++ WEBTUBE : C’est la fin de l’année, c’est le moment de vous proposer une sélection de morceaux que nous avons diffusé sur ce site en 2023 : Andre Crom – Tell Me – David August Remix ; Artifice – Sohn ; Boogie Belgique – Forever and Ever ; Cayetano – Got To Walk On ; Chicago – Boogie Belgique ; Copenema – Te Faz Bem ; Curtis Harding – Hopeful ; Danger Mouse and Black Thought – Belize ; Dark Thought – James Blunt ; Doombird -Sheer ; Feel it Still – Portugal The Man ; Gabin – Into My Soul ; Gary B – Bitter Sweet ; In Private – Dusty Springfield ; Jose James – Lovely Day ; Lego Boy & Beat Ride – Shadow Or Not ; Like I used to – Saron van Etten and Angel Olsen ; Little Lies – Fleetwood Mac ; More Than Ever People – Levitation ; Muse – Starlight ; Prayin – Plan B ; Röyksopp – Running To The Sea ; Röyksopp & Robyn – Every Little Thing ; Simply Red – Money’s Too Tight To Mention ; Summer in the City Quincy Jones ; The Ketchup Song – Aserejé ; The War on Drugs – Pain ; The way I feel – Adrian Gurvitz ; Travis – Closer ; Tunnel of love – Cannons ; Zucchero – Baila Morena
++ WEBTUBE : France 2 milite pour la régularisation des clandestins et ne s’en cache pas. Alors que le projet de loi Immigration est actuellement débattu à l’Assemblée nationale, la chaîne publique diffusait jeudi 7 décembre son Envoyé spécial sur les fameux « métiers en tension ». Le discours y était peu ou prou le même que celui défendu quelques jours plus tôt par une commissaire européenne : les migrants sont formidables et notre société s’écroulerait sans eux.
Au fait, il gagne combien ce sans-papiers ?
Pour en convaincre le Français encore un peu sceptique, l’inénarrable Élise Lucet s’est rendue dans un restaurant italien du 15e arrondissement de Paris où l’attendait Gianni, le patron des lieux. L’homme était prêt. Sa tirade en hommage à Bakari, son employé sans-papiers, a été parfaitement recrachée : « Il est super. Tous les jours, il est là, toujours en avance, jamais en retard, jamais absent. Trouvez-moi un seul Français qui fait ce que Bakari fait aujourd’hui ! Personne ne veut faire la plonge, personne ne veut faire du nettoyage avec des horaires pas possibles. Plus personne ne veut faire ça. » En face, la journaliste était à deux doigts d’applaudir.
Elle a encore redoublé d’admiration lorsque le restaurateur s’est mis à détailler les trésors de malice dont il a fait preuve pour que son protégé puisse se maintenir sur le territoire. Toute occupée à hocher de la tête, Élise Lucet a malencontreusement omis d’interroger le restaurateur sur le salaire auquel il paie le courageux Bakari. Il faut croire qu’on ne parle pas de ces choses bassement matérielles sur France TV… Le mystère restera également entier sur les conditions de vie du migrant. Quelles sont ses aides et allocations perçues ? Où et par qui est-il logé ? L’histoire ne le dit pas, mais l’essentiel était ailleurs : faire la promotion de l’esclavage moderne à une heure de grande écoute.
Salauds de Français !
L’émission de service public s’est poursuivie avec le témoignage émouvant d’autres clandestins « absolument indispensables ». « Il n’y a pas que dans la restauration que des travailleurs sans-papiers sont devenus essentiels », assène alors la présentatrice dont la voix se voile lorsqu’elle évoque ces forçats qui « se rendent tous les jours au travail avec la peur au ventre, la peur d’être arrêtés ».
Exemple dans les exploitations agricoles bretonnes où les illégaux originaires d’Afrique tiennent le haut du pavé. On y croise notamment ce Guinéen de 26 ans, employé illégalement dans le ramassage des cocos de Paimpol. « Je n’ai jamais vu un Français qui travaille dans les champs depuis que j’ai commencé. Les Africains, eux, ne connaissent pas de sous-métiers. Vous, les Français, vous avez peut-être honte de travailler dans les cocos. Nous, on ne choisit pas, on n’a pas honte de venir chercher de l’argent dignement, de nous salir pour gagner l’argent. » Imaginez un seul instant de tels propos tenus par un Blanc à l’encontre des Africains ! Le malheureux serait déjà en garde à vue pour incitation à la haine raciale.
🔴 "Les Africains eux ne connaissent pas de sous-métiers. On n'a pas honte de venir chercher de l'argent dignement.”
En Bretagne, de plus en plus d'étrangers sont employés dans le secteur du maraîchage.
Mais ce racisme-là passe crème sur les antennes de service public. Tout comme la promotion éhontée de l’immigration illégale. Le combat des gauchistes à carte de presse est clair comme de l’eau de roche : favoriser l’immigration, régulariser les sans-papiers et accorder ensuite les mêmes droits à tous, nationaux comme étrangers. Car, dans leur émission, les journalistes d’Envoyé spécial n’ont pas manqué de s’indigner du fait que les travailleurs africains n’ont droit ni à l’assurance maladie, ni au chômage, « contrairement aux salariés français ». On devine déjà leur prochain cheval de bataille : la fin de toute préférence nationale et l’octroi du droit de vote aux étrangers.