+ Webtube :Y-aurait-il plus de bon sens chez nos amis africains que chez nous ?
Venu sur le continent africain, Macron a tenté, tant bien que mal, de redonner ses lettres de noblesse à la Françafrique. Une posture qui ne plaît pas aux Africains.
Vous l’avez méritée votre chanson du jour. Avec cette journée d’été un peu trop chaude, un moment de détente au frais va vous faire du bien. “The passage of Time” a été fait pour ça. Musique relaxante pour oublier ses soucis et s’abandonner quelques minutes au calme en toute sérénité.
You deserved your song of the day. With this summer day a little too hot, a moment of relaxation in the cool air. "The Passage of Time" was made for that. Relaxing music to forget your worries and relax for a few minutes in peace and quiet.
+ Webtube :Ca ne sert à rien de déverser des millions d’euros pour les banlieues (on le fait depuis 40 ans sans aucun résultat), Ca ne sert à rien de vouloir sans cesse ajouter des policiers, il faut simplement traiter le mal à la racine : c’est à dire arrêter cette immigration massive et renvoyer les délinquants chez eux.Les immigrés entrant doivent avoir envie de venir travailler et vivre en France à l’européenne, ils doivent s’assimiler à la civilisation européenne. C’est ainsi que l’on retrouvera la tranquillité d’antan.
La Guillotière, symbole du naufrage sécuritaire et identitaire de la France
Ce quartier de Lyon n’est pas seulement l’illustration du laxisme sécuritaire d’une ville écolo, c’est surtout le portrait de la France de 2022, en train de s’effondrer après des décennies de renoncement permanent, de lâcheté, de soumission des autorités face aux racailles, soutenues par les lobbys pro-immigrés et les ayatollahs du politiquement correct. De droite comme de gauche, tous responsables et tous coupables !
La France, c’est le temple de la violence et de l’insécurité au nom de l’antiracisme et de l’accueil de l’Autre. C’est la tolérance à sens unique portée à un tel paroxysme que la protection des malfrats passe avant la sécurité des citoyens.
D’ailleurs, pour nos juges rouges, la réhabilitation des voyous a priorité absolue sur le risque de récidive, pouvant sacrifier un innocent. Mais que pèse la vie d’un paisible citoyen dans un pays qui ignore la réponse pénale ?
En 1914, on écopait de 50 ans de bagne pour un vol de bicyclette. En 2022, un meurtre n’est que mollement sanctionné, avec une peine moyenne de 15 ans de réclusion. La perpétuité reste rarissime. Nous sommes passés d’un excès à l’autre, de la brutalité à l’angélisme.
Moyennant quoi notre pays est devenu en trente ans le plus dangereux d’Europe.
Les voyous ne craignant et ne respectant que la force, la violence ne peut que prospérer dans un État qui rase les murs par peur d’être taxé de racisme et de fascisme.
Car assez d’hypocrisie, cette violence qui va détruire le pays,nous l’avons importée, nous l’avons encouragée en protégeant les coupables, pour ne pas marcher sur les plates-bandes du FN.
Les pires violences de rue donnent lieu à un simple rappel à la loi. C’est le Far West dans toutes nos villes, mais sans les shérifs pour nous protéger, car nos policiers sont paralysés et n’ont que le droit de subir et d’encaisser les insultes, les coups, les humiliations, parce que le pouvoir a choisi délibérément l’autre camp, celui des racailles.
Un rappel à la loi ! Comme si un malfrat avait le moindre sens moral pour écouter les sermons d’un juge et reprendre le droit chemin ! Un voyou, ça n’a que mépris pour un juge ou un policier, surtout s’il sont faibles.
Jack Lang, président de l’IMA, reconnaissait que les 2/3 des détenus étaient musulmans.
On sait aussi que nos 7 % d’étrangers occupent 25 % des places de prison.
L’insécurité est donc bien majoritairement d’origine immigrée. Pas la peine de bêler au racisme ou au retour des années 30, ça devient aussi lassant que grotesque.
Les prisons, Macron, Darmanin et Dupond-Moretti, ils ne les construisent pas, ils ne les remplissent pas, ils les vident alors que les violences explosent.
Il y a 30 ans, la Guillotière était un quartier populaire paisaible et agréable à vivre… jusqu’à ce que l’immigration de masse le transforme en zone de non-droit, où les policiers ne peuvent plus interpeller un délinquant sans être lynchés par la foule.
Pierre-Marie Sève : «A la Guillotière c'était une foule qui s'est mis d'accord pour s'attaquer à la police. Il y a un grignotage du terrain de la France par une masse de délinquants qui devient uniforme» dans #HDPros2pic.twitter.com/w0biMDTLnT
Par conséquent, le renforcement des forces de police ne sert strictement à rien, si ceux-ci n’osent pas utiliser leur arme de service pour se protéger et si la réponse pénale ne suit pas.
Ni prison, ni sanction financière avec perte des droits sociaux, c’est la démission généralisée. Il faut au contraire taper au portefeuille des familles dès l’école.
À la Guillotière, la cassure est totale entre les habitants historiques et les nouveaux arrivants.
Bars clandestins, trafic de drogue, violences, rues sales et dépôts sauvages, commerçants et leurs clients rackettés, leurs employés agressés le soir, c’est l’enfer pour les riverains mais le paradis pour les clandestins, parfois contrôlés mais jamais expulsés.
Alors, beaucoup de riverains partent sous des cieux plus cléments, voire à l’étranger, en constatant, avec tristesse et colère, que la France n’est plus gouvernée et que par lâcheté, le pouvoir refuse de prendre des mesures énergiques, les seules qui ont fait leur preuve face aux voyous.
Tous ces immigrés délinquants imposent leur loi dans nos rues alors qu’ils rasent les murs dans leurs pays, où nul ne conteste l’autorité du juge, du policier ou de l’enseignant.
C’est le laxisme en haut lieu qui va détruire la France.
Darmanin s’est rendu à Lyon pour manifester sa compassion aux policiers lynchés. Mais pas de visite aux riverains de la Guillotière. Il reste prudemment du bon côté du Rhône… C’est encore de la com sans lendemain.
Gérald Darmanin, c’est le ministre transparent, incapable de restaurer la sécurité et de protéger les citoyens, incapable de défendre ses policiers.
C’est le ministre de l’Intérieur qui se précipite à Rennes pour soutenir la communauté musulmane en émoi, après trois tags sur une mosquée, mais qui laisse brûler 20 églises par an sans lever le petit doigt. Il est vrai que sur nos 45 000 églises majoritairement vides, 20 de plus ou de moins…Darmanin s’en fout.
C’est le ministre qui exonère les racailles des cités de leurs exactions au Stade de France, par peur des émeutes, en faisant porter le chapeau des violences aux seuls supporters britanniques !
Et c’est cet irresponsable que Macron a osé reconduire dans ses fonctions, insultant ainsi les victimes françaises, anglaises et espagnoles, qui ont subi les brutalités du Stade de France.
Macron se moque éperdument de la France et des Français. Il coule le pays, le ruine, le met en danger, mais peu importe si cela permet la promotion du mondialisme et du multiculturalisme, pour bâtir le grand village planétaire de demain.
Quelle naïveté ! Comme si les Russes, les Chinois, les Indiens et tant d’autres peuples allaient s’associer à cette folie dévastatrice, sortie du cerveau des élites occidentales, qui s’imaginent encore régner sur le monde aussi longtemps qu’a duré l’Empire romain.
Je sais que je vais en choquer plus d’un. Mais il faudrait 15 jours à Poutine pour faire de la Guillotière un havre de paix et un paradis sécuritaire. La violence et la délinquance n’ont jamais été une fatalité, elle sont la volonté d’un pouvoir démissionnaire.
Malgré l’un des taux de chômage les plus élevés de la zone euro, l’Espagne manque cruellement de main d’œuvre. Le gouvernement espagnol a adopté ce mardi une réforme facilitant le recours à l’immigration dans le pays, confronté à une pénurie de personnel dans plusieurs secteurs d’activité, dont le tourisme et l’agriculture. Adoptée en Conseil des ministres, cette réforme prévoit « plusieurs mesures d’envergure », destinées à « encourager une immigration régulière, ordonnée et sûre », a assuré le ministre de la Sécurité sociale José Luis Escriva.
Le texte facilite notamment la régularisation des immigrés sans-papiers présents sur le territoire espagnol depuis plus de deux ans. Ils pourront ainsi occuper légalement un emploi ou bénéficier d’une formation dans les secteurs où existent de nombreux emplois non pourvus. Cette réforme simplifie aussi l’accès au marché du travail pour les étudiants étrangers. Ils seront autorisés à travailler jusqu’à 30 heures par semaine durant leurs études, puis à intégrer le marché du travail après leur formation sans avoir obligatoirement vécu au préalable trois ans en Espagne.
Elle favorise également le regroupement familial et l’octroi de visas de travail dans les secteurs d’activité sous tension, avec une simplification et une uniformisation des démarches administratives à accomplir.
Ces mesures vont « améliorer le modèle migratoire espagnol et ses procédures, souvent lentes et inadaptées », « ce qui génère de longues périodes d’irrégularité » pour les immigrés, « avec des coûts sociaux et économiques élevés » pour l’Espagne, souligne le ministère.
L’Espagne, qui possède l’un des taux de chômage les plus élevés de la zone euro, à 13,65%, est pourtant confrontée depuis plusieurs années à un manque de main d’œuvre dans certains secteurs d’activité, comme l’hôtellerie, l’agriculture, le bâtiment ou les transports. Ce phénomène, qui s’est accru depuis la pandémie de Covid-19, est régulièrement pointé du doigt par les entreprises de ces secteurs, qui disent peiner à recruter des salariés, ce qui limite leurs perspectives de croissance.
C’est le rêve de Davos : en parallèle à la délocalisation vers le tiers-monde de tout ce qui peut l’être, l’oligarchie importe le tiers-monde pour tout ce qui ne peut pas l’être : la plonge et laver les toilettes.
C’est comme ça que l’on se retrouve sans industrie, repeuplés de livreurs Uber Eats et Deliveroo somaliens.
Les économies européennes criblées de dettes et écrasées d’impôts refusent de payer décemment pour recruter, c’est la raison pour laquelle il n’y a pas de demande organique pour ces emplois. Avec l’effondrement démographique européen […], l’importation du tiers-monde pour combler le manque de larbins est encore plus pressante pour le capital apatride.
Ma philosophie est la suivante : s’il faut soi-disant importer l’Afrique pour quoi que ce soit, il faut s’en passer car le coup racial est infiniment supérieur au profit à court terme généré pour le patronat et le fisc.
Les bobos ont besoin d’Uber Eats, pas les travailleurs blancs.
Quant aux restaurants, c’est le même principe. Le fonctionnement des restaurants est sans importance. Nous nous en sommes passés pendant des millénaires, nous pouvons nous en passer pendant des millénaires.
+ Webtube :C’est en Belgique mais ça arrive chez nous.. Peuple historique de France habituez vous à ce type d’images, notre quotidien bascule irrémédiablement vers une culture musulman et soumise à des religieux intégristes….
Nouvelle conséquence de l’immigration massive d’origine extra-européenne en Belgique : de plus en plus de nouveaux arrivants considèrent que leur religion doit primer sur la loi du pays, particulièrement à Bruxelles, une ville que la propagande médiatique présente généralement comme un modèle de cosmopolitisme…
Bruxelles, cheval de Troie de l’islamisation en Flandre ?
En Belgique comme en France, les partisans de l’intégration et, de surcroît, de l’assimilation ont du souci à se faire ! Notamment en se penchant sur les résultats du Baromètre du Vivre Ensemble (Samenleven), publié le 26 juillet par le gouvernement flamand à la demande du ministre flamand du Vivre Ensemble, Bart Somers (Open VLD).
Si cette enquête d’opinion avait pour objectif « d’évaluer l’état du vivre ensemble dans la diversité en Flandre et à Bruxelles » comme le précise l’hebdomadaire belge Le Vif, ses commanditaires n’ont probablement pas été déçus des conclusions.
En effet, il s’avère qu’en Flandre, le baromètre rapporte que 9 % des citoyens de deuxième génération « d’origine non européenne » pensent que la loi peut être enfreinte en cas de conflit entre la loi et la religion.
Quant à cette notion de deuxième génération, il est précisé qu’un individu est qualifié de « nouvel arrivant » ou de « personne d’origine étrangère » si lui ou l’un de ses parents est né à l’étranger. Ainsi, les personnes nées à l’étranger sont considérées comme de première génération et celles nées en Belgique représentent donc cette deuxième génération.
Autre élément relevé suite à cette enquête, les Flamands d’origine extra-européenne de deuxième génération sont davantage enclins que leurs parents à enfreindre les lois belges qui ne seraient pas compatibles avec les règles de leur religion. En effet, parmi cette première génération, « seulement » 8, 5 % se disent prêts à enfreindre la loi.
Le contraste est encore plus saisissant à Bruxelles, où ce sont pas moins de 13,2 % des membres de la deuxième génération qui indique placer leur religion au-dessus de la loi belge. Une proportion qui est de 7,6 % parmi la première génération.
Enfin, en guise de comparaison, relevons également qu’en Flandre, seulement 1,2 % des sondés « d’origine belge » européenne considèrent que les règles religieuses doivent prendre le pas sur la loi. Considérant par ailleurs que la notion « d’origine belge » demeure relativement floue…
Le Vlaams Belang réagit
Suite à la publication de ces résultats qui ont contraint la presse mainstream belge et une large partie du spectre politique à des contorsions de mauvaise foi afin d’éviter de voir la réalité en face, les nationalistes flamands du Vlaams Belang, seule formation à dénoncer le Grand remplacement à l’œuvre dans le pays, ont eux aussi réagi.
Le parti estime ainsi qu’il n’y a pas de place dans la société flamande « pour les nouveaux arrivants qui placent leur religion au-dessus de nos lois ». Pour le député du Vlaams Belang Sam Van Rooy, « quiconque veut rester ici doit être loyal envers la Flandre et embrasser et respecter nos lois. Ces 9 % montrent déjà qu’ils devraient partir. »
Au sujet du cas bruxellois, l’élu flamand semble voir clair : « Il n’est pas non plus surprenant que ce pourcentage soit encore plus élevé à Bruxelles, qui est connue pour son laxisme. Là, 13,2 % de la deuxième génération pensent que nos lois peuvent être enfreintes sans problème. Cela prouve que l’islamisation fait son travail. »
"Aan de scheiding tussen kerk en staat, de vrije meningsuiting en de gelijkwaardigheid van man en vrouw mag niet getornd worden. Wie hier wil wonen en aan het openbare leven wil deelnemen, moet zich schikken naar onze leidcultuur." @SamvanRooy1https://t.co/ewWemcbHzZ
Sam Van Rooy en a profité pour rappeler les conclusions d’une autre étude réalisée en 2013 qui indiquait déjà en son temps que « pas moins de la moitié des musulmans belges – car c’est bien de cela qu’il s’agit lorsqu’il s’agit de nouveaux arrivants religieux – sont des fondamentalistes. 82 % pensent que les musulmans doivent adhérer à une interprétation stricte du Coran et 70 % pensent que le Coran doit primer sur nos lois ».
Pour le Vlaams Belang et son député, « les normes, les valeurs et les traditions de l’islam sont en totale contradiction avec les nôtres. […] Quiconque veut vivre ici et participer à la vie publique doit se conformer inconditionnellement à notre culture dominante flamande et européenne ».
C’est un discours très offensif qu’a livré Donald Trump devant un parterre de fidèles, au centre de réflexion conservateur America First Policy Institute, à Washington.
Sorti de sa retraite en Floride, il brosse un tableau apocalyptique de l’Amérique, livrée à des démocrates extrémistes et corrompus, qui ont ruiné le pays et transformé les villes en zones de guerre.
J’ai toujours pensé que Trump n’aurait jamais engagé l’Otan dans une guerre suicidaire avec la Russie et aurait même convaincu Zelensky de respecter les accords de Minsk. Mais l’histoire ne se réécrit pas et nous verrons bien, si d’aventure le milliardaire revient aux affaires malgré ses démêlés judiciaires, comment évolueront les relations entre Washington et Moscou.
Trump et Poutine sont des antimondialistes. Je reste persuadé qu’ils auraient su éviter la guerre.
En attendant, Trump a sorti l’artillerie lourde contre les démocrates, à l’approche des élections de mi-mandat en novembre, qui s’annoncent catastrophiques pour Biden.
« Notre pays a été littéralement mis à genoux. L’inflation est la plus élevée depuis 49 ans. Le prix du carburant a atteint le plus haut niveau de notre histoire. Nous sommes devenus des mendiants qui rampent devant d’autres pays pour se procurer de l’énergie. Des millions d’étrangers en situation irrégulière franchissent nos frontières grandes ouvertes et se déversent chez nous. Les villes dirigées par les démocrates battent des records d’homicides. Notre pays subit une humiliation historique après l’autre sur la scène mondiale, alors que nos droits et libertés les plus fondamentaux sont menacés. Le rêve américain est en lambeaux et nous n’aurons bientôt plus de pays, si cette attaque économique, sociale et contre la civilisation elle-même n’est pas rapidement inversée. »
Jamais avare de superlatifs, Trump continue :
« Il y a deux ans à peine, nous connaissions une reprise économique comme personne n’en avait jamais vu. La frontière la plus solide et la plus sûre de l’histoire des États-Unis, l’indépendance énergétique… des prix de l’essence historiquement bas, une inflation inexistante, une armée entièrement reconstruite et un pays hautement respecté dans le monde entier…Tout simplement, nous avions rendu à l’Amérique sa grandeur. »
« Dans les villes et les États dirigés par les démocrates, les criminels ont le champ libre. Nos rues sont jonchées de seringues et baignent dans le sang de victimes innocentes… Chaque jour, il y a des coups de couteau, des viols, des meurtres et des agressions violentes de toutes sortes imaginables… Il n’y a plus de respect de la loi et il n’y a plus d’ordre. Cela doit s’arrêter et cela doit s’arrêter maintenant. »
« Si nous n’avons pas de sécurité, nous n’avons pas de liberté. Nous aurons besoin d’un effort total pour vaincre le crime et la violence en Amérique. Et s’il faut être dur, mauvais et méchant pour y arriver, nous le serons. »
Pour sécuriser notre pays, nous devons sécuriser nos frontières. Nos frontières grandes ouvertes sont une plaie béante qui permet aux gangs de trafiquants de drogue, aux trafiquants d’enfants, aux passeurs d’êtres humains et à des dizaines de milliers de criminels dangereux d’entrer dans notre pays. Beaucoup de ces gens qui arrivent vont causer des problèmes comme vous n’en avez pas idée. »
« Il faut mettre fin à la sexualité perverse des enfants mineurs. »
Et dénonçant le vote par correspondance comme étant source de fraude, Trump prend exemple sur la France :
« Notre objectif devrait être d’organiser le vote le jour même avec seulement des bulletins en papier. Comme en France, qui vient d’organiser une élection à laquelle ont participé 55 millions de personnes, et qui ont toutes voté le même jour. Le soir même, c’était fini, il n’y a pas eu de litige, rien. Faisons la même chose aux États-Unis et il n’y aura plus de problèmes. »
« Le peuple américain est sur le point de rejeter le gouvernement failli de Joe Biden, Nancy Pelosi, Chuck Schumer et de la gauche radicale dans une victoire écrasante »
« Lorsqu’un président républicain reprendra la Maison Blanche en 2024, ce qui, je le crois fermement, arrivera, il y aura énormément de choses à faire : qu’il s’agisse de relancer notre économie, de libérer notre énergie ou de restaurer notre position dans le monde. »
Se disant la personne la plus persécutée de l’histoire des États-Unis, victime d’une cabale ourdie par les démocrates et les médias opposés à lui, il enfonce le clou :
« Ils font exactement la même chose avec le 6 janvier. Cela ne s’arrêtera probablement pas car, malgré les grands dangers extérieurs, la plus grande menace pour notre pays reste ses sinistres et maléfique ennemis de l’intérieur. Tout ce que cet establishment corrompu me fait subir, c’est pour préserver son pouvoir et son contrôle sur le peuple américain. Ils veulent me nuire pour m’interdire de revenir travailler avec vous. Mais je ne pense pas que cela va arriver. »
Sans se porter franchement candidat mais bien décidé à relever le défi, Trump termine son discours sous les encouragements de l’assistance qui clame :
« Quatre ans de plus ! Quatre ans de plus ! »
On le voit, ce discours peignant l’état déplorable de l’Amérique pourrait s’appliquer à la France, encore bien plus malade.
Mais la grande différence est qu’aux États-Unis, ce sont traditionnellement les démocrates qui coulent le pays, et les républicains qui le redressent, alors qu’en France, droite et gauche mènent rigoureusement la même politique socialiste, mondialiste, immigrationniste et laxiste dans tous les domaines. La droite fait même pire que la gauche. Son programme, c’est celui de Macron.
Seuls les vrais patriotes, diabolisés par l’ensemble de la classe politique, n’ont jamais gouverné. Par conséquent, rien ne changera si la droite identitaire et patriote ne parvient pas au pouvoir.
Le multipartisme en France n’est qu’un leurre. Il n’y a depuis quarante ans qu’un seul parti : le parti mondialiste fossoyeur de la France gaullienne.
La mesure est effective depuis le 1er juillet mais n’a pas vraiment fait l’objet d’une intense communication. Hormis un article de Ouest-France publié il y a dix jours, la SVA Jean Rozé ne s’est pas étalée sur sa décision. Elle est pourtant plus que symbolique. Depuis le 1er juillet, les deux abattoirs du groupe Intermarché ont arrêté l’abattage sans étourdissement préalable des animaux. Plus clairement, la SVA n’effectue plus d’abattage rituel exigé par les religions musulmane (halal) et juive (casher). En France, l’étourdissement des animaux est obligatoire avant l’abattage. Sauf dans le cas des rites religieux « afin de garantir le libre exercice des pratiques religieuses », précise le ministère de l’Agriculture et de la souveraineté alimentaire.
Installés à Vitré (Ille-et-Vilaine) et Trémorel (Côtes d’Armor), les deux abattoirs de la Société vitréenne d’abattage (SVA) souhaitent accompagner « la prise de conscience sociétale ». Le groupe des Mousquetaires s’appuie sur un constat simple : « Les attentes générales de la société concernant la bientraitance animale ont très significativement évolué au cours des dernières années. » Et les abattoirs souhaitent s’y adapter, quitte à se priver d’un marché.[…]
La mairie de Grenoble a autorisé un petit groupe de femmes en burkini intégral, de la tête au pied à se baigner dans la piscine en plein-air du centre ville, un mois après l’arrêt du conseil d’état qui interdit un tel vêtement, parce qu’il porte atteinte à la neutralité du service public.
Une nouvelle opération burkini s’est déroulée jeudi matin à la piscine Jean-Bron à Grenoble (Isère) à l’appel du syndicat des femmes musulmanes.
Le personnel leur a demandé de patienter, dans le vestiaire, le temps de prendre des consignes à la mairie. Des échanges de mots ont eu lieu, avec d’autres nageuses, notamment une femme d’une soixantaine d’années, leur suggérant qu’elles “feraient mieux de se battre pour les droits des femmes“. Une des “manifestantes” répondant que “c’est le droit des femmes de s’habiller comme elles l’entendent“. Mais il n’y a pas eu de heurts.
(…) Ce jeudi matin, une demi-douzaine femmes voilées ou non, se sont donc présentées à l’entrée des bassins, avec des maillots dans un “tissus fait pour la natation et qui colle à la peau“. Après contrôle des agents deux ont été refoulées, mais quelques-unes ont pu se baigner avec un maillot intégral, de la tête au pied, c’est à dire bien en dessous de mi-cuisse. Selon le cabinet du maire: ” toute personne avec un tel maillot est admise quelque soit la longueur du vêtement “.