Le communautarisme musulman c’est aussi à l’école !

C’est une note plus qu’alarmante des services de renseignement à laquelle Europe 1 a eu accès et dont la teneur nous est révélée ce mardi. Elle concerne « les dérives du communautarisme à l’école ». Voilà pour le titre qui ne désigne personne, mais ledit communautarisme, bien sûr, c’est le communautarisme musulman. De plus en plus radical, de plus en plus aberrant, de plus en plus ingérable.

Donc, « Europe 1 a pu consulter en exclusivité une note ultra confidentielle des services de renseignement, reçue par le cabinet du président de la République, du Premier ministre et de Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Éducation nationale, sur les signalements de cas de communautarisme musulman dans les établissements scolaires ». Et ce que cette note révèle est particulièrement inquiétant.

C’est la gravité des faits et particulièrement les motifs, totalement extravagants, qui inquiètent grandement l’institution. On signale ainsi une nouveauté sur le terrain du « refus de » : après la nourriture, la mixité, le contenu des enseignements, etc., ce sont désormais des élèves qui « refusent d’avoir cours dans des classes comportant du mobilier rouge, jugé « haram », c’est-à-dire interdit par le Coran ». La note signale également la multiplication des cas où les enfants « refusent de dessiner des représentations humaines », « se bouchent les oreilles quand on passe de la musique en classe » ou bien, presque classique désormais, refusent de se donner la main entre garçons et filles.

La note alerte également sur un problème qui pourrait relever de la santé publique, à savoir que les enfants suivent le ramadan de plus en plus tôt, mettant en place de véritables phobies délirantes. Ainsi « à Troyes, des élèves de sixième ont refusé d’aller à la piscine avec leur classe de peur de « boire la tasse et de casser leur jeûne » ».
La question des repas devient dès lors ingérable quand il ne s’agit plus seulement de refuser la nourriture, mais même de s’asseoir à côté de celui qui ne mange pas halal ! Il est ainsi rapporté qu’au cours d’un voyage scolaire organisé dans un collège de Saint-Denis, il a été proposé du poulet et des frites. Sur une cinquantaine d’enfants, 35 ont refusé le poulet « non halal »… qui a été jeté. Pour les mêmes raisons, on supprime partout des voyages scolaires.

Voilà autant de faits qui relativisent les discours larmoyants des belles âmes sur les enfants qui ne peuvent manger à leur faim, ou qui sont discriminés parce que privés de sorties…

Tout cela est su mais nié par une grande partie de nos intellectuels (ou prétendus tels) qui persistent à voir en tout musulman un martyre de l’Occident colonisateur. Pourtant, comme le soulignait Hakim El Karoui au début de septembre, sur Europe 1 également, le communautarisme musulman est en train de fabriquer sous notre nez une société parallèle.

Auteur d’un rapport sur la réorganisation de l’islam de France, ce spécialiste de l’histoire de l’islam auprès de l’Institut Montaigne établit une comparaison sans doute très déstabilisante pour nos penseurs de gauche, mais parfaitement fondée : « l’islamisme ressemble au communisme », dit-il. Comme lui, il a « des militants, des sympathisants, et une activité locale pour diffuser une idée ». Comme le communisme qui voulait imposer par la force une société prétendument généreuse, les islamistes « essayent de créer une société alternative, qui va être pure, halal – halal veut dire « licite ». De façon concrète, ce sont évidemment les vêtements, la nourriture mais aussi la façon de vivre ensemble. On crée un « Blablacar halal », un « Airbnb halal » pour ne pas se mélanger ». Car le propre des tous les communautarismes est là : créer une société en marge, avec ses propres règles.

On peut contester les propositions d’Hakim El Karoui, mais certes pas sa conclusion : « Il faut se lever et reprendre la main sur la religion musulmane. » S’il n’est pas trop tard…





Paris 13e : Agression filmée d’un couple d’origine asiatique à son domicile

Un couple d’origine asiatique rentre tard le soir à son domicile, dans un quartier résidentiel du 13e arrondissement de Paris, lundi 1er octobre. Il se fait prendre en filature par quatre individus puis est agressé dans le hall de leur immeuble.

Le mari est fouillé pendant une minute qui lui parait interminable, sous les yeux de sa femme, impuissante.

Les agresseurs le précisent aux victimes : ils ne cherchent ni cartes bancaires, ni téléphones portables… mais avant tout des espèces.

Ils repartent avec un butin d’un peu plus de 100€ tandis que pour le couple, cela signifiera des séquelles psychologiques à vie.
Le couple a décidé de porter plainte.

Sécurité pour tous

Samedi, c’est jour de mariage, et cela devient insupportable dans ma ville

Je n’habite pas les quartiers nord de Marseille ou le 93, mais une ville du Sud-Ouest. Et pourtant, je vais vivre un samedi après-midi de mariages comme partout en France. Pas de mariage blanc, non. Un vrai mariage. Un mariage vert ou rouge, car ce sont les couleurs qui domineront dans des drapeaux agités par les portières des belles voitures et que verront les passants. Passants qui seront contraints, s’ils font des courses en centre-ville, conduisent leurs enfants à la musique ou au foot, de reconnaître qu’un mariage communautaire – c’est comme ça que disent pudiquement les journalistes de la presse quotidienne régionale – a lieu. Contraints de mille façons : les drapeaux brandis (marocains, algériens ou turcs), donc, les klaxons, les cris, la circulation perturbée par le convoi nuptial qui n’hésitera pas à griller les feux, monter sur les trottoirs, mais aussi les cris et les injures lancées au citoyen lambda qui ose lancer un regard désapprobateur ou respecter les feux tricolores.

Or, il semblerait que la désapprobation progresse. Les Français sont un peuple patient et policé. Jusqu’à un certain point, peut-être. Surtout quand ils commencent à comprendre qu’il y a abus, excès, manque de retenue, de respect. Et ces excès, qui deviennent parfois des délits en termes de sécurité routière ou de simple respect du Code de la route, passent mal et font que, sommés de voir du vert tous les samedis après-midi, certains piétons ou commerçants commencent à voir vraiment rouge. À l’heure où vos dépassements de 8 km/h et vos 5 minutes de retard au parking vous coûtent des centaines d’euros, l’impunité dont jouissent les noceurs du samedi après-midi dans les villes de France est inacceptable.

Samedi dernier, à Annecy, les débordements ont été si manifestes, les piétons si excédés que la police a dû intervenir. Tant que le piéton ne crie pas, les autorités ne bougent pas : étrange façon de gérer le vivre ensemble… Selon France Bleu,

« Deux mariages célébrés dans la communauté turque d’Annecy ont entraîné, en plein centre-ville, de nombreux débordements et infractions au Code de la route. Voitures sur le trottoir, circulation à contresens, refus de priorité… la liste est longue. “Ce jour-là, nous avons reçu énormément d’appels de la part de piétons ou de conducteurs excédés par ces comportements”, indique un responsable du commissariat d’Annecy. »

À Nice, le 1er septembre dernier, Christian Estrosi avait même décidé de reporter un mariage dont les protagonistes et les invités ne respectaient pas le Code de la route, ni la « charte » des mariages qu’il a édictée en 2012. Visiblement, la charte n’a pas suffi.

Dans ma ville, ces deux derniers samedis de septembre, nous avons assisté avec nos enfants à des excès comparables.

Sur d’autres sujets, il nous est demandé de « ne plus rien laisser passer ». Et, si, devant ces dérives inacceptables, on ne laissait plus passer non plus ? Et si, au-delà de la nécessaire répression de ces comportements irrespectueux et délictueux, on demandait à nos maires, à tous nos élus, d’agir, de légiférer, réglementer pour exiger, dans tout ce qui entoure cet acte d’état civil majeur qu’est le mariage, un respect minimum de la France et des Français, aussi bien dans les symboles (pas de drapeaux étrangers) que dans les comportements. Le vivre ensemble y gagnerait beaucoup.

Car – ne nous y trompons pas – la question des mariages communautaires n’est pas qu’un simple problème de Code de la route : il est l’un des nombreux signes par lesquels des communautés musulmanes disent dans l’espace public, avec des drapeaux turcs ou marocains, et jusqu’aux abords des mairies : nous sommes chez nous.





Pendant que l’Occident s’effondre, la Chine s’empare de l’Afrique

Pendant que tout l’Occident s’effondre et ne s’occupe plus que de ses toutes petites affaires, la Chine (et plus généralement tout l’Est) se lance à la conquête du monde et de sa plus importante réserve de ressources : l’Afrique.

Les Chinois : ils sont simplistes. Ils n’inventent rien, ils ne font que reproduire des processus qui ont marché et fait leurs preuves. Ils savent merveilleusement bien copier et améliorer et ils ne s’embarrassent d’aucune considération morale ou religieuse. Et ils ont une très belle intelligence politique, des moyens financiers considérables et une remarquable persévérance.

En Afrique, c’est hyper simple : on corrompt les leaders politiques qui acceptent un endettement démesuré garanti par des entreprises d’État, on constate l’insolvabilité et on s’empare des actifs.

Voyons cela de plus près.

Dans un récent article publié dans Libre Afrique, Ibrahim Anoba a très clairement expliqué le phénomène au travers de l’exemple de la Zambie. Citons Ibrahim Anoba : « Le jeu est simple : donner discrètement des prêts stupéfiants aux avides dirigeants africains et garder les détails du remboursement à l’abri des regards indiscrets du peuple. Ainsi les débiteurs ne sont pas en mesure de rembourser leurs dettes, la Chine saisit leurs hypothèques qui, comme le monde le voit maintenant, sont constituées d’actifs nationaux. »

C’est grâce à ce mécanisme que la Chine va s’emparer de la société nationale d’électricité de la Zambie, ZESCO, puis de l’aéroport de Lusaka, la capitale de la Zambie, après avoir fait main basse sur la société nationale de radio-télévision !

La Chine reproduit ce même schéma dans toute l’Afrique en utilisant à plein la corruption des dirigeants africains estimée, en 2016, par l’Union africaine, à 184 milliards de dollars !

Sont concernés des pays clés tels que le Kenya, le Nigeria, l’Angola, l’Afrique du Sud et même des « pays faibles » comme le Soudan, l’Éthiopie ou le Congo.

Le FMI a mis en garde les pays africains sur le danger des prêts chinois (qualifiés d’opium), mais les dirigeants des pays africains n’en ont cure, en dépit même de la pression des États-Unis qui ont exhorté le FMI à ne pas renflouer les pays débiteurs de la Chine.

Quant la technique de l’endettement n’est pas utilisée, il y a celle de « la guerre commerciale ».

Prenons l’exemple du Maroc. S’il est un pays qui entretient des relations historiques et apaisées avec la France, c’est bien celui-là ! Eh bien, le tramway de Casablanca a été construit par BYD, une gigantesque firme chinoise créée en 1995. BYD, cela signifie « Build Your Dreams » (« Construisez vos rêves »). C’est le leader mondial des batteries : celles qui sont mises dans les téléphones et celles qui sont mises dans les bagnoles. BYD est en train de construire, au Maroc, la plus grande usine de fabrication de batteries pour véhicules électriques. Des véhicules électriques que BYD produit déjà et qui sont commercialisés en Chine. Le dernier Salon de l’auto, c’est « le tout-électrique », mais on fait comment, sans batteries ? Sans ces batteries produites quasiment exclusivement par les Chinois ?

Et puis la conquête économique de l’Afrique par la Chine s’accompagne aussi d’une conquête de peuplement, notamment en vidant les prisons chinoises et envoyant les prisonniers travailler dans des chantiers africains où ils obtiendront la liberté s’ils « ne retournent pas au pays ». Exactement ce qui a été fait par l’Angleterre pour peupler l’Australie.

Quand je vous dis que les Chinois savent copier en mieux les modèles qui marchent !
Et où vont donc aller tous ces pauvres africains chassés par les Chinois ? Ben, en Europe, bien sûr.





Arrestation de Rédoine Faïd : «Arborer une burqa en public aurait du être une faute impardonnable pour les braqueurs»

L’arrestation de Rédoine Faïd avec ses proches dans un quartier qu’il connaissait parfaitement à Creil dans l’Oise est une illustration supplémentaire des failles profondes que présente la société française selon Raphaël Nisand, Avocat du BNVCA (« Bureau National de Vigilance contre l’Antisémitisme »).

Certes la police a fait un travail remarquable en arrêtant au saut du lit sans qu’une goutte de sang soit versée le braqueur spécialiste de l’évasion. C’est pourtant un sentiment de profonde stupéfaction lorsqu’on entend le procureur de Paris François Molins indiquer que les malfrats disposaient de plusieurs burqas à leur domicile. Des burqas dont ils se servaient immanquablement dans leurs déplacements extérieurs afin de ne pas être repéré.

L’Assemblée Nationale a voté en grande pompe il y a quelques années une loi interdisant le port de la burqa sur le territoire national en en faisant même un délit. Arborer une burqa en public aurait donc du être une faute impardonnable pour les braqueurs. Comment commettre un délit aussi évident que le port d’une tenue interdite sans se faire repérer et interpeller.

Rédoine FAÏD et ses complices étaient-ils fous de braver ici un interdit aussi fondamental au vu et au su de tous au moment où précisément ils voulaient passer inaperçus et se fondre dans la masse.

En fait , chacun l’aura compris, cette loi qui interdit le port de la burqa est simplement restée lettre morte. Elle n’a jamais été appliquée et les condamnations peuvent se compter sur les doigts d’une main, bien que le pays se soit doté d’une législation anti-burqa . La burqa est en elle-même une apologie du terrorisme islamique , aucun policier ne se sent assez fort pour faire appliquer la loi face à ces personnes provocatrices qui violent la loi de la République au nom de la charia. [.. .]

La presse a fait les grands titres sur l’arrestation de Rédoine FAÏD mais les journalistes sont souvent restés évasifs sur cette affaire de burqa .Le même jour alors qu’il quittait la place Beauvau Gérard Collomb ne disait pas autre chose et mettait en garde contre le développement de l’islamisme radical dans les quartiers. [.. .]





Gérard Collomb fait du Zemmour… et ce n’est pas rassurant !

Quand un marchand de parapluies vous dit qu’il va pleuvoir, vous relativisez ses propos. Hé, hé, pas si bête, c’est, bien sûr, dans son intérêt de vous alarmer.

Mais quand un vendeur de lunettes de soleil vous fait les mêmes mises en garde, vous prêtez l’oreille, voire vous vous inquiétez sérieusement. S’il y avait la moindre chance pour que le ciel s’éclaire, il l’aurait claironné urbi et orbi. S’il prédit à contrecœur une rincée, c’est que vous risquez bien une tempête.

Il est peu probable que Gérard Collomb se reconvertisse dans le commerce de détail puisqu’il n’a même pas eu besoin de traverser la rue pour trouver un nouveau travail : il sera maire de Lyon. Néanmoins, il est un peu l’opticien de cette petite parabole. Un passage de son discours d’adieu, abondamment relayé par la presse, semble avoir été écrit par Éric Zemmour. Sauf que, dans la bouche du ci-devant ministre de l’Intérieur, il est infiniment plus inquiétant. Son fonds de commerce politique, c’est en principe celui de l’identité heureuse qui pense printemps. Celui du vivre ensemble qui s’enrichit de la diversité.

« Aujourd’hui, on vite côte à côte. Je crains que, demain, on vive face à face », a-t-il lancé. Et, plus loin, évoquant les quartiers sensibles : « Aujourd’hui, c’est plutôt la loi du plus fort qui s’impose, des narcotrafiquants, des islamistes radicaux, qui a pris la place de la République. »

Sa pensée semble désormais à l’unisson de la saison, grise et automnale, dans la bourrasque.

Tous les analystes politiques se perdent en conjectures : mais pourquoi a-t-il donc démissionné ? On avance des blessures d’amour-propre, on suppute des querelles de personnes, on imagine des déceptions. En guise de cadeau de départ, on peut lui faire crédit de motivations dépassant le strict niveau zéro de son ego : peut-être l’idéologie s’est-elle fracassée contre une réalité que sa fonction du même nom lui a fait voir de l’intérieur ? Peut-être le sentiment de son impuissance ou une certaine schizophrénie lui devenaient-ils insupportables ?

Sa mise en garde n’est pas sans faire écho à la « partition » des territoires évoquée par François Hollande dans son livre d’entretiens Un président ne devrait pas dire ça… Un ministre de l’Intérieur socialiste non plus. Tous deux ont la double caractéristique d’avoir été aux premières loges et de de n’avoir aucun intérêt politique – c’est une litote – à dépeindre une situation dramatique.

On le sait, Daniel Cohn-Bendit, qui a d’ailleurs l’âge d’en faire autant, lui a recommandé d’aller s’occuper de ses petits-enfants. Un mot de plus et il l’envoyait à l’EHPAD. On peut prendre ce discours de départ de Gérard Collomb comme une sorte de testament, dont chaque mot a été posé. Pour s’exonérer à l’avance des reproches qu’on pourrait lui faire dans le futur, quand, qui sait, on ne vivra plus côte à côte, ni face à face, mais que l’on survivra dos à dos ? « J’ai tout essayé, sans succès. Je les ai prévenus en partant le 3 octobre, ils ne m’ont pas entendu. »





L’Etat ambitionne d’héberger 86 % des demandeurs d’asile à l’horizon 2020. le budget consacré à la mission « immigration, asile et intégration » est chiffré à 1,58 milliard d’euros en 2019 (+14%)

Côté hébergement des demandeurs d’asile, l’objectif suppose une augmentation du parc, qui devrait atteindre plus de 97 000 places en 2019.

Les documents budgétaires publiés cette semaine font apparaître un gros coup de pouce à l’intégration de réfugiés. L’Etat se fixe pour objectif d’héberger 86 % des demandeurs d’asile à l’horizon 2020, contre 50 % seulement en 2018.

Au total, le budget consacré à la mission « immigration, asile et intégration » est chiffré à 1,58 milliard d’euros en 2019 (à périmètre constant), soit une hausse de 200 millions par rapport à 2018 (+ 14 %), dans un contexte de tour de vis budgétaire (+ 0,6 % pour le budget général). « Il y a un redimensionnement de la politique d’intégration », dans le sillage du comité interministériel de cet été, qui permettra notamment de financer le doublement des cours de langue et les mesures d’insertion professionnelle, a-t-on expliqué à l’intérieur. Le budget prévoit ainsi une hausse de plus de 40 % l’an prochain des crédits de l’intégration, à 395 millions d’euros, dont 52 millions pour la formation linguistique.

Côté hébergement des demandeurs d’asile, l’objectif « ambitieux » suppose une augmentation du parc, qui devrait atteindre « plus de 97 000 places en 2019 », selon les annexes budgétaires. Pour cela, diverses mesures sont prévues: 1 000 places créées en centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA), 3 500 en hébergement d’urgence, transfert de places déjà existantes…

www.lemonde.fr





Collomb a annoncé la prochaine guerre de France, puis il est parti à Lyon…

La grenade dégoupillée que Collomb a balancée dans les pattes d’Édouard Philippe, lors de la passation de pouvoir, brise l’omerta sur l’immigration, que les autorités de ce pays imposent au peuple depuis trente ans.

C’est d’abord François Hollande qui avait clairement annoncé « la partition », dans le livre « Un président ne devrait pas dire ça ». Sujet explosif vite enterré.

http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/10/12/31001-20161012ARTFIG00292-immigration-l-incroyable-aveu-de-francois-hollande.php

La sécession des territoires ? « Comment peut-on éviter la partition ? Car c’est quand même ça qui est en train de se produire : la partition. »

Et aujourd’hui, c’est au tour du ministre de l’Intérieur d’enfoncer le clou et de reconnaître que la France court à la catastrophe, car avec Macron, tout empire dans des proportions dramatiques.

Ce qu’a déclaré le premier flic de France est annonciateur de lendemains tragiques et même de guerre civile, parce que des dirigeants irresponsables ont trahi le peuple, en lui vendant une société multiculturelle paradisiaque qui n’existe nulle part dans le monde.

Le « vivre ensemble », va inévitablement se transformer en choc frontal entre des communautés qui ne partagent plus rien en commun.

Évoquant l’explosion des zones de non-droit, ces quartiers où règne la « loi du plus fort », celle des caïds et des barbus, Collomb a carrément évoqué la menace de guerre civile.

« On vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face, nous sommes en face de problèmes immenses ».

Tel est le discours d’un ministre de l’Intérieur après 18 mois d’exercice en tant que responsable de la sécurité des Français ! Ahurissant !

Il avoue, en quittant le navire, ce que les Français de souche, les Français « pure laine », pour employer une expression de nos amis québécois, savent et craignent depuis des lustres.

Mais qu’a-t-il fait en 18 mois ? Ou bien Macron l’a empêché d’agir, et il devait démissionner dans les trois mois, ou bien il a fait preuve d’incompétence et d’une soumission coupable durant 18 mois.

Cette désintégration de la société, une évidence que les lanceurs d’alerte annoncent depuis des décennies, et qui devrait mobiliser toutes les énergies du pays pour éviter sa libanisation et son éclatement, a aussitôt été minimisée par les médias, certains occultant carrément le discours de Collomb.

Tout va bien, le peuple peut dormir tranquille.

Mais si pour une fois Collomb parle vrai et fait le juste constat, le remède qu’il propose sera pire que le mal.

Ce n’est certainement pas avec davantage de mixité que la France va surmonter l’échec de l’intégration. La mixité, c’est la diffusion du mal.

La mixité ne peut se concevoir qu’avec des populations qui partagent une même vision de leur avenir. Ce qui n’est pas le cas pour des millions d’immigrés qui refusent de s’intégrer et qui sont plus sensibles au discours de haine des barbus qu’au discours républicain.

Le bilan Macron et Collomb est des plus explicites :

1000 agressions gratuites par jour, avec très souvent un égorgé du jour.
130 mosquées salafistes qui prêchent la haine de la République.
Entre 500 000 et 1000 000 clandestins jamais expulsés.
Seulement 7000 places de prison supplémentaires sur les 15 000 promises.
30 000 armes illégales circulent dans les banlieues.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/12/15/01016-20101215ARTFIG00731-30000-armes-illegales-circulent-dans-les-banlieues.php

20 000 radicalisés inscrits au fichier FSPRT.
Sur les 1600 détenus pour terrorisme ou radicalisation, 450 seront libérés en 2019. Les bombes humaines de demain.
Des centaines de zones de non-droit et de zones sensibles.

http://www.europe-israel.org/2015/02/la-liste-des-quartiers-sensibles-de-france-ou-regnent-la-delinquance-les-dealers-les-armes-et-les-islamistes-les-zones-de-non-droit/

L’État a totalement perdu le contrôle de la situation pour la simple raison qu’il refuse l’épreuve de force avec les racailles des quartiers, qui y font régner leur propre loi.

Adeptes de la politique de l’autruche et cédant aux délires immigrationnistes de Bruxelles, nos dirigeants ont encouragé une invasion qu’ils ne maîtrisent plus.

L’intégration est un échec monumental, mais le mal est si profond que le pouvoir est devenu l’otage de millions d’immigrés. Il a peur.

Tétanisés par le souvenir des émeutes de 2005, tous nos dirigeants ont capitulé, espérant éviter l’inévitable confrontation que vient d’annoncer Collomb.

Dans un pays où les policiers sont présumés coupables au moindre incident et les racailles systématiquement victimisées, il n’y a pas grand chose à espérer.

On n’oublie pas l’affaire Théo, ce délinquant qui avait refusé un contrôle d’identité et qui s’est retrouvé à l’hôpital, avec Hollande à son chevet dans l’heure qui suivait.

Non seulement les policiers ont été traînés dans la boue, mais Hollande n’a même pas daigné se rendre au chevet d’autres policiers, également hospitalisés après avoir été brûlés vifs dans leur voiture par des racailles de banlieue.

Une odieuse marque de mépris envers ceux qui assurent notre protection. Par cette attitude ignoble, Hollande a déshonoré un peu plus sa fonction.

Nos policiers ont plus à craindre de leur hiérarchie et du pouvoir totalement acquis aux immigrés que des voyous qu’ils traquent.

La France court à la catastrophe. Et que fait Macron ? Il aggrave la situation.

Le nombre de visas longue durée est passé de 227000 en 2016 à 262000 en 2017. Il est en augmentation de 16 % en 2018 !

Le nombre de demandeurs d’asile a dépassé les 100 000 en 2017 et va exploser en 2018.

Certains quartiers de Paris se transforment en dépotoirs du tiers-monde.

Toutes les structures d’accueil sont saturées. On impose partout des migrants, y compris dans les villages les plus reculés, qui voient leur quotidien bouleversé quand il ne devient pas carrément invivable.

La France est en train de s’effondrer économiquement et de se désintégrer, et tout ce que Macron et la bobosphère qui le vénère ont dans leur collimateur, ce sont les patriotes qui défendent leur identité et leur patrimoine culturel.

En Italie, Salvini sanctionne les maires immigrationnistes.

https://www.marianne.net/monde/italie-arrestation-du-maire-de-riace-pionnier-dans-l-accueil-des-migrants

Tandis que Macron, en bon démocrate, veut sanctionner les pays qui refusent l’accueil de migrants, alors que 66 % des Français ne veulent plus d’immigration.

https://www.lexpress.fr/actualite/monde/macron-veut-sanctionner-les-pays-refusant-les-migrants_2019829.html

Tout est dit. L’un aime et protège son peuple, l’autre le méprise et le condamne à des lendemains tragiques.

D’ici 2022, Macron a largement le temps d’exercer son pouvoir de nuisance afin d’enfoncer le dernier clou sur le cercueil de la France de nos ancêtres. C’est ça, le mondialisme !

Comment un président, qui a capitulé et donné raison aux squatteurs de Notre-Dame-des-Landes au détriment des paysans historiques, au mépris de la démocratie, au mépris de toutes les décisions de justice, pourrait-il reconquérir les quartiers ? Impensable !

Son credo, c’est le renoncement permanent face aux communautarismes et à la délinquance. C’est un islam conquérant qui se propage en France.

Il est plus facile d’envoyer des Rafale bombarder la Syrie, un pays qui ne nous a jamais agressés, que de rétablir l’ordre républicain dans les banlieues !

Jacques Guillemain (Riposte laïque)





Zemmour : « À cause de l’immigration et des juges qui démolissent le travail des policiers, le Ministère de l’Intérieur ne peut plus rien… »





Dernière édition du journal TVLibertés (03/10)

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