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Des millions de familles américaines qui n’ont pas pu payer leur loyer depuis des mois à cause de la crise, risquent d’être expulsées de leur logement à partir de samedi, alors qu’expire le moratoire qui les protégeait.
Les élus de la Chambre des représentants ont échoué vendredi à se mettre d’accord pour accorder un délai supplémentaire aux locataires en difficulté. Il y a pourtant urgence, d’autant plus que le variant Delta fait de nouveau flamber les cas de Covid-19.
Une commission parlementaire avait proposé d’aller jusqu’au 31 décembre, mais le soutien n’était pas suffisant, y compris dans les rangs démocrates. Un sursis jusqu’au 18 octobre avait alors été offert à la discussion. (…)
Une source au Congrès a indiqué à l’AFP que l’idée est loin aussi de faire l’unanimité dans les rangs démocrates.
Plus de 10 millions de personnes sont en retard sur le paiement de leur loyer, a calculé le CBPP, un institut de recherche indépendant.
Et quelque 3,6 millions de locataires estiment qu’ils risquent de se faire expulser dans les deux mois, selon une étude du bureau des statistiques (Census) réalisée début juillet auprès de 51 millions de locataires.
Le président Joe Biden avait lui aussi demandé jeudi au Congrès d’étendre ce moratoire. Mais les critiques fusent, beaucoup lui reprochant d’avoir attendu le dernier moment.
“Nous sommes à trois jours de la fin du moratoire inconstitutionnel sur les expulsions du CDC, et quelle est la solution du président Biden? Blâmer la Cour et appeler le Congrès à y remédier”, avait déploré le vice-président républicain de la Commission des services financiers de la Chambre des représentants, Patrick McHenry.
Il avait souligné que les membres républicains de cette commission avaient mis sur pied un texte pour pouvoir prolonger le moratoire, mais n’ont pas reçu de réponse. (…)
Pour ajouter à cette situation kafkaïenne, l’argent prévu par le gouvernement fédéral pour aider les locataires en difficulté à payer leur loyer, peine à arriver sur leurs comptes en banque.
L’argent est en effet versé aux Etats et collectivités locales, chargés ensuite de distribuer l’aide aux ménages. Or, cela nécessite la mise en place des systèmes complexes pour recueillir les demandes, vérifier les situations, verser l’argent…
Ainsi, sur les 46 milliards de dollars prévus par le gouvernement, dont 25 milliards déboursés début février, 3 milliards seulement sont arrivés à destination.
31 juillet, manifestation contre le #Pass Sanitaire -Paris
François Asselineau, positif à la Covid-19, va déjà mieux grâce à l’Ivermectine
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À quoi ressemblera l’homme de demain ?
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Les technologies actuelles permettent d’échapper en grande partie à la sélection naturelle. Pour survivre et transmettre nos gènes, nous n’avons plus besoin de nous adapter parfaitement à notre environnement : les progrès de la médecine permettent de sauver bien des personnes qui n’auraient pas survécu “à l’état de nature”. L’évolution naturelle de l’homme est-elle arrivée à son terme ?
Il a fallu plusieurs centaines de milliers d’années d’évolution pour passer des hominidés, proches des singes, à notre espèce actuelle, Homo sapiens. Aujourd’hui, notre culture et nos technologies permettent d’échapper en grande partie à la sélection naturelle. Pour survivre et transmettre nos gènes, nous n’avons plus besoin de nous adapter parfaitement à notre environnement : les progrès de la médecine permettent de sauver bien des personnes qui n’auraient pas survécu « à l’état de nature ».
L’apport du brassage génétique
L’évolution naturelle de l’homme est-elle pour autant arrivée à son terme ? Notre propre avenir sera-t-il façonné par le génie génétique ? L’intelligence artificielle transformera-t-elle l’humain en cyborg ? L’espèce humaine continuera-t-elle à s’adapter pour ne pas disparaître ? Nombreux sont les chercheurs qui estiment que l’humain est loin d’avoir fini d’évoluer, alors que le brassage génétique à l’échelle mondiale rend possibles des combinaisons encore jamais vues. Le réalisateur Tom Theunissen interroge biologistes, paléoanthropologues, historiens de l’art et informaticiens pour composer une fascinante mosaïque des êtres humains de demain.
Revue Elements
Marcel reçoit Ananda Guillet, président de Kokopelli : On n’imposera pas le masque aux centaines de personnes au sein de Kokopelli
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Mes amis, pour ce premier « Appel à Témoins » dont j’ai lancé l’idée le 26 juillet 2021 et chose promise, chose due, voici le premier épisode (ci-dessous) en compagnie d’Ananda Guillet, le président de l’association Kokopelli. Un complotiste avant l’heure de plus de 20 ans d’âge — un bon vieux millésime — qui s’est battu avec sa famille contre le GNIS (Groupement national interprofessionnel des semences) le premier exportateur au monde de semences agricoles. Là on tape sur du très gros bonnet dont fait partie Monsanto, que tout le monde connaît à travers notamment les OGM. Kokopelli est la preuve vivante que, avec la volonté, la combativité, on peut gagner contre ceux que l’on croit puissants.
Vous allez découvrir, à travers cet « Appel à Témoins », ce qu’est la détermination et comment nous allons mener le combat jusqu’à la victoire. Le président de Kokopelli a tout simplement décidé qu’il ne soumettra pas ses centaines de salariés en les obligeant à porter un masque. Il décide de ne pas faire la police et appelle solennellement toutes les entreprises françaises à faire de même.
Un grand merci à Ananda de prendre ces positions très courageuses de désobéissance, un acte qui fera certainement boule de neige et nous rendra tous plus forts par cette solidarité. Il suffit du courage d’un seul pour que le reste suive.
« J’ai aussi envie de faire un appel aux entreprises, aux employeurs. On a en tant qu’employeurs une force de dingues. Si une majorité des entreprises, des restaurateurs, des lieux culturels, des cinémas… disent : on va pas respecter, on va pas jouer aux flics, on va pas faire une file à droite avec les vaccinés et une file à gauche avec les non-vaccinés, on ne va pas le faire ! Quels vont être les moyens de répression de l’Etat ? Si demain, Kokopelli, dans sa prise de position, a des centaines d’entreprises ou collectivités sur lesquelles s’appuyer dans son combat, eh bien, on est hyper forts ! »
Merci à Media 4-4-2
La chanson du jour, You Can’t Hold Me Down – US3
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Quand le jazz et le rap se rencontrent cela donne parfois de bonnes choses. Ce morceau en est la preuve…..ajoutez-y une touche de cithare indienne et vous frôlerez la perfection. Grand merci à US3.
Covid : Ne pas confondre nombre de contaminés et nombre de malades !
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Le littoral atlantique jusque-là relativement épargné par la crise du Covid est actuellement en émoi face à l’augmentation des cas de contamination par le nouveau variant du coronavirus.
La préfecture de la Gironde, comme d’autres préfectures des départements atteints, a décidé de rendre le port du masque obligatoire dans les zones touristiques et d’interdire la consommation d’alcool sur la voie publique. Bizarrement cette mesure ne s’applique pas dans certaines communes, et heureusement le port du masque n’est pas obligatoire dans les parcs, les jardins, les espaces naturels, et les plages.
Cet été 2021 sera donc l’été du variant Delta, dont la progression est très rapide au sein de la population sans pour autant entraîner une augmentation très significative du nombre de malades et donc d’hospitalisations. Il semble que ce virus soit effectivement très contagieux mais relativement peu dangereux si l’on en juge par ce qui se passe chez nos voisins européens. Peut-être est-ce lié à la vaccination de masse qui commence à faire effet, ou plus simplement parce que cette mutation est moins pathogène que le virus initial. Quoi qu’il en soit on ne peut que s’en féliciter car, alors qu’on pouvait penser que les autorités reviendraient sur leur politique de diminution des lits hospitaliers avec cette crise, ce nombre de lits ne cesse de baisser (il est vrai davantage dans des services de suite de soins que dans des services d’urgence). Tout se passe comme si les autorités essayaient par le biais d’artifices contraignants, passe sanitaire, couvre-feu, confinement, etc, d’adapter l’épidémie aux capacités d’accueil hospitalières, alors que bien sûr ce devrait être l’inverse.
Mais il faudrait pour cela revenir sur les décisions prises il y a déjà plusieurs années pour administrer le marché de la santé avec des règles de gestion industrielle. Un changement d’objectif qui, pour ceux qui nous gouvernent, semble totalement hors de question.
Alors les autorités nous imposent un vaccin, qui espérons-le sera efficace, et nous menacent de re-re-confinement et de re-couvre-feu si la stratégie gouvernementale ne fonctionne pas. Peut-être d’ailleurs faudra-t-il s’interroger un jour sur l’opportunité de ces mesures qui n’ont pas fait la preuve de leur réelle efficacité, ni disparaître l’épidémie ; et il est probable qu’il faudra nous habituer à vivre avec un virus mutant, comme avec celui de la grippe, ce qui nous obligera donc à nous revacciner régulièrement. Mais, il serait temps aussi de s’intéresser aux traitements que les médecins généralistes (c’est à dire ceux qui voient les malades) utilisent, qui sans être l’arme absolue contre le virus, sont d’un bon recours pour éviter les complications et les hospitalisations.
Alors cette 4e vague, comme la qualifient les médias, en attendant la 5e puis la 6e puis la 7e etc, sera- t-elle une simple vaguelette porteuse d’un virus sans doute très contagieux mais plus ou moins atténué, ou au contraire une lame de fond capable de submerger toutes nos possibilités de soins ? Pour l’instant il semble que ce soit la première hypothèse qui soit la plus probable, si l’on en juge par les chiffres que nous procurent les pays voisins ayant une couverture vaccinale importante.
Pour juger l’importance d’une épidémie, le nombre de nouveaux cas pour 100000 habitants est un bon indice, mais il ne faut pas confondre le nombre de personnes contaminées avec le nombre de personnes malades, ou gravement malades qui nécessitent une hospitalisation. Pour l’instant, les chiffres liés aux hospitalisations et à la mortalité n’ont pas encore augmenté de manière significative.
Hélas le discours officiel qui se veut toujours très alarmiste, confond volontiers les deux, peut-être pour masquer des incohérences dont le bon peuple pourrait se rendre compte si on ne le maintenait pas dans un état de crainte permanente.
Dr. Jacques Michel Lacroix, Boulevard Voltaire
Islande : 76% des infectés sont double vaccinés, les autorités évoquent des restrictions pour « 5, 10, 15 ans »
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Après Singapour où 75% des personnes infectées par le Covid19 sont vaccinées pour une population totale vaccinée à 74%, l’Islande affiche des résultats identiques.
A la date du 27 juillet, 76% des infections concernent des personnes double vaccinées.
71% de la population est vaccinée en Islande.
Quant au virus, il va bien.
Le CDC prévient que le COVID-19 pourrait échapper aux vaccins à quelques mutations près.
CDC warns COVID-19 may be a few mutations away from evading vaccines https://t.co/RqAeyHJgX0 pic.twitter.com/GRyib0BsPY
— New York Post (@nypost) July 27, 2021
[…] Ce ne sont pas les non-vaccinés qui génèrent des variants résistants au vaccin parce qu’en premier lieu ils n’ont pas de vaccin dans l’organisme au contact duquel le virus s’adapterait.
Ce sont les vaccinés qui produisent des variants résistants sous l’effet de la pression de sélection.
Cet homme s’appelle Þórólfur Guðnason et il n’a pas de bonnes nouvelles pour les vaccinés d’Islande.
Mbl.is :
L’épidémiologiste Þórólfur Guðnason n’exclut pas la possibilité que les restrictions persistent dans une certaine mesure dans les années à venir.
À la question de savoir s’il n’y a pas d’issue claire à l’épidémie, maintenant que des mesures sont proposées malgré les vaccinations, et si nous pourrions être au bord de restrictions au cours des cinq, dix ou quinze prochaines années, il répond :
« Ça peut être tout à fait comme ça, personne ne peut dire avec certitude ce que sera l’avenir. C’est aussi ce que nous avons toujours dit, qu’il n’y a aucune prévisibilité dans ce domaine.Ce n’est pas nouveau et beaucoup de gens se plaignent qu’il n’est pas possible d’apporter de la prévisibilité dans les opérations et autres, mais ce n’est pas possible quand le virus est imprévisible et que quelque chose de nouveau surgit et change ce que vous pensiez il y a quelques mois. «
Serge Federbusch : « Le variant Delta est beaucoup moins dangereux que les précédents »
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Ce matin sur Cnews, Serge Federbusch dénonce le mensonge de la dictature sanitaire.
« Le variant delta est beaucoup moins dangereux que les variants précédents, et contagieux ne veut pas dire dangereux ou mortel. Actuellement il n’y a pas plus de morts qu’en 2020 à la même époque, alors qu’il n’y avait pas de vaccin. On est sorti de la raison dans cette affaire pour des raisons politiques, car au sommet de la pyramide démocratique française, Emmanuel Macron a voulu faire un coup politique pour reprendre la main afin ne pas parler du chômage, de la réforme des retraites… Il lui faut trouver un thème jusqu’aux présidentielles et comme nous sommes dans une société pyramidale, toute la bureaucratie s’est engouffrée derrière cette décision inepte et aujourd’hui elle rame à la justifier. »
Serge Federbusch : «Le variant Delta est beaucoup moins dangereux que les précédents». pic.twitter.com/sDs9tnc2C4
— CNEWS (@CNEWS) July 28, 2021
Explosion de l’insécurité : même les bonnes âmes admettent que l’immigration y est un peu pour quelque chose…
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Si l’on en croit une certaine vulgate médiatique, le véritable souci serait plus le « sentiment d’insécurité » que l’insécurité elle-même. Il n’empêche qu’en l’occurrence, les Français, à moins d’être aveugles et sourds, ont surtout le « sentiment » que le pouvoir leur cache en permanence ce qu’ils voient chaque jour de leurs propres yeux.
Certes, on peut faire dire ce que bon semble aux chiffres ; ces derniers sont néanmoins têtus, tel qu’en témoigne le bilan en la matière, publié ce 28 juillet par Le Figaro. Première donnée brute : « La hausse est spectaculaire […] avec plus de 350.000 agressions constatées en six mois, contre 300.000 au premier semestre 2020 et 320.000 sur la même période de 2019. » Bref, la délinquance profite elle aussi de ce relatif déconfinement.
L’autre donnée majeure, c’est la montée en puissance de cette même délinquance en nos campagnes. Après les voyous des villes, ceux des champs, où les violences faites aux personnes sont en train d’augmenter de manière plus qu’alarmante : « Meuse, + 61 %. Calvados, + 57 %. Morbihan, + 52 %. Maine-et-Loire, +51 %. Saône-et-Loire, + 48 %. Vienne, + 40 %. Lot-et-Garonne, + 39 %. Ille-et-Vilaine, + 31 %. »
À ce phénomène, vient s’ajouter la délinquance des fameux MNA (mineurs non accompagnés), immigrés clandestins plus ou moins jeunes, donc pas toujours « mineurs » et généralement « accompagnés » de réseaux criminels, à en croire Rémy Heitz, procureur de Paris, auditionné par la commission des lois du Sénat, en janvier 2020 : « Ces jeunes délinquants, souvent exploités par des adultes, sont extrêmement mobiles, utilisent fréquemment de multiples alias et leur minorité (réelle ou supposée) signifie en pratique qu’il n’est pas possible de les envoyer en prison. » Et le même d’avouer : « Nous sommes face à des mineurs qui sont des multirécidivistes […] Ils jouissent d’un sentiment d’impunité extrêmement fort. »
Après, il y a évidemment le grand non-dit : quid de la proportion d’étrangers, en situation régulière ou pas, ou tout simplement enfants d’étrangers, dans ce tsunami d’insécurité ? Les Français ont bien évidemment leur idée sur la question ; mais, une fois encore, il ne doit s’agir encore que d’un simple « sentiment »… Sauf que voilà, le mur du silence se fissure, à en croire ces voix commençant à timidement s’élever.
Celle du sociologue Hugues Lagrange, pour commencer : « Les adolescents éduqués dans les familles du Sahel sont trois à quatre fois plus souvent impliqués comme auteurs de délits que les adolescents élevés dans les familles autochtones ; et ceux qui sont éduqués dans les familles maghrébines, deux fois plus. » Une prime par défaut à l’Afrique du Nord donc, par rapport à l’Afrique noire, dira-t-on. Autre voix, celle de Laurent Mucchielli, sociologue, qui est obligé d’admettre : « L’observation des populations poursuivies par la police et la justice montre qu’il existe bien, du moins en apparence, une importante “surreprésentation” de cette partie de la jeunesse dans la délinquance. » Ou de l’art de sauver ces mêmes « apparences », tout en finissant par vider son sac : « Les jeunes dits d’origine maghrébine ou africaine sont surtout surreprésentés dans la catégorie des atteintes aux personnes “dépositaires de l’autorité publique” (policiers) ou “chargés d’une mission de service public” (enseignants), ainsi que dans celles vols avec violence, commis le plus souvent en “réunion”. Ils le sont également dans la catégorie des dégradations, type tags, et dans celle des destructions, type incendie de véhicules. »
Après avoir abjuré son angélisme sociétal, laissons le soin à ce repenti de conclure : « En milieu urbain, les jeunes délinquants sont-ils souvent issus de l’immigration ? Oui. »
Et en guise de post-scriptum, le mot de Xavier Raufer, criminologue bien connu de nos lecteurs : « Les voyous ne s’arrêtent que lorsqu’on les arrête. »
Et les politiques, coupables de ce désastre, que faudra-t-il faire pour les arrêter ?
Nicolas Gauthier, Boulevard Voltaire