Les journalistes de BFMTV se font expulser en direct place de la République

Articles : Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

On a trouvé le digne successeur de notre malheureux Christophe Lemaitre qui a déclaré forfait à cause de sa vaccination. En effet un caméraman de BFMTV qui filmait avec précaution les manifestants Place de la République en prenant soin de se cacher comme un éléphant derrière un cure-dent, a attiré l’attention des Gilets Jaunes. Une fois que nos Gilets Jaunes eurent traversé le trottoir, notre Usain Bolt du micro trottoir a piqué un sprint incroyable, la caméra à l’épaule, l’histoire raconte qu’il court encore. Nous saluons évidemment les Gilets Jaunes d’avoir eu les gestes sanitaires appropriés face au virus.

Merci à Media 4-4-2

Invasion éolienne : le conseil municipal de Sens-de-Bretagne vote contre

Articles : Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

Le 06 juillet dernier, le conseil municipal de Sens-de-Bretagne au nord-est de Rennes était consacré au projet d’éoliennes qui était en projet dans la zone du bois de Soubon. La société Voltalia (dont l’actionnaire principal est la famille Mulliez : Auchan, Saint-Maclou, Décathlon, …) avait envoyé une représentante pour l’occasion. 4 éoliennes de 150m de hauteur en bout de pales étaient sur la table. Devant l’industrielle, une délégation de riverains tous opposés au projet était présente. Les élus ont examiné avec scepticisme les premiers éléments des études d’impact notamment en ce qui concerne le bruit et les conséquences sur les animaux d’élevage. De surcroît, le retour d’expérience des sites éoliens de Noyal-sous-Bazouges et de Bazouges-la-Pérouse, communes proches, où les problèmes se multiplient ont dissuadé les élus et les riverains de tenter l’expérience à Sens.

Le conseil municipal de la commune s’est donc prononcé contre le projet. A peine échaudée par la décision, la société Voltalia compte cependant déposer son projet en préfecture.

D’autres sites éoliens sont actuellement en discussion dans le secteur : Marcillé, Saint-Rémy du Plain et Feins

Breizh-info.com

Paris : les affectations au lycée font gronder les parents qui dénoncent le sacrifice de brillants élèves sur l’autel de la mixité

Articles : Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

TÉMOIGNAGES – Des parents d’élèves dénoncent une rupture d’égalité après la réforme de la plateforme Affelnet, qui favorise la mixité sociale.

Grogne dans les collèges du centre de Paris. Dans ces quartiers socialement favorisés, les parents dénoncent le sacrifice de brillants élèves sur l’autel de la mixité. L’effet mécanique de la réforme d’Affelnet, ce logiciel d’affectation des collégiens au lycée. En mars, le rectorat avait clairement affiché la couleur: en finir avec les lycées «de niveau» et cette «logique mortifère» de concurrence acharnée entre excellents élèves à l’entrée d’établissements réputés, tels Charlemagne, Sophie-Germain ou Fénelon. Les objectifs, eux aussi, étaient limpides: favoriser la mixité sociale, mais aussi – et c’est là la grande révolution – la mixité scolaire.

Les résultats sont au rendez-vous. « Des collégiens de niveau ­scolaire intermédiaire ont pu entrer à Charlemagne », souligne Claire ­Mazeron, directrice académique au rectorat de Paris, où l’on s’est félicité dès le 28 juin des effets de la réforme. Le taux de satisfaction des élèves boursiers sur les trois premiers vœux atteint 95 %, contre 84 % pour l’ensemble des élèves. Les « taux cibles » de boursiers, renforcés dans les lycées socialement très favorisés, ont été atteints, à quelques exceptions près. Reste qu’à l’issue du deuxième tour de la procédure, des élèves tournant autour du 18 de moyenne générale dans de bons collèges du centre de Paris se sont trouvés affectés dans des lycées à la réputation moindre, parfois à trente minutes de métro de chez eux. Ce dont la gauche rêvait, le quinquennat Macron l’a fait. Quitte à susciter l’incompréhension et l’amertume des bons élèves. Et fâcher une partie de son électorat. Les parents concernés estiment avoir été trompés sur la marchandise. Et avouent être tentés par le privé sous contrat, qui rassemble à Paris 35 % des lycéens. Avec pour conséquence de faire progresser davantage des lycées comme Stanislas ou Franklin, qui caracolent déjà en tête des classements.[…]

Le Figaro


[…] “Comment expliquer à mon fils qui a travaillé toute l’année qu’il ne peut pas aller dans un bon lycée Il ne fallait pas nous demander de faire des vœux dans Affelnet“, s’indigne Elodie*, mère d’un élève scolarisé au collège Couperin dans le IVe arrondissement. Son fils, bon élève, n’a obtenu aucun des lycées de secteur 1 demandés malgré de bons résultats scolaires et la proximité géographique d’excellents lycées parisiens.[…] “Je suis révoltée car au-delà des règles du jeu qui n’étaient pas claires, on nous a laissé espérer et présager de bons lycées, en fonction évidemment des résultats de nos enfants. Le rajout de l’IPS a totalement tronqué les règles du jeu. L’IPS a surpondéré des critères sociaux en défaveur des résultats scolaires“, déplore Elodie.

Les représentants élus des parents du collège César Franck s’indignent également. “Cette réforme, nous en avons défendu le principe, et nous sommes l’un des seuls collèges du centre de Paris dans ce cas, tout en étant conscients qu’elle réduisait les choix de nos enfants, au nom de la justice sociale”. Et de poursuivre : “Le rectorat a communiqué sur le fait que 80% des élèves auraient obtenu un de leurs trois premiers vœux à Paris. Au collège César Franck, ce pourcentage est seulement de 40%, dont 20% de premier voeu soit… à peu de choses près le pourcentage de boursiers”.

Pour nous, les objectifs de la réforme sont atteints

Claire Mazeron, Directrice académique en charge des lycées

Nous l’avons dit depuis le départ, l’objectif de cette réforme est la mixité scolaire. Nous ne voulons plus des lycées ségrégués. Nous faisons rentrer un peu plus d’élèves moyens dans de bons lycées comme Charlemagne par exemple et à l’inverse nous faisons rentrer plus de bons élèves dans des lycées moins côtés“, affirme Claire Mazeron, Directrice académique chargée des lycées.

France 3

I-Média n°357 – Passe sanitaire : la propagande médiatique au service de la dictature

Articles : Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

00:00 Introduction 01:51 L’image de la semaine L’équipe d’Italie a remporté l’Euro de football et cette équipe de football fait parler d’elle puisqu’elle est intégralement composée d’Européens. 03:53 Passe sanitaire : la propagande médiatique au service de la dictature Macron Malgré des déclarations contraires ces dernières semaines, Emmanuel Macron a imposé le passe sanitaire aux Français. Un discours autoritaire d’une rare violence qui fait basculer le pays dans une dictature de moins en moins molle avec, bien entendu, le soutien des médias. 25:16 Revue de presse 35:33 Meurtre de Théo : occultations et manipulations médiatiques Théo, jeune vendeur d’une boutique de téléphonie a été tué sur son lieu de travail par un migrant extra-européen. L’atrocité de ce meurtre a été renforcée par l’énorme manipulation médiatique autour de ce drame.

Un Quatorze Juillet ? Ou un adieu

Articles : Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

« C’est une fête ? Non, Sire, c’est un au revoir ». ainsi pourrait-on parodier la phrase célèbre de La Rochefoucauld-Liancourt lancée à Louis XVI, un soir fameux de 14 juillet 1789. Car, enfin, quelle tristesse, ce 14 Juillet 2021 ! Non que quelque chose eût manqué au défilé traditionnel des Champs-Élysées. Tout y était, sauf le cœur. Et qu’on ne mette pas tout sur le dos du Covid ni sur le temps.

Le défilé militaire avait pour thème « Gagner l’avenir ». Drôle de titre ! Celui du feu d’artifice, ce soir, au pied de la tour Eiffel, c’est « La Liberté » : un classique. Si le bal des pompiers est annulé, le grand concert du Champ-de-Mars aura eu lieu – Japonais en moins. Un peu partout, des festivités : pique-niques citoyens, marches aux lampions. Le Louvre gratuit dans la limite des masques disponibles. Mais alors, pourquoi tant de tristesse ?

Parce que la France est en distanciel avec son roi. La nation en fête ? Elle est fracturée comme jamais. Le patriotisme ? Les hampes sont là mais le cœur est en berne. La patrouille de France, empanachée de bleu, de blanc et de rouge, est passée dans le ciel, avec ses deux clowns à bord, et l’estrade présidentielle avait les yeux au ciel. Les défilés se sont impeccablement dédoublés au pied de l’estrade. Le chef de l’État, impeccable, est descendu saluer les troupes. Il a aussi félicité les choristes, lançant à tout le monde des « Ça va, ne vous inquiétez pas ! » Et personne n’a dit : « Non, Monsieur le Président, ça ne va pas du tout ! » Le mélange des genres final, douteux ? Le « en même temps » a fait long feu. Et dire qu’il va falloir se taper, en septembre, l’Arc de Triomphe emballé selon Christo ! Parce que ça ne suffisait pas qu’il ait été tagué.

Lors de son petit bain de foule, le Président a demandé que l’on allât chercher la première dame. Fatiguée, la première dame a marché sur les pavés au bras d’un garde du corps. Le Président a caressé la tête d’un enfant, parlé à sa mère. La vérité est qu’il n’a pas réussi à « faire nation », le Président. Faire des orphelins, il a su, en revanche. En regardant ce dédoublement de la parade et de la réalité derrière les barrières de fer blanc, je pensais aux deux tableaux de Monet, peints le même jour, le 30 juin 1878, pour la fête nationale, en l’honneur de la RépubliqueLa Rue Montorgueil, peinte, au débotté, d’une fenêtre d’une maison, est pavoisée de drapeaux, vibrante de couleurs. La Rue Mosnier aux drapeaux est désolée. Ainsi, la France : là un spectacle, au-delà un désastre.

Vendredi, le Président Macron se rend à Lourdes. Prier la Vierge Marie de sauver la France au nom du Sacré-Cœur ? On connaît le vœu fait, par Louis XVI, à l’Assemblée, le 30 septembre 1791 : « Que la nation reprenne son heureux caractère ! » Faites vos jeux, rien ne va plus ! L’avenir n’est pas gagné, Monsieur le Président.

Marie-Hélène Verdier, Boulevard Voltaire

Castaner : « ce petit coup de pression » que les Français attendaient

Articles : Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

« Les Français attendaient ce petit coup de pression », déclare Christophe Castaner, sur RTL, au lendemain des annonces d’Emmanuel Macron pour lutter contre le Covid. L’ancien ministre de l’Intérieur n’a peut-être pas tort, puisque Le Figaro publiait, le 13 juillet soir, un sondage révélant que 62 % des personnes interrogées « pensent que ces mesures sont efficaces sans être si contraignantes que cela ».

Donc, tout va bien. Au fond, on s’habitue à tout, il suffit d’un peu d’entraînement et d’y aller progressivement. Par paliers. C’est un principe de base de la pédagogie. Il y a deux ans, cette idée qu’un jour on conditionnerait, en France, l’entrée en certains lieux ou le droit d’exercer son métier à la détention d’un pass sanitaire, sauf cas très particuliers, aurait fait hurler. Là, c’est « une large majorité des Français », selon Le Figaro, qui approuve. Autre principe de base de la pédagogie : savoir utiliser la carotte et le bâton à bon escient. En juin, les beaux jours venant, carottes – et pas râpées – pour tout le monde : réouverture des terrasses de café. Trop sympa, merci, Macron ! C’est sans doute pour cela que ce 14 juillet matin, lorsqu’une journaliste de TF1 demanda à des gamins, qui attendaient le défilé sur les Champs-Élysées, ce qu’ils venaient voir, la réponse fut, non pas le roi de Zanzibar mais « Macron ! » Par trois fois. Et la journaliste de se sentir obligée de préciser qu’on ne l’avait pas fait exprès. Le pire, c’est que c’est sans doute vrai… Pauvres gosses.

Les Français, donc, c’est un peu comme des enfants. De temps en temps, faut leur donner un petit coup de bâton sur les doigts (enfin, façon de parler, car ça, faut plus le faire, c’est pas bien), leur injecter « un petit coup de pression », comme dit celui qui s’y connaît assurément en la matière. D’ailleurs, le Président a annoncé qu’il allait demander au Parlement le prolongement de l’état sanitaire jusqu’en décembre. Pourquoi se gêner ! Du reste, on comprend pas bien : si les Français paniqués se précipitent par millions sur les routes de la vaccination cet été, « incités » par « le petit coup de pression » qui va bien, pourquoi alors cette prolongation ? La logique nous échappe un peu. Mais on imagine que le Président éclairé (nous sommes au pays des Lumières, Il nous l’a dit et répété) a son idée derrière la tête. Rien à voir avec le fait qu’on sera en pleine campagne présidentielle. Bien évidemment.

Donc, tout va bien. C’est pourquoi le Président pouvait savourer, ce 14 juillet, tranquille et serein, Son défilé avec, à ses côtés dans la tribune, son épouse, assise à la place où, du temps du général de Gaulle, siégeait le président du Sénat (pourquoi se gêner ! À quand dans le command car ?) : tout est donc sous contrôle. La preuve : les petits enfants de France demandent Macron. Que demander de plus ? Une pression, peut-être… Dépêchez-vous car, bientôt, pour ça, faudra son pass sanitaire.

Georges Michel, Boulevard Voltaire

Explosion de la prostitution des mineurs en cinq ans

Articles : Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

Deux papiers se télescopent dans Le Figaro qui invitent à la réflexion. Le premier traite des prénomsle second de la prostitution des mineurs. Quel rapport, me direz-vous ? Aucun, a priori. Plutôt une comparaison : alors que les prénoms restent cantonnés à un groupe social sans aucune porosité, la prostitution des mineurs, elle, touche tout le monde sans distinction aucune de milieu.

S’agissant des prénoms, Le Figaro a exploré les annonces de décès publiées dans ses pages. La liste des « enfants, gendres et belles-filles, petits-enfants, arrière-petits-enfants » généralement déroulée dans ces longs faire-part « permet d’identifier les prénoms les plus donnés à chaque génération, ainsi que les plus emblématiques d’une certaine bourgeoisie ». Le quotidien n’affiche pas ses tarifs, il faut les lui demander… mais l’auteur de l’article le reconnaît : « Le type de lectorat du Figaro mais aussi le tarif à la ligne favorisent la surreprésentation d’une catégorie sociale élevée au sein de ces annonces. » C’est même tout l’intérêt de cette enquête : voir si la haute bourgeoisie tient toujours son rôle de prescripteur au sein de la population française.

En effet, il y a un petit siècle, dit le sociologue Baptiste Coulmont, « si Monsieur et Madame de La Rochefoucauld choisissaient pour leur fille le prénom de Simone, on retrouvait ce prénom dans des familles ouvrières d’Orléans ou Toulouse quelques décennies plus tard ». Ce temps est révolu. « Certains prénoms ne franchissent plus les frontières », et de citer en exemple Augustin, qui « n’arrive pas à franchir le périphérique ». Les Français ont d’autres prescripteurs et piochent plutôt dans le cinéma, les séries télé et la variété pour choisir les prénoms.

Pas de porosité en matière de prénom, donc, chacun reste dans son « quant-à-soi ». En revanche, il en va tout autrement de la prostitution des mineurs qui, elle, se répand dans toutes les classes sociales. C’est un véritable fléau qui transcende les milieux et est en constante augmentation, comme en témoigne le rapport remis, ce mardi, au secrétaire d’État chargé de l’Enfance et des Familles par un groupe d’experts, et dont les conclusions devraient conduire à un « plan national de lutte contre la prostitution des mineurs » dès octobre prochain.

Le constat est plus qu’alarmant : le phénomène concerne de 7.000 à 10.000 adolescents en France, parfois dès 12 ans. Depuis 2016, la progression a été de 70 %, dit la procureure générale près la cour d’appel de Paris qui a présidé le groupe de travail. « Ce sont très majoritairement des jeunes filles, de 15 à 17 ans en moyenne, vulnérables, provenant de tous les milieux sociaux et qui peinent à prendre conscience de leur statut de victimes », dit-elle. Ces jeunes ne se considèrent pas comme prostituées mais affirment, pour la plupart d’entre elles, « agir par choix », parlant de « michetonnage » ou d’« escorting », et mettant en avant l’attrait de « l’argent rapide »« Ce qui est nouveau, dit la procureure Catherine Champrenault, c’est que ce n’est plus une activité de survie – à part pour les mineurs non accompagnés – mais presque une activité de promotion sociale. »

Elle pointe ainsi les ravages de « l’effet Zahia », cette jeune prostituée offerte en cadeau d’anniversaire à des footballeurs de l’équipe de France, devenue depuis égérie des milieux de la mode et qui continue de faire les beaux jours de la presse people en posant les fesses à l’air pour éplucher des légumes ou se promener en nuisette sur la plage.

Qu’en disent les féministes ? Rien, bien sûr, puisque cela contrevient à leurs clichés. Pour preuve : une étude du département du Nord « fait apparaître qu’un mineur sur deux reconnaît des aspects positifs à la prostitution, le premier étant l’autonomie financière »

Quand on fait du consumérisme l’alpha et l’oméga de la vie citoyenne, il ne faut pas s’en étonner.

Marie Delarue, Boulevard Voltaire

Zemmour dénonce Macron et la mort sociale des non-vaccinés

Articles : Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

S’exprimant sur la dictature sanitaire qui s’abat encore plus durement sur le peuple français, Éric Zemmour a parfaitement souligné le machiavélisme de Macron, qui rend indirectement la vaccination obligatoire, en organisant la mort sociale des non vaccinés.

Une “subtile sournoiserie” nous dit Zemmour. Macron n’impose rien, puisque le serment d’Hippocrate et la loi l’interdisent, mais il met la pression.

Puisque toute vaccination exige le consentement libre et éclairé du patient, il suffit de l’empêcher de vivre normalement pour qu’il consente enfin au vaccin.

C’est la méthode Macron, lequel avait décrété que le masque ne servait à rien avant de le rendre obligatoire, lequel avait juré en 2020 que la vaccination ne serait jamais obligatoire alors qu’elle l’est devenue de fait.

“Pass sanitaire ou confinement, il faut choisir” dit Véran.

Mais avec Macron, c’est vaccin ou mort sociale.

Combien allons-nous subir de démissions dans le milieu médical, qui manque déjà cruellement de personnels, aurait pu demander Zemmour.

Va-t-on arriver dans tous les métiers à l’obligation imposée par le gouvernement de choisir entre vaccin et chômage ? Faudra-t-il se faire vacciner pour ne pas devenir SDF ? On en est là !

Cette terrible atteinte aux libertés est d’autant plus incompréhensible que ce virus tue peu, avec un taux de mortalité de 0,05 % dit Zemmour.

50 décès chez les moins de 15 ans et 1 100 décès chez les moins de 50 ans.

C’est certes un drame humain pour les familles touchées, mais statistiquement c’est très peu.

Le “quoi qu’il en coûte” a coûté des fortunes, peut-être fallait-il investir davantage dans les lits de réanimation.

Car si on a confiné, c’est faute de structures sanitaires suffisantes.

Ensuite, on a négligé et même méprisé les traitements pour le tout vaccinal.

Macron vante le pays de la science, mais on y pratique une vaccination expérimentale et nous sommes tous des cobayes.

Et pourquoi insister sur la contagiosité extrême du variant Delta alors qu’il est moins létal ?

Pourquoi dire que le vaccin protège à 96 % contre les formes graves alors que ce variant tue moins ?

Les contaminations se multiplient, c’est vrai, mais on ne multiplie pas le nombre de morts.

Macron use d’un système pervers qui va provoquer des violences et accentuer la perte de confiance dans le discours politique, qui dit tout et son contraire.

Certes, 61 % des Français adhèrent au discours de Macron et on se précipite dans les centres de vaccination par peur de ne pas profiter pleinement des vacances du mois d’août, devenues restrictives de libertés, mais des millions de citoyens sont furieux.

La méthode est méprisante et détestable. C’est une odieuse discrimination à l’égard des non vaccinés.

Quand Castex, interpellé sur cette injustice, ne sait que répondre “Ils n’ont qu’à se faire vacciner”, c’est le summum de l’arrogance et du mépris.

Que dirait la classe politique, que diraient les médias, si Zemmour affichait le même mépris que Castex, à l’égard de toutes les autres discriminations que combat le gouvernement ?

Pouvait-on faire autrement ? demande Christine Kelly

Oui, le confinement est une idée folle venue de Chine. Jamais une démocratie occidentale n’aurait osé une telle contrainte sans l’exemple de la Chine, que les Occidentaux ont suivie stupidement.

Ce qui, soit dit en passant, montre que ce pays étend son hégémonie culturelle et intellectuelle sur le monde. Après les États-Unis, qui ont dominé les esprits depuis 1945, c’est la Chine qui va prendre le relais.

On pouvait faire autrement en multipliant les lits de réanimation, en mettant l’accent sur les traitements.

Puis Zemmour se lance dans un exercice plutôt hasardeux sur le variant Delta.

Puisque ce variant tue peu, plus il contamine et plus il joue le rôle du vaccin en favorisant l’immunité collective.

Cela dit, Zemmour reconnait que l’équilibre à trouver est compliqué.

Le discours de Macron satisfait donc la droite qui en appelle à un retour de l’autorité de l’État, mais mécontente la droite libérale qui dénonce une intolérable atteinte aux libertés.

Ce qui ressort du discours de Macron, c’est une fois de plus son ignoble machiavélisme pour parvenir à ses fins.

Dire en 2020 qu’il n’y aurait jamais de vaccination obligatoire, tout en faisant des non vaccinés des parias de la société en 2021, c’est la méthode Macron dans toute sa splendeur. Mépris du peuple, mensonges permanents et tromperies sournoisement orchestrées.

C’est la même méthode qu’il utilise en matière d’immigration. Un discours durci en matière de reconduites à la frontière, comme ses nouvelles directives aux préfets, faussement musclées, alors que l’immigration légale explose et que les reconduites s’effondrent.

Et après tant de mensonges et de trahisons, on s’étonne que les 2/3 des électeurs fuient les urnes.

En 2020, on a vu une chute vertigineuse des expulsions.

Le nombre d’enfermements en CRA ( centre de rétention administrative avant expulsion ), a chuté de 53 000 en 2019 à 27 000 en 2020.

Sur les 53 000 clandestins de 2019, 50 % ont été expulsés.

Sur les 27 000 clandestins de 2020, seulement 40 % ont été expulsés.

Mais le pire est que sur les 27 000 clandestins retenus en CRA, 15 000 sont des rétentions outre-mer, en majorité à Mayotte.

Autant dire que ni les Maghrébins, ni les Africains ne sont expulsés, puisque leurs pays n’en veulent pas.

Tout est fait pour tromper le peuple français qui ne veut plus ni immigration ni islam à 70 %.

La France n’expulse que les Européens, Roumains et Albanais pour la plupart.

Les pays du Maghreb et d’Afrique refusent d’accorder les laisser-passer consulaires, sésame indispensable pour renvoyer un clandestin dans son pays.

Pour 970 Algériens expulsables en 2020, seulement 4 sont partis ! Un taux d’expulsion de 0,4 % !

Il est clair que les Algériens nous méprisent, veulent nous humilier et se rient de nos faiblesses.

Que fait Macron ? Il se couche misérablement !

Que veut faire Zemmour ? Supprimer les visas à toutes ces élites arabes et africaines qui viennent se faire soigner en France ou accompagnent leurs enfants dans nos universités.

Le B-A-BA de la réciprocité, que Macron et ses prédécesseurs n’ont jamais eu le courage d’appliquer.

Le principe élémentaire de réciprocité est bien le seul qui vaille en politique étrangère. La faiblesse et le renoncement étant les pires des comportements.

Et Zemmour d’ajouter qu’il faut supprimer les multiples aides à ces pays.

Ces mesures seront-elles efficaces ? demande Christine Kelly.

Assurément réplique Zemmour, convaincu qu’il faut rétablir un rapport de force avec les pays qui refusent de jouer le jeu.

Pour Zemmour, il faut s’attaquer aussi bien à l’immigration légale que clandestine. Car c’est l’immigration légale qui est la pompe aspirante de l’immigration clandestine.

Régularisations et naturalisations sont l’espoir de tout migrant au paradis du tout gratuit.

Nul doute que Zemmour aura le courage de combattre cette immigration de masse qui nous ruine et disloque la nation.

Lui seul en a la réelle volonté alors que les autres mentent, lui seul en aura le courage et la capacité.

De tous les candidats potentiels ou déclarés, seul Éric Zemmour a parfaitement mesuré la menace existentielle qui plane sur la pays.

Il serait temps que les Français s’en persuadent au lieu d’écouter les boniments de ceux qui nous trahissent et nous mentent depuis 40 ans.

Jacques Guillemain, dans Riposte Laïque

Nuit de violences urbaines à Paris : attaques aux cocktails Molotov et aux mortiers d’artifice contre les forces de l’ordre

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Macron hué, 20 manifs spontanées, des milliers de personnes dans la rue

Articles : Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

Il aura suffi de 48 heures aux Français pour montrer au président de la République que ses grossières menaces et intimidations ne marchaient pas.

Cela avait mal commencé pour Macron, conspué sur les Champs-Élysées par des Français remontés contre lui.

Et cela a continué dans l’après-midi !

Même Le Figaro est obligé de l’admettre. Sans aucun organisation spécifique, il y a eu une vingtaine de manifestations, et 20 000 personnes dans la rue dans tout le pays.

https://www.lefigaro.fr/flash-eco/des-manifs-anti-pass-sanitaire-dans-toute-la-france-20210714

La plupart du temps, les manifestants, très jeunes, scandaient “Libertés”. Il est vrai qu’ils osent tout !

Amende de 45.000 euros et un an de prison prévus pour les établissements ne contrôlant pas le pass sanitaire

https://www.fdesouche.com/2021/07/14/amende-de-45-000-euros-prevue-pour-les-etablissements-ne-controlant-pas-le-pass-sanitaire/embed/#?secret=fLjz7fGkz6

Par ailleurs, attention, malgré le côté sympathique de ces mouvements, de ne pas laisser les gauchistes les torpiller, en mélangeant au refus de la dictature sanitaire d’autres revendications, et en agressant inutilement les policiers. Mais soulignons la bonne tenue de la plupart des rassemblements.

À Paris…

À Perpignan

A Lyon

À Nantes, superbe démonstration de “Masques Blancs”.

À Avignon

À Annecy

À Rouen