Nos chances pour la France, les faits du jour…

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+ Webtube : A priori les incendies touchent à leur fin. Par contre, ce qui ne s’arrête jamais c’est la délinquance constatée quotidiennement dans toute la France. Aujourd’hui l’ensauvagement a quitté nos banlieues pour élire domicile dans nos villes et nos villages. A qui la faute ? On agresse, on blesse voir on tue pour des motifs parfois futiles !

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Une instagrameuse fait trembler la République après avoir été refoulée d’un restaurant du 8e arrondissement

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Une instagrammeuse se plaint ( à juste titre ?) à l’encontre d’un restaurant à priori raciste :

L’article :

Ma première expérience du racisme au restaurant Manko à Paris. Je vais juste laisser ça là et continuer ma vie.

@tiguiidiallo

My first experience of Racism at the restaurant Manko in Paris. Am just gonna let this here and go on with my life.

♬ son original – tiguidiallo

  Il suffit de geindre en traitant les Blancs de racistes pour faire trembler la Création.

La police religieuse “fronssaise” a immédiatement embrayé.

Le Point :

Une enquête a été ouverte vendredi pour discrimination fondée sur l’origine, l’ethnie ou la nationalité après la diffusion d’une vidéo montrant des personnes noires refoulées d’un restaurant à Paris, a-t-on appris auprès du parquet.

Trois jeunes femmes, qui ont filmé la scène, avaient réservé une table le soir du 16 juillet au restaurant le Manko, situé sur la très chic avenue Montaigne, au pied des Champs-Elysées dans le VIIIe arrondissement de Paris.

Pourtant maquillées et bien habillées, elles ont été refoulées par un vigile car elles ne portaient pas de tenue de soirée, l’entend-on dire dans la vidéo.

La vidéo, diffusée sur le réseau social TikTok et accompagnée de la légende « Ma première expérience de racisme », avait été visionnée plus de 650.000 fois vendredi après-midi.

« Mais on est habillées en tenue de soirée ! C’est une blague ! (…) J’aurais dû porter quoi ? », s’exclame l’une des trois femmes.

Stupéfaite, l’une d’elles filme des personnes blanches entrant dans l’établissement sans difficulté tandis que d’autres personnes noires se voient interdire l’accès.

« Mais ça me choque, ça existe pour de vrai… », déplore-t-elle.

Apparemment, pour cette personne, c’est la première fois qu’on ne lui déroule pas le tapis rouge quelque part.

En tout cas, le restaurant a réagi rapidement en assurant publiquement qu’il adhérait pleinement aux valeurs de la tolérance et de l’antiracisme.

Le restaurant a présenté « ses excuses » dans un communiqué diffusé sur Instagram. « Manko respecte une charte de valeurs qui prône l’égalité, le respect, la tolérance et la bienveillance », assure l’établissement, annonçant que « les sanctions nécessaires ont été immédiatement prises et de façon permanente ».

Le videur, qui a fait le job qu’on lui demande d’ordinaire en tenant éloignées les hordes de banlieue qui tentent de s’infiltrer partout, a été viré.

Tout le monde sait ce qui se passe quand on laisse certaines personnes stupides et violentes squatter quelque part. L’ambiance est immédiatement ruinée et la clientèle civilisée s’enfuit en courant. Une fois ce type de clientèle disparue, l’établissement a le choix entre devenir un bar à chicha hors de prix ou fermer ses portes.

L’État et ses flics veillent à ce que cette spirale du pourrissement racial aille jusqu’à son terme.

L’enquête pour discrimination fondée sur l’origine, l’ethnie ou la nationalité dans l’offre ou la fourniture d’un bien ou d’un service a été confiée à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP), a précisé le parquet.

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Santé. Microplastiques : 78 % des bouteilles d’eau contaminées en France ?

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Une enquête sur la présence de microplastiques dans les neuf eaux en bouteilles parmi les plus vendues en France dresse un constat alarmant.

Des microplastiques dans 78 % des eaux testées

Les résultats de l’étude publiée le 21 juillet par l’association Agir pour l’environnement ont de quoi inquiéter les consommateurs français soucieux de leur santé.

L’entité a ainsi eu recours au service du laboratoire public Labocea (spécialisé dans l’analyse de l’eau) afin de vérifier si les principales eaux en bouteille vendues en France contenaient des microplastiques.Les neuf bouteilles passées au crible étaient les suivantes : Badoit, Carrefour (Source Montclar), Cristaline, Evian (bouteille 100% recyclée en 0,50 cl et bouteille d’1 litre), Perrier (bouteille bleue), Vittel (1 litre et Vittel Kids en 0,33 cl), Volvic.

Une sélection qui comprend donc eau plate et gazeuse, plastique vierge, plastique recyclé mais aussi eau de marque distributeur.

À noter également que ces analyses se sont uniquement concentrées sur les microplastiques et n’ont pas cherché d’autres polluants et contaminants chimiques.

À la suite de ces travaux, le verdict est sans appel : 78 % des eaux testées contenaient des microplastiques. De façon hétérogène puisque des disparités quant aux quantités et à la nature de ces composants ont été relevées. Le nombre de microplastiques par litre observés a été compris entre 1 et 121 microparticules. Un maximum qui a été atteint pour la bouteille Vittel Kids de 33 cl. C’est donc la bouteille destinée aux enfants qui contient le plus de microparticules au litre ! À l’inverse, aucun microplastique n’a été retrouvé dans  les bouteilles de la marque Volvic.

Concernant la nature des principaux microplastiques retrouvés lors de l’étude, il s’agit du polypropylène, du polyéthylène et du polyéthylène téréphtalate.

5 grammes de plastique ingérés par semaine ?

Ces résultats viennent donc conforter l’association Agir pour l’environnement dans son militantisme en faveur de l’interdiction de l’usage du plastique à usage unique sous cinq ans et la sortie du plastique d’ici 2030. L’organisation indique par ailleurs sur son site que, « chaque semaine, nous ingérons en moyenne 5 grammes [de plastique, NDLR], l’équivalent d’une carte de crédit ».

Les consommateurs français ne sont pas les seuls concernés par la présence de microplastiques dans les bouteilles d’eau. En 2018, une étude de la State University of New York révélait que 93% des eaux testées contenaient des microplastiques avec une moyenne de 10,4 microparticules par litre, soit en moyenne deux fois plus que dans l’eau du robinet.

Qu’entend-on par microplastiques ?

Quant à l’utilisation du terme « microplastique », utilisé pour la première fois dans une publication scientifique en 2004, il désigne des débris de plastique microscopiques. Les microplastiques sont des particules de taille inférieure à 5 mm jusqu’à 1 μm.

On distingue deux types de microplastiques. Tout d’abord ceux qualifiées de primaires qui sont fabriqués pour des usages domestiques et industriels et qui arrivent directement dans l’environnement sous forme de microplastiques. C’est notamment le cas des fibres synthétiques issues des vêtements, des résidus de pneus, de certaines peintures ou encore les granulés issus de la plasturgie.

D’autre part, on distingue également les microplastiques dits secondaires issus de la fragmentation et de la dégradation des déchets plastiques.

La recherche de la présence de microplastiques dans des eaux se déroule en deux étapes : dans un premier temps, les microplastiques sont séparés de la fraction liquide. Puis vient ensuite l’identification précise du type de polymère.


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Procès du 13-Novembre : la tribune très politique de onze avocats de la défense

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Le 18 juillet dernier, le journal Le Monde publiait une tribune des avocats des six accusés au procès du 13-Novembre, dont Salah Abdeslam, se livrant à un véritable réquisitoire contre la décision rendue mais aussi contre l’institution judiciaire et plus largement contre l’État.
A défaut d’avoir convaincu à la barre, ces avocats tentent désormais de discréditer le verdict en développant une théorie complotiste : les « dix mois d’audience n’ont servi à rien dans la décision finale » car « tout était joué d’avance » et ce n’est pas « une décision de justice fondée sur le droit » qui a été rendue, mais une « décision politique ». Une « œuvre de vengeance » qui, pour les condamnations les plus lourdes, cache en fait « une peine de mort lente en abolissant tout espoir de réintégrer la société ».

Cette tribune met donc en scène un nouveau procès dans lequel les rôles sont inversés : les avocats se muent en procureurs, les magistrats se retrouvent sur le banc des accusés et les condamnés se transforment en victimes d’un complot car « tout était joué d’avance », comprenez ce procès n’était qu’un simulacre.
Une théorie bien maigre au regard des arguments avancés, comme celui évoquant des accusés « qui se révélaient bouleversés par la parole des parties civiles ». Et que dire de l’indécence de certaines affirmations, comme celle assénant qu’il est facile « d’abattre nos ennemis en faisant fi du droit » ? Abattre ! Doit-on comprendre qu’en réalité c’est l’État qui est terroriste ? Et que les condamnés sont alors les victimes d’un assassinat prémédité ?
Il y a dans tous ces sous-entendus, ces allusions et ces non-dits, quelque chose d’écœurant et de profondément choquant. Mais peut-être était-ce l’objectif de cette tribune qui semble répondre, elle aussi, à des « considérations stratégiques, c’est-à-dire politiques ».
Derrière l’avocat se cache parfois le militant comme en témoigne le profil de Raphaël Kempf, avocat d’un des accusés et signataire de la tribune. Libération et France inter lui avaient consacré des portraits dithyrambiques : « un pénaliste rebelle » qui, lorsqu’il était étudiant, se passionnait « pour la culture arabe » qu’il a étudié au Caire.
Il y a fait également un stage chez un avocat égyptien et, revenant sur cette expérience, il explique à la journaliste de France Inter tout le bien qu’il pense de la charia : « À ce procès, quand on entend le mot charia, on dit vous êtes un islamiste, etc. Mais moi ce que j’ai constaté, c’est que la justice égyptienne se réfère à des normes de droit issues de la charia pour y trouver des solutions juridiques, en faveur de paysans qui risquaient l’expulsion ».
La charia au service de la justice sociale.

À lire ses déclarations, on comprend que le judiciaire n’est pour lui que la continuation de la politique par d’autres moyens. Il le reconnaît lui-même lorsqu’il déclare à Libération (16.12.2021), à propos de son mentor égyptien : « J’avais une admiration extraordinaire pour lui. Il faisait de l’activisme à partir du droit ». Voilà le sens de la tribune du Monde.
En témoigne également son évocation d’une autre de ses affaires mettant en cause des activistes antinucléaires poursuivis pour association de malfaiteurs. Il dénonce, là-encore, un « procès politique » qui illustre, d’après lui, « la criminalisation des militants ».
La « répression d’État des militants », c’est son combat. Il lui a d’ailleurs consacré un livre : Ennemis d’État – Les lois scélérates, des anarchistes aux terroristes.
Le vrai coupable, c’est l’État avec ses procureurs aux ordres qui refusent de voir que son client au procès du 13-Novembre, Yassine Atar, est en fait « la victime expiatoire d’un système judiciaire aux abois aveuglé par son patronyme », la « victime des lois antiterroristes qui permettent une répression féroce ».
On comprend alors que la tribune du Monde instrumentalise des questions juridiques à des fins politiques. Avec, en écho, la rhétorique complotiste de l’extrême gauche et sa sinistre inversion des valeurs qui conduit à systématiquement faire des délinquants et des criminels les victimes d’une société injuste et raciste. Une manœuvre qui ne nous fera pas oublier qui sont les vraies victimes et qui sont les barbares islamistes coupables d’une tuerie de masse.

Frédéric Lassez, Boulevard Voltaire

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A Lyon, une association de riverains dénonce « l’enfumage » de Grégory Doucet

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Lyon dans le 7e arrondissement. L’association de riverains en colère créée en 2019 pour dénoncer « l’insécurité » et les « incivilités » jette l’éponge. Il faut dire que le quartier de la Guillotière réputé pour être « cosmopolite » fait régulièrement parler de lui.

Par exemple et de manière non exhaustive, en mars dernier les habitants se plaignent de voir des « gens sniffer de la drogue et de la poudre toute la journée », la presse (ActuLyon, 2 mars) relate « la présence de groupes d’hommes, plusieurs dizaines, voire jusqu’à une centaine l’été, qui sont drogués, alcoolisés, bruyant et violents ». Le même mois, ce sont des tirs à la Guillotière et un homme touché par balle (ActuLyon, 9 mars). En mai, une habitante se plaint de l’installation d’un urinoir sous son appartement. Cette retraitée raconte à la presse (Actu Lyon, 6 mai) « La moitié du temps, il sert de poubelle à canette ou autres choses ! Une société vient le vider de temps en temps. Il y a des traînées d’urine par terre, c’est dégueulasse. » Le 2 mai, toujours dans le même quartier et selon ActuLyon« un homme a fait deux victimes au couteau ». Le 31 mai, c’est une boulangerie qui doit fermer en raison de l’insalubrité , ActuLyon décrit la présence de rats et de cafards. Le 9 juin, Nathalie Balmat, la présidente de l’association « La Guillotière en colère » attaque la Métropole du Grand Lyon et la Ville (pourtant écologiste) devant la justice administrative pour dénoncer la saleté et les dépôts sauvages d’encombrants dans les rues sans la moindre verbalisation. Le 24 juin, c’est une vidéo devenue virale (plus de 100K vues) qui montre une bagarre qui dégénère.

Et pas plus tard que ce 20 juillet, toujours à la Guillotière, trois policiers sont lynchés à coup de barre de fer par une foule hostile d’une cinquantaine de personnes. Gérald Darmanin apporte évidemment son soutien aux forces de l’ordre par un tweet qui doit certainement “leur en toucher une sans faire bouger l’autre”.

Dans ce quartier où il fait bon vivre donc, l’association de riverains en colère ne fait que constater l’inefficacité de la mairie à agir. Epuisée par ces combats incessants, elle a voté sa dissolution le 12 juillet. « Nous avons combattu sans relâche les mensonges et surtout le déni des autorités d’hier ou d’aujourd’hui, face à la situation gravissime d’un quartier qui ne faisait qu’empirer de semaine en semaine » explique le communiqué de l’association qui dénonce la sourde oreille de la municipalité administrée par Grégory Doucet. Le maire est également mis en cause par Laurent Wauquiez, président LR de la Région Auvergne-Rhône-Alpes qui ironise « Rassurez-vous, le maire de Lyon réfléchit à la possibilité de lancer un audit sur l’installation de caméras quelque part, un jour, dans la ville. »

Agressions, tags, personnes qui urinent sur la voie publique, tapage nocturne, trafic de drogue ou harcèlement de rue, l’association aura combattu mais fustige aujourd’hui « un vaste système d’enfumage d’ateliers participatifs, donner le semblant aux citoyens que la mairie s’occupe d’eux, qu’elle écoute les problématiques et apporte des solutions. » Un combat qu’elle cesse de mener.

Sur Twitter, une autre association « La Guillotière vraiment en colère » évoque de son côté un défaut d’analyse de la part de l’association dissoute. Elle évoque une « intention louable », mais qui se contentait de « rappeler les pouvoirs publics à leur mission fonctionnelle » tout en maintenant « un silence assourdissant sur les causes profondes de la situation dans ce quartier ». Selon elle, l’association récemment dissoute ne nommait pas la corrélation entre incivilités et communautarisme ethno-religieux. Et sans véritable diagnostic, le risque était donc de déplorer les effets dont on chérit les causes. Dans ces conditions, on comprend que le combat ait pu s’annoncer vain…

Iris Bridier Boulevard Voltaire

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I-Média 405 : Entretien avec Claude Chollet, celui que les médias redoutent !

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Jules Blaiseau a le plaisir de recevoir Claude Chollet, fondateur et directeur de l’Observatoire du Journalisme, dans un épisode exceptionnel d’I-Média. Il n’est pas question cette semaine de décrypter la propagande médiatique mais plutôt d’apprendre à s’en affranchir. Découvrez dans cet épisode unique des réflexions passionnantes sur le monde opaque des médias ainsi qu’une présentation de l’OJIM : le site internet qui fait trembler les journalistes ! L’Observatoire du Journalisme : https://www.ojim.fr

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JT du vendredi 22 juillet 2022 : Joe Biden : qui dirige vraiment les Etats-Unis ?

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Ce soir, nous partirons aux Etats-Unis. Depuis l’arrivée de Joe Biden à la Maison Blanche, les malaises autour des prises de parole du président se multiplient et posent des questions sur sa santé. De quoi interroger sur la tête qui dirige le pays ? Également au programme, la fin de vie du Conseil Scientifique. Avec la chute de l’état d’urgence sanitaire, cet organe opaque aux fréquents conflits d’intérêts, tire sa révérence dans un ultime rapport. Et pour terminer, nous reviendrons sur le scandale de l’omerta sur les gangs de pédophiles pakistanais en Grande-Bretagne.

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