« Connard, va sucer la bite à ton chef ! » : Stanislas Rigault agressé verbalement par Alexis Corbière et Raquel Garrido dans les coulisses de #FaceàBaba (MàJ : Christine Kelly dénonce des « propos mensongers » de la part de Corbière)

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17/12/21

Christine Kelly dénonce des propos mensongers de la part de Corbière :

La réaction de Raquel Garrido :

Le droit de réponse de Corbière :

Extrait de l’agression :

Des propos jugés homophobes ? Stanislas Rigault témoigne

16/12/21

Alexis Corbière porte-parole de Jean-Luc Mélenchon, interpelle en direct Stanislas Rigault, président de Génération Z :

Éric Zemmour chez Cyril Hanouna

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Invité à Face à Baba sur C8, Eric Zemmour répond à Cyril Hanouna, ainsi qu’aux différents intervenants de l’émission.

00:00 – Éric Zemmour face à Cyril Hanouna

11:36 – Éric Zemmour face à Mathieu Kassovitz

22:07 – Éric Zemmour face à Aymeric Caron

39:23 – Éric Zemmour face à Éric Naulleau

51:43 – Éric Zemmour face à Élisabeth Moreno

1:24:07 – Éric Zemmour face à Karim Zéribi

1:41:03 – Éric Zemmour face à Charlotte d’Ornellas

1:57:49 – Éric Zemmour face à Alexis Corbière

2:19:00 – Éric Zemmour face à Christine Kelly

2:30:04 – Éric Zemmour face à Éric Revel

2:43:24 – Éric Zemmour face à Mathias Wargon

3:03:18 – Éric Zemmour face à Stanislas Rigault

Politique des villes, sécurité, taxes : quels impacts sur les choix immobiliers des Français ?

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À l’heure où la campagne présidentielle prend son élan, Liberkeys dévoile une étude inédite, réalisée en partenariat avec Poll&Roll, sur le rôle de la politique des villes dans le choix de logement des Français. Cette étude a été menée entre le 25 et 29 juin 2021 auprès de 1000 personnes, âgées de 18 à 65 ans, représentatives de la société française.

Augmentation de la taxe foncière, un fort motif de déménagement

En France, 58% des ménages sont propriétaires et donc soumis à la taxe foncière. En dix ans, cet impôt local (hors taxe sur les ordures ménagères) a augmenté en moyenne de près de 28%*, soit trois fois plus vite que les loyers (+9,7%) et l’inflation (+8,9%). Les propriétaires sont de plus en plus inquiets, et pour cause : de nouvelles hausses sont à prévoir, de nombreuses collectivités envisageant – si ce n’est déjà fait – d’augmenter les taux pour compenser les pertes de taxe d’habitation.

Toutefois, si la hausse devait se poursuivre, nombre de villes pourraient voir les Français les déserter. En effet, d’après l’étude, une taxe foncière trop élevée, ou jugée telle, constitue un sérieux motif de déménagement. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. 12% des Français, soit plus d’1 sur 10, pourraient envisager de quitter leur ville si la taxe foncière augmentait entre 0 et 9%, et même 33%, soit près d’1/3, si cette dernière connaissait une envolée entre 10 et 49%.

Il n’en reste pas moins que pour 15% des Français, une hausse de la taxe foncière ne justifierait pas un déménagement. On notera également que les chiffres, en ce domaine, sont plus ou moins identiques dans toutes les régions.

Des Français attentifs à la politique conduite dans leur ville

Attentifs à la taxe foncière, les Français le sont aussi, plus globalement, vis à vis de la politique menée dans leur ville. 67%, soit les 2/3, connaissent d’ailleurs la couleur politique de la municipalité dans laquelle ils résident.

En matière de politique locale, trois sujets en particulier sont au cœur de leur attention et de leurs attentes : la sécurité (54%), loin devant l’environnement (33%) et la propreté (30%). Si les chiffres peuvent varier en fonction des villes, ces trois thèmes demeurent récurrents quelle que soit la situation géographique. Ainsi, à Paris, la sécurité arrive en tête (58%) devant la propreté (37%) et l’environnement (27%). Dans le nord de la France, on retrouve toujours la sécurité en première place (52%), mais cette fois suivie de l’environnement (34%) et de la propreté (28%). Enfin, dans le Sud, comme dans la capitale, la sécurité se hisse au sommet du classement (56%), précédant dans le classement l’environnement (35%) et la propreté (30%).

La couleur politique de la ville : un critère de choix de résidence

Les Français attachent de la valeur à l’identité politique de leur ville. Cette dernière constitue en effet un critère de choix de résidence important, voire extrêmement important, pour 35% d’entre eux. Ce chiffre ne doit toutefois pas masquer les disparités régionales. S’il grimpe jusqu’à 47% à Paris, dans le nord et le sud de la France, respectivement 72% et 64% des habitants n’accordent pas une grande considération à la couleur politique de leur municipalité.

Fidèles à leurs convictions, 42% des Français seraient prêts, malgré tout, à déménager si l’action politique menée dans leur ville s’avérait contraire à leurs valeurs. Ce chiffre atteint même 58% à Paris, contre 35% dans le Nord et 43% dans le Sud.

* Source : Observatoire national des taxes foncières (15e édition) de l’Union nationale des propriétaires immobiliers (Unpi)

 Breizh-info.com

Aux Sables-d’Olonne, la statue de saint Michel condamnée à être déboulonnée et une statue de la Vierge vandalisée

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Le sort de la statue de saint Michel avait fait grand bruit, il y a un mois. Le jugement vient de tomber comme un couperet. Le tribunal administratif de Nantes a décidé d’annuler la décision par laquelle Yannick Moreau, le maire des Sables-d’Olonne, a refusé que la statue soit retirée du domaine public. La ville a six mois pour la démonter. Ce jugement fait suite à l’affaire initiée par la Libre Pensée choquée par ce saint qu’elle ne saurait voir – rappelons-le comme cela a beaucoup été repris – sur la place Saint-Michel, devant l’église Saint-Michel, devant l’auditorium Saint-Michel, au cœur du quartier Saint-Michel… Le verdict tombe, mais le combat continue. Le maire ne se laissera pas faire : « Au nom du bon sens et de la ville des Sables-d’Olonne, j’ai décidé ce matin de faire appel du jugement du tribunal administratif de Nantes et de demander, dans l’attente de la décision d’appel, un “sursis à exécution”. Les tribunaux de notre pays ont pourtant autre chose à faire que d’instruire les demandes abusives de laïcistes radicaux complices de la cancel culture qui cherchent à déboulonner un par un les attachements culturels millénaires qui ont forgé notre identité collective. Au lendemain d’un acte de vandalisme inacceptable sur une statue municipale de la Vierge Marie et à la veille des fêtes de Noël, ces attaques contre nos racines et notre culture chrétiennes sont insupportables. »

Un symbole fort qui s’ajoute à un autre aussi symptomatique de notre époque laïcisée, au mauvais sens du terme. Puisque, dans la nuit de mardi à mercredi, une statue de la Sainte Vierge a été descellée, jetée sur le chemin et brisée complètement. Celle-ci avait été offerte par des riverains qui venaient régulièrement la fleurir et la prier au pied du calvaire municipal du parc de la Jarrie. Malheureusement, cet acte de malveillance n’est pas le premier. Des excréments avaient déjà été retrouvés au même endroit. Pour Yannick Moreau, « c’est un acte barbare et inacceptable. Nos racines et notre culture chrétienne méritent le respect. » Il annonce déposer plainte au nom de la ville des Sables-d’Olonne.

À quelques jours de Noël seulement, s’attaquer à saint Michel et à la Sainte Vierge, que l’on soit croyant ou pas, est un symbole fort qui vient encore meurtrir les chrétiens. Acte de folie ou de christianophobie, si l’on ne connaît pas encore les ou l’auteur(s) de cet acte de vandalisme, le message envoyé est agressif, on ne brise pas une statue de Marie de manière anodine. Il est grand temps que la Vendée se réveille et défende farouchement ses racines, son Histoire et ses valeurs, qu’elle retrouve le sens de son double cœur.

Boulevard Voltaire

Annulation de la conférence de Marine Le Pen à l’ESCP : les associations de gauche interdisent le débat d’idées

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L’association Tribunes ESCP, qui organise des conférences des candidats à la présidentielle au sein de la prestigieuse école de commerce, avait invité Marine Le Pen. La direction de l’école vient de faire savoir que cette conférence était reportée, essentiellement pour des raisons d’ordre public. Les associations de gauche, pourtant ultra-minoritaires dans l’établissement de 700 étudiants, ont donc eu la peau du débat d’idées à l’ESCP, connue comme la plus vieille école de commerce du monde. En France, à quelques encablures de la Sorbonne, la disputatio n’a plus droit de cité. La méthode du chantage à la violence et au chaos, méthode anarchiste tout autant que mafieuse, a fonctionné. À l’ESCP, l’association Tribunes propose en cette année présidentielle d’inviter tous les candidats à venir s’exprimer devant les élèves : fin septembre, Jean-Luc Mélenchon est venu parler sans heurts ni tapage. Comme nous l’explique Hippolyte Vérac, cofondateur de l’association Les Grandes Écoles avec Zemmour, pas un membre de cette association n’aurait eu l’idée d’interdire un candidat de s’exprimer. Au contraire, nous dit-il, nous avons, courtoisement mais fermement, participé au débat. Un autre invité a pu s’exprimer. Vendredi 10 décembre, il est un peu plus de 13 heures quand le nom de cet invité spécial de l’association Tribunes de l’ESCP est dévoilé : il s’agit d’Éric Zemmour. Le candidat à l’élection présidentielle interviendra le soir-même devant les étudiants, ceux qui formeront demain les bataillons de l’élite financière et entrepreneuriale française. Zemmour ? Stupeur et tremblements ! Les associations gauchistes, woke, féministes et LGBT du campus ont à peine le temps de s’organiser : si elles peinent à troubler la conférence, qui a bien eu lieu, elles entendaient faire suffisamment « le buzz » pour interdire l’expression de tout candidat portant une parole dérangeante, comme le fut celle d’Éric Zemmour abordant, ce jour-là, la propagande des associations LGBT dans l’Éducation nationale.

Franck Bounois, le directeur de l’ESCP, a tenu à envoyer à ses élèves une vidéo où il prend ses distances avec les propos d’Éric Zemmour : « Je réitère ma condamnation ferme de ces propos […] je tiens à la neutralité partisane de l’ESCP et les valeurs qui nous engagent ne sauraient être déconnectées de nos décisions. » Puis, évoquant « la question extrêmement brûlante des limites à la liberté d’expression », il affirme vouloir « maintenir ce cycle de débats en renforçant les mesures destinées à garantir la sécurité de notre communauté, la sérénité des débats et le respect de nos valeurs […] ces rencontres organisées par et pour les étudiants ont vocation à développer leur esprit critique et leurs capacités de discernement […], nos valeurs de diversité et, j’insiste, de pluralisme, seront explicitement rappelées au début de chaque rencontre de ce cycle présidentiel. » Le directeur de l’ESCP a, semble-t-il, été dépassé par sa gauche…

En 2011, il y a dix ans donc, Marine Le Pen avait déjà dû renoncer au dernier moment à tenir une conférence à l’université de Paris Dauphine à l’initiative de l’association Dauphine Discussion Débat. Un de ses membres disait alors à un journaliste du Point : « L’association est apartisane, on n’est pas du tout pro-Front national, mais comme on croit au débat et à la démocratie, on est tout à fait prêt à recevoir Marine Le Pen. » Dauphine avait reçu, à l’époque, Jean-Pierre Chevènement et Dominique de Villepin. Là encore, c’est par la violence que le débat avait été empêché : un membre de Dauphine Discussion Débat avait même reçu un coup de poing en pleine figure. Tout un symbole.

Marie d’Armagnac, Boulevard Voltaire

Chez Hanouna, Zemmour vise une génération bien plus patriote qu’on ne le croit

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Éric Zemmour, le dynamiteur. C’est ce titre explosif que l’animateur vedette de la chaine C8 Cyril Hanouna a choisi pour présenter les deux heures passées, ce jeudi 16 décembre, à compter de 20 h 45, avec le candidat à la présidentielle dans son émission « Face à Baba ». Comme jadis dans les arènes de l’Empire romain face aux gladiateurs stars, l’inénarrable Baba (le surnom que se donne lui-même Hanouna) a organisé dix duels. Dix personnalités affrontent, l’une après l’autre, Éric Zemmour. Parmi les duettistes, deux phénomènes parmi ce qu’on fait de pire en termes de logorrhée idéologue et déconnectée du réel : l’écologiste radical Aymeric Caron et le cinéaste d’ultra-gauche Mathieu Kassovitz. Hanouna a promis « des énormes duels ». Le spectacle se nourrit de la politique, qui se nourrit elle-même du spectacle.

Évidemment, les téléspectateurs qui ont gardé la mémoire des duels cultivés mêlant Franz-Olivier Giesbert, Alain Duhamel ou Jean-Pierre Elkabbach côté journalistes, Valery Giscard d’Estaing, Mitterrand et autres Balladur du côté des élus, risquent de se frotter les yeux. Mais voilà, Cyril Hanouna est la coqueluche d’un public jeune. Or, ce public bascule crescendo vers la droite avec armes et bagages, sans le moindre complexe. Parmi tous les malheurs de la gauche, qui a tant voulu incarner la jeunesse, celui-ci est peut-être le plus cruel. Le Journal du dimanche de ce 12 décembre se penchait, via un sondage IFOP, sur le vote des 18-30 ans. Résultat : ces jeunes adultes plébiscitent… Marine Le Pen. Avec 20 % des intentions de vote de cette classe d’âge, elle arrive juste derrière Emmanuel Macron (25 %), suivie par… Éric Zemmour (12 %), avant Jean-Luc Mélenchon (11 %) et Valérie Pécresse (10 %).

Après Emmanuel Macron, qui a fait quelques apparitions dans l’émission d’Hanouna, Zemmour a compris qu’il avait là, à portée de main, un réservoir de voix. Charge à lui de sensibiliser cette classe d’âge aux défis d’une civilisation menacée de disparition, aux enjeux graves de la culture et du visage de la France de demain. Un vrai défi pour ce candidat intellectuel de 63 ans. Les sondages diront, ces prochains jours, s’il a réussi à convaincre les 18-30 ans.

Reste ce motif d’étonnement. Comment cette population biberonnée par la gauche dès le berceau, dès ses premiers pas à l’école primaire et jusqu’à la sortie des études supérieures, a-t-elle pu ainsi basculer vers le tandem Le Pen-Zemmour ? Ensemble, les deux candidats aspirent une voix jeune sur trois, soit autant que la gauche tous candidats confondus. Comment ces 18-30 ans ont-ils échappé au rouleau compresseur idéologique actif dans l’enseignement, les médias, la culture, les livres, le cinéma, le spectacle, le sport, dans toutes les strates et tous les compartiments de leur vie ? Comment ont-ils résisté à cette culpabilisation permanente et appliquée de la part du « camp du bien » ? Il y a là, pour la gauche, qui a décidé une fois pour toutes que la jeunesse, c’était elle, un ratage pathétique né de sa déconnection du réel. Chez Hanouna, Zemmour parle à une population qui a définitivement repoussé le prêt-à-penser et qui cherche encore l’issue du labyrinthe mondialiste, gnangnan et manipulatoire dans lequel on l’a perdue. Marine Le Pen comme Zemmour ont devant eux un boulevard… s’ils savent trouver les mots.

Marc Baudriller, Boulevard Voltaire

Vous avez remarqué ? On ne peut plus se soigner en France, le moindre RDV prend des mois

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La tiers-mondisation de la FRONSSE, loin des plateaux télés de Paris intra muros, se mesure très concrètement par des indicateurs que tout le monde connaît et dont aucun politicien français ne parle.

Le dermato est un classique fronssé.

Mais ce classique s’est généralisé.

Je précise, pour les Français qui me lisent, que l’idée, fort tentante, de se dire, « mais c’est comme ça partout ! » est non seulement fausse, mais ignoblement puante de communisme mental dégénératif.

Non, ce n’est pas « pareil partout ».

Ce n’est pas un problème de campagne. La saturation est générale et affecte les villes comme les campagnes. Ce qui se produit, c’est que la FRONSSE a un système médical conçu pour un pays racialement homogène de 55 millions d’habitants.

Jusque dans les années 80, le système de santé français était encore assez performant et globalement équilibré.

Entretemps, que s’est-il passé ?

Vous avez une idée ?

[…]

Merci à D.P.

Macron annonce la couleur : il veut encore plus d’immigrés africains en France

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Quelle mascarade ! Nous avons assisté à la plus belle pièce de théâtre du quinquennat, au cours de laquelle un président au bilan nullissime, qui n’a cessé de mépriser et d’insulter le peuple durant son mandat, a voulu nous convaincre qu’après cinq années d’exercice, il avait appris à aimer la France et les Français ! Mais qui serait assez niais pour croire à ces sornettes ?

Ce n’était pas « Où va la France », mais « Qui est Macron » ? Ce bonimenteur hors pair nous a infligé ses états d’âme, en nous vantant son bilan calamiteux, alors que la France va dans le mur.

Interrogé par deux journalistes béats d’admiration, craignant à longueur d’interview de mettre le président en difficulté avec une question qui dérange, Macron a pu donner libre cours à ce qu’il sait faire de mieux : un formidable exercice d’autosatisfaction. 

Il est donc entré en campagne hier soir, en exploitant ses grands talents d’illusionniste.

La France est en faillite avec 3000 milliards de dettes, ruinée par l’immigration, elle est au bord de la guerre civile avec une majorité de jeunes musulmans qui placent la charia au dessus de la loi républicaine, tous nos services publics sont exsangues, nous détenons le bonnet d’âne de l’UE dans tous les domaines, mais Macron estime que la France est dans un meilleur état qu’en 2017 et qu’il faut poursuivre la même politique !

La crise sanitaire ? Pas un seul mea culpa sur le désastre de 2020, quand la France a manqué de tout, quand les hôpitaux ont pratiqué le tri des malades, quand les personnes contaminées ont été renvoyées chez elles avec du Doliprane, quand on a achevé les vieillards à coup de Rivotril.

Le chômage ? Soi-disant au plus bas depuis 15 ans, alors que nous sommes dans le peloton de queue de l’UE, avec 8% de sans emploi. 

La dette de 3 000 milliards ? Le déficit budgétaire record, le déficit de la balance commerciale de 100 milliards, le taux des prélèvements le plus fort de l’OCDE, tout cela est accessoire. Car il vaut mieux s’endetter à raison de 45 000 euros par citoyen, bébés compris, que de casser la reprise !

Les insultes au peuple français, traité de moins que rien, d’alcoolique, d’illettré ou de fainéant ? Certes, il ne le referait pas, mais pas un mot d’excuses. Pour Macron, il ne faut pas sortir ces petites phrases de leur contexte.

Les images dégradantes de Saint-Martin ? Choquant, car il faut protéger la fonction présidentielle. Mais ne fallait-il pas y penser avant ? Ce fut en fait une perte de contrôle de soi impardonnable, qui en dit long sur ce président immature, qui nous a humiliés et ne s’en excuse pas.

Affaire Benalla ? Macron minimise les faits, nie qu’il y ait eu un Etat parallèle, alors que les commissions d’enquête parlementaires ont été sabotées et que les preuves ont été escamotées. Pour lui, tout cela  a fait pschitt car il n’y avait rien à cacher. Ce ne fut pas une affaire d’Etat.

Les Gilets jaunes. L’Episode du Puy en Velay. L’Arc de Triomphe saccagé. Les Français ont eu peur, la foule peut devenir dangereuse. Mais pas un mot sur sa responsabilité. Après avoir insulté et méprisé le peuple, après avoir attisé la colère, Macron dénonce la violence ! Mais à qui la faute ?

Les réformes. Macron se pose en grand réformateur, ayant créé 1 million d’emplois, ayant développé l’apprentissage et diminué le nombre de faillites ! Il a préparé la France à la guerre technologique du futur, à l’innovation, au défi climatique. Il a réformé l’école, la maternelle, le Bac. Il a réformé le Code du travail et le chômage. Bref, tous les voyants sont au vert !

Les retraites ? Il faudra faire cette réforme en repoussant l’âge de départ et en simplifiant les 42 régimes actuels. Il faut travailler plus pour produire plus.

Le pouvoir d’achat ? Il a augmenté selon l’Insee. Macron oublie que nous avons toujours 10 millions de pauvres et 400 000 SDF.

Les armées ? Pour Macron, nos armées ont retrouvé leur rang, alors que le budget défense n’est que de 40 milliards, 4 fois moins qu’en 1960 proportionnellement, et que la France peine à soutenir son engagement au Sahel sur la durée.

Samuel Paty ? Un moment de sidération qui a touché tous les Français.

L’islam ? Il faut combattre l’islam politique et la haine. C’est un combat culturel et civilisationnel. Nous avons fermé des mosquées, des écoles coraniques, des associations. Pas d’amalgame entre islam et séparatisme. Les musulmans doivent respecter la loi républicaine. Si on vit dans la peur de l’Autre, si le problème c’est l’étranger, alors ce sera la guerre civile.

Mais pas un mot sur les 75% de jeunes musulmans qui placent la charia au dessus de la République. Pas un mot sur le bilan des attentats, alors que la France totalise 44% des attentats islamiques en Europe et 42% des victimes.

Le Grand Remplacement ? Les démographes le nient. Si l’intégration pose problème c’est pour des raisons économiques. Il faut intégrer par l’école et le travail. Il faut supprimer les ghettos.

L’immigration est appelée à augmenter. Nous en avons besoin. Il faut aussi aider l’Afrique.

Eternel discours mondialiste qui refuse de voir le ratage de l’intégration et l’explosion de l’insécurité.

L’insécurité ? Macron a créé 10 000 postes de policiers et gendarmes. Mais pas un mot sur les 1000 agressions et les 120 attaques au couteau par jour. Pas un mot sur les attaques de commissariats, sur les 100 000 viols annuels, sur les 45 000 voitures brûlées, sur les violences envers les forces de l’ordre, les enseignants, les policiers, les pompiers, les personnels soignants, les femmes, etc.

La justice ? Sur les 15 000 places de prison promises, seules 2200 ont été construites.

Et Macron de conclure qu’après cinq années de pouvoir, il a appris à aimer la France et les Français ! Quelle hypocrisie ! 

Où va la France ? Dans le mur, car Macron n’a aucunement l’intention de modifier sa politique mondialiste et immigrationniste qui nous détruit.

Après cette interview sans intérêt, quelques leaders politiques se sont succédé pour analyser l’émission.

Je n’ai retenu que l’intervention de Zemmour, la plus percutante et la plus logique comme toujours.

https://actu.fr/politique/emmanuel-macron-sur-tf1-covid-19-retraites-candidature-ce-qu-il-faut-retenir-de-l-interview_47264265.html

« Emmanuel Macron est l’homme du Grand Remplacement et du grand déclassement. Nous avons 2 millions d’immigrés en plus. Les Français ressortent appauvris de ce quinquennat, comme nos entreprises. L’école s’effondre dans les classements internationaux. Encore un quinquennat pour rien. »

Tout est dit.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

Dans un guide interne la Commissaire européenne à l’égalité interdit d’employer les mots « Noël », il a été retiré et sera retravaillé (MàJ : le guide devait recevoir un prix, Défense de Noël au Parlement européen)

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16/12/2021

Les « Joyeux Noël » affrontent les « Bonnes fêtes » :

François-Xavier Bellamy : “Nier ce qui nous relie, c’est détruire toute possibilité d’appartenir à une culture commune. Joyeux Noël.”

Le Parlement européen s’est divisé en deux camps, d’un côté, les « Joyeux Noël ! », de l’autre, les « Bonnes fêtes ! » On a les batailles sémantiques qu’on peut à Strasbourg à l’approche du 25 décembre, après l’affaire du « guide inclusif » élaboré puis promptement retiré par la commissaire maltaise Helena Dalli. L’autrice a surtout brillé par son absence, n’osant pas affronter la bronca des parlementaires chrétiens-démocrates du PPE. Ceux-ci ont imposé ce débat sur leur créneau parlementaire. Les autres partis de la majorité, sociaux-démocrates et Renew, n’avaient pas vraiment souhaité marquer le coup. Les Verts, très favorables au langage inclusif, y étaient farouchement opposés.

Helena Dalli n’était donc pas présente dans l’hémicycle pour expliquer son raté.

Le Point


Helena Dalli est aux abris. Depuis qu’a éclaté, fin novembre, la polémique autour du guide sur la communication inclusiveelle se fait très discrète. Cette femme de 59 ans, à la longue chevelure brune, a refusé toutes les demandes d’interviews en face-à-face. Elle a néanmoins accepté de répondre aux questions écrites du Figaro: «En aucun cas, nos recommandations étaient contraignantes ou imposaient une quelconque manière de penser, d’agir ou encore de parler des citoyens européens», se défend-elle, affirmant aussi qu’on ne peut pas lui «faire le procès de vouloir bannir le mot Noël».

Pour autant, elle n’a pas l’intention de renoncer à son projet. « Ce qui importe c’est de réfléchir et de proposer une nouvelle méthode de travail, plus rigoureuse et inclusive pour nos futures lignes de communication. »

Le guide devait recevoir un “Clear Writing Awards” :

Les dommages auraient pu être bien plus importants encore. Selon nos informations, ce guide devait recevoir, le 3 décembre, un «clear writing awards». Ce prix interne à la Commission, piloté par la direction générale de la traduction, est décerné chaque année aux «documents dont la rédaction est la plus lisible». In extremis, le document a été retiré de la liste des gagnants

Le Figaro


02/12/2021

Abnousse Shalmani dézingue la commissaire européenne à l’égalité Helena Dalli après le retrait du document sur les lignes directrices sur la communication inclusive

30/11/2021

Le document a été retiré, il sera retravaillé

Helena Dalli est la commissaire chargée de l’égalité, qui renforce l’engagement de l’Europe en faveur de l’inclusion et de l’égalité et dirige la lutte contre la discrimination.

L’intégration de l’égalité signifie que tous les produits doivent prendre en compte la dimension de l’égalité, y compris la communication.

Alors que nous nous dirigeons vers une #UnionOfEquality je suis fier de lancer les lignes directrices de la Commission européenne pour une communication inclusive.

Helena Dalli

Elle avait notamment reçu l’association proche des Frères musulmans, FEMYSO – qui sont notamment a l’origine de la campagne #JoyinHijab (Image ci-dessous) pour le Conseil de l’Europe –, provoquant la colère de Marlène Schiappa :

29/11/2021

Le document interne : #UnionOfEquality

Voir le PDF

L’Espagne, la Pologne et la Hongrie contre la langue “purificatrice” du document interne de la Commission européen. Salvini évoque : “Une folie”

La découverte par Il Giornale d’un document de la Commission européenne publié pour circulation interne et contenant des “lignes directrices pour une communication inclusive” suscite la controverse en raison des indications interdisant l’utilisation du terme “Noël”, des noms chrétiens tels que Marie et Jean, et de l’expression “Mesdames et Messieurs”, ce qui entraîne des interdictions paradoxales telles que “coloniser Mars” (la formulation correcte devrait être “envoyer des humains sur Mars”).

Un véritable vade-mecum du politiquement correct qui a provoqué des réactions d’indignation dans le monde politique italien. Si la leader de Fratelli d’Italia, Giorgia Meloni, a déclaré sans mâcher ses mots : “Trop c’est trop : notre histoire et notre identité ne peuvent pas être effacées”, le secrétaire de la Lega Nord, Matteo Salvini, a parlé de “folie” et le sous-secrétaire fédéral Lorenzo Fontana est allé encore plus loin : “Ce qui se passe dans cette Europe où l’on impose une dérive anthropologique et sociale de nos coutumes et traditions est quelque chose de monstrueux. Nous devons nous battre de toutes nos forces pour empêcher que cela ne se produise.

Pourtant, les folies de la “communication inclusive” de la Commission européenne ne s’arrêtent pas à Noël et à l’abolition des hommes et des femmes, mais embrassent toutes les sphères de la société, remettant en cause des principes tels que l’appartenance nationale et la famille.

Le document met en garde contre le risque d’offenser les “apatrides ou les immigrants” et demande que le terme “citoyen” soit évité car “tous les citoyens de l’UE ne sont pas des citoyens”, ce qui interdit de dire “tous les citoyens ont le droit d’être en sécurité”.

Enfin, la famille a également été attaquée, avec une invitation à ne pas décrire les personnes comme étant mariées ou célibataires et à “éviter de lier le concept de famille à un statut juridique”. Le principe est que personne ne doit se sentir offensé, sauf les chrétiens, ceux qui croient en la valeur de la famille et au respect de leur nation, envers qui tout est permis, même d’effacer des millénaires d’histoire.

Il Giornale


28/11/2021

Un document interne de la Commission européenne : pas d’utilisation de “Mlle ou M.”, plus de références religieuses et de noms chrétiens

S’ils nous l’avaient dit et que nous ne l’avions pas lu noir sur blanc dans une communication officielle de la Commission européenne, nous ne l’aurions pas cru car le contenu des nouvelles lignes directrices pour la “communication inclusive” est incroyable. Dans un document destiné à la circulation interne dont Il Giornale a eu l’exclusivité, intitulé #UnionOfEquality. Lignes directrices de la Commission européenne pour une communication inclusive, les critères à adopter pour les employés de la Commission en matière de communication externe et interne sont indiqués. Comme l’écrit la commissaire à l’égalité Helena Dalli dans l’avant-propos, “nous devons toujours proposer une communication inclusive, en veillant à ce que chacun soit valorisé et reconnu dans tous nos supports, indépendamment de son sexe, de sa race ou de son origine ethnique, de sa religion ou de ses convictions, de son handicap, de son âge ou de son orientation sexuelle”.

Pour ce faire, la Commission européenne établit une série de règles qui non seulement effacent les conventions et les mots utilisés depuis toujours, mais contredisent également le bon sens. Il est interdit d’utiliser des noms sexués tels que “ouvriers ou policiers” ou d’utiliser le pronom masculin comme pronom par défaut, il est interdit d’organiser des discussions avec un seul genre représenté (seulement des hommes ou seulement des femmes) et encore, il est interdit d’utiliser “Mademoiselle ou Madame” à moins que le destinataire de la communication ne le fasse explicitement. Mais ce n’est pas tout : vous ne pouvez pas commencer une conférence en vous adressant à l’auditoire avec l’expression habituelle “Mesdames et Messieurs”, mais vous devez utiliser la formule neutre “chers collègues”.

Le document s’attarde sur des domaines spécifiques tels que le “genre”, le “Lgbtiq”, la “race et l’ethnie” ou les “cultures, modes de vie et croyances”, avec un tableau indiquant ce qui peut et ne peut pas être fait, en se fondant sur la prétention de tout réglementer en créant un nouveau langage qui ne permet pas la spontanéité : “Veillez à ne pas toujours mentionner le même sexe en premier dans l’ordre des mots, ou à vous adresser différemment aux hommes et aux femmes (par exemple, un homme par son nom de famille, une femme par son prénom)” ; et encore “lorsque vous choisissez des images pour accompagner votre communication, veillez à ce que les femmes et les filles ne soient pas représentées dans un cadre domestique ou dans des rôles passifs alors que les hommes sont actifs et aventureux”.

Une volonté d’effacer le genre masculin et féminin qui atteint des niveaux paradoxaux lorsque la Commission écrit que nous devrions éviter d’utiliser des expressions telles que “le feu est la plus grande invention de l’homme” mais qu’il est juste de dire “le feu est la plus grande invention de l’humanité”. Il est clair que derrière la redéfinition de la langue se cache une volonté de changer la société européenne, nos coutumes et nos traditions, comme le montre le chapitre sur les “cultures, modes de vie ou croyances”. La Commission européenne tient à souligner qu’elle “ne considère pas que tout le monde est chrétien”, donc “tout le monde ne célèbre pas les fêtes de Noël (…) nous devons être sensibles au fait que les gens ont des traditions religieuses différentes”. Cependant, il y a une énorme différence entre respecter toutes les religions et avoir honte ou effacer les racines chrétiennes qui sont à la base de l’Europe et de notre identité.

Au nom de l’inclusivité, la Commission européenne va jusqu’à annuler Noël en invitant les gens à ne pas utiliser l’expression “la période de Noël peut être stressante” mais à dire “la période des vacances peut être stressante”. La volonté de supprimer le christianisme va encore plus loin avec la recommandation d’utiliser des noms génériques au lieu de “noms chrétiens”. Ainsi, au lieu de “Marie et Jean sont un couple international”, on devrait dire “Malika et Julius sont un couple international”. Cela va jusqu’au mépris du ridicule, qui nous oblige à contrer la connotation négative de mots comme colonialisme : il est interdit de dire “colonisation de Mars” ou “installation humaine sur Mars”, mais mieux vaut dire “envoyer des humains sur Mars”. Quand la tragédie cède la place à la farce.

Il Giornale

« Nous recevons 95 % d’hommes, souvent sans-papiers » : l’Armée du salut doit faire face à l’hostilité des riverains à Paris

Articles : Dec. 2021Nov. 2021Oct. 2021Sept 2021Aout 2021

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« Depuis le temps que c’est fermé, il fallait bien en faire quelque chose. Mais quand même… J’espère que ça n’attirera pas de problèmes de sécurité », raisonne avec prudence une habitante du 69, rue Saint-Fargeau à Paris (XXe). « Un accueil ? Quel accueil ? Ce n’est absolument pas ce qu’on nous a dit, et d’abord il faudrait l’accord de la copropriété ! » fulmine en revanche une autre copropriétaire de cette résidence arborée, en apprenant l’ouverture, en septembre 2022 après travaux, d’un accueil de jour de l’Armée du salut.[…]

« Nous pourrons proposer des choses que nous n’avions pas l’espace de faire, se réjouit Marie Giudicelli, et surtout nous créons deux salles de repos bien séparées, l’une pour les femmes, avec douches, sanitaires et espace hygiène, et une autre pour les hommes, qui restent très très largement majoritaires. Nous recevons 95 % d’hommes, souvent sans-papiers, et de plus en plus jeunes. »[…]

Une réunion d’apaisement contre les amalgames

Pour autant, le pari humaniste de l’Armée du salut semble loin d’être gagné. La présentation rassurante et l’aura historique de bonne réputation de l’association, créée il y a près de 150 ans, ne suffisent pas à emporter l’accord des voisins les plus proches : les 99 copropriétaires de l’ensemble immobilier. « On nous a réunis en urgence en septembre en évoquant des locaux purement administratifs, s’agace l’une de ces résidents. La question d’un accueil n’a jamais été posée, d’ailleurs il faudrait une assemblée générale extraordinaire et croyez-moi, cette chose ne se fera pas ! Je n’ai rien contre l’Armée du salut, mais il est hors de question qu’on nous impose un endroit qui amènera des gens qui boivent, de la drogue. Notre résidence a de l’allure, elle est bien cotée, on se saigne pour avoir un bien agréable, ce jardin… Vous imaginez ce que cela va devenir ? Nous n’en voulons pas. »

Face à cet avis de rébellion, l’Armée du salut et ses partenaires espèrent convaincre par « la transparence ». « Nous ne pouvons empêcher les gens de faire des amalgames, regrette Samuel Coppens, donc nous craignons forcément une hostilité des riverains. Mais ils doivent savoir qu’il n’est absolument pas question de salle de consommation de crack, comme nous l’avons entendu ! Notre volonté est d’être le plus clairs possible. Nous avons cette volonté farouche que l’accueil de jour soit un lieu de dignité et de service rendu, à la hauteur de la réputation de l’Armée du salut. » Une réunion d’information-concertation doit avoir lieu avant la fin du mois avec les habitants.

Le Parisien