Me Goldnadel : « J’ignorais que SOS Racisme avait encore des militants »

Articles : Dec. 2021Nov. 2021 – Oct. 2021Sept 2021Aout 2021

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« Une pure provocation victimaire, mon stock compassionnel est trop restreint pour que je puisse pleurer avec ces gens-là », répond l’avocat au sujet de l’action menée par SOS Racisme lors du meeting d’Éric Zemmour. « Ils n’auraient pas osé prendre de tels risques inconsidérés dans un meeting d’islamistes. »

SOS racisme a organisé un happening durant le meeting d’Eric Zemmour à Villepinte. Plusieurs militants ont déployé des banderoles et des messages contre le racisme. Ils ont été expulsés manu militari. Comment avez-vous réagi en voyant cette séquence assez navrante ?Il s’agit d’une imposture victimaire dont SOS Racisme, que j’appelle plutôt SOS Sauvez le racisme, a le secret. J’ignorais que SOS Racisme avait encore des militants. À mon avis ce sont des militants de rencontre. SOS Racisme a beaucoup de subventions mais n’a plus de militants depuis longtemps. Ce dont je me réjouis car SOS Racisme a contribué puissamment, à l’époque où elle avait une existence moins théorique, à braquer les communautés les unes contre les autres. Elle a persuadé une partie de la communauté immigrée que les Français étaient des franchouillards et des Dupont-la-joie. Il est facile de persuader quelqu’un qu’il est victime du racisme. Vous comprenez dans quelle estime intellectuelle et morale je porte dans mon cœur cette association qui est présidée par quelqu’un, actuellement mis en examen car il a ri quand mon ami Jean Messiha a été traité de chameau par Yacine Belattar. C’est une très belle démonstration de lutte sans œillères contre le racisme !Un jeune militant de génération Z qui était sur l’estrade derrière Éric Zemmour s’est fait traiter de Bounty et de nègre de maison. SOS Racisme combat-elle le racisme ou défend-t-elle le gauchisme ?Il m’étonnerait beaucoup que SOS Racisme prenne la défense de ce noir visé en tant que noir. C’est du pseudo anti racisme sélectif. D’ailleurs, dans un autre domaine, SOS Racisme a toujours répugné de lutter contre le racisme anti blanc qu’elle a nié et qu’elle considérait comme un mythe issu de l’extrême droite.C’est presque une tragi-comédie : voilà des gens qui vont dans un meeting de soutien à Éric Zemmour et qui traitent de racistes le candidat et les organisateurs, en exhibant des T-shirts « non au racisme ». Il n’aurait pas osé prendre de tels risques dans un meeting d’islamistes et peut-être pas non plus dans meeting d’extrême gauche.Les gens qui viennent dans un meeting ne sont pas tous des pianistes distingués ou des esprits raffinés. Il y a eu des gestes sans doute regrettables, mais tellement prévisibles. La victime principale a dit : « ne m’enlevez pas le sens je passe à la télé » et elle était en pleine forme. C’est donc une pure provocation victimaire.Mon stock compassionnel est trop restreint pour que je puisse pleurer avec ces gens là.

Ils rêvent d’investir vos maisons pendant les vacances : révélations sur les méthodes des antifas squatteurs

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Le phénomène du squat devient récurrent, en France. La hantise de rentrer de vacances et de retrouver son foyer occupé par des inconnus est passée du cauchemar à la réalité pour de nombreux Français. Dans la plupart des cas, les propriétaires peinent à récupérer la possession de leur domicile et la préfecture de police met plusieurs jours, sinon plusieurs mois, à expulser les occupants qui, bien souvent, laissent derrière eux de lourds dégâts.

Vendredi dernier, un propriétaire de logement squatté à Toulouse, accompagné d’un journaliste de La Dépêche du Midi, ont été agressés, insultés et caillassés par une vingtaine d’individus venus soutenir les squatteurs. Ces actions de squat sont, aussi, de plus en plus violentes et les occupants illégaux n’hésitent pas à s’approprier les logements de personnes âgées, comme en février dernier : Roland, 88 ans, avait retrouvé sa maison occupée par une dizaine d’individus.

Qui sont donc ces squatteurs et comment s’y prennent-ils pour réquisitionner des lieux illégalement ? Boulevard Voltaire a enquêté.

Tout d’abord, il semblerait que le squat s’inscrive dans une démarche à la fois politique et économique. Économique car, parmi les squatteurs, certains le font par incapacité à payer un loyer mensuel et ne trouvent pour se loger que l’occupation illégale du foyer d’autrui. Une cause reprise par la gauche. Mais c’est aussi une démarche politique : les squatteurs, issus dans de très nombreux cas des mouvances antifascistes, entendent ainsi combattre le principe de propriété privée, une notion trop capitaliste. Dans cet élan d’autolégitimation, des antifas-squatteurs ont mis au point une brochure d’une trentaine de pages afin de recenser toutes les techniques permettant d’ouvrir la porte d’un logement.

Un site Internet qui fait référence au sein des mouvances les plus radicales de l’antifascisme français publie ainsi ce document intitulé Toutes les portes s’ouvrent. Publié le 15 novembre dernier, il présente notamment des indications très précises et complètes sur la manière de crocheter les serrures des portes d’entrée et diffuse une liste de conseils pour pénétrer efficacement dans un logement clos. Le texte accompagnant la brochure explique : « D’abord il existe mille autres manières de rentrer dans un bâtiment vide que la porte principale, donc pas besoin de s’en faire une obsession. En regardant bien, tu trouveras peut-être un accès par un jardin, derrière des volets, une fenêtre, une cave ou un toit. »

La même brochure propose également des solutions pour fabriquer son propre matériel de crochetage ainsi qu’un « petit cours introductif sur les alarmes » pour déjouer les éventuels systèmes de sécurité.

Ces antifas et squatteurs assument donc totalement l’illégalité de leurs actes, ils s’enorgueillissent même de développer un véritable savoir-faire. Au fil de notre enquête, nous avons pu réaliser à quel point l’antifascisme et la culture du squattage illégal étaient intimement liés, et ce, depuis des dizaines d’années. En 2003, déjà, un collectif nommé « squattregor » avait publié un manuel intitulé Barricadons nos squats dont le but était « d’organiser une véritable défense vis-à-vis des keufs lors de l’expulsion d’un squat et de faire croire à une débauche de moyens défensif dans l’objectif de faire dépenser un max de thunes à l’ennemi ».

Alors que nous entrons en période de trêve hivernale, il est fort probable que, se sachant protégés par la loi française, les squatteurs multiplient les effractions. Un phénomène explosif lié à l’expansion et à la radicalisation du mouvement antifa en France. Le sujet du squat risque fort de s’inviter à la table des débats présidentiels…

Boulevard Voltraire

La France de Macron, déversoir des migrants que nos voisins refoulent

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La France de Macron, déversoir des migrants que nos voisins refoulent. Chaque jour, l’immigration de masse nous ruine un peu plus et augmente la menace terroriste.

Rappelons que la France totalise 44 % des attentats islamistes en Europe et 42 % des victimes.

https://www.lefigaro.fr/vox/monde/terrorisme-la-france-est-clairement-le-pays-d-europe-le-plus-touche-20210315

La planète entière, et surtout nos voisins et « amis », savent que la France est le pays le plus généreux et le plus attractif pour accueillir toute la misère du monde. Avec social illimité et expulsions inexistantes au menu.

Tout le trop-plein de migrants chez nos voisins est aussitôt déversé chez nous, avec la bénédiction de Macron. 

C’est ainsi qu’on apprend que les autorités helvétiques auraient fourni les billets de train à 41 Afghans, pour un aller simple Zurich-Paris. Darmanin fait mine de s’offusquer, en évoquant des faits inacceptables, alors que la pratique est connue. (Figaro)

L’Italie et la Belgique font régulièrement de même. Et les migrants, atteignant l’Espagne depuis le Maroc, ont toute facilité pour traverser le pays et gagner la France, Eldorado social où les chances d’être régularisé puis naturalisé sont les plus fortes.

En fait, les associations humanitaires, financées sur fonds publics, fournissent billets de bus et de train, pour gagner le seul pays au monde qui traite mieux les migrants que ses propres ressortissants. En France, les migrants sont prioritaires au guichet social.

Rappelons qu’un demandeur d’asile perçoit 440 euros par mois, alors que la moitié de nos paysans vit avec 350 euros mensuels.

Rappelons que les sans-papiers sont soignés et couverts à 100 % avec l’AME, alors que 40 % des Français diffèrent leurs soins faute de moyens.

Rappelons qu’il y a en France 300 000 SDF et 200 000 sans abri, pendant que des milliers de migrants, y compris des sans-papiers, sont logés chaque soir à l’hôtel.

Avec un tel laxisme de la Macronie, qui laisse tout couler, nos voisins se sont mis à jouer les tour-opérateurs et se déchargent de tous les migrants qu’ils ne veulent plus, lesquels s’ajoutent aux flux ininterrompus voulus par Macron.

La France a déjà accueilli 3000 Afghans depuis le retrait des Américains de Kaboul. 250 supplémentaires sont attendus cette semaine via Doha.

Combien de terroristes potentiels infiltrés parmi eux ? 

Ceux venus de Zurich resteront en France, car la Suisse n’en veut pas. C’est en Autriche qu’ils avaient effectué leur première demande d’asile, mais la règle des « dublinés », qui veut que le premier pays d’accueil reprenne les migrants que d’autres pays ne veulent pas, n’est pas respectée.

Le taux de transfert des dublinés ne dépasse pas 10 % !

Les 27 ne sont même pas capables de faire appliquer les règles entre eux, comment pourraient-ils contrôler l’invasion qui déferle des quatre coins du monde ? C’est la brasse coulée.

Calais, c’est une nouvelle guerre de Cent Ans avec les Anglais, nos ennemis de toujours.

En cinq ans, ce sont 2 millions d’immigrés supplémentaires que Macron a fait venir. Chiffre qui explosera avec le regroupement familial qui en découlera.

Grâce à Éric Zemmour, tous les candidats musclent leur discours face à l’immigration. Mais à part notre champion de l’identité française, tous feront comme le RPR de 1990 : ils retourneront leur veste au lendemain des élections.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

Éric Zemmour : « Les militants de SOS Racisme sont des provocateurs, des chiens truffiers des subventions (…) Emmanuel Macron est un type pas fini, qui n’a les idées claires sur rien. C’est le vide »

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Morlaix (29) : Des jeunes s’inquiètent de la banalisation de la consommation de cocaïne depuis 5 ans : “Aujourd’hui, ça pourrait sniffer lors d’une soirée raclette”

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La cocaïne s’est-elle banalisée ? Léa et Chloé* ont la vingtaine. Originaires du Pays de Morlaix, elles assurent que la consommation est courante dans le Léon. Au point qu’il y en a quasiment à chaque soirée.  « Il n’y a quasiment plus aucune soirée sans cocaïne, raconte Léa. « Les gens ne s’en vantent pas forcément mais la coke en soirée, chez des amis, en boîte ou en festival, c’est devenu fréquent dans le coin, presque banal. Je me sens complètement déconnectée par rapport à tout ça. Et je ne comprends pas comment mes amis en sont arrivés là », renchérit Chloé, qui ne touche pas non plus à la drogue.

Léa raconte qu’il n’y a pas si longtemps, les gens se cachaient un peu pour consommer. « Désormais, ils ne le font plus. Ils prennent de la cocaïne comme on boirait une bière ou un verre de vin ». Elle estime que cette banalisation remonte à trois ou quatre ans environ. « Au départ, la consommation se faisait plutôt dans certains grands festivals. Les gens que je connais prenaient de la cocaïne pour tenir sur la durée lors d’événements festifs sur plusieurs jours. Et puis, ils se sont mis à consommer en soirée. À toutes les soirées, même les plus tranquilles. Aujourd’hui, ça pourrait sniffer durant une soirée raclette ».

Mais ce qui inquiète par-dessus tout Léa et Chloé, c’est de savoir que ça touche des personnes de plus en plus jeunes. « J’ai peur pour mon petit frère, souffle Léa. Car je pense que les parents ne mesurent pas le phénomène. Et j’ai peur que, contrairement à moi, il n’arrive pas à dire non. »

*Prénoms d’emprunt

Le Télégramme

Notre-Dame : « Ce que l’incendie a épargné, le diocèse veut le détruire ». Plus de 100 personnalités, dont Stéphane Bern et Alain Finkielkraut, expriment leur vive inquiétude face au projet de l’archevêché

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TRIBUNE – Plus de cent personnalités* dont Stéphane Bern, Alain Finkielkraut et Pierre Nora, expriment leur très vive inquiétude face au projet de l’archevêché visant à bouleverser l’intérieur de la cathédrale. Cet appel est publié conjointement sur le site de La Tribune de l’art.

Le 15 avril 2019, le monde découvrait, stupéfait et bouleversé, les images de Notre-Dame en feu. Alors que les décombres fumaient encore, des millions de personnes, de toutes nationalités, se sont spontanément mobilisées pour rassembler l’argent nécessaire à la restauration du monument. Près de 1 milliard d’euros ont été ainsi réunis. Ces dons étaient autant de déclarations d’amour à la cathédrale Notre-Dame. Ils témoignaient ainsi de la confiance dans notre capacité à faire revivre ce sublime patrimoine artistique et spirituel.

Mais aujourd’hui, cette résurrection est gravement compromise par un projet d’aménagement de l’intérieur du monument. Le diocèse de Paris veut en effet profiter du chantier de restauration pour transformer l’intérieur de Notre-Dame en un projet qui en dénature entièrement le décor et l’espace liturgique. Il estime ainsi que les destructions de l’incendie sont l’occasion de transformer l’appréhension du monument par le visiteur, alors même que celui-ci s’est limité à la toiture et à la flèche et n’a rien détruit de patrimonial à l’intérieur.

(…) Le projet prévoit l’installation de bancs amovibles, d’un éclairage changeant en fonction des saisons, de projections vidéo sur les murs, etc., autrement dit les mêmes « dispositifs de médiation » à la mode (et donc déjà terriblement démodés) que l’on trouve dans tous les projets culturels « immersifs » où bien souvent la niaiserie le dispute au kitsch.

(…) Le Figaro

Andy Ngo, journaliste américain menacé de mort par les antifas : « Il est perturbant de voir en France qu’un candidat ne peut plus s’exprimer sans des policiers pour faire barrage aux antifas »

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Andy Ngo, journaliste américain spécialiste de la mouvance antifa et auteur du livre “Démasqués” (Ring), a infiltré le mouvement d’ultragauche aux Etats-Unis. Ses conclusions sont sans appel : la violence des “antifascistes”, loin d’être spontanée, est au service d’un agenda politique. Entretien.

Valeurs actuelles. Vous êtes aux États-Unis la référence journalistique sur le mouvement antifasciste, en particulier pour votre journalisme de terrain. Pourquoi avoir décidé d’enquêter sur les antifas ? Et quel rapport entretenez-vous avec eux ?

Andy Ngo. Lorsque j’ai commencé ma carrière de journaliste, je me suis aperçu que les articles des conservateurs à propos des antifas étaient peu pris au sérieux car soi-disant biaisés idéologiquement. D’où ma décision de me rendre directement dans les manifestations antifas avec ma caméra pour filmer ce qu’il s’y passait. Je voulais que les vidéos parlent d’elles-mêmes sans avoir besoin de les commenter. Assez rapidement, les militants antifas m’ont identifié comme une menace. Au mois de juin 2019, par exemple, je m’étais greffé à un cortège d’antifas qui manifestaient dans la ville de Portland et plusieurs d’entre eux m’ont reconnu. En quelques minutes, j’ai été encerclé par une  meute masquée, frappé à l’arrière du crâne, mis à terre ; et une fois au sol, une pluie de coups s’est abattue sur mon visage. Coups de pied, coups de poing, poings américains et “milkshakes” façon antifas, toute la violence de cette extrême gauche s’est déversée sur moi en quelques secondes. Aucun des journalistes qui assistaient à la scène n’a eu l’idée de venir me secourir. En urgence, une ambulance m’a conduit à l’hôpital où l’on m’a détecté une hémorragie cérébrale. Une longue année de traitement n’aura pas suffi à soigner complètement les dégâts cognitifs provoqués par l’agression et aujourd’hui encore je subis les séquelles de cette lésion cérébrale. Voilà le rapport qu’entretiennent les antifas avec les journalistes.

Avez-vous subi d’autres agressions ou menaces de leur part ?

Oui, bien sûr. En dépit de cette agression, j’ai continué à enquêter sur les antifas. Alors ils ont accentué leurs menaces. En 2019, ma nuit d’Halloween a été véritablement digne d’un film d’horreur. J’étais allongé dans mon lit, prêt à me coucher. Soudain, j’entends sonner à ma porte. Je pense à ce moment-là que c’est un enfant particulièrement motivé dans sa quête de bonbons et je décide de ne pas aller ouvrir. Puis, on tambourine à ma porte. On cogne à mes fenêtres. Un enfant même très motivé n’agit pas comme ça. Je m’approche discrètement de la porte d’entrée, sans faire de bruit. Je regarde à travers le judas. Sur le palier se tenaient six blacks blocs avec en guise de costume d’Halloween, un masque de mon visage. Le temps que la police arrive, les antifas avaient quitté les lieux. Évidemment, j’ai dû déménager à la suite de cet incident. Ce serait trop long d’énumérer toutes les intimidations et violences dont j’ai été la victime, mais ces deux exemples vous donnent un aperçu de ce qu’un journaliste traverse lorsqu’il essaye d’enquêter sur les antifas.

Ce serait trop long d’énumérer toutes les intimidations et violences dont j’ai été la victime, mais ces exemples vous donnent un aperçu de ce qu’un journaliste traverse lorsqu’il essaye d’enquêter sur les antifas.

Quelle est l’influence politique dont disposent les antifas aux États-Unis ?

Le message général véhiculé par les antifas est si extrême qu’il est, dans un certain sens, contre-productif pour la gauche mainstream. Mais lorsqu’ils parviennent à s’approprier une cause bien spécifique, c’est là qu’ils sont le plus efficaces. D’abord ils ont bénéficié de la figure d’épouvantail de Donald Trump. Puis quand son mandat touchait à sa fin, ils ont su instrumentaliser à merveille la mort de George Floyd. Plus que la mort de George Floyd, c’est l’effusion de violence dans les rues américaines suite à son décès qu’ils ont réussi à exploiter notamment en incitant à la haine de la police. Dans ma ville natale de Portland, ils ont organisé des manifestations contre la police chaque nuit pendant plus de 120 jours. Politiquement, ils se sont servis de ce meurtre pour militer en faveur du désarmement de la police et de présenter cette mesure comme la panacée à tous les problèmes des Afro-Américains aux États-Unis. Plusieurs grandes villes démocrates comme Portland ou Seattle ont cédé à leurs

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