Une étude épidémiologique révèle la corrélation entre la politique de vaccination universelle par le BCG contre la tuberculose et la réduction de la morbidité et de la mortalité liées au Covid-19.
Des épidémiologistes américains pensent avoir trouvé un lien entre la mortalité liée au Covid-19 et la vaccination massive par le BCG (Bacille Calmette et Guérin) qui est un vaccin contre la tuberculose. En effet, l’impact de la maladie est différent selon les pays. Dans une étude publiée sur le site medRxiv, les chercheurs supposent que ces décalages s’expliquent partiellement par les différentes politiques nationales concernant la vaccination infantile.
Ils ont ainsi constaté que les pays n’appliquant pas de politique de vaccination universelle par le BCG (Italie, Pays-Bas, États-Unis) ont été plus gravement touchés que les pays qui l’appliquent depuis longtemps. Or, ceux qui ont adopté tardivement une telle mesure présentent une mortalité élevée.
Une vaccination miracle?
Ainsi, l’Iran qui applique une politique de vaccination universelle par le BCG depuis 1984 a une mortalité élevée, avec 19,7 décès par million d’habitants à cause du coronavirus. En revanche, le Japon qui a lancé une telle politique en 1947 présente 100 fois moins de morts par million d’habitants, avec 0,28 décès.
L’Italie, où la mortalité due au Covid-19 est très élevée, n’a jamais mis en œuvre la vaccination universelle par le BCG. En Chine, elle est appliquée depuis les années 1950, mais pendant la Révolution culturelle (1966-1976) les agences de prévention et de traitement de la tuberculose ont été dissoutes. Un acte qui aurait créé une couche de la population vulnérable au virus, indique l’étude.
Selon ses auteurs, les pays qui n’ont jamais appliqué massivement le vaccin BCG, ou qui le font depuis peu, la fréquence de contamination est beaucoup plus élevée par rapport à la moyenne mondiale.
La vaccination par le BCG pourrait donc constituer un nouvel outil dans la lutte contre le nouveau coronavirus, concluent les chercheurs.
En ce temps de confinement et de distanciation sociale, les musiciens de l’Orchestre National de France ont souhaité, malgré la distance, jouer ensemble pour offrir et partager avec chacun ce qu’ils savent le mieux faire : de la musique. Ils ont concocté une surprise pour leur public et lui offre le Boléro de Ravel.
Si l’ordre du jour est la distance, la musique semble capable de s’envoler et de nous rapprocher, et quoi de mieux que le Boléro envoutant de Ravel pour mettre du baume au cœur ! Loin de l’auditorium de la Maison de la Radio où se trouve habituellement l’ONF, voici les musiciens confinés mais néanmoins réunis par une véritable prouesse technique, en espérant que ces quelques notes dansantes de Ravel, universelles, apporteront un peu de bonheur de réconfort à celles et ceux en besoin de chaleur musicale.
L’excellent site Fdesouche nous propose un récapitulatif de ces deux derniers mois qui nous confirme, sans le moindre doute, l’attitude criminelle de Macron et de son régime.
De nombreux internautes reprochent à l’exécutif de ne pas avoir anticipé l’épidémie de coronavirus et de ne pas être suffisamment transparents dans la gestion de la crise sanitaire.
« Le hashtag #IlsSavaient est apparu sur Twitter le samedi 21 mars, juste après la déclaration d’Agnès Buzyn qui assurait avoir prévenu le gouvernement de la gravité de l’épidémie de Covid-19, dès le mois de janvier », explique Pascal Froissart, maître de conférences à l’Université de Paris VIII et chercheur au Centre d’études sur les médias, les technologies et l’internationalisation (CÉMTI). Les propos de l’ancienne ministre de la Santé ont abondamment été repartagés, et ont rapidement mis le feu aux poudres sur les réseaux sociaux. « #IlsSavaient et n’ont rien fait. Des têtes doivent tomber rapidement » ou encore « #IlsSavaient et essaient de nous rendre responsable de leur incurie (…) La macronie nous oblige à aller bosser, pour essayer de sauvegarder les intérêts de la finance », ont ainsi tweeté certains internautes. […]
Cette crise semble aujourd’hui révéler une fracture sociale bien présente dans le pays. «Ces mots-clés rassemblent tout le mécontentement de ceux qui ont le sentiment d’avoir été trompés. Le ‘ils’ désignent ‘les élites’ qui ont tardé à agir malgré leurs informations et qui, aujourd’hui, manquent de transparence dans la gestion de l’épidémie du coronavirus», explique l’écrivain Philippe Pascot, l’une des figures du mouvement des gilets jaunes, auteur du livre Mensonges d’Etat (Max Milo Editions). «Une sorte de mobilisation est en train de naître sur les réseaux sociaux. Il y a un ras-le-bol général de ces politiques qui ont des passe-droits [pour se faire dépister ou se faire traiter à la chloroquine], de ces Parisiens nantis qui ont fui en province, de ceux qui doivent travailler alors que d’autres restent chez eux !» […]
Pour certains, le contenu des messages relayés sous la bannière « #IlsSavaient » rappellent également ceux massivement partagés en 2018 sur les réseaux sociaux par les « gilets jaunes ». «Il y a en effet beaucoup de militants et de groupes Facebook de gilets jaunes qui repartagent quotidiennement ces hashtags», reconnaît Philippe Pascot. «Mais c’est beaucoup plus profond. C’est tout le peuple français qui hurle. Même la couche moyenne supérieure qui défendait encore un peu Macron et sa politique est aujourd’hui en colère !». […]
Le Premier ministre italien a annoncé qu’un fonds de 400 millions d’euros allait être débloqué à destination des plus démunis afin d’émettre des bons alimentaires. Des tensions étaient apparues ces derniers jours aux abords de certains supermarchés, de plus en plus de personnes étant dans l’incapacité de payer leurs courses.
À la suite de l’arrêt quasi complet de l’économie italienne, plusieurs millions de travailleurs se sont subitement retrouvés sans revenus, principalement dans le sud du pays, selon le quotidien La Stampa. Les incidents se sont multipliés dans les supermarchés, où des clients désespérés ont tenté de faire leurs courses sans payer. Face à la menace d’une grave crise sociale, le gouvernement a réagi.
Samedi 28 mars, le Premier ministre italien, Giuseppe Conte, a annoncé le déblocage d’un fonds de 400 millions d’euros «destinés aux communes qui devront les consacrer aux personnes qui n’ont pas d’argent pour acheter à manger». Les plus démunis recevront une aide de l’État sous forme de bons alimentaires.
«Nous devons construire une chaîne de solidarité, personne ne sera laissé seul», a assuré le chef du gouvernement. «Notre objectif est d’assurer des liquidités aux familles, aux entreprises et aux gens qui travaillent».
Dans une interview à La Stampa, la sous-secrétaire du ministère italien de l’Économie a également évoqué la possibilité d’un revenu d’urgence mis en place «tant qu’on ne reviendra pas à la normalité».
Une réponse au risque de «bombe sociale»?
Le gouvernement avait déjà prévu une aide pour tous les Italiens ayant subi une perte de revenus en raison de la pandémie, mais une grande partie de la population n’y avait pas droit. En effet, dans le sud du pays (Mezzogiorno et Sicile), le travail au noir est prédominant, et beaucoup ne pouvaient dès lors pas justifier un manque à gagner auprès des autorités.
À Palerme ou à Naples, des clients ont tenté de passer à la caisse des supermarchés sans payer, gagnant parfois la faveur d’autres personnes. Bien que des policiers aient été placés devant certaines enseignes, la menace d’une «bombe sociale», comme l’a écrit le Corriere della Serra, est devenue de plus en plus réelle.
Sur Facebook, des appels au pillage des supermarchés sont apparus, non pas sur une base spontanée, mais pour «déclarer la guerre» au gouvernement et éveiller l’attention du reste du pays sur la situation inquiétante de l’Italie méridionale.
Le professeur Didier Raoult continue sa mission salvatrice, envers et contre tous. Sur 701 patients contaminés et traités à la chloroquine, 1 « seul » mort !!
Et une deuxième étude sur 80 patients hospitalisés confirme le succès.
Macron et son clan d’incapables, les journalistes virtuoses de la brosse à reluire, les toubibs de plateaux de télévision qui croient tout savoir mais n’ont plus vu un seul malade depuis 15 ans, tous ceux qui savonnent la planche au Pr Raoult, pour des raisons plus ou moins avouables, allez tous vous faire foutre !
Vous êtes des assassins. Ce soir vous viendrez encore nous annoncer 300 ou 350 morts de plus, avec des mines contrites, déplorant les critiques et les polémiques pour vous exonérer de vos lourdes responsabilités.
Mais qu’avez-vous fait depuis la fin décembre quand la Chine annonçait l’épidémie au monde entier ? Rien ! Vous n’avez cessé de mentir aux Français, aux personnels soignants qui manquent de tout, en leur disant d’abord que le risque était minime et ensuite en affirmant honteusement que la France était prête, alors que la pénurie est catastrophique.
Vous êtes tous indignes de vos fonctions, tous responsables et coupables. Malgré un préavis de deux mois, vous n’avez rien vu venir et vous ne savez toujours pas où vous allez !
Sommes-nous dirigés par des fous dangereux ? Depuis deux mois, nous avons assisté à une ahurissante gestion de la crise sanitaire, où amateurisme, incompétence, voltes-face, mensonges, inconscience, hypocrisie et manquements en tous genres, le disputent au cynisme le plus criminel.
Car tout a été fait pour provoquer la pénurie et tout est fait pour l’entretenir, comme nous le verrons plus loin. Cette hécatombe qui n’en est qu’à ses débuts, où le nombre de morts double tous les trois jours, aurait pu être évitée, comme en Corée du Sud ou en Allemagne.
Mais Macron a d’abord nié la crise, puis l’a sous-estimée pour finir par la gérer au doigt mouillé, dans le désarroi le plus total à cause des précieuses semaines perdues. Affligeant.
Et après s’être comporté en cigale aussi inconsciente qu’irresponsable, Macron, totalement aux abois, en appelle à toute l’Europe pour l’aider. Un peu tard pour prendre la mesure du danger !
Car le nombre de morts doublant tous les trois jours, cela signifie que trois jours de retard se soldent par deux fois plus de décès. Nous suivons la courbe de l’Italie…
Tout ce que savent dire le gouvernement et ses valets qui se succèdent sur les plateaux TV, c’est « Pas de polémique ». Aucune réponse au manque de masques qui perdure, à la pénurie de kits de dépistage et de respirateurs.
Macron refuse encore de faire comme Trump et d’autoriser le traitement à la chloroquine. Pourquoi ? Parce que notre pays est dans l’incapacité de tester toutes les personnes qui présentent des symptômes de la maladie. 500 000 tests par semaine en Allemagne et 9 000 par jour en France.
Le gouvernement en promet 100 000 par jour en juin. Mais l’Allemagne en fait déjà 70 000 par jour aujourd’hui.
L’Allemagne a choisi la généralisation du dépistage pour éviter la généralisation du confinement. La France, c’est le contraire !
De plus, un long confinement ne pourra que ruiner encore plus le pays.
Prise dès les premiers symptômes, la chloroquine évite pourtant l’hospitalisation, la mise sous oxygène et la mort. Mais nos « experts » tergiversent.
Mais de son côté, l’équipe du professeur Raoult de l’IHU de Marseille travaille dur et vient de confirmer une nouvelle fois l’efficacité du traitement à la chloroquine contre le Covid-19.
Après celle menée sur 24 patients, qui fait tant polémique, une seconde étude a été menée sur 80 patients hospitalisés.
Mais ce sont au total 701 patients qui ont été dépistés et traités (en ambulatoire et en hôpital) par l’équipe de l’IHU marseillais. À ce jour, un mort est à déplorer, un patient de 84 ans.
Ce qui donne un taux de mortalité décès/dépistés de 1/701 = 0,14 %
Alors que l’hécatombe se poursuit, on nous dit que dans 6 à 8 semaines, nous aurons des résultats fiables avec l’étude « Discovery », menée en Europe sur quatre traitements contre le Covid-19, dont celui du Pr Didier Raoult.
À noter que cet essai clinique ne teste pas vraiment le traitement que préconise le Pr Raoult, car l’antibiotique associé à la chloroquine a été supprimé !
Mais avec un nombre de morts qui double tous les 3 jours, où en serons-nous dans deux mois ? Le confinement n’est qu’une stratégie temporaire.
Comme le dit le Pr Éric Chabrière, qui fait partie de l’équipe de Didier Raoult, « Nous avons une bouée qui flotte, mais comme elle n’est pas homologuée, on préfère laisser les gens se noyer ».
Aux États-Unis, la FDA et Donald Trump n’ont pas les états d’âme de la Macronie. Ils se remuent et ont accepté la chloroquine comme traitement du Coronavirus en attendant mieux.
Notons que nos ministres et députés plébiscitent la chloroquine et recourent sans hésiter au traitement que Macron refuse de proposer aux Français. Il est vrai qu’il n’y a pas de pénurie pour la caste politique et nos VIP.
Résultats de l’étude sur 80 patients hospitalisés.
78 ont quitté l’hôpital dans les 10 jours. Durée moyenne de l’hospitalisation : 5 jours.
1 patient de 74 ans reste en soins intensifs.
1 patient de 84 ans est décédé.
La charge virale a baissé en 6 jours au lieu de 20 jours sans traitement.
Au bout de 8 jours, 93 % des patients se sont révélés négatifs au test du Covid-19. Et 38 000 tests ont été pratiqués, tandis que le Pr Raoult vise 2 500 tests par jour.
À l’IHU de Marseille, il a été décidé de diagnostiquer toutes les personnes qui présentent des symptômes du Coronavirus. 701 au total de tous âges. Pas de toxicité ou d’effets secondaires importants signalés.
Les fautes inexcusables et les manquements coupables de l’exécutif :
Le gouvernement a perdu deux mois avant de réagir. Ces deux mois auraient permis de commander des masques, des kits de dépistage, des respirateurs.
Le 24 janvier, Agnès Buzyn affirmait que « le risque d’importation [du virus] depuis Wuhan est pratiquement nul » et que « le risque de propagation est très faible« .
Le 7 mars, le Président déclarait : « Nous ne céderons rien à la peur, aux divisions, au mensonge… » et le soir même, il se rendait au théâtre avec Madame, en totale inconscience puisque l’OMS avait décrété l’urgence sanitaire mondiale depuis le 30 janvier, soit cinq semaines plus tôt !!
Mais les frontières sont restées ouvertes, avec des conséquences tragiques.
Le 12 mars, Emmanuel Macron décidait enfin la fermeture des écoles et le 15 mars , le confinement généralisé était décrété. Mais beaucoup, beaucoup trop tard.
Les masques. Une pénurie scandaleuse qui met en danger les personnels soignants et les forces de l’ordre. Où sont les 250 millions de masques annoncés depuis plusieurs jours ?
Un collectif de 600 médecins a porté plainte contre Édouard Philippe et Agnès Buzyn. Plus de 1 300 soignants et plus 400 policiers et gendarmes étaient contaminés hier. Combien aujourd’hui ?
On apprend que 300 millions de masques vont être amenés de Chine par un pont aérien de 4 rotations par semaine. 1 milliard a été commandé. Mais encore une fois, pourquoi ne pas avoir anticipé la production nationale et les achats à l’étranger ?
Les kits de dépistage. Un scandale de plus.
Un test français de dépistage rapide, élaboré par le laboratoire Mérieux, est vendu aux États-Unis, mais la France attend le feu vert de l’UE pour l’utiliser ! Où est l’urgence sanitaire ?
Les respirateurs. Une pénurie entretenue.
Il y a deux mois, des industriels ont proposé au gouvernement de fabriquer des respirateurs en quantité. Ils n’ont eu aucune réponse !! C’est tout simplement criminel !
On le voit, Macron et ses sbires nous ont conduits à une catastrophe nationale, à une hécatombe qui était évitable en réagissant tôt.
Nos soignants, le pouvoir les a abandonnés sans moyens ni protection. Ils sont épuisés avant le pic de la pandémie.
Après avoir trié les malades les plus atteints, maintenant, on les refuse faute de place. Quand on le peut, on les disperse dans d’autres établissements.
Beaucoup de patients meurent chez eux faute de prise en charge. Tout est saturé. Pour un malade transporté par avion ou hélicoptère en province ou chez les pays voisins, combien de malades graves sont priés d’aller mourir chez eux, comme des pestiférés ?
Jamais nos personnels soignants n’ont eu à pratiquer cette médecine de guerre. Pour eux, ce manque de moyens qui les empêche de sauver des vies est un véritable calvaire, un supplice insupportable. Tout cela, les Allemands ont su l’éviter, mais pas Macron.
Au lieu de dépister les patients présentant les symptômes et de les hospitaliser, on les a renvoyés chez eux contaminer leurs proches. Le résultat se chiffre en centaines de morts quotidiens.
Et malgré ce désastre historique, le pouvoir refuse encore de généraliser la chloroquine, adoptée par la FDA, et qui viderait nos hôpitaux en traitant les malades dès le début des symptômes.
C’est tout simplement criminel et il faudra bien un jour que ces crimes soient jugés.
Touts les opérations de communications ne masqueront pas l’inconscience du pouvoir et les retards de décisions qui ont conduit à une pénurie de tous les matériels vitaux pour traverser la crise.
Le syndicat Synergie-Officiers a mis, vendredi, en ligne, sur Twitter, une courte vidéo d’une violence inouïe. Une attaque à la diligence, sauf que la diligence, c’était une voiture de police, et que les flèches indiennes étaient remplacées par des mortiers, des explosifs qui, dans un épouvantable bruit de guerre et de feux d’artifice, ont transformé la voiture en piège brûlant. En pleine cité des Francs-Moisins, à Saint-Denis (93).
Mais ce n’est pas la seule vidéo qui circule. Dans une autre banlieue, on voit une voiture de police entourée de jeunes gens dont l’un n’hésite pas à danser sur le capot sans que les occupants n’osent intervenir. Et que dire de ces banlieues ou quartiers de grandes villes devenus, depuis belle lurette, des zones de non-droit où tous ces jeunes et moins jeunes se rassemblent en toute impunité, diffusant à qui mieux mieux l’invisible virus. Résultat : les hôpitaux du 93 sont débordés et sont obligés de faire appel aux autres services d’urgence pour les aider à accueillir le maximum de ces abrutis.
Michel Onfray n’hésite pas à accuser le premier responsable de notre pays dans cette constatation terrible : « Le chef de l’État autorise la banlieue à contaminer à tout va qui elle voudra. Le message est on ne peut plus clair. Le temps venu, il faudra s’en souvenir. »
Se souvenir que l’impunité consentie aux racailles a permis à celles-ci d’attaquer, comme à Grenoble, des voitures d’infirmière et de médecin pour en voler le caducée et les masques, ou de cracher sur des policiers. À Étampes, ce sont des pompiers qui se sont fait caillasser alors qu’ils allaient s’occuper d’un patient touché par le Covid-19. La liste d’incivilités pourrait être longue. Mais plus encore qu’à l’ordinaire, elles sont insupportables. Et criminelles.
C’est l’armée qui devrait être envoyée dans ces territoires perdus de la République. Yves Lefebvre, secrétaire général Unités GP Police, n’hésite pas à tweeter que « l’armée sera nécessaire car on ne sera pas assez nombreux, et qu’un couvre-feu s’impose ». Stéphane Gaudry, médecin en Seine-Saint-Denis, affirme : « Il faut l’armée dans les rues. Ce n’est plus possible car les habitants ne respectent pas le confinement, et nous n’avons plus de lits. »
La solution serait d’isoler ces quartiers et d’y faire les fouilles nécessaires, arme au poing, pour y supprimer la drogue, les armes, les explosifs, les fusées. La vraie guerre, c’est celle-là. Celle de régler, une fois pour toutes, les problèmes des quartiers aux mains des trafiquants et radicaux musulmans, et laissez le combat contre le coronavirus aux professeurs et médecins. Le président de la République n’est-il pas le chef des armées ?
SIBETH N’DIAYE ⦁ Après le Conseil des ministres, 11 mars : « L’Italie a pris des mesures, je pense notamment aux contrôles de température à l’arrivée de vols en provenance de zones à risques, qui n’ont pas permis d’enrayer l’épidémie. Nous n’avions pas pris ce type de mesure », l’Italie n’a pas à donner de leçons ». ⦁ 2 mars sur France Info : « à ce stade, il n’y a pas d’épidémie au sens médical du terme »
⦁ Sur France Inter « on va pas fermer toutes les écoles de France comme quand il y a une épidémie de grippe on ferme pas toutes les écoles » ⦁ Sur France Inter : « non y’a pas de risque de pénurie de masques… on a des stocks d’État … on les a … » ⦁ **************** AGNES PANNIER-RUNACHER, secrétaire d’État auprès du ministère de l’Économie et des Finances : ⦁ « c’est plutôt le moment de faire des bonnes affaires en bourse aujourd’hui »
**************** JEAN MICHEL BLANQUER : ⦁ « Le masque n’est pas l’arme à tout faire »
⦁ « nous n’avons jamais envisagé la fermeture totale car elle nous semble contreproductive. Quand vous fermez les écoles d’un pays, cela signifie que vous paralysez en partie ce pays » ⦁ « C’est pour cette raison que le président de la République est allé le matin même dans un hôpital pour saluer les personnels et montrer que bien entendu, on ne reste pas chez soi à attendre que ça passe » **************** ÉDOUARD PHILIPPE : ⦁ « mais ils peuvent sortir pour aller faire leurs courses et franchement s’ils peuvent sortir pour aller faire leurs courses ou une promenade je ne vois pas pourquoi on leur dénierait le droit d’aller voter »
***************** AGNÈS BUZYN, alors ministre de la Santé : ⦁ « l’importation de cas depuis Wuhan est modérée ; il est maintenant pratiquement nul puisque vous le savez, la ville est isolée ; les risques de cas secondaires autour d’un cas importé sont très faibles et les risques de propagation du virus dans la population sont très faibles » ⦁ « aujourd’hui, il n’y a aucune indication à acheter des masques pour la population française » « Nous avons des dizaines de millions de masques en stock en cas d’épidémie. Si un jour nous devions proposer à telle ou telle population ou personne à risque de porter des masques, les autorités sanitaires distribueraient ces masques aux personnes qui en auront besoin » ⦁ « Il ne faut pas acheter des masques en pharmacie, c’est totalement inutile »
********************** OLIVIER VÉRAN, ministre de la Santé, ⦁ « Un virus ne s’arrête pas aux frontières. » Sauf , Monsieur le ministre, que ceux qui le transmettent passent les frontières. D’où la nécessité de les fermer.
******************** UN GRAND SPÉCIALISTE que je n’ai pas reconnu mais qui est interviewé. Qui peut me dire son nom ? ⦁ « Il peut y avoir un cas, mais il ne va pas y avoir une épidémie en France. Mais il peut y avoir un cas qui peut arriver, ça c’est possible »
******************** UN AUTRE DÉCIDEUR (qui peut me dire son nom ? Je ne le reconnais pas) ⦁ « les masques ? Non je ne reconnais pas qu’il en manque »
ET MAINTENANT PAROLE AUX INFIRMIÈRES, CES VAILLANTS PETITS SOLDATS DU FRONT SANS LESQUELLES IL N’Y AURAIT PAS DE SOINS :
Critiqué pour avoir affirmé que la chloroquine pourrait être une piste très prometteuse contre le Covid-19 après avoir mené une première étude qui n’a été réalisée que sur 24 patients, le professeur marseillais Didier Raoult a présenté les résultats de sa deuxième étude dédiée au même sujet qui d’après lui confirme l’efficacité du médicament.
Le docteur Didier Raoult a dévoilé ce samedi 28 mars les résultats de sa deuxième étude sur l’efficacité de la chloroquine dans le traitement du Covid-19, hypothèse contestée par de nombreux scientifiques suite à sa première étude qui n’a été menée que sur 24 patients.
Le professeur fait la lumière sur les deux articles publiés ce vendredi 27 mars qui d’après lui démontrent «l’efficacité de notre protocole, sur 80 patients» et «la pertinence de l’association de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine, grâce à des recherches réalisées dans notre laboratoire de confinement P3».
Il a réalisé sa deuxième étude sur 80 patients dont l’âge était compris entre 18 et 88 ans pour une médiane de 52 ans et où 57,5% de ces patients présentaient une comorbidité, notamment de l’hypertension, du diabète ou une maladie respiratoire chronique. L’étude constate par la suite qu’aucun effet secondaire important n’a été constaté chez les patients.
Lors de cette étude, chez des patients qui ont reçu une combinaison d’hydroxychloroquine (trois fois 200 mg par jour) et d’azithromycine, a été constatée «une amélioration clinique». Cela concerne tous les patients sauf deux personnes âgées de 86 ans décédées et une autre de 74 ans qui est toujours en réanimation.
Un traitement controversé
Auparavant, le professeur Didier Raoult avait fait savoir, en se basant sur des conclusions d’équipes chinoises, que l’hydrochloroquine pourrait être une piste très prometteuse contre le Covid-19. Il avait également annoncé que cette molécule avait guéri 75% des cas testés au bout de six jours.
Malgré l’absence d’unanimité entre les spécialistes, la chloroquine a été autorisée le 26 mars par le gouvernement français pour traiter le Covid-19.
Cette cité, emblématique du 93, a choisi de se battre contre le confinement. Pas contre le virus.
Saint-Denis est une ville ouverte. En temps de guerre -nous y sommes- ce terme désigne une ville qui se rend à l’ennemi sans combattre. De Saint-Denis, le coronavirus s’est rendu maître facilement: aucune défense ne lui a été opposée. Même que parfois c’est la fête.
Beaucoup trop de monde dans la rue. Sur les stades des gamins jouent au foot. Et des munitions contre le seul ennemi qui vaille : les flics ! Quand ils s’y aventurent, des jets de projectiles et des tirs de mortiers les accueillent. Des « jeunes » les narguent : « vous êtes bien dehors, pourquoi nous on aurait pas le droit ? »
Des flics, prudents, s’avancent à pas feutrés: « nous avons pour consigne d’éviter des émeutes » a dit l’un d’eux. Et pendant ce temps, le coronavirus, épris de liberté, s’installe durablement en puissance occupante à Saint-Denis.
Or ni le RER ni les bus qui desservent Saint-Denis n’ont été interrompus. Les résidents de cette ville si ouverte peuvent donc se déplacer à Paris. Et le virus se déplace avec eux. Ce qui se passe dans le 93 porte un nom : la mise en danger de la vie d’autrui. Comme on ne veut pas d’émeute, pourrait-on au moins envisager un cordon sanitaire autour de la ville qui serait donc toute entière confinée avec interdiction d’en sortir ?