Cette cité, emblématique du 93, a choisi de se battre contre le confinement. Pas contre le virus.
Saint-Denis est une ville ouverte. En temps de guerre -nous y sommes- ce terme désigne une ville qui se rend à l’ennemi sans combattre. De Saint-Denis, le coronavirus s’est rendu maître facilement: aucune défense ne lui a été opposée. Même que parfois c’est la fête.
Beaucoup trop de monde dans la rue. Sur les stades des gamins jouent au foot. Et des munitions contre le seul ennemi qui vaille : les flics ! Quand ils s’y aventurent, des jets de projectiles et des tirs de mortiers les accueillent. Des « jeunes » les narguent : « vous êtes bien dehors, pourquoi nous on aurait pas le droit ? »
Des flics, prudents, s’avancent à pas feutrés: « nous avons pour consigne d’éviter des émeutes » a dit l’un d’eux. Et pendant ce temps, le coronavirus, épris de liberté, s’installe durablement en puissance occupante à Saint-Denis.
Or ni le RER ni les bus qui desservent Saint-Denis n’ont été interrompus. Les résidents de cette ville si ouverte peuvent donc se déplacer à Paris. Et le virus se déplace avec eux. Ce qui se passe dans le 93 porte un nom : la mise en danger de la vie d’autrui. Comme on ne veut pas d’émeute, pourrait-on au moins envisager un cordon sanitaire autour de la ville qui serait donc toute entière confinée avec interdiction d’en sortir ?
Le pouvoir s’est trompé à chaque étape de la bataille à mener. Il a commencé par nier qu’elle pouvait atteindre notre sol. Le 24 janvier, Mme Buzyn, ministre de la Santé, déclarait que « le risque d’importation du virus depuis Wuhan est pratiquement nul, le risque de propagation très faible ». Ce jour-là, le ministre de la Santé s’appuie sur « des analyses de risques modélisés par des équipes de recherche ». L’INSERM vient de construire « un modèle pour estimer le risque d’importation de l’épidémie en Europe ». Ses chercheurs ont réalisé deux scénarios, « celui d’un faible risque de diffusion et celui d’un risque élevé ». Pour la France, le risque d’importation était estimé entre 5 % et 13 %. Il n’était donc pas nul, contrairement à ce qu’a dit le ministre, et il a été moins faible que les manipulateurs de chiffres plutôt que de molécules ne l’avaient prévu.
Pendant près de deux mois, jusqu’au 15 mars, quand la Chine multipliait des mesures d’exception, avec le confinement des villes avec contrôles et prises de température à l’entrée et à la sortie, la concentration des moyens dédiés et les commandes appropriées, la construction ultra-rapide de nouveaux hôpitaux, la France lançait une bande dessinée : Manu au bar des handicapés, Manu au théâtre, Manu va voter et puis Manu va-t-en guerre. Dans la dernière édition, le climat avait changé : il ne s’agissait plus de tranquilliser la population mais de la préparer à un combat pour lequel on avait oublié de stocker les munitions : manque de masques, notamment FFP2 pour le personnel médical, manque de tests, manque de respirateurs et de lits adaptés dans certaines régions particulièrement touchées.
Toute la communication gouvernementale s’est, dès lors, ingéniée à justifier une stratégie imposée à la France par le manque de prévoyance et par la pénurie des moyens. L’absence de contact devait pallier l’absence de solution médicale. La France, grande puissance, pays riche, menait une lutte médiévale destinée à ralentir la propagation, le temps de fabriquer ou de commander les armes nécessaires pour livrer le vrai combat en dépistant systématiquement les personnes atteintes par le virus et capables de le transmettre, sans laisser elles-mêmes apparaître de symptômes, en protégeant le personnel médical avec des masques FFP2 et en soignant le plus vite possible les malades avant que les cas ne deviennent trop graves.
Dans cette gesticulation du pouvoir mêlant mensonges et avalanche de mesures, les unes limitant la liberté de circuler, les autres visant à empêcher la panique économique à grand renfort de dépenses d’un État déjà hyperendetté, les boulettes se sont multipliées.
Dans cette confusion qui est l’apogée du « en même temps », un conflit local typiquement français s’est déclaré : entre le village gaulois de l’IUH de Marseille dirigé par le professeur Didier Raoult et l’État parisien, ses consuls et ses légions. Le virologue, de réputation mondiale, mais climato-sceptique, définit une bonne stratégie : dépistage massif et soins précoces à base d’hydroxychloroquine associée à un antibiotique. Comme la France n’a pas les moyens du dépistage, « en raison de difficultés techniques et logistiques », contrairement à l’Allemagne qui fait quatre fois plus de tests, une levée de boucliers a été organisée contre l’iconoclaste : les autorités « scientifiques » et médiatiques pointent les dangers d’un « vieux » médicament pourtant bien connu et veulent le réserver aux cas graves…
Un essai clinique européen a été lancé : Discovery. Les essais français sont supervisés par l’INSERM et cinq hôpitaux français participeront, mais l’IHU du Pr Raoult n’en fait pas partie. Le Pr Bruno Lina, virologue, membre du Conseil scientifique, met en garde contre la prescription de la chloroquine. Le traitement associant l’antibiotique ne sera pas expérimenté… Pour des raisons qui mêlent la science à d’obscures rivalités, auxquelles prendrait part, selon certains, l’ancien patron de l’INSERM et époux de Mme Buzyn, le professeur Raoult n’est pas en cour… On n’ose imaginer que l’appétit de certains laboratoires se cacherait derrière cette obstruction. Mais nous sommes sauvés, un nouveau « machin » a été créé pour conseiller le pouvoir : le CARE, au nom typiquement progressiste français…
« Un don du ciel », clamait Donald Trump il y a trois jours, en saluant l’étude clinique du Pr Didier Raoult. Il semblerait que les faits lui donnent encore raison.
À New York, principal foyer de la pandémie du Covid-19, le docteur Zev Zelenko, d’origine russe, vient d’envoyer à Donald Trump un courrier présentant les résultats de sa propre étude clinique, concernant 350 puis 150 patients supplémentaires, traités à la chloroquine. Impressionnant !
« Nous avons eu ZÉRO mort, ZÉRO hospitalisation et ZÉRO intubation”
Mais en France, on tergiverse, on critique, on louvoie, on ment et on savonne la planche du génie marseillais. Tous les médecins de nos hôpitaux dépistés positifs au Covid-19 se soignent à la chloroquine sans attendre. Tous les politiques ou les célébrités font de même. Mais pour le petit peuple, rien !
Olivier Véran, contrairement aux recommandations du Pr Raoult, qui préconise ce traitement avant que l’état du patient ne s’aggrave, réserve l’usage de la chloroquine aux seuls hôpitaux et aux cas graves, pour lesquels la chloroquine est devenue inefficace ! Superbe logique !
En France, on manque de tout pour des raisons budgétaires. Mais on va manquer de chloroquine à 5 euros la boîte, pour des raisons réglementaires.
Tandis que du côté américain, mardi après-midi, le vice-président Mike Pence a annoncé que la FDA approuvait l’utilisation, hors d’essais cliniques approuvés par l’État, du médicament « en ce moment ».
« Les médecins peuvent désormais prescrire de la chloroquine dans le but non conforme de traiter les symptômes du coronavirus », a déclaré Pence.
Mais en France, les généralistes sont mis hors-jeu, contraints de renvoyer chez eux leurs patients potentiellement contaminés, faute de kits de dépistage.
Généraliser la prescription de chloroquine éviterait pourtant les hospitalisations et la saturation des salles de réanimation. Pourquoi rester passif et laisser mourir des milliers de patients en attendant les résultats d’une étude européenne qui va durer des semaines ?
Après la pénurie de lits, de masques, de kits de dépistage, de respirateurs, sommes-nous en rupture de stock de chloroquine ? Ce qui expliquerait les réticences du gouvernement à généraliser la chloroquine malgré l’urgence sanitaire ? On s’interroge…
Est-ce un nouveau scandale faute d’avoir anticipé, alors que les États-Unis achètent en masse toute la chloroquine disponible ?
Le président de Sanofi a déclaré au gouvernement français qu’il disposait d’un stock de 350 000 boîtes, ce qui correspond à 350 000 patients. Mais est-ce encore le cas ? On apprend que le Maroc a acheté tout le stock de chloroquine de Sanofi produit à Casablanca.
Les États-Unis raflent tout ce qui traîne sur le marché. Depuis début mars, les ventes y ont explosé de 3 000 % !
Allemands, Anglais, italiens, Espagnols ont tous des commandes en cours chez Sanofi.
Tous les labos du monde s’y mettent, aux USA, en Inde, en Suisse, en Allemagne, en Israël. L’engouement de Trump pour l’étude du Pr Raoult n’y est pas étranger. Cette montée en puissance des labos représente 200 millions de comprimés, de quoi soigner 4 millions de malades.
C’est bien la preuve que le traitement de Didier Raoult sauve les vies et qu’en coulisses on se prépare au feu vert de l’OMS et des autorités sanitaires nationales.
Extrait de la lettre du docteur Zev Zelenko :
« Depuis jeudi dernier, mon équipe a traité environ 350 patients à Kiryas Joel et 150 autres patients dans d’autres régions de l’État de New York avec le même traitement. »
« Selon les retours d’information que j’ai pu obtenir des équipes médicales, nous avons eu ZÉRO mort, ZÉRO hospitalisation et ZÉRO intubation. »
« De plus, je n’ai entendu parler d’aucun effet secondaire autre qu’environ 10 % des patients souffrant de nausées et de diarrhées temporaires. »
« En somme, ma recommandation urgente est de commencer le traitement en ambulatoire dès que possible,conformément à ce qui précède. D’après mon expérience directe, il prévient de syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA), évite les hospitalisations et sauve des vies. »
Difficile de faire mieux !
Mais qu’en pensent tous nos donneurs de leçons, qui pavoisent sur nos plateaux télé et traînent Didier Raoult dans la boue ? Qui sont-ils ?
D’obscurs médecins qui ont des liens étroits avec des labos et qui osent venir nous parler d’éthique, des journalistes ignares, des lèche-bottes de la Macronie, qui rabâchent leur leçon tels des perroquets, sans rien connaître du sujet.
Et ce sont ces charlots qui reprochent à l’éminent professeur, référence mondiale dans son domaine, de manquer d’éthique ! On croit rêver !
Il sauve des vies chaque jour mais n’aurait aucune éthique !!
Combien de vies ont-elles été sauvées par tout ce joli monde habitué des plateaux TV, pendant que Didier Raoult en sauve chaque jour et que le peuple marseillais plébiscite son traitement ?
Mais il y a fort à parier que ces hypocrites s’empresseront de dire « oui », si d’aventure ils sont hospitalisés et qu’on leur propose, faute de traitement autre, cette horrible chloroquine qu’ils exècrent sur les plateaux, pour discréditer un très grand monsieur de la médecine.
C’est la revanche des minables !
Ils sont écœurants, tant ils dégoulinent de haine, d’incompétence et d’hypocrisie. Ils savent tous qu’ils auront droit à un test au moindre éternuement et que pour eux, il n’y aura aucune pénurie ou restriction à la chloroquine, seul remède à ce jour qui ait fait ses preuves.
Ce joli monde arrogant se croit encore sous l’Ancien Régime, alors que le vrai pouvoir appartient au peuple qu’il méprise.
Tous ceux qui tentent de torpiller le travail du Pr Raoult auront bonne mine quand son traitement sera appliqué dans le monde entier avec succès.
En attendant une étincelle d’intelligence chez nos décideurs, qui alignent faute sur faute depuis trois mois, nous comptons chaque soir nos morts, dix à quinze fois plus nombreux qu’en Allemagne.
Honte à Macron et à son gouvernement de menteurs et d’incapables.
Quand aurons-nous des kits de dépistage et de la chloroquine pour sauver des vies, au lieu de renvoyer les malades chez eux, finir comme la malheureuse Julie, qui n’avait que 16 ans et aucune pathologie antérieure ?
On nous a dit que les deux premiers tests étaient négatifs alors qu’elle était contaminée par le Covid-19 et qu’elle en est morte. Que signifie tout cela ?
Il est temps d’en finir avec ces comportements aussi irresponsables que criminels. On n’a pas besoin de discours pitoyables. On a besoin de masques, de kits de dépistage, de respirateurs et surtout de chloroquine en médecine ambulatoire, pour vider nos hôpitaux et soulager nos personnels soignants déjà épuisés avant le tsunami.
Combien de morts supplémentaires ce soir, faute de matériels et de personnels ? 400 ? 500 ?
Tous morts pour des raisons budgétaires…
Hélas, notre chef de guerre se fait davantage de souci pour la survie de l’Europe que pour la survie du peuple français.
La France a commandé au total un milliard de masques à la Chine dans le cadre de la lutte contre la pandémie de coronavirus, a appris franceinfo samedi 28 mars auprès de la Direction générale de la santé. Pour les acheminer vers la France, un pont aérien va être mis en place entre les deux pays avec 56 rotations. « Air France participe à ce pont aérien », confirme la compagnie aérienne, sans plus de précisions.
Dans le détail, quatre vols seront réalisés chaque semaine grâce à des avions russes Antonov. Chaque vol permettra de ramener 18,3 millions de masques, dont plus de 74 millions de FFP2. Ces masques seront dans un premier temps concentrés en Chine dans les villes de Shenzhen et Shangai. En 48h, ils arriveront sur le sol français.
Ils seront à ce moment-là répartis dans les entrepôts de Santé publique France : Marolles (Loir-et-Cher), Blanquefort (Gironde), Vatry (Marne), Longueau (Somme), Allauch (Bouches-du-Rhône) et Champonnay (Rhône).
La Russie a annoncé ce 28 mars avoir créé un médicament pour traiter le coronavirus. Selon le Centre de recherche et de production Pharmazachita, le schéma thérapeutique est basé sur le médicament antipaludique Méfloquine.
L’Agence fédérale russe de biomédecine a présenté ce samedi 28 mars un médicament pour le traitement du coronavirus basé sur le médicament antipaludique Méfloquine.
«Le Centre de recherche et de production Pharmazachita, se référant à l’expérience chinoise et française, a développé un schéma thérapeutique pour lutter contre le coronavirus qui est basé sur le médicament antipaludique Méfloquine», est-il indiqué dans le communiqué
Selon l’agence, ce «médicament à haute sélectivité bloque l’effet cytopathique du coronavirus dans les cellules et inhibe sa réplication, alors que les effets immunosuppressifs du Méfloquine bloquent l’inflammation provoquée par le virus».
«L’ajout de macrolides et de pénicillines synthétiques empêchera non seulement la formation d’un syndrome bactérien et viral secondaire, mais permettra également d’augmenter la concentration d’agents antiviraux dans le plasma sanguin et les poumons», ce qui fournira «un traitement efficace aux patients atteints de coronavirus de gravité variable».
Un nouveau test de dépistage du coronavirus
Plus tôt dans la journée, un nouveau test de dépistage permettant de déceler la présence du Covid-19 en 90 minutes a été certifié en Russie. Selon le site officiel russe de la lutte contre le coronavirus, «les tests ont une sensibilité très élevée de 10 puissance 2».
La mise en service est prévue pour le 30 mars. Il est envisagé d’en produire 1.000 par semaine, chacun capable de réaliser 100 analyses. Cela permettra ainsi de tester 100.000 personnes en sept jours. Il est également prévu d’augmenter la production jusqu’à 2.000 tests par semaine.
Les couards Castaner et Nunez se couchent devant ce genre de « citoyens » → dispensés de confinement !
On y est ! Ou presque, d’une part au pic du Covid-19 en France ; du moins c’est à espérer, pour que s’enclenche ensuite la « redescente » et la délivrance.
Ce pic aurait été atteint depuis plusieurs jours, voire semaines, si les gougnafiers LREM qui « président » à notre destinée n’avaient pas perdu autant de temps à atermoyer… appliqués à suivre leur feuille de route impliquant la ruine de la nation France !
Mais hélas, il est à craindre également que l’on arrive aux redoutées scènes de violences qui ne manqueront pas de se produire, un peu partout,dans les zones appelées « zones à risques » par les couards qui nous gouvernent, alors que le terme exact est plutôt « territoires lâchement perdus pour la République » à cause des pleutres qui, depuis des décennies, se vautrent aux pieds d’une communauté qu’il est absolument défendu de stigmatiser… quand il est simplement question de leur total manque de respect et de loyauté envers la France qui les accueille, et les Français qui triment et sont rackettés pour leur offrir ce qu’ils n’ont pas dans leurs pays d’origine.
L’épisode mortel du Coronavirus aura, entre autres, démontré de manière aveuglante, et parfaitement scandaleuse, à quel point cette communauté se moque, avec une morgue insoutenable, des lois du pays et des ordres du gouvernement !
Mais comment attendre autre chose de la part de ceux qui, quel que soit leur âge, enfants, ados, adultes… se conduisent comme de sales morveux impolis, répondant à la moindre interpellation par des injures, des insultes… quand ce n’est pas en l’occurrence, par des crachats ?
Cela fait des décennies que les vauriens qui se précipitent aux postes prestigieux de gouvernance du pays, sans en avoir la moindre faculté, se contentent, d’un scrutin à l’autre, de travailler à leur réélection ; adoptant pour cela l’éternel mantra « pas de vagues »… n’hésitant pas à lâchement se vautrer aux pieds de ceux qui usent de menaces mortelles à la moindre contrariété !
Ces salopards s’imaginent qu’en les brossant dans le sens du poil, et en les privilégiant toujours, ils auront droit à leur vote… occultant totalement le danger que représente l’augmentation régulière des candidats communautaires, qui n’en doutons pas, leur raviront définitivement cet électorat leur ayant permis de perdurer !
Dans la liste des indécents passe-droits accordés aux « racailles des quartiers », refusant d’obéir bien que s’affirmant « Français aussi bien que nous ! » au moindre reproche, nous avons pu constater ces derniers jours jusqu’où pouvaient aller ces fieffés poltrons, le pantalon en permanence en bas des pieds pour avoir cédé devant leur refus du confinement… pendant que chaque jour voit le tour de vis augmenter pour le citoyen lambda civilement responsable, et ne brûlant de voiture pour se faire « respecter » !
Alors, savoir qu’aujourd’hui les hôpitaux de Seine-Saint-Denis sont saturés, et que le virus atteint finalement aussi bien des jeunes que des vieillards, des élus comme des anonymes… ne peut que légitimement nous inquiéter, quand on connaît la capacité de nuisance, déjà en temps normal, de « certains individus » sans une once de civisme, lorsqu’ils débarquent aux urgences (gratuites) « avec la smala » pour un panaris ou une foulure… y mettant immédiatement le souk par leur comportement bruyant et leurs exigences de priorité !
Parmi les petits merdeux irresponsables, refusant le confinement… combien auraient pu éviter de choper le virus (et de le transmettre), s’ils avaient fermement été obligés d’obéir… notamment à Aubervilliers où, l’édile, Meriem Derkaoui, qui semble en avoir bien plus dans le pantalon que certains de ses collègues masculins… s’est vue priée par le préfet, Georges-François Leclerc, de renoncer au couvre-feu annoncé… au prétexte que « les textes déjà en vigueur « sont applicables, suffisants et bien appliqués » et n’ont pas besoin d’être renforcés par un couvre-feu ».
Voilà à quoi l’on arrive, lorsqu’un simili chef d’État, incapable de prendre rapidement une mesure drastique en situation d’urgence, transmet la décision au bon vouloir des préfets !
Si une ou plusieurs des racailles de Seine-Saint-Denis meurent du Covid-19, je ne donnerai pas cher de sa peau, à Georges-François, semblant si mal connaître la mentalité revancharde de ces adorables créatures. Tant pis pour lui !
Les fripouilles se sentant suffisamment protégés par le Ciel pour refuser le confinement, de jour comme de nuit, devaient pourtant songer que le virus n’est ni sectaire, ni raciste… et que donc dans la plus grande équité, s’il s’abat sur des édiles… il pourrait aussi bien fondre sur eux !
Aujourd’hui en Seine-Saint-Denis, le bilan est le suivant :
– À Tremblay, Sevran et Épinay, les maires sont à l’hôpital, atteints du Covid-19
– À Drancy, deux conseillers municipaux sont mort des suites du virus : Paule Beaujour 81ans, et Brahim Fellah 53 ans.
Chacun prend ses responsabilités, aussi je ne verserai pas une larme sur ceux qui « auront bien cherché » la terrible sentence du virus ; mais je ne peux m’empêcher de craindre certains scénarios douloureux rendus possibles par la couardise de nos dirigeants, pourtant si grassement payés pour prendre leurs responsabilités !
Dans le chaos de la pandémie en France, les médecins et personnels soignants qui, par besoin pressant de respirateurs ou autres matériels, sont parfois obligés de choisir entre deux malades, celui à soigner en priorité, devront-ils désormais décider, le couteau sur la gorge, qui, de « Maurice » 75 ans, ou « Abdoul » clandestin wesh-wesh de 20 ans, pourra être traité en priorité ?
Et quelle sera la réaction de ce dernier et de ses « frères » si c’est Maurice que l’on sauve ???
La question vaut la peine d’être posée… et de s’en inquiéter !
La décision prise par l’Union européenne (UE) de reporter l’examen de mesures plus fortes afin d’atténuer les conséquences économiques et sociales dramatiques liées à l’épidémie de coronavirus passe très mal en Italie. Pour une partie de la presse, Bruxelles abandonne la péninsule à son sort. Elle n’hésite pas à parler d’une UE «laide» et «morte».
«Si l’UE ne se met pas d’accord, le projet européen est terminé.»
Jamais le pourtant pro-européen Corriere della Sera n’avait été si catégorique sur l’avenir d’une Union européenne plus que jamais fragilisée par la crise du coronavirus. Le quotidien italien, le plus diffusé du pays, a très mal pris la récente décision des 27. Réunis en visioconférence le 26 mars, les pays membres n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur des mesures fortes visant à apporter un soutien aux nations les plus touchées par la terrible épidémie de coronavirus.
La presse italienne déchaînée
Pays qui paie le plus lourd tribut au monde, l’Italie a déjà enregistré près de 8.200 décès liés au Covid-19. Quasiment à l’arrêt depuis le 10 mars et le début du confinement, la Botte paie le prix fort au niveau sanitaire comme économique.
À plusieurs reprises, le Premier ministre italien Giuseppe Conte a demandé à l’Union européenne de faire tout son possible pour aider son pays. Il a notamment, avec l’appui de la France, proposé la création de «coronabonds» qui mutualiseraient la dette des États membres. Une option que réfutent plusieurs pays du nord de l’Europe, Allemagne en tête.
«Nous avons dit, du côté allemand, mais aussi de la part d’autres participants, que ce n’était pas la conception de tous les États membres» d’émettre ces emprunts européens communs pour soutenir l’économie, a déclaré la chancelière allemande Angela Merkel à l’issue du sommet.
Cette dernière a notamment réaffirmé sa «préférence pour le MES» ou Mécanisme européen de stabilité, un fonds de secours créé en 2012 lors de la crise de la dette et doté d’une capacité de prêt de 410 milliards d’euros. Lors du sommet, Giuseppe Conte, visiblement agacé par le manque de soutien de ses partenaires européens, est allé jusqu’à menacer de refuser de signer la déclaration commune si les autres pays de l’UE n’adoptaient pas des mesures fortes, «avec des instruments financiers innovants et réellement adéquats pour une guerre que nous devons mener ensemble». Une prise de position qui a eu pour effet de pousser les 27 à «présenter des propositions dans un délai de deux semaines».
Pas de quoi satisfaire le Corriere della Sera qui parle d’accord «a minima». Le quotidien fustige une «union qui ne fait pas la force». Il Fatto Quotidiano va même plus loin en titrant:
«Conte dit à une Europe morte d’aller se faire foutre.»
Même son de cloche du côté du pro-européen La Repubblica, qui parle d’une «laide Europe». Pour le quotidien financier Il Sole-24Ore, Bruxelles est «à un tournant». Le journal cite notamment un diplomate qui estime que «quand on compte les morts, on ne compte pas les milliards».
Le chef de la diplomatie italienne Luigi Di Maio s’est également montré ferme avec Bruxelles en prenant son clavier pour poster un message sur Facebook:
«Nous attendons de la part de nos partenaires européens de la loyauté, nous attendons que l’Europe fasse sa part, parce que les belles paroles, on ne sait pas quoi en faire.»
Même attitude du côté de l’ancien président du Parlement européen, Antonio Tajani. Le membre du parti Forza Italia a qualifié l’Europe de «lâche» et a prédit qu’elle serait «emportée par le coronavirus»:
«Pendant que l’on meurt et que l’économie s’effondre, les décisions sont renvoyées à dans deux semaines. L’égoïsme masochiste des tenants de la rigueur est myope et dangereux pour tous.»
La télévision italienne n’est pas en reste. Sur la chaîne Rete4, Luca Zaia, gouverneur de la Vénétie, région particulièrement touchée par l’épidémie, s’est également montré très critique envers Bruxelles: «Une fois de plus, l’Europe démontre son absence, il n’y a pas de stratégie.»
Éric Maurice, de la Fondation Robert Schuman, a confié son analyse de la situation à l’AFP:
«Le sommet d’hier a recréé l’image des deux camps en Europe: le Nord contre le Sud.»
Cette opposition entre des pays du nord de l’Europe aux finances saines et des pays du sud davantage en difficulté n’est pas nouvelle et avait déjà éclaté au grand jour lors de la crise grecque ou celle de la dette en 2012.
«En temps de crise, la solidarité est difficile à mettre en place», estime Éric Maurice. «Est-ce que l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Autriche ou la Finlande sont sur une ligne: “On va réfléchir concrètement à ce qui est possible car il faut être efficace sur le moyen et long terme”. Ou sont-ils dans un refus de principe?», s’interroge-t-il.
Devant le manque de soutien de ses partenaires européens, Rome a demandé de l’aide à plusieurs pays dont certains ne sont pas en bons termes avec Bruxelles. La Russie, Cuba ou encore la Chine ont envoyé médecins et matériel dans la péninsule afin d’aider à lutter contre la propagation du virus.
Et l’Italie n’est pas le seul pays membre à se montrer critique envers l’Union européenne. Antonio Costa, Premier ministre portugais, a fustigé la «mesquinerie récurrente» de La Haye qui, selon lui, aurait proposé d’enquêter sur le manque de marge budgétaire de certains pays européens.
La question principale demeure. L’Union européenne survivra-t-elle au coronavirus?