Comme le discours solennel d’Emmanuel Macron, jeudi soir, applaudi par l’ensemble de la classe médiatique, et soi-disant accepté par 66 % des Français, nous paraît bien loin ! Loin de la réalité qui s’est invitée, samedi soir, dans le quotidien de tous les Français, lorsque le Premier ministre nous a annoncé le passage au stade 3.
N’ont-ils rien vu venir ? Et lorsque l’on apprend que le conseil scientifique nommé par l’Élysée compte, dans ses onze membres (parmi lesquels une anthropologue et une sociologue !), le professeur Didier Raoult, on peut s’angoisser ! Ne déclarait il pas, fin janvier, que « le Covic-19 était un délire de l’OMS basé sur trois Chinois morts » ?
Samedi matin, sur LCI, Jérôme Marty, président de l’Union française pour une médecine libre, n’hésitait pas à dire combien la France avait mal géré la gravité du coronavirus. « En phase 1, on devait détecter, aux frontières, la maladie ne serait-ce qu’en prenant la température des voyageurs. On a mis des affiches, et l’épidémie est entrée. En phase 2, on s’est contenté d’établir des closters sans oser faire plus, et on est entré en phase 3, avec retard à l’allumage. Le gouvernement doit prendre des décisions pour éviter que nos services de réanimation ne soient dépassé. » Bref, on est décalé depuis le début. Nos gouvernants sont décalés. Malheureusement, ce n’est pas la première fois qu’on constate ce décalage.
Mais, hélas, les services de réanimation seraient déjà dépassés : 5.500 lits pour l’ensemble de la France, chiffre annoncé ce dimanche matin sur Europe 1 par le professeur Marty. À La Rochelle, par exemple, il n’y a que quinze places de disponibles. Et je ne parle même pas de la pénurie des masques, du gel et surtout des tests !
J’ai un ami cardiologue qui vient de m’envoyer ce triste message, preuve supplémentaire que ce gouvernement nous endort : « L’amplitude de la contamination est telle qu’il n’y a plus de tests pour les soignants à partir de ce vendredi et les derniers sont réservés aux malades qui vont très mal. Il y en aura d’autres peut-être la semaine qui vient, pour aider le personnel soignant à savoir s’ils peuvent reprendre le travail au bout des 14 jours. Je n’ai donc pu faire le test nécessaire et ferme mon cabinet pour les deux prochaines semaines. Je vais rester confiné. Au revoir à tous. »
Il est donc évident que le nombre de cas qui nous est annoncé chaque jour est loin de nous donner la réalité des dégâts de ce virus.
Et pendant ce temps-là, le Président nous parle de l’Europe qui n’aura jamais autant été désunie devant cet ennemi invisible. Des sages ont fermé leurs frontières. Mais en France, pays de liberté, vous n’y pensez pas ! Ou alors ce serait donner raison à Marine Le Pen. Il y a quelques mois, Emmanuel Macron nous faisait peur avec la « peste nationaliste »…
La nécessité d’équiper la totalité de sa population a, rapidement, posé des problèmes d’approvisionnement à Hong Kong. Pour y faire face, l’hôpital universitaire de Hong Kong- Shenzhen, en collaboration avec le centre de recherche Hong Kong Science Park, a élaboré une méthode permettant de fabriquer, chez soi, la précieuse barrière… en attendant mieux.
Tout d’abord, pourquoi porter un masque ? Parce que si cette mesure était inutile, elle ne serait pas imposée actuellement à tout le personnel de santé et aux malades identifiés, tandis que les médecins de ville ne se plaindraient pas des ruptures de stock qui les empêchent de s’équiper. Voyons la réalité en face : alors que les populations d’Asie du Sud-Est se sont entièrement masquées pour réduire la contagion, l’État ne peut pas le recommander en France parce qu’il n’y a pas de stocks, tout simplement.
Porter un masque réduit les projections que l’on émet en parlant, toussant ou éternuant. En France, où nous sommes peu habitués à le porter, il a également un effet psychologique : masqué, on se touche beaucoup moins le visage et l’on se rappelle, à chaque instant, d’éviter les contacts. Quant à ceux qui nous entourent, ils prennent leurs distances pour ne pas être contaminés… ce qui est exactement le but recherché !
Le masque d’appoint proposé par l’hôpital de Hong Kong-Shenzhen n’atteint pas l’efficacité d’un masque chirurgical, néanmoins, il offre une protection à 80-90 % équivalente contre les projections sous forme de gouttelettes et d’aérosols.
Comment le fabriquer ? La méthode originale nécessite du papier de soie, du papier absorbant type Sopalin, des élastiques, du scotch, du fil de fer plastifié, une perforatrice et des ciseaux. Un tutoriel vidéo réalisé par le China Morning Post est disponible sous le lien suivant.
Le masque ainsi réalisé est confortable et tient plusieurs heures. Il ne demande que quelques minutes de fabrication, sans difficulté. Lorsqu’on a fini de l’utiliser, il suffit de le prendre par les élastiques pour le jeter à la poubelle sans toucher le papier. Comme un masque chirurgical, il est à usage unique : il faut donc en prévoir un ou plusieurs par jour, selon l’usage qu’on en fait.
Concernant les matériaux, il n’est plus possible de se procurer du papier de soie en papeterie, du fait de la fermeture des magasins, mais on peut en commander facilement sur Internet, en petites et grandes quantités. À titre indicatif, un rouleau de 5 m x 50 cm permet de réaliser 80 masques.
Le fil de fer plastifié peut, également, être commandé sur Internet, notamment auprès des enseignes de bricolage. Une bobine de 50 m suffit à réaliser plus de 500 masques.
Protégeons-nous les uns les autres, et bon courage à tous !
« Le pays occupé par les Français sera, à l’avenir, désigné sous le nom d’Algérie. Les dénominations d’ancienne régence d’Alger et de possessions françaises dans le nord de l’Afrique cesseront d’être employées dans le cadre des correspondances officielles… » (Circulaire du ministère de la Guerre, 14 octobre 1839)
Tous les ans, dès qu’arrive le mois de mars, j’ai une pensée pour les funestes accords d’Évian, signés – unilatéralement – le 18 mars 1962 pour application le lendemain. Ces accords signifiaient l’abandon pur et simple de notre belle Algérie française aux égorgeurs du FLN (1). Et dire qu’il y a, chez nous, des gens assez lâches, assez tarés, assez pourris moralement (voire les trois) pour oser défiler tous les 19 mars au nom d’une soi-disant réconciliation entre les Français et les Algériens. Ils honorent une trahison ! Ce qui n’empêche pas que, très régulièrement, des « banlieues de non-droit » subissent des débordements, des bagarres, des corridas urbaines, des saccages, des pillages, de la part de ressortissants maghrébins qui n’auraient assurément pas osé faire ça chez eux. Quand ils sont identifiés comme Algériens, quelques pisses-copies – toujours de gauche – nous expliquent que c’est tout à fait compréhensible : les Algériens ont « une revanche à prendre » puisque nous les avons occupés « illégalement » en 1830, puis, durant 132 ans, nous avons pillé leur pays et détruit leur culture. C’est aussi l’avis de l’avorton présidentiel qui parle même de « crime contre l’humanité » et compare la conquête de l’Algérie à… la Shoah. Il fallait oser ! Mais, quand les choses vont mal chez nous, rien ne vaut un coup de repentance pour culpabiliser le « Souchien » (que ceux d’en face appellent « Sous chien »). Je vais donc, une fois de plus, rappeler quelques vérités historiques à ces ignares. Jusqu’à l’arrivée des Français en 1830, l’Algérie en tant que telle n’existait pas et le nom d’« Algérie » n’existait pas non plus ; il a été « inventé », si je puis dire, par une circulaire du ministère de la Guerre, en date du 14 octobre 1839, cité en préambule de cet article. La région, avant l’arrivée des Français, c’est une province en totale déshérence politique, en faillite aussi bien humaine que sociale. C’est un vulgaire repaire de pirates qui paie un tribut au sultan de Constantinople. Les relations entre l’Europe et ce coin d’Afrique du Nord ont été, depuis la nuit des temps, des plus tumultueuses. Au début du XVIe siècle, un corsaire établi à Alger, Khayr-al-Din, dit « Barberousse », a fait allégeance au sultan de Constantinople. Puis les Turcs ont administré la régence d’Alger à laquelle ils ont imposé la présence de leurs garnisons et le paiement d’un tribut annuel par les chefs arabes. En 1541, excédé par le développement de la piraterie et par les razzias de chrétiens vendus comme esclaves, Charles Quint débarquait avec 20 000 hommes à proximité d’Alger. Cette expédition fut un échec mais l’histoire a retenu qu’un seigneur espagnol, Ponce de Balaguer, dit « Savignac », planta sa dague sur la lourde porte « Bab Azoun » qui fermait la citadelle d’Alger et s’écria : « Nous reviendrons ! ». Cette promesse, par bravade, sera tenue par les Français en 1830. Mais nous n’en sommes pas là, pas encore… Peu après, les Espagnols s’installent à Oran, qu’ils conserveront jusqu’à la fin du XVIIIe siècle. Entre-temps, les Marseillais (et les Génois) se sont fait attribuer le monopole du commerce avec la régence d’Alger. Dès 1553, le privilège concédé aux Marseillais a été étendu à « toute la côte de Barbarie » (sic). Cette convention, renouvelée par le sultan en 1582, assurait aux Français la possession de quatre établissements : Bône, La Calle, le Bastion de France et le Cap Rose. Moyennant le paiement d’un tribut de 1 500 écus d’or, on leur garantissait une tranquillité… très relative. Les Deys d’Alger, en dépit des traités signés, qu’ils n’ont jamais respectés, encourageaient la piraterie – la guerre de course – fort lucrative et qui entraînait peu de représailles. En 1664, Colbert chargea le duc de Beaufort d’occuper une partie des côtes algériennes, sans grand résultat. En 1683, Duquesne vint bombarder Alger. -2- En guise de réponse, les Algériens, au nom de leur belle religion « de tolérance, d’amour et de paix », attachèrent le père Le Vacher, qui faisait fonction de consul de France, à la bouche d’un canon et ouvrirent le feu. En 1690, des envoyés du Dey viennent à Versailles pour rassurer le Roi Louis XIV : les choses semblent s’arranger mais à Alger, les Barbaresques continuent à rançonner les navires européens. Pendant tout le XVIIIe siècle, Français, Anglais et Hollandais vinrent bombarder, toujours sans la moindre efficacité, les côtes algériennes. En 1767, ce fut le tour des Vénitiens, suivis des Danois en 1770 et 1772. En 1774, l’Espagne envoya 20 000 hommes. Cette expédition n’eut pas plus de résultat que celle de Charles Quint. Finalement, la Hollande, le Portugal, le Royaume de Naples, la Suède, le Danemark et même les États-Unis payèrent tous les deux ans un tribut au Dey d’Alger pour assurer à leurs navires une relative immunité. L’Angleterre et la Hollande fournissant au Dey des armes et des munitions (2). En 1790, il fut question de renouveler le traité de paix (non respecté par Alger) conclu cent ans auparavant avec Louis XIV. À cette occasion, le comte de Kercy, consul de France, écrira : « Les temps ne sont pas éloignés où la France élèvera enfin la voix et, au lieu de se soumettre aux demandes du Dey, osera elle-même en faire ». En 1801, enfin, un nouveau traité de paix était conclu entre Alger et Paris. Il stipulait la liberté du commerce et la suppression de l’esclavage. Il n’eut pas plus d’effet que les précédents. Quelques mois plus tard, la piraterie recommençait avec la capture de deux bricks français. Bonaparte se fâcha et envoya une division navale devant Alger avec une lettre pour le Dey : « J’ai détruit l’empire des Mameluks parce qu’après avoir outragé le pavillon français, ils osaient demander de l’argent… Craignez le même sort… Si vous refusez de me donner satisfaction, je débarquerai 80 000 hommes sur vos côtes et je détruirai votre régence. Ma résolution est immuable ». Le Dey adopta un profil bas mais, dès 1807, les relations se gâtent à nouveau entre Alger et la France. Dans un courrier, Napoléon informe les Russes, devenus ses alliés, qu’il est « décidé à en finir avec les Barbaresques ». Et il charge même un officier du génie, le commandant Boutin, d’étudier les possibilités d’un débarquement. C’est Boutin qui proposera la baie de Sidi-Ferruch, à une trentaine de kilomètres à l’ouest d’Alger. La piraterie en Méditerranée est évoquée par les États européens, à Londres en 1816, puis à Aix-la-Chapelle en 1818 et les bombardements reprennent. En 1816, Lord Exmouth, à la tête d’une escadre anglaise, coule la plupart des navires algériens et envoie 34 000 boulets de canon sur la ville. Le Dey ruse encore : il relâche aussitôt 1 200 captifs chrétiens et promet d’abolir la guerre de course. Cette promesse, comme les précédentes, ne sera pas tenue. Deux ans plus tard, les Algériens se saisissent de deux navires battant pavillon pontifical (3), puis ils arraisonnent deux navires français. Le roi Charles X, furieux, décide d’intervenir. Le 29 octobre 1826 la frégate « La Galatée » apporte un ultimatum au Dey, qui, une nouvelle fois, fait semblant de s’amender… mais la piraterie continue. On a écrit que la conquête (en juillet 1830) avait été décidée à la suite d’un malencontreux coup d’éventail donné à un consul affairiste en… 1827. C’est absolument faux ! Les auteurs sérieux disent tous qu’il fallait saisir un prétexte pour faire cesser les actes de piraterie. La décision de conquérir Alger résulte, en fait, d’une imbrication de motifs politiques : la relance de la piraterie, en 182
1, qui demande des tributs aux États européens et impose le droit de visite des bateaux. Puis le pillage et la confiscation de notre comptoir de la Calle… Les buts définis par le ministre Polignac sont d’ailleurs très clairs : « Destruction de l’esclavage, de la piraterie et des tributs… sécurité de navigation… rendre le rivage de cette mer à la production, à la civilisation, au commerce, à la libre fréquentation de toutes les nations… ». C’est on ne peut plus normal ! Et c’est parfaitement louable ! Si l’Algérie est devenue un pays prospère – du moins jusqu’à son indépendance – elle le doit à la France. Et si les Franco-Algériens – ces « Français de papiers » qui ne manquent pas une occasion de se dire plus algériens que français – pensent le contraire, qu’ils retournent vivre en Algérie.
-3- Et s’ils préfèrent la chorba (c’est leur droit après tout !), qu’ils aillent la manger chez eux et qu’ils arrêtent de cracher dans NOTRE soupe ! Quant aux salopards, « porteurs de valises », collabos, et autres « idiots utiles » du FLN, je leur rappelle, une fois de plus, qu’ils sont des traîtres. Le mois dernier aura vu la disparition d’Hervé Bourges – ex-conseiller d’Ahmed Ben Bella – et de Jean Daniel, grand pourfendeur de l’Algérie française : deux collabos que François Mitterrand a décoré de la Légion d’honneur. Les socialistes ont toujours placé l’honneur en dessous de la ceinture. Qu’on me permette, aujourd’hui, d’avoir une pensée pour le 1,5 million de « pieds-noirs » qui, en juillet 1962, n’a eu le choix qu’entre « la valise ou le cercueil » ; pour les 18 500 soldats français tombés sur la terre algérienne entre 1954 et 1962 (4) ; pour les 120 à 150 000 harkis et leurs familles, abandonnés par la France, torturés et assassinés par les égorgeurs du FLN ; pour les 3 000 disparus lors de l’Indépendance algérienne ; pour ces femmes enlevées à Oran le 5 juillet 1962 et qui ont fini leur vie dans les bordels de l’ALN (5)… et pour toutes les victimes de cette trahison gaulliste. Monsieur Macron déclare à l’envi qu’il ne porte pas « le poids de notre héritage colonial » car il est né bien après notre décolonisation. C’est parfaitement exact, alors, la moindre des choses serait que, sur des sujets dont il ne sait RIEN, il ferme sa gueule !!! Il est nul en histoire et en géographie – il a même pris la Guyane pour une île – aussi je me permets de lui conseiller la lecture de mon « Hommage à NOTRE Algérie française » (6). Il aborde des sujets qu’on n’étudie pas à l’ENA. Je ne suis pas « pieds-noirs », je n’avais que 12 ans lors des accords d’Évian mais, contrairement à l’avorton présidentiel, j’ai cherché à comprendre. Vous me direz que de Gaulle, lui aussi, disait avoir compris les « pieds-noirs » en 1958…
1)- FLN : Front de Libération nationale algérien. 2)- Pendant sa lutte contre les Français, Abd-el-Kader bénéficiera d’un approvisionnement important en fusils et munitions de l’Angleterre. Les historiens n’en parlent jamais, pourquoi ? 3)- Le « Sant’Antonio » et le « San Francesco de Paolo ». Le Dey s’était pourtant engagé à respecter les navires du Pape. 4)- Dont 6 500 appelés du contingent. Ce chiffre de 18 500 n’englobe pas les supplétifs et les tués de la Légion étrangère. 5)- ALN : Armée de Libération nationale, bras armé du FLN. 6)- « Hommage à NOTRE Algérie française » Éditions Dualpha ; 2019.
L’ancienne ministre de la Santé, avant d’être lancée au cœur des municipales, a nié toute « pandémie » du Coronavirus…
La porte-parole du pervers élyséen a hautement renvoyé l’Italie dans les cordes et prétendu qu’en France, ça ne serait pas pareil…
Le paltoquet de l’Élysée a crié bêtement qu’il ne fallait surtout pas fermer les frontières car ça pourrait favoriser la peste nationaliste…
Son nouveau toutou de la Santé, playboy fatigué et caisse de résonance creuse s’est même fait passer pour un scientifique pour nous dire que contrôler les frontières, non mais, vous rêvez ?
D’un jour à l’autre, les discours officiels ont changé et tenté, à chaque fois, de minimiser le danger et de différer les mesures indispensables pour juguler l’épidémie… le paltoquet élyséen restant enfermé dans son européisme stupide et sa trouille électoraliste évidente !
Et, aujourd’hui, ces mêmes « gouvernementaux », véritables modèles justifiant la fameuse phrase des « Tontons Flingueurs » sur les dérangés du cerveau, nous confinent, nous interdisent de nous rassembler, limitent nos déplacements, empêchent les voyages longue distance… et, rendus ridicules par les décisions de l’Allemagne de fermer ses frontières, se mettent à vouloir contrôler (du bout des doigts) une partie de nôtres, conscients enfin (mais un peu tard, peut-être) que l’expansion du virus passe par les individus, notamment ceux qui se déplacent !
D’ailleurs, toute honte bue, l’UE ne vient-elle pas d’annoncer des mesures de contrôle et de précautions à « ses frontières extérieures », donnant raison aux pays qui ont déjà pris ces initiatives et montrant combien il aurait été utile de fermer les frontières de chacun de nos pays bien avant ? La bêtise et la dangerosité de ces dirigeants européens sont sans limites !!!
Mais pourtant, si l’on entend leurs discours et si l’on prend en compte leurs décisions, l’axe de communication Turquie-Lesbos-Paris reste ouvert, et l’UE ne parle pas des hordes migrantes incontrôlées à la frontière turco-grecque… les tarés contaminés ou non d’Afrique et d’Asie qui se pressent là-bas étant de petits anges sains et purs, sans doute !
Ces gens qui nous gouvernent ici avec une représentativité de moins de 18 % du corps électoral, non seulement sont les représentants des forces financières mondialistes (dont la politique économique est à l’origine de l’expansion planétaire du Coronavirus…) mais encore ils font preuve d’une incapacité qui n’a d’égale que leur ineptie crasse et leur hypocrisie malsaine !
Leur impuissance à assurer, en le renvoyant à l’automne, le scrutin municipal prévu les 15 et 22 mars témoigne de cette tendance qui leur est familière à manipuler l’opinion, à éviter qu’elle puisse librement s’exprimer… et à jouer de l’abstention prévisible pour minimiser leur défaite et leur faible représentativité.
Avec 55 % d’abstention, le scrutin du 15 mars est peu crédible, et maintenir un second tour serait, dans ces conditions, une magouille supplémentaire pour priver ceux qui s’opposent vraiment à Macron de leur légitime représentation dans nos villes et villages.
D’autant que cette abstention massive (à peine 30 à 35 % de votants dans les grandes villes !) fausse totalement un scrutin (déjà faussé d’ailleurs par l’absence d’une vraie campagne électorale durant ces quinze derniers jours) dont aucune signification politique véritable ne peut être tirée…
Avec ce faible taux de participation, et dans le contexte de crise provoquée par l’expansion du Coronavirus, les maires sortants, quelle que soit leur étiquette politique, ont été « approuvés » (voire plébiscités), leurs réseaux politiques et/ou clientélistes étant par nature les plus actifs, les mieux organisés, les plus motivés… les oppositions, quelles qu’elles soient, étant les plus sensibles à l’abstention, surtout quand, à l’exemple du Rassemblement National, on est peu ou mal organisé à l’échelon local, ou quand on n’y est pas présent !
Le caractère moins « politique » (au sens étroit du terme) des municipales a été accentué également par l’effet de crise qui favorise toujours celui qui est chargé de sa gestion.
Il reste qu’on peut remarquer que l’électorat urbain, qui a fait la force de l’opération « Macron », se recentre vers les écolos ou vers quelques représentants de l’ancienne « gauche » comme de l’ancienne « droite », mais toujours sur les mêmes bases mondialistes, immigrationnistes, islamophiles, et il est sûr qu’il rejoindra, à terme, le camp uni des européistes mondialisés… Tout est figé ici !
Quant à l’électorat populaire, il n’a toujours rien compris à ce qui se passe vraiment, et sa colère – qui est juste – le conduit à donner sans discernement ses suffrages à ceux qui seront les causes de sa destruction ! Là encore, rien n’a bougé…
Et si le Rassemblement National reste la seule perspective politique de rupture avec le système actuel, il souffre de n’être qu’un mouvement à caractère national, organisé autour d’une figure tutélaire et dont l’implantation locale est nettement insuffisante… et il va lui falloir faire preuve de plus d’ouverture organisationnelle et de fermeté combattante sur les problèmes clés que ne vont pas effacer les municipales : l’immigration de masse, l’islamisation destructrice, la communautarisation de notre société, la future crise financière et économique, l’insécurité galopante… problèmes pour lesquels les Français demanderont des solutions en sachant que ce ne seront pas leurs maires qui les leur apporteront.
Le ridicule (qui, hélas, ne tue plus…) des décisions de ce gouvernement sera encore accentué par le report du second tour de l’élection municipale et la mise en place (enfin !) du confinement des populations (va-t-il fermer nos frontières aux déplacements libres des individus ?) tout en assurant l’approvisionnement en quantités suffisantes de tout ce qui sera nécessaire pour combattre la maladie et permettre la vie correcte des Français.
Il reste à espérer que, une fois la crise passée, chacun se souvienne de l’incompétence, de l’hypocrisie, de la dangerosité des responsables aux commandes aujourd’hui et qu’il leur demande des comptes tout en les chassant pour assurer une vraie alternative de rupture nationale, patriotique, identitaire, laïque et démocratique !