La France voudrait vendre aux Émirats une dépendance du Château de Versailles construite par Mansart

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« C’est la première fois que le projet est présenté. C’est une opportunité d’investissement remarquable, située à 100 mètres du Palais de Versailles », a décrit Marie-Cécile Tardieu, directrice générale de Business France Invest, mardi 7 décembre 2021, devant un parterre de représentants émiratis au cœur du Pavillon France, à l’Expo Universelle 2020.

Il s’agit d’un bijou architectural puisque c’est un ancien couvent royal. Ce bâtiment construit par Jules Hardouin-Mansart, premier architecte de Louis XIV, bâtisseur du Château est actuellement détenu par le ministère des Armées.

(…)

Afin de renflouer les caisses de l’État, le ministère souhaite le vendre par l’intermédiaire de Business France, dont l’une des missions est la recherche d’investisseurs étrangers dans l’Hexagone. Le but ? Transformer cette ancienne caserne militaire en un projet hôtelier de luxe.

Pourquoi le proposer d’abord aux investisseurs étrangers, émiratis en l’occurrence ? « On cherche des investisseurs pour développer un projet hôtelier et touristique, le Golfe est le lieu pour trouver des investisseurs dans l’hôtellerie », argumente Marie-Cécile Tardieu, du Business France.

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Klaus Kinzler, enseignant : « Sciences Po Grenoble est devenu un camp de rééducation »

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« On entend désormais dans les amphis des profs remettre en cause tout le système dans ses bases universalistes, démocratiques, laïques. C’est fait sans aucun complexe »

Professeur d’allemand et de civilisation allemande à l’Institut d’études politiques de Grenoble, Klaus Kinzler est au centre d’une polémique qui empoisonne l’établissement depuis un an. Accusé d’être islamophobe dans une campagne lancée par des étudiants sur les réseaux sociaux, il a vu son nom et celui d’un de ses collègues placardés sur les murs de l’établissement avec la mention : « Des fascistes dans nos amphis. L’islamophobie tue ». Klaus Kinzler n’est pas retourné à l’IEP depuis les faits. En mars, il publiera le récit de cette affaire aux Editions du Rocher.

Vous avez été, selon vous, la cible d’une « cabale » instrumentalisée par un syndicat étudiant (l’Union syndicale) de l’IEP de Grenoble, avec le silence complice de la direction et du corps enseignant. Pourquoi les choses se sont-elles envenimées à ce point ?

Tout a commencé par des échanges de mails avec une collègue historienne en décembre 2020. Je contestais le titre d’une journée de débats dans lequel « racisme, antisémitisme et islamophobie » étaient mis sur le même plan. Cela me paraissait un scandale alors qu’existe un vrai débat sur la pertinence du terme islamophobie. La discussion s’est vite envenimée, ma collègue affirmant la « scientificité » du mot. Les ennuis ont débuté. Dès janvier, la campagne s’était déjà déchaînée sur Facebook. On nous accusait d’être « islamophobes » et on exigeait notre démission, tout en lançant des appels à témoignages anonymes contre nous. En mars dernier, mon nom, ainsi que celui d’un collègue politologue, spécialiste de l’islam en France, ont été placardés sur la façade de l’établissement. J’ai été mis sous protection policière pendant un mois.[…]

Vous enseignez à Sciences Po Grenoble depuis vingt-cinq ans. Qu’avez-vous observé  ?

J’ai enseigné dans cet établissement pendant un quart de siècle, sans jamais aucun problème, dans une liberté totale. La langue et la civilisation allemandes, l’histoire, la politique, la société : j’ai pu aborder tous les sujets avec mes étudiants que je sonde chaque année sur mon enseignement. Mais je constate, depuis dix ans, et de façon plus aiguë depuis cinq ans, un changement de génération. Pas tant chez les étudiants, d’ailleurs, que chez les enseignants. En peu de temps, on a vu arriver beaucoup de jeunes chercheurs adeptes des théories woke, décolonialistes, communautaristes, anticapitalistes. Sciences Po Grenoble n’est plus un institut d’études politiques, mais d’éducation, voire de rééducation politique. Les étudiants sont endoctrinés. Un noyau dur de 25 enseignants, sur un total de 70, tient le haut du pavé. La direction est faible, politiquement modérée, mais ne veut pas de vagues. Otage de ceux que j’appelle « les ultras », inapte, elle m’a sacrifié comme un pion. Elle a fait pression sur moi pour que je ne m’exprime pas dans les médias. Elle m’aurait défendu dès le début en disant simplement que j’étais un bon enseignant, elle se serait épargné cette tempête. Les autres enseignants se taisent. Désormais, les étudiants ont face à eux des professeurs qui n’acceptent qu’une opinion, sur les violences policières, l’islamophobie, par exemple. Certains enseignants n’adhèrent plus à l’obligation théorisée par Weber de neutralité de la sociologie. Cette radicalisation est totalement assumée.[…]

L’Opinion

En Lien :

En 2019, l’Algérie reprenait 50% de ses ressortissants expulsés. Depuis que Darmanin a pris le dossier à bras-le-corps, le taux a chuté à… 5%

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Extrait :

Reportage complet :

Procès du 13-Novembre : fortes interrogations sur ce que savaient vraiment les enquêteurs belges

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Depuis le 25 novembre et jusqu’au 8 décembre, la cour d’assises spécialement composée de Paris entend les témoignages des officiers de la police judiciaire fédérale belge sur le parcours de radicalisation des jihadistes jugés lors du procès du 13-Novembre. Mardi, un enquêteur belge a retracé le parcours de Salah Abdeslam suscitant davantage de questions que de réponses. Frustration et silence gêné dans les rangs de l’assistance.

Le volet de l’enquête belge laisse comme un goût d’inachevé dans le procès. Les explications apportées le 7 décembre par un enquêteur belge sur le parcours, les relations et la radicalisation de Salah Abdeslam, principal accusé des attentats du 13-Novembre, ont passablement frustré l’auditoire, quand elles ne l’ont pas fait rire ou énervé. Tant du côté partie civile que sur les bancs de la défense, presse comprise. Qu’est parti faire Salah Abdeslam lors d’un voyage en Grèce l’été 2015 ? Que se passait-il dans le bar Les Béguines de Molenbeek ? Salah Abdeslam ne présentait-il réellement aucune preuve de radicalisation ? L’assistance n’en saura pas davantage en quittant les bancs de la salle d’audience du palais de justice de Paris.

(…)

L’inspecteur s’attarde ensuite sur la convocation de Salah Abdeslam le 28 février 2015 à la police de Molenbeek pour répondre de suspicions de voyage en Syrie. Un mois plus tôt, les policiers ont été informés que Brahim, le frère de Salah et kamikaze du Comptoir Voltaire, a fait un séjour en Syrie et qu’il projette aussi de s’y rendre. Salah Abdeslam se rend spontanément à la convocation et se défend de toute radicalisation. Face aux inspecteurs, il évoque “des voyages en Espagne et au Maroc pour vadrouiller et vivre chez l’habitant”. Il relativise ses liens amicaux et idéologiques avec Abdelhamid Abaaoud. Le procès-verbal qui en découle résume l’audition en ces termes : l’homme “ne présente aucun signe extérieur de radicalisme, que ce soit dans sa tenue vestimentaire, son allure physique ou ses propos”. Une conclusion un peu légère que la partie civile ne se prive pas d’épingler. “Si on se contente de poser la question, est-ce qu’il va dire : ‘C’est vrai, je m’interroge sur ma participation au jihad’ ? On ne fait pas d’autres investigations ?”, s’interroge Me Gérard Chemla, avocat de parties civiles. “Il faut se remettre à cette époque, se rendre en Syrie n’était pas une infraction”, botte en touche l’inspecteur. “Mais on connaît ses liens avec Abaaoud, et on sait qu’Abaaoud constitue une menace particulière. On ne regarde pas les téléphones ? Les ordinateurs ? On ne regarde rien ?”, s’agace l’avocat. “La magistrate instructrice a décidé qu’il n’y avait pas assez d’éléments à ce moment-là”, répond le témoin visiblement mal à l’aise.

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France 24

Bardella : « De signataire d’une tribune anti-française avec Rokhaya Diallo et Taubira au rejet de la ligne Wauquiez, en passant par un soutien à Macron en 2017. Où est la sincérité de Valérie Pécresse ? »

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En lien :

Un projet d’attentat islamiste déjoué par la DGSI : ils projetaient d’assassiner des « mécréants » au couteau pour Noël

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09/12/2021

08/12/2021

Selon nos informations, deux hommes âgés de 23 ans ont été interpellés le lundi 29 novembre au matin à Meaux (Seine-et-Marne) et au Pecq (Yvelines) par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte quelques jours plus tôt par le parquet national antiterroriste (Pnat). Ils ont été mis en examen le 3 décembre pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et placés en détention provisoire.[…]

Assassiner au hasard des « mécréants »

Devant les policiers, l’un des deux suspects passe aux aveux. Il reconnaît que le duo envisageait de passer à l’acte durant les périodes de fêtes et indique que son complice présumé, qu’il décrit comme étant le plus motivé de l’équipe et le plus sûr de lui, avait suggéré d’utiliser des couteaux pour assassiner au hasard des « mécréants », donc des passants sans distinction. Plusieurs lieux fréquentés avaient été évoqués comme cibles : des centres commerciaux, dont l’un connu en banlieue parisienne, des universités ou des rues bondées. Les deux terroristes présumés souhaitaient ensuite être glorifiés en « martyr », c’est-à-dire être abattus par les forces de l’ordre appelées en intervention.[…]

Le Parisien

Me Goldnadel : « J’ignorais que SOS Racisme avait encore des militants »

Articles : Dec. 2021Nov. 2021 – Oct. 2021Sept 2021Aout 2021

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« Une pure provocation victimaire, mon stock compassionnel est trop restreint pour que je puisse pleurer avec ces gens-là », répond l’avocat au sujet de l’action menée par SOS Racisme lors du meeting d’Éric Zemmour. « Ils n’auraient pas osé prendre de tels risques inconsidérés dans un meeting d’islamistes. »

SOS racisme a organisé un happening durant le meeting d’Eric Zemmour à Villepinte. Plusieurs militants ont déployé des banderoles et des messages contre le racisme. Ils ont été expulsés manu militari. Comment avez-vous réagi en voyant cette séquence assez navrante ?Il s’agit d’une imposture victimaire dont SOS Racisme, que j’appelle plutôt SOS Sauvez le racisme, a le secret. J’ignorais que SOS Racisme avait encore des militants. À mon avis ce sont des militants de rencontre. SOS Racisme a beaucoup de subventions mais n’a plus de militants depuis longtemps. Ce dont je me réjouis car SOS Racisme a contribué puissamment, à l’époque où elle avait une existence moins théorique, à braquer les communautés les unes contre les autres. Elle a persuadé une partie de la communauté immigrée que les Français étaient des franchouillards et des Dupont-la-joie. Il est facile de persuader quelqu’un qu’il est victime du racisme. Vous comprenez dans quelle estime intellectuelle et morale je porte dans mon cœur cette association qui est présidée par quelqu’un, actuellement mis en examen car il a ri quand mon ami Jean Messiha a été traité de chameau par Yacine Belattar. C’est une très belle démonstration de lutte sans œillères contre le racisme !Un jeune militant de génération Z qui était sur l’estrade derrière Éric Zemmour s’est fait traiter de Bounty et de nègre de maison. SOS Racisme combat-elle le racisme ou défend-t-elle le gauchisme ?Il m’étonnerait beaucoup que SOS Racisme prenne la défense de ce noir visé en tant que noir. C’est du pseudo anti racisme sélectif. D’ailleurs, dans un autre domaine, SOS Racisme a toujours répugné de lutter contre le racisme anti blanc qu’elle a nié et qu’elle considérait comme un mythe issu de l’extrême droite.C’est presque une tragi-comédie : voilà des gens qui vont dans un meeting de soutien à Éric Zemmour et qui traitent de racistes le candidat et les organisateurs, en exhibant des T-shirts « non au racisme ». Il n’aurait pas osé prendre de tels risques dans un meeting d’islamistes et peut-être pas non plus dans meeting d’extrême gauche.Les gens qui viennent dans un meeting ne sont pas tous des pianistes distingués ou des esprits raffinés. Il y a eu des gestes sans doute regrettables, mais tellement prévisibles. La victime principale a dit : « ne m’enlevez pas le sens je passe à la télé » et elle était en pleine forme. C’est donc une pure provocation victimaire.Mon stock compassionnel est trop restreint pour que je puisse pleurer avec ces gens là.

Ils rêvent d’investir vos maisons pendant les vacances : révélations sur les méthodes des antifas squatteurs

Articles : Dec. 2021Nov. 2021 – Oct. 2021Sept 2021Aout 2021

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Le phénomène du squat devient récurrent, en France. La hantise de rentrer de vacances et de retrouver son foyer occupé par des inconnus est passée du cauchemar à la réalité pour de nombreux Français. Dans la plupart des cas, les propriétaires peinent à récupérer la possession de leur domicile et la préfecture de police met plusieurs jours, sinon plusieurs mois, à expulser les occupants qui, bien souvent, laissent derrière eux de lourds dégâts.

Vendredi dernier, un propriétaire de logement squatté à Toulouse, accompagné d’un journaliste de La Dépêche du Midi, ont été agressés, insultés et caillassés par une vingtaine d’individus venus soutenir les squatteurs. Ces actions de squat sont, aussi, de plus en plus violentes et les occupants illégaux n’hésitent pas à s’approprier les logements de personnes âgées, comme en février dernier : Roland, 88 ans, avait retrouvé sa maison occupée par une dizaine d’individus.

Qui sont donc ces squatteurs et comment s’y prennent-ils pour réquisitionner des lieux illégalement ? Boulevard Voltaire a enquêté.

Tout d’abord, il semblerait que le squat s’inscrive dans une démarche à la fois politique et économique. Économique car, parmi les squatteurs, certains le font par incapacité à payer un loyer mensuel et ne trouvent pour se loger que l’occupation illégale du foyer d’autrui. Une cause reprise par la gauche. Mais c’est aussi une démarche politique : les squatteurs, issus dans de très nombreux cas des mouvances antifascistes, entendent ainsi combattre le principe de propriété privée, une notion trop capitaliste. Dans cet élan d’autolégitimation, des antifas-squatteurs ont mis au point une brochure d’une trentaine de pages afin de recenser toutes les techniques permettant d’ouvrir la porte d’un logement.

Un site Internet qui fait référence au sein des mouvances les plus radicales de l’antifascisme français publie ainsi ce document intitulé Toutes les portes s’ouvrent. Publié le 15 novembre dernier, il présente notamment des indications très précises et complètes sur la manière de crocheter les serrures des portes d’entrée et diffuse une liste de conseils pour pénétrer efficacement dans un logement clos. Le texte accompagnant la brochure explique : « D’abord il existe mille autres manières de rentrer dans un bâtiment vide que la porte principale, donc pas besoin de s’en faire une obsession. En regardant bien, tu trouveras peut-être un accès par un jardin, derrière des volets, une fenêtre, une cave ou un toit. »

La même brochure propose également des solutions pour fabriquer son propre matériel de crochetage ainsi qu’un « petit cours introductif sur les alarmes » pour déjouer les éventuels systèmes de sécurité.

Ces antifas et squatteurs assument donc totalement l’illégalité de leurs actes, ils s’enorgueillissent même de développer un véritable savoir-faire. Au fil de notre enquête, nous avons pu réaliser à quel point l’antifascisme et la culture du squattage illégal étaient intimement liés, et ce, depuis des dizaines d’années. En 2003, déjà, un collectif nommé « squattregor » avait publié un manuel intitulé Barricadons nos squats dont le but était « d’organiser une véritable défense vis-à-vis des keufs lors de l’expulsion d’un squat et de faire croire à une débauche de moyens défensif dans l’objectif de faire dépenser un max de thunes à l’ennemi ».

Alors que nous entrons en période de trêve hivernale, il est fort probable que, se sachant protégés par la loi française, les squatteurs multiplient les effractions. Un phénomène explosif lié à l’expansion et à la radicalisation du mouvement antifa en France. Le sujet du squat risque fort de s’inviter à la table des débats présidentiels…

Boulevard Voltraire

La France de Macron, déversoir des migrants que nos voisins refoulent

Articles : Dec. 2021Nov. 2021 – Oct. 2021Sept 2021Aout 2021

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La France de Macron, déversoir des migrants que nos voisins refoulent. Chaque jour, l’immigration de masse nous ruine un peu plus et augmente la menace terroriste.

Rappelons que la France totalise 44 % des attentats islamistes en Europe et 42 % des victimes.

https://www.lefigaro.fr/vox/monde/terrorisme-la-france-est-clairement-le-pays-d-europe-le-plus-touche-20210315

La planète entière, et surtout nos voisins et « amis », savent que la France est le pays le plus généreux et le plus attractif pour accueillir toute la misère du monde. Avec social illimité et expulsions inexistantes au menu.

Tout le trop-plein de migrants chez nos voisins est aussitôt déversé chez nous, avec la bénédiction de Macron. 

C’est ainsi qu’on apprend que les autorités helvétiques auraient fourni les billets de train à 41 Afghans, pour un aller simple Zurich-Paris. Darmanin fait mine de s’offusquer, en évoquant des faits inacceptables, alors que la pratique est connue. (Figaro)

L’Italie et la Belgique font régulièrement de même. Et les migrants, atteignant l’Espagne depuis le Maroc, ont toute facilité pour traverser le pays et gagner la France, Eldorado social où les chances d’être régularisé puis naturalisé sont les plus fortes.

En fait, les associations humanitaires, financées sur fonds publics, fournissent billets de bus et de train, pour gagner le seul pays au monde qui traite mieux les migrants que ses propres ressortissants. En France, les migrants sont prioritaires au guichet social.

Rappelons qu’un demandeur d’asile perçoit 440 euros par mois, alors que la moitié de nos paysans vit avec 350 euros mensuels.

Rappelons que les sans-papiers sont soignés et couverts à 100 % avec l’AME, alors que 40 % des Français diffèrent leurs soins faute de moyens.

Rappelons qu’il y a en France 300 000 SDF et 200 000 sans abri, pendant que des milliers de migrants, y compris des sans-papiers, sont logés chaque soir à l’hôtel.

Avec un tel laxisme de la Macronie, qui laisse tout couler, nos voisins se sont mis à jouer les tour-opérateurs et se déchargent de tous les migrants qu’ils ne veulent plus, lesquels s’ajoutent aux flux ininterrompus voulus par Macron.

La France a déjà accueilli 3000 Afghans depuis le retrait des Américains de Kaboul. 250 supplémentaires sont attendus cette semaine via Doha.

Combien de terroristes potentiels infiltrés parmi eux ? 

Ceux venus de Zurich resteront en France, car la Suisse n’en veut pas. C’est en Autriche qu’ils avaient effectué leur première demande d’asile, mais la règle des « dublinés », qui veut que le premier pays d’accueil reprenne les migrants que d’autres pays ne veulent pas, n’est pas respectée.

Le taux de transfert des dublinés ne dépasse pas 10 % !

Les 27 ne sont même pas capables de faire appliquer les règles entre eux, comment pourraient-ils contrôler l’invasion qui déferle des quatre coins du monde ? C’est la brasse coulée.

Calais, c’est une nouvelle guerre de Cent Ans avec les Anglais, nos ennemis de toujours.

En cinq ans, ce sont 2 millions d’immigrés supplémentaires que Macron a fait venir. Chiffre qui explosera avec le regroupement familial qui en découlera.

Grâce à Éric Zemmour, tous les candidats musclent leur discours face à l’immigration. Mais à part notre champion de l’identité française, tous feront comme le RPR de 1990 : ils retourneront leur veste au lendemain des élections.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

Éric Zemmour : « Les militants de SOS Racisme sont des provocateurs, des chiens truffiers des subventions (…) Emmanuel Macron est un type pas fini, qui n’a les idées claires sur rien. C’est le vide »

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