La municipalité de Marseille supprime la croix de Notre-Dame-de-la-Garde sur sa carte de vœux

Articles : Dec. 2021Nov. 2021Oct. 2021Sept 2021Aout 2021

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C’est une carte de vœux audacieuse qu’a distribuée la municipalité PS de Marseille, menée par Benoît Payan. En effet, comme l’a constaté Valérie Boyer, qui s’en est émue sur Twitter, la croix ornant le toit de Notre-Dame-de-la-Garde a purement et simplement été effacée. Volontairement ?

En tout cas, un travestissement de la réalité qui n’a pas manqué de faire réagir Valérie Boyer, sénatrice LR des Bouches-du-Rhône :

Disparition de la croix

Sur cette carte de vœux, où l’on voit de souriants personnages de toutes les couleurs, l’on peut bel et bien constater l’absence de la croix. Une nouvelle offensive pour rayer les symboles chrétiens de notre civilisation ? Le maire de Marseille ne manquera sans doute pas de s’en expliquer.

Boulevard Voltaire

Le footballeur Benjamin Mendy est-il un violeur en série? (MàJ : mis en examen pour un 7e viol)

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22/12/2021

Le footballeur Benjamin Mendy mis en examen pour un septième viol

Le joueur de foot français évoluant à Manchester City est actuellement en détention provisoire depuis la fin du mois d’août pour des soupçons de viols et d’agression sexuelle au Royaume-Uni. Il est désormais visé par sept chefs d’accusation de viol et un d’agression sexuelle, sur quatre femmes.[…]

L’article dans son intégralité sur DNA


16/11/2021

Le défenseur international français de Manchester City Benjamin Mendy, 27 ans, a été inculpé de deux viols supplémentaires et comparaîtra devant un tribunal mercredi, a annoncé mardi le Crown Prosecution Service, le service chargé des poursuites judiciaires en Angleterre.

Benjamin Mendy est maintenant visé par six chefs d’accusation de viol et un d’agression sexuelle.

L’Est Républicain


10/09/2021

Vendredi 10 septembre, Benjamin Mendy comparaissait devant la Crown Court de Chester en Angleterre. Accusé de quatre viols et d’une agression sexuelle, et détenu à la prison d’Altcourse au nord de Liverpool depuis le 27 août dernier, le défenseur français de Manchester City va rester en détention jusqu’à la date de son procès, prévu le 24 janvier 2022.

Le tribunal de Chester, chargé de l’enquête, organisera une autre audience préliminaire le 15 novembre prochain lors de laquelle le champion du monde 2018 présentera sa défense et précisera notamment s’il plaide coupable ou non des faits qui lui sont reprochés.[…]

FranceInfo


28/08/2021

  • 3 Viols en Octobre 2020 sur une seule même victime
  • 1 Viol lundi 23 Août 2021 sur une nouvelle victime mineure de 17 ans
  • 1 Agression sexuelle en Janvier 2021

Le juge a rejeté sa demande de mise en liberté et a fixé une audience au 10 septembre.

Le Parisien


27/08/2021

Il est placé en détention provisoire. L’une des plaignantes à moins de 18 ans

SkyNews


26/08/2021

Le Crown Prosecution Service (CPS) a autorisé le Cheshire Constabulary à inculper Benjamin Mendy, 27 ans, de quatre chefs d’accusation de viol et d’un chef d’accusation d’agression sexuelle.

Les infractions auraient eu lieu dans le Cheshire entre octobre 2020 et août 2021 et concernent trois plaignants âgés de plus de 16 ans.

Mendy, de Withinlee Road, Prestbury, a été placé en détention provisoire et comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Chester le vendredi 27 août 2021.

Le Cheshire Constabulary et le Crown Prosecution Service tiennent à rappeler que la procédure pénale contre Mendy est en cours et qu’il a droit à un procès équitable. Il est extrêmement important qu’il n’y ait aucun rapport, commentaire ou partage d’informations en ligne qui pourrait de quelque manière que ce soit porter préjudice à ces procédures.

Crown Prosecution Service

Ambérieu-en-Bugey (01) : un homme d’une soixantaine d’années poignardé à la gorge, un mineur interpellé, la piste terroriste envisagée

Articles : Dec. 2021Nov. 2021Oct. 2021Sept 2021Aout 2021

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ATTAQUE AU COUTEAU À AMBÉRIEU : UN MINEUR MIS EN EXAMEN

[…]

Dimanche 19 décembre dans le passage souterrain de la gare d’Ambérieu-en-Bugey à une cinquantaine de kilomètres de Lyon, un sexagénaire avait été agressé alors qu’il venait chercher son petit-fils. Un coup de couteau au niveau de la gorge, la victime s’en est tirée avec quelques points de suture. […]

La piste terroriste envisagée

La piste terroriste a été envisagée par les enquêteurs en raison du mode opératoire de l’agresseur. Pas de vol, ni de mots prononcés et aucun lien avec la victime. […]

L’article dans son intégralité sur RadioScoop

Ambérieu-en-Bugey, 14000 habitants

https://www.fdesouche.com/2018/07/04/amberieu-en-bugey-un-couple-turc-place-en-garde-a-vue-apres-le-retour-de-leur-fils-du-jihad/

Zone interdite : “À quoi reconnaît-on un Parisien en mission humanitaire ?” les internautes égratignent le projet d’un couple parisien au Sénégal

Articles : Dec. 2021Nov. 2021Oct. 2021Sept 2021Aout 2021

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Dans l’émission Zone Interdite diffusée ce dimanche 19 décembre sur M6, les téléspectateurs pouvaient suivre quatre couples qui ont décidé de changer radicalement de vie. Parmi eux, deux jeunes Parisiens souhaitant porter un projet humanitaire au Sénégal, n’ont pas franchement suscité l’admiration des internautes. Leur tort selon eux ? Être un peu trop fidèles au cliché du Parisien en quête de sens.

(…)

Mais parmi les protagonistes de la soirée, c’est surtout le couple de Parisien qui a provoqué l’exaspération de la toile. Leur projet était pourtant des plus louables : les deux trentenaires ont tout laissé derrière eux pour apporter l’électricité dans une école d’un petit village isolé en Casamance, au sud-ouest du Sénégal. Mais pas de quoi émouvoir les membres actifs de twitter en ce dimanche soir. Afin de financer leur séjour, le couple a présenté son projet à des startupeurs de leurs carnets d’adresses. Leur pitch leur a permis de lever 9500 euros. Devant leur auditoire, Marie a révélé vouloir donner du sens à sa vie mais n’avoir encore jamais fait d’humanitaire. Et les deux Parisiens qui souhaitent apporter la lumière dans ce village africain n’ont en réalité aucune formation d’électricien. De quoi laisser dire à certains twittos que leur voyage ressemblait davantage à une quête de sens personnelle ou d’exotisme qu’à un acte réellement altruiste.

(…)

Une fois sur place, leurs faits et gestes n’ont pas fait changer d’avis ces internautes perplexes. A peine arrivée, Marie semblait déjà souffrir de la chaleur. Puis au moment du petit déjeuner, la voix off du reportage nous apprenait que le couple avait trouvé de quoi “se préparer un petit-déjeuner a la française tous les matins”, soit des baguettes de pain cuites sur un “four” improvisé avec les moyens du bord par les locaux. Pour les internautes les plus critiques, rien ne manquait au cliché du Parisien !

fr.news.yahoo.com

Toulouse : des migrants tunisiens fournissait de faux documents à des Tunisiens pour qu’ils puissent «se maintenir en France et d’obtenir des aides sociales»

Articles : Dec. 2021Nov. 2021Oct. 2021Sept 2021Aout 2021

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Cinq Tunisiens et une Française fournissent de faux documents à des Tunisiens en situation irrégulière

Un réseau qui fournissait de faux documents à des Tunisiens en situation irrégulière en France a été démantelé en Occitanie.

Il s’agit d’une filière franco-tunisienne d’un réseau qui gère une centaine de “clients” avec un gain de dizaines de milliers d’euros, annonce le parquet de Toulouse.[…]

Ces cinq ressortissants tunisiens et la septuagénaire française sont soupçonnés d’avoir délivré de faux bulletins de salaire ou contrats de travail à des Tunisiens en situation irrégulière, «désireux de se maintenir en France et d’obtenir des aides sociales indues», selon la même source.[…]

L’article dans son intégralité sur Direct Info

Nos 42 000 élus trop lâches pour parrainer Z et sauver la France ?

Articles : Dec. 2021Nov. 2021 – Oct. 2021Sept 2021Aout 2021

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Nos 42 000 élus seraient-ils trop lâches pour parrainer Zemmour et sauver la France ?

L’heure est grave. Zemmour n’a que 300 promesses de parrainage à ce jour. Pourtant, 70% des Français partagent ses idées sur l’immigration-invasion, sur l’islam-conquérant et sur l’insécurité galopante. Des fléaux que Macron ignore.

Si Zemmour n’obtient pas ses 500 signatures, nous aurons droit à un remake de 2017, ce qui mènera inéluctablement à l’effondrement définitif du pays.

Valérie Pécresse retombera dans les bas-fonds et Marine retrouvera ses 25 ou 26 % du mois de mai 2021. Macron sera réélu haut la main et le calvaire des Français sera prolongé pour 5 ans. 

Est-ce donc cela que veulent nos députés, nos sénateurs et nos 36 000 maires ?

Personne, à part Macron, n’a intérêt à barrer Zemmour. 

Certes les pressions de la Macronie pour l’écarter et porter Marine au second tour sont énormes, mais sur 42 000 élus pouvant parrainer un candidat, n’y en a-t-il que 300 ayant assez de tripes pour soutenir Zemmour, un modèle de courage seul contre tous ?

N’y aurait-il que 300 élus patriotes pour défendre la démocratie et sauver la France du naufrage identitaire et économique ?

N’y aurait-il, finalement, qu’une immense majorité de poules mouillées parmi ces 42 000 élus ? Sommes nous devenus un pays de poltrons ? Ce serait monstrueux.

De plus en plus d’élus sont molestés, agressés par des malfrats. N’est-ce pas là l’occasion de soutenir le seul candidat qui entend mettre au pas la racaille et redonner aux forces de l’ordre l’autorité que les mondialistes leur ont ôtée ? L’autorité de l’État, c’est Zemmour qui la rétablira. Lui seul en aura le courage.

Quand celui-ci lance un appel aux maires, ce n’est pas par intérêt personnel, mais pour sauver la France qui se meurt. Il est le plus intègre et le plus sincère de tous. 

J’avoue ne pas comprendre. À ce jour, nous avons 0,7 % d’élus courageux qui le soutiennent ! Donc moins de 1 % prêts à sauver la France en perdition, c’est sidérant !

Avec Hollande, la règle des parrainages est devenue une ignominie antidémocratique. 

En 2016, la décision de rendre les parrainages entièrement publics, a transformé cette course aux signatures en véritable parcours du combattant pour les candidats hors système.

Avec 15 % d’intentions de vote à ce jour, Éric Zemmour peut très bien ne pas obtenir ce sésame incontournable. Alors que d’autres candidats n’ayant aucune chance d’être élus, les auront.

Hidalgo, avec ses misérables 4% d’intentions de vote, aura ses parrainages. Curieuse démocratie.

La peur paralyse cette caste politique décidément bien décevante !

https://www.vie-publique.fr/eclairage/23872-parrainage-des-candidats-la-presidentielle-les-500-signatures

On exige des élus qu’ils rendent public leur choix, alors qu’on oblige tout électeur à voter dans l’isoloir. Choix public d’un côté, vote secret de l’autre.

C’est totalement incohérent, totalement antidémocratique et totalement injuste pour les candidats qui en font les frais.

C’est fin février au plus tard que les candidats devront déposer leurs 500 parrainages auprès du Conseil constitutionnel.

Apparue avec l’élection du président de la République au suffrage universel, instaurée en 1962, et maintes fois réformée, la règle des parrainages ne fait toujours pas l’unanimité.

Jusqu’en 1976, 100 parrainages suffisaient. Il en faut 500 aujourd’hui !

Ils sont 42 000 élus à pouvoir parrainer un candidat et un seul.

Les 500 parrainages requis doivent être issus de 30 départements différents, avec 50 parrainages maximum dans un même département.

Ajoutons à cela l’obligation de rendre publics les parrainages, et on mesure ainsi l’ampleur de la tâche.

Verrons-nous le plus patriote des candidats barré par une règle absurde et inique et par le manque de courage de nos 42 000 élus ?

Espérons que non et que le sursaut patriotique surviendra. Barrer Zemmour, ce serait poignarder la France dans le dos. Ce n’est pas ce qu’on attend des élus d’une démocratie.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

Le coronavirus rend-il fou ? Vincent Lapierre devant ses détracteurs

Articles : Dec. 2021Nov. 2021 – Oct. 2021Sept 2021Aout 2021

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Le coronavirus nous rendra-t-il tous dingues ? La question peut se poser tant elle traverse toutes les familles, politiques ou pas. Le Média pour Tous peut en témoigner. Fondé en 2018 par Vincent Lapierre, reporter tout-terrain, il a imposé un ton et montré les Gilets jaunes sous un jour nouveau en donnant la parole aux acteurs. Le succès a rapidement été au rendez-vous, avec une moyenne de 100 000 vues par reportage. Mais la Covid et ses controverses sans fin sont passées par là. Pour ou contre, noir ou blanc, vaccin ou pas vaccin, le virus n’a que faire des nuances. Vincent Lapierre a fait un autre choix, celui de Péguy, autre journaliste (eh oui), qui nous recommandait de « dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité, dire bêtement la vérité bête, ennuyeusement la vérité ennuyeuse, tristement la vérité triste » – mais aussi dire scientifiquement la vérité scientifique, à tout le moins la vérité de la communauté scientifique. Ce choix lui a aliéné une grande partie de ses soutiens. Ce qui n’est pas sans poser problème pour un média indépendant vivant du financement de ses abonnés. Ce dernier s’est asséché, mettant en péril la survie du Média pour Tous. « Si la vérité vous offense, la fable au moins peut se souffrir », disait le grand Jean de La Fontaine. Mais que faire en temps de crise, lorsque la fable et la vérité s’entremêlent au point de se confondre ? Les démêler encore et toujours. La parole à Vincent Lapierre.

ÉLÉMENTS : Le Média pour Tous, créé à l’été 2018, a pris son essor lors du mouvement des Gilets jaunes ; à l’époque, la majeure partie des journalistes étaient très mal reçus dans les cortèges, sauf le Média pour Tous. Qu’est-ce que cette crise a révélé sur les relations entre les médias et le peuple ?

VINCENT LAPIERRE. La crise des Gilets jaunes a mis en évidence la fracture très profonde qui existe entre les médias de masse et une partie de la population. Cette fracture n’est pas apparue soudainement en 2018, elle s’est creusée au fil des dernières décennies et a trouvé dans la démocratisation d’Internet un puissant accélérateur. Le sentiment dominant dans les rangs des Gilets jaunes, et bien sûr au-delà, est que nous sommes gouvernés par des corrompus, pour lesquels leurs intérêts particuliers priment sur l’intérêt général. Dans ce cadre d’analyse, les principaux médias, de par leur proximité avec le pouvoir, leur structure de financement et le mode de formation des journalistes, sont vus comme des passe-plats du gouvernement. Ils ne sont là que pour « faire passer la pilule » des réformes gouvernementales et maquiller en démocratie ce qui n’est en fait qu’un pouvoir totalitaire. Dans ce contexte, la recherche d’information alternative devient parfaitement compréhensible. Pour la crise des Gilets jaunes, nous étions là au bon moment et au bon endroit, avec le bon format de vidéos : au cœur de l’action tout en respectant la parole des Gilets jaunes (ne pas les couper en permanence, ne pas retenir au montage que quelques secondes mais donner le temps au spectateur de comprendre le discours dans sa globalité, etc.), ce que les grands médias ne faisaient pas. C’est effectivement ce qui explique le succès de nos reportages. Mais d’autres ont également fait ce travail. Un certain nombre de médias citoyens sont nés lors de la crise des Gilets jaunes, preuve que la crise informationnelle était bien là, en toile de fond.

ÉLÉMENTS : Quand la Covid s’est invitée dans l’actualité en 2020, le Média pour Tous, désormais bien installé dans le paysage qu’on pourrait nommer « altermédiatique » ou « dissident », aurait pu, comme bien d’autres, vendre successivement à ses abonnés de la chloroquine, de la « plandémie », du génocide vaccinal. Au lieu de surfer sur ce narratif-là, tu as préféré conservé le sens de la nuance et un véritable esprit critique, choix récompensé bien souvent par maints pouces baissés sur YouTube. Avais-tu anticipé de telles réactions, du désabonnement à l’anathème, ou bien t’ont-elles surpris ?

VINCENT LAPIERRE. Non, je n’ai pas été franchement surpris. Je savais qu’une partie importante de notre public attendait de nous que nous nous fassions les relais complaisants de toutes les théories qui se sont mises à circuler (5G, puces dans le vaccin, traitements miracles, etc.). En mars 2020, nous avons mis en ligne un sondage pour savoir ce que nos lecteurs pensaient de l’origine du coronavirus : 49 % ont voté pour des réponses évoquant une intention malveillante cachée derrière la crise sanitaire. Je savais que mes prises de position allaient immanquablement prendre à rebrousse-poil au moins la moitié de notre public. Mais je ne me voyais pas faire autre chose que ce que j’ai fait : prendre au sérieux la parole des scientifiques, écouter l’ensemble des théories en présence et trancher en faveur du consensus scientifique mondial. Et ce consensus, globalement, établit que le Sars-Cov-2 pose un problème majeur de saturation des réanimations, et cela dans le monde entier, y compris dans les pays qui ont trois fois plus de lits de réanimation que la France, comme par exemple l’Allemagne. Tout part de là. Si on rate cette marche et qu’on considère qu’il n’y a pas de problème, que la Covid est une simple grippette, c’est certain que toute action du gouvernement sera perçue comme une atteinte à nos libertés. Je ne peux personnellement pas emprunter cette voie cognitive car, au départ, j’admets que le virus, de par ses caractéristiques intrinsèques, pose un problème. Et ce raisonnement, je le tiens car même si je ne peux aller moi-même dans les services de réanimations et compter les malades ou les morts, j’estime plus fiable le témoignage de centaines de milliers de soignants et de scientifiques à travers le monde qui ne se connaissent pas, plutôt que celui de quelques médecins isolés, ou des témoignages souvent invérifiables sur les réseaux sociaux. C’est assumé. Non, Big Pharma n’est pas en capacité de corrompre des gouvernements ennemis géopolitiquement pour faire croire que le Sars-Cov-2 est une menace alors qu’il n’en est pas une, ou cacher qu’un médicament fonctionne pour imposer un vaccin (qui aurait même pour but de tuer les gens, selon certains). Les faits analysés rationnellement disent autre chose. Et peu importe que Macron dise également cela. Je pourrais répondre que Poutine, Kim Jung-un et Bachar el-Assad développent eux aussi le même « narratif » que Macron, sont-ils pour autant macronistes ? Ce n’est pas parce qu’untel dit ceci ou cela que je vais forcément dire le contraire, ce n’est pas comme cela que je raisonne. Je ne suis pas un « anti-tout » professionnel, ou un idéologue. Ma boussole, ce sont les faits. Et j’écoute – tout en gardant mon esprit critique – ceux qui savent les interpréter et dont c’est le métier. Cette position peut surprendre ceux qui me suivent et je le conçois parfaitement, mais c’est la conclusion à laquelle j’arrive, et je ne peux pas faire autrement que de le dire. C’est mon rôle. Et je le dirai quel que soit le prix que ça me coûte, et ça me coûte déjà très cher.

ÉLÉMENTS : La « réinformation » ressemble trop souvent à une simple contre-propagande, et la « dissidence » à un concours de panurgisme et de pavlovisme ; comment faire comprendre l’importance primordiale d’une forme d’hygiène mentale et de zététique, autrement dit d’art du doute ?

VINCENT LAPIERRE. Effectivement, la défiance souvent justifiée à l’égard des médias de masse a conduit à accorder une trop grande confiance dans les médias dits alternatifs, et ce n’est pas une bonne chose. Il faut exercer son esprit critique quel que soit le canal par lequel l’information nous parvient. Il faut avoir conscience que les médias dits alternatifs ont en fait les mêmes contraintes que les grands médias : pour survivre, ils doivent capter notre temps de cerveau disponible. Et pour cela, ils font face à la même tentation que les grands médias, à savoir donner du simple, du clivant, de l’angoissant, du sentiment de savoir des choses que les autres ne savent pas, etc. C’est en jouant sur ces cordes-là, l’ego, la peur, l’attirance pour le clash, la « révélation », que tout média maximise ses chances de capter l’attention du public. Dans un contexte de concurrence exacerbée entre les médias et en période de crise où les gens attendent des réponses rapides, la tentation est extrême de faire circuler des rumeurs, de jouer sur les peurs et les discours démagogiques. Beaucoup cèdent, certains en font même un business. Ce n’est pas le choix que nous avons fait.

ÉLÉMENTS : Dans une récente vidéo Je relève le défi de Soral , tu reprenais les critiques sérieuses faites à la fondation Bill & Melinda Gates (celles notamment de Lionel Astruc, L’art de la fausse générosité, Actes Sud, 2019), critiques rendues inaudibles par les théories délirantes qui circulent à son sujet. Ces dernières, constates-tu, nuisent donc aux mouvements sociaux et à la contestation du pouvoir…

VINCENT LAPIERRE. Oui, j’en suis convaincu. Rien de bon politiquement ne peut surgir sur la base d’informations fausses, tronquées ou mal comprises. L’un des enjeux de notre époque, c’est que les classes populaires, qui sont les grandes perdantes de la mondialisation, parviennent à faire front commun avec la classe moyenne, à la convaincre que sa position est précaire et qu’elle ne fera, elle aussi, que régresser si un changement politique profond ne survient pas rapidement. On arrive aujourd’hui à un point où ce combat légitime pour plus de souveraineté, donc pour plus de social et de solidarité, est pollué par de fausses informations et une défiance extrême envers la science et la médecine. Cela pose le problème de la crédibilité du discours anti-système et ne fait qu’ajouter un clivage profond dans une situation déjà complexe. Je pense qu’à terme, les mouvements contestataires sortiront affaiblis de cette crise. Il y avait pourtant un boulevard pour une critique rationnelle du système sans nier la gravité de la crise du Covid-19. Cette pandémie a en effet révélé de manière flagrante toutes les faiblesses du capitalisme ultra-libéral. La porte était grande ouverte pour préparer les esprits à un retour de l’État-nation, dont on voit bien qu’il est vital en situation de crise, à une remise en cause de l’utilité de l’Union européenne et à une critique profonde et probante de la mondialisation. Mais si l’on nie la gravité de la crise, alors on ne peut critiquer correctement sa non-anticipation et sa mauvaise gestion, on se retrouve à prôner le retour « à la vie d’avant », c’est à dire l’ultra-libéralisme et le chacun pour soi, quand l’État essaie momentanément et de manière contre-nature de revenir dessus pour tenter de résoudre la crise ! C’est tout le paradoxe de la situation actuelle et c’est le piège dans lequel sont tombés, malheureusement, une partie des Français qui rejettent les mesures sanitaires, car fondamentalement ils rejettent Macron. À mon sens, c’est une erreur.

ÉLÉMENTS : Pour Péguy, un journal devait être capable de bousculer un quart de ses lecteurs à chaque numéro, à condition que ce ne soient pas toujours les mêmes. Te dis-tu parfois que tu serais allé un peu trop loin dans ce sens, ou bien plutôt que ce sont les abonnés « déçus » qui s’étaient fait une idée fausse de ta démarche de journaliste indépendant ?

VINCENT LAPIERRE. Je me dis que ce que certains ont aimé chez moi auparavant est précisément ce qu’ils n’aiment plus maintenant : ma liberté de ton et d’esprit, et mes efforts pour garder une forme d’objectivité et d’indépendance de pensée. Je dois bien admettre aussi que j’ai évolué, même si j’ai toujours voulu donner la parole à tous et confronter les avis divergents (souvent au prix de quelques bousculades et insultes), je ne l’ai sérieusement mis en pratique que progressivement, en interrogeant notamment des chercheurs, des spécialistes, des ingénieurs sur des sujets sensibles (5G, Stocamine, Covid, etc.), et fatalement, il ressort de mes reportages davantage de nuance qu’auparavant. Je suis convaincu que c’est une évolution positive. Pourtant, j’ai bien conscience que, chez beaucoup, comme le dit Jean-François Revel, « le besoin de croire est plus fort que le désir de savoir ». Moi, j’ai besoin de savoir, et non pas seulement de croire. C’est cela que je voudrais transmettre à ceux qui suivent notre travail. 

ÉLÉMENTS : Dans ta dernière vidéo C’est la fin , tu l’affirmes sans détour : l’existence du Média pour Tous est compromise…

VINCENT LAPIERRE. Oui. La voie que j’ai décrite est la moins rémunératrice car la moins spectaculaire. Je fais le choix volontaire d’emprunter le chemin de l’objectivité et de la nuance, et je le fais en conscience à l’ère des réseaux sociaux et en période de crise, c’est à dire au pire moment, au risque de tout perdre. Comme je le dis souvent à mon équipe : je préfère couler le navire que mentir aux gens. J’ai la chance d’avoir une équipe qui a suivi mon cheminement de pensée, qui le partage et qui est aussi prête à en payer le prix. Mais je continue de penser qu’il y a un public lassé par les mensonges des grands médias et le n’importe quoi des médias « alternatifs ». Des gens qui, comme moi, ont dépassé le stade de la « dissidence », ou qui ont toujours eu une saine et double méfiance à l’égard des médias du système et de « l’anti-système ». Je pense que nous avons une fenêtre de tir étroite mais qui existe. Ce qui risque de nous manquer, c’est le temps de constituer ce public. Nous vivons une véritable course contre la montre pour ne pas couler. Si mon pari échoue, tant pis, je ferai autre chose. Je ne vis pas pour être sous le feu des projecteurs. Mais je ne veux pas partir sans avoir défendu de toutes mes forces cette position : un média est véritablement libre lorsqu’il est capable de dire ce que ceux qui le financent ne veulent pas entendre. Aujourd’hui, je peux dire que le Média pour Tous est un média libre.

Le Média pour Tous ici : https://lemediapourtous.fr/

Revue Elements

Pr Peyromaure de l’hôpital Cochin à Paris : « Des millions de Français ont été vaccinés pour rien ! »

Articles : Dec. 2021Nov. 2021 – Oct. 2021Sept 2021Aout 2021

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Dans cette vidéo (voir ci-dessous), le Pr Michaël Peyromaure, chef du service d’urologie de l’hôpital Cochin à Paris et auteur de « Hôpital, ce qu’on ne vous a jamais dit » aux éditions Albin Michel, répondait à Sonia Mabrouk. Les questions portaient sur l’état de l’hôpital, le risque de saturation des hôpitaux, l’obligation vaccinale déguisée, le passe sanitaire ou passe vaccinal, le variant Omicron et la vaccination des enfants de 5 à 11 ans.

« Moi, je considère que le passe sanitaire sur le plan fondamental est une espèce de discrimination, c’est-à-dire qu’on autorise certaines personnes à avoir recours à certaines activités sur un critère médical. Le principe me heurte et ça devrait être une mesure d’exception, or on constate que ça va durer. A titre personnel je ne suis pas très favorable au passe sanitaire. »

Loin de la langue de bois, le Pr Peyromaure assure dans des propos explosifs que « le reproche qu’on peut faire au passe sanitaire et donc bientôt au passe vaccinal, c’est qu’il y a des millions de gens qui se sont fait vacciner pour rien parce qu’ils ne sont pas à risque. Tous les jeunes, par exemple, tous les gens qui ont 40-50 ans. […] il aurait fallu cibler les gens à risque et laisser le virus circuler chez tous les autres. »

A la question les non-vaccinés sont-ils responsables de l’engorgement des hôpitaux, sa réponse est « Non je crois qu’il faut attribuer le délitement de l’hôpital à tous nos politiques à tous nos gouvernants successifs de droite de gauche et du centre qui n’ont rien fait pour sauver cette institution […] toutes les mesures qui ont été prises ces dernières années pour l’hôpital sont allées dans le même sens, c’est-à-dire une gestion très comptable, très rigide. Le pouvoir a imposé à l’administration la mise au pas des soignants, la mise à l’écart de notre mission de soins. »

Le professeur pointe l’état de son service et ses conséquences catastrophiques : « Notre service d’urologie à l’hôpital Cochin a toujours 50 % de ses salles d’opération fermées, faute d’infirmières de bloc, ce qui est tout à fait considérable parce que nous déprogrammons chaque semaine des patients. On estime que ces derniers mois on a dû reporter ou annuler 380 interventions chirurgicales rien que dans notre spécialité. »

Média en 4-4-2

Hongrie. Un garde-frontière : « Quand l’Europe de l’Ouest sera perdue c’est à ce moment-là qu’ils se rendront compte avec stupeur que nous avions vraiment raison »

Articles : Dec. 2021Nov. 2021 – Oct. 2021Sept 2021Aout 2021

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Depuis plusieurs années, notamment la crise migratoire de 2015, la Hongrie est l’un des points chauds de l’immigration illégale en Europe, en provenance de la Serbie et des Balkans.

Parmi les communes les plus touchées par le phénomène, le village frontalier de Ásotthalom, dont le maire nationaliste László Toroczkai avait fait grand bruit en réclamant le premier l’érection d’une protection physique à la frontière.

Suite à l’érection du grillage frontalier entre la Hongrie et la Serbie, le flot de migrants en transit par la Hongrie a quasiment cessé, même si régulièrement des groupes de migrants continue de tenter leur chance. Les événements récents en Afghanistan ont ainsi envoyé un signal à de nombreux candidats à la migration (pas uniquement Afghans), ce qui se ressent jusqu’à la frontière serbo-hongroise.

 Breizh Info était en Hongrie et a rencontré un garde champêtre de la commune rurale de Ásotthalom, qui assiste les forces de l’ordre dans l’interception des migrants, aussi bien à la frontière que dans la commune même pour ceux d’entre eux qui ont traversé avec succès le grillage.

Breizh-info.com : En quoi consiste votre travail ? A quoi ressemble une journée de travail pour vous ?

Sándor Nagy : En pratique, nous n’avons pas d’horaires. Ce qui veut dire que nos téléphones de service sont branchés 24 heures sur 24. Dès qu’un signalement nous parvient, nous nous rendons aussitôt sur le terrain et partons à la recherche des intrus.

Breizh-info.com : Ces dernières semaines ou ces derniers mois, voyez-vous le nombre des migrants augmenter ? Ceux qui réussissent à passer la clôture, ils font comment ?

Sándor Nagy : Les chiffres des trois ou quatre derniers mois font apparaître qu’en termes d’immigration illégale, nous sommes revenus au niveau de 2015. Une masse énorme se dirige vers nous. En général, la technique qu’ils emploient, c’est d’escalader la clôture au moyen d’échelles. Certains creusent aussi des trous : il y a moins de deux semaines de cela qu’on a encore découvert un tunnel ; mais la technique la plus employée reste l’échelle. Je dois hélas reconnaître que ceux qui ont déjoué la clôture représentent une assez grande partie des intrus présents sur le territoire national. Il existe un réseau de passeurs qui fonctionne très bien, si bien que ceux qui réussissent à traverser le système de protection des frontières hongroises sont très nombreux – après quoi, ils continuent leur route vers l’Europe de l’Ouest.

Breizh-info.com : Qu’est-ce qui vous a motivé à choisir ce travail consistant à garder la frontière ?

Sándor Nagy : C’est le maire de mon village qui m’a demandé de m’en charger. Au début, ça m’a fait un peu peur, je n’étais pas sûr d’être à la hauteur, mais les années qui se sont écoulées depuis lors ont démontré que je l’étais, et je suis fier de ce travail.

Breizh-info.com : Question de nature politique : avez-vous l’impression d’être soutenu dans votre travail par le gouvernement hongrois et par l’UE ?

Sándor Nagy : J’ai l’impression que même le gouvernement hongrois ne nous soutient pas suffisamment. Je dirais que nous aurions besoin d’être soutenus davantage, ne serait-ce que pour pouvoir opérer avec un effectif plus important. S’agissant de l’UE, je n’ai pas l’impression qu’on reçoive le moindre soutien. Comme c’est l’UE qui a provoqué la pression migratoire à laquelle nous sommes soumis, on peut dire que tout ce que l’Union a fait, c’est de nous compliquer le travail, car Angela Merkel, en encourageant ces masses d’envahisseurs à prendre la direction de l’Europe de l’Ouest, a créé un énorme surplus de travail, et a fait du pays où nous vivons un endroit beaucoup plus dangereux qu’il ne l’était auparavant.

Breizh-info.com : Quel message souhaiteriez-vous faire parvenir aux français et aux européens qui regarderont cette interview ? Dans les médias occidentaux mainstream, le refrain est encore et toujours que les Hongrois sont de méchantes gens qui défendent leurs frontières et s’adonnent à la chasse aux migrants. Quel message souhaiteriez-vous faire parvenir à ceux qui lisent la presse mainstream en Europe de l’Ouest, et n’entendent dire que pis que pendre à propos de la Hongrie ?

Sándor Nagy : Mon message à l’usage des Européens de l’Ouest, c’est que le temps nous donnera raison. Un beau jour, ils se rendront compte avec stupeur que ce que nous autres faisons en ce moment, ou essayons de faire, c’est finalement une bonne chose. Quand l’Europe de l’Ouest sera perdue – se sera perdue –, c’est à ce moment-là qu’ils se rendront compte avec stupeur que nous avions vraiment raison. Et qu’ils auraient dû nous aider à défendre vraiment la frontière. Nous ne sommes pas des racistes, ni des xénophobes. Nous nous permettons juste d’aimer notre patrie, nous défendrons cette patrie à tout prix, et je pense que c’est ce que les sociétés d’Europe de l’Ouest devraient elles aussi faire.


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