Un scoop : nous mangeons halal sans le savoir !

Une fois de plus, la presse mainstream, en l’occurrence L’Express, découvre l’eau tiède : nous mangeons halal et casher sans le savoir !

Récemment, les médias se sont alarmés également de la montée de revendications religieuses dans les écoles y compris maternelles ; ils étaient pourtant largement documentés depuis des années… Le réel rattrape tout ce microcosme de la « classe parlante » sans que, pour autant, cela ne génère des actes appropriés de la part des pouvoirs publics ni de conclusions pertinentes de la part de nos commentateurs médiatiques. L’exemple caricatural en est un certain Clément Viktorovitch, habitué des plateaux médiatiques.

En l’occurrence, la demande d’étiquetage du mode d’abattage est ancienne, et légitime. Elle devrait être faite en clair et non par un code. Cela correspondrait à la législation qui accorde à titre dérogatoire seulement la possibilité d’abattre halal ou casher, uniquement sur commande, consignée dans un registre spécifique. Ce point a été utilisé par Vigilance Halal pour attaquer devant les tribunaux administratifs les arrêtés préfectoraux pour certains abattoirs (dont celui de Meaux, affaire en appel, initiée en 2012 !). Mais il nous a systématiquement été répondu en justice que ces registres étaient des documents commerciaux non communicables.

Nicolas Dhuicq, alors député de l’Aube, avait déposé en 2011 et 2014 des projets de loi dans ce sens, toujours rejetés car il ne faut pas… stigmatiser et cela serait catastrophique sur le plan financier car le circuit traditionnel n’absorberait plus les excédents de halal et casher.

Il faut d’ailleurs relativiser le casher qui représente maintenant moins de 1 % de la viande rituelle et est en baisse continue. Le problème est bien lié essentiellement au halal, marqueur essentiel de l’islamisation, car le halal, c’est la charia ! Mais le « système », en agglomérant les deux, noie la problématique de la submersion par le halal, qui représente maintenant plus de 60 % des abattages. En Provence on appelle ça la recette du « pâté d’alouette » : une alouette de casher plus un cheval de halal…

Cette indication essentielle pour nombre de consommateurs (plus de 70 %) est demandée par notre association, à titre transitoire en attente de l’interdiction totale et définitive du halal en raison des problématiques cumulées de souffrance animale inutile, de scandale sanitaire car ces pratiques s’affranchissent de la législation en la matière, et de circuits financiers importants et opaques finançant l’islam. Sur ce point, on aimerait entendre les associations de consommateurs, et de protection animale. Mais surtout, il faut le rappeler sans cesse, le halal est une notion globale liée à la charia, système juridique totalement incompatible avec le nôtre (voir entre autres l’arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme du 31 Juillet 2001).

Devant l’inertie des pouvoirs publics, nous avons créé « Suivez le Coq », qui regroupe les bouchers attestant que la viande qu’ils vendent est abattue de façon traditionnelle. Nous engageons les lecteurs de Boulevard Voltaire à visiter le site suivezlecoq.fr avec son système de géolocalisation, à télécharger l’application smartphone et à inciter leur boucher à y adhérer. C’est une forme d’étiquetage citoyen

Et puis se pose une question de fond : ces interdits alimentaires ne sont-ils pas largement obsolètes au XXIe siècle ? Le problème d’actualité ne serait-il pas plutôt la dégradation de la qualité de notre alimentation (parfaitement compatible avec le halal et le casher d’ailleurs…) plutôt que sa « pureté » rituelle ?

Et pour conclure, en paraphrasant Ségolène Royal, « l’halalitude n’est t’elle pas le prélude à la dhimmitude » ?





La Seine Saint-Denis islamisée, c’est la France de demain

Publié le 14 octobre 2018 – par Jacques Guillemain (Riposte Laïque)

Huit commerçants de Seine-Saint-Denis brisent enfin l’omerta sur le racket.
Mais combien sont-ils en France, à subir quotidiennement les menaces des racailles, la peur au ventre, totalement abandonnés par la République ?
Combien vivent dans la terreur de voir le fruit de leur travail détruit par des malfrats sans foi ni loi, s’ils ne paient pas le prix de leur “protection” ?

Des centaines, des milliers, qui sait ? Mais le mal est profond.

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/tremblay-en-france-les-commercants-rackettes-brisent-l-omerta-05-10-2018

La Seine-Saint-Denis devient l’enfer pour des milliers de citoyens, abandonnés par la République. C’est la loi des caïds et des barbus qui s’est imposée à tous.
Enseignants, commerçants, pompiers, policiers, médecins et personnel soignant, mais aussi simples résidents, et notamment les femmes, subissent, la peur au ventre, la loi des voyous parce que l’État a démissionné.
L’omerta, elle est omniprésente. Omerta sur l’islamisation de l’école (rapport Obin de 2004 enterré par Fillon), omerta sur l’insécurité dans les hôpitaux, omerta sur les viols en tournante, omerta sur les vrais chiffres de l’insécurité, omerta sur le coût démentiel de l’immigration.
Si les vrais chiffres étaient connus, Marine serait élue au premier tour avec 60 % des voix ! Car tout le problème est là.

Pour que nos élus fossoyeurs de la nation gardent le pouvoir, il leur faut désinformer, pratiquer la manipulation de masse et diaboliser les Zemmour et les Onfray. Presse aux ordres et justice laxiste sont leurs outils.

Combien de maires subissent des pressions et des menaces, ou un chantage électoral, pour céder aux revendications communautaristes ?

Combien de patrons subissent l’islamisation de leur entreprise et doivent céder aux exigences des intégristes, sous peine de subir des représailles qui détruiraient le fruit de leur travail ?

On se demande aussi si les juges ne subissent pas des pressions et des menaces, tant certains d’entre eux répugnent à appliquer le Code pénal et à frapper fort.

La France court à la catastrophe. Car la Seine-Saint-Denis, c’est le miroir de la France de demain, quand l’immigration extra-européenne aura doublé puis triplé, jusqu’à devenir majoritaire dans le pays. Dans une ou deux générations.

Que se passera t-il quand des secteurs économiques entiers tomberont sous la coupe des minorités devenues majorité ?

Verrons nous, comme en Afrique du Sud, l’emploi réservé aux immigrés à qualification égale ? “L’identité heureuse” de Juppé est un slogan totalement naïf et stupide, à des années-lumière de la réalité du “vivre-ensemble”.

Car entre natifs et immigrés, la conception du “vivre-ensemble” n’est pas la même. Deux visions diamétralement opposées.

Comme le dit Obertone dans son dernier livre, “La France interdite” :

“La Seine-Saint-Denis, c’est le département plus violent et criminogène, le plus touché par le chômage, le plus frappé par la pauvreté, le plus assisté, le plus subventionné, le plus atteint par les trafics, le plus fourni en logements sociaux, le plus soigné avec la CMU.”

https://ripostelaique.com/la-france-interdite-la-verite-sur-limmigration-nouvelle-bombe-de-laurent-obertone.html

Sur les 10 villes les plus dangereuses de France, 5 sont situées en Seine-Saint-Denis (classement 2017).

Où est la “richesse” pour la France ? Où est la réussite de l’intégration ? Ce département illustre à lui seul le naufrage de la politique d’immigration et l’illusion du “vivre-ensemble”.

Oui, c’est bien une menace de guerre civile que nous a annoncée Collomb en pliant bagage. Zemmour ne s’y est pas trompé, même si les bobos le contestent et font tout pour minimiser la gravité de la situation. Police et services de renseignement savent ce qu’il en est. C’est gravissime.

« On vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face. Nous sommes en face de problèmes immenses. »

https://www.rtl.fr/emission/on-n-est-pas-forcement-d-accord

Mais revenons aux huit commerçants du Tremblay-en-France, commune proche de Roissy.

Les 4 malfrats qui rackettaient les commerçants étaient bien connus de la justice.

Refrain connu puisque les peines infligées ne sont jamais dissuasives. Le Code pénal, qui est très bien fait mais jamais appliqué, prévoit 20 ans de prison. À suivre…

Les victimes ne dormaient plus la nuit. Aujourd’hui, elles sont menacées afin qu’elles retirent leur plainte.

Tout a commencé par des vols, des articles emportés ostensiblement sans payer, pour faire plier le commerçant au chantage. Avec menaces de représailles, y compris sur la famille.

Certains commerces ont été saccagés. D’autres commerçants ont préféré fermer.

Ceux qui ont choisi de payer ont casqué entre 500 et 3 000 euros. Mais beaucoup se taisent et paient en silence.

Une supérette a dû embaucher un membre de la bande de racketteurs pour être tranquille. Embauche forcée.

Un système mafieux s’est mis en place dans nos banlieues.

Voilà ce qui se passe au paradis du “vivre-ensemble”.

C’est un enfer que vivent les commerçants et petits patrons, auxquels il est interdit de faire la moindre remontrance à un employé de la diversité, sous peine de voir leur outil de travail pillé et saccagé.

C’est ce que Collomb appelle la loi du plus fort.

Et nos bobos s’étonnent que plus personne ne veuille s’installer dans ces zones de non-droit, où la loi des caïds régit la société.

La presse, immigrationniste à 90 %, monte en épingle le moindre contrôle d’identité un peu musclé, la justice s’acharne sur les policiers à la moindre bavure, mais c’est l’omerta la plus totale sur l’enfer que vivent les citoyens des cités.

Politiques, juges, journalistes et intellectuels sont les responsables de ce désastre.

Plus les frontières resteront ouvertes et plus la situation va empirer, au détriment des natifs qui voient leur pays sombrer et se désintégrer.

Jamais, au cours de l’Histoire, on n’a vu un tel acharnement des leaders occidentaux à détruire leur propre civilisation, en pactisant avec un islam conquérant qui rêve d’asservir le monde.

Islamisation et insécurité sont les deux menaces existentielles qui vont tout emporter en Europe. Il n’y a aucune volonté de redresser la situation.





Albi : le mariage « communautaire » tourne à l’affrontement : un mort, les CRS déployés

Samedi dernier, ici même, je disais mon inquiétude et mon exaspération face aux excès et aux délits causés par les mariages arabes dans ma ville du sud-ouest. Hier, toujours dans ma ville, ce fut le même scénario, un cran au-dessus : klaxons, pneus qui crissent, drapeaux algériens, rodéos en ville, en mode crescendo. Mais il n’a pas fallu une semaine pour que ces excès montent de deux crans et prennent un tour qui était prévisible : un mort tué au couteau, hier, à Albi, dans le quartier de Lapanousse.

Donc hier, samedi 13 octobre, comme tous les samedis dans de très nombreuses villes moyennes du sud-ouest et d’ailleurs, Albi, et sa si belle cathédrale Sainte-Cécile, toute inquiète et excédée dans son silence de forteresse, observent de haut les rodéos, les convois bruyants, les cris échappant des voitures de ce mariage musulman. Selon France bleu Occitanie, la fête très bruyante, déjà insupportable sur la voie publique et autour de la mairie, se poursuit tout aussi bruyamment dans le quartier de Lapanousse. Sauf qu’un groupe rival, du quartier Cantepau, a été dérangé par ce tapage : des jeunes sont arrivés sur le lieu de la fête avec des battes de base-ball et des armes blanches. Une rixe a alors éclaté entre les membres des deux bandes rivales, un jeune homme de 20 ans a été poignardé. Il est décédé dans la soirée. Et des CRS ont été déployés pour assurer le retour au calm

Voilà où nous en sommes : ce que le Français moyen est tenu de subir sans broncher, les communautés elles-mêmes, selon leur humeur, ne le supportent même pas et n’arrivent pas à vivre côte-à-côte !

Alors que faudra-t-il encore à nos édiles, à nos gouvernants, à notre ministre de l’Intérieur -quand Jupiter et sa start-up nous en auront trouvé un…- pour agir, sévir, interdire ces drapeaux, ces couteaux, ces coutumes mortifères (au sens propre) des mariages du samedi après-midi ?





Violences, trafic de stupéfiants, comportements déplacés envers les femmes : le maire socialiste de Lorient (56) accuse les migrants

Depuis plusieurs mois,des faits de violences et les trafics de stupéfiants sont imputés à de jeunes migrants. Une nouvelle forme de délinquance qui pose aussi la question de leur intégration.

« La présence de minorités étrangères conduit à des trafics de stupéfiants, des trafics de bandes de jeunes oisifs, de jeunes mineurs livrés à eux-mêmes qui se regroupent toute la journée » près de la gare d’échanges et dans la galerie de l’Orientis. « J’ai bien envie d’y mettre de l’ordre ! » Ces propos, c’est bien le maire socialiste de Lorient qui les a tenus voici trois semaines dans Ouest-France. Un revirement à 180° ou plutôt le constat d’une réalité? Et tandis que Norbert Métairie se faisait à l’idée d’étendre le réseau de vidéoprotection dans sa cité – fort déjà de 40 caméras – Fabrice Loher, le chef de file de l’opposition municipale buvait du petit-lait: « Quand j’en parlais il y a quinze ans, on me traitait de liberticide et même pire… » Dans le quartier de la gare et dans le centre-ville, ajoutait cet élu, « à certaines heures, oui, les gens ont peur »…

« Soyons clairs, dans le secteur gare, mais aussi, durant l’été, du côté de l’avenue Anatole-France et jusque devant la mairie, nous sommes en présence de jeunes migrants, sans activité, au statut administratif précaire, sans encadrement suffisant, observe le commissaire central,Emmanuel Allabatre. Ils occupent le terrain. Des conflits éclatent régulièrement entre eux. Des interpellations ont été réalisées pour vols et violences. Des produits stupéfiants et des armes blanches ont été saisis. La plupart sont mineurs ou se font passer comme tel. Nous constatons également un nombre croissant de comportements déplacés vis-à-vis des jeunes femmes » qui ont d’ailleurs fait l’objet de poursuites judiciaires. (…)

www.ouest-france.fr





Philippe de Villiers : « il y a des gens qui ont fait sécession mentalement et qui le jour venu nous feront comprendre que c’est nous les étrangers »





Ancienne membre du Conseil constitutionnel et ministre, Noëlle Lenoir dénonce le 2 poids 2 mesures entre le racisme anti-blanc et les autres racismes

Présidente du Cercle droit et débat public, Noëlle Lenoir, ancienne ministre de Jacques Chirac et ancienne membre du Conseil constitutionnel, estime que la « provocation publique à la commission d’un crime ou d’un délit », qualification retenue par le parquet de Paris à l’encontre du rappeur Nick Conrad, auteur de chanson accompagnée d’un clip « Pendez les Blancs » , ne va pas assez loin. Et que celui-ci doit être poursuivi pour racisme.

Voici la tribune de Noëlle Lenoir :

Imaginons qu’un groupe de rockers à la peau blanche diffuse un clip intitulé « Pendez les Noirs », s’ouvrant sur l’image d’un homme à la peau noire ensanglanté au bout d’une corde, et rythmé par ces paroles : Je rentre dans des crèches, je tue des bébés noirs, attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants blancs de tout âge petits et grands. Fouettez-les fort faites-le franchement, que ça pue la mort que ça pisse le sang et ainsi de suite…

S’interrogerait-on un instant sur le caractère raciste de cette exhortation ? Hésiterait-on sur l’applicabilité des dispositions de l’article 24 de la loi du 1881 punissant ceux qui « provoquent à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une race » ? Ou sur l’applicabilité du cinquième alinéa du même article réprimant l’apologie des atteintes volontaires à la vie et des atteintes volontaires à l’intégrité de la personne (ici avec circonstance aggravante de racisme conformément à l’article 132-76 du Code pénal) ? Ou des dispositions du Code pénal sur l’apologie du terrorisme (article 421-2-5) ou de l’article sur l’incitation à s’armer contre une partie de la population (article 412-8), là encore avec circonstance aggravante de racisme ? Disserterait-on sur la distinction à faire entre les débordements des paroles d’une chanson et un appel au meurtre ? Minimiserait-on cet appel en relevant que ce groupe de rock n’avait jusqu’alors qu’une faible audience ? Prétendrait-on que l’écho fait à un tel clip est idéologiquement orienté ? Qu’exprimer sa frayeur et son dégoût reviendrait à stigmatiser injustement les hommes et les femmes qui ont la peau blanche ?

Répondre par un non ferme et énergique à ces questions va de soi aux juristes et analystes que nous sommes. Pourquoi n’est-ce pas la réaction unanime ? Pourquoi tente-t-on de nous faire avaler que le clip de Nick Conrad rappellerait les chansons de Brassens ? Qu’il serait une revanche contre « les hommes blancs et éduqués qui ont le pouvoir de tout dire » ? Ou encore que ce clip mériterait « une distanciation grâce à l’art » (sic !) ? Non, les « hommes blancs et éduqués » n’ont pas le pouvoir de tout dire. Nous sommes tous tenus de respecter le droit. Il doit être clair pour tous, ainsi que l’énonce l’article 4 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, que « la liberté consiste à faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ». Enfin, quel art – si art il y a dans ce clip – pourrait justifier l’impunité de celui qui appelle à tuer des enfants parce qu’ils ont la peau blan

En racialisant la réprobation et la répression, on institutionnaliserait un « deux poids deux mesures » qui, pour être du racisme à rebours, n’en serait pas moins du racisme et se rendrait en l’occurrence complice d’une épouvantable invitation à tuer.

www.lepoint.frche ? (…)





Castaner à Beauvau ? Pour inaugurer les mosquées, il serait parfait !

Publié le 11 octobre 2018 – par Jacques Guillemain (dans Riposte La¨que)

Selon Libé, Castaner tiendrait la corde pour remplacer Collomb. Vrai ou intox ?

http://www.fdesouche.com/1086057-castaner-a-menace-de-demissionner-sil-nobtenait-pas-le-ministere-de-linterieur

Mais les deux intéressés démentent cette information. Castaner affirmant qu’il n’a jamais exercé le moindre chantage.

En tout état de cause, la nomination de Castaner serait une faute. L’heure n’est plus aux accommodements raisonnables avec l’islam mais à la reconquête des quartiers.

En quittant ses fonctions, l’ex-ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a tenu à transmettre au peuple français un message majeur, d’une gravité sans précédent.

Il a notamment insisté sur la situation très dégradée des quartiers difficiles, qui se ghettoïsent et doivent être reconquis pour y restaurer l’ordre républicain.

« On vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face, nous sommes en face de problèmes immenses », a reconnu l’ex-ministre.

Cette déclaration gravissime, porteuse de lendemains tragiques mais aussitôt minimisée, puis évacuée, par le gouvernement et les médias, est un aveu on ne peut plus clair.

Le risque de guérilla territoriale, voire de guerre civile si les choses empirent, n’est pas un pur fantasme de facho décérébré mais bien une réalité que le pouvoir a toujours niée et refuse d’affronter.

Qui d’autre était mieux renseigné que Collomb sur la sinistre réalité des banlieues, évaluée en permanence par les synthèses de la police et de la gendarmerie ?

Et face à cette situation qui risque de virer à la tragédie, une situation qui exige un homme fort à la tête du ministère de l’Intérieur, un type à poigne de la trempe d’un Pasqua, Macron ne trouverait rien de mieux que de nous donner l’inénarrable Castaner pour assurer la sécurité des Français !

Castaner, c’est l’islamophile bon teint. Une grande gueule arrogante qui nie l’islamisation de la France. Je ne sais pas si les forces de l’ordre apprécieront sa nomination, mais les musulmans seront satisfaits, c’est certain.

Quand Valls déclare « En France, nous avons un problème : l’islam et les musulmans », Castaner voit de la brutalité dans ces propos lucides.

« Certains, au nom de l’islam, ont des comportements qui ne sont pas acceptables. Cela n’a rien à voir avec ce qu’est la religion de l’islam, qui est une religion de bonheur, d’amour, comme la religion catholique. » (@CCastaner#BourdinDirect 10:00- 23 nov. 2017)

Ou encore :

« Cessons de parler d’État islamique, ils trahissent la religion qu’ils prétendent servir. Ce sont juste des assassins. »

Visiblement, Castaner n’a pas le Coran comme livre de chevet. Quand on est ministre des Cultes, il est pourtant bon de savoir de quoi on parle…

Qu’il écoute cette vidéo, il y verra que Daesh, c’est le véritable islam, celui du Coran et des hadiths, celui de Mahomet.

Ensuite, si les pays musulmans rayonnent de bonheur, on se demande pourquoi toute la jeunesse d’Afrique et du Moyen-Orient rêve de fuir en Occident, terre de mécréants.

Si le Coran promet le bonheur, c’est uniquement dans l’au-delà, avec fruits, miel et vin à profusion, sans oublier les multiples houris aux grands yeux noirs.

Quant à la religion de paix et d’amour, il suffit de faire le bilan du terrorisme et de la criminalité quotidienne, perpétrés au nom d’Allah, pour comprendre que Castaner est un illuminé totalement ignare.

Sur les 6 400 versets du Coran, le mot “amour” ne figure nulle part.

Encore un signe de soumission de notre pressenti ministre de l’Intérieur :

« Il y a quelques années, quand en France, y compris nos mamans portaient un voile, portaient le voile catholique, on ne se posait pas la question ».

Réflexion grotesque. C’est confondre un signe de piété affiché dans une église et un acte de soumission à une religion intolérante.

Castaner est tout désigné pour inaugurer les futures mosquées en tant que ministre des Cultes. Mais il ne sera jamais l’homme de la situation pour reconquérir les quartiers insoumis tenus par les caïds et les barbus.

Rappelons-lui que dans le 9-3, les juifs sont indésirables et que nombre de familles juives, constamment persécutées, ont fui la plupart de ses villes. Mais pour Castaner, l’islam, c’est que du bonheur.

De plus en plus de musulmans refusent de serrer la main des femmes, refusent de les accepter dans un café, refusent de conduire un bus après elles.

Une religion qui tue les apostats et qui estime que la charia est au-dessus de la loi républicaine, c’est ce que Castaner appelle une religion d’amour.

En Seine-Saint-Denis, de plus en plus de quartiers deviennent des “mini-califats” passés sous le contrôle des barbus. C’est un commissaire de police qui le dit.

Rappelons aussi à notre éventuel futur premier flic de France que les musulmans occupent les 2/3 des places de prison. S’il n’en est pas convaincu, qu’il demande confirmation à Jack Lang ou qu’il consulte les synthèses de la DCPJ ou de la DCSP.

Ça fera bientôt partie de son job.

Mais il y a fort à parier que Castaner n’a jamais lu le moindre ouvrage sur l’islamisation de l’Europe. Qu’il relise les propos d’un Youssef al-Qaradawi, le maître à penser des Frères musulmans, ou d’un Marwan Muhammad, ex-responsable du CCIF.

Il y verra ce que la France représente pour bon nombre de leaders musulmans : une terre de conquête, le ventre mou de l’Europe.

Qu’il lise l’ouvrage de François Billot de Lochner, “Chronique de l’islamisation ordinaire de la France. Le grand tabou”. Il aura l’air moins nul en parlant de l’islam.

La vérité est que l’islam n’est compatible avec la loi républicaine que pour les musulmans non pratiquants qui s’affranchissent des 5 piliers de l’islam.

Mais dès lors que 50 % des jeunes musulmans souhaitent que la charia prenne le pas sur la loi républicaine, il est clair que c’est le discours des barbus qui prévaut sur le discours républicain.

Nous ne sommes plus dans une “minorité qui trahit l’islam” mais dans une majorité qui prône un islam conquérant, c’est-à-dire le véritable islam, celui du Coran.

Comme le dit Obertone dans son dernier ouvrage, “La France interdite” :

“Le seul moyen d’être “compatible” avec l’islam est donc la mort, la conversion ou la capitation. Entre ces trois alternatives, la République hésite encore.”

C’est la France qui se plie à l’islam, et non pas la République qui exige l’intégration des musulmans.

Nous ne savons pas encore si Castaner sera nommé place Beauvau, mais ce qui est certain, c’est qu’il incarne la soumission et certainement pas le chef de guerre qu’on attend pour la reconquête des quartiers réclamée par Collomb.

Combien d’années encore la cinquième puissance du monde, puissance nucléaire qui a son siège au Conseil permanent de sécurité de l’ONU et entend peser sur l’échiquier mondial, combien d’années encore notre pays va-t-il courber l’échine devant les barbus et les caïds qui ont pris le contrôle de plusieurs centaines de zones de non-droit ?

Assez de poules mouillées et de capitulards aux commandes de la France. Il nous faut un Salvini ou un Orban. C’est vital et urgent.





Macron, le méprisant de la République

Comment Emmanuel Macron va-t-il pouvoir faire face aux Français lors de sa prochaine prestation télévisée après de multiples faux pas rapportés par une presse de moins en moins macroniste, donc de plus en plus objective ?

Après l’arrogance dont il a usé face aux retraités venus le saluer à Colombey-les-Deux-Églises, il a enchaîné au Salon de l’automobile où il affiché une évidente nervosité, comme nous allons le voir. Cette attitude serait-elle due à la scène de ménage rapportée avec force détails par Valeurs actuelles et qui aurait affecté profondément le Président ? Après sa catastrophique séance de photos de Saint-Martin, Brigitte Macron lui aurait hurlé : « Il faut arrêter les conneries, maintenant. » Scène décrite par le journaliste d’Europe 1 Frédéric Helbert sur Twitter, mercredi : « Selon une top source, le Président a subi une véritable engueulade, une déculottée », venue de son épouse Brigitte Macron, qui a tout passé en revue (Benalla, etc.). « Ça gueulait si fort derrière la porte qu’on a tout entendu (membre #GSPR). » Et de poursuivre, dans un autre tweet : « C’était un huis clos derrière la lourde porte du bureau du PDR. Mais ça cognait si dur qu’on a tout capté, dit 1 officier #Secu. »

On peut prévoir que Macron n’en restera pas là et qu’une enquête approfondie auprès des services de sécurité de l’Élysée va trouver le délateur. Mais cette révélation ainsi rendue publique après le claquage de porte de son ami Collomb aura suffisamment affecté le Président pour expliquer ce qui s’est passé à Colombey et au Mondial de l’automobile.

« En quarante ans de Salon, je n’avais jamais vu un tel mépris ! », a confié le responsable d’un groupe français. Emmanuel Macron avait tout simplement privatisé le Mondial pendant trois heures, bloquant derrière un important cordon de sécurité des centaines de visiteurs et journalistes venus inaugurer cet événement. Un petit groupe d’accrédités auprès de l’Élysée avait été autorisé à suivre le Président, qui leur a déclaré, selon l’AFP, qu’« il y a un cap, des institutions, un gouvernement au travail, au service du pays et du peuple français… c’est ce qui compte. Le reste, ce sont des péripéties. » Péripéties créées par le caractère impérial du visiteur qui a bien voulu répondre qu’il continuait à conduire. « Le volant, ce sont les Français qui le donnent et ils l’ont donné pour cinq ans à une personne. »

Le ton se veut, volontairement ou pas, toujours arrogant et au-dessus de toute contestation possible. Emmanuel Macron est le chef. Et il aime le faire sentir. Même si, derrière lui, une certaine cheftaine tente de le remettre sur le chemin de la tempérance.

On peut prévoir ce qu’il va déclamer pendant ses futures deux heures d’intervention télévisée. Qu’il a fait, qu’il fait et qu’il va faire de l’excellent travail pour donner au pays (la France, je suppose) le bonheur tant attendu, la prospérité, même si celle-ci va creuser le modeste déficit qui atteindra peut-être les 2.800 milliards en 2022. « Je sais, je suis peut-être un peu cru. J’ai le défaut de dire ce que je pense », etc. Avec son sourire à la George Clooney, il va tenter de nous embobiner avec le talent que les Français ont pensé découvrir pendant sa campagne présidentielle.





Belattar et Macron, unis par la haine de la France et le mépris des Français

Publié le 10 octobre 2018 – par Martin Moisan (Dans Riposte Laïque)

Yassine Belattar a de plus en plus une sale gueule, au fur et à mesure que les années passent. Toute sa haine, sa laideur, sa noirceur, se reflètent sur son visage. C’est cet homme, qui nous hait, que Macron a osé nommer membre du Conseil présidentiel des villes, excusez du peu. Autrement dit, la France va solliciter son avis sur les banlieues.

Ce mec vient pourtant ouvertement de sommer notre pays, et son prochain ministre de l’Intérieur (nous en sommes à dix jours de vacance, après le départ de Gérard Collomb) de se plier aux règles des banlieues, en menaçant ouvertement la France de représailles dans le cas contraire.

Il a parlé d’apartheid, rien de moins, pour protéger son copain le rappeur islamiste qui voulait pendre les Blancs.

Il a insulté grossièrement Éric Zemmour sur les plateaux de télévision, faisant glousser d’aise les journalistes présents.

Il menace de procès quiconque ose lui rappeler quelques vérités, comme l’avocat Gilles-William Goldnadel ou Valeurs Actuelles.

Il a même reproché aux Grandes Gueules d’être responsables de la montée du racisme (contre les musulmans, bien sûr), ce à quoi Marschall a piteusement répondu qu’il avait toujours défendu l’islam et, au lendemain des attentats de Charlie Hebdo, qu’ils avaient fait l’émission dans la mosquée de Bordeaux chez Tareq Oubrou.

Il s’est permis de harceler Albert Chennouf-Meyer, le père d’une des victimes de Merah, qui lui ne défend pas l’islam en prétendant combattre l’islamisme.

Il a été placé en garde à vue pendant quelques heures, le 20 février dernier, aux Mureaux, lors de la visite d’Emmanuel Macron dans cette ville, après avoir insulté des policiers qu’il aurait qualifiés « d’abrutis » et de « bons à rien », ces policiers l’ayant empêché de rejoindre le cortège présidentiel dès lors qu’il se présentait sans invitation.

Les Mureaux : l’humoriste Yassine Belattar en garde à vue – Le Point

Yassine Belattar est également accusé d’avoir menacé d’égorger le journaliste Alexandre Devecchio et sa compagne après avoir traité le journaliste « d’islamophobe » et de « fils de pute ».

Et, cerise sur le gâteau, c’est lui qui présentait, en 2015, le gala du CCIF, dont on connaît les liens avec les Frères Musulmans, et qui ne cache plus sa volonté de transformer la France en terre d’islam.

Précisons qu’il vient des valises du Parti socialiste, qu’il avait voté Royal en 2007, Hollande en 2012 et s’est vendu à son « frère » Macron dont il se vante d’avoir eu le soutien lors d’une polémique que ce charlot avait provoquée avec le journal Marianne.

Parlant de sa pratique religieuse, il affiche clairement la couleur : « Il n’y a pas de modération dans la religion : on est musulman ou on ne l’est pas. »

C’est cet islamiste que Macron a nommé membre du Conseil présidentiel sur les villes. Décidément, Macron, qui passe son temps à insulter les Français des classes populaires, paraît avoir un faible pour les trafiquants noirs et les musulmans haineux qui insultent, eux aussi, la France, la France et les Français. Se souvenir de la manière dont Benalla parlait aux policiers français, à l’Elysée, se sachant protéger par celui que Jean Sobieski a surnommé Choupinet.

C’est cet islamiste que les journalistes invitent fréquemment sur les plateaux de télévision.

C’est cet islamiste que l’institution judiciaire protège. Si nous avions une justice digne de ce nom, suite à ses menaces contre la France, il aurait dû être déféré dans le bureau d’un procureur de la République et être mis en examen, voire incarcéré immédiatement, pour incitation à la haine et appel à l’émeute. Mais c’est beaucoup plus facile de s’en prendre aux Identitaires.

Comment ne pas remarquer la similitude, et la complémentarité, des insultes de Macron vis-à-vis de la France, de ses piliers, de son Histoire et de ses couches populaires.

Depuis l’Algérie, il a accusé notre pays d’avoir commis des crimes contre l’humanité, relayant la version du FLN algérien, alors que dans la réalité, en période de guerre, ce sont les indépendantistes islamistes qui ont commis le plus d’actes de sauvagerie, dans des conditions qui confirment la barbarie de cette mouvance.

Continuant, dans ce registre, à cracher sur l’armée française, il a honoré le traître communiste Audin, responsable de la mort de nombre de Français et complice du FLN.

Puis, depuis l’Angleterre, il a osé nier la réalité de la culture française.

Au Danemark, il a dénoncé ces « Gaulois réfractaires aux réformes ».

En Roumanie, il a rappelé que les Français détestaient les réformes.

En Grèce, il a affirmé qu’il ne céderait rien aux « fainéants et aux hypocrites ».

À la tribune de l’Onu, il a osé dire que la France avait fait « beaucoup de mal ».

En France, à l’occasion de différents déplacements, il a qualifié des Français « d’illettrés », « d’alcooliques » et de « fainéants ».

Jamais un chef d’État, dans l’Histoire de France mais aussi dans le monde, n’a, en si peu de temps, autant sali son pays et ses compatriotes et, qui plus est, depuis l’étranger.

Macron n’est pas un Français de cœur, c’est un citoyen du monde. Son projet politique est de supprimer les frontières, de gommer les identités des peuples et d’imposer un vivre-ensemble suicidaire pour notre civilisation. Il interdit aux Français de défendre leur culture, leur mode de vie et accorde toutes les dérogations aux autres minorités, musulmans en tête. C’est un traître dont le pays devra se débarrasser et qu’il faudra juger.

Belattar est pourtant né à Conflans-Sainte-Honorine, la ville de Rocard, où les socialistes lui ont tout accordé. Il se dit un enfant de la République. Mais c’est d’abord et surtout un enfant de l’islam, un ennemi de la France et de notre modèle laïque, et un copain de Macron. Qui se ressemble s’assemble.

Il fait partie de ces milliers de musulmans, même nés en France, même de nationalité française, qu’il faudra expulser hors de notre pays et envoyer dans un des cinquante-sept pays musulmans que compte le monde.

Sans le moindre état d’âme, tout simplement parce que, quand on a la gangrène, si on n’ampute pas, on meurt.

Donc, pour sauver la France, il faudra la débarrasser de tous les Belattar et de tous les Macron qui la pourrissent et lui crachent dessus matin, midi et soir. Les juger, les virer, les exiler, les chasser, mais ne plus les voir, ne plus les entendre.

Cela s’appelle le Grand nettoyage, et moi je n’attends que cela.

Martin Moisan (dans Riposte Laïque)





Laïcité : le ministère de l’Éducation reçoit pas moins de 30 appels par jour d’enseignants pour des conflits liés à la religion

Si le nombre d’incidents relevés par les profs est stable, certains observent une « radicalisation des pratiques religieuses ».

La plateforme d’appels créée fin mai par le ministère de l’Éducation nationale reçoit pas moins de 30 appels par jour d’enseignants en quête d’aide et de conseils, notamment pour des questions relatives à la laïcité et aux conflits liés à la religion. Dans l’entourage de Jean-Michel Blanquer, on assure que ces professionnels sont écoutés, orientés et pris en charge dans les 24 heures.

Dans ce contexte, le contenu d’une note de synthèse annuelle des renseignements territoriaux, datée de juillet et révélée mardi par Europe 1, n’étonne guère au ministère. Comme d’autres avant celle-ci, la note de quelques pages signale des cas de communautarisme musulman dans les établissements scolaires, en insistant sur le fait que ces cas sont stables. «Les motifs sont de plus en plus inquiétants», estime en revanche la radio, qui prend l’exemple d’élèves refusant d’avoir cours dans une classe comportant du mobilier rouge, jugé « haram », c’est-à-dire interdit par le Coran.

(…) Le Figaro