+ Webtube :Sans une économie forte au service de sa population, un pays n’est rien. On le voit ici (comme au Venezuela il y a quelques années). Des mesures contre productives, des hommes politiques incompétents mènent à la ruine d’un pays. Difficile de ne pas pensez à notre pays en voyant ces images. Certes nous n’en sommes encore pas là mais au travers des discours de certains politiques et les mesures (voir non mesures) de notre gouvernement pourraient à terme nous faire basculer dans le tragique.
Entre la destruction de l’agriculture par un 100 % biologique imposé brutalement, la pénurie de devises étrangères et des importations de nourriture, carburants et autres produits essentiels, le Sri Lanka est pris dans une impasse. La colère populaire est énorme, manifestations et campement devant la résidence du président Gotabaya Rajapaksa durent depuis plus d’un mois. Aujourd’hui les manifestants ont renversé le clan au pouvoir. Le président s’est enfui. Vers quel avenir se dirige ce mouvement populaire, hors partis politiques ?
Le président du Sri Lanka, Gotabaya Rajapaksa, a fui samedi sa résidence officielle de Colombo quelques minutes avant qu’elle ne soit prise d’assaut par des milliers de manifestants en colère, a indiqué une source de la Défense. Les images que vous allez voir sont celles d’un peuple qui a faim… L’Europe de demain, avec l’écroulement de l’euro, peut ressembler à ça… Mais heureusement, il restera assez de carburants dans les hélicoptères pour fuir !
+ Webtube : Ne faudrait-il pas parler de la “despote” Anne Hidalgo accrochée à son rocher parisien ?
Un adjoint au maire de Paris a envoyé « par erreur » un mail à l’opposition. Il y faisait allusion à une augmentation des taxes à reporter après les élections. L’occasion d’une diatribe de Me Francis Szpiner, maire du très populaire XVIe arrondissement, que Anne Hidalgo a tenté en vain de faire taire.
Anne Hidalgo a fait décaler en douce une augmentation des taxes de la Ville de Paris à l’après-législatives.
Un adjoint d'#AnneHidalgo envoie au mauvais destinataire (un maire d'opposition) un mail demandant de décaler "après les législatives" une augmentation de taxes ❓ Les plates excuses de la maire de #saccageparis vont vous étonner ⤵️ pic.twitter.com/xvF0TSv5qc
Contactée à ce sujet, la réponse gênée d’Anne Hidalgo : « On en discutera en privé… » C’est ça, en privé, quand les Parisiens en auront marre qu’on les prenne pour des jambons.
La rencontre organisée entre Jacques Brel, Léo Ferré et Georges Brassens eut lieu à Paris le 6 janvier 1969 et a été immortalisée par une photo de Jean-Pierre Leloir, image devenue célèbre. Une interview exceptionnelle de ces trois artistes a pu être menée par François-René Christiani. L’enregistrement sonore de cette rencontre a été retrouvé par le producteur du film, ainsi que deux cents autres photos. Les chanteurs dialoguent sur leur statut d’artiste, la difficulté d’écrire, les rapports à l’argent, à la mort, au public. Cette rencontre est remise en perspective dans le parcours artistique et personnel de ces trois « monstres sacrés ».
+ Webtube : L’incompétence et le ridicule voilà comment qualifier M. Lemaire !
« Nous allons provoquer l’effondrement de l’économie russe », avait proclamé, hystérique, Bruno Le Maire le 1er mars. À peine quatre mois plus tard, on constate qu’il s’est totalement trompé. Si le rouble a augmenté de plus de deux fois et demie sa valeur face au dollar, l’euro, lui, n’en finit plus de dégringoler. Aujourd’hui, il s’approche de la parfaite parité avec le billet vert américain, alors qu’il y a un an, il valait 1,20 dollar !
Pour ceux qui espèrent que cela va s’arrêter, autant le dire, avec les prix de l’énergie qui flambent, c’est mal barré. Une situation d’autant plus préoccupante pour l’Union européenne que l’inflation explose depuis l’an dernier aux États-Unis, pour atteindre les plus hauts niveaux depuis plus de trente ans. Supérieure à celle de la zone euro, elle aurait donc dû logiquement impacter davantage nos concurrents d’outre-Atlantique.
Coût de l’énergie et coût de la dette divisent l’Europe
Quand la Réserve fédérale des États-Unis a encore de la manœuvre pour rehausser ses taux en conséquence, la zone euro se voit, elle, tiraillée entre le Nord pris à la gorge par le coût de l’énergie, où les Allemands en tête feront tout pour augmenter les taux d’intérêt afin de rééquilibrer leur balance commerciale, et le Sud surendetté (Grèce, Espagne, Portugal, Italie et même France) dont chaque nouveau point d’inflation augmente de façon insoutenable le coût de l’endettement.
Allemagne : non à l’inflation, oui à la hausse des taux
Les Allemands, qu’une telle politique européenne commence à sérieusement échauffer, semblent bien déterminés à ne rien lâcher. Et pour cause, les sanctions contre la Russie faisant s’envoler le coût de l’énergie (lire à ce sujet notre analyse sur les conséquence des prédictions de Schwab), c’est toute la balance commerciale qui faisait la fierté de la quatrième puissance économique du monde qui part en vrille. Pour la première fois depuis la réunification, elle est en déficit : un milliard d’euros rien que pour le mois de mai, et ça n’est assurément qu’un début. Lundi 4 juillet, Joachim Nagel, président de la Bundesbank, la banque centrale allemande, a mis en garde la Banque centrale européenne contre toute tentative visant à faire baisser les coûts d’emprunt des pays du Sud de la zone euro. Il a estimé que l’accent devrait être mis sur la lutte contre l’inflation, qui pourrait nécessiter plus de hausses de taux d’intérêt que prévu.
L’écart des taux entre Nord et Sud de l’Europe se creuse
Comme le reconnaît enfin Christine Lagarde à demi-mot en sortant de derrière les fagots son mystérieux outil anti-fragmentation, censé rééquilibrer miraculeusement le Nord et le Sud, la zone euro subit une fragmentation sans précédent des différents taux d’emprunt (les « spread », dans le jargon financier). Autrement dit la différence de taux entre les différents pays de l’Union européenne devient catastrophique pour l’unité de la monnaie unique. D’ailleurs, le ton alarmiste du discours qu’elle a tenu tranche avec la prudence adoptée depuis plus d’un an, quand elle invitait à ne pas « surréagir ».
La récession annonce la fin de l’euro
C’est donc bien la confiance dans l’euro qui est fondamentalement atteinte, et c’est peu dire que la santé de l’Union européenne inquiète les marchés. La politique économique des va-t-en-guerre a engendré un risque de récession considérable, aujourd’hui reconnu même par Andrea Enria, le responsable de la supervision bancaire de la BCE. « Le scénario de la récession doit être désormais anticipé par les banques européennes », a-t-il prévenu lors d’une audition devant le Parlement européen.
Une situation pourtant si prévisible ! On en vient à se demander comment ces gros malins du gouvernement, après avoir envoyé l’industrie en Chine, explosé la dette, l’avoir indexée sur l’inflation et paralysé pendant deux ans le pays et son économie, pensaient réellement mettre à terre la Russie et recevoir les lauriers de la gloire en se privant du gaz le moins cher du monde, au moment même où ils en avaient le plus besoin. Là où la crise grecque de 2015 et l’annonce du Brexit en 2016 ont échoué, les alliés de Zelensky et des États-Unis seraient-ils parvenu à faire entrer l’euro, et toute l’union qui le soutient, dans sa phase terminale ?
1€ = 1,02$ L'#Euro est quasiment à parité avec le #Dollar, comme il y a 20 ans à ses débuts. Une des conséquences : l'achat du pétrole et gaz pésera encore plus sur le budget de l’État, aggravant la hausse des cours.
Et que penser des européistes se prenant les pieds dans le tapis ? Voilà des années, des décennies, que nombre d’économistes et de souverainistes préviennent que les monnaies plurinationales finissent toujours par exploser, et que, du fait même de leur impossibilité à garder homogènes les taux d’emprunt entre les pays, aucun plan de sauvetage ne saurait en guérir les défauts congénitaux. Par ailleurs, on le sait bien, ce sont ceux qui tiennent la monnaie qui tiennent l’État ; avec la marionnette Macron à la solde de l’empire étatsunien, nous en avons aujourd’hui un dramatique exemple.
Alors, que conclure ? qu’ils sont encore plus crétins qu’on ne le pensait ou que le coup de grâce n’est qu’une sournoise manœuvre pour sauver les meubles ? ou peut-être encore, simplement, que la grande réinitialisation ne fait que poursuivre son cours, et que s’appliquent de jour en jour les projets de Klaus Schwab et de la famille Rothschild pour faire table rase avant d’imposer leur nouvel ordre et leur monnaie mondiale. Bêtise, zèle, plan machiavélique ? ce sera à l’appréciation de tout un chacun, car, quoi qu’il en soit, la fin de l’euro sera en fin de compte tout sauf une mauvaise nouvelle.
Grand Remplacement ou Grand Déclassement ? À comparer les résultats de Zemmour et de Marine, les Français ont tranché. La question de l’insécurité sociale a dominé les débats, mais elle n’exclut pas, loin de là, celle de l’insécurité civilisationnelle. Pour en débattre, les Natifs Paris ont invité Jean-Yves Le Gallou, président de Polemia, et François Bousquet, rédacteur en chef d’Éléments.
Des hordes de plusieurs centaines de « jeunes » qui déferlent à partir « des quartiers des banlieues voisines ». Des vols, des dégradations, des agressions. Le Stade de France ? Pas du tout, une piscine publique, à Tours, le week-end du 18 juin dernier, pendant la canicule.
Si vous n’en avez pas entendu parler, c’est parfaitement normal car, en dehors de Valeurs actuelles, difficile de trouver la moindre information sur le sujet. Sur le site de France Bleu, on préférait évoquer des « incidents » impliquant « des dizaines de jeunes mineurs » qui avaient forcé l’établissement à fermer prématurément ses portes. D’après Valeurs actuelles (23/6/2022), ils étaient, en réalité, environ cinq cents à semer le chaos, qui durera trois jours de suite.
Face à eux, sept agents de police qui interviendront le samedi, non pas pour rétablir l’ordre, mais pour mettre à l’abri et évacuer les autres baigneurs par les sorties de secours. Des familles traumatisées dont les vestiaires auront été parfois défoncés afin de voler leurs vêtements et les clés de leurs voitures. Pendant ce temps-là, et plusieurs heures durant, les hordes continueront à profiter des plaisirs aquatiques sans être dérangées par personne.
L’année précédente, le centre aquatique avait déjà été confronté à la même situation impliquant des groupes de mineurs. La presse régionale s’en était fait l’écho. Sur France Bleu, un maître-nageur avait parlé d’un « phénomène de meute » avec « des regroupements de 60 à 80 personnes ». Le problème était donc parfaitement connu, mais la politique reste toujours la même : ne rien dire, ne rien faire et surtout étouffer l’affaire.
Ou plutôt « les » affaires car, le même week-end du 18 juin dernier, à Hagondange (57), des faits similaires à ceux de Tours ont eu lieu, ainsi que l’a rapporté Le Républicain lorrain : « Panique au centre nautique Aquarives : 400 individus forcent le passage ». Le directeur des ressources humaines du groupe gestionnaire du centre décrivait une scène « choquante, foudroyante et d’une rare violence ».
Il ne faudrait pas, cependant, abandonner ce type d’événements à la seule rubrique des faits divers. Il est probable que nous assistions au développement et à la banalisation d’une nouvelle forme d’action délinquante. Comme pour le Stade de France, on pense au départ à un acte isolé lié à des circonstances exceptionnelles. On se rassure ainsi à peu de frais. En réalité, dans une première phase, les délinquants testent de nouvelles limites. Lorsqu’ils constatent qu’ils peuvent agir en toute impunité, le phénomène, isolé au départ, commence à se banaliser et à croître.
C’est ce qui s’est passé avec les refus d’obtempérer qui font désormais régulièrement l’actualité. Le 9 juin dernier, à la suite des propos polémiques de Jean-Luc Mélenchon sur la police qui « tue », franceinfo publiait des statistiques qui montraient qu’ils étaient en constante augmentation, avec une explosion de 46,6 % entre 2010 et 2019. Thierry Clair, secrétaire général adjoint du syndicat UNSA Police, dénonçait des « suites judiciaires qui ne sont pas dissuasives ». Quand il y a « des suites » car, comme le reconnaissait franceinfo, une proportion importante de ces refus d’obtempérer font l’objet d’un classement sans suite par le parquet. C’est l’effet cliquet : lorsqu’un certain stade est atteint du fait du laxisme judiciaire, le nouveau phénomène délinquant s’installe et se répand, sans qu’il paraisse possible de revenir en arrière.
On ne peut donc que s’inquiéter de la multiplication des actes impliquant de plusieurs dizaines à plusieurs centaines d’individus. Les récents événements du Stade de France ne sont peut-être alors que l’illustration brutale d’un processus de contagion et de banalisation des razzias et des violences collectives.
+Webtube :Grande découverte, le journaux masqueraient parfois la vérité ?
À l’heure où nous écrivons, dix heures après la publication des faits, ni Le Monde ni Libération n’en ont encore rendu compte. Sud-Ouest l’a fait dès 12 h 30, samedi. L’événement n’est pourtant pas un simple fait divers : dans la nuit de vendredi à samedi, à Mériadeck, Pierre Le Camus, candidat RN dans la 2e circonscription de Gironde aux dernières législatives et responsable du mouvement jeune dans le département, a été violemment agressé par une bande nombreuse et organisée alors qu’il prenait un verre avec des proches en terrasse.
Le jeune homme confie avoir dénombré une quarantaine de personnes, certains masqués, tous vêtus de noir. Pour lui, « c’est une expédition punitive », « j’ai été reconnu et ciblé pour mon appartenance au RN. Par des gens qui font des amalgames. Nous étions en terrasse, visibles, depuis un long moment. Ils ont eu largement le temps de s’organiser. » Il décrit la scène comme un raz-de-marée qui s’est abattu sur leur petit groupe, un raz-de-marée de coups de pied, coups de poing. Lui s’en sort avec quelques contusions, mais son frère a été plus violemment touché : nez cassé et 21 jours d’ITT. La photo que la victime a accepté de publier sur les réseaux sociaux était suffisamment éloquente. La police et les pompiers sont rapidement intervenus. Le jeune homme a prévu de porter plainte.
Su Twitter, samedi soir, le jeune homme a tenu à remercier toutes les personnes lui ayant apporté leur soutien, mais aussi à dénoncer l’impunité dont jouissent ces délinquants politiques et le deux poids deux mesures dans les réactions politiques et médiatiques.
Je tiens à remercier toutes les personnes (RN ou non) qui nous ont apporté leur soutien suite à la violente agression que nous avons subie à #Bordeaux hier soir, mes amis, mon frère et moi.
Cette impunité dont jouit l’extrême-gauche dans notre pays doit cesser immédiatement.
— Pierre Le Camus Ⓜ️ (@PierreLeCamus) July 9, 2022
Il est vrai que, dans la classe politique, l’indignation a été quasi exclusivement le fait de personnalités RN ou proches du RN : Edwige Diaz, nouvelle députée RΝ de la Gironde, ou Gilbert Collard, désormais député européen Reconquête.
Hier soir, à Bordeaux, une quarantaine de militants d’extrême-gauche ont violemment agressé notre responsable @GNation_off@PierreLeCamus et plusieurs de ses amis.
Qu’attendez-vous @GDarmanin@PierreHurmic pour mettre fin à l’impunité de ces factieux ultra-violents ?
Un jeune responsable RN agressé par une quarantaine d'antifas à Bordeaux : si Darmanin ne le sait pas, on sait où est le fascisme !https://t.co/N5J32DbBGB
Edwige Diaz a directement interpellé le ministre de l’Intérieur Gérard Darmanin et le maire de Bordeaux Pierre Hurmic.
Cette omerta d’une grande partie de la classe politique, notamment des partis qui se sont autoproclamés « de gouvernement », est profondément choquante. A fortiori quelques jours après que Gérald Darmanin a qualifié d’« ennemi » le RN (le mettant dans le même sac que LFI). Tout aussi choquant, le silence des grands journaux. Surtout au moment où certains prétendent mener des enquêtes de fond aux titres plus grandiloquents les uns que les autres, comme « La vérité, pilier ébranlé de la démocratie », multiplient les leçons de « bon journalisme » (« En plein doute, le fact-checking cherche à se réinventer »), désignent les journalistes qui ne s’inscrivent pas dans la ligne bien-pensante comme des « infiltrés ».
Ce silence sur cette nouvelle agression par des bandes organisées de militants d’ultra-gauche contre des représentants du RN devrait pourtant fournir à ces journaux l’explication de la montée en puissance de ce qu’il est convenu de qualifier de « presse alternative ».
+ Webtube : Oserais-je dire dans quel monde vit-on ? Si dorénavant les infractions au code de la route se terminent en règlement de compte par arme à feu sur l’autoroute, je pense que là on a touché le fond du fond !
Dans la nuit du vendredi 8 au samedi 9 juillet, un différend entre automobilistes a conduit à une scène surréaliste. Qui aurait pu virer au drame.
C’est une scène assez incroyable qui s’est déroulée dans la nuit du vendredi 8 à samedi 9 juillet sur l’autoroute A7. Et aussi particulièrement inquiétante. Aux alentours de 3 h 30 du matin, un véhicule circulait en direction du Sud de la France, entre Vienne et Chanas. À son bord, une famille originaire de l’Est de la France, en route pour ses vacances d’été. Un différend avec un autre véhicule Alors qu’ils roulaient à cette heure avancée de la nuit, un différend aurait éclaté avec les occupants d’un autre véhicule. Différend qui serait lié à une manœuvre effectuée par le premier conducteur et que le second n’aurait manifestement pas appréciée. Tout en poursuivant sa route, le premier conducteur aurait alors entendu un bruit fort. Puis senti une brûlure au niveau de sa cheville, avant de se rendre compte qu’il saignait. Vraisemblablement, le conducteur ou un des passagers de l’autre voiture, mécontent de la façon de conduire du père de famille, aurai sorti une arme et lui aurait tiré dessus alors qu’il était au volant.
(…) Pour l’heure, on sait seulement que la voiture incriminée est de couleur blanche et qu’elle transportait plusieurs hommes à son bord