Le gérant du cinéma Émeraude, à Châteaubriant, a décidé de fermer l’établissement pour une durée indéterminée suite à deux contrôles des forces de l’ordre en l’espace de 10 jours, venues vérifier la validité des pass sanitaires des salariés et du public, parfois en pleine séance…
Terreur sanitaire à Châteaubriant : le cinéma Émeraude préfère baisser le rideau
Avec deux contrôles de gendarmerie subis en seulement 10 jours par les employés et les clients, le gérant du cinéma Émeraude de Châteaubriant, en Loire-Atlantique, a fini par voir rouge. Aussi, l’établissement a fermé ses portes jeudi 23 décembre pour une durée indéterminée. Sur le site web du cinéma, un message expliquant cette fermeture accueille les internautes.
Nous y apprenons notamment que, lors de ces deux interventions rapprochées de la brigade de gendarmerie de Châteaubriant, « les gendarmes fortement armés ont forcé l’arrêt des projections et le rallumage des lumières en pleine séance pour le contrôle des pass sanitaires. Et ce malgré la présence d’un jeune public. »
Quant au choix de maintenir le cinéma Émeraude fermé « jusqu’au rétablissement d’une situation acceptable », le gérant explique que la décision était prise afin « d’éviter une gêne provoquée par un autre contrôle qui viendrait nuire à votre expérience cinématographique et traumatiser une partie de nos spectateurs ».
Contrôle des pass sanitaires : des salariés critiquent la méthode
Du côté des forces de l’ordre, on explique que lors du premier contrôle, le 12 décembre dernier, cinq infractions ont été constatées parmi des clients et des salariés concernant le pass sanitaire. D’autres spectateurs auraient aussi été sanctionnés pour non-respect du port du masque dans la salle.
En ce qui concerne le contrôle de gendarmerie du 22 décembre, les pass sanitaires de l’ensemble des clients étaient en règle mais la maréchaussée a visiblement trouvé des irrégularités concernant ce même document chez les salariés. En effet, selon le commandant de la compagnie de gendarmerie de Châteaubriant, « des membres du personnel étaient dans l’impossibilité de présenter un pass sanitaire à jour ».
Le ton est très différent chez le personnel du cinéma. Cité par Ouest-France le 23 décembre, un salarié témoigne : « Imaginez dix gendarmes qui pénètrent dans la salle, en pleine projection, font rallumer les lumières. Les spectateurs ont cru à un risque d’attentat, d’autant qu’il y avait des enfants ».
Quant à la double descente de la brigade de gendarmerie dans leur établissement, un des employés précise : « Nous ne sommes pas opposés aux contrôles, nous les faisons à l’entrée, mais nous regrettons les conditions dans lesquelles ils sont faits ».
Le cinéma Émeraude pourrait ainsi être visé par une fermeture administrative de la part de la préfecture suite à ces infractions puisqu’en état de récidive. Gageons que les services de l’État ne soient pas tentés de faire un « exemple » avec l’établissement castelbriantais dans l’optique de dissuader ses concurrents.
La loi, l’ordre et l’intransigeance de l’État à Châteaubriant, c’est aussi :
L’avant-projet de loi à propos du passe vaccinal indique la possibilité d’exiger un test négatif au Covid-19 en plus d’un schéma vaccinal complet. Certains pays européens ont déjà mis en place cette mesure.
Moins d’une semaine après que Jean Castex ait ouvert la voie au remplacement du passe sanitaire par le passe vaccinal, les contours de ce dernier se précisent. Ce 23 décembre, le Parisien rapporte que l’avant-projet de loi indique qu’un décret fixera les cas « dans lesquels l’intérêt de la santé publique et l’état de la situation sanitaire imposent un cumul de justificatifs ». Quèsaco ? En plus d’un schéma vaccinal complet, un test négatif pourrait être exigé dans certains lieux. Contacté par Le Parisien, le ministère de la Santé confirme vouloir « prévoir » cette possibilité.
La double mesure est déjà en vigueur dans certains pays, notamment l’Allemagne, l’Autriche et la Suisse, sous le nom de « 2G + ». Plus exactement, le passe « 2G » pour « geimpft » (vacciné) ou « genesen » (guéri) en allemand, est l’équivalent d’un passe vaccinal : on peut en disposer si l’on est vacciné ou guéri. En revanche, dans certains lieux, le « 2G + » est imposé : en plus du passe vaccinal, un test négatif au Covid-19 est exigé. Petite nuance : les personnes ayant reçu leur dose de rappel n’ont pas besoin de ce dépistage supplémentaire. En Suisse, depuis le 20 décembre, seuls les vaccinés ou guéris peuvent accéder aux lieux en intérieur avec le masque. En revanche, lorsque le masque n’est pas obligatoire ou ne peut pas être porté, à l’instar des discothèques ou des piscines, un test négatif vient s’ajouter au passe vaccinal.
Les lieux concernés par cette double mesure seraient les plus à risques de propagation du Sras-Cov-2. Lesquels précisément ? D’après Le Parisien, le ministère de la Santé ne se prononce pas sur le sujet pour le moment. En Allemagne, le double passe est nécessaire dans les bars, restaurants, discothèques, ou encore dans les théâtres et cinémas dans certaines régions.
Au Luxembourg, le gouvernement a annoncé que le 2G + serait bientôt nécessaire dans les bars et restaurants, alors que tous les établissements du secteur de la restauration devront baisser leur rideau à 23 heures. Les personnes n’ayant pas reçu leur rappel devront donc faire un test avant d’aller au restaurant ou au bar.
Je ne sais pas ce que vous en pensez mais tout cela est très clair et simple comme bonjour ! N’est-ce pas les Inconnus ?
Juste avant Noël, la délinquance ne prend pas de vacances à Nantes, où les vols, agressions en tous genres et cambriolages se sont multipliés.
Néanmoins la technologie peut aider les forces de l’ordre débordées à faire face : un capteur GPS installé dans le cadre d’une des cinq bicyclettes en carbone volées récemment rue Paul Ramadier dans le quartier Beaulieu a conduit l’enquête droit sur un pavillon et un jeune homme de 25 ans, chez lequel quatre vélos et une moto tous signalés volés ont été retrouvés. Le jeune homme, qui refuse que les forces de l’ordre exploitent son téléphone (ben voyons !), leur a assuré qu’il les avait achetées sur Snapchat en vue de les revendre – ce qui s’appelle du recel, mais dans les faits, est moins réprimé par la justice que le vol.
Le 21 décembre, un homme de 20 ans s’en est pris à une femme vers 21h45 à l’arrêt Moutonnerie – très mal fréquenté, ainsi que le parc attenant et le débouché du boulevard Dalby dès la tombée de la nuit. Il lui a craché dessus et lui a asséné plusieurs coups, avant de prendre la fuite – pas très loin car il a été cueilli au Bouffay, avec un couteau à cran d’arrêt sur lui et placé en garde à vue.
Le même jour à 23h30 trois trentenaires ont été tabassés près de la croisée des tramways par une bande de neuf individus d’origine étrangère, qui les ont hélés pour leur demander des cigarettes puis « ils nous ont sauté dessus et nous ont cassé la gueule. On a subi un bon lessivage », explique une victime.
L’une des victimes a la mâchoire brisée, un autre deux dents cassées, mais les victimes refusent de porter plainte. « On est une victime parmi tant d’autres à cet endroit. On est quand même en plein centre-ville à 23h30, et personne n’est là pour surveiller et protéger les gens », confie l’une des victimes dans la presse locale le 22 décembre. Tant que les victimes se contenteront de subir, effectivement, rien ne changera…
Des voleurs armés maîtrisés et arrêtés par des voisins
A Saint-Sébastien sur Loire, le 21 décembre dernier vers 2 heures du matin, des habitants surprennent trois personnes en train de voler des batteries, le nez dans un capot en train de couper les fils, dans le parking souterrain de leur résidence. Ces deux habitants – qui ne se sont pas résolus à être des victimes, mettent les voleurs, armés d’un couteau de boucher et d’une arme de poing pourtant – en fuite, et en maîtrisent un troisième armé d’un cutter. Agé de 20 ans, il est placé en garde à vue pour vols en réunion et violences volontaires en réunion avec arme.
La veille, rue du Clos du Coteau à Vertou, deux adolescents ont été placés en garde à vue après avoir été surpris dans le salon d’une maison dont l’habitante, qui elle non plus ne s’est pas résolu à être une victime, s’est réfugiée chez un voisin d’où elle a appelé la police.
Le superbe livreTrois jours, trois nuits a eu son petit succès dans les journaux. Il est en train d’en connaître un autre auprès des lecteurs. Pour ceux qui auraient raté le début, plusieurs écrivains, catholiques ou non, sont venus passer trois jours (et trois nuits, donc) dans les murs de la magnifique abbaye de Lagrasse (Aude), dont les deux tiers appartiennent aux chanoines réguliers de la Mère de Dieu, qui vivent selon la règle de saint Augustin. Ils ont raconté leur expérience, littéraire mais aussi, bien souvent, spirituelle. Sylvain Tesson, Frédéric Beigbeder, Boualem Sansal et plusieurs autres se sont prêtés au jeu (qui n’en est pas un) de la vie dans une communauté religieuse. Silence et lecture au réfectoire, offices réguliers, vie contemplative dans une austère cellule… Rien de dangereux, rien de méchant, certes – mais tout cela est désespérément catholique.
Les chanoines ont acheté Lagrasse en 2004 et ont quitté leur petit monastère de Gap pour aller vivre dans les Corbières, dans ce monument de grès flammé, remanié au XVIIIe siècle mais dont les premières traces remontent à Charlemagne. Il y a dix-huit ans, Lagrasse était la maison de vacances d’un original allemand, après avoir été une communauté crypto-orthodoxe. Les chanoines ont redonné à l’abbaye, patiemment et simplement, sa splendeur et sa destination. Quiconque les connaît un peu mesure leur excellence intellectuelle, leur joie rayonnante, leur émouvante douceur, la relation proprement bouleversante qu’ils entretiennent avec la Sainte Vierge. Ils sont également fidèles au rite de saint Pie V, dit « tridentin » (du concile de Trente), qui n’avait pas prévu la guitare sèche, les petites filles thuriféraires et le coup d’État permanent des dadames de sacristie. Bref, ils sont ce qu’on appelle – horresco referens – des tradis.
Il n’en fallait pas plus pour que Le Monde et Libération volent au secours de la laïcité. Dans Le Monde, on apprend ainsi que les chanoines sont « de droite », selon Patrick Boucheron, professeur au Collège de France et habitué du « Marque-Page » – un festival culturel -, et que le livre qui les concerne ne peut donc pas être un livre de spiritualité. Pis, le maire, un certain René Ortega, est « de plus en plus agacé par l’attitude des chanoines ». Auraient-ils incendié un Abribus™ ? Agressé des passants aux cris de « Christus vincit » ? Vous n’y êtes pas : ils ont déroulé une banderole « Dieu vous sauvera » pendant l’épidémie de Covid (on ne sait pas de quelle vague il s’agit, mais on a compris l’esprit)… et les gendarmes (oui, les gendarmes) sont venus dans l’abbaye pour verbaliser les méchants paroissiens qui ne portaient pas de masque. Cerise sur le gâteau, ou plutôt « erasus super libum », puisque les chanoines « fachos » utilisent le latin : le village est « colonisé » par de bien inquiétantes familles, qui font trembler de peur les courageux organisateurs de festivals littéraires. Des familles « de la grande bourgeoisie » ainsi que des « noms à particule » qui apparaissent sur les listes d’émargement lors des scrutins. Il faut se rendre à l’évidence : les catholiques tradis achètent près des chanoines.
Libération, en pointe dans la lutte contre la bête immonde, dont le ventre, comme celui des mères de famille à serre-tête en velours, est toujours fécond, a poussé son enquête plus loin. Ces familles qui envahissent Lagrasse, ce sont plus précisément « des saint-cyriens, du genre sept enfants et patronyme à rallonge ». Merde, alors ! Ça, c’est pourtant des profils à remporter le concours de « La France a un incroyable talent ». Les Français semblent bien apprécier, en ce moment, cette France qui ne passe pas, dont on découvre qu’elle est imperméable aux moqueries stupides et qu’elle fait front en souriant, malgré l’ironie de Sarkozy, les lacrymogènes de Valls, le mépris de Macron et le racolage de Pécresse. Ce n’est pas le cas des Lagrassiens d’après-68, qui ont sans doute tous leurs quartiers de noblesse selon le gotha de Libé (gauche prolétarienne, éditions libertaires que personne ne lit…) mais n’ont pas de patronyme à rallonge. Le secrétaire de mairie, par exemple, rêve d’un droit de préemption. En un mot, que la mairie puisse empêcher les tradis d’acheter des maisons dans le village de Lagrasse. C’est ça, une dictature, Dolorès, comme dirait OSS 117. Il n’y manque que les chaussures à fermeture Éclair™.
Pour comble de malheur, ce sont les gauchistes qui « passent pour les méchants, face aux gentils moines guillerets ». Ils n’ont pas l’habitude : cinquante ans d’immunité, ça vous installe dans le confort. Les chanoines, eux, ont deux mille ans de persécution dans les pattes : la haine écumante des anticléricaux, ils connaissent. Ce ne sont pas des « journalistes retraités en polaire kaki », comme Jean-Michel Mariou, grand témoin maoïste de Libé, qui vont leur faire peur.
On comprendra peut-être mieux cette déferlante de bêtise et de méchanceté, si frénétique qu’elle en devient ridicule (le droit de préemption est ma mesure préférée), quand on saura que l’Aude compte un grand nombre de francs-maçons, que Lagrasse n’est pas épargnée, que le dernier tiers de l’abbaye appartient à la municipalité… et que le simple spectacle du Bien éblouit les insectes, qui se tordent ridiculement sous la lumière. Dans ce village (l’un des plus beaux de France), qui rejoue Don Camillo contre Peppone, un drame intime, que la France connaît de loin, s’est également joué : le lieutenant-colonel Beltrame, qui a offert sa vie en 2018, pour sauver un innocent d’un islamiste à Trèbes, non loin de Lagrasse, était justement franc-maçon, mais en voie de se convertir au catholicisme. Ce long chemin était accompagné par le père Jean-Baptiste, auteur de Tactiques du diable et délivrance, un ouvrage dont on se dit qu’il doit être bien pratique pour comprendre qui a réellement la majorité au conseil municipal.
Les Chartreux disent : Stat crux dum volvitur orbis (« La croix demeure pendant que le monde tourne »). Les chanoines pourraient dire la même chose de ces petites polémiques de vieux gauchos à qui le monde échappe, des crispations qui ressemblent à ces énervements séniles à propos de rien, signes avant-coureurs de la mort.
Deux pour le prix d’un, dirons-nous. Voire plus… Emmanuel Macron n’a pas lésiné, cette année, pour souhaiter un joyeux Noël. La magie de Noël ou des élections qui approchent ? Peut-être les deux à la fois. Il n’a pas lésiné, puisque c’est deux messages qu’il a adressés à l’occasion de la Nativité.
Le premier, publié sur Instagram, le 23 décembre : « Bonjour à tous, je vous retrouve en cette veille de Noël… » Un double cadeau. D’abord, il n’a pas dit « bonjour à toutes et à tous ». Ensuite, il a prononcé le mot magique « Noël ». Cela, pour les esprits chagrins qui cherchent en permanence la petite bête. Bon, certes, ce n’était pas pour nous parler du Petit Jésus, même en culotte de velours, mais pour nous faire ses recommandations de médecin de famille : masque, lavage des mains, distances, aération de la pièce et tout ça. Se tester, même si on est vacciné : ceinture et bretelles, comme on disait jadis. Bon, ça faisait un peu cheap, le Président qui se filme lui-même. Manque de personnel, rapport au Covid ? Non, pour faire plus proche des gens. Allez, je la fais, elle est éculée, mais tant pis : « Qui imagine le général de Gaulle… »
Le second message, publié sur Twitter, c’est aux armées qu’Emmanuel Macron l’a adressé. Et parler aux armées, c’est parler aux Français, de tempérament guerrier, sinon militaire, disait-on autrefois. « À nos soldats, marins et aviateurs, à vous, les veilleurs de cette nuit de Noël engagés en opérations pour nous protéger, je souhaite vous adresser ce message. Mes pensées et celles de la nation vous accompagnent. » Avec une pensée pour les familles et nos blessés. Un bel hommage. Impeccable. Suivent les regrets du chef des armées qui explique ne pas avoir pu, cette année, se rendre au Mali à cause de la situation sanitaire. Heureusement que nous ne faisons la guerre qu’à un virus. Clemenceau allait dans les tranchées. De mauvaises langues disent que Macron ne s’est pas rendu au Mali parce que le président malien ne souhaitait pas sa présence. Allez savoir. Un message, en tout cas, qui ressemble quand même un peu à une reprise de la tranchée médiatique après le coup de Zemmour en Côte d’Ivoire.
À nos soldats, marins et aviateurs, à vous, les veilleurs de cette nuit de Noël engagés en opérations pour nous protéger, je souhaite vous adresser ce message. Mes pensées et celles de la Nation vous accompagnent. pic.twitter.com/AFyYFC7xHi
D’une monarchie l’autre, dirons-nous, et comme, à Noël, les petites filles rêvent d’être des princesses en revêtant leur panoplie déballée de bon matin (je sais, je frôle les barbelés de ce qu’on ne peut plus dire), comment ne pas faire un tour du côté des quelques têtes couronnées, ou qui aspirent à l’être, dans notre vieille Europe ?
First of all, bien évidemment, la reine Élisabeth. La plus ancienne en fonction : nous nous limiterons donc à elle. Un message très personnel. On passera sur la concession à l’incontournable diversité, mais l’évocation du prince Philip à travers des images d’archives est une manière de fendre l’armure du château de Windsor. Et, très intelligent, les images des générations suivantes – prince Charles et Camilla, William et Catherine – évoquent la continuité de la monarchie… et de la famille, avec ses joies, ses peines, ses imperfections aussi.
Mais restons français et, sans prendre partie dans les querelles dynastiques, faisons écho dans nos campagnes aux messages du prince Louis de Bourbon, aîné des Bourbons, et du prince Jean d’Orléans, comte de Paris.
« Avec nos enfants, la Princesse Marie Marguerite et moi-même souhaitons un bon et saint Noël à tous ; aux Chrétiens qui célèbrent la naissance de l’Enfant roi, Sauveur du monde ; aux non chrétiens afin que Noël demeure pour eux la fête de la famille si malmenée de nos jours. » a tweeté Louis de Bourbon.
Avec nos enfants, la Princesse Marie Marguerite et moi-même souhaitons un bon et saint Noël à tous ; aux Chrétiens qui célèbrent la naissance de l’Enfant roi, Sauveur du monde ; aux non chrétiens afin que Noël demeure pour eux la fête de la famille si malmenée de nos jours. pic.twitter.com/cytXseT8ag
De son côté, le prince Jean a publié un long message sur sa page Facebook : « À l’approche de Noël, le chrétien que je suis, avec ses imperfections mais aussi son espérance, dépose la France et les Français aux pieds de la Sainte-Famille réunie dans la crèche pour qu’avec grandeur d’âme nous continuions à forger notre destin dans cette liberté chèrement acquise. C’est le vœu que je forme, car la vérité rend libre de voir et de faire le bien. »
Mais le comte de Paris n’en reste pas là. « Aujourd’hui avec la COVID 19, nos vies sont transformées, conditionnées au passe sanitaire et bientôt, à l’instar de l’Italie ou de l’Allemagne, elles le seront à la vaccination. On le voit bien, nous sommes de plus en plus sujets à la contrainte, quel que soit le prétexte, au mépris de nos libertés individuelles et collectives… »
“Parmi les justificatifs, la possession d’un test négatif pourrait être rendue obligatoire en supplément d’un pass vaccinal pour se rendre dans certains lieux. Contacté par Le Parisien, le ministère de la Santé confie bel et bien «prévoir» cette option, sans préciser quels seraient les endroits concernés par une telle mesure. Une mesure durcie, qui part du constat que les vaccinés peuvent aussi être infectés. »https://francais.rt.com/france/94003-gouvernement-envisagerait-dimposer-test-negatif-plus-pass-vaccinal