Islande : 76% des infectés sont double vaccinés, les autorités évoquent des restrictions pour « 5, 10, 15 ans »

Articles : Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

Après Singapour où 75% des personnes infectées par le Covid19 sont vaccinées pour une population totale vaccinée à 74%, l’Islande affiche des résultats identiques.

A la date du 27 juillet, 76% des infections concernent des personnes double vaccinées.

71% de la population est vaccinée en Islande.

Quant au virus, il va bien.

Le CDC prévient que le COVID-19 pourrait échapper aux vaccins à quelques mutations près.

[…] Ce ne sont pas les non-vaccinés qui génèrent des variants résistants au vaccin parce qu’en premier lieu ils n’ont pas de vaccin dans l’organisme au contact duquel le virus s’adapterait.

Ce sont les vaccinés qui produisent des variants résistants sous l’effet de la pression de sélection.

Cet homme s’appelle Þórólfur Guðnason et il n’a pas de bonnes nouvelles pour les vaccinés d’Islande.

Mbl.is :

L’épidémiologiste Þórólfur Guðnason n’exclut pas la possibilité que les restrictions persistent dans une certaine mesure dans les années à venir.

À la question de savoir s’il n’y a pas d’issue claire à l’épidémie, maintenant que des mesures sont proposées malgré les vaccinations, et si nous pourrions être au bord de restrictions au cours des cinq, dix ou quinze prochaines années, il répond :

« Ça peut être tout à fait comme ça, personne ne peut dire avec certitude ce que sera l’avenir. C’est aussi ce que nous avons toujours dit, qu’il n’y a aucune prévisibilité dans ce domaine.Ce n’est pas nouveau et beaucoup de gens se plaignent qu’il n’est pas possible d’apporter de la prévisibilité dans les opérations et autres, mais ce n’est pas possible quand le virus est imprévisible et que quelque chose de nouveau surgit et change ce que vous pensiez il y a quelques mois. « 

Serge Federbusch : « Le variant Delta est beaucoup moins dangereux que les précédents »

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Ce matin sur Cnews, Serge Federbusch dénonce le mensonge de la dictature sanitaire.

« Le variant delta est beaucoup moins dangereux que les variants précédents, et contagieux ne veut pas dire dangereux ou mortel. Actuellement il n’y a pas plus de morts qu’en 2020 à la même époque, alors qu’il n’y avait pas de vaccin. On est sorti de la raison dans cette affaire pour des raisons politiques, car au sommet de la pyramide démocratique française, Emmanuel Macron a voulu faire un coup politique pour reprendre la main afin ne pas parler du chômage, de la réforme des retraites… Il lui faut trouver un thème jusqu’aux présidentielles et comme nous sommes dans une société pyramidale, toute la bureaucratie s’est engouffrée derrière cette décision inepte et aujourd’hui elle rame à la justifier. »

Explosion de l’insécurité : même les bonnes âmes admettent que l’immigration y est un peu pour quelque chose…

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Si l’on en croit une certaine vulgate médiatique, le véritable souci serait plus le « sentiment d’insécurité » que l’insécurité elle-même. Il n’empêche qu’en l’occurrence, les Français, à moins d’être aveugles et sourds, ont surtout le « sentiment » que le pouvoir leur cache en permanence ce qu’ils voient chaque jour de leurs propres yeux.

Certes, on peut faire dire ce que bon semble aux chiffres ; ces derniers sont néanmoins têtus, tel qu’en témoigne le bilan en la matière, publié ce 28 juillet par Le Figaro. Première donnée brute : « La hausse est spectaculaire […] avec plus de 350.000 agressions constatées en six mois, contre 300.000 au premier semestre 2020 et 320.000 sur la même période de 2019. » Bref, la délinquance profite elle aussi de ce relatif déconfinement.

L’autre donnée majeure, c’est la montée en puissance de cette même délinquance en nos campagnes. Après les voyous des villes, ceux des champs, où les violences faites aux personnes sont en train d’augmenter de manière plus qu’alarmante : « Meuse, + 61 %. Calvados, + 57 %. Morbihan, + 52 %. Maine-et-Loire, +51 %. Saône-et-Loire, + 48 %. Vienne, + 40 %. Lot-et-Garonne, + 39 %. Ille-et-Vilaine, + 31 %. »

À ce phénomène, vient s’ajouter la délinquance des fameux MNA (mineurs non accompagnés), immigrés clandestins plus ou moins jeunes, donc pas toujours « mineurs » et généralement « accompagnés » de réseaux criminels, à en croire Rémy Heitz, procureur de Paris, auditionné par la commission des lois du Sénat, en janvier 2020 : « Ces jeunes délinquants, souvent exploités par des adultes, sont extrêmement mobiles, utilisent fréquemment de multiples alias et leur minorité (réelle ou supposée) signifie en pratique qu’il n’est pas possible de les envoyer en prison. » Et le même d’avouer : « Nous sommes face à des mineurs qui sont des multirécidivistes […] Ils jouissent d’un sentiment d’impunité extrêmement fort. »

Après, il y a évidemment le grand non-dit : quid de la proportion d’étrangers, en situation régulière ou pas, ou tout simplement enfants d’étrangers, dans ce tsunami d’insécurité ? Les Français ont bien évidemment leur idée sur la question ; mais, une fois encore, il ne doit s’agir encore que d’un simple « sentiment »… Sauf que voilà, le mur du silence se fissure, à en croire ces voix commençant à timidement s’élever.

Celle du sociologue Hugues Lagrange, pour commencer : « Les adolescents éduqués dans les familles du Sahel sont trois à quatre fois plus souvent impliqués comme auteurs de délits que les adolescents élevés dans les familles autochtones ; et ceux qui sont éduqués dans les familles maghrébines, deux fois plus. » Une prime par défaut à l’Afrique du Nord donc, par rapport à l’Afrique noire, dira-t-on. Autre voix, celle de Laurent Mucchielli, sociologue, qui est obligé d’admettre : « L’observation des populations poursuivies par la police et la justice montre qu’il existe bien, du moins en apparence, une importante “surreprésentation” de cette partie de la jeunesse dans la délinquance. » Ou de l’art de sauver ces mêmes « apparences », tout en finissant par vider son sac : « Les jeunes dits d’origine maghrébine ou africaine sont surtout surreprésentés dans la catégorie des atteintes aux personnes “dépositaires de l’autorité publique” (policiers) ou “chargés d’une mission de service public” (enseignants), ainsi que dans celles vols avec violence, commis le plus souvent en “réunion”. Ils le sont également dans la catégorie des dégradations, type tags, et dans celle des destructions, type incendie de véhicules. »

Après avoir abjuré son angélisme sociétal, laissons le soin à ce repenti de conclure : « En milieu urbain, les jeunes délinquants sont-ils souvent issus de l’immigration ? Oui. »

Et en guise de post-scriptum, le mot de Xavier Raufer, criminologue bien connu de nos lecteurs : « Les voyous ne s’arrêtent que lorsqu’on les arrête. »

Et les politiques, coupables de ce désastre, que faudra-t-il faire pour les arrêter ?

Nicolas Gauthier, Boulevard Voltaire

Emmanuel Macron, leader mondial des obligations et des interdictions

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Qui l’eût cru ? Notre Emmanuel Macron national, libéral dans l’âme, grand pourfendeur des frontières, des replis, des règlements faussement protecteurs, devenu, le temps d’une allocution martiale, le 12 juillet, le grand promoteur des obligations et des interdictions : obligation vaccinale – explicite pour les soignants, hypocrite, pour tous les autres – et interdictions de fréquenter cinémas, musées, bars, restaurants et, maintenant, collèges et lycées pour qui ne serait pas muni du fameux « passe ». À vrai dire, ce coup lui ressemble bien, tant son parcours politique depuis 2016 pourrait se résumer à une succession de coups depuis le premier contre Hollande, son mentor, en 2016. Donc, cette fois-ci, le coup du passe. Un coup sur la tête pour des millions de Français.

Un coup qui donne aussi des idées à l’étranger et, comme l’écrit L’Opinion« fait des émules aux États-Unis », la patrie de la liberté« Le jour même où CNN expliquait “pourquoi le pass Covid de Macron ne décollerait pas aux États-Unis” et qu’aucun responsable politique ne prendrait un tel risque dans un pays où les droits individuels sont “primordiaux”, le gouverneur de Californie, le maire de New York et le ministre des Anciens Combattants ont fait mentir la chaîne de télévision. Se référant pour certains à l’exemple du Président français, ils ont tous lancé, lundi, un ultimatum à leurs fonctionnaires qui devront choisir entre se faire vacciner gratuitement ou payer 100 à 200 dollars par semaine (85 à 170 euros) pour se faire tester. » Ainsi, par la grâce d’Emmanuel Macron, la France est redevenue un phare pour le monde libre, en brandissant la torche de l’obligation et de la contrainte.

Mais il n’y a pas qu’outre-Atlantique que notre Líder Máximo de l’obligation et du passe est regardé avec admiration : en Italie aussi, le gouvernement l’a imité en partie, comme l’a rapporté ici Marie d’Armagnac.

Pourtant, dans ce monde des libéraux devenu fou, deux exemples européens se démarquent de l’autoritarisme d’Emmanuel Macron. D’abord l’Allemagne qui, à deux mois d’un scrutin législatif historique, a certes lancé le débat de l’obligation, mais pour l’exclure aussitôt, préférant s’en tenir à « l’incitation », la simple hypothèse de priver les non-vaccinés de certaines libertés ayant déclenché un tollé.

Et puis il y a le Royaume-Uni : souvenez-vous des hauts cris poussés ici et là, et d’abord par les scientifiques, sur la folie du Freedom Day décidé par BoJo. Imaginez : levée de toutes les interdictions alors que l’épidémie de Delta « flambait » (selon le vocable consacré). Quelle inconscience ! Madness ! Souvenez-vous des titres : « Covid-19 : les craintes que suscite le “Freedom Day” en Angleterre »« Déconfinement. En Angleterre, un “Freedom Day” au goût amer », etc. Et voilà que l’on nous dit que ces chiffres apocalyptiques redoutés, au nom desquels Emmanuel Macron a pris les mesures que vous savez, baissent de façon continue au Royaume-Uni depuis dix jours. « Covid-19 : un étonnant reflux observé au Royaume-Uni », titrait Le Figaro, il y a deux jours : « Le taux d’incidence y diminue depuis cinq jours alors que toutes les mesures de restriction ont été levées le 19 juillet dernier. » Certes, les épidémiologistes interrogés par Vincent Bordenave ne savent pas s’il s’agit d’une véritable décrue ou d’un « plateau » à partir duquel pourrait repartir une hausse. Même baisse du taux d’incidence aux Pays-Bas.

Il semblerait que le virus, une fois de plus, se joue des mesures d’obligation et d’interdiction que notre Président tant envié se plaît à multiplier depuis un an et demi. Quant à ses émules américains, italiens ou autres, ils seraient peut-être bien inspirés de regarder aussi l’exemple britannique et d’observer comment le peuple français va réagir, et pas seulement samedi prochain, à l’autoritarisme macronien.

Dans les prochains mois, la liberté pourrait redevenir une idée neuve en France et en Europe, mais Emmanuel Macron ne sera pas son prophète.

Frédéric Sirgant, Boulevard Voltaire

Flambée spectaculaire de la violence en France : Que fait Macron et son gouvernement ?

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“Flambée spectaculaire de la violence en France”

Tel est le titre du Figaro, commentant le bilan semestriel de la délinquance.

Les chiffres de 2019 et 2020 sont pulvérisés. Tout empire dans des proportions jamais vues.

Les agressions ont augmenté de 16% par rapport à 2020 et de 10% par rapport à 2019.

Réponse de Macron ? Un monument de je-m’en-foutisme et de mépris comme toujours !

Il est vrai que pour l’hôte de l’Elysée l’insécurité n’est pas un souci. Dès 2017 il augmentait les effectifs de sa protection personnelle en les portant  à 130 policiers et gendarmes, soit 50 de plus que sous Hollande.

“Ce que notre nation vit, c’est un sentiment d’insécurité. On doit lui apporter une réponse à la fois systémique dans nos politiques publiques mais aussi en termes de valeur, en termes de civilisation et de culture” !!

Ahurissant ! Comme si les racailles qui attaquent les commissariats et jouent du couteau avec plus de 40 000 attaques par an, comme si ces rebelles de la société étaient sensibles aux niaiseries de Macron. Pour les racailles, les mots civilisation ou culture, c’est de l’hébreu, si j’ose dire.

Et Macron de nous seriner l’éternel couplet larmoyant sur les pauvres victimes de la société. Un refrain qu’on entend depuis 40 ans sans que rien ne bouge.

“C’est un combat social : la violence s’ancre d’abord dans les quartiers les plus pauvres, parfois délaissés au point que les difficultés économiques et sociales se sont enkystées, elles touchent d’abord les plus modestes”.

Mais à qui la faute ? Qui fait venir par millions des déshérités illettrés pour la plupart et totalement incapables de s’intégrer ?

Qui a importé en masse la pauvreté et l’insécurité, alors qu’à la fin des Trente Glorieuses la France était un pays paisible et possédait le 5e niveau de vie au monde derrière les Etats-Unis, le Luxembourg, la Suisse et la Suède ?

Ce sont les politiques et leurs délires mondialistes qui ont détruit le quotidien des Français.

Et cette destruction du pays se poursuit avec l’assentiment des élites sourdes et aveugles.

En six mois, les Français ont subi 350 000 agressions physiques ( coups et blessures volontaires ). Soit près de 2000 agressions sauvages par jour !

Et encore ne s’agit-il là que des agressions signalées au parquet. La réalité est bien pire.

Les causes, on les connait : victimisation des racailles, paralysie des policiers accusés de tous les maux, laxisme judiciaire systémique et réponse pénale inexistante.

L’impunité est la règle, la sanction l’exception.

Macron avait promis 15 000 places de prison durant son quinquennat. On en aura au maximum 2000.

Si on compare la hausse des violences avec l’année 2019, année sans confinement, l’outre-mer décroche la timbale

Guyane +17%

Guadeloupe +10%

Martinique +14%

Mayotte +24%

Réunion +11%

Mais la métropole n’est pas en reste. Homicides, cambriolages, escroqueries, agressions sexuelles et vols à main armée ont explosé;

Pour les agressions physiques, donc les plus traumatisantes, on atteint des chiffres démentiels, comparés à ceux de 2019.

Meuse +61%

Calvados +57%

Morbihan +52%

Maine-et-Loire +51%

Saône-et-Loire +48%

Vienne +40%

Lot-et-Garonne +38%

Ille-et-Vilaine +31%

C’est dire combien les malfrats sont assurés de l’impunité.

La délinquance a tout simplement été multipliée par cinq depuis 1960. Et que fait l’Etat ? Rien. Il pleure sur le sort des racailles restées sur le bord du chemin et persécute les policiers, présumés coupables au moindre incident.

Pour la justice, les associations et les malfrats ont toujours raison face aux policiers.

A tel point qu’on voit des policiers se laisser brûler vifs plutôt que d’utiliser leur arme de service pour sauver leur peau. Unique en Europe.

L’Etat criminel les a tellement désarmés moralement, qu’ils ont davantage peur de l’IGS et de la justice que des malfrats qui veulent les saigner.

Pour les violences sexuelles, les chiffres explosent. 45 000 infractions en six mois, soit 29% de plus qu’en 2019.

220 000 femmes déclarent chaque année subir des violences, mais seulement 18% portent plainte.

Tel est le bilan du quinquennat Macron : un naufrage sécuritaire absolu, jamais vu depuis la guerre.

Il reste les bras ballants, se contentant de nous vendre sa salade de bonimenteur sans jamais agir.

A ce rythme, la France va vite rejoindre les pays les plus dangereux du monde, détruisant ainsi son économie et son tourisme.

Le pire fossoyeur de la France peut être fier de son bilan !

Jacques Guillemain, dans Riposte Laïque

Paris 17e : une femme tuée après qu’un automobiliste de « type africain » a percuté la terrasse d’un bar, il a pris la fuite en courant, la piste de l’accident privilégiée

Articles : Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

Un automobiliste a percuté la terrasse d’un café dans le 17e arrondissement de Paris ce jeudi soir, vers 23 heures. Il a pris la fuite à pied.

Il y a plusieurs victimes à déplorer : une femme a été tuée, six autres victimes sont blessées et ont été prises en charge par les secours puis évacuées à l’hôpital. L’un des blessés est en état d’urgence absolue, un second – qui est le passager de la voiture – est quant à lui en état d’urgence relative. Ce dernier est porteur d’un bracelet électronique selon nos informations.

Selon les premiers éléments, l’homme au volant d’une Peugeot 2008 de location conduisait à pleine vitesse, aurait refusé une priorité puis percuté un autre véhicule de marque Volvo, avant de faire une violente sortie de route, en faisant des tonneaux, et de terminer sa course sur la terrasse du « Bar aux sports » situé à l’angle de la rue Guy-Môquet et de la rue Sauffroy. Des vérifications sont en cours et une enquête a été ouverte. Les investigations ont été confiées au Service de traitement judiciaire des accidents (STJA).

Actu17

La collision est survenue au Bar aux sports ce jeudi, autour de 23 heures. Le conducteur est actuellement en fuite à pied. La piste de l’accident est privilégiée.

Une voiture a percuté une terrasse de la rue Sauffroy ce jeudi soir, dans le 17e arrondissement de Paris, a appris BFMTV de source proche de l’enquête. Selon nos informations, le bilan provisoire fait état d’au moins un mort et de six blessés, dont un en urgence absolue sans pronostic vital engagé. Il s’agit du passager du véhicule, resté bloqué à l’intérieur. La piste de l’accident est privilégiée.

BFMTV

Une voiture a percuté une terrasse au niveau de la rue Guy Moquet, dans le 17e arrondissement de Paris, ce jeudi soir, causant un mort et un blessé grave, peu avant 23 heures, selon les pompiers. L’accident est survenu au niveau du bar Aux Sports, rue Guy Moquet.

Les circonstances précises de l’accident restent à préciser. D’après une source policière, il pourrait s’agir d’un accident de voie publique. Le véhicule aurait fortement percuté un autre véhicule stationné, qui s’est ensuite déporté sur la terrasse du bar parisien.

De nombreuses personnes restent sous le choc et ont été prises en charge par les secours.

Le Parisien