Coronavirus : les criminelles incohérences de ce gouvernement

Publié le 27 février 2020 – par Jacques Guillemain (RL)

Quand ce gouvernement prétend être prêt à faire face à une épidémie de coronavirus, pas besoin d’être médecin pour affirmer qu’il ment.

Il passe surtout son temps à tenter de rassurer, alors qu’on ne sait rien de ce virus et que nos médecins de ville  manquent de tout, à commencer par les équipements individuels de protection.

Or, en cas d’épidémie généralisée du Covid-19, les hôpitaux seraient aussitôt saturés et c’est la médecine de ville qui prendrait en charge les patients pour le diagnostic et l’orientation, vers l’hôpital ou le domicile, suivant la gravité des cas.

« Et qui se soucie des risques que les médecins libéraux courent ? », interroge la Fédération des médecins de France.

« Il n’y a pas de masques de protection FFP2 disponibles chez les distributeurs, pas de lunettes de protection dans les cabinets, pas de blouses jetables. »

Réponse désinvolte du ministère : « Utilisez les reliquats de dotations de la grippe H1N1 de 2009 ! »

Problème : tous ces équipements sont périmés depuis longtemps !

C’est ce que le gouvernement appelle « faire face » !

Alors que le virus a échappé au cordon sanitaire établi autour de la Chine, et qu’il  frappe durement l’Italie du Nord,  les autorités médicales nous annonçaient, lundi 24 février, qu’il n’y avait pas de nouveau cas en France.

Mais 48 heures plus tard, on nous annonce 6 nouveaux cas, dont un mort de 60 ans, pour lequel personne ne sait expliquer l’origine de sa contamination.

Hospitalisé pendant plusieurs jours, il n’a même pas subi le test du coronavirus, car il n’avait pas séjourné dans une zone à risque ! Transporté trop tardivement à la Pitié-Salpêtrière, il est mort dans la nuit, après avoir été détecté positif !

Même mourant, on n’est pas détecté si on ne vient pas de Chine ! Ahurissant !

C’est ce que le gouvernement appelle « faire face » !

Nos sommités médicales n’ont toujours pas compris que ce virus résistant plusieurs jours à l’air libre peut se retrouver partout.

Au début de l’épidémie, les familles rapatriées de Chine ont été mises en quarantaine. Mesure de bon sens élémentaire. Les vols vers la Chine ont été suspendus. Mais aucun vol en provenance de Chine ou des pays contaminés n’a été supprimé ! Un modèle de cohérence ! D’autant plus que beaucoup de passagers arrivent de Chine par des vols indirects.

On place une centaine de personnes en quarantaine pendant 14 jours, tandis que des centaines de passagers chinois débarquent quotidiennement sur nos aéroports, sans le moindre contrôle. Oublié le principe de précaution ? La France, c’est « open bar » !

C’est ce que le gouvernement appelle « faire face ».

Mais le pompon revient incontestablement aux autorités qui ont décidé de maintenir le match Lyon-Turin, en accueillant 3 000 supporters  italiens, venus de la zone contaminée de l’Italie du Nord. Un risque mineur paraît-il !

Le gouvernement italien a frappé très fort. 50 000 Italiens sont mis en quarantaine à domicile. Interdiction de sortir sous peine de prison. Écoles, lycées, musées, expositions, grandes surfaces, sont fermés « pour empêcher que le virus n’atteigne les grands centres ». Le carnaval de Venise a été annulé, tout comme les matches de foot.

On recherche le patient à l’origine de la propagation du virus, mais c’est mission impossible. Trop tard.

Et dans ce contexte de mesures coercitives, que fait le gouvernement français ? Il maintient un match de foot à Lyon, avec 3 000 supporters italiens qui se mêlent à 60 000 spectateurs dans le stade lyonnais.

À quoi servent les mesures de confinement et d’hygiène rabâchées sur nos écrans TV ?

En cas de contaminations multiples, il y aura 60 000 contaminés potentiels à retrouver ! Consternant !

Si cette affaire tourne mal, avec des cas de décès chez les spectateurs, que diront les autorités suite aux plaintes des familles ? « Responsables mais pas coupables », comme pour le sinistre épisode du sang contaminé ?

C’est ce que le gouvernement appelle « faire face ».

En réalité, les autorités sanitaires mondiales ont sous-estimé la dangerosité de ce virus, que personne ne connaît. Les chiffres de propagation sont fantaisistes, certains porteurs sains mais contagieux n’étant pas identifiés.

Le taux de mortalité de 2 % ne repose que sur les chiffres venus de Chine, donc suspects. En France, nous en sommes à 38 cas connus et 2 morts.

Le DG de l’OMS déclarait lundi que « Ce virus est l’ennemi public numéro 1 et il n’est pas traité comme tel ».

Et c’est bien le cas en France, où les mesures prises sont totalement incohérentes.

Au classement mondial des pays les mieux préparés, dans une étude parue récemment, la France n’est qu’à la 11e place. Pas de quoi pavoiser.

« Il y a lieu ni d’avoir peur, ni d’être négligents », vient de déclarer Édouard Philippe. Un tissu de banalités !

On comprend très bien que ce n’est pas en répandant la panique que les choses iront mieux. Mais les Français ont besoin d’un discours de vérité et de décisions politiques de bon sens, parfaitement cohérentes.

On en est loin !

Plus de 30 pays sont dorénavant touchés et on compte plus de 30 morts hors de Chine.

C’est bien une pandémie qui se prépare. Et si le virus ne faiblit pas avec l’arrivée du printemps, c’est toute la planète qui va connaître une situation à la chinoise.

Ce gouvernement nous fait un grand exercice de communication. Mais si la situation s’aggrave, comme en Chine, il sera entièrement responsable.

Les exemples cités ci-dessus sont le signe d’une désinvolture coupable, alors que voilà deux mois que la Chine ne parvient pas à maîtriser l’épidémie.

Une ex-ministre norvégienne : « Les explosions, les attaques à la grenade, les écoles incendiées… La situation en Suède est hors de contrôle »

Norvège – Sylvi Listhaug, ancienne ministre norvégienne de l’Immigration, a déclaré que la situation en Suède était « hors de contrôle ».

Dans un éditorial pour VG, Sylvi Listhaug parle des problèmes en Suède, tout en avertissant que tenter d’éviter d’en parler ne servira à rien.

« En Suède, il est admis qu’on ne peut pas parler de ces problèmes parce que cela peut être stigmatisant. Aujourd’hui, la situation en Suède est complètement hors de contrôle avec des centaines de voitures incendiées, des écoles incendiées, des centaines d’attaques à la bombe, des assassinats en plein jour et des attaques coordonnées à l’arme automatique ou à la grenade. »

Selon Sylvi Listhaug, les statistiques de la criminalité en Norvège, en Suède et au Danemark « montrent que les jeunes migrants sont surreprésentés parmi les criminels violents. »

VG.no

Et si le coronavirus était une chance pour la France ?

Publié le 25 février 2020 – par Franck Buhler (RL)

Oui bien évidement, tout décès est un drame, et nous ne pouvons que pleurer les victime du virus chinois. Mais il y a des vérités à rétablir et surtout des conclusions à tirer face à cette crise sanitaire.

La première chose qu’il convient de dire est que que l’on constate une « dramatisation » au niveau mondial qui semble un peu « surjouée » par rapport à la réalité du problème. Le taux de mortalité en Chine et en Orient s’établit à 1,5 % des malades. Dans d’autres pays comme la France, qui ont choisi un autre mode de traitement (le Tamiflu), le taux de mortalité semble bien être inférieur.

Rappelons qu’il s’agit d’un taux de mortalité comparable à celui de la rougeole et à peine supérieur aux épidémies annuelles de grippe les plus agressives. Bref, c’est humainement un drame mais statistiquement le mot de crise sanitaire semble, dans l’état actuel des choses, (le virus peut encore muter et devenir plus dangereux) trop fort… L’hystérie collective des médias est surtout due à la volonté de vendre des espaces publicitaires…

Mais ce n’est pas le coronavirus en lui-même qui est un drame pour les victimes, certes, c’est ce qu’il montre de l’état de faiblesse dramatique de l’Europe occidentale et de la France qui doit nous affoler.

Entendez-vous derrière le sensationnel des annonces de quarantaines et autres contaminations la petite musique de fond ? Celle qui nécessite que l’on tende l’oreille pour l’entendre… celle qui est annoncée au passage, parfois par les journalistes ? « Apple annonce qu’il risque de ne pas fournir la demande en iPhone à cause de l’arrêt des usines chinoises », « Samsung… etc… », « Risque de pénurie de vêtements pour cause de quarantaines en Chine », « Les constructeurs européens annoncent des délais supplémentaires pour livraisons des véhicules neufs pour cause du manque de composants produits en Chine », « La pénurie de certains médicaments fabriqués en Chine risque de s’aggraver »… etc…. etc.

COMMENCEZ-VOUS À COMPRENDRE ?

Le vrai drame du coronavirus est qu’il montre clairement que nous ne sommes plus un pays indépendant ! Nous sommes TOTALEMENT sous la coupe et le pouvoir de la Chine qui, « grâce » à cette crise, en a désormais totalement conscience !

Sans la Chine nous ne pouvons plus nous nourrir car les tracteurs sont fabriqués avec des composants chinois que nous ne pouvons pas fabriquer car il nous faudra des décennies pour pouvoir retrouver les hommes et les « outils » nécessaires ; il en va de même pour nos communications (ordinateurs, téléphones, centraux téléphoniques), nos véhicules… NOS MÉDICAMENTS ! Et j’arrête, car la liste est interminable.

Comment nomme-t-on un pays qui devra se mettre à genoux si on lui coupe (volontairement un jour ?) les vivres ? : un vassal. Le coronavirus vient de nous prouver que nous sommes les vassaux d’une Chine qui peut, du jour au lendemain, poser des exigence et mettre sous embargo n’importe quel autre pays du monde, y compris les États-Unis, et qui obtiendra alors ce qu’elle souhaite. Ils sont nos maîtres !!

Non, il n’y a aucun catastrophisme ici, juste un constat. Et de ce constat doit naître une réaction immédiate et puissante.

Le général de Gaulle nous a montré l’exemple. En 1944, face à un pays en ruine et totalement dépendant des Américains, il a nationalisé les transports, les banques, les grandes entreprises, Renault et c’est l’État qui « à la cravache » a obligé ces acteurs économiques à reconstruire les usines et l’économie française. Le moment est venu d’une vraie prise de conscience grâce au coronavirus. Il est nécessaire de réagir et de relocaliser en urgence nos entreprises, de réformer l’Éducation nationale pour former des artisans, ouvriers et paysans… VITE !

Boris Johnson réforme le visa de travail, «première étape d’une refonte de tout le système d’immigration»

Sputnik

Le Brexit derrière lui, Boris Johnson s’attelle à une nouvelle réforme, celle de l’immigration, avec un visa à points privilégiant les travailleurs très qualifiés. Une mesure qui ne plaît ni à l’opposition travailliste ni au patronat. Décryptage de ce projet de loi avec Jean-Paul Gourévitch, auteur d’ouvrages sur l’immigration.

Le visa de travail coûtera très cher au Royaume-Uni à partir de l’année prochaine. Si le projet de loi préconisé par Priti Patel, ministre de l’Intérieur, est adopté, il faudra le 1er janvier 2021 pour les nouveaux arrivants, parler anglais et présenter une proposition d’emploi avec un salaire minimum de 30.820 euros par an. 70 points seront ainsi nécessaires pour obtenir le visa. Affirmant se conformer au «message clair» envoyé par les Britanniques lors du référendum de 2016 décidant la sortie de l’Union européenne, la femme politique a envoyé un signal sans ambiguïté:

«Notre économie ne doit plus dépendre d’une main-d’œuvre bon marché en provenance d’Europe, mais se concentrer plutôt sur l’investissement dans la technologie et l’automatisation.»

Si ces mesures ne concernent pas les 3,2 millions de ressortissants de l’UE qui ont demandé à résider avant la fin de la période de transition, la réforme suscite des craintes de pénurie de travailleurs peu qualifiés dans de nombreux secteurs économiques tels que l’alimentation, la santé, la construction ou encore l’hôtellerie. Sputnik a interrogé Jean-Paul Gourévitch, consultant international sur l’Afrique et les migrations, auteur du livre Le Grand remplacement, réalité ou intox? (Ed. Pierre-Guillaume de Roux).

Sputnik France: Pouvez-vous nous expliquer en quoi consiste le projet de loi sur l’immigration que compte adopter le Parlement britannique?

Jean-Paul Gourévitch: «Ce projet de loi est un projet de visas à point que Boris Johnson porte depuis six mois déjà. Il l’avait déjà annoncé en 2019. Ce projet est inspiré du système australien, le general skilled migration visa. Il est fondé sur deux choses: la première, une connaissance de l’anglais et la seconde, 70 points qui vont être obtenus en fonction des compétences des personnes par rapport aux professions dans lesquelles ils peuvent s’intégrer. Voilà comment on peut résumer ce projet de loi, mais comme Boris Johnson le dit lui-même, ce n’est qu’une première étape d’une refonte globale de tout son système d’immigration. Car cela ne concerne ni le regroupement familial, ni les migrants en situation irrégulière, ni les demandeurs d’asile, ni les mineurs isolés, pour lesquels il est en train de prendre d’autres dispositions.»

Sputnik France: Quel est le système actuel d’immigration au Royaume-Uni?

Jean-Paul Gourévitch: «Comme vous le savez, les Britanniques n’ont pas signé la “Directive retour” de l’Union européenne. Ils ne se sentent donc pas engagés. Prenons l’année 2018, il y a 627.000 arrivées pour 245.000 départs, c’est-à-dire que vous avez entre 350.000 et 400.000 personnes qui s’installent au Royaume-Uni.

Pour Boris Johnson, c’est beaucoup trop, et surtout, il privilégie les carrières à forte compétence, c’est-à-dire toutes les carrières autour de la technologie et l’automatisation. Il va mettre en place ce système à points, qui va favoriser un certain nombre de cadres et défavoriser au contraire des personnes qui ont une faible connaissance de l’anglais et dont la compétence est focalisée sur des métiers considérés comme moins performants, beaucoup moins honorifiques. Au Royaume-Uni, la plupart des serveurs et des femmes de ménage sont des immigrés, dont une partie vient d’ailleurs de l’Union européenne. J’insiste, 75% des serveurs viennent de l’Union européenne.»

Sputnik France: Quels secteurs économiques pourraient pâtir d’une éventuelle pénurie de main d’œuvre? Et lesquels bénéficieront du nouveau système?

Jean-Paul Gourévitch: «Tous les secteurs dont les métiers sont à faible qualification pourraient ainsi en pâtir, par exemple le bâtiment, l’hôtellerie, l’aide à la personne, qui ne nécessitent pas automatiquement une bonne connaissance de l’anglais, et surtout des compétences en matière de diplômes qui sont reconnues internationalement.

Ceux qui pourraient en bénéficier sont les secteurs à valeur ajoutée, ce qui est de l’ordre de l’ingénierie, du numérique, de l’automatisation. Ce sont des domaines dans lesquels le Royaume-Uni vise à occuper des positions dominantes et c’est aussi pour cela qu’il restreint ou qu’il modifie la règle du jeu en ce qui concerne l’immigration de travail.»

Sputnik France: Selon vous, quels sont les objectifs de cette réforme? Y a-t-il un problème d’immigration au Royaume-Uni ou il s’agit d’une solution pour attirer les «cerveaux»?  

Jean-Paul Gourévitch: «Je l’ai dit précédemment, il y a un problème d’immigration avec 627.000 arrivées et 245.000 départs. C’est donc une augmentation de la population immigrée par le solde migratoire. Comme il y a aussi une augmentation de la population d’origine étrangère par le solde naturel, le Royaume-Uni, comme la France et d’autres pays, est confronté à une augmentation de l’immigration qui pose un certain nombre de problèmes.

Le second élément, c’est que le Royaume-Uni a fait un choix technologique en ce qui concerne l’immigration de travail. Autant Boris Johnson a dit qu’il allait se montrer généreux avec les migrants irréguliers qui sont présents depuis longtemps et qui ont un travail, autant il vise à faire une révolution drastique pour les mineurs isolés. Le Royaume-Uni n’en accueille que 3.000 par an, la France en accueille 40.000. D’une part, ces mineurs isolés n’ont pas le droit de faire venir leur famille alors qu’en France, ils en ont le droit. D’autre part, pour les demandeurs d’asile, le Royaume-Uni reçoit beaucoup moins de demandeurs d’asile qu’en France. Si l’on prend l’exemple de 2018, ce sont 31.000 demandeurs d’asile, la France a dépassé les 120.000.»

Sputnik France: Un plan d’immigration comme celui-ci peut-il être efficace?

Jean-Paul Gourévitch: «Tout dépend de ce que l’on veut faire de l’immigration de travail. Soit on considère que l’immigration de travail doit être au service d’objectifs de qualifications de haut niveau –Boris Johnson a choisi cette voie-là–, soit on considère que l’immigration de travail doit combler les niches laissées vides par les autochtones. Là, Boris Johnson risque de se trouver en difficulté dans les métiers à faible qualification, c’est pourquoi d’ailleurs, une partie du patronat britannique ne le suit pas véritablement.»

Sputnik France: Quelles conséquences peuvent présenter ce plan d’immigration sur les salaires et sur l’emploi?

Jean-Paul Gourévitch: «En ce qui concerne le taux d’emploi, le Royaume-Uni n’a que 3,8% de chômage, donc il n’y a pas trop de risques pour les emplois. Là où se situe un risque beaucoup plus grand, c’est très probablement la rémunération. Le fait de faire venir des immigrés de faible qualification permettait de peser sur les rémunérations des autochtones. À partir du moment où vous faites venir des gens très qualifiés, ceux-ci vont réclamer des prestations et des rémunérations à leur niveau et donc il n’y aura pas de possibilité pour le patronat de revoir à la baisse les rémunérations.»

Brest : un lycéen de 16 ans de nationalité marocaine et Mohamad D. combattant de l’État islamique accueilli en France en tant que réfugié syrien au cœur des projets d’attentats

L’enquête sur les sept interpellés de Brest, en janvier, confirme le rôle de premier plan d’un lycéen de 16 ans dans les projets d’attentats à Brest et Paris. Autre surprise glaçante : le passé de combattant djihadiste du leader présumé de ce groupe, un réfugié syrien.

[…]Les enquêteurs en sont convaincus : l’adolescent, né à Brest mais de nationalité marocaine, a joué un rôle de premier plan dans les projets mis au jour. Son extrême détermination a surpris. Il voulait à tout prix commettre un attentat au nom de l’État islamique, auquel il avait prêté allégeance. Il aurait également participé à la désignation de certaines cibles : le port militaire de Brest, et le nouvel an chinois, à Paris, « en soutien aux frères Ouïgours persécutés en Chine ». D’autres objectifs auraient été cités, comme une patrouille de police au hasard, dans la rue à Brest, et un rassemblement de gilets jaunes.[…]

Combattant de l’État islamique en 2014

Un autre suspect présente, aux yeux des enquêteurs, un profil encore plus inquiétant : Mohamad D., 34 ans. Arrivé avant l’été 2015 en France, ce Syrien a trompé la vigilance des services de renseignement et de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), qui lui délivre le statut de réfugié en octobre de la même année. Il dit avoir fui le régime syrien. Il l’aurait en fait combattu… dans le camp des jihadistes. Selon nos informations, l’homme s’est enrôlé dans le groupe État islamique au début de l’année 2014. C’est lui, auréolé de son statut de jihadiste, qui aurait fédéré la petite communauté de radicalisés brestois interpellés le 20 janvier. […]

[…]letelegramme.fr

Le Grand Remplacement prouvé en 5 minutes

Publié le 23 février 2020 – par Julien Martel (RL)

Les remplacistes nient la réalité du changement de population et font de la propagande pour renforcer l’immigration

Puisqu’un mensonge répété mille fois finit par devenir une vérité, les grands médias jurent que le changement de population en cours, pourtant visible comme le nez au milieu de la figure, est un mythe raciste qui a vu le jour dans le cerveau aigri de quelques théoriciens complotistes d’extrême-droite.

Ils font intervenir de nombreux « experts » pour faire des « désintox », pour « prouver » « scientifiquement » qu’il n’y a pas de Grand Remplacement, que c’est une « théorie du complot » et que ça rappelle « les heures les plus sombres de notre histoire ».

Avec le droit du sol, le regroupement familial et les naturalisations à gogo, les étrangers deviennent très vite « français ». Des Français remplacés par des Français, ce n’est pas vraiment un remplacement, n’est-ce pas ?

Et mon cul, c’est du poulet ! On sait comment ça fonctionne…

Mouloud est français puisqu’il est né en France en 1994. Mouloud ne fait pas partie des étrangers, des immigrés. Son père Ahmed est arrivé d’Algérie en 1975. Il a été naturalisé français en 1984. La mère de Mohammed, Samira, est née en Algérie, mais avec le regroupement familial, elle a pu venir en France et a été naturalisée française, ainsi que ses parents, Rachid et Fatia. Le fils de Mouloud, Mohammed, est français lui aussi, puisque non seulement il est né en France, mais de parents français. D’ailleurs ses filles Rachida, Hasma et Karima sont françaises aussi.

Bagneux 1963
Bagneux 2019

Ce n’est parce qu’un hamster naît dans un bocal que c’est un poisson.

Les Maghrébins, les Orientaux et les Noirs nés en France n’en restent pas moins extra-européens et ne peuvent être français qu’au prix de contorsions sémantiques foireuses et de lois contraires au droit universel des peuples à disposer d’eux-mêmes.

Ils sont non-européens, non-blancs, ils peuvent parfois aimer la France et être des amis de la France, mais cela ne leur donne pas de droit sur le territoire français, sur les terres ancestrales des Français de souche. Et de plus,  beaucoup aussi sont des Français de papier, voire des ennemis de la France.

Leur nationalité française doit leur être retirée et la plupart doivent être repatriés dans leur pays d’origine pour l’enrichir comme ils ont enrichi la France.

La colonisation de la France doit cesser. La décolonisation doit commencer. Pour sauver la France et le peuple français, il faut mettre en place le grand rapatriement des immigrés arrivés depuis les années 50.

Quelles sont les données qui prouvent le Grand Remplacement ?

Le Grand Remplacement est l’idée selon laquelle la proportion d’individus d’origine extra-européenne augmente en France depuis les 50 dernières années et continue d’augmenter.

Pour étudier le phénomène réel du Grand Remplacement et dépasser la propagande remplaciste qui utilise tous les mensonges pour nier le changement de population, il faut donc s’intéresser à plusieurs variables :

– la situation démographique actuelle (= combien d’extra-Européens en 2019)

– les flux entrants et sortants chaque année

– l’étude des naissances et la proportion de naissances d’origine extra-européenne

Les statistiques ethniques étant interdites en France, il est difficile d’obtenir des données sur l’origine raciale des individus vivants en France. Il faut donc se contenter des données de l’Insee sur l’origine géographique des immigrés et de leurs descendants directs.

On peut donc utiliser les données de 2016 de l’Insee sur les recensements de la population et estimations de population, ainsi que l’enquête emploi 2018 de l’Insee.

Résultats : 6,5 millions d’immigrés en 2018, soit 9,7 % de la population, et 7,5 millions de descendants directs d’immigrés, soit 11,2 % de la population. En tout, on obtient ainsi 14 millions de personnes, soit 21 % de la population.

Si l’on s’intéresse exclusivement aux extra-Européens, on obtient alors un total de 8,657 millions d’immigrés ou de descendants directs d’immigrés extra-européens, soit 13 % de la population.

Rappelons que cette estimation est un minimum, qui ne prend par exemple pas en compte les petits-enfants d’immigrés extra-européens. Avec un calcul plus détaillé, Laurent Obertone estime lui à 18 % de la population métropolitaine la « diversité visible ».

Ce chiffre est donc encore loin de représenter une majorité, mais il est à comparer avec la proportion d’individus d’origine extra-européenne en France dans les années 1950, qui était largement inférieure à 1 % !

Par ailleurs, la vraie question est surtout de se demander si ce pourcentage est amené à augmenter ou s’il stagne. Pour cela, ce qui est intéressant à étudier est la proportion de naissances d’origine extra-européenne en France.

Plusieurs indicateurs nous permettent d’estimer cette donnée, à commencer par la proportion de nouveaux-nés portant un prénom arabo-musulman.

Première source : Le pourcentage de prénoms arabo-musulmans parmi les naissances de garçons ne cesse d’augmenter depuis 60 ans.

Il était à moins de 1 % en 1960, il est à plus de 18 % en 2016. Par ailleurs, au niveau départemental, les départements où le taux dépasse la moyenne nationale sont les plus fertiles (Île-de-France, départements très peuplés du Sud-Est de la France, etc.).

Résumé en un graphe :

Source : “L’Archipel français” de Jérôme Fourquet (directeur du département « opinion et stratégies d’entreprise » de l’Ifop) à partir du fichier des prénoms de l’Insee.

2e source : Répartition des naissances selon que la mère est immigrée ou non

Un rapport récent de l’Ined (juillet/août 2019) indique qu’en 2017 près d’une naissance sur cinq (19 %) était de mère immigrée, c’est-à-dire née étrangère à l’étranger, soit 143 000 sur 760 000. Cette proportion était seulement de 16 % en 2009 (tableau).

Source : S. Volant, G. Pison et F. Héran Population & Sociétés n° 568, INED, juillet/août 2019

3e source : les chiffres de l’Insee sur l’origine des nouveaux-nés

Ces données sont de très bonne qualité puisque la nationalité et le pays de naissance des parents sont enregistrés de façon quasi systématique à la naissance d’un enfant.

(Je reprends ici une partie d’un excellent article de @phl43)

On constate que la proportion des nouveau-nés dont au moins l’un des parents est de nationalité étrangère hors Union européenne est passée de 11,5 % en 1998 à 21,1 % en 2016.

On constate que la proportion de nouveau-nés dont au moins un des parents est né hors de l’UE à 28 est passée de moins de 19 % en 1998 à presque 28 % en 2017, soit une augmentation de presque 48 %.

Dans le cas des nouveau-nés dont les deux parents sont nés hors de l’UE, l’augmentation est encore plus spectaculaire : la proportion est passée d’environ 8 % en 1998 à plus de 14 % en 2017, soit une augmentation de 75 %.

4e source : Le pourcentage d’enfants dépistés à la drépanocytose

Un bon moyen d’avoir des statistiques ethniques sur les naissances en France est le pourcentage d’enfants dépistés à la drépanocytose, une maladie qui concerne quasi exclusivement les populations extra-européennes.

Les conditions de dépistage de cette maladie génétique majoritairement africaine sont très strictes : les deux parents doivent être issus d’une des régions à risque listées ci-dessous.

On constate qu’en France métropolitaine en 2016, 39,39 % des nouveau-nés ont été dépistés (donc considérés comme nouveaux-nés « à risque »). En Île-de-France, pratiquement 3 enfants sur 4 sont dépistés.

Le taux de dépistage national augmente de façon quasi linéaire depuis 20 ans : environ 20 % en 2000, et 31,5 % en 2010.

Source : Agence française pour le dépistage et la prévention des handicaps de l’enfant (AFDPHE)

Conclusion : Le Grand Remplacement n’est pas une théorie mais un constat, puisque la proportion d’individus d’origine extra-européenne augmente sans discontinuer en France depuis les 50 dernières années et que le rythme de cette augmentation ne ralentit pas.

Le silence des journalistes de propagande devant l’agression islamique

Publié le 23 février 2020 – par Cyrano

Si vous êtes parisiens, n’hésitez pas à consacrer votre soirée à la onzième soirée des Bobards d’Or, organisée par l’équipe de Polémia, sous la houlette de Jean-Yves Le Gallou. Au-delà de ceux qui seront primés, c’est tous les ans la mise à nu, savoureuse, de l’ensemble des mensonges que colportent matin, midi et soir, sept jours par semaine, toute une équipe de journalistes de propagande, que permet cette soirée.

Chose extraordinaire, elle n’est relayée par aucun média, comme si ceux-ci craignaient, même en manipulant et en déformant la soirée, d’attirer l’attention sur leurs mensonges démasqués. On est donc en pleine logique stalinienne, où la photo de Trotski était gommée de la place Rouge, comme si le fondateur de l’Armée rouge n’avait jamais existé.

Et pourtant, malgré la qualité de la soirée que nous réservera, une fois encore, Jean-Yves Le Gallou, il y a pire que les bobards des journalistes de propagande, c’est leurs silences sélectifs et complices.

L’islam est un dogme politico-religieux, qui ne peut exister que par la conquête, la guerre et l’anéantissement de toute civilisation précédente. Il a tué 270 millions d’infidèles en 14 siècles, soit un Oradour par jour : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

En toute logique, tous les jours, des islamo-racailles, au service du djihad, agressent les représentants de la France, qu’ils soient policiers, pompiers, médecins, ou simples infidèles : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

L’invasion migratoire, organisée par Merkel, Hollande, puis Macron, et les mondialistes, provoque, tous les jours, en France, des scènes d’une violence insupportable, presque toujours semblables. Des hommes, africains, majoritairement musulmans, insultent, agressent verbalement, physiquement, violent et parfois tuent des Français qui « avaient le malheur d’être au mauvais endroit, au mauvais moment » : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

Tous les ans, il rentre en France 500 000 nouveaux venus, la plupart en situation irrégulière, qui ne repartiront jamais. Cette agression contre notre peuple, à qui on les impose, accélère, de manière irréversible, le Grand Remplacement dénoncé par Renaud Camus, le changement de peuple, de civilisation, et l’islamisation de notre pays : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

Le Rassemblement national – et toute la mouvance patriote – n’est en rien raciste, xénophobe, fasciste ou nazi, comme le ânonnent depuis quarante ans les mondialistes, pour mieux diaboliser la seule alternative à leur politique supra-nationale : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

Ce sont nos compatriotes et nos enfants qui sont les principales victimes d’agressions racistes, de la part de Noirs ou d’Arabes qui, profitant de leur impunité totale et de l’inversion accusatoire, ont compris que les Français et nos enfants ne pouvaient pas se défendre, sous peine d’être accusés de racisme : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

Ce sont nos compatriotes SDF qui meurent, tous les jours (plus de cinq cents par an) sur les trottoirs, quand l’État, soutenu par les associations dites humanitaires, gavées de subventions, loge dans les hôtels des clandestins qui n’ont rien à faire en France : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

De manière scandaleuse, s’organise, en France, un véritable djihad judiciaire, orchestré, au service des islamistes, par les associations dites antiracistes, et le parquet, aux ordres du gouvernement. Des dissidents comme Éric Zemmour, Christine Tasin, Renaud Camus, Gérard Boyadjian, Sébastien Jallamion, Pierre Cassen, Catherine Blein, sont traînés devant les tribunaux, comme s’ils étaient des malfrats, avec des méthodes dignes des pires pays totalitaires : les journalistes de propagande le cachent aux Français. 

Il n’y aurait pas de problème avec le financement des retraites si on utilisait la manne de réserve prévue pour cela (150 milliards) et si on arrêtait de financer l’immigration, à hauteur de 130 milliards par an : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

C’est parce que Macron et ses journalistes de propagande veulent que l’information soit à nouveau sous le contrôle de l’État et de ses complices qu’il se prépare la liberticide loi Avia, qui n’a comme seul objectif que celui de museler les réseaux sociaux alternatifs : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

Les prétendus antiracistes, qui multiplient un véritable djihad judiciaire contre les patriotes, sont de vrais racistes, qui n’hésitent pas à insulter un Arabe catholique assimilé comme Jean Messiha, coupable d’aimer la France et de refuser le discours victimaire de ceux qui veulent enfermer les immigrés dans une vision misérabiliste. Comme l’explique notre fondateur, des Belattar, Sopo, Avia ou Klugman n’hésitent pas à emprunter les pires propos racistes pour discréditer un Jean Messiha, avec le silence complice des autorités judiciaires et de tous les imposteurs de l’antiracisme : les journalistes de propagande le cachent aux Français.

Ces journalistes de propagande, faussaires, menteurs et censeurs, sont, avec la police et la justice, les derniers remparts de Macron et de son régime, de plus en plus haïs par les Français. Ils véhiculent la fable de « l’immigration, une chance pour la France », « l’islam une religion de paix », et les bienfaits de l’incontournable Union européenne. Ils mentent délibérément aux Français, en paroles et par omissions. Ils salissent les résistants. Bien évidemment – et le mouvement des Gilets jaunes l’a confirmé – ils sont détestés, au même titre que Macron, auquel le peuple les a assimilés.

Nos compatriotes ont compris depuis longtemps que ces collabos sont, à de trop rares exceptions, les parfaits descendants de Radio Paris, qui était allemand en 1940, et est devenu musulman en 2020.

Discours de Macron à Mulhouse : Vive la République, et Nique la France!

Riposte Laïque

Interloqué par le concept de « séparatisme » islamiste, j’ai décidé, contrairement à mes habitudes, de me faire douleur et d’écouter le discours tenu par Macron à Mulhouse.

Comme toujours, Emmanuel nous a livré un monologue creux ponctué de principes nébuleux, de chiffres et de « faits » obscurs censés prouver son action, qui ne pourra ravir que son électorat, lequel risque d’atteindre bientôt le vide intergalactique de l’univers de la pensée.

Le concept de « séparatisme » a réussi à étonner son monde.

C’est un néologisme dans le vocabulaire des rapports entre la France et l’Islam, qui a plutôt recours aux termes de communautarisme, d’islamisation, ou encore de Grand Remplacement.

Or on comprend rapidement, à l’écoute du discours, que ce concept est à lire à l’envers : Macron ne cherche pas à lutter contre le « séparatisme » islamiste, mais à organiser son inclusion.

Le mot « séparatisme » est sciemment utilisé au négatif pour masquer l’objectif réel.

En optant pour un champ lexical de droite (lutte contre le « séparatisme »), plutôt que de gauche (inclusion), Macron, alors qu’il dit en fait dans le fond la même chose, poursuit sa stratégie électorale de droitisation, un virage qui n’est que de forme et d’apparence, dans le but d’amadouer une droite du portefeuille ayant abandonné ses neurones (pour ne pas dire autre chose) depuis quelques années, en cela bien aidée par la diabolisation médiatique de l’union des droites et par l’indécision de Marine Le Pen sur la question économique.

Mais sortons des calculs politiciens et revenons-en au fond.

Pourquoi s’efforce-t-il désespérément d’inclure une partie de la population qui le refuse ?

Si Macron pensait France, il s’évertuerait à assimiler les intéressés, ou à les virer, mais pas à les inclure.

S’il pensait Islam, il ne chercherait pas à les inclure, mais il poursuivrait un simple « laisser- faire » qui perdure depuis des décennies.

Il ne faudrait pas faire l’erreur de voir en Macron un amoureux de l’Islam, ou un simple collabo qui encaisserait  son argent en attendant de partir loin quand la roue aura tourné. Il n’a ni ce pouvoir, ni ce recul.

Emmanuel est un simple gauleiter qui souscrit à l’idéologie de la Kommandantur. Alors, pour le comprendre, il faut comprendre Bruxelles.

L’Union européenne a une logique sociale-libérale. Elle ne cherche pas du tout l’islamisation de l’Europe, car la charia bloquerait son économie de marché, mais elle a besoin de la main-d’œuvre immigrée.  Il faut donc trouver le moyen de mélanger les populations à la vitesse du marché,  soit de manière industrielle, car les assimiler petit à petit, artisanalement, prendrait trop de temps et freinerait la marche de l’économie.

Mais cela ne pose aucun problème aux mondialistes, car ils ont une vision universaliste suprématiste.

Convaincus de la supériorité de leur modèle de vie occidental, ils sont persuadés que l’intégration dans l’Union des « séparatistes », sans les froisser, aura pour effet de leur faire abandonner leur culture d’origine pour embrasser la vie à l’occidentale et que les mosquées se videront comme se sont vidées les églises.

Une logique que l’on retrouve enracinée dans l’État profond français depuis la colonisation.

Les socialistes n’ont pas réussi à les faire changer de l’extérieur, en Afrique. Ils estiment  maintenant qu’ils y arriveront de l’intérieur, en France, par la puissance culturelle dévastatrice de la baguette de pain, des mini-jupes, du vin rouge ou je ne sais encore quel délire.

Les mondialistes n’ont absolument aucune objectivité. Ils sont persuadés que leur manière de vivre est si parfaite et si désirable qu’elle sera un jour universellement reconnue car ils n’ont aucune conscience de ce qu’est un peuple, une identité, une culture.

Leur vision est obstruée par leur inculture historique crasse et leur volonté séculaire obsessionnelle de faire du monde une zone de libre-échange.

Vivant dans un entre-soi, ils ne sont pas capables de concevoir que le compte en banque est un facteur prédominant du vivre-ensemble, comme certains pieds-noirs vivent dans la nostalgie de leur Algérie, la belle vie au soleil et la fraternité entre les religions, en oubliant qu’ils habitaient pour la plupart dans des grandes villas, entourés de domestiques, et qu’il est plus facile pour les humains d’oublier leurs différends autour d’une piscine, d’un verre de rosé et de jolies filles, que lorsque l’on vit en banlieue d’Île-de-France dans un quartier islamisé.

Une déconnexion totale à laquelle s’ajoute un désir de revanche de la colonisation des Africains depuis devenus français, qui finiront un jour par récupérer et profiter des infrastructures construites par les Français de souche sans avoir à supporter ces mécréants, comme ils l’ont fait en Algérie.

Mais revenons-en au discours de Macron.

Dès les premières minutes, il trahit son logiciel de lecture socialiste européiste.

Il convient, selon lui, pour lutter contre le « séparatisme », d’augmenter les secteurs de dépenses des quartiers dans l’éducation, le culturel, le religieux et le sportif, c’est-à-dire amplifier tout ce qui ne fonctionne pas depuis des décennies et qui provoque ce « séparatisme ».

C’est comme cela qu’Emmanuel réfléchit.

Il est capable de reconnaître l’échec de l’Union européenne, comme celui de l’assimilation des « séparatistes ».

Son remède ?

Il faut plus d’Europe, et plus d’Islam !

Il y a chez cette personne une non-reconnaissance des faits objectifs, de type pathologique, typique du socialisme.

Il ne parle jamais de la démographie, qui devrait pourtant constituer le thème principal du discours.

Espère-t-il pouvoir « républicaniser » des quartiers qui comptent déjà 80 % de « séparatistes »  ?

Il faudrait « enseigner l’arabe dans les écoles comme on enseigne l’italien ».

Comme si les intéressés étaient en mesure de s’assimiler comme les Italiens !

Croit-il que cela pourrait avoir pour effet de développer les échanges commerciaux avec le Maghreb ?

Que nos nombreux intellectuels et entrepreneurs de banlieue engageraient ainsi de prometteurs partenariats économiques susceptibles de déboucher sur une union commerciale de la Méditerranée ?

Quel rêve !

Ou alors, pense-t-il réellement à la culture, et va-t-il leur permettre de lire le Coran sans traduction et de regarder des vidéos de Daech en version originale ?

Si l’ennemi désigné de la France est l’islamisme, alors enseigner l’arabe dans nos écoles reviendrait à enseigner le russe en pleine guerre froide.

Macron parle d’indivisibilité du territoire et il se trahit encore.

Peut-on imaginer les rois de France et les révolutionnaires républicains qui ont dû, au fil des siècles, lutter face aux indépendantismes régionaux pour construire l’indivisibilité de la France, organiser le financement et la promotion des cultures et des langues bretonnes ou basques ?

Il n’a pas un logiciel de rassembleur, mais d’éclateur.

Les rois et les républicains français ont poursuivi l’objectif de construire un État-nation, soit un socle commun traditionnel, favorisé par une homogénéité nationale de peuple, d’identité, de culture et de langue.

Macron est un européiste, il ne pense que par le prisme du libre-échange et il se contrefout de l’identité. Il ne voit que des consommateurs et de la main-d’œuvre.

L’Union européenne essaie justement aujourd’hui de promouvoir les régionalismes, ce dont la Catalogne est actuellement le laboratoire, afin de faire éclater les États-nations, seuls remparts au libre-échange, par leurs leviers de protectionnisme économique.

La construction de la France a été un travail d’homogénéisation identitaire, pas seulement la création d’un espace économique à l’intérieur de ses frontières.

Macron ne peut pas lutter contre ce qu’il désigne par « séparatisme » alors que l’essence même de l’européisme est la promotion des « séparatismes » au profit d’un pouvoir fédéral économique qui laisserait aux « séparés » une autonomie culturelle.

En se comportant comme un agent de l’européisme, il ne peut, au même titre que ses collègues, qu’être incompétent face à l’islamisation croissante.

La suite de son discours bascule dans le néant intellectuel.

Petit florilège :

Il dénonce un « manque de preuves d’amour » et participe ainsi à leur victimisation.

Il exige des Français de la « patience », alors que cela fait plus de trente ans que ça dure.

Il appelle des binationaux turcs ses « concitoyens » et il déclare qu’ils sont à ses yeux « pleinement français », faisant  ainsi l’éloge de la double identité.

Il n’a pas peur d’être « fraternellement autoritaire » (sans commentaires…).

Macron prendra quarante minutes pour ne parler que de République, mais jamais de France.

Forcément, car la France a une identité trop fournie, une histoire de 1 500 ans, ce qui est trop contraignant pour son modèle d’inclusion continue de nouveaux arrivants, alors qu’avec la République il peut se réfugier derrière des principes libres de toutes formes d’interprétations, tels que notre credo républicain, rabâché et recraché jusqu’au point d’en perdre tout son sens et sa beauté : Liberté, Égalité, Fraternité.

À chaque fois que l’on cherche à mélanger des populations, il faut nécessairement vider de leur substance leurs cultures respectives. L’Histoire de la France, son patrimoine culturel, artistique, architectural, gastronomique, tout cela est beaucoup trop concret et donc astreignant pour l’inclusion.

Macron doit alors, afin de créer l’illusoire unité d’une masse difforme, se reposer sur des concepts aussi abstraits qu’éculés, comme la légendaire ouverture de la France.

À l’écouter, l’histoire de la France se résumerait à écarter ses cuisses…

En conclusion, Vive la République et Nique la France !

Mais il n’a pas compris qu’en « niquant » la France il va « niquer » la République, car les deux sont consubstantielles l’une à l’autre.

A-t-on on déjà vu une république démocratique laïque dans un pays à majorité musulmane ?

Le plus grave, c’est qu’une question du public  va le prouver. Et seulement quelques minutes après la fin de son monologue propagandiste. Je conseille à tout le monde de visionner ce moment d’anthologie qui commence vers la fin de la cinquante et unième minute de la vidéo de l’AFP disponible sur YouTube.

Avec un accent mi-exotique mi-banlieusard, l’intervenant, fort d’un bac ES, qu’il a, je cite, « réussi à acquérir » (le taux de réussite est de 90,7 %), et actuellement étudiant en première année de BTS MCO,  ce qui suscitera, accompagné d’un clin d’œil complice,  un « Bravo  ! » de la part d’Emmanuel (on imagine le mépris intérieur de cet ex-élève du Lycée Henri IV, diplômé de l’ENA), va déplorer de ne pas avoir la nationalité française alors qu’il est sur le territoire depuis plusieurs années, sachant qu’il lui manque la naturalisation pour entreprendre des projets « que ce soit à l’étranger ou, par exemple, en France »… (il aurait été opportun d’approfondir cette partie, Emmanuel).

Notre étudiant va ponctuer son intervention de deux « Dieu merci » parsemés, l’un concernant son baccalauréat, l’autre son titre de séjour provisoire de dix ans.

Et là, c’est le drame.

Alors qu’Emmanuel, sentant le coup foireux, commence à plaisanter sur les « Dieu merci », après que l’intéressé a fini par (quand même) « remercier la France » – car Macron souligne préférer « surtout dans le contexte » (sic) que les remerciements soient adressés à la France, plutôt qu’à Dieu – l’étudiant va lâcher une bombe… (fort heureusement, pas au sens littéral) :

« C’est une supériorité (en parlant de Dieu par rapport à la France), c’est une supériorité, on ne peut pas l’ignorer, Monsieur… même l’Église n’ignore pas Dieu, même si, euh… les Français… »

Macron, dont on ignore s’il a conscience de l’immense malaise généré par cette intervention, tant la situation, comme son boulard, est surréaliste, réussira à passer à autre chose en plaisantant.

Ainsi, après nous avoir vendu pendant près d’une heure son projet d’inclusion, dont les intéressés seraient, selon lui, parfaitement aptes à comprendre notre vision de la laïcité, Macron trouve le moyen de laisser la parole à l’un d’entre eux qui, en seulement une minute, parvient à caser la supériorité de son Allah sur la France, et cela sans même que l’on ait eu besoin de le lui demander !

C’est d’ailleurs en marge de ce discours que Macron s’est fait prendre en photo en compagnie d’une femme voilée…

On ironisait sur la pluie qui poursuivait François Hollande, mais là, ça dépasse l’entendement.

J’ai finalement bien fait de regarder.

Félicitations Manu, encore une fois, du très grand art.

Et… Nique la France !

B.H.

Macron et sa voilée : Français, voyez comme je vous “emmerde”

Riposte Laïque

Quel est le sens de cette image ? Quel est le message que nous envoit le président de la République depuis Mulhouse ?

Macron, un homme inapprochable. Après plusieurs séquences où il a eu très, très peur de se faire coxer, Macron est devenu un homme ultra-protégé. Essayez donc de vous en approcher revêtu d’un gilet jaune… Depuis des mois, les lieux où il se trouve sont ultra- sécurisés. Les quartiers sont bouclés à des centaines de mètres à la ronde et seules des personnes dûment identifiées peuvent se glisser jusqu’à lui. Ainsi des observateurs ont pu remarquer que les gens qui avaient été autorisés à l’approcher étaient tous munis d’un bracelet, signe de ce qu’ils avaient été identifiés bien en amont et conduits jusque-là sous contrôle. 

Une image parfaitement contrôlée. Sur cette photo en plan rapproché, on voit 4 personnes dont au moins 2 gardes du corps tendus comme des arcs. Par conséquent, il ne s’agit pas d’une scène ayant échappé au contrôle du service de sécurité. Toutes les personnes qui figurent sur cette image ont été dûment sélectionnées et autorisées par les services. Ici, tout est maîtrisé et il n’y a rien de fortuit dans cette image immédiatement publiée dans la presse, donc très probablement après validation par les services de communication de l’Élysée. L’image est parue hier sur le site de la Dépêche du Midi et on n’imagine pas qu’un média aussi docile se soit risqué à une telle publication sans aval. Aucun doute, il ne peut pas s’agir d’une erreur de communication, ni d’un élément aléatoire.

Alors pourquoi cette voilée intégrale collée contre Macron ? La voilée en tout premier plan collée contre Macron est là, volontairement mise en scène, pour porter un message politique fort. En aucun cas il ne peut s’agir d’un pur hasard. Et il n’échappera à personne qu’il ne s’agit pas d’un simple voile, mais bien d’un voile intégral. Le voile se détoure bien net, rouge sur fond noir quasiment uni, personne ne peut le rater. L’image est parfaite, comme construite.

Un message aux musulmans. N’ayez aucune inquiétude, mon discours de lutte contre l’islam politique n’est destiné qu’à anesthésier les Français. Fiez-vous à ce que vous voyez, il n’y aura de ma part rien de fait pour endiguer la progression  de l’islam politique et votre conquête du pays. Si vous voulez que ça continue, votez pour moi à la prochaine présidentielle.

Un message aux Français. Je vous emmerde. Vous n’en voulez pas, vous les aurez quand même bien profond, telle est la volonté de mes maîtres et tel est mon bon plaisir. 

Le précédent récent du T shirt LBD 2020.

Cette image aussi a fait beaucoup parler et fait couler beaucoup d’encre. Certains on pu croire (ou plutôt essayé de faire croire) à une bourde. Aucune bourde mais bien une provocation délibérée, une marque de défi à l’encontre des centaines de victimes des brutalités policières qu’il a expressément commanditées. Macron marque son mépris absolu de ceux qu’il a éborgnés. On retrouve le même petit sourire vicelard sur les deux images. Inutile d’avoir le son pour entendre ce qu’il pense en son for intérieur en ces instants :

« Tenez, voyez comme je vous emmerde ».

Aucune bourde, aucune erreur de communication mais des provocations hystériques. On connait le goût de cet immature indéfini pour la provocation, pour la morgue et l’arrogance hystériques. On se souvient du précédent et du « qu’ils viennent me chercher » qu’il avait glapi lors d’une montée incontrôlée de folliculine. On se souvient de ses multiples provocations à l’encontre du peuple de France, de son mépris sans cesse affiché. L’immature arrogant et hystérique se crispe dans la provocation pour marquer son autoritarisme. Car c’est bien d’autoritarisme dont il faut parler dans son cas et non pas d’autorité ; disposition naturelle dont il est totalement dénué.

Les images symboliques jalonnent le quinquennat, elles marquent le mépris absolu de la France. Toutes ces images s’enchaînent dans une cohérence parfaitement raisonnée. Elles portent toutes la même symbolique qui peut se résumer de la manière suivante :

 »Français, voyez comme je vous emmerde, vous allez devoir vous effacer devant les Noirs et les musulmans. »

M. Moisan

Macron et sa lutte contre le séparatisme islamiste : du vent !

Riposte Laïque

À Mulhouse, Macron lance son plan pour lutter contre le « séparatisme islamiste ».  Avec trente ans de retard, la reconquête républicaine serait-elle en marche ? Ou bien s’agit-il d’un énième coup de communication sans lendemain, pour donner à Macron, à la veille des élections, une posture régalienne qui lui fait tant défaut ?

Ne nous faisons pas d’illusion. Le discours sera davantage axé sur le social, sur l’école et le travail que sur le combat contre l’islam politique qui ne cesse d’établir des mini-califats sur tout le territoire.

Mulhouse, c’est 103 nationalités pour 110 000 habitants, dont 1/3 de musulmans (source Figaro).

Mulhouse, c’est l’image de la France de demain. Et il se trouve encore des irresponsables politiques pour affirmer que le Grand Remplacement est une fumisterie d’extrême-droite.

Quand la population de souche diminue de 25 % à chaque génération, avec un taux de fécondité de 1,5 enfant par femme, mais que la population globale augmente chaque année, ça s’appelle comment ?

Macron n’a pas l’étoffe d’un homme d’État. Il  prépare sa réélection en 2022, qui passe avant  les intérêts de la France et des Français. N’est pas de Gaule qui veut… Il s’imagine combattre l’islamisme avec la croissance et l’emploi et n’a qu’une obsession : ne pas froisser les musulmans, ne pas stigmatiser ceux qui ont voté pour lui en 2017.

Moyennant quoi il ne ressortira rien de cette farce. Tout comme la loi « Asile-immigration » n’a rien réglé. Macron n’est qu’un illusionniste qui poursuit sa politique mondialiste.

Jihadisme, islamisme, laïcité, communautarisme, séparatisme, radicalisation, autant de mots que le pouvoir manie avec la plus grande prudence, dès qu’il s’agit d’encadrer l’islam de France, comme s’il jonglait avec des flacons de nitroglycérine.

La peur de l’amalgame, la hantise de la stigmatisation des musulmans et la crainte d’être taxées d’islamophobie paralysent nos élites, tétanisées comme un lapin devant un cobra, dès qu’il faut débattre de la deuxième religion de France. Un tel manque de courage est consternant.

C’est ainsi qu’Emmanuel Macron, après maintes hésitations et contorsions sémantiques, a décidé de lancer la reconquête des quartiers, sous le signe de la « Lutte contre le séparatisme islamiste ».

Le terme communautarisme ayant des relents de stigmatisation des minorités, il paraît que le mot séparatisme est un passe-partout beaucoup plus présentable, utilisé pour bien des régions qui aspirent à leur autonomie.

Ce qui est grotesque, car si les Corses, les Basques, les Catalans, ou d’autres régionalistes européens aspirent à se détacher du pouvoir central, ils n’ont jamais eu l’intention d’imposer une idéologie quelconque au reste de la nation.

Or, pour les islamistes, biberonnés au salafisme et au wahhabisme, le séparatisme n’est pas seulement le rejet de la République, mais c’est l’instauration de la charia en lieu et place de la loi républicaine. On n’est donc plus dans un esprit d’autonomie, mais dans une volonté de conquête islamique parfaitement assumée.

Tout n’est que mensonge chez les macronistes. Le gouvernement prétend s’opposer aux financements étrangers pour la construction de mosquées. Mais on apprend qu’à Mulhouse, la grande mosquée An-Nour, qui coûte 28 millions d’euros, a reçu 14 millions du Qatar !

Emmanuel macron entend s’appuyer sur le CFCM pour combattre l’islamisme. Or, cet organisme, livré à des rivalités internes incessantes, n’a plus beaucoup d’emprise sur les mosquées que se disputent l’Algérie, le Maroc, la Turquie et les monarchies du Golfe.

Voici ce que disait Ahmet Ogra, l’ex-président du CFCM de 2017 à 2019, soulignant le poids incontournable des musulmans en France.

«Aujourd’hui, nous avons plus de dix millions de musulmans en France. […] plus de six millions de Français d’origine algérienne […] plus de 3,5 millions de Français d’origine marocaine […] huit cent mille d’origine turque, huit cent mille d’origine tunisienne. On est même à plus de dix millions. Aujourd’hui, on ne peut pas nous sous-évaluer […]. »

Et plus récemment, avec l’affaire Mila un représentant du CFCM s’est encore distingué par son adhésion sans faille aux valeurs républicaines.

Abdallah Zekri, délégué général du Conseil français du culte musulman (CFCM), tout en condamnant les menaces de mort, estime qu’elle doit « assumer les conséquences de ce qu’elle a dit ». « Si, je le dis ! a-t-il asséné vendredi matin sur Sud Radio. Elle l’a cherché, elle assume. Qui sème le vent récolte la tempête. »

Et ceux qui ont vu dans l’Amif, l’Association musulmane pour l’islam de France créée par Hakim El Karaoui, l’arme fatale pour combattre l’islamisme, sont tombés de haut.

Zineb el Rhazoui a martelé devant le Sénat que de nombreux membres de l’Amif, à commencer par Tareq Oubrou, avaient des liens avec les Frères musulmans, et que ce serait « une très grosse erreur historique que de livrer les Français de confession musulmane à l’Amif ».

https://www.saphirnews.com/Islam-de-France-Hakim-El-Karoui-promeut-la-creation-d-une-AMIF-contre-l-islamisme-le-CFCM-s-y-oppose_a25597.html

Il est clair que l’islam radical est si profondément incrusté dans la société française, après 40 années de politique de l’autruche, que Macron est devenu l’otage de ceux qu’il prétend vouloir combattre. Il ne pourra que composer en achetant la paix  dans les quartiers. Il n’y aura jamais de reconquête.

Il entre 500 000 immigrés par an, dont  les 2/3 de musulmans. Aucune reconquête des quartiers ne sera possible sans fermer les frontières, sans supprimer la double nationalité et sans supprimer le droit du sol.

Bernard Rougier, auteur des « Territoires conquis de l’islamisme », nous prévient. Les salafistes font en France ce qu’ils ont fait au Maghreb et au Machrek il y a 30 ans.

L’islamisme part de la mosquée, se propage avec la librairie islamique, gagne les clubs de sport où les non musulmans sont  indésirables, impose la séparation des hommes et des femmes, se diffuse dans les lycées et collèges, dans les entreprises et les services publics. Le discours salafiste se répand sans rencontrer le moindre obstacle, la moindre opposition.

Plus les propos sont grotesques et plus la jeunesse musulmane est réceptive. Rougier nous cite ce prédicateur expliquant que le coronavirus est une volonté d’Allah, pour punir les Chinois qui persécutent les Ouïghours !

Quand  Mohammed Moussaoui estime à moins de 1 % les dérives islamistes, il  trompe le gouvernement. Le cancer islamiste est métastasé.

Le maillage islamiste dans les banlieues est en expansion constante. Les maires achètent le vote musulman à chaque élection, les salafistes discréditent l’école républicaine, soutiennent le discours décolonial et victimaires que tiennent la gauche et les Verts.

Il est clair que des millions de Français restent aveugles et sourds à cette radicalisation des musulmans de France, parfaitement encadrés par les islamistes.

Macron ne fera rien. Le face-à-face prédit par Gérard Collomb est donc  inéluctable.

Il y a 30 ans, Michel Poniatowski l’annonçait déjà. Mais comme tous les donneurs d’alerte, il a été ignoré et c’est seulement aujourd’hui que les politiques feignent de vouloir agir.

Il n’y a pas une virgule à retirer des propos de Poniatowski. Les plus anciens s’en souviennent.

« Cette âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluri-ethnique et pluriculturelle que l’on s’acharne, avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer.

Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but. 

Ces pages peuvent apparaître cruelles. Mais elles correspondent à un sentiment très profond. Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane. Si tel n’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du « cher et vieux pays » dont parle le général de Gaulle et celui du campement avancé du tiers monde africain.

Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours. Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées. Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes.

Nous allons vers des Saint-Barthélémy si l’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression… » (Observatoire de l’islamisation)  1990 :  Michel Poniatowski voulait « Que survive la France »

J.G.