Comment la multiplication d’attaques au couteau est devenue une réalité …cachée

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+ Webtube : Toujours le mensonge par omission. Un grand classique des médiasmainstream.

Les attaques au couteau se sont multipliées ces dernières semaines…Le 10 juillet, un retraité était tué au couteau, à Trappes, le 11 une femme de 48 ans était attaquée par un Érythréen au couteau à Montpellier… Déjà à Rodez, le 20 juin, un homme armé de deux couteaux a essayé de s’introduire dans le commissariat, mais n’y pas réussi et a poignardé le gérant de la pizzeria voisine. Le 5 juillet, à Rennes, c’est un ressortissant afghan qui a essayé de s’en prendre à des policiers, tentant de trancher la gorge à celui qui voulait le maitriser. A chaque fois l’auteur est un “déséquilibré parfois avec des problèmes psychiatriques”. Entre 2001 et 2019, les homicides et les tentatives d’homicide hors vol ont bondi (plus de 70%). Beaucoup de ces actes ne sont signifiés qu’au détour des nouvelles télévisées, sans appesantir sur le terme d’égorgement car elle renvoie à la culture musulmane et fait craindre un risque d’amalgame.

Source : Causeur  ›  Lire l’article original

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La vidéo du jour, un motard roule à 100 km/h au milieu des voitures à l’arrêt (Brésil)

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+ Webtube : Comment se suicider en jouant au gros con…

Au Brésil, un motard totalement inconscient s’est filmé en train de rouler comme un dingue au milieu de la circulation dense dans une zone urbaine. Il monte régulièrement jusqu’à 100 km/h en frôlant des voitures roulant à faible allure ou à l’arrêt.

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Vendettactu : G7, le sommet des cons

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Vendettactu s’est glissé à la table de négociation du G7 de nos maîtres. Il trouve que le sommet des zélites serait plutôt celui des cons. On vous laisse en juger.

Odysée : https://odysee.com/@Vendettactu:a/Vendettactu-Commando-8:3

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Gouvernement Borne : les familles passent à la trappe

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Édouard Philipe comme Jean Castex avaient dans leurs gouvernements respectifs un secrétaire d’État chargé de l’Enfance et des Familles. L’enfance et les familles étaient encore des réalités propres à susciter l’attention du monde politique. Avec Mme Borne, la famille disparaît de l’horizon ministériel.

Mais au-delà de cette nouvelle étape du travail de déconstruction auquel s’est attelé le président de la République, il est intéressant de noter que la gauche et les libéraux-libertaires se sont acharnés à détruire une des rares politiques publiques françaises admirée dans toute l’Europe et citée en exemple pour son efficacité : la politique familiale. Acharnement d’autant plus absurde que notre système de retraite par répartition ne peut fonctionner et s’équilibrer que s’il y a suffisamment d’actifs pour financer les personnes à la retraite. Et dépend donc de la stabilité de la démographie française.

Contrairement à une idée fausse, ce ne fut pas le maréchal Pétain qui initia une véritable politique familiale. Lancée par le Front populaire, elle fut reprise par l’État français, réaffirmée par le Conseil national de la Résistance, maintenue par la IVe République et bien évidemment amplifiée par la Ve à ses débuts, sous l’impulsion du général de Gaulle et de Michel Debré.

Pourtant, certains n’ont eu de cesse de mettre à mal cette politique pourtant efficace, car elle contribuait fortement au renouvellement des générations. Au cours des ans, la valeur relative des allocations familiales ne cessa de diminuer en raison d’une faible revalorisation, et se faisait entendre une petite musique insistante demandant la mise sous condition de ressources des allocations familiales. Ce que fit François Hollande. Cela revenait à les transformer en aides sociales et à détruire leur caractère universel.

Cette décision fut calamiteuse, d’abord parce qu’elle indiquait que la politique familiale ne faisait plus partie des politiques pérennes des gouvernements français et créait donc une incertitude pour les ménages, alors que le projet familial s’inscrit dans la durée. Ensuite parce qu’elle faisait des allocations familiales une aide sociale parmi d’autres et non plus une aide attachée à l’enfant. Enfin parce qu’elle était prise au détriment de la classe moyenne, qui tire le développement économique et social de la nation et favorisait, de fait, la natalité de populations pas toujours bien intégrées. Le résultat ne s’est pas fait attendre : en 2014 le taux de fécondité était de deux enfants par femme, un peu en deçà du taux de renouvellement des générations (2,1). En 2021, il est de 1,83. La France, qui faisait figure d’exception en Europe, tombe dans « l’hiver démographique ».

En 2006, Mme Ursula von der Leyen, ministre de la Jeunesse et de la Famille en Allemagne, et qui n’éprouvait pas alors le besoin de se faire l’égérie du militantisme LGBT, avait demandé au CES européen un avis exploratoire sur la famille et le changement démographique. Ce document indiquait que non seulement aucun pays de l’Union européenne n’atteignait le taux de renouvellement des générations (seules l’Irlande et la France l’approchaient), mais que de nombreux pays perdaient de la population chaque année, notamment l’Allemagne mais aussi l’Espagne, l’Italie et tous les pays anciennement soumis à la dictature communiste. Le Vieux Continent devient un continent de vieux et il est plus judicieux d’investir dans les pompes funèbres que dans les berceaux. Mais il démontrait aussi clairement que des politiques familiales déterminées et pérennes avaient un impact pour combattre le vieillissement et redresser le taux de fécondité. Ce qui fut confirmé par deux autres avis en 2011 et en 2020.

Lors de son entretien du 14 Juillet, le président de la République a évoqué la question de la réforme des retraites. Or a été éludée et est toujours éludée la question de la démographie. Il est possible d’imaginer toutes les mesures d’âge légal de départ ou de nombre de trimestre, plus conforme à la justice, mais notre système par répartition ne tiendra pas si la démographie s’effondre. M. Macron ferait bien de se souvenir que les nations n’ont d’autre avenir que leurs enfants. À cet égard, la suppression du secrétariat d’État à l’Enfance et aux Familles est un très mauvais signe.

C’est, bien sûr, une décision idéologique qui est dans l’air du temps. La figure de la mère n’est pas valorisée, les féministes lui préfèrent la femme qui est « un mec comme les autres ». L’apostrophe de Gide « Familles je vous hais » (Les Nourritures terrestres) semble être devenue le mot d’ordre d’une certaine nomenklatura politiquement correcte. Pourtant, la famille dit ce qu’est l’humanité. L’homme seul ou la femme seule ne peuvent le manifester pleinement. C’est ensemble qu’ils disent ce qu’est l’humanité dans sa plénitude. Abîmer la famille, c’est abîmer l’humanité. Ainsi le combat pour la famille est-il la lutte ultime contre la barbarie qui, toujours, menace les sociétés humaines.

Stéphane Buffetaut, Boulevard Voltaire

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Jusqu’ici tout va bien !

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Le verdict des urnes a tranché. L’union des droites est morte, vive l’union des populistes. Mais cette union reste à écrire. C’est le grand chantier de l’opposition, de Marine Le Pen et du RN. Structurer l’opposition à Macron en coagulant la colère sociale qui gronde souterrainement. L’été sera chaud, la rentrée aussi. Préparez vos gilets jaunes.

La droite française est-elle en état de mort cérébrale ? En est-il de même pour la démocratie ? » La grande discussion entre François Bousquet (rédac chef de la revue Éléments) et Nicolas Vidal (fondateur de Putsch.Media)

Merci à la revue Elements

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2022, année Louis-Ferdinand Céline

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Célinomane = lecteur fou de Céline. Archétype du célinomane = Émeric Cian-Grangé, qui dirige à la Nouvelle Librairie la collection « Du côté de Céline ». Il fait le point sur la très riche actualité célinienne chez nos confrères de l’Action Française.

Nous nous retrouvons aujourd’hui pour évoquer Louis-Ferdinand Céline, figure incontournable de la littérature française, en compagnie d’Émeric Cian-Grangé qui eut l’extrême amabilité de nous accorder cet entretien. Profitant de l’actualité littéraire célinienne, l’Action Française voulut revenir sur les différents travaux et contributions à l’étude de cet auteur maudit, c’est-à-dire sulfureux, mais génial ! Pensons aux nombreuses recensions que fit LéoN Daudet, que ce soit pour Voyage au bout de la nuit ou pour ses pamphlets, à l’instar de Bagatelles pour un massacre pour lequel il eut cette appréciation : « Le livre de Céline [Bagatelles pour un massacre], à mon avis, recommence aujourd’hui l’aventure de l’Assommoir, avec un degrésupérieur, non de talent, mais de virulence dans l’invective. C’est la pression supérieure des circonstances qui commande cette hausse de ton » (Léon Daudet, Les Nouvelles littéraires, 19 février 1938). Continuons modestement cette aventure littéraire et plongeons à nouveau au cœur du délirant génie de Louis-Ferdinand Céline !

ACTION FRANÇAISE : Cher monsieur, nous vous remercions d’avoir bien voulu accorder cet entretien pour l’Action française. Avant que nous nous intéressions à vos différents travaux et à l’actualité célinienne, pourriez-vous nous raconter votre rencontre avec l’œuvre de Louis- Ferdinand Céline ? Pourquoi vous être tant attaché à cet auteur ?

ÉMERIC CIAN-GRANGÉ : Cher monsieur, Céline a fait irruption dans ma vie au début des années 90, dans une salle de classe de lycée. Mon professeur de français nous avait donné un extrait de Voyage au bout de la nuit à étudier. J’en ai conservé un souvenir très précis, puisqu’il s’agissait de la scène de troc entre autochtones africains et colons français. Embarqué par la lecture de ce passage, j’ai acheté l’édition Folio du livre. Ce n’est pas compliqué, il y a pour moi un avant et un après Voyage au bout de la nuit. Parcouru, trituré, craquelé, le bouquin est dans le tiroir de mon bureau, toujours à portée de main. Pourquoi m’être « tant attaché à cet auteur » ? Tout simplement parce qu’il m’a chambouleversé. Céline m’a rendu libre, c’est l’homme de ma vie.

ACTION FRANÇAISE : Pourriez-vous brièvement nous dresser un tableau du monde célinien ? Céline provoque-t-il toujours de l’intérêt ? Des travaux voient-ils encore le jour en nombre ? Bref, y avait- il un véritable dynamisme avant que ne surgisse la divine surprise des manuscrits perdus et retrouvés ?

ÉMERIC CIAN-GRANGÉ : Grâce au cinquième volume de la Bibliographie générale des droites françaises (Alain de Benoist, Éditions Duapha, 2021), il est possible de se faire une idée assez précise du nombre de travaux universitaires, français et étrangers, consacrés à Céline et à son œuvre. De 1939 à 2021, ce sont près de sept-cents-soixante études qui ont été réalisées, ce qui fait une moyenne de neuf par an. Combien d’écrivains sont-ils capables de susciter autant d’effervescence intellectuelle ? Il semble pourtant devenu difficile pour les étudiants de trouver un directeur de thèse. Saturation ou bien-pensance ? Le dynamisme que vous évoquez ne saurait pourtant se limiter à ces travaux qui, il faut bien le dire, n’intéressent que le microcosme universitaire. Il existe en dehors de ce landerneau une dynamique éditoriale constante qui se traduit par une production célinienne à tout le moins quantitative, à défaut d’être toujours qualitative. À titre d’exemples, pas moins de quatorze ouvrages sur Céline ont été publiés en 2019, neuf en 2020 et dix en 2021. L’année 2022 compte déjà douze publications. Il existe par ailleurs un périodique dédié à cet écrivain (Le Bulletin célinien, dirigé par Marc Laudelout depuis plus de quarante ans), deux sociétés céliniennes – la Société d’études céliniennes (SEC) et la Société des lecteurs de Céline (SLC) – et une collection littéraire célinienne (« Du côté de Céline », aux Éditions de La Nouvelle Librairie). On ne compte plus les groupes Facebook consacrés à l’auteur de Mort à crédit. En somme, Céline est toujours vivant, et la récente découverte de 6 000 feuillets manuscrits inédits montre qu’il est plus vivant que jamais.

ACTION FRANÇAISE : Selon vous, en quoi réside le génie de Céline ?

EÉMERIC CIAN-GRANGÉ : Une faculté créatrice hors normes, transcendante, capable de toucher un lectorat étonnement varié, multiple, panaché. Qui peut en effet se targuer d’avoir un public aussi composite, bigarré, disparate que Céline ? N’est-il pas un cas unique dans la littérature française ?

ACTION FRANÇAISE : Permettez que nous nous arrêtions sur ses pamphlets. Quelle place tiennent-ils pour vous dans l’œuvre célinienne ? Peuvent-ils être retranchés de celle-ci ? La question de la réédition de ceux-ci est plus que d’actualité, François Gibault, dans un entretien qu’il vous a accordé pour la revue Éléments, déclarait, après avoir rappelé qu’il s’était initialement opposé à cette réédition : « Je ne vois donc pas pourquoi les pamphlets de Céline, accompagnés d’un appareil critique conséquent, devraient être interdits de réédition. »

ÉMERIC CIAN-GRANGÉ : Vouloir, pour des raisons idéologiques ou de confort moral, retrancher Bagatelles pour un massacre, L’École des cadavres et Les Beaux Draps de l’œuvre célinienne, me semble dénué de sens, pour ne pas dire aberrant. Il est naturellement légitime que certaines personnes ne veuillent pas les lire, mais sont-elles pour autant en droit d’empêcher les autres de le faire ? Qu’on le veuille ou non, les écrits pamphlétaires de l’écrivain font intrinsèquement partie de son œuvre. En effet, si « la littérature se caractérise, non par ses supports et ses genres, mais par sa fonction esthétique, la mise en forme du message l’emportant sur le contenu », toute l’œuvre célinienne appartient à la littérature. Il est vrai que la réédition de ces trois ouvrages constitue un point de crispation qu’il faudra bien dénouer, avant qu’ils ne tombent dans le domaine public. C’est Gallimard qui a les droits et François Gibault s’est effectivement engagé à ce qu’ils sortent des presses avant 2031. Mais c’est « remonter les chutes du Niagara à la nage », pour reprendre l’expression du natif de Courbevoie. En attendant, le lecteur intéressé pourra se tourner vers le Québec qui, depuis 2012, propose à la vente une édition critique des pamphlets, sous le titre : Écrits polémiques (Éditions Huit, édition critique établie, présentée et annotée par Régis Tettamanzi).

ACTION FRANÇAISE : Vous êtes à l’initiative de la Société des lecteurs de Céline, pourriez-vous nous parler de cette aventure et de ses objectifs ?

ÉMERIC CIAN-GRANGÉ : Je suis en effet à l’initiative de la création de la Société des lecteurs de Céline (SLC), le 1 er juillet 2021, à l’occasion des soixante ans de la mort de Céline. Sa naissance découle de la mise en chantier d’un prix littéraire célinien. C’est en mai 2020 que j’ai eu l’idée de ce prix. Et c’est au détour d’une conversation électronique avec Alain de Benoist, un an plus tard, qu’il devint évident qu’il devait être décerné par un organisme associatif. C’est ainsi que la SLC a vu le jour. Étoffée, elle s’est aussi fixé pour objet de réunir, sans passion partisane ni politique, les amateurs de l’auteur de Mort à crédit, d’œuvrer pour la promotion et la diffusion de l’actualité célinienne et de contribuer à la recherche célinienne. Mon ambition était de représenter le plus légitimement possible la communauté des lecteurs de Céline et de lui permettre de s’exprimer de façon décomplexée. Vous le savez, les sociétés littéraires s’épuisent et finissent par mourir d’anémie. Les lecteurs, eux, restent bien vivants. Je partais donc du principe que la SLC appartenait à ses membres – dont le rôle ne se limite pas à envoyer un chèque une fois l’an – et qu’elle vivait à travers et pour eux. Je terminais d’ailleurs mon allocution inaugurale à Meudon par ces quelques mots : « Lecteur débonnaire, apprivoisé, bienveillant, peigne-cul, verbeux, stratosphérique, persifleur, bravache, franc-maçon, impétueux, mutique, « faux diable », tartuffe, bienheureux, alchimiste, « d’en haut », « d’en bas », belge, furibond, versificateur, pyromane, enjôleur, efféminé, juif ou binoclard, osez dire votre admiration pour l’œuvre de Céline et ses formidables chambardements littéraires. » J’en parle au passé car j’ai quitté mes fonctions de président et d’administrateur de la SLC début janvier. À la faveur de certains évènements, je me suis rendu compte que je n’étais plus en adéquation avec le reste de l’équipe et qu’il était devenu nécessaire que je reprenne mon indépendance.

ACTION FRANÇAISE : Vous dirigez, par ailleurs, pour les éditions de la Nouvelle Librairie, la collection « Du côté de Céline », pourriez-vous nous présenter les deux derniers ouvrages de celle-ci, Céline à hue et à dia de Marc Laudelout et Elisabeth Craig raconte Céline de Jean Monnier ?

ÉMERIC CIAN-GRANGÉ : « Du côté de Céline » est une locomotive célinienne, décomplexée, désinhibée et dynamique que j’ai fondée en 2020. Je lui ai fixé pour objet de contribuer à la connaissance et à l’exploration du continent célinien. Elle se compose d’ores et déjà de quatre ouvrages : Escaliers, d’Évelyne Pollet (préface de Marc Laudelout, postface de Jeanne Augier, novembre 2020) ; Céline à fleur de peau, de Serge Kanony (préface d’Éric Mazet, juin 2021) ; Céline à hue et à dia, de Marc Laudelout (avant-propos de Marc Hanrez et Frédéric Saenen, janvier 2022) ; Elizabeth Craig raconte Céline, de Jean Monnier (préface de Pierre de Bonneville, mai 2022). Dans Céline à hue et à dia, Marc Laudelout épingle les anticéliniens rabiques, évoque

diverses interférences littéraires, dresse le portrait de quelques figures (dont les « céliniens historiques ») et explore quelques faits liés à la biographie ainsi qu’à la réception critique de l’œuvre. Elizabeth Craig raconte Céline est le fruit d’un entretien entre la dédicataire de Voyage au bout de la nuit et Jean Monnier, un universitaire ayant rencontré en 1988 l’ancienne maîtresse de Céline. Ce témoignage place le lecteur au cœur de la vie affective de l’écrivain. À travers les yeux de « l’Impératrice », il découvre la relation intime qu’elle entretenait avec Louis Destouches, une source d’inspiration immense pour l’écriture de Voyage au bout de la nuit. Nous fêterons par ailleurs cette année les quatre-vingt-dix ans de la publication du premier roman de Céline, « du pain pour un siècle entier de littérature ». Pour commémorer cet événement, les Éditions de La Nouvelle Librairie publieront, au cours du second semestre 2022, un ouvrage collectif sur « cette œuvre sans pareille, ce moment capital de la nature humaine ».

ACTION FRANÇAISE : Vous avez également coordonné un ouvrage, Céline’s Big Band (paru aux éditions Pierre-Guillaume de Roux), arrêtons-nous un instant sur celui-ci. Il s’agit d’une compilation de courts récits d’expériences de lecture livrés par une centaine de céliniens. Pourquoi vous être lancé dans cette aventure ? Vous attendiez-vous à une telle diversité d’expérience ?

ÉMERIC CIAN-GRANGÉ : Je me suis lancé dans cette aventure pour combler l’absence de ce type d’ouvrages dans la pourtant très riche bibliographie célinienne. Et pour tenter de répondre à la question suivante : pour qui écrivait Céline ? J’ai donc contacté un très grand nombre de lecteurs – près de trois cents, en France et ailleurs –, avec pour seul critère de sélection l’intérêt porté à Céline. Capable de captiver un lectorat étonnement varié, composite et disparate (auditeur financier, étudiant, photographe de grand reportage, trapéziste, ancien secrétaire d’Etat, traductrice, médecin, démolisseur en bâtiment, comédien, docteur en philosophie, peintre, enseignant, ouvrier portuaire, psychologue, danseuse, employé, comédien, sociologue…), d’emporter – d’embarquer ! – toute personne sensible à la littérature, l’œuvre célinienne a l’extraordinaire faculté de transcender classes sociales, notoriété, clivages politiques et idéologiques. Qui peut se targuer, au sein de la littérature française, d’avoir un public aussi bigarré que Céline ? Chaque lecteur a sa motivation, son chemin, sa spécialité. Chacun apporte sa pierre, fait part de sa lecture. Aucun ne se ressemble. C’est ce que montre Céline’s Big Band.

ACTION FRANÇAISE : Malgré cette diversité, malgré cet ensemble disparate et baroque d’expériences, peut-on en extraire des vues collectives ? Peut-on discerner quelques terrains où tous les céliniens se retrouvent ?

ÉMERIC CIAN-GRANGÉ : Je fais mienne l’analyse faite par Henri Godard dans la préface qu’il a rédigée pour Céline’s Big Band : Céline n’est « pas un écrivain pour écrivains, comme il en a périodiquement existé dans la littérature française, mais un écrivain qui, tout novateur qu’il est, et par là demandant parfois d’abord à son lecteur un effort d’adaptation, est capable de toucher quiconque, pourvu qu’il s’agisse d’un amateur de littérature ».

ACTION FRANÇAISE : Passons, si vous le voulez bien, à l’actualité célinienne. L’événement, chers lecteurs, est un séisme, et pour cause ! Combien de fois retrouve-t-on, des dizaines d’années après la mort d’un des plus grands auteurs français, des manuscrits totalement inédits ? Et il ne s’agit pas ici de quelques feuillets, de quelques pages, mais bien de milliers ! Pourriez-vous revenir sur l’histoire de ces manuscrits volés et retrouvés ?

ÉMERIC CIAN-GRANGÉ : On le sait, le 17 juin 1944, se sentant menacé, Céline quitte la France en compagnie de son épouse et de leur chat Bébert. Il laisse dans son appartement plusieurs liasses de manuscrits qui auraient été volées par un faux résistant. C’est en août 2021 que les 6 000 feuillets manuscrits, retrouvés dans des conditions abracadabrantesques, sont dévoilés au public. Les faits sont bien connus, la presse a épuisé le sujet, je n’y reviendrai pas. Parmi ces documents figurent des liasses de plusieurs centaines de feuillets, révélant notamment deux inédits : Guerre et Londres. L’action du premier se situe dans les Flandres au début de la Grande Guerre, celle du second à Londres, en 1915. D’après François Gibault et d’autres, ces écrits apporteraient un éclairage exceptionnel sur le projet littéraire que Céline avait imaginé après la publication de son premier roman, à savoir un triptyque sur son enfance, la guerre et son séjour à Londres. Guerre semble être un manuscrit de premier jet, écrit deux ans après la parution de Voyage au bout de la nuit. Londres, le second inédit que Gallimard devrait éditer avant la fin de l’année, serait une ébauche de Guignol’s band (1944), dont on ne sait pas grand-chose pour le moment.

ACTION FRANÇAISE : Pensiez-vous que ces manuscrits existaient réellement et, si oui, qu’ils pouvaient un jour revenir à la surface ?

ÉMERIC CIAN-GRANGÉ : Les céliniens savent que l’œuvre de Céline est une transposition romanesque de sa vie et qu’elle repose toujours sur un fond de vérité. Concernant les manuscrits, les lecteurs attentifs avaient pu lire dans Féerie pour une autre fois : « Ils ont volé tout ce qu’ils pouvaient, fracassé tout ce qui était trop lourd !… ils ont brûlé les manuscrits… aux poubelles aussi, Guignol’s, Krogold, Casse-pipe ! mes offrandes ! » Et c’est convaincus de leur existence qu’ils espéraient les voir réapparaître un jour. Je fais naturellement partie de ces lecteurs. Certains spécialistes de Céline, à l’image d’Émile Brami, sont même partis à leur recherche, sans succès.

ACTION FRANÇAISE : Quel jugement pouvez-vous porter sur ce premier livre Guerre ? Quelles sont vos premières impressions ?

ÉÉMERIC CIAN-GRANGÉ : Mon jugement n’a strictement aucune intérêt, je ne suis qu’ « un garçon sans importance collective ».

ACTION FRANÇAISE : Vous attendiez-vous à un tel succès auprès du public ? En réalité, qui lit Céline et pourquoi le lit-on encore ? Vos travaux et publications portèrent souvent sur cette question des lecteurs !

ÉMERIC CIAN-GRANGÉ : Permettez-moi de citer Jean Guenot qui, dans Céline écrivain arrivé (Éditions Guenot, 1993), a écrit ceci : « Céline est un produit. Avec le temps, les conservateurs d’autographes, acheteurs de manuscrits aussi bien que destinataires ou détenteurs de correspondances, sont en droits de penser qu’il y a là des placements à long terme. […] Les manuscrits sont un autre pactole. Céline en a vendu de son vivant. Et il y a ceux qui ressortent on ne sait d’où. Ceux qu’a conservé un relecteur d’épreuves, un type ; ou un éditeur. Des paquets oubliés. Qui en est le propriétaire ? Celui qui détient l’objet avec la preuve d’achat. Il peut le revendre. Qui peut en autoriser la publication ? Seuls les ayants droits, pour la durée de la propriété littéraire. Tous ces manuscrits ont un intérêt scientifique, puisqu’on peut surprendre la petite musique en train de se faire. Mais en termes de produit, ce qui intéresse les chercheurs de papiers portant la griffe de Céline, ce n’est pas le style et la façon de l’approcher, mais principalement les plus-values. » Vous pensez bien que Gallimard a mis les petits plats dans les grands pour que le succès soit au rendez- vous. « Les éditeurs ?… […] acrobates d’arnaque ! leurs filouteries sont si terribles imbriquées au poil ! si emberlifiquées parfaites que ce serait l’Asile, toutes les camisoles que vous tentez d’y voir !… même à adorer… et de très loin !… comment ils s’y prennent !… » Qui lit Céline ? Vous, moi, Depardieu, Jean-Paul Sartre, Sonia Anton, François Bousquet, Nicole Debrie, Yannick Gomez, Serge Kanony, Marcel Aymé, Machin, Éric Mazet, Lucien Combel, Trucmuche, Yankel, le pape… À qui appartient Céline ? Pour qui écrivait-il ? Qui sont ses lecteurs ? Tous ceux qui, en accompagnant Ferdine « de l’autre côté de la vie », ont pris le risque d’aimer la littérature.

ACTION FRANÇAISE : Nous vous remercions d’avoir bien voulu répondre à nos questions et espérons que la publication de ces inédits de Louis-Ferdinand Céline puisse augmenter l’intérêt porté à ce géant de la littérature !

Propos recueillis par Guillaume Staub
Source Action Française

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La chanson du jour, Free Bird – Lynyrd Skynyrd *

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Vous voulez vraiment savoir ce que c’est un bon morceau des années 70 ? 1973 pour être précis. Et bien écoutez ce morceau qui démarre tranquille tel une petite ballade pendant environ 4 minutes. Un chanteur tranquille qui déroule sa chanson et en background tout l’univers des années 70 (avant le Disco) avec de jolis effets de guitares. On aurait pu en rester là mais à partir de 4 minutes et 44 secondes le tempo s’accélère et là vous allez directement décoller vers les étoiles. Les guitares électriques prennent le pouvoir pour ne plus vous lâcher jusqu’à la fin du morceau. Du grand art !

Do you really want to know what a good 70s song is? 1973 to be precise. Well listen to this piece which starts quietly like a little ballad for about 4 minutes. A quiet singer who unfolds his song and in the background the whole universe of the 70s (before Disco) with nice guitar effects. We could have stopped there but from 4 minutes and 44 seconds the tempo accelerates and there you will take off directly towards the stars. The electric guitars take over and never let you go until the end of the song. Great art!

En bonus la version Live :

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Condamné à mort par les Russes, le mercenaire britannique Aiden Aslin expie ses crimes horribles et s’excuse en chantant l’hymne national russe

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Les types du Foreign Office n’ont pas l’air de s’amuser en Ukraine.

Le terroriste britannique Aiden Aslin, condamné à mort en qualité de mercenaire après sa capture à Mariupol, est devenu un ardent patriote russe.

Oups. Le conspirationniste américain en exil John Dougan a apparemment interviewé Aiden Aslin, le soldat volontaire britannique capturé qui attend maintenant d’être exécuté dans le DNR. Ces images d’Aslin chantant l’hymne national russe font froid dans le dos. On peut supposer qu’il espère que cela le gardera en vie ?

John Dougan a fait un bon reportage sur Marioupol et la terreur qui s’y repend.

Cet Anglais Aiden Aslin doit théoriquement être fusillé. Un geste d’élégance de la part des Russes, une pendaison aurait été plus conforme à la situation.

En tout cas, si ce bandit se sait à deux doigts du peloton d’exécution et chante quand même l’hymne russe, c’est que l’alternative est bien moins plaisante.

Les Russes sont très forts dans ce domaine-là.

Je ne serais pas surpris qu’un certain nombre d’assassins de ZOG soient envoyés dans la toundra sibérienne participer à la construction exaltante de gazoducs par – 50°C.

En Sibérie, les Russes aiment bien être espiègles avec les détenus politiques.

Un des trucs qu’ils font dans les camps, c’est de réveiller les ennemis du peuple à 6h00 du matin pour les aligner dans la cour. Là, ils confisquent les bottes d’un détenu pris au hasard qui doit ensuite aller pieds nus.

C’est un arrêt de mort.

Tout ça pour dire qu’aller jouer aux mercenaires en Ukraine est un projet de vie merdique, et un projet de mort plus merdique encore.

Merci à D.P.

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Amiens : émotion après qu’un Libyen clandestin a mortellement suriné Wassim, un Tunisien clandestin

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A Amiens, le 14 juillet était festif.

Le Courrier Picard :

14-Juillet tragique à Amiens où un homme d’une vingtaine d’années a été tué, poignardé volontairement selon les premières constatations policières.

Les faits se sont déroulés vers 23h30 place René-Goblet, dans le centre-ville, à quelques dizaines de mètres de l’antenne de police située rue des Otages.

De source policière, le suspect est un homme de nationalité libyenne, âgé de 25 ans, qui était fortement éméché au moment de son interpellation. Il est inconnu des services de police.

On ignore, à ce stade, quels étaient les motifs exacts de l’agression. Reste que la victime, Wassim Rebei, s’est écroulée alors que des personnes se trouvant sur place, dont un homme se présentant comme son frère, parvenaient à maîtriser l’agresseur en attendant l’arrivée de la police.

Malgré l’arrivée des secours (Samu et sapeurs-pompiers) qui ont tenté de réanimer le jeune homme, lui aussi de nationalité étrangère, en l’occurrence tunisienne, ce dernier décédait sur place. L’homme interpellé était en état d’ivresse, il a été emmené au commissariat pour y être placé en garde à vue avant un passage dans la case cellule de dégrisement. Les policiers se sont, à nouveau, rendus sur place, ce vendredi matin, ainsi qu’un membre du parquet d’Amiens. On ignore si le secteur est pourvu de caméras de videoprotection qui auraient pu filmer le drame.

L’autopsie de la victime a également eu lieu ce matin. Contacté, le parquet d’Amiens indique que la victime est bien décédée des suites d’une blessure par arme blanche, « en l’occurrence un unique coup de couteau au niveau du thorax ». Une arme blanche qui a été retrouvée sur place. « L’enquête a été confiée à la sûreté départementale et se poursuit. Les auditions en cours permettront de déterminer les circonstances de commission des faits », poursuit le parquet qui communiquera ultérieurement sur les suites de l’enquête et de la garde à vue.

Un homme qui passait à vélo, en rentrant du travail, peu de temps après l’agression, explique qu’il a vu les secours s’affairer autour de la victime jusqu’à minuit passé. « Le jeune homme était allongé place René-Goblet mais il aurait peut-être été poignardé à proximité du square Saint-Denis. J’ai entendu dire qu’il avait perdu beaucoup de sang », nous confie-t-il, encore choqué quelques heures après le drame.

Selon des proches de la victime, contactés, le motif de l’agression serait motivé par le fait que Wassim Rebei aurait refusé de donner son téléphone portable. « On a appris la terrible nouvelle jeudi soir, nous dormions tous quand un de nos voisins est venu nous réveiller, raconte Priscilla, la belle-sœur de la victime qui vit à Zarzis. Wassim avait appelé sa maman dans la journée pour lui dire qu’il voulait se remettre sur le bon chemin. Il était en situation irrégulière et voulait absolument poursuivre ses démarches pour s’insérer dans la société. » Wassim vivait en France depuis plusieurs années. Il avait récemment quitté Paris pour rejoindre deux de ses frères à Amiens. Les parents modestes de Wassim souhaitent désormais rapatrier le corps de leur fils mais ils n’en ont pas les moyens. « On essaie de trouver des solutions mais c’est très difficile », poursuit Priscilla qui attend des réponses des autorités sur les circonstances exactes du drame.

Nos arabes clandestins tuent nos arabes clandestins pour un portable.

Y’en a assez !

Lu dan D.P.

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Pour une nette majorité de Français, l’identité française est fondée sur la sécu et les retraites

Articles  : Juil. 2022Juin. 2022 – Mai 2022Avr. 2022 –

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Des identitaires français !

+ Webtube : Pauvre France….. Dire que nos ancêtres se sont battus pour en arriver là !

>> L’article dans D.P. :

Nous avons des nouvelles de l’identité française.

Être français, c’est avoir la sécu et les retraites.

Même la langue française est considérée comme un élément nettement moins structurant de l’identité française que la sécurité sociale et les retraites.

En dépit de ce que dit une fraction de la droite, Marine Le Pen a raison : l’identité collective des Français, c’est le communisme. « Le pouvoir d’achat », comme dit le RN.

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Quand on en est réduit à croire que son identité de peuple, c’est le guichet social, la messe est dite.

Imaginez, vous interrogez des soldats israéliens et vous leur demandez pourquoi ils se battent.

« Pour la sécurité sociale ! »

Il n’y a rien de surprenant là-dedans. Le constructivisme stato-jacobin a arraché mentalement chaque Gaulois de sa terre pour en faire un « citoyen » de la république, c’est-à-dire un serf anonyme au service de la bureaucratie parisienne. Un « contribuable », et en même temps un assisté.

Rien d’autre.

Pour une nation authentique, organique, l’état procède du peuple. Pas l’inverse. En France, le peuple n’est qu’une prothèse de l’État, c’est-à-dire de la bureaucratie soviétique.

Maintenant, que se passera-t-il quand ce guichet social d’inspiration communiste sera en cessation de paiement ? Ce sera quoi, l’identité française ?

Probablement le règlement de comptes interethniques, la misère et l’émeute.

Lu dans D.P.

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