Jules Blaiseau reçoit, pour la dernière émission d’I-Média avant les vacances d’été, Martial Bild. Ce dernier revient, en exclusivité pour I-Média, sur son nouvel ouvrage : “Défaire le parti des médias”. Découvrez avec nous un échange passionnant de 36 minutes sur la caste médiatique et son véritable fonctionnement.
Sans l’éclairage de l’histoire il est impossible d’interpréter correctement les évènements qui se déroulent sur le sol de l’actuelle Ukraine. En cet été 2022, les risques de dérapage vers un conflit généralisé sont extrêmement élevés, comme ils pouvaient l’être à l’été 1914 et à l’été 1940. Les conséquences pourraient même en être encore pire puisque nul ne peut garantir qu’une 3e Guerre mondiale ne s’achèverait pas par une Apocalypse nucléaire anéantissant l’humanité. L’extrême dangerosité de la situation devrait donc inciter les dirigeants politiques et les médias mainstream à calmer le jeu, en s’adressant à la raison des Français et en faisant œuvre d’éducation populaire pour que le plus grand nombre comprenne bien la complexité de la situation. Tel n’est malheureusement pas le cas. Comme en 1914, les politiques et les médias utilisent le registre des émotions, refusent tout débat intelligent donc nuancé, et versent dans la propagande manichéenne la plus outrancière. Leur objectif étant de faire accepter aux Français des décisions prises de façon anti-démocratique et qui vont à l’encontre des intérêts supérieurs de la France. Dans cette vidéo, François Asselineau essaie de corriger cette ambiance délétère et dangereuse. Il retrace, en la mettant à la portée de tous, l’histoire de ce qui deviendra l’Ukraine pour fournir des clefs de compréhension du conflit entre l’OTAN et la Russie et pour appeler Emmanuel Macron à changer radicalement sa gestion du conflit.
Comment parler de Freddie Mercury en quelques lignes ? Impossible. Du coup j’ai préféré choisir cette chanson, une de ses toutes dernières. Sa voix est toujours aussi impressionnante, sa sensibilité à fleur de peau…. Et nous on est sous le charme. A l’époque de cette chanson, le SIDA l’avait déjà pas mal diminué mais il ne le laissait pas paraitre. Sa fin était proche. Chapeau l’artiste !
How to talk about Freddie Mercury in a few lines? Impossible. So I preferred to choose this song, one of his very last. His voice is still impressive, his sensitivity on edge.... And we are under the spell. At the time of this song, AIDS had already diminished him quite a bit, but he didn't let it show. His end was near. Thank you Freddie!
Observateur et acteur de la vie rurale, Yves d’Amécourt est père de famille, vigneron, ancien élu de Gironde et de Nouvelle-Aquitaine*, porte-parole national du Mouvement de la ruralité (ex-Chasse, pêche, nature et traditions, CPNT). Durant l’été, période propice pour s’intéresser à nos campagnes, il nous donnera son éclairage sur l’actualité paysanne.
Gabrielle Cluzel : Vous êtes viticulteur, la sécheresse va-t-elle être dévastatrice pour la production de vin, cette année ?
Yves d’Amécourt : En ce moment, il y a deux soucis majeurs : la canicule et la sécheresse. La vigne a un idéal de croissance autour de 25 °C. Quand les températures dépassent 35 °C, la photosynthèse des raisins et des feuilles est complètement chamboulée. Cela affecte le fonctionnement physiologique de la vigne et la qualité du raisin. Certains raisins sont échaudés, comme s’ils avaient pris un coup de soleil. La composition du raisin change avec plus de sucre et moins d’acide. C’est ce qui s’était passé en 2003. Nous avions produit des vins atypiques avec une très forte personnalité.
Pour ce qui est du manque d’eau, cela dépend beaucoup du terroir. Chez nous, dans les argiles de l’Entre-deux-Mers, les racines prospectent le sol très profondément. Ainsi, seules les jeunes vignes sont aujourd’hui en manque d’eau. Les vignes bien installées, elles, trouvent encore l’eau nécessaire pour produire des pousses. Pour les jeunes vignes et pour les vignes plantées dans des graves ou des sols peu profonds, l’INAO délivre des dérogations pour permettre aux viticulteurs d’arroser au cas par cas. Ce qui est interdit en temps normal.
L’idéal serait que nous ayons quelques précipitations au mois d’août afin que les grappes gonflent un peu et que les raisins produisent du jus.
Gel printanier, orages de grêle, manque d’eau et canicule auront été les événements marquants de ce millésime.
Et puis nous ne savons pas le temps qu’il fera au moment des vendanges. Tant que le raisin n’est pas récolté, on ne connaît pas le résultat final. Il faut donc être patient. La récolte 2022 sera sans doute moins abondante que prévu.
L’agriculture, c’est d’abord une grande leçon d’humilité.
G. C. : Que pensez-vous de ces « militants pour le climat » qui, en Italie, en France ou au Royaume-Uni, collent leurs mains sur des tableaux célèbres pour dénoncer l’urgence climatique ?
Y. A. : Je note qu’ils prennent soin – heureusement – de ne pas coller leurs mains directement sur les œuvres… À Londres, c’était sur le cadre de Pêchers en fleurs, de Vincent van Gogh. À Florence, c’était sur le verre de protection d’un tableau de Botticelli…
Je me pose la question de l’efficacité de telles actions et de la sincérité de ces associations. Il y a, dans ce militantisme, une forme d’embrigadement. On n’est plus dans le domaine de la raison.
Ces militants veulent l’arrêt des énergies fossiles (pétrole et gaz). Le problème, c’est que les uns et les autres ne proposent pas de solutions pour s’en passer. Eux-mêmes, comment voyagent-ils, que mangent-ils, comment se chauffent-ils ? Gandhi disait : « Soyez le changement que vous souhaitez. » Je serais curieux de savoir quel est le bilan carbone de ces associations donneuses de leçons.
Il y a sur tous ces sujets une forme de manipulation des esprits et de la pensée. Cette semaine, on nous annonce que la Terre a consommé l’énergie qu’elle est capable de produire en une année et qu’ensuite, on épuise ses réserves. C’est ce que les ONG nomment « le jour du dépassement ».
En fait, toute l’énergie disponible sur Terre vient du soleil. Or, la totalité de l’énergie consommée sur Terre chaque année par les hommes ne représente que 1/6.000 du rayonnement solaire terrestre… On est loin des limites évoquées. Mais tout le monde reprend en chœur ce « jour du dépassement » comme une évidence ! C’est devenu un marronnier.
Au catastrophisme des activistes, il faut opposer l’enthousiasme des acteurs ! Il y a des solutions à inventer. Plutôt que de militants autocollants, nous avons besoin de former des « Léonard de Vinci », des chercheurs, des scientifiques, des ingénieurs, des forestiers, des agriculteurs, pour inventer et installer un monde durable.
G. C. : Les ressources de notre sol sous toutes ses formes intéressent le « Terrien » que vous êtes ! Sur votre compte Twitter, vous évoquez la présence, en Moselle, d’une énorme réserve de gaz inexploitée en Lorraine. De quoi s’agit-il exactement ? Pourquoi, selon vous, n’exploite-t-on pas ces ressources proprement françaises ?
Y. C. : Sans doute parce que je suis aussi un ancien élève de l’École des mines d’Alès, formé notamment à la gîtologie (la science des gisements).
Il y a une forme d’hypocrisie en France, et en Europe, dont nous avons déjà parlé ensemble, Gabrielle, qui consiste à jouer les chevalier blancs… On interdit la production sur notre sol, au nom du climat, de l’environnement, de la bienséance, de l’actualité du moment… Mais, parce que nécessité fait loi, on importe ce que l’on interdit de produire !
C’est vrai dans l’industrie, dans l’agriculture. C’est la même chose pour l’énergie.
En 2017, Emmanuel Macron, pour conquérir le cœur des écologistes, avait promis que la France cesserait d’exploiter les énergies fossiles… Nicolas Hulot, ministre, fit passer une loi le 6 septembre suivant « pour mieux lutter contre le réchauffement climatique ».
En fait, ce n’est pas la production qui a un impact sur le réchauffement climatique, c’est la consommation. Par contre, arrêter la production a un impact sur l’indépendance énergétique de la France, sur sa souveraineté. Mais à l’époque, personne ne s’en souciait ! L’important, c’était le symbole de la décision.
Déjà, sous la présidence de Nicolas Sarkozy, la fracturation hydraulique, technique utilisée pour obtenir les gaz de schiste, avait été interdite en France « au nom du principe de précaution ».
L’esprit du principe de précaution voulu par Jacques Chirac était « si j’ai un doute, je cherche plus »… Avec le temps, c’est devenu « si j’ai un doute, j’interdis ».
En 2014, alors qu’il était candidat à la présidence de l’UMP, Nicolas Sarkozy se prononçait à rebours de ses précédentes déclarations… pour l’exploitation du gaz de schiste, « cette nouvelle énergie »…
Ces revirements de nos chefs guidés par l’actualité, ce manque de vision, ce manque de connaissances scientifiques, ce manque de courage, ces prises de positions occasionnelles et changeantes sont en fait un désastre. Car on ne bâtit pas une stratégie de souveraineté énergétique sur le sable. Il faut des fondations solides et du temps.
Nous avons, en France, de nombreuses compétences sur ces sujets, dans nos écoles des mines, à l’IFP, chez nos industriels. Nous sommes capables de mettre au point des techniques qui répondent aux contraintes environnementales et aux exigences sociales et sociétales d’aujourd’hui. Ce qui n’est pas forcément le cas partout ailleurs, notamment dans les pays où l’on s’approvisionne.
En 2012, Arnaud Montebourg, alors ministre du Redressement productif, avait commandé une étude sur les réserves nationales d’hydrocarbures (gaz et pétrole). C’était une démarche utile. La conclusion était que l’exploitation des énergies fossiles en France pourrait rapporter entre 103 et 294 milliards d’euros sur trente ans et créer 225.000 emplois. Nos réserves de gaz représentant 170 % de nos besoins sur cette période !
Aujourd’hui se pose la question de savoir comment se passer du gaz russe sans tomber entre les mains de l’Oncle Sam. La solution est sous nos pieds.
Le gisement de Moselle, qui est du gaz de charbon, par exemple, a une empreinte carbone dix fois moins importante que le gaz en provenance de Russie. Pascal Mittelberger, chargé des relations publiques de la FDE [Française de l’énergie, NDLR], expliquait à Lorraine Actu, en mars dernier, que « la réserve de gaz est d’environ 190 milliards de m³ », ce qui représente la consommation de gaz des Français… sur cinq ans !
Puisque c’est l’été, replongeons-nous dans les archives de cette année… et, en l’espèce, sur un reportage que Brut avait consacré à Yannick Noah. Quelques mots sur le palmarès impressionnant du personnage : ex-tennisman à succès (comme joueur puis comme capitaine d’équipe), ex-chanteur, longtemps parmi les personnalités préférées des Français, ex-futur exilé volontaire en cas de victoire de la droite en 2007 (avant de se dire qu’« il [valait] mieux rester »), père de cinq enfants pleins de succès avec diverses femmes superbes, homme d’affaires de premier plan, conseiller du régime Biya au Cameroun… une vie de réussite, une vie réussie, même.
Lorsqu'un noir dit vouloir protéger sa terre ancestrale chez lui, en Afrique, il est adulé. Lorsqu'un blanc dit vouloir protéger son pays chez lui en France, on dit qu'il est facho. Vivent les Français fiers de vouloir protéger notre France, la vraie. pic.twitter.com/McHbMo56ty
Yannick Noah, en dépit de prises de position ringardes contre le Front national (jadis, c’était le ticket d’entrée dans le show-biz) et de participations à la Fête de l’Huma, m’a toujours semblé plutôt sympathique. Il a longtemps joué sur les clichés attachés aux Franco-Africains, comme dans sa chanson « Saga Africa », avant de s’attaquer au racisme : c’est de bonne guerre, après tout. Les Français sont passés, vis-à-vis des Africains de France, de la caricature grossière à la prosternation culpabilisée. Yannick Noah a bien fait de surfer là-dessus. Ultime preuve de ses bons côtés : à la mort de son père, il est retourné au Cameroun pour reprendre le village ancestral, dont il est le chef depuis 2017. Continuité, transmission, toujours à sa manière « cool », évidemment.
À écouter Yannick Noah faire, en hobereau camerounais, le tour de son village, de son école, de ses terres, avec une bonhomie naturelle et le souci de l’excellence, une pensée commence à naître. Elle se précise quand l’ancien tennisman prononce ces mots : « Mon destin, c’est de protéger ma terre, la terre de mes ancêtres, de la protéger et d’en faire quelque chose de cool, parce qu’à mon âge, c’est la transmission qui compte. » Cette pensée, c’est tout simplement celle-ci : pourquoi est-ce normal, et même bien vu par Brut, de vouloir protéger sa terre, la terre de ses ancêtres, d’en faire « quelque chose de cool » et de s’attacher à la transmission quand on est un Africain en Afrique ? Pourquoi est-ce soudain fasciste, nauséabond et rétrograde quand on est un Français en France ?
Yannick Noah a pourtant tout dit : notre destin à tous est de protéger la terre de nos ancêtres, de la rendre aussi « cool » que possible et de la transmettre. Je trouve que le mot « cool » est, à dessein ou non, bien choisi par Yannick Noah : une terre ancestrale « cool » est à la fois naturelle et en harmonie, avec cette concorde interne et cette sérénité souriante qu’on ne retrouve guère le long du RER D ou dans les grandes métropoles. La notion de relâchement que l’on associe souvent au « cool » n’est que la résultante d’un territoire en paix, dont les citoyens se rassemblent, d’abord et surtout parce qu’ils se ressemblent.
Deux poids deux mesures, une nouvelle fois. Personne pour s’en émouvoir, bien sûr, puisque le poison mental du gauchisme coule dans nos veines au lieu du sang, comme « l’eau verte du Léthé » dont parlait Baudelaire. Nous avons oublié l’essentiel, à quoi nous renvoie ce reportage de Brut, dont le but était probablement, d’ailleurs, l’inverse de celui-ci…
Quatrième personnage de l’État, le président de l’Assemblée nationale joue un rôle essentiel dans le fonctionnement de l’Assemblée et dans la vie politique française. Dans l’hémicycle, il a pour mission de conduire les débats et de veiller au respect du règlement. Il contrôle les temps de parole des orateurs et veille à la bonne tenue des débats. Autrement dit, c’est du sérieux, à la hauteur de son salaire de 13 263,30 € auxquels peuvent s’ajouter des indemnités — dont le montant n’est pas public.
Yaël Braun-Pivet, la nouvelle présidente de l’Assemblée nationale en 2022, avait déjà donné une idée de la démocratie macronienne, en 2018, en tant que co-rapporteur de la commission d’enquête sur l’affaire Benalla. Guillaume Larrivé, autre rapporteur, démissionne quatre jours après le début des auditions. Il estime que la commission d’enquête est devenue une parodie avec des auditions bâclées, des pièces non demandées et des travaux empêchés.
Plusieurs députés accusent Yaël Braun-Pivet de protéger l’Élysée, l’Insoumis Alexis Corbière la qualifiant de Benalla de l’Assemblée nationale. Elle clôt la commission d’enquête sans produire de rapport, alors même que les députés s’étaient donné vingt jours de plus pour mener l’enquête. Veille-t-elle vraiment à la bonne tenue des débats ? Elle rembarre, coupe la parole (voir vidéo ci-dessous).
😳 Encore en démocratie ? vraiment ? Écoutez … vous allez sûrement être surpris ⤵️ pic.twitter.com/4SOuI3Oh8H
Richard Ferrand a été président de l’Assemblée nationale de 2018 à 2022. Un député peut être mis en examen dans les mêmes conditions que n’importe quel citoyen pour tous les actes qui ne sont pas directement liés à l’exercice de son mandat. C’est ce qui lui est arrivé.
Accusé de prise illégale d’intérêt dans l’affaire des Mutuelles du Mans, il s’en est tiré avec la prescription. Et comment s’en est-il tiré dans l’hémicycle (voir vidéo ci-dessous) ?
🔴C’EST JUSTE ÉNORME!
La démocratie est plus qu’en danger avec les macronistes!
Richard Ferrand MENT pour faire passer son amendement LREM!
Même son adjoint de l’Assemblée réagit en lui faisant remarquer que c’est trop gros…pic.twitter.com/avu9JBxyNB
François de Rugy, président de l’Assemblée de 2017 à 2018. Ministre de la Transition écologique, il a mené grand train aux frais du contribuable. Il a eu droit à un traitement médiatique féroce de la part de Médiapart.
Il s’est trouvé incapable de justifier l’utilisation de ses frais de mandat de député. Un parcours chaotique, à l’instar de sa présidence de l’Assemblée (voir vidéo ci-dessous).
+ Webtube :Finalement, Aymeric Caron ne sert pas à rien comme on pouvait le penser. Il pose parfois des questions fortes à propos….. C’est la cas ici. Comme quoi tout peut arriver dans ce monde changeant.
Le 27 juillet 2022, il est nommé président de la Fondation Agir Contre l’Exclusion. Il succède au très macronien Jean-Marc Borello, président du Groupe SOS depuis le 10 mai 2022. Le poste est bénévole, mais… Alain Roumilhac (Groupe Manpower France) et François-Marie Geslin (AG2R La Mondiale) qui l’ont précédé en tant que président et vice-président n’ont pas donné l’exemple du désintéressement et n’ont pas réussi à en convaincre la Cour des comptes. Il faut dire que les partenaires ne sont pas réputés pour être particulièrement philanthropes. Ce sont : Accenture, Adecco, AG2R La Mondiale, Axa, Barilla, BNP Paribas, Carrefour, Casino, Fondation Korian, IBM International, L’Oréal, ManpowerGroup France, Michelin, Publicis, Thalès, Veolia, et tant d’autres…
Toujours le 27 juillet 2022, Jean Castex devient président du conseil d’administration de l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (indemnité annuelle de 42 000 euros, pour une présence au conseil d’administration tous les deux mois).
Audition de Jean Castex ce matin à l’#AssembleeNationale. L’ancien Premier ministre s’est vu proposer le poste de président de l’Afitf, une agence reliée au ministère des Transports. Problème: la Cour des Comptes nous dit qu’elle ne sert strictement à rien. pic.twitter.com/wmhUS6okMl
Le 26 juillet 2022, Jean Castex a aussi reçu un avis favorable de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) pour « réaliser des prestations de conseil à Olivier Brousse, directeur général de la société Idverde ». Selon l’entourage de l’ancien Premier ministre, il s’agit d’accompagner « de manière très ponctuelle » (pour 1 500 euros/mois) ce « leader français et européen des entreprises du paysage, sur un projet innovant de végétalisation des espaces urbains ». Heureusement que Jean Castex est arrivé pour leur donner un coup de main !
Fin août, Jean Castex va également réintégrer fin août la Cour des Comptes, son corps d’origine, où il sera chargé de « missions spécifiques » à la définition non précisée. Il était conseiller maître en 2008 (9 250 €/mois en fin de carrière), quel échelon lui reste-t-il à gravir ? Premier président ? Procureur général ? C’est de l’ordre de 14 500 euros/mois. Président de chambre ? 12 500 euros/mois.
Les habitants de Prades ne reverront pas leur maire à 22 000 €/an. Jean Castex prend un nouveau départ avec en poche : une prime de 44 730 euros.