La chanson du jour, Summer in the City – Quincy Jones Productions

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++ WEBTUBE : Cet arrangement de Summer in The City” est fou merveilleux Son influence sur l’industrie musicale est énorme, notamment en produisant l’album le plus vendu de tous les temps “Off the Wall” de l’autre génie Michael Jackson. A écouter d’urgence.

++ WEBTUBE : This arrangement is crazy marvelous
His influence on the music industry is tremendous especially producing the biggest selling album of all time “Off the Wall ” by the another genius Michael Jackson

=> https://www.youtube.com/watch?v=jpbK4tLQH_s

Vidéo dispo ici

. 60% des gens qu’on arrête sont des étrangers reconnait enfin officiellement Darmanin

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++ WEBTUBE : Commencerait-on en France à regarder la réalité en France ? Des années (des dizaines d’années ?) pour reconnaitre que l’immigration incontrôlée entraine une hausse forte de la délinquance. Une fois cela dit, va-t-on enfin faire quelque chose ? Le projet de loi propsé par le gouvernement se veut ferme mais malheureusement prévoit une régularisation important de clandestins entrés sur notre sol. Ce projet n’est pas raisonable sur ce point.

. [Mieux vaut en rire] Sandrine Rousseau fait un twerk, pour notre 150e épisode

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++ WEBTUBE : Cette semaine, le chevalier Bayard défend sa maison contre les émeutiers, les « fachos » attaquent le box-office et les écolos twerkent pour les européennes !

. Diversité : le ministre de la Culture autorise la sélection ethnique, incroyable !

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++ WEBTUBE : Un pas de plus vers l’antiracisme au sein du gouvernement ? Ce lundi 4 décembre, lors d’une conférence de presse qui aurait pu passer inaperçue, Rima Abdul-Malak, ministre de la Culture, présentait le lancement du programme « La Relève » visant à favoriser la diversité à la tête des établissements culturels. L’objectif : sélectionner sur l’ensemble du territoire 101 candidats – soit un par département – entre 25 et 40 ans qui intégreront une formation délivrée en partenariat avec Sciences Po et leur confier, par la suite, un poste à responsabilité au sein des lieux culturels.

Sur le papier, le projet s’inscrit dans la démarche d’ouverture et de diversité, en vogue depuis des années. Mais cette fois-ci, Rima Abdul-Malak a décidé de préciser les critères selon lesquels les candidats seront sélectionnés. À l’origine géographique et sociale, censée apporter un peu plus de diversité, le ministre de la Culture propose d’ajouter le critère de… la « couleur de peau », comme le rapportent l’AFP et Le Bulletin quotidien. Autrement dit, au nom de la diversité, le ministre ouvre la voie à la discrimination positive sur la base d’un critère ethnique.

Si l’annonce est passée sous les radars pendant quelques jours, elle entraîne depuis ce 7 décembre un déferlement de réactions, notamment à droite de l’échiquier politique. Marion Maréchal, tête de liste aux élections européennes de Reconquête, dénonce un racisme anti-Blanc sur son compte X« Les Blancs sont désormais de trop dans la Culture », écrit-elle. Un sentiment partagé par le Rassemblement national. Thierry Mariani alerte ainsi sur le « racisme anti-Blanc qui contamine l’État ». Caroline Parmentier, députée RN du Pas-de-Calais, ajoute : « c’est de la pure discrimination. En France, seule la compétence justifie une nomination. » D’autres voix s’élèvent pour dénoncer le caractère « illégal » et « injuste » de cette sélection ethnique.

Racialisme américain 

Avec ce nouveau programme, Rima Abdul-Malak va donc encore plus loin dans la discrimination positive, concept controversé installé depuis la fin des années 1990. Après la parité obligatoire sur les listes politiques ou la sélection universitaire avantageuse selon l’origine sociale, le ministre de la Culture souhaite que les futurs dirigeants ou responsables d’établissements culturels soient sélectionnés, non plus sur la seule base de leurs compétences, mais également en raison de leur couleur de peau.

Jusqu’à présent, la France, au nom de l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme qui dispose que « tous les citoyens sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celles de leurs vertus et de leurs talents », s’était refusée à suivre la voie du racialisme américain. Avec le programme « La Relève », l’Hexagone met désormais le deux pieds dedans. Et ce, alors même que les États-Unis, après de nombreuses années d’expérimentation de la discrimination ethnique, « en réparation » des siècles d’esclavage et des années de ségrégation, commencent à faire marche arrière. Une affaire a marqué ce recul. Un jeune conservateur accusait la discrimination ethnique de défavoriser les étudiants asiatiques : malgré leurs excellents résultats académiques, ils n’étaient pas assez présents sur les campus des plus prestigieuses universités du pays. Il a porté plainte et, au mois de juillet dernier, la Cour suprême des États-Unis a mis fin à la possibilité d’utiliser les critères ethniques pour favoriser l’admission de certains étudiants au sein des universités. Cette décision de justice rejoint l’opinion de la société américaine qui approuve de moins en moins l’affirmative action (discrimination positive).

La France a du retard. Depuis la mise à l’écart de Pap Ndiaye, on pensait le gouvernement débarrassé des lubies antiracistes. C’était mal connaître les autres membres de l’exécutif, notamment Rima Abdul-Malak.

Clémence de Longraye, Bouelvard Voltaire

. Immigration : le désastreux accord franco-algérien demeure, à qui la faute ?

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++ WEBTUBE : 151 contre, 114 pour. C’est le résultat du vote, ce jeudi, à l’Assemblée nationale, sur la proposition de résolution des Républicains. Cette résolution visait à dénoncer l’accord franco-algérien de 1968 qui permet des dérogations massives pour l’accueil des Algériens en France. Appuyée par les LR et le Rassemblement national, la proposition aura au moins permis de mettre en avant les nombreux avantages dont profite la première communauté d’étrangers en France, même en cas de vote favorable de la loi Immigration voulue par Emmanuel Macron. Toutefois, ce vote reste un échec qui, selon certains hommes politiques de droite, aurait pu être évité si les députés du RN s’étaient plus largement mobilisés. Qu’en est-il vraiment ?

Les députés jouent à un « jeu dangereux »

Sur les réseaux sociaux, les critiques fusent. L’incompréhension de certains internautes est largement relayée par Reconquête et Florian Philippot, tête de liste des Patriotes pour les européennes. Interrogé par BV, l’intéressé reproche aux députés RN de « jouer à un jeu dangereux ». Pour l’ex-numéro deux du Front national  : « L’absence de 40 députés RN traduit un manque d’implication du RN, puisqu’on constate de plus en plus souvent, ces derniers mois, une absence ou une abstention lors de votes importants ou symboliques, insiste M. Philippot. J’ai remarqué, par exemple, aussi, que depuis trois motions de censure, le RN ne les votait plus et n’en déposait plus ». Et de conclure : « Ils veulent jouer les sages, les responsables, les gentils. Passer entre les gouttes médiatiques, être même bien vus de la Macronie qui réservera ses flèches à LFI. »

Dans la même veine, Laurence Trochu, présidente du Mouvement conservateur, proche de Reconquête, dénonce sur X l’absence de Marine Le Pen lors du vote. Selon elle, la patronne du groupe RN à l’Assemblée « déserte le terrain de l’immigration et torpille les propositions de la droite ».

À ce sujet — Immigration : Dénonciation de l’accord France-Algérie, aux calendes grecques !

« Cela n’aurait rien changé »

De ces accusations, le Rassemblement national se défend. Vice-présidente du RN, Edwige Diaz nous dit regretter les propos de Florian Philippot qui « semble habitué aux thèses complotistes, ces temps-ci ». Et d’ajouter : « Il tente de monter de fausses accusations et raconte n’importe quoi. C’est dommage. Je l’ai peu connu lorsqu’il était le numéro deux du FN, mais j’étais habituée à des prises de parole plus sérieuses venant de lui. Il faut croire que les choses ont bien changé. »

Sur le fond, la présence ou non des députés RN n’aurait, en définitive, pas changé grand-chose. « Ce vote était une niche LR, développe la députée de Gironde. D’ailleurs, je ferai remarquer à nos détracteurs que douze députés LR n’étaient pas présents. » « Au total, seuls deux groupes, le nôtre et les Républicains, étaient favorables à cette proposition de loi, le rapport de force ne jouait clairement pas en notre faveur. Si nous avions mobilisé l’ensemble de nos députés sur ce texte, Renaissance et la NUPES auraient suivi », explique-t-elle, avant de rappeler : « Ce texte était purement symbolique. Le Parlement ne peut constitutionnellement pas imposer au chef de l’État sa politique étrangère. » Mais pour certains, sur X, les symboles aussi sont importants.

Dans cette affaire, LR se satisfera d’avoir écorné l’image d’élèves parfaits des députés RN et relancé le sujet des accords de 1968 privatisé jusqu’ici par la droite nationale.  Pas de quoi déstabiliser le parti de Bardella et Le Pen, selon Edwige Diaz : « Dès que LR reprend nos propositions, nous sommes ravis et allons dans leur sens ».

Julien Tellier, Boulevard Voltaire

. Sondage IFOP : les Français musulmans, un peuple dans le peuple

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++ WEBTUBE : Ne dites pas « les » musulmans mais « des » musulmans ! Cette assignation répétée mille fois, assortie à tous les « padamalgam » qui poussent comme des algues invasives dans la sphère du débat, et à une omerta d’acier sur l’islam et l’immigration, a tenté et en partie réussi à étouffer le débat. Manque de chiffres, d’informations précises, chape de plomb, tout aura été utilisé pour maintenir l’aveuglement confortable de l’autruche, la tête profondément enfoncée dans le sable médiatique.

C’est le mérite de cette « Enquête auprès des Français musulmans sur les questions de religion et de laïcité » réalisée par l’IFOP auprès de 1.000 personnes et publiée le 9 décembre : elle perce (un peu) le mystère. Et ce n’est pas le moindre des paradoxes : on doit cet accès de vérité à une chaîne de télévision inconnue (pour l’instant) des Français, Elmaniya.tv« la nouvelle chaîne laïque franco-arabe ». Cette plongée dans la communauté musulmane confirme en réalité bien des constats et bien des craintes. Après quarante ans d’assimilation, de tolérance, de Touche pas à mon pote, de vivre ensemble et de subventions par milliards pour désenclaver les quartiers, la France abrite dans ses frontières un bloc musulman incroyablement homogène. Un défi majeur pour l’unité de la nation.

Le lien à la religion est massif et structurant

Ce bloc est soudé par un attachement massif à sa religion : deux Français musulmans sur trois (66 %) se disent croyants et religieux, contre un Français sur dix (12 %) en moyenne, musulmans compris, donc… On retrouve chez les musulmans de France le ciment religieux qui fit la force des Français jusqu’aux années 1960. Quand la France était encore la France. Les immigrationnistes répètent depuis quarante ans que cette religiosité se dissoudra comme le sucre dans le café au contact de la civilisation française. Des visionnaires ! Il se passe précisément l’inverse !

Les plus religieux sont les jeunes de 25 à 34 ans : trois sur quatre (75 %) se disent croyants et religieux, suivis des… « moins de 25 ans », qui sont 72 % à se définir de la même manière. En clair, plus on est jeune, plus on est religieux : les musulmans de 35 à 49 ans (60 % de croyants et religieux) et de plus de 50 ans (58 %) sont bien plus religieux que les Français de leur âge mais le sont nettement moins que les générations de musulmans plus jeunes. De la même manière, chez les musulmans de France, plus on est diplômé ou en responsabilité, plus on est religieux. Les diplômés des 2e et 3e cycles sont bien plus pratiquants que les niveaux inférieurs au bac (77 % contre 53 %), les cadres et professions intellectuelles supérieures pratiquent plus que les ouvriers (74 % contre 65 %), les dirigeants d’entreprise musulmans plus que les chômeurs (77 % contre 60 %). Le lien à la religion est massif, structurant : chez les musulmans non pratiquants, 42 % se disent croyants et religieux !

Ils ne connaissent pas le doute

La religion est chez eux bien plus qu’une culture, une certitude : trois Français musulmans sur quatre (75 %) estiment qu’il n’y a qu’une seule vraie religion, contre 17 %, en moyenne, pour l’ensemble des Français, musulmans compris. Cette religion a une influence dans les choix alimentaires pour 85 % d’entre eux (contre 19 % pour les adeptes des autres religions, parmi lesquelles le christianisme ou le judaïsme), dans leur vie intime et personnelle (79 %) et leur façon de s’habiller (63 %), comme dans les activités culturelles ou les choix politiques (51 %).

Là encore, l’intégration, l’assimilation à la française et autres modèle français servis jusqu’à la nausée débouchent sur une faillite qui touche au désastre : 43 % des musulmans français ont déjà porté des tenues traditionnelles type abayas, 31 % ont des amis qui en ont porté. Surtout, 64 % des moins de 25 ans ont porté ces tenues, contre 27 % des 50 ans et plus : plus on est jeune, plus on pratique et moins on s’intègre dans la culture vestimentaire française. Dernier baromètre, et pas des moindres, la réaction des musulmans français face à l’assassinat (atroce) de l’enseignant Dominique Bernard. 16 % parmi les musulmans ne condamnent… pas totalement le geste de l’assassin. Plus inquiétant, encore, chez les jeunes musulmans encore scolarisés, cette proportion monte à 31 %, près d’un sur trois.

Ce n’est pas un État dans l’État, c’est pire. Une communauté de plus en plus radicale au fur et à mesure qu’on descend en âge enfonce un coin d’acier dans la population française. Ce sondage aux allures de tocsin sonné à toute volée devrait dresser toute la classe politique unanime face au danger. Mais la Macronie étant ce qu’elle est, soit un parti européen, mondialiste et passionnément immigrationniste, le rythme des arrivées (500.000 par an) n’est pas près de faiblir. Restent les scrutins européen et présidentiel, l’amour de la France et le goût de l’unité, toujours possibles à un pas du naufrage.

Marc Baudriller, Boulevard Voltaire

. Vous avez réélu Macron ? Il jubile et va déposséder les Français de leur pays.

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++ WEBTUBE : Vous aurez bientôt des migrants dans chaque recoin de France, que vous le vouliez ou non. Seul Éric Zemmour nous aurait évité la descente aux enfers, mais les Français n’ont toujours pas compris que Macron est là pour détruire la nation, sa culture, son histoire et son peuple. C’est un mondialiste ennemi juré des patriotes, qui n’a d’autre ambition que de déposséder les Français de leur pays.

Ce mépris du peuple est digne d’une dictature. Macron agit avec la complicité des élites qui rasent les murs et le craignent, avec la bienveillance des médias subventionnés et surtout avec la bénédiction des juges qui bénissent cette politique de gauche inespérée de la part d’un ex-banquier. Même Mélenchon ne peut rêver mieux. Macron n’a pas de majorité mais il fait ce qu’il veut puisqu’il n’y a aucune opposition à sa politique de destruction. Le parlement est inexistant.

https://programme.ericzemmour.fr/

La colère des territoires ne cesse de monter et les maires des petites communes sont pris entre la marteau et l’enclume. Ils sont menacés quelle que soit leur position.

Soit ce sont des élus de gauche favorables au programme de répartition voulu par Macron, qui sont la cible des citoyens refusant l’accueil des migrants compte tenu du naufrage du vivre-ensemble. Soit ce sont des maires hostiles à l’accueil de migrants et ce sont alors les associations qui leur tombent dessus, les taxant de racisme quand ce n’est pas de nazisme.

Le problème est simple. La France est submergée d’année en année car Macron se refuse à fermer les frontières. Sa loi immigration, la 30e depuis 1980, vise tout simplement à régulariser des centaines de milliers de clandestins et à ouvrir les frontières encore davantage, pour plaire au patronat.

Or, nous sommes le pays qui travaille le moins en Europe avec nos 35 heures et la retraite plus tôt que chez nos voisins. La France n’a pas besoin d’immigrés, elle a besoin de travailler davantage. Il faut aussi mettre au travail les immigrés assistés.

Chaque année, ce sont plus de 500 000 immigrés légaux qui débarquent, auxquels il faut ajouter les clandestins qui se savent inexpulsables. Les expulsions ont été divisées par deux en quelques années et sont devenues anecdotiques, malgré les déclarations d’autosatisfaction de Darmanin. Il ment, puisque les pays n’accordent pas les laissez-passer consulaires indispensables au retour des clandestins.

Darmanin reconnait qu’il y a entre 600 000 et 700 000 clandestins sur le territoire. Où les mettre puisqu’ils sont inexpulsables compte tenu des lois européennes et du refus de coopérer des pays d’émigration ?

50 % des demandeurs d’asile se retrouvent en Île-de-France. Macron a donc décidé d’en envoyer 2 000 par mois en province, selon la répartition de la carte ci-dessus. Car avec les JO de 2024, ce sont 15 millions de touristes qui pourront mesurer le succès du multiculturalisme, en observant les campements sauvages et les bidonvilles qui fleurissent en masse en Île-de-France. Paris est devenue le Calcutta des années cinquante, le déversoir de toute la misère du monde. Mais Macron va répartir le fléau.

Toutes les régions sont concernées, sauf la Corse qui ne possède pas de CADA et n’en veut pas. La Corse aux Corses, c’est bien connu et je leur donne raison, compte tenu du naufrage de l’intégration. D’ailleurs le Figmag écrit : “La Corse n’a pas de CADA pour des raisons qu’il n’est pas utile de préciser”. Voilà qui est joliment dit.

En attendant, les riverains de ces centres d’hébergement pour migrants sont ravis.

Tout se passe bien selon le gouvernement et les associations.

Mais tout va plutôt mal selon les habitants du quartier, vite lassés du bruit, des insultes, des violences, avec parfois le trafic de drogue pour faire bonne mesure. Dans un quartier de Nice, 40 % des interpellés pour trafic de drogue sont des MNA.

Certains riverains découvrent que la campagne tranquille est finalement invivable. Le choc des cultures est dévastateur. Les migrants perturbateurs sont chez eux et le disent. Les plaintes et les pétitions ne changent rien. Macron, qui a délégué la gestion des migrants aux associations, continue son travail de démolition de la nation.

Il peut se réjouir de son bilan. Jamais la France n’a été aussi délabrée de façon irréversible.

Mais à part Zemmour, qui s’en soucie ? Il n’y a plus d’opposition depuis que le RN et LR se sont recentrés et proposent des programmes euro-compatibles et islamo-compatibles.

Le seul opposant qui propose un programme efficace et crédible pour sauver la France du naufrage identitaire, c’est Zemmour. Il n’a aucune ambition personnelle et veut seulement qu’un candidat applique son programme pour éviter à la France de nos ancêtres de disparaître à jamais.

Les Français ne l’ont pas compris et ils risquent de pleurer jusqu’à la fin des temps, car en politique comme dans la vie, on paie toujours le prix de ses erreurs.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Immigration: comment l’État diffuse le problème dans toute la France

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++ WEBTUBE : Alors que le projet de loi de Gérald Darmanin est débattu à l’Assemblée, le «schéma national d’accueil des demandeurs d’asile et d’intégration des réfugiés» organise leur dispersion sur tout le territoire. Les dispositifs ont beau être saturés, des centres pour migrants sont implantés jusque dans les villages, au mépris de l’avis des populations locales.

(…) Ludivine Fassiaux préside l’Union bélâbraise, l’association créée pour empêcher l’installation du Cada. Ses parents tiennent la supérette de Bélâbre depuis 2010 mais avant de s’établir dans la région, la famille a beaucoup bourlingué. À 26 ans, cette mère de deux enfants a vécu l’arrivée massive d’étrangers non européens dans les quartiers populaires où elle a successivement habité. À Carcassonne, petite fille, elle a vu un garçon de son âge prendre un coup de marteau sur la tête. Il avait «manqué de respect» à un Maghrébin. À Montpellier, les dealers rackettaient son père quand il rentrait chez lui. La famille habitait la Paillade, quartier «sensible» rebaptisé depuis la Mosson. Aujourd’hui, Ludivine Fassiaux est à Châteauroux, à cinquante minutes de voiture de Bélâbre.

www.lefigaro.fr

. Eric Eemmour est l’invité de ce premier format livre noir exclusivement dédié à l’X (Twitter)

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++ WEBTUBE : Son offensive contre Jean-Luc Mélenchon, sa réponse à Jordan Bardella, son avis sur Crépol et la guerre de civilisation.

. Immigration : Dénonciation de l’accord France-Algérie, aux calendes grecques !

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++ WEBTUBE : Il fallait s’y attendre : la proposition de résolution déposée par les LR à l’Assemblée nationale pour demander au gouvernement de dénoncer l’accord franco-algérien a été rejetée ce 7 décembre. 114 députés seulement (LR, RN et, à souligner, les députés Horizons, le parti d’Édouard Philippe) ont voté cette résolution, 151 ont voté contre, dont la Macronie. Donc, on continue comme avant.

Pour ou contre la dénonciation : la ligne de partage

Comme avant et comme toujours, peut-on même dire, puisque cet accord remonte à 1968, au sortir de l’indépendance de l’Algérie et dans la lignée des accords d’Évian. On continue comme avant, c’est-à-dire notamment avec des conditions de regroupement familial plus favorables que celles accordées aux ressortissants des autres pays. En déposant cette résolution, les LR savaient très bien qu’elle avait peu de chance de prospérer. On dira que c’est de la posture politicienne mais, objectivement, cela aura eu le mérite de fixer la ligne de partage des eaux sur cette question. Celle qui sépare désormais, d’une part, ceux qui veulent toujours plus d’immigration, par idéologie, électoralisme ou paresse intellectuelle, auxquels on peut joindre ceux qui marchent en crabe sur ce dossier, notamment au sein du camp macroniste, et, d’autre part, ceux qui disent tout simplement « Stop, ça suffit ». Ce sujet de l’accord franco-algérien, sur fond de repentance plus ou moins rentrée vis-à-vis de notre ancienne possession et d’esprit revanchard exacerbé et largement surexploité par le pouvoir FLN en Algérie, est en passe de devenir une sorte d’Arlésienne de notre débat politique national. Édouard Philippe, qui a commencé à envoyer des cartes postales à la droite en vue de 2027, a plaidé, dans les colonnes de L’Express, en juin dernier, pour la dénonciation de cet accord. D’où le vote de ses députés, ce 7 décembre. Une position défendue par notre ancien ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt que BV avait interviewé sur ce sujet en mai dernier.

À ce sujet — [Entretien] « Il faut renégocier ou dénoncer l’accord de 1968 avec l’Algérie »

Surtout ne pas se fâcher avec l’Algérie…

Mercredi, à la veille de ce vote, Élisabeth Borne, dans les colonnes du Figaro, a affirmé qu’une renégociation de cet accord était « à l’ordre du jour ». Œillade aux LR qui envisagent de ne pas voter la loi Immigration de Darmanin. Mais qui sait lire entre les lignes comprend tout de suite qu’on ne sait pas si ce jour est pour demain, après-demain ou pour les calendes grecques ! « Dans les conclusions du quatrième comité intergouvernemental de haut niveau France-Algérie, qui s’est tenu en octobre 2022, nous avions évoqué l’ouverture de discussions en vue d’un quatrième avenant à cet accord », déclare le Premier ministre, qui parle mieux la langue de bois que l’arabe. En clair, on s’appelle et on en reparle plus tard. Et notez bien qu’il est question d’un simple avenant et non d’une dénonciation de l’accord. Ajoutez à cela la position d’un Emmanuel Macron opposé à la remise en cause de cet accord au prétexte qu’il risquerait de compromettre les relations franco-algériennes (il est vrai qu’elles sont excellentes !), vous aurez compris que l’affaire, à ce jour, est pliée.

Le Parlement n’aurait donc pas son mot à dire ?

Du reste, le chef de l’État, selon BFM, en aurait profité pour tacler son ancien Premier ministre qui soutient la résolution LR à travers les députés Horizons, en déclarant : « Je n’avais pas compris que la politique étrangère de la France était définie au Parlement. » Un peu facile, comme sortie ! Car rappelons, aux termes de l’article 53 de la Constitution, que les traités qui engagent les finances de l’État, ceux qui modifient des dispositions de nature législative ou qui sont relatifs à l’état des personnes, nécessitent une ratification du Parlement. Et cet accord France-Algérie impacte bien tout cela. Une « politique étrangère » ayant des conséquences aussi lourdes sur une aussi longue période dans l’équilibre social et sociétal d’une nation relève à l’évidence de la souveraineté nationale. Souveraineté nationale qui « appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants [le Parlement] et par voie du référendum », nous dit la Constitution. Par ailleurs, faut-il rappeler ou apprendre à Emmanuel Macron que le gouvernement « conduit la politique de la nation » (la politique tout court et non pas seulement la politique intérieure !) et que ce même gouvernement est responsable devant le Parlement ? Mais, au fait, en Macronie, c’est quoi, déjà, le Parlement ?

Georges Michel, Boulevard Voltaire