande copine de Obama, Hillary Clinton, qui devait lui succéder dans l’esprit du Président américain, avait monté un bateau scandaleux. Mais je vais faire appel à un souvenir récent. Vous rappelez-vous comment cette furie de Greta Thunberg est apparue sur la scène internationale ? La fable Greta Thumberg a commencé lorsque Ingmar Rentzhog, le cofondateur suédois de la start-up « We Don’t Have Time », apercevant, dit-il, le 20 aout 2018 Greta Thunberg assise devant le Parlement suédois au premier jour de sa grève, prétend avoir été touché par cette petite fille courageuse inconnue, et publie sa profonde émotion sur sa page Facebook. Un énorme mensonge puisque le bonhomme connaissait la famille de Greta. Une mise en scène prodigieuse, orchestrée par la famille de comédiens de la gamine, qui n’aurait eu aucun impact si toute une puissance financière n’avait pas monté en épingle l’événement qui n’en était pas un. Eh bien figurez-vous que ce n’était pas la première fois que les mondialistes agissaient de la sorte. Le même procédé avait été utilisé par Hillary Clinton en 2015. Tout aussi bien orchestré. Mais là, l’intention était plus qu’inavouable.
Ainsi donc, le 6 juillet 2015, sur la page Facebook Humans of New York, fut publiée la photo d’un enfant de 8 ans, enfant assis sur les marches d’un bâtiment new-yorkais, la tête dans les mains et les yeux humides. Donc un enfant, assis par terre, dans la rue, tristement, et désirant faire passer un message, et qu’un adulte repère et rend public, comme Greta. 6 points communs avec la petite Thunberg !!! Il est quand même incroyable qu’aucun journaliste n’ait jamais relevé la similitude du procédé.
Ce petit garçon de 8 ans prétendait être malheureux car il craignait pour son avenir du fait qu’il se sentait homosexuel. Du moins est-ce ce que l’on lui fit dire. Car voyez-vous, à huit ans, on n’a pas d’hormones, de désir sexuel, ni d’orientation sexuelle.
Aussitôt Hillary, en campagne électorale, posta sur le réseau social un mot d’encouragement : « Prédiction d’une adulte : ton avenir sera incroyable. Ce dont tu es capable et les choses géniales que tu vas faire te surprendront toi-même. Trouve des gens qui t’aiment et croient en toi – il y en aura beaucoup ». Ben voyons ! Moi, si un tel enfant existait, ce en quoi mes amis psychiatres avec lesquels j’en ai parlé m’avaient dit que cela ne pouvait être, mais enfin si j’avais adressé à un tel enfant un mot, ce serait plutôt : « mon chéri, je ne sais pas qui t’a mis une idée pareille dans la tête, car à ton âge on ne peut rien affirmer. Tu verras, en grandissant tu le comprendras, ne pense plus à ça, joue avec tes camarades, oublie cette idée folle ». Enfant acteur ? Enfant manipulé ? Je ne sais, mais je trouve l’histoire infecte.
Ceci dit, en novembre 2016, Wikileaks faisait des révélations étonnantes, et on ne s’étonne pas que le malheureux Assange, qui s’était assigné la mission d’informer les peuples, en ait payé les frais. Le site révélait les derniers mails de la candidate soutenue par Obama, et démontrait qu’elle était pédophile. Cela on le savait déjà d’Obama, nous l’évoquerons plus bas. Et il apparaissait que le couple Clinton avait participé à des voyages dans l’île privée du milliardaire pédophile Epstein, appelé « l’île des esclaves sexuels » par la presse américaine, où avaient lieu des orgies impliquant des enfants enlevés. Le bras droit d’Hillary Clinton, Huma Mahmood Abedin, avait d’ailleurs divorcé de son mari Anthony Weiner qui participait à ces horreurs. Les mails d’Hillary dévoilés par Wikileaks ne laissaient aucun doute sur ces activités pédophiles.
D’autre part, sur les 31 000 mails d’Hillary récupérés, environ 600 semblaient montrer l’homosexualité d’Hillary, qui se justifia en disant que devant les tromperies de son mari, elle avait cherché du « réconfort » auprès de ses amies.
Et c’est une à une telle candidate que Sarkozy osa apporter son soutien.
Obama avait été lui aussi épinglé pour faits de réunions pédophiles à l’intérieur même de la Maison-Blanche par Wikileaks en 2017. Ce qui avait été révélé sur Fox New Channel. Un mail avait été intercepté : « A young boy the age of 5. He will make the perfect catamite for the president. « Un jeune garçon de 5 ans sera un parfait candidat pour la pédérastie du Président. Il arrivera de Roumanie mardi. Je suis sûr qu’il plaira au Président ». Un enfant de 5 ans ! Un tout petit. Encore cette ignominie. Certains expliquèrent que Obama avait lui-même été violé à l’âge de 9 ans et qu’il reproduisait ce qu’il avait vécu. Ce n’est pas une excuse.
Dans la même affaire, Wikileaks dénonçait pour ces réunions pédophiles Bill Clinton, Hillary Clinton, Tim Kaine, Elizabeth Warren, Jimmy Carter, Harry Reid, Ben Affleck, Cory Booker, Al Franken, et Nancy Pelosi.
Dans cette affaire inqualifiable, les Clinton furent protégés par leur amie le procureur général Loretta Lynch, ce qui laisse à penser que celle-ci n’était pas non plus bien claire. Pour ceux qui veulent approfondir les réseaux pédophiles pour personnalités aux États-Unis où on compte plus de 450 000 enfants disparus, vous pourrez rechercher des informations sur le pizzagate.
L’Amérique de Trump rejette aussi aujourd’hui la mondialisation, malgré les groupes colossaux de pression qui veulent l’imposer. Lors du débat Donald Trump/Hillary Clinton en 2016, les deux candidats se sont violemment affrontés sur ce point, Trump dénonçant les effets nocifs du commerce mondial, du libre-échange et de la globalisation, d’autant qu’aujourd’hui plus que jamais la classe moyenne américaine blanche affiche sa colère contre le libre-échange.
La chanson du jour, Never Tear Us Apart – Paloma Faith
Une grande chanson d’INXS ! Reprise ici par Paloma Faith dont on ne se lasse pas d’écouter la voix.