++ WEBTUBE : Damien Rieu nous fait l’honneur de sa présence dans le fauteuil de Livre Noir. Dans cet entretien exclusif de plus d’une heure, il nous dresse son constat de l’état sécuritaire de notre pays, revient sur l’attaque de Crépol, nous livre quelques anecdotes sur son passé de militant et prend le temps de nous parler de ses procès face aux islamistes.
++ WEBTUBE : Renaud Camus, écrivain et Arthur de Watrigant, directeur de la rédaction de l’Incorrect, présentent le dernier numéro du magazine L’Incorrect : “Pophètes et parias”.
++ WEBTUBE : La nuit, le quartier de la Confluence à Lyon peut vite se transformer en coupe-gorge à la sortie des établissements du quai Rambaud. Ce week-end encore, comme les vidéos publiées par LyonMag l’attestent, la violence a franchi un cap alors qu’un automobiliste tentait de fuir, percutant plusieurs véhicules tandis que des individus cherchaient à le stopper en brisant ses vitres à coups de pieds et de poings.
Pour Pierre Oliver, maire LR du 2e arrondissement, il faut agir. Après être allé constater sur place avec son adjoint à la Sécurité que le manque de présence importante de forces de l’ordre rendait le quartier très anxiogène, le patron de la droite lyonnaise préconise un barriérage entre les deux passages Panama et Magellan. Cela permettrait de mettre des policiers “qui filtrent pour éviter que ces bandes armées venues du sud ou de l’Est lyonnais dépouillent les jeunes qui sortent de soirée“.
Pierre Oliver estime qu’il y avait la même problématique rue du Président Edouard Herriot et que Gérard Collomb, avec la préfecture du Rhône, avait trouvé la solution en y interdisant la circulation le soir venu.
++ WEBTUBE : Deuxième prédiction : l’islam. Avant même les attaques du 11 Septembre, Huntington prévoyait la résurgence du conflit millénaire entre l’islam et l’Occident. « Certains Occidentaux, comme le président Bill Clinton, soutiennent que l’Occident n’a pas de problèmes avec l’islam, mais seulement avec les extrémistes islamistes violents. Quatorze cents ans d’histoire démontrent le contraire », écrit Huntington, ajoutant : « Au XXe siècle, le conflit entre la démocratie libérale et le marxisme-léninisme n’est qu’un phénomène historique superficiel en comparaison des relations sans cesse tendues entre l’islam et le christianisme. » Il prédisait que celles-ci allaient s’accentuer au XXIe siècle, du fait du désir de revanche postcolonial des pays musulmans et des prétentions universalistes arrogantes de l’Occident.
++ WEBTUBE :En 2022, le prénom Mohamed et ses dérivés se place 6ème des prénoms les plus donnés chez les garçons nés France (INSEE) Les dix premiers prénoms pour les garçons nés en France : 1 : Gabriel2 : Léo3 : Raphaël4 : Maël5 : Louis6 : Mohamed*7 : Noah8 : Jules9 : Arthur10 : Adam INSEE *et ses dérivés (L’INSEE sépare par groupe distinct chaque différente façon d’écrire Mohamed) On recense 50 orthographes ou translitérations de l’arabe pour le prénom Mohammed. Mahamed, Mohamad, Mohamed, Mohammad, Mohammed, Mouhamad, … Lire la suite
Yves Calvi abasourdi lorsque Jérôme Fourquet lui apprend que « 1 enfant sur 5 qui naît en France aujourd’hui a un prénom arabo-musulman »pic.twitter.com/d2BkCx6Ysu
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) December 13, 2023
++ WEBTUBE : Des semaines que ça dure, que les panneaux des entrées de villes sont retournés pour dire qu’on marche sur la tête, et ce qui a commencé comme une opération de communication des jeunes agriculteurs a désormais gagné tout le pays.
Quel avenir notre gouvernement veut-il vraiment donner à notre agriculture 🇫🇷 🚜 en nous empêchant constamment de faire notre métier !? Nous allons dans le mur et vers une dépendance alimentaire à des pays ne respectant pas les normes qui nous sont imposées !#OnMarcheSurLaTetepic.twitter.com/zbmz04xghq
Le parfum du lisier n’est pas encore remonté jusqu’à la capitale, et tant que l’odeur du fumier ne pique pas le nez des petits marquis qui nous gouvernent, cela n’existe pas. La misère paysanne n’est même pas « un sentiment » dans le cerveau de Madame Borne…
Un rapport sénatorial publié fin septembre 2022 nous apprend qu’en vingt ans, la France est passée du 2e au 5e rang mondial des exportateurs de produits agricoles, et même si la balance commerciale était encore excédentaire, tous s’accordent à dire que la situation de notre agriculture se dégrade inexorablement.
– 1 poulet sur 2 consommés en France est importé ; – 56 % de la viande ovine consommée en France sont d’origine importée ; – 28 % de la consommation de légumes et 71 % de la consommation de fruits sont importés.
De plus, dit ce rapport, il convient de s’interroger « sur l’ambition gouvernementale du “tout montée en gamme“ », soit une « stratégie qualitative inadaptée à la baisse actuelle du pouvoir d’achat et à la hausse des prix ». Conséquence, « les marchés “cœur de gamme”, les plus consommés par les Français sur le marché intérieur, sont de plus en plus occupés par les produits d’importation ». Produits d’importation qui, eux, se rient des normes imposées aux agriculteurs français.
On apprend également dans ce rapport à en-tête du gouvernement français que « 70 % des pertes de parts de marché s’expliquent par la perte de compétitivité par rapport aux autres pays producteurs » ; cela, pour les raisons évoquées ci-dessus bien sûr, mais auxquelles il faut ajouter le coût du travail beaucoup plus élevé que chez nos fournisseurs proches ou lointains, « le niveau élevé d’exigence des politiques environnementales, coûteux pour les producteurs », la fiscalité de production, etc.
Pour parler clairement, nos agriculteurs avancent avec des boulets aux pieds. Ils produisent mieux que leurs voisins mais beaucoup plus cher. Comme l’explique à France 3 Régions le président des Jeunes Agriculteurs de l’Hérault : « On fait rentrer du vin d’Espagne qui utilise des produits que nous n’avons plus le droit d’utiliser depuis des années. On n’est plus du tout concurrentiel. On n’a plus du tout de prix rémunérateurs, on ne joue plus dans la même cour. »
Satisfaire les instances européennes
Dans la tribune qu’ils ont publiée dans Le Point, David Lisnard, maire (Nouvelle Énergie) de Cannes, président de l’AMF, et Yves d’Amécourt, viticulteur connu des lecteurs de BV, dénoncent « le ras-le-bol des agriculteurs français, les bons élèves de l’Europe » que le gouvernement laisse dépérir pour satisfaire les instances européennes et ménager son aile écolo-gaucho. C’est que le grand prêtre du « en même temps » qui trône à l’Élysée ne veut pas fâcher son aile verte, celle des allumés qui dansent le twerk pour arrêter la pluie.
Pourtant, « l’agriculture française est reconnue mondialement comme l’une des plus saines et des plus respectueuses de l’environnement, en progrès permanent », écrivent Lisnard et d’Amécourt, « mais on n’arrête pas de la vilipender au lieu de la féliciter, de l’encourager et de la promouvoir ! » Le désespoir saisit la profession : « Aujourd’hui, près d’un quart des agriculteurs vit sous le seuil de pauvreté. Et en trente ans, le revenu net de la branche agricole a baissé de près de 40 % en euros constants. »
Alors, que veut-on ? Quel est l’objectif des crânes d’œuf qui empilent les normes et asphyxient l’agriculture française sous la paperasserie ? Veut-on achever le dernier fleuron qui nous reste ?