Grand remplacement, Renaud Camus. L’entretien qu’a choisi de ne pas montrer La Chaîne Parlementaire

Articles  : Juil. 2022Juin. 2022 – Mai 2022Avr. 2022 –

Facebook : https://www.facebook.com/ORTF-News-107572991571884

En avril 2022, la chaine Parlementaire (financée via la redevance TV par le contribuable) diffusait un reportage intitulé : « Grand remplacement : histoire d’une idée mortifère » et présenté ainsi :

« L’expression s’est imposée dans le paysage politique ces derniers mois. Éric Zemmour fait de la lutte contre le « grand remplacement » la base de son programme, les candidats Les Républicains débattent du niveau de priorité qu’il représente, les journalistes en font un objet d’interview, les instituts de sondage interrogent leurs panels représentatifs sur le sujet… Mais que veut dire « le grand remplacement » ? D’où vient cette idée ? Et surtout quelles sont les implications de son utilisation ? »

Au cours de ce reportage, quelques passages d’une interview de Renaud Camus, théoricien du concept de Grand remplacement. Problème, l’interview a été largement tronquée. Nous vous proposons de visionner le reportage du service public, et l’interview complète, filmée par l’équipe de Renaud Camus.

Une manipulation supplémentaire, et un argument de plus en faveur de la suppression de la redevance, qui sert, avec l’argent du contribuable, à diaboliser des idées pourtant de plus en plus partagées par une partie de la population française.


 Breizh-info.com

AddFreeStats.com Free Web Stats! Ecoutez DJMusic.fr

Retour de la statue de Napoléon Ier à Rouen : l’Empereur écrase les wokistes

Articles  : Juil. 2022Juin. 2022 – Mai 2022Avr. 2022 –

Facebook : https://www.facebook.com/ORTF-News-107572991571884

Enfin ! Après vingt-quatre mois d’absence, la statue de Napoléon Ier reviendra donc sur son socle initial, ce jeudi 28 juillet, à Rouen ! Retirée de la place du Général-de-Gaulle, en face de l’hôtel de ville, pour cause de restauration, elle avait fait l’objet d’une machination grotesque de la part du maire PS de la ville pour la déplacer loin du centre. Déconstructeur assumé, M. Mayel-Rossignol, accompagné de sa deuxième adjointe Laura Slimani, avait alors été accusé d’avoir menti aux habitants pour mettre en place son idéologie négationniste mortifère et retirer cette œuvre d’art des yeux des Rouennais. Il avait affirmé déplacer la sculpture dans un endroit aussi passager que l’actuel, sur l’île de la Croix. Problème : c’est un parc calme et peu animé, contrairement à la place du Général-de-Gaulle, qui se situe en plein centre-ville.

Le tempo était donné : cacher Napoléon, horrible personnage pour les incultes. Cela coïncide, d’ailleurs, avec le feuilleton de la statue de Voltaire à Paris, retirée officiellement il y a plusieurs mois pour la restaurer et la protéger des dégradations, qui n’a toujours pas été remise par la mairie. Des pans entiers de notre Histoire sont déboulonnés par ces « éveilleurs » qui n’ont qu’un seul but : faire table rase du glorieux passé français et effacer les personnages historiques ne respectant pas les normes bien-pensantes contemporaines.

A la suite de l’indignation provoquée au-delà des frontières communales, le socialiste n’a pas eu d’autre choix que d’annoncer un référendum local sur l’avenir du monument équestre. Fort heureusement, les Rouennais connaissant mieux l’Histoire de leur ville que leur maire ont voté massivement contre le déplacement de la statue de l’Empereur. En effet, elle a un passé. Elle avait été sculptée en 1865 par Vital Gabriel Dubray, sous les ordres de Napoléon III, en guise de remerciement de la ville au héros ajaccien. Une ère nouvelle avait alors commencé sous son règne, grâce à une modernisation économique et urbanistique conséquente, en quelques années.

Ce référendum a débouché sur un revers magistral pour le maire, avec 68 % de désapprobation. Idéologue notoire, il avait d’ailleurs proposé de remplacer l’édifice historique par une statue de Gisèle Halimi, parce qu’elle est une femme. Bien qu’elle n’ait jamais eu de rapport avec la ville de Rouen.

Face à l’éphémère wokisme d’une minorité tyrannique, l’éternelle gloire de l’Empereur maintient donc solidement sa statue sur son socle, plébiscité comme jadis par la population rouennaise. Plusieurs organisations avaient d’ailleurs lancé des pétitions, comme l’Histoire à la françaiseDéfendons notre patrimoine, l’Union nationale intersyndicale (UNI), etc. Nous ne pouvons qu’être heureux de voir le patrimoine de la ville à nouveau trôner sur la place. L’Histoire de France n’a pas à être effacée ou réécrite. Le peuple français n’oublie pas ses héros.

De part son exposition médiatique suite aux nombreux articles et remous, la place du Général de Gaulle va-t-elle accueillir plus de visiteurs ? Maintenant que l’Empereur est de retour, espérons plus de 100 jours, le voilà prêt à défier les visiteurs venus le voir dans sa tenue d’antan !

Thomas Perrigault BoulevardVoltaire

AddFreeStats.com Free Web Stats! Ecoutez DJMusic.fr

Retraités : le hold-up nocturne de la majorité !

Articles  : Juil. 2022Juin. 2022 – Mai 2022Avr. 2022 –

Facebook : https://www.facebook.com/ORTF-News-107572991571884

Le premier vote faisait figure d’abordage réussi pour les oppositions. L’amendement 194 porté par l’expérimenté Charles de Courson (LIOT) proposant une « revalorisation des pensions, prenant en compte le niveau réel de l’inflation […] c’est-à-dire pour l’année 2022, une inflation à 5,5 % ». Cette proposition rehaussait celle de l’État qui avait acté une hausse de 1,1 % en janvier, puis de 4 % en juillet. Il manquait donc la bagatelle de 500 millions d’euros supplémentaires. L’amendement était passé d’une courte tête avec les voix de la gauche, du RN, du groupe de Charles de Courson et notamment d’une élue du MoDem. Avec quatre voix d’avance, il s’agissait d’un véritable couac pour la majorité et d’une victoire significative pour les oppositions.

Or, à deux heures trente du matin, la majorité est parvenue à redemander un vote sur cet amendement qui a, cette fois, reçu un avis défavorable. Pour l’opposition, c’est un hold-up. « Les macronistes debout pour applaudir la chute des pensions de retraite. Avec la complicité de LR, ils rabaissent les retraites sous l’inflation lors d’un vote à 2 h 30 du matin, effaçant un 1er vote qui augmentait les pensions au niveau de l’inflation… », s’énerve, sur Twitter, le RN Alexandre Loubet.

Du coté de l’Insoumis David Guiraud, élu à Roubaix et Wattrelos, on ne cache pas sa déception : « Ils ont osé le faire, à 2 h du matin, le gouvernement a fait annuler les 500 millions d’euros en plus pour les retraités. Et LR a trahit (sic). » En effet, si les LR avaient appuyé l’amendement présenté par Charles de Courson, la plupart d’entre eux ont fait volte-face et soutenu, cette fois, le vote de la majorité dans un Hémicycle clairsemé, compte tenu de l’heure tardive. « Les Français, et plus précisément nos retraités, doivent connaître la vérité sur la suppression des 500 M€ prévus pour aider nos aînés à faire face à l’inflation », dénonce Julie Lechanteux. L’élue RN du Var dénonce un « gouvernement touché dans son ego et pris d’une furieuse colère qui a embarqué notre Assemblée dans des accords d’appareil. La fausse droite des Républicains a rallié la majorité. »

Las ! Les députés commencent à pâtir du rythme infernal qui règne dans l’Hémicycle. « Disons que pour un apprentissage, c’est fortement accéléré », admet un député RN fraîchement élu. « Ce qui s’est passé ce soir, c’est une remise en cause de l’Assemblée, un passage en force inadmissible », dénonce le député du Gard LFI Michel Sala. Du coté de la majorité, on fait le dos rond et on assume une victoire à mettre sur le compte de l’expérience.

Du coté des LR, difficile d’obtenir des explications quant à ce revirement : ballottés entre la danse du ventre de la majorité et un RN qui n’aspire qu’à les remplacer, les LR semblent condamnés à louvoyer sans boussole claire. « Je suis certain que cette petite victoire du bloc bourgeois LREM/LR lui promet de grandes défaites à l’avenir », prophétise, rageur, l’Insoumis Éric Coquerel. Si l’examen de ce texte permettra sans doute quelque avancée pour les plus précaires de nos concitoyens, il permettra aussi de clarifier les positions des uns et des autres sur l’opposition qu’ils souhaitent incarner. Entre la sulfateuse NUPES et le bulldozer RN, la corde d’équilibriste LR cherche surtout à ne pas rompre.

Marc Eynaud Boulevard Voltaire

AddFreeStats.com Free Web Stats! Ecoutez DJMusic.fr

À Lyon, la mort de Gérard Corneloup, journaliste et intellectuel, ouvrira-t-il leurs yeux ?

Articles  : Juil. 2022Juin. 2022 – Mai 2022Avr. 2022 –

Facebook : https://www.facebook.com/ORTF-News-107572991571884

Gérard Corneloup est décédé, annonce le quotidien lyonnais Le Progrès, ce 27 juillet. Plongée dans le coma après son agression « présumée » le 18 juillet dernier avant d’avoir pu décrire ce qui s’était passé, cette personnalité lyonnaise très appréciée n’a pas survécu à ses blessures. « À ce jour, si l’hypothèse d’une agression crapuleuse a été envisagée par les enquêteurs, dès la découverte de l’ancien journaliste, d’importantes zones d’ombre planent encore sur les circonstances dans lesquelles il a été grièvement blessé », écrit le quotidien lyonnais du 27 juillet. En l’absence de témoins directs, un appel à témoins a été lancé. La sacoche du journaliste et écrivain a été retrouvée à 400 mètres du lieu de son décès. « Est-il tombé suite à l’arrachage de sa sacoche ou a-t-il été victime d’une chute accidentelle, suivie du vol de sa sacoche par un individu qui aurait profité de la situation et se serait abstenu de lui porter secours ? », interroge le quotidien. Des expertises médico-légales devraient permettre d’éclairer les faits. « Il était si foncièrement gentil et avenant qu’il a pu laisser entrer une personne », glisse un résident de son immeuble au Progrès.

Décrit comme un homme souriant, serviable, un puits de science sur l’histoire de sa ville de Lyon, sur la musique, le patrimoine ou les arts, Gérard Corneloup, né en 1946, a longtemps travaillé à la bibliothèque municipale de Lyon, tout en signant dans différents journaux, Le ProgrèsLe Journal Rhône Alpes ou Le Figaro dont il assurait la chronique musicale. Historien, auteur de plusieurs ouvrages, il a notamment reçu l’hommage de l’ancien maire de Lyon Gérard Collomb, « triste et atterré par la sauvagerie de cette agression ». Collomb qui reconnaît, ce 26 juillet sur BFM TV, que « la situation sur le quartier de la Guillotière et plus largement sur l’agglomération lyonnaise est une situation extrêmement dégradée ».

Le niveau de violence inédit dans la société française ne cesse de monter et touche cette fois, avec Gérard Corneloup, un journaliste et intellectuel. Cela suffira-t-il à dessiller ces intellectuels et journalistes qui refusent de voir ?

On attend toujours une mobilisation solidaire, une marque d’indignation de ces milieux largement idéologisés, si prompts à pétitionner pour toutes sortes de causes. Ils l’ont fait lorsque Marine Le Pen avait fait sortir un journaliste de ses conférences de presse. L’insécurité galopante les laisse muets.

Le meurtre présumé de ce journaliste et intellectuel comme eux ne suscite aucune indignation tapageuse. Pas plus que celui du médecin militaire Alban Gervaise et de tant d’autres. Il est vrai que la France reste ce pays où le garde des Sceaux lui-même avoue avoir voté NUPES, le parti qui conspue la police à toutes occasions et balaie d’un revers de main ces drames qui se multiplient. La police, voilà le coupable. Pour ses pairs, la mort de Gérard Corneloup n’est pas un symbole. Jusqu’à quand ?

Marc Baudriller, Boulevard Voltaire

AddFreeStats.com Free Web Stats! Ecoutez DJMusic.fr

Nos chances pour la France, les faits du jour…

Articles  : Juil. 2022Juin. 2022 – Mai 2022Avr. 2022 –

Facebook : https://www.facebook.com/ORTF-News-107572991571884

AddFreeStats.com Free Web Stats! Ecoutez DJMusic.fr