Et Macron se foutait de Marine, sur la fermeture de nos frontières !

Riposte Laïque

Ce jeudi 18/03, le Ministère des Armées va débloquer 5 000 000 de masques de son stock pour lutter contre la pandémie « coronavirus » (1)… Pourquoi si tard ? Pourquoi si peu ?

Dans les jours à venir, un hôpital de campagne viendra s’ajouter aux hôpitaux surchargés de notre système de santé  (2)… Un seul ? Et les autres ? Et les  « respirateurs » afférents ? Et le personnel de santé militaire ? Pourquoi si tard ?

Après un développement foudroyant de la pandémie en deux semaines, c’est maintenant que l’on fait appel aux moyens existant dans tous les « ministères », et, en particulier, dans celui des Armées  qui n’en est sûrement pas à préparer une prochaine guerre !

La Chine fut attaquée par le virus en décembre dernier… Elle a mis un mois pour mesurer l’ampleur et la dangerosité du phénomène… Mais, dès le 20/01, elle a lancé une campagne d’actions décisives, rapides et brutales (confinement, infrastructures techniques, moyens médicaux et de protection, tests, fermeture des circulations interurbaines et inter provinciales …) qui n’a pas tardé à porter ses fruits.

Qu’ont appris nos « zélites gouvernementales » de cette expérience ?

Rien : le Jupiter de l’Elysée sait tout, il n’apprend jamais rien, il est la parole et l’oracle… Et il se retrouve comme un petit con quand  le réel le submerge ! L’ennui, c’est qu’il nous enfonce dans la mouise et met nos vies en péril !

Parce que, le 24 janvier, Agnès Buzyn, encore ministre de la Santé, se voulait rassurante concernant l’épidémie du coronavirus. « Les risques de propagation du virus dans la population sont très faibles« , déclarait-elle.

Mais, un mois et demi plus tard, l’ancienne ministre assure dans un entretien au Monde : « Je pense que j’étais la première à voir ce qu’il se passait en Chine… Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la situation. Le 30 janvier, j’ai averti Édouard Philippe que les élections ne pourraient sans doute pas se tenir. Je rongeais mon frein »

On ne saurait mieux montrer l’aveuglement et la stupidité (qui expliquent l’impréparation…) des gouvernants de l’Elysée et de Matignon, incapables de comprendre et donc d’agir…

Pire, ce que dit aujourd’hui la Buzyn (qui veut sans doute se dédouaner) est corroboré par les discours successifs du freluquet élyséen qui, le 27/02, se moquait de Marine le Pen qui lui demandait de fermer les frontières comme première mesure pour enrayer la pandémie (3).

Position d’ailleurs reprise par le playboy fatigué qui, nouvelle girouette politicienne de la « macronie », a remplacé la Buzyn au Ministère de la Santé …. appelant à son secours « les scientifiques » qui lui avaient assuré qu’un virus n’avaient pas de frontières (4) … en omettant de lui dire sans doute que ce virus là ne voyageait que par humains interposés ….et que la connerie non plus n’a pas de frontières et qu’elle frappait lourdement ceux qui sont aux affaires par simple application du principe de Peter et par souplesse d’échine !

Et si le lundi 16/03, le nain politique de l’Elysée a adopté un ton martial pour, enfin, annoncer les vraies mesures de lutte contre le coronavirus, (après avoir lâché bêtement dans le processus électoral 22 millions de Français… quitte à revenir en arrière en renvoyant le second tour, ce qui crée des situations ubuesques dans les conseils municipaux anciens et nouveaux !), il faisait davantage penser à un Agamemnon extrait de « La Belle Hélène » d’Offenbach qu’à un De Gaulle ou un Clémenceau !

C’est sûr qu’il n’avait rien vu venir, enfoncé dans ses certitudes, son mépris du peuple de France, son européisme exacerbé qui lui fait « se laver les mains » du sort de notre nation !

C’est sûr que cette étroitesse d’esprit liée à un égo surdimensionné (il a le melon, quoi….) lui ont interdit de prendre exemple sur la Chine… ou même sur la Corée du Sud (un petit pays de 51 millions d’habitants…) qui, fortement touchée, a imposé dépistages, contrôles draconiens, mobilisation massive technologique et médicale, initiatives collectives et individuelles, pour enrayer et minimiser la pandémie.

En France, alors que nos frontières ne sont pas encore vraiment bouclées aux arrivants, on en est encore à tenter de mobiliser les hommes et les matériels, la guerre ayant été déclarée sans que la logistique n’ait été organisée sur le terrain !

Ah, mais on va verbaliser les promeneurs intempestifs, avec raison, certes mais  le danseur de slow langoureux qui squatte la place Beauvau va-t-il imposer le confinement aux banlieues où s’entassent les immigrés légaux et illégaux qui ruinent notre système de santé ? Va-t-il contrôler les racailles plus ou moins islamisées qui commencent à caillasser les policiers et à profiter de tous les trafics que permet cette situation de crise ? Va-t-il équiper « ses » forces de l’ordre des outils de protection et d’intervention nécessaires ?

Poser aujourd’hui, en peine guerre (dit le freluquet) ces questions, c’est savoir que les réponses seront négatives tant le laxisme habituel de ce gouvernement envers les voyous, sa complaisance islamophile et sa politique d’immigration tous azimuts vont le paralyser.

Aucune vision préventive… Une impréparation coupable… Une impuissance disciplinaire… Une  cacophonie pédagogique… Un amateurisme désolant.

Il paraît que les Français avaient élu en 2017 une intelligence, une compétence, une hauteur de vue… (sic !)

Ah oui, c’était pour saluer sa parole d’hypocrite,  ses postures de charlatan, ses mimiques d’histrion !

Jean des Entamures

1 – https://www.20minutes.fr/societe/2743383-20200319-coronavirus-ministere-armees-livre-cinq-millions-masques

2- http://www.leparisien.fr/societe/coronavirus-a-quoi-va-ressembler-l-hopital-de-campagne-deploye-en-alsace-18-03-2020-8282472.php

3 –https://www.valeursactuelles.com/politique/coronavirus-le-pen-veut-fermer-les-frontieres-macron-ironise-116555

4 –https://www.valeursactuelles.com/societe/coronavirus-fermer-les-frontieres-pas-dinteret-scientifique-selon-olivier-veran-117069

Coronavirus : deux France face-à-face, on y est !

Riposte Laïque

Les mesures de confinement s’appliquent à toute la France. Or on constate que dans bien des zones, elles ne sont pas appliquées et les contrevenants pas sanctionnés. Quand on prend la peine de regarder, il s’agit des zones de non-France que nous dénonçons depuis toujours. Eh oui ! (Jean Messiha).

« Quand tu regardes, tu t’aperçois bien qu’il y a 2 France… Ceux qui font des problèmes dans les magasins ? Ceux qui résistent à la police qui leur demande de se confiner ? C’est qui ? Moi, je n’ai plus envie de vivre avec ces gens. La solidarité, c’est entre personnes raisonnables. » s’insurge également une dénommée Gwen sur Twitter.

« Des territoires entiers livrés à l’immigration ont fait sécession afin de pouvoir être en France, tout en étant ailleurs… Seul un retour massif de l’État, avec son autorité, sa force et sa contrainte peut assurer l’unité et l’état de droit », ajoute Le Conservateur.

À Grigny (Essonne)

À Elbeuf (Seine Maritime)

À Lille

« Ils ne se sentent concernés par rien de ce qui fait notre vie collective. Aucune de nos lois, aucune de nos normes ne les concernent. Aucune de nos joies, aucune de nos épreuves ne les affectent. Nous n’habitons pas le même pays. », commente Philippe Vardon, en relayant la vidéo d’une patrouille de police menacée de mort par une bande d’afro-musulmans provocateur.

« Si, le soir de l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, vous aviez entendu les cris de joie de la part de certains, vous auriez vu où sont les ennemis de la France. Depuis ce jour, je n’ai plus aucune complaisance envers les immigrés qui vomissent la France, son peuple et son identité », ajoute François.

Sans oublier ceci : Macron et Philippe sont pris de fou rire sur le chemin pour aller voir la cathédrale dévastée par les flammes, comme s’ils n’en avaient rien à foutre de l’histoire de France.

On assiste tout simplement à la réalisation de plus en plus affirmée de l’avertissement prophétique de Gérard Collomb en octobre 2018 : «Aujourd’hui on vit côte à côte… Je crains que demain on vive face à face»

Les France multiethnique, mondialisée, déracinée de Macron, des bobos-gauchos-mondialo et des banlieues de la diversité FAIT FACE À la France des Français de souche patriotes et nationalistes, attachés à leur terre ancestrale et qui n’ont jamais eu un seul referendum clair pour leur demander s’ils acceptaient de se faire envahir.

Ceux qui votent pour Hidalgo, pour la mondialisation, pour les migrants, pour la diversité, pour la fin des voitures, mais qui prennent en vitesse leur voiture pour aller contaminer les ploucs de campagne quelques heures avant le début du confinement, les journalistes stipendiés, les politiques corrompus et profiteurs, les racailles assistées, les cadres et hommes d’affaires bobo qui profitent de la mondialisation, les retraités qui ont voté pendant 40 ans pour les partis immigrationnistes, mènent la France au chaos.

Les forces de l’ordre sont dans l’incapacité organisée (par le pouvoir) de mettre fin, dans les zones de non-droit, aux comportements dangereux et criminels de ceux qui désobéissent à l’obligation du confinement et qui mettent ainsi en danger l’ensemble de la population.

Les « bavures » filmées, le plus souvent provoquées par les racailles, se multiplient. Macron n’a d’autre choix que d’appeler l’armée.

Tout est possible dans les jours et les semaines qui viennent : attentats, émeutes afro-musulmanes quasi-djihadistes et pour finir guerre civile raciale et religieuse…

Il y a maintenant de plus en plus de chances que l’année 2020 marque un tournant décisif dans l’histoire du monde et de la France en particulier.

Soit la France déjà libanisée se disloque complètement en territoires autonomes ethniques et religieux (balkanisation), soit les vrais Français reprennent le pouvoir sur leur terre ancestrale et effectuent l’expulsion des masses allogènes incompatibles.

Les banques centrales allongent les milliards face au Covid-19, «une folie» qui peut conduire à «l’hyperinflation»

Sputnik

Malgré les sommes colossales dégainées par plusieurs banques centrales, dont la FED et la BCE, l’effet a été mitigé sur les marchés. Sont-elles impuissantes face à la crise du coronavirus qui frappe l’économie mondiale? Philippe Herlin, économiste et chroniqueur pour Or.fr livre son analyse à Sputnik.

Des centaines de milliards de dollars et d’euros. Voici ce qu’ont promis en l’espace de quelques jours la Réserve fédérale américaine (FED) et sa pendante européenne la Banque centrale européenne (BCE). Face à l’urgence économique liée à la crise du coronavirus, la BCE a annoncé le 18 mars un plan d’urgence de 750 milliards d’euros pour racheter de la dette, publiques et privée. Une somme qui s’ajoute aux 120 milliards d’euros débloqués précédemment dans le cadre du programme de rachat d’actifs ou «quantitative easing» mis en place par l’institution basée à Francfort.

Avant les annonces de la BCE, la FED avait également sorti l’artillerie lourde avec des facilités de crédits octroyées aux ménages et aux entreprises, un soutien sur les prêts automobiles ou encore une injection massive de liquidités sur le marché monétaire de plusieurs centaines de milliards de dollars quotidiennement.

Les bourses pas vraiment emballées

Pourtant, ces annonces n’ont eu qu’un effet mitigé sur des marchés actions qui enchaînent les plongeons depuis deux semaines. Le 19 mars, au lendemain des annonces de la BCE, les bourses asiatiques ont pratiquement toutes terminé dans le rouge, quand en Europe et aux États-Unis le rebond était fébrile.

Le CAC a enregistré une hausse inférieure à 2,7% alors que Madrid gagnait 1,93% et la Bourse de Francfort 2%. Du côté des États-Unis, à 19 h 00 heure française, le Dow Jones était en hausse d’environ 2%. Comment expliquez une telle situation après des annonces aussi importantes de la part des banquiers centraux? Philippe Herlin, économiste et chroniqueur pour Or.fr a son idée:

«Les banques centrales sont coincées. Elles ne peuvent plus jouer sur les taux, donc elles agissent par des rachats d’actifs ou de dette publique, notamment via des quantitative easing pour apporter de la liquidité. Mais la crise est tellement forte que cela n’a plus d’effet. Il faut comprendre qu’avant la crise du coronavirus, la crédibilité des banques centrales étaient déjà largement effritée. Les investisseurs avaient bien compris qu’elles étaient coincées avec leurs taux faibles voire négatifs et qu’elles n’avaient donc plus de marge de manœuvre. Tous les initiés savaient que cette situation était explosive en cas de crise. Et c’est arrivé avec le coronavirus qui est un véritable cygne noir.»

Pour Philippe Herlin, cette timide réaction des marchés ne fait que confirmer «la perte de crédibilité des banques centrales», une situation pour lui «très grave» car entraînant «une perte de confiance dans la monnaie». Julien Rolland, gérant obligataire spécialiste des taux souverains chez Aviva Investors, assure quant à lui que «la BCE réaffirme son engagement par rapport aux niveaux de taux et précise qu’elle continuera à mettre en place d’autres mesures et qu’il n’y a pas de limite à ce qu’elle peut faire». Ne serait-ce qu’un début?

«C’est de la folie. Pour moi ce n’est pas à ce niveau qu’il faut agir pour enrayer la crise, mais au niveau des gouvernements. Ils s’en sortent d’ailleurs plutôt bien, même s’il y a beaucoup d’improvisation. Ce qui est prévu en France, en Allemagne ou aux États-Unis va dans le bon sens: décaler les échéances fiscales, apporter des fonds aux entreprises qui risqueraient de faire faillite. Le but étant pour les entreprises en cessation d’activité et qui ont peu de trésorerie, des échéances fiscales ou des emprunts à rembourser, de passer le cap des quelques mois que va durer cette crise, si tout se passe bien. Encore une fois, c’est uniquement à ce niveau-là qu’il faut agir», explique Philippe Herlin.

D’après l’économiste, le véritable risque d’une telle politique de la part de BCE, couplé à la cessation de l’activité de nombreuses entreprises à travers la planète du fait des mesures de confinement, notamment en Europe, est de voir se développer l’hyperinflation:

«Le risque avec des banques centrales qui déversent des liquidités est de voir déraper les prix. Cela nous pend au nez. De nombreux spécialistes s’interrogent quant à savoir quand l’hyperinflation va redémarrer. Je me suis penché sur quelques exemples historiques, notamment le plus célèbre d’entre eux: la République de Weimar. Il y a effectivement eu de la planche à billets, mais le point de départ de la catastrophe demeure l’occupation de la Ruhr, le cœur industriel de l’Allemagne, par les armées françaises dans les années 20, suite à des défauts de paiement des indemnités de guerre. Elle a entraîné une grève des ouvriers et donc une cessation de la production industrielle dans cette région qui a poussé le gouvernement allemand, afin de soutenir la grève patriotique, à faire tourner la planche à billets pour payer les salaires. On a donc eu non seulement la planche à billets, mais également une chute de la production. Je pense qu’il faut les deux pour générer de l’hyperinflation.»

Philippe Herlin prend l’exemple du Japon. Le pays le plus endetté de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), avec un ratio dette/PIB avoisinant les 240%, n’est pourtant pas aux prises avec des problèmes d’hyperinflation. Et ce malgré un enchaînement de politiques monétaires ultra-accommodantes de la Banque centrale du Japon (boJ) depuis de nombreuses années. «Le cœur de l’économie continue de fonctionner. Lorsque vous achetez une voiture ou un appareil photo japonais, vous avez le top de la technologie et la fiabilité à un prix compétitif», explique Philippe Herlin. Ce dernier craint que l’épidémie de coronavirus ait tout changé pour les économies touchées de plein fouet par la crise actuelle:

«Nous allons vers un scénario à la vénézuélienne. Nous faisons face à une chute de la production due au confinement et à la récession qui va suivre. Il ne faut pas croire que l’on va se relever d’une telle situation en quelques semaines. Dans le cas où les banques centrales feraient tourner la planche à billets, je pense que l’inflation pourrait se mettre à démarrer. Cela serait une situation gravissime car si les prix dérapent, les taux d’intérêts vont automatiquement augmenter. Et dans un monde où les États et les acteurs économiques sont autant endettés… c’est la catastrophe.»

Thise (25). 11 morts dans un Ehpad non officiellement comptabilisés (MàJ : Pas de tests post-mortem en France, contrairement à l’Italie)

MàJ 20/03/2020

(…) Faute de tests post-mortem en France, il est impossible d’imputer ces décès au coronavirus (contrairement à l’Italie où ces tests post-mortem sont pratiqués, ce qui explique aussi le nombre élevé de victimes officielles du Covid-19).

(…) Est Républicain


19/03/2020

Onze décès sont à déplorer à l’Ehpad de Thise (Doubs) depuis le début de l’épidémie, dont 7 survenus « depuis le week-end dernier », indique le porte-parole de l’établissement.Tandis qu’un praticien confirme que « la situation s’aggrave fortement très rapidement ». Sachant que ces défunts ne comptent pas dans les statistiques du coronavirus, faute de tests.

(…) Est Républicain

Compiègne (60). Le barbecue rassemble une vingtaine de jeunes en plein confinement

Au deuxième jour de confinement obligatoire, au Close-des-Roses, certains jeunes n’en ont fait qu’à leur tête. De 15 heures à 17 heures mercredi 18 mars, un barbecue a été installé qui a ressemblé jusqu’à une vingtaine de participants. A aucun moment la police n’est venue perturber ce rassemblement illégal. A cet endroit de Compiègne, l’un des points stratégiques du trafic de drogue, pas question de perdre le sens de la fête ni des affaires semble-t-il.

(…) Oise hebdo