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On est vraiment gouvernés par des tocards et des blaireaux ! On envoie sur nos plateaux de télé tous nos cadors, notre dream team, pour vendre le vaccin. On a coaché Martin, qui, en pleine forme, a traité de mongolos conspirationnistes avides de réseaux sociaux les infirmiers qui refusent le vaccin. On avait une masquée sur le plateau (faut entretenir le stress des téléspectateurs, c’est de la com) qui a remis cent balles.
Et c’est comme cela sur tous nos plateaux. De temps en temps, pour pas que cela se voit trop, on invite Philippot, mais on lui en colle quatre en face, cela nous donne une image de pluralisme, vis-à-vis des couillons qu’on manipule.
Sur Facebook et YouTube, ils font un boulot formidable, ils virent dans la minute tout discours complotiste (on met le paquet sur ce mot-là) que les fachos (c’est ce qu’on dit de dire à nos journalistes, sur les vaccino-sceptiques) osent poster. Donc, tout allait bien, Mauricette était toujours en vie, et la campagne allait enfin démarrer, on allait desserrer le frein à main.
Certes le hippie de Marseille nous fait toujours ses vidéos de temps en temps, où il nous casse la boutique, mais on maîtrise, on envoie nos grands docteurs sur les plateaux : outre Martin, on a Djilalli Annane et quelques diversités de l’hôpital de Paris. Comme cela, si on les conteste, on leur fait le coup du racisme et de l’extrême droite, même si Marine est parfaite, en ce moment, ça ne mange pas de pain !
Et voilà que ce Perronne de malheur balance son pavé dans la mare ! Alors qu’on passe notre temps à rassurer tout le monde, à mentir éhontément, bien sûr, celui qu’on a fait virer de Garches balance que notre vaccin va transformer nos gènes définitivement, et que la maladie est maîtrisée, que les chiffres de morts baissent, et que tout va bien. Il est en train de nous casser la baraque, ce con !
Q INFOS – URGENT ! Message du Pr. PERRONNE sur les vaccins !
Et après il ira pleurer que nos potes de l’Ordre des médecins le convoquent. À part cela, tout est la faute des charlots qui nous gouvernent, Véran et Castex en tête. Il y a à peine une dizaine de toubibs à neutraliser. Avec Staline, cela aurait été vite fait, on aurait monté un complot des blouses blanches, et on les internait, après un petit passage en taule. On leur aurait un coup de “Vol au- dessus d’un nid de coucous”, et on ne les aurait plus entendus, ces emmerdeurs, qu’on n’arrive pas à acheter ! Au lieu de cela, ces tocards ont interné Fournillan, que personne ne connaît. Ils l’ont collé en prison une nuit, à 77 ans, au milieu des toxicos, pour le faire internet, et le relâcher trois jours après, parce que des hystériques fachos voulaient aller le libérer ! Qu’est-ce que vous voulez faire avec un gouvernement de bons à rien comme cela !
On va devoir la jouer à l’américaine, si cela continue, et installer à la tête du pays des gens sûrs, qui ont de la testostérone (comme Aldo), et qui ne se couchent pas à la première salve ! Si on pouvait appliquer nos méthodes, avec autre chose que les couyemols de ministres qu’on a, il y a longtemps que Raoult, Perronne, Joyeux, Delépine et tous les fouteurs de merde seraient internés, et qu’on leur aurait collé notre vaccin de force !
Bref, ce n’était pas Fourtillan qu’il fallait mettre chez les fous, mais Perronne et Raoult, bande de bons à nibe !
Paul Le Poulpe, Riposte Laïque
La CovidArnaque : le précédent des « armes de destruction massive »
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Il est parfois bon de porter un regard rétrospectif sur les grandes arnaques du passé afin de mieux comprendre celles du présent. Rassurez-vous, nous éviterons « le » sujet qui fâche…
Revenons simplement 20 ans en arrière – ou presque : en 2003 précisément – sur la manière dont les États-Unis ont orchestré l’énorme bobard des « armes de destruction massive » irakiennes afin de justifier l’invasion et la destruction totale de l’Irak, lors de ce qu’on a appelé la « seconde guerre du Golfe ». Un cas d’école.
Cette guerre, également nommée « Opération Liberté irakienne » par les vainqueurs, est menée tambour battant par les États-Unis, à la tête d’une coalition regroupant une dizaine de pays vassaux (Grande-Bretagne, naturellement, mais aussi Australie, Pologne, Corée du Sud, Italie, Géorgie, Ukraine, Pays-Bas, Danemark, Espagne, Portugal…).
L ’« Opération Liberté irakienne » débute le 20 mars 2003 et s’achève le 1er mai suivant.
Quarante jours qui auront suffi, non seulement pour rayer de la carte le pouvoir baasiste (laïc) de Saddam Hussein – exécuté à Bagdad par pendaison le 30 septembre 2006 à l’issue d’un procès que de nombreux juristes ont dénoncé comme « foncièrement inéquitable » : https://www.hrw.org/fr/news/2006/11/19/irak-le-proces-pour-le-massacre-dal-dujail-entache-de-graves-irregularites –, mais également pour renvoyer l’Irak – un pays qui, au début des années 90, jouissait d’un niveau de vie élevé et bénéficiait d’un haut système de protection sociale – à l’âge de pierre, en créant ainsi les conditions de l’émergence de l’État Islamique dans la région.
Rappelons en particulier que plusieurs centaines de milliers d’enfants irakiens sont morts de malnutrition et de manque de soins lors de l’embargo américain qui a frappé le pays : https://fr.sputniknews.com/international/201803201035589211-madeleine-albright-morts-enfants-irak/
Même si le chiffre de 500 000 victimes avancé par l’Unicef à l’époque a pu être revu à la baisse par la suite : https://www.lepoint.fr/monde/500-000-enfants-morts-a-cause-de-l-embargo-saddam-hussein-avait-menti-07-08-2017-2148603_24.php
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Intéressons-nous à la manière dont la propagande des années 2001-2003 a préparé l’opinion publique mondiale à cette guerre, présentant Saddam Hussein comme un Grand Satan détenteur d’armes de destruction massive absolument terrifiantes (nucléaires, chimiques, bactériologiques), en lien étroit avec Al Qaïda, considéré à l’époque comme l’unique auteur des spectaculaires attentats du 11 septembre 2001 contre les tours du World Trade Center de New York.
Le fameux discours de Colin Powell, le 5 février 2003, devant le Conseil de sécurité des Nations unies restera pour longtemps encore un des archétypes du mensonge d’État :
Dans son intervention de 80 min, le secrétaire d’État présente un épais dossier à charge contre le régime de Saddam Hussein, contenant selon lui des « preuves irréfutables » relatives à l’existence d’armes de destruction massive en Irak.
« Il ne fait aucun doute, déclare Powell, que Saddam Hussein possède des armes biologiques et la capacité de produire rapidement plus, beaucoup plus », ajoutant : « Il ne fait aucun doute dans mon esprit que Saddam travaille pour obtenir des composants clefs pour produire des armes nucléaires ».
Les images appuyant la « démonstration » sont consternantes de naïveté : on y voit entre autres un modeste cylindre de métal, censé être le début des prémices des terribles bombes atomiques en préparation dans les centres de recherche nucléaire du régime baasiste. Ou encore un banal drone dont la photo – non sourcée – « n’a pas pu être prise en Irak », précise curieusement Powell…
Les inspecteurs dépêchés sur place par la « communauté internationale » n’ont rien trouvé ? Normal, explique Powell : Saddam Hussein a fait soigneusement disparaître toute trace avant leur venue.
[…]
Le clou du spectacle : Powell se met à brandir sous les yeux médusés de la docte assemblée une petite fiole censée contenir de l’anthrax, produit – toujours selon Powell – en quantité industrielle par les laboratoires secrets du régime irakien…
Colin Powell n’est pas l’auteur de ce discours calamiteux. Il s’est contenté de lire – avec un réel talent persuasif, reconnaissons-le – un document préparé par Lewis Libby, directeur du cabinet du vice-président Dick Cheney.
Selon U.S. News & World Report, découvrant ce discours au contenu problématique, Colin Powell aurait regimbé : « Je ne vais pas lire ça. C’est de la m… ! »
En 2005, interrogé par la chaîne ABC, Powell exprima son « amertume » à propos de sa présentation du dossier irakien devant l’ONU, reconnaissant que cette ridicule prestation faisait « tache » dans sa carrière.
En 2011, Colin Powell demanda à la CIA et au Pentagone des « explications » sur les fausses informations qui lui avaient été communiquées en 2003. Il paraît vraisemblable que ces fausses informations sont en fait venues de l’OSP, l’Office of special plans, dirigé par Abraham Shulsky. L’OSP qui « doublait » la CIA en matière de propagande.
Selon certaines sources, le dossier soutenu ce 5 février 2003 par le général Powell aurait été préparé par les services secrets britanniques. C’est en tout cas ce qu’ont avancé des médias britanniques le 8 février, soit trois jours seulement après le discours surréaliste du secrétaire d’État américain.
https://www.ege.fr/infoguerre/2004/01/armes-de-derision-massive-bilan-annuel
Une convergence des sources n’est pas exclue…
Ce malheureux épisode n’a manifestement pas éclairé la jugeotte de l’infortuné Colin Powell : en juin 2020, ce dernier estima que le Président Donald Trump « mentait sur plein de choses » et qu’en conséquence, il soutenait le candidat démocrate Joe Biden.
Qui, en tant que Démocrate, ne ment jamais, c’est bien connu…
Comment disaient les Anciens déjà ? Ah oui : errare humanum est, perseverare diabolicum…
Henri Dubost, Riposte Laïque
Le soldat anti-dictature sanitaire assez inattendu : le teufeur
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Fortement alcoolisé à la bière, marchant bizarrement de biais, hésitant, pâle comme un cul avec éternellement une capuche sur la tête, le teufeur a mis en échec le couvre-feu et l’interdiction de rassemblement festif musical en France. Avec ses cheveux sales et son teint de cadavre, il ne paye pas de mine. Mais une fois rassemblé à 2 500, ce fut l’armée qui fit plier le gouvernement le 1er janvier 2021.
À Lieuron, dans le sud de Rennes, des pros de la rave party sauvage ont investi des entrepôts vides, installé leurs sonos technos, branché leurs groupes électrogènes et fait danser 2 500 personnes. Bravo. En pleine dictature sanitaire avec couvre-feu de 20 h à 6 h, même le soir du 31 décembre, il faut le faire. Ils ont réussi au milieu de nulle part, à Lieuron, à rassembler 2 500 personnes venues de Bretagne, d’autres régions voire d’autres pays d’Europe.
Les gendarmes ont dressé 1 200 contraventions donc une chance sur deux de s’en sortir. Et le plus beau, c’est que les camions des organisateurs avec les sonos ont pu partir sans encombre par un portail donnant sur la voie rapide. CRUCHOT ? Présent !
Depuis les Gilets jaunes, le grand public sait que les réseaux sociaux type Facebook, Twitter sont surveillés par l’État. Du coup les groupes se coordonnent et se fixent rendez-vous autrement. Et comme maintenant la presse pointe du doigt Telegram, les RG ne pourront bientôt plus y obtenir des informations. Les lois types Avia de contrôle et censure de l’internet vont aboutir à la même chose, priver l’État de moyens faciles de surveillance.
La bataille de Lieuron (35) a duré 36 heures.
Une autre à Réding (57) n’a duré que quelques heures https://www.dna.fr/faits-divers-justice/2021/01/02/les-crs-font-irruption-dans-une-rave-party-clandestine-en-moselle-sud
« Une rave party rassemblant deux cents jeunes s’est déroulée la nuit de la Saint-Sylvestre dans un ancien site militaire à Réding, près de Sarrebourg. Les CRS sont intervenus pour faire stopper la musique au cours d’une opération musclée. Mais les fêtards n’ont pas été évacués et ont continué à danser. »
Ils étaient beaucoup moins qu’à Lieuron, ils ont fait ce qu’ils ont pu mais ils ont continué à danser au son de la musique de la sono des voitures. Au début de la nuit, après dénonciation par le voisinage, une patrouille de gendarmerie « a effectué une reconnaissance et découvert, au bout d’un interminable sentier boueux, le long d’une ancienne voie ferrée, une centaine de personnes en train de danser devant un podium de son alimenté depuis un camion logistique. »
Le commerce de l’ecstasie a dû battre son plein. Les journalistes restent très pudiques sur cette facette des rave parties. Le covid doit être plus dangereux.
Brenton Anders, Riposte Laïque
Pr Perronne : le vaccin ARN risque de transformer nos gènes définitivement !
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Voici encore un appel du professeur Perronne à faire circuler et à utiliser pour convaincre et sur les réseaux sociaux et vos proches de dire non au vaccin.
On peut bien le taxer de complotisme, il fait ici son travail de médecin fidèle au serment d’Hippocrate, bien qu’il ait déjà payé plus que le prix fort pour avoir dit la vérité sur les manigances et mensonges du gouvernement.
Ce texte est très important. Il dit tout de l’imposture et des criminels qui nous gouvernent.
Chapeau bas, Docteur Perronne, et un merci infini pour ce que vous faites pour nous.
– L’épidémie régresse
– On a les moyens de se faire soigner, avec l’hydroxychloroquine et l’azithromycine. Pas besoin de vaccins
– Il suffit de protéger les personnes fragiles, on n’a pas besoin de vaccin. D’autant que la mortalité est de 0,05 %…
– D’autant que le vaccin ARN est potentiellement dangereux, un ARN étranger à notre corps pourrait coder pour de l’ADN qui pourrait s’intégrer à nos chromosomes… Nous pourrions transférer ces modifications génétiques à nos enfants !
Message du Pr PERRONNE sur les vaccins !
Publié le 02.01.2021 par Christian PERRONNE
Chers amis,
La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.
Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie. En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou “challengent” la pensée unique.
Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’État.
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Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première. Le ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le président du Conseil scientifique de l’Élysée, le Pr Jean-François Delfraissy, le directeur général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.
Même le président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit non moins de 400 000 morts, renchérissant sur les 200 000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.
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Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.
Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement. Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or, on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.
Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05 % ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices. Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en Bourse. Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.
On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps ?
Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde pour des cobayes.
Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques, des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie.
C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.
Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe. La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.
Christian PERRONNE
Ile-de-France : la crise du logement coûte à l’Etat un million d’euros par jour en frais d’hôtel
Articles : Jan. 2021 – Dec. 2020 – Nov. 2020 – Oct. 2020
Dans la région, les centres d’hébergement sont littéralement saturés. À tel point que sur les 130 000 places destinées à l’accueil de personnes dans le besoin, près de 40 % sont des chambres d’hôtel, indique Le Parisien dans une enquête au format long. Depuis quelques années, les chiffres demeurent en constante augmentation. Tandis qu’en 2015, 35 000 personnes étaient accueillies dans des hôtels de la région parisienne, le nombre quotidien de nuitées s’est établi à plus de 53 000 en octobre dernier. […]
Le Point[…] « Les dimensions sont devenues énormes », assène Christine Laconde, directrice générale du Samu social de Paris qui a mis en place un service dédié, baptisé Delta, où une centaine de personnes travaillent à temps plein pour rechercher des chambres d’hôtel disponibles, gérer les réservations pour plusieurs départements franciliens et s’apprête à l’assurer pour l’ensemble de l’Ile-de-France dès le mois prochain. […] « Au 26 octobre 2020, le nombre total de nuitées hôtelières s’élevait à 53 545 en Île-de-France », calcule la préfecture de région qui chiffre le « coût moyen d’une nuitée à 21 euros » à Paris, 18 euros en moyenne dans la région. Note globale à régler auprès de 643 hôtels d’Ile-de-France : près d’1 million d’euros chaque nuit, 300 millions d’euros à l’année. […]
En moyenne, les personnes logées à l’hôtel y restent deux ans et demi. Mais « la moitié y est depuis plus de deux ans, martèle Christine Laconde. La raison majeure, c’est l’accès au logement qui est un parcours du combattant. Les gens font face à des galères sans nom pour avoir des situations de séjour régularisées et des papiers pour pouvoir prétendre au logement. […]
I-Média n°329 – Le pire des médias en 2020
Articles : Dec. 2020 – Nov. 2020 – Oct. 2020 – Sept 2020
Pour cette fin d’année, retour sur quelques-uns des extraits les plus marquants des 48 numéros d’I-Média en 2020. Vraiment une très bonne émission.
02:32 – Face au courage de Mila, la soumission médiatique
06:23 – Débat Éric Zemmour contre Marlène Schiappa : le KO
10:09 – I-Média confiné
10:42 – Coronavirus : les médias coupables ?
12:08 – Michel Cymes : médecin ou porte-parole macroniste ?
15:06 – Coronavirus : les médias coupables ?
16:46 – Un discours de Macron encensé
21:15 – Les cités s’embrasent, les médias se taisent
26:10 – Éric Zemmour agressé
29:10 – USA. Émeutes raciales : ce que les médias nous cachent
33:14 – Chauffeur de bus tué à Bayonne : le silence des médias
34:51 – Égorgement Gare du Nord : la manipulation du Parisien
38:53 – USA : « La fraude électorale est certaine ! »
Avec #BlackLivesMatter en 2020, on a assisté à une grosse arnaque intellectuelle !
Articles : Dec. 2020 – Nov. 2020 – Oct. 2020 – Sept 2020
Il était temps que s’achève cette annus horribilis, il était temps que disparaisse 2020, et on sera peu nombreux à la regretter car jamais l’Occident n’aura été autant marqué par de telles tensions communautaires. On était donc en droit de croire qu’un conflit racial allait se déclencher avant le 31 décembre en Amérique ou en Europe, mais l’année va s’achever dans une relative situation de paix.En 2020, le fait marquant, dans ce domaine, aura été le décès de George Floyd qui a suscité l’émotion dans le monde entier.Mais paradoxalement, cette mort n’aura pas fait avancer d’un iota la situation des Noirs en Occident, et ce drame a mis en avant la rancœur d’une communauté beaucoup plus en quête de rattrapage que d’inscription dans une démarche constructive pour le bien commun.Est-ce que le décès de George Floyd a changé la condition des Noirs aux USA ?Assurément non, puisqu’ils sont toujours les premières victimes de violences et eux-mêmes en sont les principaux auteurs.Ils sont toujours à la traîne économiquement, même si, grâce à la politique d’autonomisation des minorités menée par l’administration Trump, beaucoup de Noirs ont pu retrouver un emploi, se prendre en charge socialement et acquérir un bien immobilier.Il y a une chose que cet événement a malheureusement encouragée, c’est le sentiment de toute-puissance d’une communauté raciale, c’est la légitimation de la violence comme moyen d’expression, c’est l’exploitation outrancière de la victimisation, c’est le besoin de réécriture de l’Histoire, c’est la hargne du déboulonnage.Ils sont devenus fous, ces Américains !Black Lives Matter est la plus grosse arnaque depuis le communisme.Comment peut-on, objectivement, faire croire à des gens que leur vie compte alors qu’il n’y a aucun doute sur ce sujet ? C’est un truisme : toute vie compte.Les tenants d’une certaine idéologie – gauchiste – ont voulu capitaliser sur ce drame pour faire passer des messages et asseoir les valeurs de la société ouverte à laquelle ils aspirent. La mort de George Floyd a surtout permis la convergence des luttes racialistes, sexistes, gays, écolos, mondialistes se trouvant une nouvelle tribune avec l’aide du système médiatique bien-pensant.Que des hypocrites ! Ils hurlent #BlackLivesMatter mais se fichent totalement de voir le petit Congolais de huit ans bosser dix heures par jour dans les mines de terres rares afin d’extraire les matériaux dont les bobos, en Occident, auront besoin pour faire fonctionner leur smartphone dernier cri et les batteries de leur véhicule électrique.Ils hurlent #BlackLivesMatter mais ne lèvent pas un petit doigt pour dénoncer les crimes commis par Boko Haram en Afrique.Ces gens font beaucoup de mal aux Noirs, il faut le dire, il faut le crier haut et fort, pour qu’en 2021, les Noirs ne se laissent plus berner par #BlackLivesMatter puisque, en vérité, toutes les vies comptent !
Boulevard Voltaire
Caroline Fourest, « europouillarde » et bientôt franchouillarde ?
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Inquiétude dans le monde médiatique : Caroline Fourest ne serait-elle pas atteinte par cette « zemmourisation » des esprits qui contamine de plus en plus d’intellectuels de gauche ?
C’est un signe de l’âge qui avance sans doute et de la maturité qui l’accompagne : la zemmourisation des esprits va galopant dans les rangs de la gauche. Il n’est que de voir les têtes d’affiche qui se précipitent pour débattre avec « Éric » pour s’en convaincre. Le plateau de CNews est désormais the place to be. Julien Dray y siège à plein temps, Michel Onfray y a ses habitudes, Raphaël Enthoven s’y encanaille… The place to be, vous dit-on. Qui l’eût cru.
Certes, Caroline Fourest n’a pas encore son rond de serviette sur CNews, mais elle s’en rapproche. Pour l’heure, elle tient une chronique chaque mercredi sur LCI, chez ce bon Pujadas.
C’est qu’elle glisse, notre Caroline, lentement mais sûrement. Où est-elle, celle qui s’était fait une spécialité de pourfendre la droite catholique et de fouiner dans les poubelles fantasmatiques du FN ? L’âge, vous dit-on. Eh oui, la confrontation aux dures réalités de l’existence éloigne la « gauchitude » et développe la « beauffitude », disent les mauvais esprits. Chez Caroline Fourest aussi, parvenue au mitan de la quarantaine, on observe une droitisation qui monte à mesure que s’éloignent les mauvais souvenirs, ceux d’une enfance à l’école privée catholique et une adolescence de jeune lesbienne mal comprise.
On l’a connue militante et virulente, fer de lance de la cause LGBT et figure de proue des « laïcards » d’une « gauche rigide et enflammée », disaient ses (nombreux) détracteurs. Il faut dire que sa détestation des milieux religieux, quels qu’ils soient, l’a conduite à pointer les complicités naïves de ses confrères et consœurs journalistes pour l’islamisme radical, allant même jusqu’à dénoncer « l’islamo-gauchisme » très en vogue dans ces milieux.
Bref, Caroline Fourest glisse dangereusement du côté obscur de la force, et en ce 30 décembre 2020, invitée à s’exprimer sur l’exception vaccinale à la française, elle nous a livré une analyse pour le moins étonnante.
Il est vrai que l’examen des chiffres a de quoi laisser perplexe : « Là où les Allemands en sont à 78.109, les Portugais 16.701, les Danois 13.311, les Italiens 8.361, nous sommes à 138 personnes vaccinées en trois jours et demi. Mais pourquoi la France patine-t-elle autant ? » demande David Pujadas.
Tout d’abord, sans doute, parce que nous avons choisi une démarche inverse à celle de nos voisins : on promène le vaccin pour aller vacciner quand les autres amènent les vaccinables vers le vaccin. L’analyse de Caroline Fourest paraît, ici, la bonne lorsqu’elle dénonce la méthode : « Une fois qu’on a le vaccin, on est clairement handicapé par notre philosophie : ce principe de précaution, cette absence de prise de risque… En choisissant de vacciner les EHPAD, cela a non seulement ralenti les premières vaccinations, en plus, dans les EHPAD, des gens refusent de se faire vacciner. Les deux handicaps se cumulent. » Il aurait été plus intelligent de commencer par le personnel soignant, dit-elle. Reste une question non évoquée : le personnel soignant est-il disposé à se faire vacciner ?
Reste que le plus surprenant, dans le discours de Caroline Fourest, est cette confidence dont on ne saisit guère le sens, sauf à l’imaginer prise d’une bouffée « europouillarde », prémices, qui sait, à un glissement franchouillard : « J’aurai toujours plus confiance dans un vaccin qui a été approuvé par l’Union européenne que dans un vaccin approuvé par l’Angleterre ou les États-Unis. »
Attention, Caroline dérive dangereusement vers le complotisme !
Boulevard Voltaire
La chanson du jour, Happy New Year – Jos’e Feliciano
2021 est arrivé ! Aucune embrassade pour cette nouvelle année. C’est comme cela, il va falloir s’y faire. En attendant heureuse année 2021 à vous tous et surtout bonne santé.
Pour la première chanson du jour de l’année, on s’écoute un morceau entraînant et sympathique de Jos’e Feliciano pour démarrer l’année du bon pied.
Goodbye and good luck, Bojo !
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Ce soir à minuit, le Royaume-Uni reprendra sa liberté, après 47 années de mariage houleux avec l’Europe, notamment sous le règne de Margaret Thatcher, la Dame de fer très jalouse de son indépendance et des intérêts de la Couronne.
Entrée en 1973 dans le “Marché commun”, la turbulente Albion a donc fini par divorcer, mais en gardant des liens étroits avec ses 27 partenaires.
Un divorce avec pension alimentaire, en quelque sorte.
Souhaitons bonne chance à nos amis Anglais, qui ne supportaient plus les diktats de Bruxelles et aspiraient à prendre le large.
Un pays qui a dominé le monde aussi longtemps et qui a marqué à jamais tous les continents du sceau anglo-saxon ne pouvait s’accommoder éternellement du joug bruxellois, qui plus est sous domination allemande.
Saluons le courage et la ténacité de Boris Johnson, qui a su négocier un accord qui protège les intérêts de la Grande-Bretagne, avec un divorce à l’amiable.
521 députés britanniques sur 594 ont voté pour l’accord sur le Brexit, preuve que les peuples ont avant tout besoin de liberté et d’indépendance.
Un vote historique qui ne réjouit pas les Européens, certes, mais qui montre que la sortie de l’UE n’est pas synonyme de fin du monde, comme nous l’ont fait croire les inconditionnels de l’impérialisme bruxellois, Merkel et Macron en tête.
Côté britannique, Écossais, Gallois et Nord-Irlandais ne trépignent pas de joie, mais il serait pour le moins hasardeux de prédire la désintégration du Royaume-Uni à cause du Brexit. Pas certain que les indépendantistes écossais aient les moyens de leur ambition.
Quant au rattachement de l’Irlande du Nord à Dublin, cela va dans le sens de l’Histoire. Ce n’est en effet qu’en 1921 que l’île irlandaise a été divisée.
De toutes façons, pour les conservateurs, le Brexit est plus important que le risque de perdre l’Écosse et l’Irlande du Nord.
Pour les Brexiters les plus durs, Boris Johnson est le héros qui a remporté la bataille. Le “No deal” a été évité et l’accès au marché européen sauvegardé.
Il aura fallu quatre ans et demi pour finaliser un accord entre les deux parties. C’est le 24 juin 2016 que les Britanniques votaient pour le “leave”, par 51,9 % des voix, au grand dam des “remainers” et des pays européens.
Que n’a-t-on entendu sur les conséquences du Brexit, qui devait plonger les Britanniques dans la récession et signer la fin de la prospérité !
Mais après des années de bataille interne, la peur du “grand saut dans le vide” n’a finalement fait trembler personne. Même un “no deal” valait mieux qu’un “remain” ou qu’un mauvais accord. La reine Victoria n’aurait pas dit mieux.
En fait, “Bojo” a gagné parce que les Européens avaient davantage peur d’un “no deal” que les Britanniques. Les 27 n’étaient unis que par la peur d’une rupture totale, ce que Boris Johnson a parfaitement compris, pour en tirer le maximum de bénéfices.
Si cet accord a un goût amer, c’est d’abord pour les Européens, qui voient partir un grand pays et surtout un contributeur net de l’Union.
L’Europe sort affaiblie, c’est une évidence.
Elle a perdu 15 % de son poids économique, mais bien davantage en poids militaire et géopolitique, deux domaines où l’Allemagne ne pèse rien.
Des deux côtés de la Manche, les inconsolables espèrent que la Grande-Bretagne reviendra un jour dans le giron bruxellois. J’en doute.
D’autres, au sein de l’UE, espèrent que sans le Royaume-Uni, l’intégration économique et politique sera plus rapide pour les 27 pays restants.
Wait and see.
En attendant, souhaitons aux Anglais de profiter de leur nouvelle liberté avec succès, pendant que nous, Français, avons tout perdu de notre souveraineté et ne maîtrisons plus rien de notre avenir.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque.