“En Seine-Saint-Denis 1 habitant sur 2 serait musulman.
Le halal est devenu une évidence, presque une obligation.
Les boucheries traditionnelles ferment et parfois on empêche ceux qui veulent en ouvrir au profit des boucheries halal.” – Fabrice Lhomme
Le parti d’Emmanuel Macron, à sa création, a consacré ses efforts d’élaboration d’un programme politique sur les questions économiques et sociétales, délaissant en général les questions d’identité et de religion. Il est vrai que prendre des positions tranchées sur ces questions est un risque de voir fuir des segments d’électorats qui peuvent s’accorder sur un programme fiscal et de droit du travail, mais pouvant s’opposer sur les questions migratoires ou du traitement sécuritaire du salafisme.
Alors qu’il était encore en campagne, Emmanuel Macron a refusé de condamner les Frères Musulmans de l’UOIF ou les salafistes, les premiers appelant ouvertement à voter pour lui sans que cela ne le fasse réagir. Une fois président, il déclare lors de son interview avec Jean-Pierre Pernaut en avril dernier, qu’il n’existe pas de base légale pour interdire ces deux courants de l’islamisme, et dit s’en remettre à la justice pour traiter les dérapages des prêcheurs extrémistes. Une façon de botter en touche.
Cela dit, une grande partie de ses élus venant du Parti socialiste, il ne fallait pas être grand clerc pour deviner que la complaisance sur le terrain avec les associations musulmanes plus ou moins radicales allait se poursuivre. Déjà, la nomination d’Edouard Philippe validait qu’il n’était pas incompatible d’inaugurer une mosquée des Frères Musulmans ( mosquée Mesjed Ennourdu Havre très proche de l’UOIF), de céder un presbytère appartenant à la mairie pour une école salafiste, et de faire partie des « marcheurs » à responsabilité. Rappelons aussi les 8500 mousses aux chocolats retirées des écoles et jetées par la mairie du Havre au prétexte qu’elles n’étaient pas halal.
Le rappeur Nick Conrad, qui a fait scandale avec sa chanson dans laquelle il disait « Pendez les Blancs », n’est pas poursuivi pour incitation à la haine raciale alors que la loi punit ceux qui provoquent à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une race. La qualification retenue par le parquet de Paris contre Nick Conrad est la « provocation publique à la commission d’un crime ou d’un délit ». Noëlle Lenoir, ancien membre du Conseil constitutionnel, a dénoncé publiquement une omission. Pour elle, Nick Conrad devrait être poursuivi pour incitation à la haine raciale. La défense du rappeur a invoqué « une distanciation grâce à l’art ».
Cette affaire apporte un démenti cinglant à l’idéologie qui prétend que les Blancs sont systématiquement des oppresseurs de minorités. Pour cette doxa, le racisme anti-Blanc ne peut pas exister et seuls les Blancs peuvent être racistes. Le « deux poids, deux mesures » découle de ce positionnement idéologique. Les uns sont accablés en raison de leur race et les autres exonérés en raison de leur race. Il n’y a rien de politiquement correct dans l’idéologie qui se prétend, sans modestie, politiquement correcte. Elle est, en réalité, moralement condamnable et politiquement antirépublicaine. Elle appelle sans vergogne à des discriminations qualifiées de « positives ». Mais elles ne sont pas positives pour ceux qui les subissent (par exemple, les hommes blancs de plus de 50 ans).
Ce rappeur a au moins le mérite de montrer les conséquences de la propagande que nous subissons depuis cinquante ans. Cette idéologie est un cadeau de la gauche libérale américaine des années 60 qui s’est implantée dans les esprits des gauchistes européens. Les Européens de l’Est sont libérés de la propagande communiste. À quand la libération pour les Européens de l’Ouest ?
Publié le 18 octobre 2018 – par Jacques Guillemain (Riposte Laïque)
L’orgueilleux président, le chouchou des médias, adulé par toute la planète au lendemain de son élection, n’est plus qu’un pâle président, mal aimé et désavoué par son peuple. Macron, c’est la grande illusion, un mirage qui s’évapore dans le désert.
À 40 ans et après 18 mois de pouvoir, il est déjà usé, au bout du rouleau. Plus personne ne croit un seul mot de son discours de plus en plus creux.
Tout son discours sur un monde nouveau n’était que du pipeau, une salade de bonimenteur, un calcul sournois pour faire un hold-up sur l’Élysée.
Deux sondages, à 48 heures d’intervalle, montrent que le désamour est total.
Sa pitoyable prestation télévisée a déplu et son remaniement à la marge, après deux semaines de tergiversations, a exaspéré un peu plus les Français.
Le premier sondage, réalisé par l’Ifop, montre que la cote de popularité de Macron a été divisée par deux en 18 mois.
Il déçoit les hommes, les femmes, les jeunes, les vieux, les étudiants, les chefs d’entreprise, les commerçants, les artisans, les cadres, les enseignants, les ouvriers et les retraités.
Dans tous les partis, y compris LREM, sa cote a baissé.
Macron est devenu impopulaire pour près des 3/4 des Français, toutes catégories confondues.
Catalogué d’entrée “président des riches”, il a saigné les retraités et n’a obtenu aucun résultat en matière de chômage.
La France fait deux fois moins bien que ses voisins. La dette continue d’augmenter et atteint 100 % du PIB, la croissance ralentit et le pouvoir d’achat stagne ou diminue.
Ajoutons à cela ses insultes permanentes envers la France et le peuple français, traité de fainéant, d’illettré, d’alcoolique, allant jusqu’à accuser la France de crime contre l’humanité ou encore insultant notre armée pour pratique de la torture !
Aucun chef d’État au monde n’a insulté son propre pays comme le fait régulièrement Macron à l’étranger et même à la tribune de l’ONU ! Il nous salit et nous humilie sans arrêt.
Et que dire de ses frasques lors de la Fête de la musique ou lors de son passage à Saint-Martin ? Que dire de l’affaire Benalla, qui a dévoilé la facette machiavélique de Macron ?
En matière d’immigration et de lutte contre l’insécurité, c’est le naufrage complet.
Comme l’a avoué Gérard Collomb, des pans entiers du territoire sont aux mains des barbus et des narcotrafiquants, au point que la menace de guerre civile est un risque bien réel.
Et l’invasion continue, Macron se disant impuissant à contrer le tsunami venu d’Afrique. Pour lui, les migrations sont une fatalité qu’il faut accepter.
Jusqu’à quand ? Jusqu’à la ruine totale, jusqu’à la désintégration de la nation ?
Macron est immature. Sa jeunesse, loin d’être un atout pour le pays, est un danger. Il est impulsif, colérique et se révèle incapable de se maîtriser dans ses comportements.
Le deuxième sondage, réalisé par Odoxa-Dentsu Consulting, montre que le remaniement est un fiasco. Loin de donner un second souffle au président, il confirme le désamour et la perte de confiance des Français.
65 % des sondés estiment que l’attente de 2 semaines ne se justifiait pas.
60 % ne sont pas satisfaits de ce remaniement.
53 % jugent que le choix de Castaner est une mauvaise décision.
73 % pensent que rien ne changera et que Macron gardera le cap.
C’est d’ailleurs ce qu’a confirmé le président dans sa courte allocution de mardi soir.
Une intervention télévisée totalement ratée. Lumière blafarde, notes raturées, le décor et l’atmosphère allaient de pair avec l’air accablé du président. C’était sinistre.
On a vu un président hésitant, mal à l’aise, cherchant ses mots pour énoncer quelques platitudes sans intérêt où se mêlaient les contradictions et les incohérences.
Et cette séquence n’était pas du direct. Elle fut filmée trois fois !! C’est dire combien le malaise est palpable.
Il prétend écouter le peuple mais l’ignore et le méprise, quand il ne l’insulte pas.
Il prétend redonner sa souveraineté à la France, mais avec plus d’Europe, laquelle nous a confisqué notre souveraineté territoriale, monétaire, budgétaire, judiciaire et même diplomatique.
Un président qui fait passer son idéologie mondialiste et multiculturelle avant les intérêts de la France et des Français n’a pas sa place à l’Élysée.
En conclusion, il est temps que le peuple réagisse et fasse des élections européennes de 2019 un référendum pour ou contre Macron.
70 % des Français sont insatisfaits, qu’ils le prouvent dans les urnes !
Nous venons d’ajouter 34 nouvelles affaires, survenues depuis août 2017, à notre « Chronologie du djihad en France depuis 2015 ».
Nous allons continuer à mettre régulièrement à jour cette « Chronologie du djihad », en y ajoutant au fur et à mesure plus de 500 autres affaires, survenues depuis janvier 2015, que nous avons relevées lors de nos recherches.
Depuis des années, des attentats islamiques, de plus en plus nombreux, frappent nos compatriotes, qu’ils soient civils, policiers ou militaires.
Ces attentats font partie de la guerre permanente que les musulmans doivent mener contre les non-musulmans : le djihad.
Le djihad, c’est le commandement impérieux et impératif fait à tous les musulmans de combattre les non-musulmans (Coran : sourate 9,29), de les tuer (Coran : sourate 4,89 et sourate 8,7), de les égorger et de les décapiter (Coran : sourate 8,12 et sourate 47,4), de les crucifier (Coran : sourate 5,33), de les brûler vif (Coran : sourate 4,56), ce qui doit leur valoir une « récompense immense » (Coran : sourate 4,95).
Ces crimes djihadistes se multiplient et continueront à se multiplier tant que les dirigeants de la France ne se décideront pas à lutter contre l’islam, cette idéologie raciste, antisémite, suprémaciste, totalitaire, exterminatrice, génocidaire, pire que le nazisme.
L’Occident n’a pas le choix : si l’islam n’est pas interdit, et si les musulmans djihadistes ne sont pas expulsés massivement hors de nos pays, les Occidentaux continueront à être massacrés jour après jour au nom de cette idéologie barbare.
Le vrai bilan du djihad en France
Afin de montrer l’ampleur de cette guerre, menée par de nombreux musulmans contre les Français, nous avons compilé la liste la plus complète possible des attentats islamiques commis en France, depuis la fin du mois de décembre 2014.
Cette liste prend en compte non seulement les attentats islamiques reconnus officiellement (quand le parquet antiterroriste est saisi d’une affaire), mais aussi les agressions relevant du « djihad quotidien » qui frappe les Français.
Nous avons donc inclus dans notre chronologie tous les attentats, attaques, agressions, crimes et délits dont on a la preuve que le coupable est un musulman qui a agi au nom de l’islam, que ce soit parce qu’il était fiché S pour « radicalisation », ou parce qu’il a crié « Allah akbar ! » (cri de guerre des djihadistes, qui signifie « Allah est le plus grand ! »), ou parce qu’il s’est revendiqué de l’État Islamique ou d’Al-Qaïda ou d’une autre organisation terroriste musulmane, ou parce qu’il possédait des documents provenant de ces organisations terroristes, ou parce qu’il consultait des sites djihadistes, ou parce qu’il visionnait des vidéos de décapitations, ou parce qu’il a fait l’éloge d’attentats musulmans ou de terroristes musulmans, ou parce qu’il a cité des versets du Coran, ou parce qu’il portait une tenue islamique (djellaba, kami, voile, burka, niqab, hidjab, burkini), ou parce qu’il a évoqué le ramadan, ou parce qu’il a tenu des propos islamiques haineux contre les non-musulmans (en islam, les non-musulmans sont des êtres inférieurs et impurs), ou contre les femmes (en islam, les femmes sont des êtres inférieurs qui doivent être battus) ou contre les homosexuels (en islam, les homosexuels sont des êtres inférieurs qui doivent être tués), ou parce qu’il a attaqué des membres de sa propre famille qui voulaient vivre à l’occidentale.
Nous avons aussi inclus dans cette liste les attentats déjoués (qui prouvent que la menace terroriste est importante et permanente) ; les interpellations de trafiquants d’armes musulmans (qui ont des liens directs ou indirects avec les terroristes) ; les condamnations d’islamistes par la justice française ; les expulsions d’intégristes musulmans étrangers vers leurs pays d’origine ; les fermetures de mosquées pour cause de prêches djihadistes ; les dissolutions d’associations islamiques par la justice ; les conférences interdites d’intégristes musulmans ; les occupations de rues pour y prier illégalement (qui ne sont rien d’autre que des mini-califats implantés ponctuellement sur la terre de France) ; les invasions, occupations et profanations d’églises et de chapelles par des immigrés musulmans, clandestins ou non ; les menaces contre des caricaturistes, journalistes ou essayistes ayant critiqué l’islam ; les découvertes d’islamistes dans la police, dans la gendarmerie, dans l’armée, dans l’Éducation Nationale, dans les diverses administrations, dans le personnel des aéroports, à l’Assemblée Nationale, au Sénat, dans les partis politiques (qui prouvent à quel point tous les milieux sont infiltrés par ces ennemis du peuple français).
Nous invitons les lecteurs, qui auraient connaissance d’un crime musulman commis en France après décembre 2014 et ne figurant pas dans notre chronologie, à nous en faire part, dans la rubrique des commentaires, afin que nous puissions la compléter.
Nous vous invitons aussi à diffuser cet article le plus largement possible, car il est important que nos compatriotes puissent se rendre compte de l’ampleur de la guerre quotidienne menée contre la France et les Français par de nombreux musulmans.
Bien entendu, les bilans présentés ci-dessous comptabilisent uniquement les personnes tuées ou blessées par des terroristes musulmans. À l’inverse des pratiques de certains médias pervers, nous n’avons pas inclus les terroristes abattus ou blessés par les forces de sécurité françaises parmi les victimes de ces attentats et agressions islamiques.
Chronologie du djihad en France en 2015
20 décembre 2014 (Joué-lès-Tours)
Un musulman burundais, hurlant « Allah akbar ! », poignarde et tente d’égorger des policiers dans leur commissariat.
Deux musulmans d’origine algérienne, hurlant « Allah akbar ! », « C’est Al-Qaïda au Yémen ! » et « Nous avons vengé le prophète ! », assassinent 8 journalistes de l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, ainsi que 2 autres civils et 2 policiers, dans le 11e arrondissement.
Un musulman crie « Vive les assassins de la police ! », au passage d’une patrouille de police, quelques heures après l’attentat contre Charlie Hebdo lors duquel deux policiers ont été assassinés.
Un musulman maghrébin, armé d’une machette et hurlant « Allah akbar ! », menace de mort un militaire, après avoir mentionné l’attentat contre Charlie Hebdo.
Un musulman d’origine malienne, qui s’apprêtait à attaquer une école juive, tire sur une policière et un agent municipal, puis fait exploser une voiture.
Deux musulmans foncent avec leur scooter sur des militaires en faction devant une synagogue, en hurlant « Kouachi, Kouachi ! » (nom des terroristes auteurs de l’attentat contre Charlie Hebdo).
Quatre musulmans renversent une policière avec leur voiture, devant l’Élysée, conformément aux ordres de l’État Islamique demandant aux musulmans d’écraser les Français avec des véhicules.
Un musulman entre dans une boulangerie, fait l’éloge des frères Kouachi et d’Amedy Coulibaly (terroristes auteurs de l’attentat contre Charlie Hebdo le 7 janvier et de l’attentat contre la supérette casher le 9 janvier), puis menace de mort un homme âgé en hurlant « Je vais te crever ! » et « Je vais bientôt rejoindre Allah ! ».
Un musulman marocain, hurlant « Allah akbar ! », menace la gérante d’un café, puis l’insulte en la traitant de « sale Française », de « mécréante » et de « chienne ».
Un musulman d’origine malienne poignarde trois militaires, qui sont en faction devant un centre communautaire juif, conformément à une vidéo de l’État Islamique demandant aux musulmans de « tuer à l’aide d’un couteau un policier ou un militaire ».
Un musulman maghrébin, hurlant son soutien aux auteurs des attentats de Charlie Hebdo et à l’État Islamique et proférant des insultes antisémites, attaque deux chauffeurs de bus avec un tournevis.
Un musulman algérien assassine une femme, au cours de la préparation d’un attentat contre les églises de Villejuif. Lors de son interrogatoire, il révèle qu’il projetait aussi d’attaquer le Sacré-Cœur et un train rempli de voyageurs afin de « tuer au moins 150 mécréants ».
Un musulman d’origine algéro-marocaine décapite un chef d’entreprise, accroche sa tête au grillage entourant une usine de gaz industriels, entre deux drapeaux noirs sur lesquels est écrite en arabe la « shahada » (profession de foi islamique), puis pénètre dans l’enceinte de l’usine et y fait exploser des bonbonnes de gaz en hurlant « Allah akbar ! ».
Un musulman maghrébin menace de décapiter des employés d’une société HLM, conformément aux pratiques de l’État Islamique et au Coran (sourate 8,12 et sourate 47,4).
13 juillet 2015 (Bouches-du-Rhône, Rhône, Yvelines)
Quatre musulmans maghrébins, qui préparent des attentats contre les installations militaires du Fort Béar, à Port-Vendres, et qui veulent y décapiter un militaire gradé et filmer ce crime, sont interpellés.
Un musulman marocain, qui prépare un attentat contre une ou plusieurs salles de concert en France, « pour faire un maximum de victimes », est interpellé.
21 août 2015 (train Thalys reliant Amsterdam à Paris)
Un musulman marocain, muni de plusieurs armes à feu, tente d’assassiner des civils occidentaux dans un train Thalys, alors que celui-ci traverse la commune d’Oignies, dans le Pas-de-Calais. Il est désarmé par des passagers français, américains et anglais.
Dix musulmans d’origines marocaines et algériennes font exploser des bombes devant le Stade de France à Saint-Denis, puis tirent sur des centaines de civils occidentaux avec des armes à feu, dans la salle de spectacle du Bataclan et aux terrasses de restaurants, dans les 10e et 11e arrondissements.
Bilan : 130 morts, 413 blessés (dont 99 grièvement).
15-16 novembre 2015 (Lyon, Grenoble)
Douze musulmans, qui fournissent des armes à des terroristes, sont interpellés. Un lance-roquettes, des pistolets automatiques, plusieurs kalachnikovs, des munitions, des treillis militaires, des gilets pare-balles et des brassards de police sont saisis.
Trois musulmans d’origine marocaine, membres de la cellule terroriste qui a commis l’attentat contre le Bataclan, sont éliminés lors d’une opération antiterroriste, au cours de laquelle cinq policiers sont blessés.
Trois musulmans maghrébins, dont l’un porte un tee-shirt orné du logo de l’État Islamique et dont un autre se réclame du terroriste Mohamed Merah, poignardent un professeur d’une école juive du 13e arrondissement.
Un musulman maghrébin téléphone quinze fois au commissariat en faisant l’éloge de l’État Islamique et de l’attentat contre les journalistes de Charlie Hebdo, puis menace de « faire péter » le bâtiment.
Un musulman marocain, en situation irrégulière, est interpellé lors de perquisitions menées dans les milieux islamistes et chez des musulmans faisant la promotion du djihad.
Un musulman, qui menace les passants avec un pistolet à plomb, en hurlant « Je suis musulman, je vais tous vous tuer ! », est interpellé. Trois jours plus tard, il est condamné à un an de prison ferme, en comparution immédiate.
Un musulman d’origine maghrébine, très pratiquant, dont la femme est voilée, est interpellé après avoir été repéré en train de prier sur une piste d’athlétisme. Dans sa voiture, les policiers découvrent une photo de Salah Abdeslam (terroriste qui a planifié l’attentat contre le Bataclan), accrochée sur le pare-soleil. Lors de la perquisition de son appartement, des pistolets et carabines chargés et prêts à tirer son saisis, ainsi que plus de 500 munitions, une machette, une tenue militaire et un sabre orné de la « shahada » (profession de foi islamique).
Un couple de musulmans, dont l’homme est d’origine tchadienne, qui préparent un attentat kamikaze à l’aide d’un faux ventre de femme enceinte, est interpellé.
Un musulman d’origine tunisienne, hurlant « Allah akbar ! », fonce avec sa voiture sur quatre militaires qui étaient en faction devant la mosquée de Valence. Des vidéos de propagande de l’État Islamique sont découvertes sur son ordinateur.
Un musulman tunisien, armé d’un couteau de boucher et portant une ceinture d’explosifs factice, qui tente de pénétrer dans un commissariat du 18e arrondissement, en hurlant « Allah akbar ! », est abattu par les policiers, qui trouvent sur son cadavre un drapeau de l’État Islamique et un texte de revendication en arabe dans lequel il prête allégeance au chef de cette organisation terroriste.
Un adolescent musulman turc attaque à coups de machettes un enseignant juif et tente de l’égorger, dans le 9e arrondissement. Il déclare, aux policiers qui l’ont interpellé : « J’ai honte de ne pas l’avoir tué ».
Six musulmans maghrébins, connus des services de police pour leur allégeance à l’État Islamique et pour des appels au djihad, et dont deux d’entre eux cherchent à se procurer des armes afin d’attaquer un club échangiste, sont interpellés.
Un musulman d’origine algérienne, qui prépare un attentat en France, est interpellé. Lors de la perquisition de son appartement, des explosifs, des armes de poing et une kalachnikov sont saisis.
Un musulman d’origine algérienne, fiché S, déjà condamné 15 fois, qui prépare un attentat au couteau contre une synagogue de Marseille pour « tuer au minimum trois juifs », et qui a prêté allégeance à l’État Islamique, hurle « Allah akbar ! L’État Islamique restera ! » à plusieurs reprises lors de son interpellation et lance aux policiers : « Le Coran dit qu’il faut vous tuer, vous avez bien fait de prendre mes couteaux parce que j’avais prévu de m’en servir pour découper vos enfants ».
Un musulman tunisien, en situation irrégulière, agresse la serveuse d’un bar et menace de l’égorger, en lui reprochant de servir de l’alcool pendant le ramadan.
Un musulman, fiché S, membre du Front al-Nosra (organisation terroriste affiliée à Al-Qaïda), qui prépare un attentat contre des touristes et des policiers, pour « fêter le ramadan », est interpellé en possession d’un marteau et d’un couteau. Un fusil et une machette sont découverts à son domicile.
Deux musulmans volent le drapeau français du commissariat, puis taguent la profession de foi en arabe de l’État Islamique sur la bibliothèque, le centre commercial et la mairie.
Un musulman tunisien écrase des centaines de civils occidentaux avec un poids-lourd, sur la Promenade des Anglais, à l’issue du feu d’artifice de la fête nationale.
Un musulman en djellaba, qui hurle « Allah akbar ! » et « Je vais tous vous tuer ! » en direction des touristes, sur une plage normande, est interpellé.
Un adolescent musulman afghan poignarde un de ses éducateurs dans un camping, après avoir expliqué que, dans son pays d’origine, c’est une pratique islamique normale que d’utiliser des couteaux pour régler ses comptes.
Un musulman étranger en djellaba, qui a tenté de pénétrer dans l’École militaire, dans le 7e arrondissement, puis qui a déposé une valise devant les grilles de l’institution en faisant une prière islamique, est interpellé.
Un musulman marocain poignarde une femme et ses trois filles, dans un camp de vacances des Hautes-Alpes, en leur reprochant leur tenue « trop légère », conformément au Coran, qui exige que les femmes couvrent leur corps (sourate 24,31 et sourate 33,59). Placé en garde à vue, il hurle à trois reprises « Allah akbar ! ».
Une musulmane d’origine étrangère, qui s’est écriée « Les attentats de Nice, c’est bien fait pour vous les Français ! », dans les locaux de la sous-préfecture, est interpellée.
Un musulman d’origine marocaine, porteur d’un couteau à cran d’arrêt, menace un couple dans la rue, hurle « Allah akbar ! » et se déclare prêt à commettre un attentat.
Deux musulmans d’origine algérienne égorgent un prêtre catholique de 86 ans et poignardent des paroissiens, lors d’une messe dans l’église Saint-Étienne.
Un musulman, armé d’une carabine à air comprimé, tire plusieurs coups sur une voiture et son conducteur, puis sur une caserne de pompiers, en hurlant « Vive Daech ! ».
Un musulman agresse les policiers qui l’ont interpellé pour un contrôle d’alcoolémie, en hurlant « Je suis Daech, je suis armé, je vais vous exploser ! ».
Un musulman maghrébin hurle une dizaine de fois « Allah akbar ! Je vais tout faire sauter ! » en mettant la main dans sa sacoche, dans la Caisse d’allocations familiales du 14e arrondissement.
Une adolescente musulmane, qui relaye des appels à la réalisation d’attentats et exprime son intention de passer à l’acte, sur la messagerie Telegram, est interpellée.
D’après des SMS envoyés à ses complices musulmans par le terroriste auteur de l’attentat du 14 juillet à Nice, un deuxième attentat devait avoir lieu le 15 août 2016, dans cette ville.
Un musulman, originaire de Mayotte, hurlant des propos islamistes et des mots en arabe, défonce la porte d’une maison isolée puis tente d’étrangler les deux retraités qui y vivent.
Un musulman algérien, qui veut commettre un attentat lors de la fête de la Saint-Louis, pour « faire un carnage », renonce en raison de la présence de militaires déployés après l’attentat du 14 juillet à Nice.
Un musulman, hurlant « Allah akbar ! », poignarde au thorax un sexagénaire juif portant la kippa. En 2010, il avait déjà poignardé un quadragénaire juif portant la kippa, ce qui lui avait valu une mise en examen pour tentative de meurtre.
Un musulman, hurlant « Allah akbar ! », agresse un groupe de plaisanciers à coups de poings et de pieds, sur un bateau du Vieux-Port, puis les pousse dans l’eau et les frappe à coups de gaffe. Il attaque ensuite un vigile, des pompiers et des policiers venus l’interpeller. Dans son sac sont retrouvés deux Coran et un livre en arabe.
Un musulman algérien, armé d’un couteau de cuisine, saute au cou d’un adjoint de sécurité et tente de lui trancher la gorge en hurlant des insultes racistes contre la France, dans un commissariat du centre-ville.
Deux musulmans marocains, qui sont en contact avec un dirigeant de l’État Islamique, et qui préparent des attentats contre des brasseries et des discothèques de Metz, avouent leurs projets aux agents de la Sûreté nationale du Maroc, vers lequel les autorités françaises viennent de les extrader.
Deux musulmanes, fichées S, qui ont fait allégeance à l’État Islamique, tentent de faire exploser une voiture contenant six bonbonnes de gaz et trois bouteilles de gazole près de la cathédrale Notre-Dame, puis tentent de commettre un attentat kamikaze dans la gare de Lyon.
Une des deux musulmanes qui ont tenté de faire exploser une voiture près de la cathédrale Notre-Dame de Paris, et qui est en fuite en compagnie d’un musulman complice, est interpellée.
La deuxième des musulmanes qui ont tenté de faire exploser une voiture près de la cathédrale Notre-Dame de Paris, ainsi que deux autres musulmanes complices, hurlent « Allah akbar ! » et blessent un policier avec un couteau, lors de leur interpellation.
Un adolescent musulman d’origine antillaise, qui prépare un attentat au couteau dans le 12e arrondissement, pour « tuer tout un tas de kouffars » (non-musulmans impurs), est interpellé.
Un adolescent musulman, qui est en contact avec des terroristes de l’État Islamique, et qui s’est proposé pour commettre un attentat au couteau, est interpellé.
Un musulman, fiché S, qui a un comportement suspect à proximité de la Faculté de droit, est interpellé, après quoi l’Université est fermée pendant une journée, afin que les démineurs puissent intervenir.
Un musulman maghrébin, qui incitait d’autres musulmans à commettre des attentats, sur la messagerie Telegram, et qui possédait des vidéos de décapitations, est condamné à quatre ans d’emprisonnement dont deux ans ferme.
Un couple de musulmans, qui sont en contact avec des terroristes de l’État Islamique, sur la messagerie Telegram, et qui préparent un attentat, est interpellé.
Sept musulmans d’origines tunisiennes, marocaines et afghane, qui préparent des attentats simultanés, sont interpellés. Quatre d’entre eux, appartenant au commando de Strasbourg, prévoyaient d’attaquer plusieurs cibles parisiennes (le siège de la Police judiciaire, le marché de Noël des Champs-Élysées, le parc d’attractions Disneyland Paris, des terrasses de cafés, une station de métro parisien et plusieurs lieux de cultes). Les trois autres, appartenant au commando de Marseille, prévoyaient d’attaquer des marchés de Noël dans cette ville.
Un musulman tunisien, qui a crié qu’il veut « se battre aux côtés de Daech » et « aller à Nice égorger des Français et finir le travail », dans un TGV puis dans un hôpital, est condamné à six mois de prison ferme.
Un musulman afghan, qui vient d’être mis à la porte par l’homme qui l’hébergeait, parce qu’il passait son temps à regarder des vidéos de l’État Islamique, menace les policiers venus l’interpeller et insulte la France.
Un musulman d’origine maghrébine, dont le casier judiciaire comporte 67 mentions, menace les policiers venus l’interpeller pour une agression sexuelle. Emmené à l’hôpital, il hurle « Vous êtes des mécréants ! Je vais revenir et faire sauter l’hôpital ! Allah akbar ! ».
Trois musulmans, dont un d’origine algérienne, et une musulmane, d’origine croate, qui préparent un attentat pour « faire sauter la Tour Eiffel », sont interpellés.
Une musulmane insulte des policiers, leur crache au visage, les menace de mort, et crie : « Toi et ta collègue, vous êtes morts ! Sur le Coran, je vous tue ! ».
Un musulman d’origine étrangère, qui est en contact avec des terroristes de l’État Islamique, et qui cherche à se procurer des armes et des explosifs afin de commettre un attentat contre le métro de Lille et de « tuer des policiers, des militaires et même des civils », est interpellé.
Une bande de musulmans d’origine maghrébine attaque deux frères juifs qui portent la kippa, à coups de poings et de pieds, en hurlant « On va vous tuer sales juifs ! », puis tentent de leur couper les doigts avec une scie à métaux, conformément au Coran qui dit aux musulmans de trancher les doigts des « mécréants » (sourate 8,12).
Deux musulmans, qui sont en contact avec la cellule terroriste démantelée à Montpellier le 10 février, et qui fabriquent des explosifs afin de commettre un attentat, sont interpellés.
Trois adolescentes musulmanes, qui sont en contact avec des terroristes de l’État Islamique, sur la messagerie Telegram, et qui préparent un attentat, sont interpellées.
Un musulman, déjà condamné à 25 reprises, agresse une lycéenne dans un bus, lui crache dessus et la frappe à plusieurs reprises à la tête, en hurlant « Mes sœurs sont mieux que toi, elles portent le voile, elles ! ».
Un musulman étranger poignarde un technicien venu faire des réparations dans le foyer d’immigrés où il vit, en hurlant « Par Allah, tu vas mourir ! Dommage que ce soit tombé sur toi ! ». Dans sa chambre, les policiers découvrent 22 livres islamiques et un magazine sur Ben Laden.
Un musulman barbu en djellaba, hurlant « Allah akbar ! », égorge son père et son frère, parce qu’ils l’ont signalé aux autorités pour radicalisation. Quand la police arrive, il est en train de réciter des prières islamiques à côté des cadavres.
Un musulman d’origine tunisienne ouvre le feu sur des policiers lors d’un contrôle à Stains ; peu après, à Vitry-sur-Seine, il entre dans un bar, menace de prendre des clients en otages « au nom d’Allah » et tire une dizaine de coups de feu ; une heure plus tard, à Orly, il attaque des militaires et en prend une en otage, en hurlant « Je suis là pour mourir par Allah ! ».
Une musulmane d’origine maghrébine agresse à coups de marteau le Grand-Maître du Grand Orient de France et l’asperge d’essence, en hurlant des propos antisémites, dans le 9e arrondissement.
Une musulmane « radicalisée », qui porte un voile islamique et dissimule son visage avec une écharpe, entre dans une église et dans plusieurs boutiques, un couteau à la main, avant d’être interpellée.
Un musulman d’origine malienne, hurlant « Allah akbar ! », pénètre par effraction dans l’appartement d’une vieille femme juive, la torture pendant plus d’une heure en hurlant des versets du Coran en français et en arabe, puis la jette depuis le balcon.
Le maire interpelle publiquement le ministre de l’Intérieur sur le cas d’un musulman, fiché S, qui est membre du conseil d’administration de l’association qui gère la mosquée En-Nour, financée par l’Arabie Saoudite.
Une musulmane intégralement voilée frappe violemment une jeune femme à la tête, dans la gare, puis frappe violemment une autre jeune femme en hurlant qu’elle est le diable, dans une station de métro.
Une mosquée est fermée par arrêté préfectoral, suite à la découverte de tracts contenant des appels à la haine contre la France et soutenant le terrorisme.
Un musulman tire un coup de feu en l’air avec un fusil de chasse, devant l’entrée d’une galerie commerciale, après avoir hurlé à plusieurs reprises « Allah akbar ! ».
Un musulman d’origine égyptienne, qui s’était déclaré en faveur de l’application de la charia et de la lapidation des femmes adultères, est interpellé avant une conférence à laquelle il devait participer et expulsé hors de France.
Un musulman algérien, imam de la mosquée de Torcy, professeur de mathématiques dans un lycée de la ville, est suspendu par le ministère de l’Éducation nationale, pour avoir fait du prosélytisme auprès de ses élèves et pour avoir légitimé le djihad.
Deux musulmans, dont l’un est d’origine algérienne, qui veulent assassiner un candidat à l’élection présidentielle et qui ont accumulé un arsenal d’explosifs, d’armes et de munitions ainsi qu’un drapeau de l’État Islamique, sont interpellés.
Un musulman algérien, membre d’une filière de recrutement de djihadistes pour l’État Islamique, qui avait fabriqué trois bombes et qui préparait un attentat dans la région de Nice, passe en jugement. Il avait déclaré : « Si je ne peux pas faire le djihad en terre d’islam, je le ferai en France ! ».
Au même moment, un musulman d’origine étrangère, en situation irrégulière, attaque un militaire et tente de lui voler son arme, dans une station de métro du 2e arrondissement.
Trois musulmans menacent de mort des policiers, et crient « Je vais vous planter ! Je vais vous tuer si vous ne vous barrez pas ! Vous méritez de crever, comme à Paris ! », quelques heures après l’attentat des Champs-Élysées.
Le tribunal administratif de Melun confirme la fermeture de la mosquée, fermée depuis le 10 avril parce qu’elle était devenue depuis plusieurs années « un lieu de culte où étaient prônées une idéologie radicale ainsi que des incitations au djihad armé ».
Un musulman algérien, chargé par l’État Islamique de mettre en place une filière d’acheminement de djihadistes parmi les flots de « migrants », est remis par l’Allemagne aux autorités françaises, qui l’emprisonnent.
Un musulman téléphone au commissariat et menace les policiers : « Je vais aller en Syrie et je vais revenir avec une kalachnikov et je vais tous vous rafler ! Je suis bien content que l’autre bâtard de flic soit mort par mes frères ! », en référence à l’attentat des Champs-Élysées du 20 avril.
Un musulman, qui brandit un Coran, hurle « Allah akbar ! » dans un bus, puis agresse l’institutrice de son fils, puis mord à l’épaule un policier lors de son interpellation.
Un musulman d’origine maghrébine, au casier judiciaire déjà très chargé, fonce avec sa voiture sur des policiers, qui stoppent le véhicule en lui tirant dessus. Lors de son interpellation, il menace de mort les policiers et crie : « La vengeance sera terrible ! C’est facile de se procurer des armes ! Un coup de kalach sur le commissariat et je peux tuer une rafale de policiers ! De toute façon, je hais la police ! ».
Quatre musulmans, en contact avec les terroristes qui voulaient assassiner un candidat à l’élection présidentielle et qui ont été emprisonnés le 18 avril, sont interpellés.
Un musulman d’origine algérienne, fils d’un terroriste expulsé de France après l’attentat contre le RER B à la station Saint-Michel en 1995, est jugé pour avoir menacé de mort une policière, une directrice de centre de réinsertion et des employés pénitentiaires, quelques jours auparavant. Parmi ses menaces : « Je vais te tuer, te mettre dans un hachoir, te manger, et boire tout ! (…) Je vais revenir avec une kalachnikov et Noisy-le-Grand va être comme les Champs-Élysées ! Boum ! ».
Un musulman, qui fait l’apologie du terrorisme sur Internet, et qui possède des produits permettant la fabrication d’explosifs, tire sur des policiers, lors de son interpellation.
Un musulman algérien, père du terroriste auteur de l’attentat sur les Champs-Élysées le 20 avril, qui a menacé de mort des policiers dans un commissariat, est interpellé.
30 avril 2017 (train TGV reliant Marne-la-Vallée à Marseille)
Un musulman, qui proclame son soutien au djihad, et qui a proféré des menaces de mort contre les contrôleurs, est interpellé par les policiers lors de l’arrêt à Lyon.
Un musulman refuse d’être soigné par une femme, puis menace de mort les médecins et les infirmières et hurle « Vive Daech ! », dans le service des urgences d’une clinique.
Un musulman menace de mort des policiers qui l’interrogent, puis crie « Espèce de fils de pute, je vais te crever toi, ta femme et tes gosses ! J’ai une kalach ! Nous les Arabes, avec Daech, on violera vos femmes et on les tuera ! ».
Cinq musulmans, qui diffusent sur les réseaux sociaux des vidéos de propagande pour l’État Islamique, à la gloire des terroristes auteurs des attentats du Bataclan, de Saint-Étienne-du-Rouvray et de Magnanville, et qui ont réalisé une vidéo d’allégeance à cette organisation terroriste en vue d’un attentat, sont interpellés.
Un musulman se prosterne dans la rue en hurlant « Allah akbar ! » et en faisant des prières islamiques. En arrivant à son domicile pour l’interpeller, les policiers découvrent qu’il vient de poignarder son compagnon « sur ordre d’Allah » pour « expier » son homosexualité.
Un musulman, fiché S, qui falsifiait des promesses d’embauche, des feuilles d’imposition, des quittances de loyer, des contrats de travail, des permis de conduire, pour permettre à des immigrés clandestins d’obtenir un titre de séjour, est condamné.
Deux musulmanes, qui se réjouissent sur les réseaux sociaux que des enfants aient été tués dans l’attentat de Manchester du 22 mai, et qui sont en contact avec des terroristes de l’État Islamique, et qui ont affirmé être « prêtes à passer à l’action », sont interpellées.
Une dizaine de musulmanes, qui voulaient se baigner en burkini sous la direction d’un islamiste algérien, malgré une interdiction préfectorale, sont interpellées.
Un musulman d’origine algérienne menace de mort ses voisins homosexuels, déclarant qu’il va les « buter », les « arroser », les « rafaler », les « exterminer », conformément au Coran qui punit de mort l’homosexualité (sourate 7,80-84 ; sourate 26,165-166 et sourate 29,28-30).
Un musulman d’origine algérienne frappe une policière au visage avec une ceinture, puis insulte les deux policiers qui l’interpellent. Jugé en comparution immédiate deux jours plus tard, il déclare : « Je ne voulais surtout pas être contrôlé pendant le ramadan, ni être arrêté par une femme ! ».
Quatre musulmans et deux musulmanes, dont plusieurs d’origine algérienne, qui ont apporté une aide financière et logistique à des candidats au djihad pour rejoindre la zone irako-syrienne contrôlée par l’État Islamique et pour en revenir, sont interpellés.
Deux musulmans d’origine algérienne attaquent un couple d’automobilistes à coups de batte de base-ball, de latte, de couteau et de poings, et détruisent leur voiture dans laquelle se trouve leur nouveau-né. Après leur interpellation, l’un d’eux déclare : « C’était pendant le ramadan, je ne me sentais pas bien, on voulait juste lui faire peur ».
Un musulman en djellaba poignarde avec un long couteau un client qui sort d’un Monoprix, dans le 13e arrondissement, parce qu’il venait d’acheter un pack de bière en plein ramadan.
Les locaux de l’ONG musulmane Baraka City et l’appartement de son président salafiste sont perquisitionnés dans le cadre d’une enquête pour financement du terrorisme. En janvier 2016, sur le plateau de Canal+, son président avait refusé de condamner les attentats commis en France par l’État Islamique.
30 mai 2017 (Lagny-sur-Marne, Champigny-sur-Marne)
Trois musulmans, dont deux d’origine maghrébine, membres d’un réseau de recrutement de djihadistes pour l’État Islamique, créé par un ancien imam local, sont interpellés.
Un musulman à scooter double une voiture de police, en faisant un doigt d’honneur et en hurlant « Je vais prendre une voiture-bélier comme à Nice ! ». Le surlendemain, il menace les mêmes policiers, en hurlant qu’il va « tout faire sauter quand le ramadan sera fini ! ».
Un musulman algérien attaque à coups de marteau des policiers, sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame, en hurlant qu’il est « un soldat du califat ». Lors d’une perquisition, une vidéo d’allégeance à l’État Islamique est retrouvée à son domicile.
Un musulman vole plusieurs dizaines d’euros à une septuagénaire à son domicile, puis la viole en faisant référence à l’islam, avant de prendre la fuite.
Un musulman, qui multiplie les menaces envers le personnel d’un hôpital depuis le 4 juin, et qui a crié à cinq reprises qu’il va « faire venir le djihad » et « tuer vos enfants », est interpellé.
Un musulman d’origine marocaine, fiché S, poignarde à plusieurs reprises un agriculteur avec un grand couteau, en hurlant « Allah akbar ! ». Il était déjà poursuivi pour diffusion d’images à caractère terroriste, ayant envoyé des vidéos de décapitations sur la messagerie Whatsapp.
Un musulman d’origine tunisienne, fiché S, fonce avec sa voiture sur des gendarmes, sur les Champs-Élysées. Une bonbonne de gaz, une kalachnikov, deux armes de poing et un important stock de munitions sont retrouvés dans le véhicule.
Des parents de musulmans, partis rejoindre les terroristes de l’État Islamique dans la zone irako-syrienne, sont mis en examen pour avoir détourné de l’argent d’une association d’aide aux parents de djihadistes et l’avoir envoyé à leurs enfants.
Un musulman d’origine africaine, gardien de la paix, soupçonné d’avoir aidé son frère impliqué dans une filière djihadiste et d’être partisan de l’État Islamique, est interpellé et mis en examen pour association de malfaiteurs et escroquerie en lien avec une entreprise terroriste.
Un musulman, qui hurle « Allah akbar ! » dans un parc, en écoutant des sourates du Coran sur son téléphone portable, insulte les policiers venus l’interpeller, les traite de « kouffars » (non-musulmans impurs) et crie qu’ils vont « tous mourir ».
Un musulman, qui est en contact avec des terroristes de l’État Islamique, sur la messagerie Telegram, et qui possède plus de 3000 documents de propagande de cette organisation terroriste, dont des vidéos de décapitations et des fichiers audios appelant à commettre des attentats, est interpellé.
Un musulman d’origine algérienne, chef d’une cellule terroriste des Kamikaze Riders (gang de motards musulmans partisans du djihad) qui prépare un attentat, est interpellé, en même temps que la police belge démantèle le reste du réseau, à Anderlecht.
Un musulman en djellaba, muni d’un couteau à longue lame et d’un Coran, attaque les policiers venus l’interpeller à son domicile, en hurlant « Allah akbar ! ».
Un musulman, depuis son balcon, menace de mort des policiers, puis déclare être armé et vouloir leur tirer dessus afin de les tuer pour « venger les frères Kouachi » « au nom d’Allah ! ».
Un musulman tchétchène menace une vendeuse avec un couteau, exige que son mari prononce la « shahada » (profession de foi islamique) qu’il ne connaît pas, demande à la vendeuse si elle veut qu’il tue son mari afin qu’elle devienne sa troisième épouse, annonce son intention de partir en Syrie pour se battre dans les rangs de l’État Islamique, et ajoute : « Je m’en fous d’être fiché S, la France est un pays de merde, dans trente ans il n’y aura plus de « kouffars » (non-musulmans impurs), il n’y aura que des musulmans ! ».
Un musulman hurle dans la rue « Allah akbar ! », « C’est bien fait pour Charlie Hebdo ! », « Je vais tuer tous les Français ! ». Il est interpellé alors qu’il écoute des versets coraniques dans sa voiture.
Un musulman, père d’un délinquant qui s’est tué le 30 juillet après avoir foncé avec sa voiture sur des policiers, s’agenouille au milieu de la chaussée lors d’une « marche blanche » et hurle plusieurs fois « Allah akbar ! », au milieu d’insultes lancées par des participants en direction des policiers présents.
Un musulman mauritanien, hurlant « Allah akbar ! » et armé d’un couteau, attaque des militaires au pied de la Tour Eiffel. Après son interpellation, il déclare avoir agi au nom de l’État Islamique.
Un musulman algérien fonce avec une voiture sur des militaires, renversant six d’entre eux. Quelques heures après, lors de son interpellation sur une autoroute du Pas-de-Calais, un policier est blessé.
Un musulman de 72 ans étrangle une femme avec la bandoulière de son sac à main, parce qu’elle s’était abritée sous le hall de sa mosquée pour allumer une cigarette à l’abri du vent.
Un musulman maghrébin, déjà condamné à 8 reprises, fonce avec sa voiture sur un Abribus, blessant une femme, puis fonce sur un deuxième Abribus, tuant une autre femme, conformément au dernier communiqué de l’État Islamique prônant l’utilisation de véhicules pour tuer les Occidentaux.
Un musulman, emmené au commissariat après avoir volé un scooter, frappe les policiers, en hurlant : « Je vais faire comme Daech, comme le Bataclan et comme les frères Kouachi ! ».
Un musulman afghan bondit sur une policière en faction dans le hall de l’hôtel de police et tente de s’emparer de son pistolet-mitrailleur, avant d’être maîtrisé par cinq autres policiers.
Un musulman, qui a déjà 16 mentions dans son casier judiciaire, dont 4 condamnations, attaque des passants dans la rue, puis les policiers venus l’interpeller, en hurlant « Allah akbar ! ».
Un enfant musulman attaque une fillette juive hémophile de 10 ans, à coups de pieds et de poings, en hurlant « Je ne t’aime pas parce que tu es juive ! » et « Ne prononce pas mon nom Ismaël, car c’est le nom d’un prophète ! », dans une école primaire du 18e arrondissement.
Un musulman tunisien, en situation irrégulière, déjà interpellé pour une dizaine d’affaires, assassine deux étudiantes à coups de couteau, en hurlant « Allah akbar ! », devant la gare Saint-Charles.
Un musulman marocain, en situation irrégulière, lacère le visage de sa femme à coups de couteau, parce qu’il la soupçonne d’adultère, et déclare qu’il a fait « ce que chaque homme doit faire dans un tel cas », conformément au Coran qui punit l’adultère (sourate 24:2).
Un couple de musulmans, aidés par leurs deux fils, frappent l’éducateur de leur fille, l’enlèvent, la séquestrent et la frappent pendant trois jours, parce qu’elle veut vivre à l’occidentale.
Un musulman maghrébin, incarcéré plusieurs fois par le passé, fonce avec sa voiture sur trois étudiants, hurle « Je suis en mission » lors de son interpellation, puis avoue avoir planifié son acte « depuis un mois ».
Un détenu musulman, ancien membre d’Al-Qaïda, condamné à 18 ans de prison pour terrorisme, poignarde trois surveillants pénitentiaires, en hurlant « Allah akbar ! ».
Un détenu musulman maghrébin, signalé comme radicalisé, aidé par trois autres détenus musulmans, tente de trancher la gorge de deux surveillants pénitentiaires, en hurlant « Allah akbar ! ».
Un musulman s’introduit dans une voiture conduite par une femme, la menace avec une bouteille en verre et la prend en otage, en hurlant « Allah akbar ! ».
Un chauffeur de taxi musulman insulte un passager israélien juif, le prend en otage, hurle « Je vais te montrer ce que les musulmans font à des gens comme toi ! », et tente de le poignarder, le forçant à sauter du véhicule en marche.
Un musulman d’origine maghrébine, qui sort de prison et bénéficie d’un sursis avec mise à l’épreuve, poignarde une vieille femme juive dans son appartement et brûle son corps, en hurlant « Allah akbar ! ».
Un musulman marocain, fiché S, déjà condamné à deux reprises, vole une voiture à Carcassonne, blesse grièvement le conducteur d’une balle dans la tête et tue le passager ; il tire ensuite sur quatre CRS, blessant l’un d’eux ; peu après, déclarant agir au nom de l’État Islamique, il prend en otages les clients d’un supermarché de Trèbes, tue deux d’entre eux, puis égorge un gendarme qui s’était proposé en échange, en hurlant « Allah akbar ! ».
Trois musulmans, tous déjà condamnés de nombreuses fois, attaquent des passants et des automobilistes, à coups de tournevis et de couteau, en hurlant « D’habitude, tu aurais été égorgé ! Les attentats, ce n’était pas pour rien ! La France, c’est de la merde ! Vous méritiez ce qu’il vous est arrivé à Paris ! ».
Un musulman fonce avec sa voiture sur la foule qui assiste à un festival de musique électronique, puis frappe les policiers qui l’interpellent, en hurlant « Je suis un terroriste ! ».
Deux musulmans frappent leur sœur et lui coupent les cheveux, parce qu’elle s’habille à l’occidentale et ne respecte pas le ramadan en ayant une relation amoureuse, puis frappent son compagnon et tentent de l’écraser avec leur voiture.
Une musulmane d’origine algérienne poignarde des clients et une caissière dans un supermarché, en hurlant « Allah akbar ! » et « C’est Allah qui m’a demandé de faire ça, vous êtes tous des mécréants ! ». Lors de la perquisition de son domicile, un Coran et un drapeau algérien sont saisis.
Un musulman afghan, demandeur d’asile, frappe à coups de poings et de pieds des passants et des automobilistes, puis les poignarde à la tête et dans le dos avec un couteau de cuisine.
Un musulman d’origine maghrébine, fiché S, lié à l’État Islamique, assassine sa mère et sa sœur, puis poignarde grièvement une passante, avant de se retrancher dans sa maison ; lors de son interpellation, il hurle « Allah akbar ! Si vous rentrez, je vous fume ! ».
Un musulman vole une voiture à Dijon après avoir frappé et blessé son conducteur ; une heure plus tard, il défonce une barrière de l’aéroport de Lyon-Bron avec son véhicule ; puis il fonce vers la gare de La-Part-Dieu, en tentant d’écraser des passants ; peu après, il pulvérise les portes vitrées du Terminal 1 de l’aéroport de Lyon-Saint-Exupéry et renverse un ouvrier dans l’aérogare. Lors de son interpellation par les policiers, il hurle « Allah akbar ! » et « Je suis l’envoyé d’Allah ! ».
Un musulman tente d’égorger un passant, puis le frappe avec un conteneur poubelle ; lors de son interpellation, il hurle « Allah akbar ! » et fait l’apologie du terrorisme.
Policiers et gendarmes attendaient, sans grandes illusions il est vrai, la nomination du ministre de l’Intérieur. Après dix jours de tergiversations, les voilà renseignés. Ils auront Castaner place Bauveau et, auprès de ce dernier, Laurent Nuñez comme secrétaire d’État. Autant dire, selon la formule consacrée, que la montagne accouche d’une souris.
En effet, après l’épisode Collomb, qui au grand dam des syndicats de police est parti sans avoir finalisé les dossiers dont il avait la charge, l’Élysée persiste et signe en promouvant un fidèle des fidèles de la Macronie. Loin de se préoccuper de la sécurité des Français, c’est donc la loyauté que l’on récompense, mais surtout toute velléité de contestation que l’on place sous contrôle.
Le message est donc clair : « On fait comme avant. » Cependant, ces deux nominations à des postes clefs de la République sont riches d’enseignements.
Tout d’abord, il devient évident que l’objectif du néo-ministre de l’Intérieur sera bien les prochaines échéances électorales. Politique averti, même si à géométrie variable, l’ancien secrétaire général d’En Marche ! va devoir contourner les mauvais sondages pour mettre le parti présidentiel en situation de limiter la casse lors des prochaines élections européennes, mais surtout lors des municipales. Et il est vrai que qui contrôle la Place Bauveau contrôle les élections. Dans ce contexte, il apparaît donc que le terrorisme, la criminalité, le mécontentement des élus de terrain et du corps social dans son ensemble pèsent peu face aux obligations de résultats que Jupiter aura fixées à l’ancien socialiste fort opportunément converti au macronisme.
Ensuite, la nomination d’un secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur (décision pas vraiment novatrice) aurait pu être l’occasion d’un signe fort en direction de ceux qui travaillent au quotidien à notre sécurité. Mais, là encore, l’intention est évidente : pas question de satisfaire une administration (la police) qui a osé, lors de l’affaire Benalla, défier Sa Majesté élyséenne. C’est donc un pur technocrate qui sera chargé de traiter avec les policiers. Énarque, récemment encore en charge de la Direction générale du renseignement intérieur, pur produit du corps préfectoral, Laurent Nuñez va devoir reprendre les dossiers laissés par Collomb et faire face aux graves problèmes qui touchent actuellement nos services de sécurité.
Une fois encore, nous sommes donc loin des nominations et des mesures qui auraient été nécessaires pour rétablir la paix publique dans notre pays. En choisissant de confier la paix intérieure de la France à deux « amateurs », Macron indique sans ambages que la problématique sécuritaire que connaît notre pays ne l’intéresse pas et que ses priorités sont ailleurs. À vrai dire, il y a déjà quelque temps que policiers et gendarmes s’en doutaient un peu.
Il y donc fort à parier que la situation va continuer à se dégrader lourdement. Confrontées à des politiques qui ne connaissent rien de leurs difficultés et qui ne nourrissent aucune considération pour eux, les forces de l’ordre vont devoir attendre et composer avec un pouvoir qui s’avère être pire encore que le précédent.
Certes, l’ère Hollande ne leur avait pas apporté grand-chose mais, au moins, avaient-ils un ministre qui faisait illusion. Aujourd’hui, l’illusion n’y est même plus. Dans ce contexte, et dans l’attente toujours repoussée de l’homme providentiel, inutile de dire que des jours sombres attendent nos gendarmes et nos policiers.
Publié le 16 octobre 2018 – par Alain Lussay (Riposte Laïque)
On serait mort de rire, si ce n’était pas aussi pathétique !
Macron, le roi qui délire, vient de nous sortir de son chapeau son charlot pour l’Intérieur.
Alors comment ce charlot, qui pense comme son maître que l’islam est « religion de paix et d’amour et de tolérance », peut-il diriger un ministère dont les troupes sont quotidiennement confrontées à l’idéologie totalitaire coranique qui met en pièces les lois de la République laïque ?
Et comment pourrions-nous ne pas craindre que le roi et son charlot ne préparent la mise au rebut de la loi de 1905 ?
On se croirait revenu quinze mois en arrière, quand il avait nommé Castaner porte-parole du gouvernement.
On s’était déjà posé la question de savoir si Castaner était juste un crétin et s’il avait parlé en son nom ou en tant que porte-casseroles du gouvernement Macron quand il déclarait : « cessons de parler d’État islamique, ils trahissent la religion qu’ils prétendent servir. Ce sont juste des assassins » ?
En parlant en son nom, on avait compris que Castaner n’avait pas lu le Coran, rejoignant ainsi l’impressionnante cohorte des idiots utiles de l’islam.
Et en tant que porte-parole, on avait craint le pire de ce gouvernement d’islamo-collabos en marche comme jamais pour l’islamisation de la France.
Des traîtres à la Nation. Pour déréguler la loi de 1905. Pour flinguer la laïcité.
Quinze mois plus tard, on y arrive.
Alors Macron et son charlot à l’Intérieur vont-ils continuer à refuser de nommer le problème ?
Macron et Castaner vont-ils continuer à favoriser le communautarisme ?
Macron et Castaner vont-ils comprendre que l’idée du jihad est aussi vieille que l’islam ?
Macron et son charlot Castaner se rendent-ils compte que la République française est face à l’islam conquérant en marche ?
« Marianne » a lu « Inch’allah », l’enquête dirigée par les journalistes du « Monde », Gérard Davet et Fabrice Lhomme, sur la progression en Seine-Saint-Denis d’un islam en rupture avec la société française. Un livre rigoureux, mais qui documente une réalité sur laquelle de nombreux témoins lancent l’alerte depuis longtemps.
Dans ce département où, selon les estimations officieuses, une bonne moitié de la population est musulmane, une contre-société s’installe, avec ses codes et ses valeurs propres, en rupture avec la République.
C’est un livre aussi passionnant qu’inquiétant. Pendant près d’un an, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, enquêteurs connus et reconnus du Monde, ont dirigé cinq étudiants en journalisme qui ont arpenté la Seine-Saint-Denis. Leur mission : déceler les traces concrètes de l’islamisation du département le plus pauvre de France, un sujet qui «se prête à tous les raccourcis, à tous les amalgames» et qui «effraye les tenants du politiquement correct», comme l’admettent volontiers Davet et Lhomme. L’initiative est partie de l’une des confidences retentissantes de François Hollande aux deux journalistes dans Un président ne devrait pas dire ça : «Qu’il y ait un problème avec l’islam, c’est vrai. Nul n’en doute.»
Saluons-le d’emblée : l’enquête est remarquable par son contenu et sa rigueur, servie par une galerie d’acteurs et de témoins qui ont accepté de parler sans réclamer l’anonymat. De cette directrice d’école qui se bat face aux tentatives d’intrusion religieuse à cette gynécologue atterrée par l’obscurantisme de ses patientes, de ces élus qui se livrent à toutes les compromissions pour s’attirer les faveurs des électeurs musulmans à ce syndicaliste qui réclame des salles de prière dans les dépôts de la RATP, le tableau dressé est édifiant. auteurs l’écrivent d’ailleurs noir sur blanc : «Oui, l’islamisation est à l’œuvre en Seine-Saint-Denis». […]
Allemagne – Samedi soir, un incident grave est survenu durant un festival folklorique à Weimar au cours duquel même des agents de sécurité ont été blessés.
Lors de la fête populaire de Weimar, plusieurs hommes ont harcelé une jeune femme (20 ans) le soir. Selon la police, ils l’ont agrippée et l’ont agressée sexuellement Lorsque l’ami de la victime (26 ans) est venu la secourir, il a été pris à partie et tabassé par les jeunes agresseurs.
Des agents de sécurité ont essayé d’intervenir et ont été à leur tour attaqués et légèrement blessés. Selon la police, le groupe d’agresseurs comptait une vingtaine d’individus.
Pour le moment, quatre suspects ont été interpellés par la police : trois Syriens et un Irakien.
C’est la France calamiteuse de Sarkozy, guidée par BHL, qui a produit ce désastre, qui a conduit à accélérer l’invasion de la France, mais en bon joueur d’échecs, c’est Poutine qui va tirer les marrons du feu…
Eu égard à tout l’argent du pétrole qui est en jeu, est-ce que la France, l’Angleterre, les États-Unis ou la Chine procèdent à des opérations semblables en Libye ?
Ci-dessous, la traduction d’un article du Dailymail.
POUTINE S’EMPARE FURTIVEMENT DE LA LIBYE AFIN DE LANCER UNE NOUVELLE ARME À L’OUEST : DES MILLIONS DE MIGRANTS DÉSESPÉRÉS, ÉCRIT MICHAEL BURLEIGH.
« Les actes d’agression du président Poutine, y compris en Syrie et en Ukraine, sont si sanglants et étendus qu’une incursion dans les déserts vides d’Afrique du Nord peut sembler digne de mention.
Pourtant, la découverte que la Russie déplace des troupes et des missiles dans une Libye déchirée par la guerre a, à juste titre, provoqué des alarmes sonores dans toutes les capitales européennes.
C’est une étape extrêmement importante et dont les résultats pourraient être désastreux pour les pays occidentaux.
La Libye possède à la fois des ports pétroliers et des ports méditerranéens, et la Russie qui a faim de ces deux phénomènes a de quoi inquiéter.
Mais la véritable crainte des gouvernements européens est la suivante : la Libye, avec ses frontières sud poreuses, est devenue le principal point de départ des centaines de milliers de migrants africains qui cherchent maintenant à traverser la Méditerranée vers les côtes de l’UE, et en particulier l’Italie.
Plus d’un demi-million d’adultes et d’enfants du Ghana, du Sénégal, du Kenya et du Nigeria, ainsi que de l’Érythrée et de la Somalie ravagées par la guerre, ont effectué le voyage périlleux des cinq dernières années, le fret humain dans un budget de 6 milliards de livres sterling par an. Ce commerce est plus lucratif et moins risqué que le trafic de drogue.
Aujourd’hui, en établissant des bases militaires dans les villes portuaires de Tobrouk et de Benghazi, Poutine a laissé entrevoir que Moscou pourrait bientôt prendre le contrôle de ce flux de migrants, en l’ouvrant et en le désactivant comme un robinet.
Et cela signifie menacer les gouvernements européens qui l’opposent au chaos politique pur et simple en réponse.
La présence russe en Libye se renforce depuis des mois. Dans les villes portuaires, cela se présente sous la forme de sociétés militaires privées telles que les groupes Wagner et RSB, des entrepreneurs durs qui, bien que ne faisant pas officiellement partie de l’armée russe, travaillent néanmoins en étroite collaboration avec le GRU paramilitaire de Poutine.
Ces entrepreneurs ont également été vus dans l’est de la Libye, près de la frontière avec l’Égypte, où ils ont défendu des puits de pétrole critiques contre de nombreuses milices armées libyennes. Ils ont également formé les troupes libyennes et fourni des renseignements à l’armée libyenne.
Plus tôt cette année, les autorités tunisiennes ont pris possession d’un navire battant pavillon panaméen, qui transportait 24 conteneurs d’équipements militaires russes et 66 véhicules de transport militaire russes. Le navire était à destination de la Libye.
Il est également plausible que des systèmes de missiles russes – comprenant vraisemblablement les missiles anti-navires Kalibr et les missiles de défense aérienne S-300 – soient maintenant installés sur le sol libyen.
La Russie a même un chef de guerre libyen docile avec sa propre « armée nationale ».
Poutine cultive depuis quelque temps le maréchal Khalifa Haftar, un Américain naturalisé qui, après avoir aidé le colonel Kadhafi au pouvoir en 1969, a finalement fui aux États-Unis après la débâcle des deux hommes.
Aujourd’hui, il est le principal destinataire des armes et de l’argent russes, notamment des billets imprimés sur des presses moscovites.
Ce n’est pas la première fois que la migration libyenne est utilisée comme une menace. En 2010, Kadhafi avait notoirement déclaré au Premier ministre italien, Silvio Berlusconi, qu’il pouvait « transformer l’Europe en noir » en décidant simplement de relâcher le contrôle de la côte méditerranéenne.
« Quelle sera la réaction des Européens blancs et chrétiens face à cet afflux d’Africains affamés et ignorants ? », a demandé le dictateur. « Nous ne savons pas si l’Europe restera un continent avancé et uni ou si elle sera détruite, comme ce fut le cas avec les invasions barbares. »
Pour démontrer son pouvoir, Kadhafi a ensuite « encouragé » les passeurs clandestins dans le sud-ouest sauvage de la Libye à verser un pot-de-vin de 4 millions de livres sterling pour se consacrer à l’exportation de carburant et de farine vers le sud plutôt que de déplacer les migrants du nord vers l’Europe. Ça a marché.
En effet, c’est le retrait soudain de Kadhafi en 2011 – grâce à l’Amérique, la Grande-Bretagne et la vaine tentative de changement de régime – qui a fait de la Libye le premier relais pour les migrants de l’Afrique subsaharienne.
Si le but principal de Kadhafi était la survie, Poutine a un jeu plus vaste à jouer, un jeu qui, espère-t-il, signifie le rétablissement du pouvoir et de l’influence dont jouissait la Russie avant l’humiliation abjecte des années 90.
Premièrement, il y a les objectifs diplomatiques. Poutine veut renforcer sa présence militaire à la frontière sud de l’UE.
Plus tôt cette année, les autorités tunisiennes ont pris possession d’un navire battant pavillon panaméen, qui transportait 24 conteneurs d’équipements militaires russes et 66 véhicules de transport militaire russes. Le navire était à destination de la Libye.
Il est également plausible que des systèmes de missiles russes – comprenant vraisemblablement les missiles anti-navires Kalibr et les missiles de défense aérienne S-300 – soient maintenant installés sur le sol libyen.
Il a le sentiment que l’OTAN a encerclé la Russie. Il a maintenant l’intention de donner à l’Europe un avant-goût de sa médecine en établissant une présence emphatique en Méditerranée.
Sa marine n’a actuellement qu’une seule base méditerranéenne, à Tartous en Syrie. Une autre déclaration près de Benghazi – à moins de 300 km du sud de l’Italie – serait une déclaration majeure de la puissance maritime russe.
L’argent sérieux est aussi un motif. La Russie – cette fois sous la forme de Rosneft, l’énorme société pétrolière contrôlée par le sinistre compagnon de Poutine, Igor Sechin – s’intéresse à une partie des vastes réserves de pétrole de la Libye, la plus grande d’Afrique.
La Libye produit actuellement environ 700 000 barils de pétrole par jour, mais le pays pourrait augmenter sa production à 2,5 millions de dollars si la paix était finalement instaurée.
En fin de compte, la présence russe en continu signifie que Moscou serait en position de force pour remporter des contrats lucratifs pour reconstruire l’infrastructure détruite du pays et, bien sûr, pour conquérir un marché extrêmement rentable en matière de vente d’armes.
À part le pétrole et le gaz, les armes sont l’un des rares produits russes demandés par les autres pays. La Russie avait des intérêts commerciaux énormes avec la Libye de Kadhafi et avait perdu environ 10 milliards de dollars de contrats pétroliers et autres, dont 3 milliards de dollars pour un projet de chemin de fer et un marché de 4 milliards de dollars d’armes, lorsqu’il avait été destitué.
Une partie de la motivation de Poutine réside dans sa colère persistante face à l’intervention militaire occidentale qui a semé le chaos au Moyen-Orient et a porté atteinte aux intérêts russes.
Aujourd’hui, le président russe aide de manière remarquable à rassembler les éléments. Moscou est impliquée dans des discussions internationales sur l’avenir de l’Afghanistan et de la Syrie. Il voudrait aussi se présenter comme le sauveur de la Libye.
Poutine s’est imposé comme un incontournable du Moyen-Orient, ainsi le roi Abdullah de Jordanie et le roi Salmane d’Arabie saoudite sont présents et jusqu’au Premier ministre israélien Netanyahu et au président iranien Rohani qui font une cour assidue au Kremlin.
Il convient de noter que Trump n’a pas encore nommé d’ambassadeurs en Arabie saoudite ou en Turquie, et encore moins en Libye.
Sur une note plus personnelle, Poutine a été alarmé par le sort horrible de son co-dirigeant : après une campagne de bombardement de l’OTAN de six mois, Kadhafi a reçu une balle dans la tête sur un ponceau au bord de la route.
Ou, comme l’ont dit les responsables russes, il a été tué « comme un vieux bourreau ». Ce n’est probablement pas ainsi que le président russe pense que les hommes forts de la région devraient être traités.
Poutine est avant tout un opportuniste. Il ne recherche pas seulement la levée des sanctions contre son pays, mais la déstabilisation continue de l’Europe, raison pour laquelle il a soutenu avec tant de passion ses partis séparatistes et nationalistes. Cela reste une tactique extrêmement réussie. Entre-temps, après des années d’inefficacité diplomatique et d’interventions catastrophiques, il semble incapable de réagir.
Devrions-nous coopérer avec la Russie et avec d’autres puissances mondiales pour reconstruire l’État libyen brisé? Est-ce que cela pourrait au moins aider à freiner Poutine, aussi dégoûtant qu’il puisse paraître un partenaire ? C’est un dilemme auquel nous devons maintenant faire face.
Aujourd’hui, grâce à la corruption et à la diplomatie italiennes, le littoral libyen est au moins partiellement sécurisé.
Mais si, demain, la Russie prend réellement le contrôle de l’État libyen et de son immense réservoir de migrants désespérés – l’une des plus grandes forces déstabilisatrices de l’Europe – la perspective pour nous tous est vraiment terrifiante. »