++ WEBTUBE : Alors que le projet de loi de Gérald Darmanin est débattu à l’Assemblée, le «schéma national d’accueil des demandeurs d’asile et d’intégration des réfugiés» organise leur dispersion sur tout le territoire. Les dispositifs ont beau être saturés, des centres pour migrants sont implantés jusque dans les villages, au mépris de l’avis des populations locales.
(…) Ludivine Fassiaux préside l’Union bélâbraise, l’association créée pour empêcher l’installation du Cada. Ses parents tiennent la supérette de Bélâbre depuis 2010 mais avant de s’établir dans la région, la famille a beaucoup bourlingué. À 26 ans, cette mère de deux enfants a vécu l’arrivée massive d’étrangers non européens dans les quartiers populaires où elle a successivement habité. À Carcassonne, petite fille, elle a vu un garçon de son âge prendre un coup de marteau sur la tête. Il avait «manqué de respect» à un Maghrébin. À Montpellier, les dealers rackettaient son père quand il rentrait chez lui. La famille habitait la Paillade, quartier «sensible» rebaptisé depuis la Mosson. Aujourd’hui, Ludivine Fassiaux est à Châteauroux, à cinquante minutes de voiture de Bélâbre.
++ WEBTUBE : Son offensive contre Jean-Luc Mélenchon, sa réponse à Jordan Bardella, son avis surCrépol et la guerre de civilisation.
« Le meurtre de #Thomas me hante. » @ZemmourEric est l’invité de ce premier format Livre Noir exclusivement dédié à @X
👉 Son offensive contre Jean-Luc Mélenchon, sa réponse à Jordan Bardella, son avis sur @elonmusk, son ressenti sur #Crepol et “la guerre de civilisations”. pic.twitter.com/tLvE8NAOHW
++ WEBTUBE : Il fallait s’y attendre : la proposition de résolution déposée par les LR à l’Assemblée nationale pour demander au gouvernement de dénoncer l’accord franco-algérien a été rejetée ce 7 décembre. 114 députés seulement (LR, RN et, à souligner, les députés Horizons, le parti d’Édouard Philippe) ont voté cette résolution, 151 ont voté contre, dont la Macronie. Donc, on continue comme avant.
Pour ou contre la dénonciation : la ligne de partage
Comme avant et comme toujours, peut-on même dire, puisque cet accord remonte à 1968, au sortir de l’indépendance de l’Algérie et dans la lignée des accords d’Évian. On continue comme avant, c’est-à-dire notamment avec des conditions de regroupement familial plus favorables que celles accordées aux ressortissants des autres pays. En déposant cette résolution, les LR savaient très bien qu’elle avait peu de chance de prospérer. On dira que c’est de la posture politicienne mais, objectivement, cela aura eu le mérite de fixer la ligne de partage des eaux sur cette question. Celle qui sépare désormais, d’une part, ceux qui veulent toujours plus d’immigration, par idéologie, électoralisme ou paresse intellectuelle, auxquels on peut joindre ceux qui marchent en crabe sur ce dossier, notamment au sein du camp macroniste, et, d’autre part, ceux qui disent tout simplement « Stop, ça suffit ». Ce sujet de l’accord franco-algérien, sur fond de repentance plus ou moins rentrée vis-à-vis de notre ancienne possession et d’esprit revanchard exacerbé et largement surexploité par le pouvoir FLN en Algérie, est en passe de devenir une sorte d’Arlésienne de notre débat politique national. Édouard Philippe, qui a commencé à envoyer des cartes postales à la droite en vue de 2027, a plaidé, dans les colonnes de L’Express, en juin dernier, pour la dénonciation de cet accord. D’où le vote de ses députés, ce 7 décembre. Une position défendue par notre ancien ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt que BV avait interviewé sur ce sujet en mai dernier.
Mercredi, à la veille de ce vote, Élisabeth Borne, dans les colonnes du Figaro, a affirmé qu’une renégociation de cet accord était « à l’ordre du jour ». Œillade aux LR qui envisagent de ne pas voter la loi Immigration de Darmanin. Mais qui sait lire entre les lignes comprend tout de suite qu’on ne sait pas si ce jour est pour demain, après-demain ou pour les calendes grecques ! « Dans les conclusions du quatrième comité intergouvernemental de haut niveau France-Algérie, qui s’est tenu en octobre 2022, nous avions évoqué l’ouverture de discussions en vue d’un quatrième avenant à cet accord », déclare le Premier ministre, qui parle mieux la langue de bois que l’arabe. En clair, on s’appelle et on en reparle plus tard. Et notez bien qu’il est question d’un simple avenant et non d’une dénonciation de l’accord. Ajoutez à cela la position d’un Emmanuel Macron opposé à la remise en cause de cet accord au prétexte qu’il risquerait de compromettre les relations franco-algériennes (il est vrai qu’elles sont excellentes !), vous aurez compris que l’affaire, à ce jour, est pliée.
Le Parlement n’aurait donc pas son mot à dire ?
Du reste, le chef de l’État, selon BFM, en aurait profité pour tacler son ancien Premier ministre qui soutient la résolution LR à travers les députés Horizons, en déclarant : « Je n’avais pas compris que la politique étrangère de la France était définie au Parlement. » Un peu facile, comme sortie ! Car rappelons, aux termes de l’article 53 de la Constitution, que les traités qui engagent les finances de l’État, ceux qui modifient des dispositions de nature législative ou qui sont relatifs à l’état des personnes, nécessitent une ratification du Parlement. Et cet accord France-Algérie impacte bien tout cela. Une « politique étrangère » ayant des conséquences aussi lourdes sur une aussi longue période dans l’équilibre social et sociétal d’une nation relève à l’évidence de la souveraineté nationale. Souveraineté nationale qui « appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants [le Parlement] et par voie du référendum », nous dit la Constitution. Par ailleurs, faut-il rappeler ou apprendre à Emmanuel Macron que le gouvernement « conduit la politique de la nation » (la politique tout court et non pas seulement la politique intérieure !) et que ce même gouvernement est responsable devant le Parlement ? Mais, au fait, en Macronie, c’est quoi, déjà, le Parlement ?
++ WEBTUBE : Ce n’est pas parce que les regards se sont déportés vers Gaza qu’il ne se passe plus rien sur le front ukrainien. Après l’échec de la contre-offensive, Kiev entre dans le dur. Les tensions privées surgissent aux yeux du public et les alliés occidentaux s’interrogent sur les suites à mener. Ce qui se disait à bas mot début septembre est désormais évoqué publiquement et ouvertement : la contre-offensive ukrainienne a échoué, or il s’agissait d’un fusil à un coup. Pire, l’armée ukrainienne est à bout. Si les pertes ne sont pas rendues publiques, la liste des morts et des blessés s’allonge. Le découragement touche les populations civiles, qui comprennent que l’armée ne pourra pas reprendre les 20% du territoire tenu par la Russie. Pour Kiev, l’enjeu n’est plus de percer, mais de tenir ; le risque étant une rupture du front conduisant à une avancée des troupes russes qui pourrait mettre la capitale en danger. Dans ces conditions, que faire ? Négocier avec la Russie pour reconnaitre la perte des territoires et sécuriser l’Ukraine restante ou continuer les combats jusqu’à entrer dans une troisième année de guerre ?
Cordon ombilical occidental
Sans l’aide de l’Occident, l’Ukraine ne pourra pas résister. Après avoir refusé une première fois de voter une rallonge budgétaire, le Congrès américain est sommé par Joe Biden de dégager cette fois des fonds en faveur de Kiev. « Sans une action du Congrès d’ici la fin de l’année, nous serons à court de ressources pour acheter des armes et des équipements à l’Ukraine et pour fournir du matériel provenant des stocks de l’armée américaine » écrit la directrice du Bureau de la gestion et du budget aux dirigeants du Sénat et de la Chambre des Représentants. Le choix leur est posé de façon claire : soit vous votez une nouvelle aide, soit l’Ukraine sera asphyxiée. Mais si les Démocrates sont plutôt enclins à l’aide, ce n’est nullement le cas des Républicains qui estiment que l’Amérique a assez donné et qu’elle devrait plutôt aider le Kansas ou l’Arizona. C’est une question de politique internationale, mais surtout de politique intérieure, nombreux étant les Américains qui ne désirent guère payer pour l’Ukraine. Le pays est loin, souvent mal situé sur les cartes, et l’intérêt d’une aide US ne leur saute pas aux yeux, surtout au moment où la Chine se révèle être la véritable menace.
Les interrogations viennent aussi d’Europe. Le Royaume-Uni fera comme les États-Unis puisque leur politique étrangère est calquée sur Washington. La Hongrie, la Slovaquie et la Pologne commencent à émettre des doutes publics. Non qu’ils ne veuillent pas aider l’Ukraine, mais ils sont réticents à aider un pays qui ne pourra pas gagner. À quoi bon dépenser autant d’argent et faire mourir des jeunes Ukrainiens pour ne pas percer le front et devoir négocier un cessez-le-feu dans quelques mois ? N’est-il pas tant d’arrêter le massacre et de trouver une solution de sécurité pérenne à l’Ukraine ? Tel est en substance ce qui se pense et ce qui se dit dans la Mittle Europa.
Zelensky ne s’y est pas trompé. Après s’être rendu à Washington en septembre, c’est en visioconférence qu’il devait s’adresser à des membres du Congrès le 5 décembre afin de les convaincre de poursuivre l’aide financière. Une réunion finalement annulée à la dernière minute, sans explication. Beaucoup y voient une rétrogradation de Zelensky, dont les portes américaines sont en train de se fermer. Sans ses soutiens internationaux, il va avoir beaucoup de mal à peser sur la politique intérieure.
Remises en cause ukrainiennes
L’enlisement aiguise les couteaux. Après l’entretien du chef d’état-major dans The Economist pour annoncer l’échec de la contre-offensive, c’est le maire de Kiev qui s’est levé contre Zelensky dans un entretien au Spiegel. En cause, le report de l’élection présidentielle prévue en mars 2024. Le président sortant fait justement remarquer qu’il n’est possible d’organiser une campagne électorale et une élection dans un pays en guerre. Comment faire voter les soldats mobilisés sur le front, les Ukrainiens réfugiés à l’étranger où ceux qui vivent en zone occupée par la Russie ? Une campagne, c’est aussi la confrontation d’idées et de stratégies différentes. On voit mal la stratégie à suivre face à la guerre et à la Russie débattue à la télévision et dans les journaux. Ce qui est possible en temps de paix ne l’est pas en temps de guerre. Mais beaucoup craignent que la démocratie soit suspendue trop longtemps et surtout que la centralisation du pouvoir effectuée durant le conflit ne soit pas relâchée à la fin de celui-ci. Le maire de Kiev, Vitali Klitschko, fait ainsi remarquer que seules les communes conservent une part de libertés locales. Pour les autres strates, le pouvoir a été capté par l’État. À quoi se battre pour la démocratie si l’Ukraine la foule aux pieds, exprime en substance le maire de Kiev : « À un moment donné, nous ne serons plus différents de la Russie, où tout dépend du caprice d’un seul homme ». Zelensky appréciera d’être comparé à Poutine.
Divisions internes
Des divergences de vues qui sont exprimées dans la presse internationale, anglaise et allemande, les deux pays qui quittent en Europe pour l’Ukraine. Ces entretiens sont autant adressés à l’opinion internationale qu’aux Ukrainiens eux-mêmes. Ils témoignent des divergences de plus en plus fortes qui se cristallisent au sein de l’appareil d’État ukrainien. Des divisions qui sont révélées au grand public par un article du Washington Post, (4 décembre), journal propriété de Facebook. La contre-offensive devait initialement débuter en avril. Ayant été reportée d’un mois pour des raisons encore non élucidées, les Russes ont exploité ce retard pour renforcer leurs lignes de défense, rendant l’attaque ukrainienne d’autant plus difficile. Une armée ukrainienne qui est regardée avec condescendance comme étant incapable de se mettre au niveau des normes OTAN. L’échec suscite des attaques lourdes, parfois autant démesurées que l’était le soutien sans faille de l’été 2023.
Au regard de tous ces éléments, la guerre en Ukraine entre dans ses dernières semaines. Le conflit devrait trouver une issue au printemps 2024, issue qui dépendra beaucoup du rapport de force à ce moment-là. Il restera deux dossiers extrêmement compliqués : la levée des sanctions économiques contre la Russie et l’établissement d’un arc de paix et de sécurité en Europe.
++ WEBTUBE : On apprend beaucoup de choses dans cette vidéo. En particuliers comment Philippe de Villiers s’est construit et son parcours depuis sajeunesse jusqu’à aujourd’hui. Un portrait attachant où on ne peut qu’être adminratif devant le courage de cet homme. A regarder en totalité sans attendre !
++ WEBTUBE : Elon Musk vient de faire un nouveau coup superbe que je dois vous raconter au cas où vous n’en auriez pas entendu parler.Voici l’histoire. Et je vous la fais simple.
Elon Musk s’était plus ou moins pris de bec avec l’un des grands annonceurs mondiaux de publicité parce qu’il avait dit quelque chose qui n’avait pas plu à cet auguste personnage. Cet homme, tout gonflé de sa propre importance, avait fait savoir qu’ il songeait à ne plus donner de publicité à X (ex Twitter), la société qu’Elon Musk avait rachetée.
Quelques jours après a lieu le grand rassemblement annuel à New York de tous les grands annonceurs, agences de publicité, journaux, presse écrite, télévisions…tous empressés à cirer les pompes de Google, Netflix, Disney et autres Facebook.
Devant cette immense assemblée, Elon Musk, seul sur le podium, est interrogé par un jeune journaliste qui lui demande ce qu’il comptait faire pour regagner les faveurs du redoutable personnage qui avait menacé de ne plus donner de publicité à X. Je crois que cette personne n’était autre que le Président de Walt Disney, devenu la firme spécialisée en productions Woke qui font bide après bide sur les écrans et dont le cours de bourse s’est écroulé depuis qu’il est aux commandes.
La réponse d’Elon Musk au jeune journaliste, plein d’inquiétude à l’idée des déboires qu’X allait subir et qui avait du mal à cacher sa joie à l’idée que Musk soit dans l’embarras restera dans les annales de la presse un peu comme le « merde » de Cambronne à Waterloo
Il répondit simplement : « s’il n’a pas envie de faire de la publicité sur X , qu’il n’en fasse pas « .
Et il ajoute, et je laisse cette phrase en Anglais : « and Bill, You can go and fuck yourself », ce qui peut être traduit en français par «et Bill, tu peux aller te faire empapaouter » et je continue en traduisant, « si tu t’ imagines que tu peux essayer de faire chanter Elon Musk en le menaçant de lui faire perdre de l’argent, tu te trompes lourdement ».
Et pour que tout le monde comprenne bien, il répéta deux fois son message recommandant à l’autre d’aller bien se faire empapaouter
Le pauvre journaliste sur la scène était liquide, et moi regardant la scène sur mon écran quelques jours après, à la fois mort de rire et très satisfait.
Pourquoi très satisfait ?
Je vous explique, en remontant très loin dans l’histoire de la presse
Au XIX -ème le plus grand journal au monde est le Times de Londres, avec des bureaux dans tous les pays et les meilleures signatures du monde Anglo- saxon contribuant au journal.
L’abonnement annuel au journal coûtait le prix du salaire annuel d’un ouvrier, et le journal était immensément respecté. Tant que cela n’avait pas été publié dans le Times, cela ne pouvait être vrai. Arrive la publicité, qui permet de faire baisser le coût de l’abonnement et donc d’augmenter les tirages. Au début, rien ne change, mais petit à petit, plus la publicité augmente, plus la qualité des articles baisse et plus il devient évident que les journalistes n’ont pas vraiment intérêt à dire du mal des annonceurs. Et donc, en l’espace d’un siècle, le pouvoir d’influencer est passé des grands journalistes et propriétaires de journaux aux agences de publicité et aux fabricants de savon et les journaux deviennent des torchons publicitaires faisant concurrence à ce que l’on trouve de nos jours dans sa boite aux lettres.
Et il y a une dizaine d’années, catastrophe ultime, toute la publicité du monde entier se concentre sur les Google, Walt Disney et Facebook de ce monde qui donnent des instructions aux agences de publicité qui sont devenues leurs esclaves leur précisant qui peut parler ou être vu dans les journaux ou sur nos écrans.
Et si vous ne faisiez pas les actes d’allégeance requis, la chance de voir votre tête sur un écran ou en quatrième de couverture sur un livre était à peu près nulle.
Et pour que tout soit pour le mieux dans le meilleur des mondes, ces géants dont le seul but est de faire le bonheur de l’humanité en organisant la crétinisation de toutes les populations se mettent à discuter avec les gouvernements pour qu’ensemble, ils déterminent qui aura le droit de parler et qui ne l’aura pas.
Tous ces beaux arrangements sont révélés par Elon Musk (déjà lui), quand il prend le contrôle de Twitter et montre que le FBI, aux USA, avait des employés résidant à temps plein chez Twitter pour aider la direction à faire les bons choix.
Et du coup, toutes les autres sociétés ont été obligées de cesser de censurer ceux qui ne pensaient pas comme le patron de Disney ou comme l’administration démocrate à Washington.
Ce fut la première immense victoire depuis des lustres de la Liberté d’Expression sur les forces obscures de la bêtise au front de taureau, et nous la devons à un homme et à un seul, Elon Musk.
Et la semaine dernière, il en a remporté une deuxième.
Que s’est-il passé, en termes simples ?
Le patron de Walt Disney et d’autres ont dit à Elon Musk que comme ils payaient pour la pub qu’ils avaient la bonté de donner à X, ils avaient un droit de regard sur ce qu’x publiait par ailleurs.
En d’autres termes, le fait qu’X soit dépendant des recettes [publicitaires fournies par Disney, signifiait que Disney avait un droit de regard sur ce qui passait sur les écrans contrôlés par X.
Ce à quoi, Musk leur a dit (voir plus haut) d’aller bien se faire cuire un œuf et qu’il était seul maître à bord.
Que va-t-il se passer maintenant ?
Tous les consommateurs vont se dire qu’X ne cherche pas à les désinformer tandis que tous les esprits indépendants vont sortir de You Tube ou des autres réseaux soumis aux ordres de Disney ou de Netflix et vont se précipiter pour publier sur X, qui du coup aura tous les contenus intéressants, laissant les autres supports aux mains de gens aussi compétents et aussi indépendants que BFM TV.
Pour conclure.
Ce que Murdoch avait fait aux grandes chaînes de télévision aux USA en créant Fox, ce que Bolloré a fait à BFM TV ou à France 2 en créant C News, Musk est en train de le refaire, mais la puissance 10 à tous les médias officiels aux USA et dans le reste du monde.
Ce type est un génie et son seul but semble être de défendre la liberté d’expression contre tous ceux qui veulent l’attaquer. Je le redis : Soljenitsyne a fait tomber l’empire du mal. Musk fera tomber l’empire du mensonge.
En tant que citoyen, je suis vraiment content comme tout.
En tant que financier, je n’ai qu’un seul regret.
Je ne peux pas acheter Twitter en bourse, ce coquin de Musk a tout gardé pour lui et il n’a rien laissé pour les autres.
Mais je n’ai pas une seconde de doute.
Dès que les résultats de Twitter deviendront étincelants et donc, dès que Twitter pourra être réintroduite en bourse à deux fois le prix qu’il a payé, il sera assez bon je l’espère en tout cas, pour me permettre d’en acheter quelques-unes beaucoup trop chères bien sûr, parce que monsieur Musk ne fait pas de cadeau, mais je crois que j’en achèterai quand même.
++ WEBTUBE : Après avoir visité, cette semaine, les centres de rétention administrative de Bordeaux, Paris et Calais, Edwige Diaz, députée RN et rapporteur de la loi Immigration, a confié à BV sa surprise de voir que beaucoup de migrants arguaient, contre leur expulsion, d’apprentissages menés en France. En marge de l’embauche des clandestins dans les métiers « en tension » et de la régularisation massive qu’associations et institutions désirent, il est intéressant de se pencher sur la place des mineurs non accompagnés (MNA) dans nos filières d’apprentissage.
Même clandestins, les mineurs non accompagnés (MNA) ne sont pas considérés comme étant en situation irrégulière, en raison de leur âge, et sont pris en charge par l’aide sociale à l’enfance (ASE). Un migrant a donc tout intérêt à se prétendre mineur : cela lui permet de gagner du temps jusqu’à ses 18 ans, moment où il deviendra irrégulier et donc, en théorie, expulsable. Les associations d’accueil anticipent ce risque en plaçant les MNA en apprentissage. Cela se fait sans difficulté puisque « l’autorisation de travail est accordée de droit aux mineurs isolés étrangers qui sont pris en charge par l’aide sociale à l’enfance ».
Edwige Diaz nous explique qu’elle a eu en main des documents prouvant que la mairie de Saint-Omer a, elle aussi, employé des MNA jusqu’en 2022, par exemple pour l’entretien des espaces verts. Il est probable qu’elle en emploie encore. Le cabinet du maire, François Decoster, n’a pas donné suite à notre demande de renseignements : sujet gênant ?
Faux réfugiés mais apprentis « modèles »
Pourtant, répétons-le, cela n’a rien d’illégal. Mais pourquoi favoriser des mineurs supposés, entrés illégalement et dont bien peu répondent à la définition du réfugié ? Il n’est que de lire les journaux. Garan, malien : « Depuis tout petit, je rêvais de venir en France. »Delwar, bengladais : « Des problèmes familiaux l’ont poussé à l’exil. » Non loin de Saint-Omer, l’usine Elanplast a embauché deux mineurs en apprentissage : Lassana « a quitté la Guinée dans l’espoir de mener une vie meilleure » et Ibrahima « fuyait des problèmes familiaux, au Mali ». On est loin de l’image du migrant fuyant les persécutions ou les catastrophes climatiques, et tout à fait en dehors de la définition officielle du « réfugié ».
De mémoire de patron, on n’a jamais vu des apprentis si compétents, de bonne volonté, intelligents, motivés, etc. Au point que la directrice de restaurant mentionné suprase sert directement chez France terre d’asile : « Maintenant, quand on a besoin d’apprentis, on passe directement par France terre d’asile car on est très satisfaits, c’est important de leur donner une chance dans ce contexte-là. » Mieux vaut être MNA que « de souche » ?
Cynisme associatif
La doxa migratoire veut que les migrants majeurs qui débarquent en Europe soient tous plus ou moins ingénieurs, chirurgiens, pianistes (et spécialistes de Victor Hugo, selon Yann Moix). Les MNA auront un autre destin. En 2021, la directrice de France terre d’asile, Mathilde Moutiez, expliquait :« Quand les jeunes arrivent, on travaille avec eux sur leur projet professionnel, certains rêvent de devenir footballeur, médecin. Notre rôle, c’est de les remettre dans une certaine réalité. »
Quel cynisme ! Cette professionnelle de l’accueil à tout crin n’est pas là pour aider les mineurs dans un projet personnel mais pour diriger cette main-d’œuvre bon marché vers les fameux « métiers en tension », qu’elle énumère : « le bâtiment, le maraîchage, la restauration ou l’industrie ». Les associations du genre France terre d’asile jouent sur deux tableaux. Ils sont les fourriers du patronat et jouent la carte de la régularisation d’un maximum de clandestins.
Des apprentis à foison
Nous avons pris l’exemple de Saint-Omer et de France terre d’asile, mais il en va de même partout en France. Il semble même qu’on se dirige vers une orientation systématique : le département du Finistère entend « prioriser » l’orientation vers l’apprentissage des MNA dont il a la charge, autrement dit aller au-delà des 40 % déjà présents dans cette filière en 2021. « Des partenariats ont déjà été noués avec des centres de formation des apprentis pour diriger les jeunes vers les filières sous tension », écrit Le Télégramme.
Alors que l’Assemblée nationale s’apprête à discuter le projet de loi Immigration, il faut dénoncer ce mécanisme qui permet de transformer des mineurs clandestins en adultes légalisés qui n’ont rien à faire en France… au nom de l’insertion professionnelle.
++ WEBTUBE : Les historiens auront tout leur temps et disposeront de toutes les archives pour décortiquer cette contre-offensive ratée. Personne ne veut endosser la responsabilité de cette hécatombe, mais la principale raison de la débâcle depuis le 24 février 2022 est d’avoir sous-estimé la formidable puissance de l’armée russe et de son industrie de l’armement.
Voici le ratio des pertes donné par l’historien Marc Legrand, obtenu de sources croisées.
Nombre de soldats ukrainiens tués chaque mois :
Du 24 février 2022 à juillet 2022 : 10 000
De juillet à décembre 2022 : 13 000
De décembre 2022 à mai 2023 : 18 000
De mai 2023 à aujourd’hui 20 000
Ratio des pertes russes et ukrainiennes sur les mêmes périodes :
Un soldat russe tué pour 9 soldats ukrainiens
Un Russe tué pour 12 Ukrainiens
Un Russe tué pour 15 Ukrainiens
Un Russe tué pour 12 Ukrainiens
Ces chiffres ne tiennent pas compte des pertes de Wagner
Jacques Baud donne une fourchette de 400 à 500 000 tués ukrainiens, avec un ratio de pertes de 1 à 11 en faveur des Russes. On doit plutôt être proche des 400 000 tués, avec 600 000 blessés et 50 000 mutilés. C’est effrayant compte tenu que les Russes n’ont pas reculé d’un pouce depuis leur repli sur le Donbass. L’exemple même du sacrifice inutile.
Pour la seule journée d’hier, Kiev déplore 1 010 soldats tués et 1 250 blessés
La presse française est plutôt discrète sur le naufrage de la contre-offensive de Kiev, qui a coûté la vie à près de 130 000 soldats ukrainiens depuis le 4 juin 2023.
Il faut dire qu’après nous avoir abreuvés de sornettes en tous genres, en nous promettant chaque matin l’inéluctable défaite du criminel de guerre Poutine, médias et stratèges de nos plateaux TV ont bien du mal à reconnaître qu’au hit parade de la nullité, ils caracolent au sommet sans aucun risque d’être détrônés. Il est vrai qu’endosser l’uniforme du parfait crétin n’a rien de réjouissant.
Mais côté anglo-saxon, la presse beaucoup plus libre et moins servile n’hésite pas à étaler au grand jour les causes du naufrage ukrainien et notamment celles de la contre-offensive, devenue le tombeau de l’armée kiévienne. C’est ainsi que le Washington Post expose à la fois les ratés de la planification anglo-américaine de l’opération et les loupés de son exécution.
Rappelons que c’est d’abord Boris Johnson qui a rejeté toute négociation en 2022. Dès lors, ce ne fut que descente aux enfers pour les Ukrainiens et déconvenues en série pour l’Otan. Rien de bien nouveau, cette alliance est incapable de gagner une guerre, même à 30 contre 1.
Mais c’est le déroulement de la contre-offensive qui illustre le mieux le naufrage des armées occidentales face à l’Ours russe, que nos illuminés partis la fleur au fusil annonçaient déjà agonisant au bout d’un mois de guerre. 21 mois plus tard, on voit le résultat. Il n’y a plus d’armée ukrainienne et l’armée russe est au faîte de sa puissance.
Planification
Divisions et désaccords entre officiers anglo-saxons et ukrainiens
Les USA souhaitaient une attaque frontale ciblée, tandis que les Ukrainiens envisageaient trois attaques distinctes sur le front de 1 000 km
Il s’agissait d’atteindre la mer d’Azov en deux mois (à 120 km) pour couper l’armée russe en deux
Impréparation des forces ukrainiennes
Absence de couverture aérienne. Ajoutons que le rapport des artilleries est de 1 à 8
Sous-estimation des défenses russes du général Sourovikine, bâties sur trois lignes. Elles se sont révélées infranchissables
Les officiers américains ont balayé les craintes ukrainiennes de subir de lourdes pertes, en prétextant que l’absence de contre-offensive coûterait encore plus cher en vies humaines !
Exécution
On a vu dans certaines unités, équipées d’armes occidentales récentes, 70 % des soldats entrer dans la fournaise sans aucune expérience du combat !
Les revers ukrainiens ont créé des dissensions entre l’état-major ukrainien et le Pentagone sur la stratégie à mener pour enfoncer la muraille Sourovikine.
Les décisions prises sur le champ de bataille ont été contestées par les Américains, au point que le dialogue entre chefs militaires des deux pays a été parfois rompu.
“Chaque camp reprochait à l’autre de commettre des erreurs ou des fautes d’appréciation. Les responsables militaires américains ont conclu que l’Ukraine n’avait pas respecté les tactiques militaires de base, notamment l’utilisation de la reconnaissance au sol pour comprendre la densité des champs de mines. Les responsables ukrainiens ont déclaré que les Américains ne semblaient pas comprendre comment les drones d’attaque et d’autres technologies avaient transformé le champ de bataille.”
Le bilan est de 130 000 tués pour 320 km2 repris. Soit 400 morts au kilomètre carré.
Et de leur côté, les Russes reprenaient davantage de terrain dans la région de Kharkov. Aujourd’hui, ils avancent de tous côtés.
Les historiens auront tout leur temps et disposeront de toutes les archives pour décortiquer cette contre-offensive ratée. Personne ne veut endosser la responsabilité de cette hécatombe, mais la principale raison de la débâcle depuis le 24 février 2022 est d’avoir sous-estimé la formidable puissance de l’armée russe et de son industrie de l’armement.
Pas un seul responsable occidental, militaire ou civil, n’a compris que pendant que les Occidentaux récoltaient les dividendes de la paix depuis 1990, Poutine reconstruisait son armée avec les meilleurs ingénieurs de la planète. Et connaissant le patriotisme russe, qui n’a jamais faibli depuis Stalingrad, il était clair que l’Otan n’avait aucune chance de l’emporter.
Et si d’aventure Biden décidait de poursuivre l’escalade au lieu de faire la paix, ce serait bien pire pour l’Otan. Aucun pays ne possède les armes de dernière génération de la Russie.
Sans besoin de l’arme nucléaire, Poutine pourrait envoyer par le fond les 11 porte-avions de Biden en quelques minutes, sans aucune parade possible face aux missiles hypersoniques.
Ce n’est pas un hasard si Biden n’a jamais envoyé ses légions en Ukraine. Saigner le peuple ukrainien et lui faire porter le chapeau de ses échecs, c’est beaucoup moins risqué.
On le lira bientôt dans la presse. Ce n’est pas l’Otan qui a pris une énième déculottée, c’est l’Ukraine qui n’a pas respecté la doctrine militaire de l’Otan. Le peuple saigné à blanc, c’est finalement la faute des généraux de Zelensky. Le professeur est excellent, mais l’élève est décidément trop mauvais.
Je crois que Zelensky aurait mieux fait de prendre son taxi pour les États-Unis dès mars 2022. Les mauvais vents pourraient bien souffler de plus en plus fort.
En attendant, Biden réclame 106 milliards au Congrès pour aider Kiev et Israël.
Le général Zaloujny en réclame 4 fois plus, ainsi que 17 millions de munitions. Qui les possède ? Personne en Occident.
++ WEBTUBE : En général je ne suis pas fan de Robert Ménard. Mais là j’applaudis. Il résiste aux gauchos bobos écolos collabos en continuant d’installer une crèche de Noël dans sa mairie comme ça s’est toujours fait à cette période de l’année. Bravo. RESISTANCE !
Robert Ménard : «La Ligue des droits de l'Homme n'a rien d'autre à foutre que de s'occuper de la crèche de Noël de Béziers ?», dans #HDProspic.twitter.com/B37As3IUTr
++ WEBTUBE : Hier, la Tunisienne Aïcha B. a cassé un banc de l’église du Gesù à #Nice06, en criant « Allah Akbar ». Elle a été arrêtée et internée. Folle ou islamiste – sans doute un peu des deux, que fait-elle en France ?A croire que toute la diversité en fait un sport national. Qu’un seul Français d’origine touche à une mosquée et c’est l’embrasement médiatique !
7/12/23
🔴Hier, la Tunisienne Aïcha B. a cassé un banc de l’église du Gesù à #Nice06, en criant « Allah Akbar ». Elle a été arrêtée et internée.
Folle ou islamiste – sans doute un peu des deux, que fait-elle en France ?