Finalisation du démontage de l’échafaudage sinistré avec trois nacelles de 90 mètres. Vidéo réalisé par l’ Établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Cette première étape a été atteinte le 24 novembre 2020, juste un mois avant Noël….merveilleux symbole qui redonne espoir aux amoureux de Notre-Dame.
Bonus, la cloche Bourdon en action un an jour pour jour après l’incendie.
Lors d’une interview accordée, le 14 décembre, à la chaîne américaine CNBC, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a déclaré : « J’ai 59 ans, je suis en bonne santé, je ne travaille pas en première ligne, donc il n’est pas recommandé que mon groupe se fasse vacciner maintenant. » Il a, en outre, exigé de son personnel, et en particulier de ses cadres, qu’il ne se fassent pas vacciner en priorité, pour ne pas « donner le mauvais exemple »…
On me dira ce qu’on veut, je ne vois pas en quoi le fait de se faire vacciner constitue un mauvais exemple. Au contraire, dans le contexte actuel de défiance, il me semble que si les dirigeants du groupe américain avaient commencé par s’administrer le vaccin eux-mêmes, et publiquement, cela aurait au contraire rassuré nombre de personnes, prouvé son efficacité et son innocuité, et incité bien des gens sceptiques à suivre l’exemple du staff du géant pharmaceutique.
Mais non, Bourla ne veut pas que la moindre personne considérée à risque se voie retardée dans sa vaccination, et privée d’un remède qui sauvera sa vie… Il est prêt à se sacrifier au service de petites gens et ne gaspillera pas quelques centaines de doses pour son seul intérêt personnel. Bel exemple de sacrifice et d’abnégation.
Un esprit philanthropique que M. Bourla n’a pourtant guère démontré jusqu’ici : dès le lendemain de l’annonce de la découverte du vaccin, Bourla avait vendu un paquet considérable de stocks-options, profitant ainsi illico de la hausse boursière que la nouvelle avait déclenchée autour du titre de sa société. Mais là encore, les esprits méfiants, parmi lesquels on ne manquera pas de me classer, pourraient se dire : mais si ce vaccin est si efficace et s’il est sans risque, pourquoi ne pas attendre quelques mois, que le cours de Bourse grimpe encore avec les bénéfices que sa firme va engranger immanquablement ? Nous ne connaîtrons sans doute pas la réponse à cette question, mais les belles âmes bienveillantes qui peuplent les plateaux télé me rétorqueraient sans doute que c’est encore une preuve de son altruisme : ses actions vendues aujourd’hui feront demain les profits de leurs heureux acquéreurs…
Je serai incapable de vous dire si ce vaccin est efficace ou pas, s’il est sans danger ou pas : je suis totalement profane en matière de médecine. Par contre, je trouve que l’attitude du principal intéressé n’est pas de nature à inspirer la confiance, en dépit de ses explications qui ne convaincront sûrement que ceux qui le veulent bien…
Ça commençait mal dès ce lundi 14 décembre. En vue de la finale de « La France a un incroyable talent », la fachosphère, la cathosphère et toutes ces sortes de choses s’étaient mobilisé.e.s pour soutenir la famille Lefèvre.
Vous ne les connaissez pas ? Jugez plutôt : une famille catholique de six enfants, habitant Versailles et chantant des chants sacrés à plusieurs voix. L’horreur, quasiment le nazisme. Face à eux, il y avait des danseurs, des jongleurs, des musiciens, avec les quotas diversitaires et les prises de position engagées qui sont de rigueur à ma téloche. Et pourtant, il faut croire que la fachosphère et assimilés pèsent lourd : les Lefèvre ont gagné. Terreur rageuse des réseaux sociaux face à cette victoire d’une France que l’on espérait morte et enterrée. Mais c’est ainsi…
Nouveau coup de théâtre avec l’élection de Miss France 2021. Malgré un jury 100 % féminin pour faire oublier l’aspect « comice agricole » de la cérémonie, malgré des Miss aux prénoms improbables et aux physiques mondialisés, malgré la diversion provoquée par une stupide campagne antisémite (dans laquelle l’extrême droite n’avait, une nouvelle fois, rien à voir), c’est une superbe blonde aux yeux bleus, nommée Amandine Petit, qui est arrivée en tête du concours. Une fois de plus, larmes et haine sur Internet.
Vilaine semaine, nauséabonde à souhait, qui aurait uniquement vu une famille nombreuse catholique, désespérément blanche et française, gagner un télé-crochet. Mais terrible semaine, qui fait le jeu des extrêmes, que la victoire, par surcroît, d’une jeune fille qui aurait pu être là il y a des siècles. On tremble à l’idée du retour des années 30.
Concours de circonstances, direz-vous. Pourquoi pas. Soit ça, soit les gens en ont marre des injonctions du CSA, des théories de Jacques Attali et des défilés indigénistes. Faut voir.
Selon Jean-Pierre Chevènement, « Il faut valoriser l’islam républicain ». Et notre ancien ministre d’ajouter : « Ghaleb Bencheikh a dit avec raison qu’il fallait délivrer les musulmans d’une interprétation littéraliste des textes sacrés. À travers la Fondation de l’islam de France, qu’il préside, il y a un travail d’éducation pour montrer l’interprétation qu’on peut donner à certains prêches, et celle, surtout, qu’on ne doit pas donner ». Autrement dit : « L’islam radical, non ; l’islam républicain, l’islam tranquille, oui ».
Mais quand donc nos hommes politiques comprendront-ils qu’il ne peut y avoir la moindre compatibilité entre l’islam – même « tranquille » – et la République ?
En quoi la République exigerait-elle quelque soumission que ce soit, alors que l’islam n’est que soumission ?
La République a des frontières ; l’islam n’en a point.
La République est de l’ordre de l’humain ; l’islam est de l’ordre du divin.
La République accepte les homosexuels, les athées, les gens de toute religion et les apostats ; l’islam les combat.
Et ce n’est pas la Fondation de l’islam de France qui changera cela, car pour changer cela, il faut modifier le Coran – ce qui, au regard des musulmans, est un sacrilège puni de mort !
Certes, il peut y avoir des républiques islamiques – comme en Iran, en Mauritanie, au Pakistan – mais il n’y a pas d’islam républicain : il faudrait, pour ce faire, que l’islam ne soit plus islamique, et un islam non islamique n’est pas l’islam.
Cette radicale nouveauté n’est donc pas prête à voir le jour.
Par contre, l’islam radical n’est pas une nouveauté : il existe depuis Mahomet, et ne cesse de grandir, y compris en terre non musulmane.
C’est cette réalité qui devrait faire réfléchir Jean-Pierre Chevènement.
Non « France Bleu », ce n’est pas un « jeune homme » qui a attaqué au couteau trois policiers municipaux à Bollène (Vaucluse), mercredi matin vers les 9 h 15, aux cris de “Allahu akbar”, mais un terroriste fiché au FSPRT (Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste).
Ce n’est pas « un jeune homme » ce Youssouf H. âgé de 20 ans, qui, après avoir tenté de défoncer la porte d’entrée, à l’aide d’une jardinière, après s’être introduit dans le jardin de cette habitante apeurée, qui se barricadait en attendant l’arrivée des policiers qu’elle avait alertés, en a blessé deux.
Ce n’est pas « un jeune homme » ce terroriste qui, sorti de prison en mai 2020, était inscrit au programme PAIRS de désengagement et de réinsertion et qui suivait un programme de soi-disant déradicalisation.
Une information judiciaire « pour tentatives d’homicides volontaires sur personnes dépositaires de l’autorité et tentative de vol avec arme » a été ouverte contre ce « jeune homme » comme vous le nommez, qui est placé en garde à vue à la PJ d’Avignon.
Le frère de ce « jeune homme » djihadiste, qui avait été interpellé en zone irako-syrienne, a été condamné, en 2017, à 7 années de prison et il a été l’auteur d’une tentative d’attentat dans la prison en 2019.
Voilà pour ce « jeune homme » mais, ce qui est bien plus grave, je dirais même aberrant et injustifiable, c’est le comportement irresponsable de ce JAP (Juge d’application des peines) qui, à Arles, a accordé une permission de sortie de deux heures à un multirécidiviste, condamné à 18 ans de prison, jusqu’en 2029, pour des faits de violences aggravées, et enfermé à la maison centrale d’Arles depuis dix années et cela « pour qu’il puisse signer des papiers » !
De qui se moque-t-on ? Ne pouvait-il pas les signer en prison, « ses papiers » ?
Autorisé à sortir sans aucun accompagnement par des surveillants pénitentiaires et sans être menotté.
Bien entendu, il s’est enfui dès son arrivée sur le parking du « Leclerc ».
Le syndicat pénitentiaire des surveillants (SPS Paca) communique son incompréhension : « On ne comprend pas comment on a pu en arriver là. Pourquoi a-t-il eu cette permission de sortie ? Pourquoi n’était-il pas escorté par des personnes qualifiées ? La prison centrale n’a-t-elle pas pour mission principale de garder les détenus les plus dangereux avec une rigueur de détention qui utilise des dispositifs de sécurité plus importants ? »
Monsieur le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, ouvrirez-vous une enquête contre ce JAP irresponsable pour le moins et sera-t-il sanctionné ?
Et vous, Monsieur le ministre de la Justice, n’avez-vous rien à dire ? Ce juge d’application des peines (et non pas des remises en liberté) ne dépend-il pas de votre ministère ?
Ils arrivent à présent en « jet privé », les migrants clandestins. Vous n’y croyez pas ! Moi non plus et c’est pourtant la réalité.
« C’est la première fois que nous assistons à un pareil évènement, nous n’en croyions pas nos yeux », s’exclame ce policier de la PAF, qui en a pourtant vu de toutes les couleurs ces dernières années.
Le dimanche 13 décembre 2020 arrive à l’aéroport d’Orly un avion privé de la compagnie autrichienne « Tyrolean Jet Services ».
À bord? 9 passagers étrangers, ce qui est normal, mais démunis de pièces d’identité, ce qui l’est moins, dans l’objectif de s’installer en France.
La PAF (Police aux frontières) intervient et le parquet de Créteil est saisi de l’affaire.
Une filière de luxe de l’immigration internationale vient d’être ainsi démantelée.
Le « Jet privé » arrivait en provenance d’Istanbul, en Turquie, et les investigations, confiées à la PAF d’Orly, ont permis de retrouver, dans la carlingue de l’avion, des documents d’identité déchirés en morceaux.
Ces 9 clandestins ont revendiqué leur nationalité kurde et demandé l’asile politique dès leur arrivée. Ils sont, pour le moment, retenus dans une zone d’attente afin de vérifier leurs affirmations et dans l’attente du résultat de l’enquête ouverte « pour aide à l’entrée et au séjour irrégulier en France ».
La question qui se pose est : « Qui a payé ? »
Selon les tarifs proposés par cette compagnie, il en coûterait environ 30.000 euros par passager, soit presque 300.000 euros.
Sur son site « Internet », la Tyrolean Jet Services affiche officiellement son slogan : « Vous choisissez votre destination et l’on s’occupe de tout ».
Cette compagnie autrichienne devra rendre des comptes à la justice, certes, et elle est passible d’une importante amende « pour avoir tenté de débarquer des non ressortissants d’un État membre de l’Union européenne sur le territoire français, démunis de document de voyage ou de visa requis par la loi ».
Reste à savoir, bien entendu, s’il ne s’agit pas de Kurdes recherchés par la Turquie d’Erdogan et tentant d’échapper au sort funeste qui leur était réservé…
Et quand ils n’arrivent pas en « Jet privé », ce sont des avions charters qui sont affectés spécialement pour leur rapatriement.
C’est le cas tout récemment de 5 femmes et 12 enfants de l’organisation État islamique, rapatriés par l’Allemagne et de 2 femmes et 6 enfants par la Finlande, selon les déclarations du ministre allemand des Affaires étrangères. Toutes visées, dans leur pays d’origine, par des poursuites judiciaires pour « participation à une organisation terroriste ».
Et il reste environ 70 adultes, ayant la nationalité allemande, ainsi que 150 enfants de nationaux allemands, à rapatrier.
Et pour la France, qu’en est-il ?
Un trafic de migrants clandestins vient également d’être démantelé, dont le siège et l’atelier de fabrication des faux papiers se situaient dans le 19e arrondissement de la capitale.
Les migrants clandestins, en provenance du Pakistan principalement, se voyaient proposer de faux documents, des logements et du travail dans le département de Seine-Saint-Denis et notamment sur Aulnay-sous-Bois, Bobigny, Drancy et La Courneuve.
16 individus ont été placés en garde à vue ; quant aux immigrés clandestins, une vingtaine pour le moment, ils se sont vus placés en rétention administrative, dans l’attente du sort qui leur sera réservé.
Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré avoir l’intention de s’occuper de ces dizaines de milliers de migrants clandestins, il aura déjà bien du mal à se débarrasser des quelques centaines « fichés pour radicalisation à caractère terroriste » ! Nous aimerions savoir combien ont déjà été expulsés ? Faites-nous ce cadeau pour les fêtes de fin d’année… dites-le-nous !