++ WEBTUBE : On ne se refait pas. Voici typiquement le style de musique que j’aprécie (entre autres). Musique électronique, voix douce qui vous murmure des mots doux au creux de votre oreille et enfin une musique hyperplanante. On valide à 100%. Une vague de froid sur la France, pas de soucis je reste au chaud et j’écoute “Awaken us”.
++ WEBTUBE : We won’t do it again. This is typically the style of music that I like (among others). Electronic music, soft voices whispering sweet words into your ear and finally hyperplaning music. We validate 100%. A cold spell in France, no worries, I stay warm and listen to “Awaken us”
++ WEBTUBE : La vidéo a fait 1,5 million de vues, mais il n’y a presque aucun algérien dans les commentaires pour s’expliquer. D’habitude ces hypocrites hurlent au racisme pour un oui ou pour un non.
RACISME. Un algérien 🇩🇿 harcèle des ivoiriennes 🇨🇮 et les présente comme des esclaves et des prostituées.
Ses propos en algérien : « Ces kahlouch tu lances une pièce ils te sautent dessus… Y’a rien en Côte d’Ivoire 🇨🇮! » pic.twitter.com/GLpBYDyA0c
++ WEBTUBE : Après Cyril Hanouna et Gérard Depardieu, c’était au tour de Jordan Bardella de passer sur le gril de Complément d’enquête. Il fallait s’y attendre. Blanc, hétérosexuel, catholique et de droite, l’homme n’avait que peu de chances d’avoir les faveurs du service public. Sa position de leader de ce que les journalistes s’entêtent à nommer « extrême droite » faisait même de lui une cible prioritaire. Il s’agissait donc de mobiliser tous les moyens de la machine médiatique d’État pour produire un portrait entièrement à charge et se donner une chance de retourner l’opinion publique.“ENVOYE SPECIALE” FUT UNE BONNE EMISSION A UNE EPOQUE MAIS CELA FAIT MAINTENANT PLUSIEURS ANNEES QUE CETTE EMISSION S’ELOIGNE DE SA MISSION D’INFORMATION POUR DEVENIR UN RAMASSIS D’IDEES WOKISTES DE GAUCHE. BOYCOTTEZ CETTE EMISSION !
Une enquête bien creuse
Alors, qu’apprend-on de cette enquête financée par nos impôts ? Le premier grief fait à Jordan Bardella concerne son faible taux de participation aux séances de la Commission européenne. Les journalistes de France 2 sont allés questionner deux eurodéputés qui ne semblent pas connaître le patron du RN. « Normal ! Il n’y met pas beaucoup les pieds et affiche un taux d’absentéisme de 70 % », dénonce l’émission. Évidemment, le procédé est fallacieux et aurait pu être utilisé avec n’importe quelle autre personnalité politique tant l’absentéisme est généralisé à Bruxelles, mais l’effet escompté est atteint.
La deuxième grande « révélation » du soir concerne la formation de Jordan Bardella. On apprend qu’à 20 ans, le jeune homme était encore « une coquille vide », un militant de base qui « ne lisait pas particulièrement » et qui a eu besoin de travail pour s’étoffer intellectuellement. « Ça a pris des mois et des mois », affirme son ancien coach. On en reste bouche bée.
L’affaire « RepNat du Gaito »
Mais le grand scoop de l’émission est ailleurs. Après des mois et des mois d’investigation, les journalistes de France 2 croient avoir enfin trouvé l’info en or : Jordan Bardella aurait eu un compte Twitter secret lorsqu’il était adolescent. Si c’est vrai, c’est très très grave ! L’accusation est d’autant plus sérieuse que le propriétaire du compte baptisé « RepNat du Gaito » y multipliait les blagues douteuses, les critiques envers les journalistes de gauche et les contenus louangeurs sur Jean-Marie Le Pen. Parfaitement inadmissible.
Blagues racistes, Jean-Marie Le Pen starifié, journalistes insultés… Voici le compte Twitter caché de Jordan Bardella, à l’opposé de l’image lisse que le président du RN essaie de se construire, d’après 3 proches qui se sont confiés à #ComplementDenquete pic.twitter.com/Sl93euyOlW
Le principal intéressé a rapidement réagi à la théorie un rien complotiste de Complément d’enquête. « Je suis désolé de vous décevoir, mais je n’ai qu’un compte Twitter, a-t-il déclaré, lundi, lors des vœux à la presse. J’assume tous mes propos mais je ne vais pas assumer des propos que je n’ai pas tenus. » Le directeur du service de presse du RN est, depuis, passé à l’offensive et a annoncé qu’il ne laisserait rien passer. « Vous diffusez un tweet mensonger, sans même employer le conditionnel et sans préciser le démenti de Jordan Bardella qui réfute formellement être l’auteur de ces publications, a-t-il déclaré. Vous serez poursuivi et une mise en demeure a été adressée, ce jour, par huissier à France Télévisions. »
🔴 Vous diffusez un tweet mensonger, sans même employer le conditionnel et sans préciser le démenti de Jordan Bardella qui réfute formellement être l’auteur de ces publications. Vous serez poursuivi et une mise en demeure a été adressée ce jour par huissier à France Télévisions. https://t.co/tIH8uemRQf
Sous la menace d’une procédure judiciaire, le présentateur de l’émission a rapidement amendé son tweet et précisé que Jordan Bardella démentait effectivement les accusations, tout en défendant le journaliste à l’origine du fameux scoop. « Mais les sources de Pierre-Stéphane Fort sont formelles ! », s’est écrié Tristan Waleckx sur X.
Un vulgaire document de propagande
À BV, on ignore si les sources de ce monsieur sont formelles. Ce qu’on sait, en revanche, c’est qu’il s’agit d’un militant à carte de presse dont les tweets dénotent un évident biais en défaveur du RN. Pierre-Stéphane Fort ne cache pas son parti pris. En toute bonne conscience, il retweete les discours d’une Manon Aubry… qui le lui rend bien en retweetant à son tour les enquêtes du journaliste ! À l’extrême gauche, le renvoi d’ascenseur est une tradition qu’on sait entretenir.
Démentie chaque jour par le réel, la gauche morale est aux abois. Elle sent venir la raclée aux prochaines élections européennes et tente de sauver les meubles. C’est dans ce cadre politique désespéré que s’inscrit l’émission anti-Bardella de France 2.
++ WEBTUBE : Une victoire par KO. Une victoire sans surprise. Comme l’annonçaient les sondages, Donald Trump a écrasé ses challengers, ce lundi, dans l’Iowa où se tenait la première étape du processus de désignation du futur candidat républicain à la présidentielle. Ni le froid glacial qui sévissait dans cet État rural du Midwest, ni les tempêtes judiciaires qui l’accablent n’auront empêché l’ancien président de distancer d’environ 30 points ses deux principaux rivaux. Une marge historique jamais atteinte jusque-là par un candidat républicain à l’investiture.
Trump obtient 51 % des voix, contre 21 % pour le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, qui parvient à s’emparer de la deuxième place devant Nikki Haley, ancien gouverneur de Caroline du Sud, qui plafonne à 19 %. Dans son discours de victoire, l’ancien président a appelé au rassemblement derrière sa candidature, tout en fixant son objectif : « Le Grand Soir aura lieu en novembre, lorsque nous reprendrons notre pays. »
Effarée par la confirmation de la résilience du candidat multi-inculpé, la presse progressiste a immédiatement repris en chœur ses cantiques mêlant lamentations et imprécations. Dans le viseur : les électeurs républicains accusés d’entretenir un culte de la personnalité et de laisser leur parti se transformer en mouvement sectaire. À leurs yeux, l’irrésistible ascension de Trump ne peut s’expliquer que par un phénomène d’emprise psychologique.
Sondage après sondage, les motivations de son électorat se révèlent pourtant bien plus prosaïques, reposant sur le triptyque inflation – immigration – insécurité, auquel on ajoutera la volonté d’en finir avec l’extrémisme woke. Des enjeux que les démocrates, enfermés dans leur bulle idéologique, préfèrent escamoter.
Un électorat diversifié
Comme ils ne veulent pas voir non plus, au niveau national, la diversification de l’électorat de Trump qui contredit, elle aussi, le grand récit sur la transformation du Parti républicain en un mouvement fanatisé réunissant en son sein le dernier carré d’une Amérique blanche populaire en voie d’extinction. Le fameux « panier de déplorables », évoqué par Hillary Clinton en 2016, composé de « racistes, sexistes, homophobes, xénophobes, islamophobes ».
En réalité, à la grande consternation des démocrates, la dynamique électorale de Donald Trump s’étend de plus en plus aux minorités de couleur, laissant sous le choc ceux qui, à gauche, s’en croyaient les propriétaires. Caché derrière les outrances de l’ancien président, le paradoxe que nous entrevoyons est ainsi, non pas la transformation du Parti républicain en secte, mais sa transformation en « parti de l’homme ordinaire ».
À l’inverse, le Parti démocrate se rétrécit autour d’élites blanches, urbaines, diplômées et très fortement idéologisées. La déferlante d’antisémitisme woke qui s’est abattue sur les campus le 7 octobre dernier témoigne d’un sectarisme à gauche qui n’hésite pas à relayer et à banaliser les appels au génocide des Juifs en provenance du Moyen-Orient. Une « radicalisation » qui ne semble pas beaucoup préoccuper des médias mainstream focalisés sur les saillies verbales de Trump.
Autre point à retenir de la victoire de l’ancien président dans l’Iowa, la diversification sociologique de sa majorité. Si sa victoire s’est principalement appuyée, comme on pouvait s’y attendre, sur un électorat populaire et rural, il est néanmoins parvenu à s’imposer dans la plupart des zones urbaines, celles avec plus de diplômés ainsi que celles à revenus plus élevés.
Nikki Haley, identifiée comme candidate de l’establishment, même si elle a obtenu de très bons résultats dans ces secteurs, n’a donc pas fait la différence là où elle était attendue. Quant à Ron DeSantis, identifié comme pourfendeur du wokisme, il n’a pas réussi à s’imposer auprès des chrétiens évangéliques blancs et des électeurs se décrivant comme « très conservateurs ».
Un populisme conservateur
Sans beaucoup caricaturer, on peut dire que Nikki Haley représente le Parti républicain élitiste d’avant et Ron DeSantis, le conservatisme sans le populisme. Aucun des deux n’épouse la dynamique qui a redéfini en profondeur le Parti républicain ces dernières années sous l’impulsion de Trump : le populisme conservateur. Ce qui les maintient à la périphérie et explique la percée de l’ancien président.
Ce ne sont pas les « déplorables » que recueille dans son grand panier Donald Trump mais le nombre grandissant des perdants de la mondialisation. Qu’ils soient blancs, noirs ou hispaniques, ils ont en commun de subir au quotidien les conséquences de la désindustrialisation, de la hausse des prix, de la criminalité et d’une immigration devenue hors de contrôle.
Par-delà leur couleur ou leur classe sociale, ils sont aussi nombreux à rejeter le sectarisme woke et la volonté d’une minorité de rééduquer l’ensemble de la population selon ses critères idéologiques.
Derrière l’« énigme » des succès de Trump, il y a, en réalité, des facteurs très objectifs et très rationnels en lien avec les transformations de la société américaine ces dernières décennies. Pour le reconnaître, encore faudrait-il accepter de « voir ce que l’on voit ». Quant à « dire ce que l’on voit », les commentaires des médias sur les résultats de l’Iowa montrent que l’on en est encore loin.
++ WEBTUBE : Lors de sa dernière conférence de presse le président Macron a annoncé le doublement des franchises médicales en ce qui concerne la délivrance des médicaments, les actes infirmiers et paramédicaux, et les transports sanitaires. Cette franchise qui jusque là était de 50 centimes par boîte de médicament acheté va passer à 1 € , et le président a ajouté « franchement cela ne me choque pas ».
Cela d’ailleurs ne choque pas grand monde, la mesure sera quasiment indolore car l’augmentation de ce forfait s’effectue sur le remboursement et non en paiement direct. Cette mesure avait été proposée il y a quelques mois déjà par Élisabeth Borne et Thomas Cazenave pour garantir le financement de la sécurité sociale, en permettant ainsi d’économiser environ 800 millions d’euros sur le budget de la Sécu , d’après les sources officielles.
Cette franchise médicale a été créée en 2008 sous la présidence du président Sarkozy, pour permettre à la sécurité sociale de récupérer quelques millions d’euros . Elle s’applique sur le remboursement des médicaments ou de certains actes médicaux. Ainsi jusqu’à présent l’Assurance Maladie retenait 50 centimes sur chaque remboursement jusqu’à concurrence de 50 €. Maintenant ce sera un euro qui sera retenu sur chaque acte remboursé. Était-il nécessaire pour autant que le Président de la République en fasse un des éléments de discours de son intervention télévisée ?
Cela lui a peut-être permis d’éviter de parler des sujets comme la fraude aux prestations sociales ,ou de l’AME, l’aide médicale d’État qui permet à tout étranger en situation irrégulière d’être soigné gratuitement sur le territoire français, et de bénéficier de toutes les prestations médicales, (à l’exception des cures thermales) sans faire l’avance des frais, et en dehors même de toute notion de nécessité de soins urgents.
Les bénéficiaires de l’aide médicale d’État tout comme ceux qui bénéficient de la complémentaire santé solidaire (CMU) ne seront pas touchés par ces mesures, car ils sont pris en charge à 100 % et sont exonérés du tiers payant. Ce sont donc encore les moins favorisés, c’est-à-dire ceux qui perçoivent un revenu modeste, mais hélas pour eux, légèrement supérieur au seuil limite d’attribution de ces aides, qui seront les plus touchés par cette augmentation même si elle n’est pas très importante.
Le président Macron a également insisté sur le fait que l’augmentation de cette franchise servirait à responsabiliser les Français, et donc à les dissuader de multiplier leurs dépenses de santé. L’intention est louable mais témoigne d’une méconnaissance totale du problème. Les patients qui ont tendance à multiplier les actes de santé, sont principalement ceux qui justement sont exonérés de ces franchises et ne font aucune avance de frais, et non pas ceux qui doivent assurer une partie du paiement des prestations !
Considérer que le doublement de la franchise médicale pour les médicaments est une bonne mesure pour responsabiliser les assurés sociaux, c’est parler pour ne rien dire, et faire croire qu’on va permettre aux citoyens de se sentir solidaires et responsables des comptes de la sécurité sociale, alors que les vrais problèmes sont ailleurs, mais de ceux-la, mieux vaut ne pas en parler, car ce sont des sujets qui fâchent et qui auraient pu perturber la prestation médiatique de notre Président.
++ WEBTUBE : Qui aurait pu imaginer que l’arrivée d’Amélie Oudéa-Castéra à la tête de l’Éducation nationale aurait eu de telles conséquences ? Pour rappel, le 12 janvier, quelques heures seulement après son arrivée rue de Grenelle, Mediapart révèle que la ministre a choisi de scolariser ses trois fils à Stanislas, une école privée parisienne, jugée « ultra réac » par le site d’extrême gauche. Quatre jours plus tard, la rédaction d’Edwy Plenel profite de la polémique pour publier un énième article à charge contre l’établissement catholique. Homophobie, sexisme, autoritarisme… Le « meilleur lycée de France » devient la cible de la gauche.
Des articles au vitriol
« L’univers sexiste, homophobe et autoritaire de Stanislas ». En juin 2022, quelques jours après un article à charge de L’Express contre le Collège Stanislas, Mediapart tente à son tour de « flinguer » l’école, sans grand succès. Mais après de nombreuses relances, Pap Ndiaye, alors ministre de l’Éducation nationale, finit par se soumettre aux injonctions des journalistes et diligente une enquête. Après près de six mois d’auditions et de recherches, l’Inspection générale rend son rapport au mois de juillet dernier. Mais celui-ci ne sera jamais rendu public par Gabriel Attal, tout juste nommé rue de Grenelle, au grand dam de Mediapart. Finalement, après avoir obtenu le précieux rapport, la rédaction d’Edwy Plenel profite de la polémique – qu’ils ont eux-mêmes lancée – sur la scolarisation des enfants de la nouvelle ministre, pour publier un nouvel article au vitriol contre « Stan ». « Graves dérives lors des heures de catéchèse », « une pédagogie violente et humiliante », « sexisme et homophobie assumés »… Dans la foulée, la presse de gauche, unanime, surenchérit. « Une école qui flirte avec l’intégrisme catholique » peut-on lire sur le site de France Info, « La culture homophobe [y] sévit de longue date » titre Libération, « Brutalité et sexisme » dénonce Le Monde… Rapidement les politiques s’en mêlent. La Mairie de Paris décide de suspendre « provisoirement » les financements obligatoires – 1,3 millions d’euros par an – attribués à l’établissement en attendant « des clarifications ».
Interrogée à ce sujet, la ministre de l’Éducation promet qu’un « plan d’action » sera mis en place et suivi avec « vigueur ». La gauche s’étouffe et lui reproche de ne pas avoir lu le rapport de l’Inspection générale dans son intégralité.
Mais l’ont-ils lu en entier ? Et ont-ils prêté attention aux réponses apportées par la direction de l’établissement et par la direction diocésaine ? Cela semble peu probable. Car dans ce rapport, si les inspecteurs font en effet état de situations isolées problématiques – notamment le cas d’un intervenant qui aurait tenu des propos à caractère homophobe lors d’un cours de catéchèse -, la direction diocésaine rappelle que ces cas « avaient été identifiés et avaient été traités avant la mission d’enquête ». L’intervenant en question avait ainsi été immédiatement sanctionné. Toujours sur ce sujet, la presse n’a de cesse de dénoncer une « culture homophobe ». Pourtant, les inspecteurs écrivent noir sur blanc dans leur rapport que « lors des auditions, la mission n’a eu aucun témoignage sur des propos homophobes ». On se demande bien pourquoi Mediapart n’a pas jugé bon de relever ce paragraphe…
Mediapart et ses confrères accusent également l’établissement d’autoritarisme. Mais le mot approprié serait davantage « excellence » pour caractériser une école classée meilleure lycée de France (en alternance avec Louis Le Grand certaines années), qui réalise 100% de mentions aux examens et permet à ses élèves d’intégrer les meilleures écoles (Polytechnique, HEC, Centrale…). Une école que de nombreux parents s’arrachent – la mission rappelle ainsi que pour 210 places disponibles en classe de 6e, l’école reçoit entre 350 et 450 dossiers -, n’en déplaise à la presse de gauche.
En réalité, Mediapart reproche surtout à Stanislas de transmettre une éducation catholique à ses élèves. Sur le sujet des heures de catéchisme obligatoire, légalement interdites par le contrat d’association de l’établissement avec l’État, l’école précise : « Il y a une petite équivoque entre le catéchisme et l’instruction religieuse. De fait l’instruction religieuse de Stanislas est obligatoire. Mais, si on prépare un sacrement, il y a des cours en plus, qui sont, bien sûr, facultatifs. Il y a un respect de la liberté de conscience totale de ce point de vue-là. » Et en ce qui concerne l’identité catholique de l’école, « les familles qui rejoignent un établissement scolaire catholique le font en connaissance de cause, qu’elles partagent la foi catholique ou qu’elles souhaitent bénéficier de ses fruits en matière éducative » rappelle la direction diocésaine, insistant sur la liberté des parents. Mais pour Mediapart, être « catho » est sans doute déjà un délit..
En somme, Mediapart n’a pas lu le rapport de l’Inspection générale en entier. Sinon, le site aurait indiqué que « sur le panel entendu, les élèves dans leur grande majorité disent aimer leur établissement, s’y sentir bien, se sentir accompagnés et s’être fait à l’idée de fréquenter un établissement prestigieux, malgré ses contraintes ». Une conclusion qui fait écho aux témoignages que BV a pu recueillir parmi les anciens élèves et le corps encadrant de l’établissement. « Durant toutes mes années dans cette école, je n’ai jamais eu à vivre ou entendre ces manquements dont la presse parle. Le corps éducatif est exceptionnel et dévoué et la majorité n’a à cœur que notre réussite personnelle et académique » confie l’un d’eux. Et un autre ajoute : « Je n’ai que de la gratitude pour Stan. C’est grâce à cette école que je suis là où j’en suis aujourd’hui. J’y ai tant appris ». Le Collège Stanislas, qui se réserve le droit d’agir en justice, précise en outre que « les inspecteurs ne confirment pas les faits d’homophobie, de sexisme et d’autoritarisme. […] Le rapport ne caractérisant pas de faute susceptible de poursuites disciplinaires, il n’avait pas à être communiqué ».
++ WEBTUBE : Quand un ex-agent de la DGSE annonce l’islamisation totale de l’Europe dans 50-70 ans, il faut le prendre au sérieux
Edito du 16/01/2024 de Mathieu Bock-Côté :
"Dans 50-70 ans, l'Europe sera totalement islamisée"… un ex-agent de la DGSE prédit l'achèvement du projet d'islamisation de l'Europe par les Frères musulmans (Màj : Cnews a relayé l'information, édito de Mathieu Bock-Côté sur ce sujet) pic.twitter.com/jgI61UrHgM
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) January 18, 2024
Extrait concerné :
Quand un ex-agent de la DGSE annonce l'islamisation totale de l'Europe dans 50-70 ans, il faut le prendre au sérieux pic.twitter.com/CarGdcpjA5
++ WEBTUBE :Comme chaque année depuis 1971, la grand-messe de Davos accueille 3 000 privilégiés, ces nouveaux seigneurs de l’humanité censés régenter le monde, ceux qui nous dictent notre quotidien et nous imposent leur vision du futur, toujours plus contraignant, toujours plus coercitif.Davos, c’est le rendez-vous des élites supranationales qui méprisent les peuples. Tous les puissants de ce monde gagnent la Suisse à bord de jets privés, puis empruntent hélicoptères et limousines de luxe pour rejoindre le Temple sacré de la mondialisation.
Le CO2 ? Une fable pour le peuple qui devrait marcher à pied.
On y loue des chalets à 500 000 dollars, avec tout le confort et le luxe extravagant que n’imagine même pas le modeste travailleur soumis au rythme déprimant du métro-boulot-dodo, le triste lot de cette classe moyenne que les grands de ce monde méprisent au plus haut point.
On ne se rend pas à Davos uniquement pour refaire le monde, pour parler d’argent, d’économie, de géopolitique, de guerres, de climat, de technologies du futur, d’IA, ou pour imaginer de nouveaux délires sociétaux. À Davos, on y fait aussi des rencontres et on s’y défoule sans entrave, dans une débauche no-limit, comme s’y complaisent ceux qui possèdent le pouvoir et l’argent, devenus ivres de leur puissance.
Le 54e Forum économique mondial, c’est donc aussi le Forum du sexe.
Tout le gratin des poules de luxe s’y retrouve chaque année. Évidemment, c’est du beau linge. À 2 500 dollars la nuit, on fait l’amour dans des draps en satin entre deux coupes de champagne à 1 000 dollars la bouteille.
On n’est pas dans un bouge pouilleux de Calcutta, à 2 dollars la passe au milieu des rats.
Comme quoi, le sexe et l’argent mèneront toujours le monde.
Le programme officiel du Forum, c’est la façade. Mais l’énorme demande de sexe, c’est l’envers du décor. Les escort-girls, mais aussi les mâles de compagnie, rentabilisent leur séjour en Suisse.
“Dans le tabloïd allemand Bild, une escort raconte que la demande de prostituées explose pendant la durée du forum. « Les PDG réservent des escorts dans les suites des hôtels pour eux-mêmes et leurs employés. » Zoom avant : « Titt4Tat », un service d’escorte dans la région de Davos, confirme l’énorme demande pendant la semaine du WEF avec des réservations totalement pleines.”
Telle est l’obsession de nos élites vertueuses. Refaire le monde c’est bien, mais croquer la pomme avec une bombe sexuelle, c’est mieux. Et quand on ne ressemble pas à Brad Pitt, mieux vaut être riche…
++ WEBTUBE : Nos agriculteurs crient leur détresse depuis des semaines dans l’indifférence générale. Mes 5 mesures d’urgence pour l’agriculture
🚜 Nos agriculteurs crient leur détresse depuis des semaines dans l’indifférence générale. Mes 5 mesures d’urgence pour l’agriculture. ⤵️ pic.twitter.com/i5AZSzvZcJ