Après les agressions sur des personnes au motif qu’elles s’exprimaient en euskara, lors du week-end des « non-fêtes » de la Saint Jean, élus et jeunes du gaztetxe réagissent
Il a été question, ce vendredi 2 juillet 2021 lors du Conseil municipal, des agressions contre des bascophones dans les rues de Saint-Jean-de-Luz, survenues le week-end précédent.
Comme révélé par nos confrères de « Mediabask », un homme a été molesté et envoyé à l’hôpital alors qu’il s’adressait en euskara à son frère, posté sur son balcon. La victime a été apostrophée par des « ici, on est en France » avant de subir une avalanche de coups, le blessant sérieusement, notamment à la jambe.
Lors de cette soirée, un groupe de filles subissait le même sort, pour les mêmes raisons apparentes.
Dans l’immédiat, il s’agit d’un rassemblement à l’appel du gaztetxe Donibane Ziburuko : « Le week-end dernier, une personne a été agressée parce qu’elle parlait en basque dans une rue de Donibane, rappelle-t-il dans son communiqué. Une violence que le gaztetxe dénonce fermement. Nous dénonçons aussi d’autres attaques contre notre culture et notre langue durant ce week-end. Nous appelons à un rassemblement mardi 6 juillet à 19 heures, place Louis-XIV. Ici, c’est le Pays basque, nous parlons et continuerons à parler basque ! »
01:49 L’image de la semaine Emmanuel Lechypre, éditorialiste de BFM, a provoqué l’émoi avec une déclaration aussi incohérente qu’hallucinante sur la vaccination.
06:01 CNews, Europe 1 : bataille pour la liberté d’expression Les journalistes ça ose tout, c’est à ça qu’on les reconnait ! Patrick Cohen, censeur assumé, dénonce le rapprochement entre CNews et Europe 1 dans un stupéfiant numéro d’enfumage. Pendant ce temps-là, de nombreux médias attaquent frontalement la rédaction de CNews en se focalisant particulièrement sur Christine Kelly et Laurence Ferrari.
37:03 Élections régionales : l’heure du bilan Ces élections ont été marquées par une abstention massive ainsi que par un gros revers pour plusieurs partis, dont le Rassemblement national.
Plus de 90 % des œufs consommés en France et en Allemagne proviennent d’élevages intensifs. Enquête sur le marché européen de l’œuf et du poulet, tentaculaire, opaque et parfois peu respectueux de l’animal.
Nous consommons en moyenne 230 œufs par an. Malgré un intérêt déclaré pour le bien-être animal, un grand nombre de personnes optent pour des œufs à bas prix. Si les conditions d’élevage des poules pondeuses restent mal connues, plus de 90 % des œufs consommés en France et en Allemagne proviennent d’élevages intensifs, que ce soit en cage, au sol (dans des hangars sans accès à l’extérieur), en plein air ou même bio. En France, l’élevage en cage – officiellement banni depuis 2012 par Bruxelles – représente encore 69 % de la production, et les conditions d’élevage au sol, polluantes et peu respectueuses des gallinacés, ne sont guère plus enviables…
Conditions indignes
Alors que le consommateur peut choisir l’origine des œufs en coquille, celle des œufs entrant dans la composition de gâteaux du commerce ou cuisinés, à la cantine ou au restaurant, elle s’avère plus difficile à contrôler : souvent importés, ils proviennent d’élevages en cage. Quant aux poules pondeuses, après avoir été abattues et congelées, elles inondent le marché africain à des prix dérisoires, aux côtés de poulets de chair dont on a ôté le blanc, prisé des Européens. Face à cette concurrence, l’ensemble du secteur avicole a ainsi périclité au Ghana. Législation européenne trop peu contraignante, publicité mensongère, dumping et hygiène douteuse… : de la Lettonie jusqu’en Afrique, ce documentaire coréalisé par Jens Niehuss (Le vrai coût de la viande pas chère) dévoile les secrets d’une industrie opaque et montre les conditions de vie indignes des poules qui nous nourrissent.
Le 26 juin, la commune de Saint-Brévin les Pins a eu la joie de découvrir une vingtaine de caravanes de nomades installée sur son terrain de foot. Ces derniers avaient précédemment été expulsés par décision du tribunal du terrain de rugby de Sainte-Marie-sur-Mer à Pornic, à quelques kilomètres de là.
Pour des raisons que tout le monde ignore la communauté ne souhaite pas s’installer à côté d’autres nomades sur l’aire légale et homologuée de Pornic. Celle-ci court donc les endroits illégaux. Suite à cette intrusion, la mairie de Saint-Brévin a porté plainte. Les nomades, quant à eux, s’estiment « dans leurs bons droits ». Afin de trouver une solution d’apaisement, la mairie a proposé à la communauté de s’installer sur un parking jouxtant la 4 voies. Refus des nomades. « Trop près de la route » apparemment…
A Saint-Nazaire, ce sont 150 caravanes qui se sont installées illégalement sur les terrains du Pré-Hembert, juste à côté du terrain de rugby. Là aussi la municipalité a porté plainte. Toutes les activités du club sont annulées.
Chaque année, des centaines de caravanes s’installent sur l’aire de grand passage de Trignac, à la sortie de l’agglomération de Saint-Nazaire, le long de la Nationale 171. Les riverains connaissent les tas d’ordures à l’issue de la saison, les automobilistes prenant de l’essence à la station-service jouxtant ce camp connaissent, quant à eux, la présence de dizaines d’enfants assis devant la caisse et la porte systématiquement fermée de la station…
L’épopée fulgurante des Doors, de la création du groupe jusqu’à la mort de Jim Morrison, retracée par le cinéaste Tom DiCillo (« Ça tourne à Manhattan ») à travers des images d’archives rares, tournées entre 1966 et 1971, et la voix de Johnny Depp. Le cinéaste Tom DiCillo (Ça tourne à Manhattan) exhume des images d’archives en partie inédites tournées entre 1966 et 1971.
Sur scène et en coulisses, il montre ainsi l’effervescence créatrice, les querelles, les interprétations habitées et les provocations à répétition qui ont émaillé l’histoire du groupe mythique formé par Jim Morrison, Ray Manzarek, Robby Krieger et John Densmore. La succession des images est entrecoupée d’extraits de HWY: An American Pastoral, un film expérimental réalisé par Morrison en 1969, qui en dit long sur sa personnalité. Brillant, torturé, accro aux paradis artificiels, l’ex-étudiant en cinéma a connu une ascension sulfureuse et une chute précipitée qui ont forgé sa légende. Violence et poésie L’intelligence du montage, la sensibilité injectée par Tom DiCillo, la voix vibrante de Johnny Depp, fan absolu des Doors, permettent à ce documentaire musical de renouveler un sujet maintes fois traité tout en restant fidèle à l’esprit du groupe. Il nous immerge dans un univers fascinant où le rock, la sueur, la poésie et la violence imprègnent les esprits d’une jeunesse en rupture, sur fond de guerre du Viêt-nam et de rébellion contre l’ordre établi.
Documentaire de Tom DiCillo (Etats-Unis, 2009, 1h22mn)
Un an avant les Présidentielles, la réforme des retraites ressurgit. Présentée comme salvatrice pour la relance économique du pays, elle l’est surtout pour le plan de relance acté à Bruxelles. Détail que se garde de souligner l’exécutif. Retour sur le jeu d’équilibriste d’Emmanuel Macron, entre idéologie et économies de bouts de chandelle.
«Macron se renie et applique une politique qu’il qualifiait lui-même d’injuste», réagit au micro de Sputnik l’économiste Philippe Murer.
Quelle mouche a bien pu piquer le locataire de l’Élysée, aujourd’hui favorable à un report de l’âge de la retraite à 64 ans? «Nous ne toucherons pas à l’âge de départ à la retraite ni au niveau des pensions», écrivaient pourtant en 2017 les Marcheurs, dans le programme de leur candidat à l’investiture suprême. «Bon courage, déjà, pour arriver à 62 ans», lançait Emmanuel Macron lors de son grand oral en avril 2019, «et il faut maintenant aller à 64 ans?» Deux ans plus tard, à moins d’une année des Présidentielles, Macron fait du Fillon.
Retraites, le piège européen se referme sur les Français
Pour Philippe Murer, l’explication d’un tel revirement au sommet de l’exécutif n’est pas à aller chercher bien loin: Bruxelles. «Il y a une chose qui est claire, il l’a promis à l’Union européenne en ayant signé le plan de relance de l’UE dont il est l’un des principaux artisans.» En effet, la reprise des «réformes structurelles» mises en suspend durant la crise conditionne l’obtention par la France des 40 milliards du plan de relance.
Ces fonds ne peuvent en effet être débloqués qu’après l’avis favorable de la Commission européenne, à laquelle l’Élysée a préalablement soumis sa copie. Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et des Finances, qui figure aujourd’hui parmi les plus fervents partisans de la réforme des retraites, insistait déjà en septembre dernier, sur le fait que «l’Union européenne, dans le décaissement de ces 40 milliards d’euros, veillera à ce que la France maintienne un certain nombre de réformes structurelles.» Le 13 juillet, ce sera ensuite aux ministres de l’Économie et des Finances des 27 d’entériner les plans de relance approuvés par la Commission.
Crise sanitaire, bon prétexte pour ressortir la réforme des retraites?
Des ministres derrière lesquels le Président de la République a beau jeu de s’abriter. «Il y a un travail qui est fait avec les membres du gouvernement», éludait tant bien que mal ce 1er juillet Gabriel Attal, sur le plateau de LCI, alors interrogé sur l’opinion du chef de l’État quant à la conduite de la réforme des retraites, à un moment où les Français sont à genoux par l’effet combiné des crises sanitaire et économique. Elle «aura lieu», confirme toutefois le porte-parole du gouvernement, qui pour sa part, s’abrite derrière les chiffres du dernier rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR). Celui-ci évaluait à 18 milliards d’euros le déficit en 2020 du système de retraites. Des chiffres biaisés?
«le système de retraite était à l’équilibre en 2018 et 2019 et c’est avec la crise sanitaire que le système est passé en déséquilibre en 2020 via cette gestion par le confinement», s’écœure Philippe Murer.
En somme, le déséquilibre dans les recettes (moins de prélèvements sociaux pour autant de pensions versées) des caisses de retraite, lui-même provoqué par les confinements successifs, est une aubaine pour justifier la réforme. La reprise économique pourrait gommer cet écart et, ironie du sort, c’est au nom de cette dernière que les membres du gouvernement plaident pour réformer les retraites, tout en prenant soin de défendre l’Union européenne.
Pour défendre l’UE, des ministres prêts à fabuler?
L’interview par L’Opinion d’Amélie de Montchalin en est une parfaite illustration. La ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, également candidate aux Régionales où sa liste a recueilli les suffrages de 3,29% des inscrits, martèle que cette réforme est avant tout effectuée par la France pour la France, s’attardant sur le fait que les exigences du traité de Maastricht n’entreront à nouveau en vigueur qu’en 2023.
«Nous faisons les choses pour nous-mêmes et pas pour d’autres!», insiste-t-elle, rappelant son passage en tant que «ministre» chargée des Affaires européennes. «Aujourd’hui ces règles [européennes, ndlr.] sont levées et tous les débats politiques que nous avons aujourd’hui montrent aux Français que nous les avons pour nous-mêmes!»
«Elle ment! La ministre ment, comme ils mentent souvent pour protéger l’Union européenne, qui impose des mesures sociales extrêmement dures aux Français», s’insurge notre intervenant. «C’est très injuste, d’autant plus que la moitié des Français arrivent aujourd’hui à la retraite en étant au chômage», enchaîne l’ex-conseiller économique de Marine Le Pen.
Lorsque cette dernière était candidate à la Présidence de la République, l’affirmation que près de la moitié des Français arriverait ainsi à la retraite en étant sans emploi était considérée comme une «exagération» par la des médias comme France info. Le contre-feu médiatique fut plus mesuré lorsque ce fut au tour de Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, de déclarer fin 2019 que «40% de ceux qui partent à la retraite n’ont déjà plus de travail.»
Pousser les gens à cotiser plus longtemps alors que le marché ne veut plus d’eux revient à provoquer une baisse de leurs retraites. Un raisonnement cynique, qui comme l’expliquait à Sputnik un ancien cadre de Bercy, permet ainsi à l’État de faire des économies via le versement de pensions amoindries.
Reste cependant à savoir si ces économies ne partiront pas en fumée. Comme le soulignent les partis d’opposition, comme la France insoumise ou le Rassemblement national, le remboursement de ces 40 milliards d’euros versés à la France après avoir été empruntés sur les marchés par la Commission européenne, pourrait en coûter 67 milliards aux contribuables français.
La « Woke culture » ou culture de la censure et de l’indignation à géométrie invariable (les victimes sont toujours les mêmes, les coupables idem) touche actuellement tout produit culturel de masse. Pourtant le cinéma français a longtemps été éloigné de ces préoccupations venant d’Outre-Atlantique. Breizh Info vous permet de découvrir ou redécouvrir quelques bijoux du cinéma à papa dont le visionnage donnerait des sueurs froides aux dames patronnesses du nouvel ordre moral
LA CAGE AUX FOLLES
Eh oui, la bien innocente comédie d’Edouard Molinaro sortie en 78 mériterait une totale réécriture. Dans cette rigolade d’une heure 35, les homosexuels sont toutes des folles aussi insupportables que touchantes tandis que Jacob, le domestique noir du couple Serrault-Tognazi joue le nègre de maison surjouant la soumission des plus belles heures de la coloniale. « Maîtwesse, maîtwesse, ne t’en vas pas maîtwesse » alternant avec « le petit maîtwe blanc m’a appelé ? » sur fond de tournages de croupions. Pas sûr que ça fasse rire nos petits délicats actuels…
LE CAVE SE REBIFFE
Le deuxième volet de la trilogie Max La Menace de Gilles Grangier et d’Audiard ! Tiré de l’immortelle « Série Noire » de Gallimard. Le ton général du film pourrait convenir à toutes les chapelles woke sauf le passage où « Le Dabe » (Jean Gabin) reçoit Charles Lepicard (Bernard Blier) dans sa villa du Venezuela. De girondes doudous servent aux deux truands quelques amuses-gueules (« du poiscaille que tu trouves pas en France » précise Le Dabe). Attiré par le charme créole de ces souriantes demoiselles, Lepicard s’exclame « dis donc, il est giron ton petit sommelier ». Le dabe, en ami compréhensif des besoins des messieurs, lui répond « aaaah bah si le cœur t’en dit, je peux te le bloquer pour la sieste ». Musique des îles. Ambiance cocotiers. Essaim de boniches autochtones que l’Homme blanc trousse sur commande. Toute une ambiance. Toute une époque.
RAZZIA SUR LA SCHNOUFF
Film de 54. Très engagé contre la drogue, ce qui serait impossible de nos jours vu la permissivité ambiante sur le sujet. Dans ce film, Jo est un dealer homosexuel, mal dans sa peau, dévoré autant par la drogue que ses penchants invertis. Où achete-t-on ces drogues au mitan des années 50 ? Dans les lieux fréquentés par les noirs bien entendu. On retrouve d’ailleurs 30 ans plus tard les mêmes ambiances de lieux louches fréquentés par une certaine faune exotique dans « Le Marginal » où Bebel arrache la fille mineure, droguée et prostituée d’un truand aux griffes du « squatt des antillais » dans le centre de Paris. Mais que faisait le CRAN et Les Brigades Anti-Négrophobie à l’époque ?
LE PROFESSIONNEL
Bebelesque film d’action réalisé par Georges Lautner et sorti en 1981. Dans ce film, Beaumont un agent des services secrets français (Jean-Paul Belmondo) est envoyé dans un pays d’Afrique pour tuer le président. Lâché par la France il est envoyé au bagne d’où il s’évade pour ensuite mieux revenir en France et faire payer les traîtres.
Les dialogues signés Audiard sont, bien entendu, truculesques ! Mais qui pourrait supporter aujourd’hui des dialogues de ce genre « Tu vois, même malin comme un singe, ça ne veut plus rien dire » asséné par Bebel au président Njala qui cherche à se faire la malle. Et comment ne pas se rouler par terre en entendant le même Bebel demander à une prostituée si elle couche avec « le nègre », en l’occurence le président du Malagawi détesté par Beaumont le baroudeur.
L’INTERVIEW DE BERNARD BLIER AU THEÂTRE DE BOUVARD
Incroyable interview de l’immensimissime Bernard Blier au théâtre de Bouvard en 1983. Dans ce morceau d’anthologie Bernard Blier décrit comment il a réussi à sauver Jean Carmet « d’un grave danger : l’homosexualité ». L’argentin (son surnom) décrit par le menu comment un homme doit se faire respecter d’une femme, comment les mœurs homosexuelles sont des tourments « que la morale réprouve », etc… Et le plus étonnant c’est que cette interview hilarante soit toujours sur le site de l’INA. Il fût une époque où l’on savait rire de tout !
Le bug permet de hacker le distributeur automatique en passant par le lecteur sans-contact NFC qui y est intégréCYBERSÉCURITÉ – Le bug permet de hacker le distributeur automatique en passant par le lecteur sans-contact NFC qui y est intégré
« On peut vider le distributeur seulement en tapotant sur son smartphone », a déclaré à Wiredle spécialiste, qui a développé un malware Android pour mener à bien son projet. Installé sur son smartphone, le logiciel malveillant a hacké le système NFC intégré au distributeur, permettant au chercheur d’accéder aux données des comptes bancaires.
De nombreuses opérations possibles
Un système de DAB particulier est concerné. Pour des raisons de confidentialité, Josep Rodriguez n’a pas indiqué de quelle marque il s’agissait. Mais l’expert précise que le logiciel du distributeur tout autant que le lecteur NFC, technologie qui permet le paiement sans contact, présentent des failles rendant ce piratage possible.
Les possibilités sont nombreuses : Josep Rodriguez explique ainsi qu’il aurait pu faire planter le distributeur et collecter et transmettre des données de cartes bancaires. Il aurait aussi pu modifier de manière invisible la valeur des transactions ou encore verrouiller les appareils tout en affichant un message de ransomware.
Le chercheur a averti les différentes sociétés concernées. Selon lui, de nombreux terminaux de point de vente et guichets automatiques ne reçoivent pas régulièrement de mises à jour logicielles, si bien qu’un déplacement est indispensable, ce qui laisse penser que les modifications logicielles prendront du temps.
Et les Bleus mirent un genou à terre… Ils s’y étaient longuement préparés.
Sur Atlantico, Olivier Rodriguez rend compte de l’échec du 11 de France face aux méchants Suisses. Emporté par sa fougue, il écrit que ce match a commencé comme un film de Hitchcock et a fini comme une pièce de Shakespeare. Il exagère quand même un peu.
Nous pensons, avec tout le respect dû à ses compétences footballistiques (nous, nous n’en avons aucune), que pour décrire ce match il aurait mieux valu faire appel à « Camping » avec Franck Dubosc. Une farce assez pathétique pour les beaufs.
Olivier Rodriguez évoque, pour expliquer la défaite des Bleus, une somme de défaillances collectives et individuelles. Nous avons une autre explication. Si les Bleus ont mis un genou à terre c’est que, pendant leur entraînement, ils ont visionné et revisionné la vidéo de la mort de George Floyd.
Et le résultat fut au rendez-vous ! Une mention favorable toutefois pour Karim Benzema qui a marqué deux buts. C’est que lui, il ne met pas un genou à terre : il se prosterne devant Dieu tout puissant !
Gilles Platret, vice-président de LR, évoque sur CNews la polémique des mariages. Il raconte « l’envahissement » à la mairie, « les gens qui ne respectent rien », « qui arrivent avec les tam-tams et la musique ». Et résume : « Le problème, c’est l’Afrique du Nord. » pic.twitter.com/MNhoqNuUM2