Un journaliste de LCI coupe la conversation avec une porte-parole des Gilets Jaunes, lui reprochant un discours «radical et excessif»

Le journaliste de LCI Adrien Borne coupe la conversation téléphonique avec Laétitia Dewalle, porte-parole des Gilets Jaunes, lui reprochant un discours «radical et excessif».
– LCI, 24 novembre 2018, 14h51





Le migrant violeur acquitté : il ignorait que c’était interdit !

Publié le 23 novembre 2018 – par Jacques Vinent (Riposte Laïque)

Il y a quelque six ans déjà, votre serviteur avait commis une bafouille concernant Rashid, reconnu coupable de viol sur une fillette, mais acquitté par un tribunal britannique au motif que l’école – coranique, comme c’est étrange – où il « étudiait » avait omis de lui faire savoir que ce genre de chose ne se faisait pas.

https://ripostelaique.com/un-tribunal-anglais-acquitte-rashid-lecole-coranique-ne-lui-avait-pas-dit-que-le-viol-etait-illegal.html

Décision judiciaire assez surprenante, mais bien réelle.
Mais bon. On objectera que l’Angleterre, « c’est loin ». En outre, dans l’antre du multiculturalisme, entre Beatles sauce Karachi et kebab végan, le tout pimenté d’un zeste du « so british » humour corrosif, comme l’attestent les attaques à l’acide, cela ne pouvait pas nous concerner.

Erreur.
S’estimant probablement en retard sur une administration judiciaire conceptrice de l’habeas corpus, la cour d’assises de la Manche – on sent l’influence marine – vient d’acquitter un « migrant » originaire du Bangladesh et coupable des mêmes faits.

https://www.lamanchelibre.fr/actualite-620903-normandie-juge-pour-le-viol-d-une-lyceenne-il-est-acquitte

Synopsis de l’affaire : logé dans un foyer pour travailleurs (pourquoi tu rigoles, toi ?) l’étalon attire deux jeunes filles mineures dans sa chambre pour une partie fine.
Un gang-Bangladesh, en somme.
Ne semblant pas d’accord pour une conclusion aussi précipitée, les demoiselles se rebellent et l’une parvient à s’enfuir, non sans avoir subi quelques palpations appuyées.
Par contre, pour l’autre, c’est la totale.

Passons sur leur présence en ces hauts lieux d’échanges interculturels : goût de l’exotisme, curiosité malsaine ou de bon aloi, bonne conscience au rabais… elles y étaient, avec ou sans l’assentiment de leurs géniteurs.

Plainte à la police, le type est embastillé, et donc vient d’être jugé.
Et c’est là que son avocat obtient son acquittement, arguant que son client « ne maîtrisait pas nos codes culturels ».
Effectivement. Va deviner que, sous certaines latitudes, une femme puisse dire « non ».
Le prévenu n’était pas prévenu.

« Nul n’est censé ignorer la loi ».
« La loi est la même pour tous ».
Ça dépend si t’es codé ou non.

C’est en fonction du code que ta conduite est bonne ou mauvaise. En quelque sorte, face au juge, tu passes le permis.
Le tribunal nous joue un remake du sketch des Inconnus : le bon et le mauvais violeur.
« Mon garçon, tu as fauté. Mais eu égard à ta naïveté, on te pardonne pour cette fois, tu ne savais pas que tu tirais à balles réelles ».

Dans l’Évangile selon sainte Schiappa, un regard insistant peut valoir quelques menus ennuis à son auteur. Faudra ajouter : « dans la mesure où il est codé ».
Trop tôt pour savoir si cette décision fera jurisprudence, en tout cas elle se montre particulièrement novatrice en inventant des concepts judiciaires jusqu’à présent inconnus, débouchant sur de nouvelles qualifications d’infractions :
– viol involontaire ;
– coups de… ayant entraîné la souffrance sans intention de la causer.
Cela étant, difficile d’imaginer comment un jury populaire a pu prendre telle décision.

Pour la « féministe » (là, c’est moi qui rigole) Caroline de Haas, il serait raciste de souligner l’origine islamo-quelque chose des phallus sur pattes.

Sur ce coup, et à l’inverse, exciper de sa qualité mahométane absout l’auteur pour son attitude, disons, inconvenante.

On n’ose imaginer le désarroi et la détresse des deux gamines, probablement amenées à croiser à nouveau le chemin de leur tortionnaire.

Selon que vous serez codé ou ignorant, les jugements de cour…

______________________________ 2eme article sur le sujet ____________________________________________________

Viol : il n’avait pas les « codes culturels », il a été acquitté !
Source : Boulevard Voltaire

La déchéance d’un pays se mesure non pas seulement à travers un acte fondateur mais à travers une multitude de faits divers qui, mis bout à bout, orientent vers le bas une société en montrant son désarroi et sa déliquescence. L’histoire qui suit en est un exemple parfait.

Mardi 20 novembre 2018, deuxième jour du procès devant la cour d’assises de la Manche, à Coutances, d’un jeune homme accusé de viol et d’agression sexuelle sur deux mineures.
Les 29 septembre et 10 décembre 2015, le mis en cause avait entraîné, à quelques semaines de distance, deux jeunes filles de 15 et 16 ans chez lui, au foyer de jeunes travailleurs de Saint-Lô. Là, il les aurait agressées sexuellement. L’une échappa des mains de son tourmenteur en prenant la fuite, l’autre fut contrainte et violée. Au tribunal, pour sa défense, l’homme soutient que les deux étaient consentantes.

C’est le capitaine de police de la sûreté départementale de Saint-Lô qui enquêta, après la plainte de la première victime. Ses investigations lui permirent d’établir un lien entre cette affaire et la plainte pour viol de la deuxième victime qui, entre-temps, avait été classée sans suite. Le brigadier-chef ayant pris la déposition de la deuxième plaignante avait, sans recherches approfondies, conclu que l’absence de consentement n’était pas manifeste.

Le capitaine expliqua à la cour que, lors de sa garde à vue, l’accusé avait tenté de peloter les cuisses de l’interprète, l’obligeant à placer un policier entre la traductrice et celui-ci. Il indiqua de même que ce dernier « considérait les femmes françaises comme des p**** […] et qu’il avait un comportement de prédateur ».

La Manche libre rajoute que « les experts qui ont examiné l’accusé s’accordent tous pour le décrire comme narcissique et égocentré et que dans sa culture d’homme du Bangladesh, son pays d’origine, “les femmes sont reléguées au statut d’objet sexuel” ».

Vous avez bien lu : « statut d’objet sexuel ». Cette dénomination est horrible et pourtant vous ne trouverez pas un mot dans la presse, sauf La Manche libre.

Mais le plus ahurissant reste à venir.

Le verdict est tombé mercredi 21 novembre 2018. Malgré les six ans de réclusion criminelle requis par l’avocat général, le mis en cause a été acquitté du viol, il a simplement été condamné, pour l’agression sexuelle de la première victime, à deux ans de prison avec sursis assortis d’une mise à l’épreuve. Il sera inscrit au fichier des délinquants sexuels. Ce violeur « est donc ressorti libre du palais de justice de Coutances ».

Comment cela est-il possible ? L’avocat de la défense nous fournit la réponse. Elle a plaidé les difficultés d’interprétation qui, selon elle, sont le fil conducteur de ces affaires. Difficulté d’interprétation, notamment, de la part de son client qui « n’avait pas les codes culturels » pour prendre conscience qu’il imposait une relation par crainte ou par surprise. Suite à cet effet de manche, le tribunal a estimé que l’accusé n’avait pas conscience d’imposer un rapport sexuel. « Heureusement », le président a pris soin de préciser que « la décision de la cour n’est pas une remise en cause de la sincérité » de la plaignante.

Ce jugement est grave pour le futur car, en extrapolant, je peux excuser demain des assassins islamistes en arguant du fait qu’attachés à la « charia », ils n’avaient pas les codes culturels pour discerner le bien et le mal inhérents à notre société.

Femmes de France, il est urgent de vous avertir : aujourd’hui, si le code de conduite d’un étranger est différent de celui de notre pays, il pourra vous considérer comme une p*** et vous violer… sans être puni.





Qui détient les clefs du pouvoir en France ?

Publié le 21 novembre 2018 – par Laurent Droit (dans Riposte Laïque)


(Image : couverture du roman de San-Antonio « Les clefs du pouvoir sont dans la boîte à gants »)

Qui détient les clefs du pouvoir en France ?
Et où sont les clefs du pouvoir ?…
Y a-t-il encore un pilote à l’Élysée ?
Qui gouverne légitimement la France ?

C’est la grande question que l’on peut se poser.

Macron ?
Sa copine Merkel ?
Son copain Erdogan ?
L’UE, la Commission ou le Parlement européen(ne), ou encore la CEDH, la Cour européenne des droits de l’homme ?
L’ONU qui se mêle de tout ?
L’UNESCO aux mains des musulmans ?
L’OTAN américaine ?
Le GIEC ?
La COP ?
Washington ?
Moscou ?
L’Afrique ?
Le groupe Bilderberg ?
George Soros ?
Les émirats et royaumes pétroliers ?
La haute finance mondiale ?
Les puissances mondialistes ?
Les verts, écolos et environnementalistes ?

Il y a un peu trop de monde qui se partage le pouvoir dans ce pays.

Notre chef d’État, despote incompétent absolu, semble s’inspirer de tous à la fois et recevoir des ordres de chacun.

C’est un peu facile de se laver les mains en arguant de groupes d’autorité supérieure pour se déresponsabiliser.

Mais je ne marche pas dans la combine.

Depuis plusieurs décennies, nos chefs d’État n’ont rien fait de positif ni d’utile, ni de constructif pour le pays.

Quand ils n’ont pas fait tourner à fond la planche à billets, ils ont allègrement jeté l’argent par les fenêtres, notamment pour faire de somptueux cadeaux (des dizaines de milliards d’euros) à tout un tas de chefs d’État africains en contrepartie de droits à exploiter quelques ressources minières), sans développer leur pays et sans que jamais les peuples de ces États africains ne voient un centime de ces milliards. Ils ont dépensé nos impôts à tort et à travers dans de grands plans et de grandes entreprises fumeuses dont il n’est jamais rien sorti de bon pour la France.

Ils nous ont menti sans vergogne au sujet de l’effet de serre, du réchauffement climatique, de l’empreinte carbone et autres foutaises dont il s’avère, selon le monde scientifique, que tout cela n’est que contes, fables et fariboles.

Tout le monde sait que le climat est déterminé à 98 % par l’activité solaire qui est elle-même très variable et cela depuis des milliards d’années. C’est elle qui fait et défait les ères glaciaires et les ères tropicales et cela depuis très longtemps, bien avant l’apparition de l’homme.

Et je ne vois pas comment ni par quels moyens l’homme pourrait influer sur l’activité solaire…
La seule réponse que les États apportent, ce sont de nouveaux impôts. Aujourd’hui le climat se dérègle un peu et semble se réchauffer et on crée un impôt pour « lutter contre le réchauffement climatique ». C’est risible ! Demain, la Terre se refroidira de manière importante et on créera un impôt pour « lutter contre le refroidissement climatique !… »
De toute façon, l’argent de tous ces impôts va dans le pot commun fiscal où il disparaît pour toujours.

De plus, il faut savoir que les vrais scientifiques sérieux de la climatologie estiment que nous entrons en réalité dans une nouvelle petite ère glaciaire, en fait de réchauffement…
L’action de l’homme est insignifiante en termes de climat, ce qui, par contre, n’est pas le cas en termes de respect de la vie animale et végétale sur Terre.
Les forêts disparaissent, les océans se meurent et nous allons le payer très cher.

Bref, pendant des décennies, nos chefs d’État ont cautionné et contribué activement à la situation dramatique dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui.

Plus rien ne fonctionne dans le pays et le peuple gronde et sa colère monte et devient de plus en plus audible.

Toutes nos institutions sont corrompues ou en voie de délitement ou de désagrégation et s’effondrent, armée, police, justice, enseignement public, emploi, finances, sécurité publique, santé publique, logement, violence, menaces de guerre, etc.

La France est à bout de souffle. La dette extérieure tourne aujourd’hui entre 2 300 et 2 400 milliards d’euros.
Le pays ne peut même plus payer les intérêts annuels de cette dette colossale.

Au lieu de tenter de faire des économies, l’État continue de jeter l’argent pas les fenêtres en contradiction avec son discours sur les économies que doit faire le peuple.
Il crée de nouveaux impôts, de nouvelles taxes, tente des manœuvres désespérées et absurdes pour faire rentrer de l’argent et ne pas en sortir, faire payer toujours plus les citoyens qui n’ont plus rien en poche, pour finalement nous conduire à la ruine totale du pays.

Soyons clairs, cette dette, nous ne la paierons jamais. D’ailleurs, je pense que de nombreux pays, aujourd’hui, ne sont absolument pas ou plus en mesure de payer leur dette.

Nous ne la paierons jamais parce que nous ne sommes plus en mesure de le faire avec nos ressources normales, mais comme, en plus, nos dirigeants absurdes font venir dans le pays des millions de migrants arabes ou africains musulmans incultes, fainéants et incapables de s’intégrer dans notre société, il faut en plus les nourrir, les loger, les payer à ne rien faire et supporter leurs comportements délinquants ou criminels et cela pour de nombreuses années, avec nos impôts, sur le dos des travailleurs.

Tout cela, tandis que nous avons déjà 6 millions de chômeurs (et non pas 3,3 millions figés comme le prétend la vitrine d’État du chômage…).

C’est une situation intolérable.

Les Français accepteraient peut-être de faire des efforts dans un contexte normal, avec de bons dirigeants soucieux de préserver les intérêts du pays et de son peuple.

Mais là, ce n’est pas le cas et nous sommes dans une configuration qui provoque la colère des Français et leur refus que les choses continuent à progresser dans ce sens et leur refus d’assumer l’incompétence, la folie et la trahison de leurs dirigeants.

La haine de Macron pour la France et pour son peuple et sa volonté de détruire le pays ne sont aujourd’hui plus à démontrer. Ce paltoquet, ce gosse mal élevé à peine sortie de l’adolescence, ce grossier personnage, cet être inculte sans foi ni loi, ce personnage indigne de la fonction présidentielle qu’il avilit quotidiennement, qui insulte les Français et salit notre pays en toute occasion qu’il a de s’exprimer ailleurs, à l’étranger, chez nos ennemis, ce n’est pas notre chef d’État, c’est notre pire ennemi.

Il organise de grandes commémorations extrêmement coûteuses à la mémoire de nos anciens combattants (dont il n’a rien à foutre) ou des « itinérances mémorielles » ridicules et irrespectueuses pour nos anciens, dans le seul but de faire parler de lui et de mener campagne permanente et d’inviter à son cirque personnel d’autres chefs d’État qu’il se permet d’insulter et auxquels il manque du plus élémentaire respect.

C’est sous le mandat de cet homme sans une once d’humanité, sans aucune capacité à la compassion ou à la simple écoute des autres que des agriculteurs, des policiers ou des agents hospitaliers ne trouvent pas d’autre issue que le suicide à l’enfer qu’est leur vie. Et la liste n’est pas exhaustive.

La situation n’est plus acceptable.

La France est en train de couler et de sombrer dans une crise comme elle en a rarement connu et cela uniquement à cause de la mauvaise gestion et des trahisons de ses dirigeants.

Le moment n’est donc plus à la négociation ni à l’acceptation de quoi que ce soit de plus.

Le peuple n’a plus à faire d’efforts face à des dirigeants criminels.
Le moment est à l’éviction de ces traîtres et de ces pourris qui nous ont amenés à cette situation et, comme ils ne voudront jamais partir d’eux-mêmes parce que la place est bonne et que leur sécurité est assurée, l’heure est donc à la révolte armée, à la révolution et à la guerre civile qui s’ensuivront forcément à un niveau européen.

Car, bien entendu, les autres pays d’Europe occidentale ont subi les mêmes revers et les mêmes trahisons.

Cette guerre civile est la seule issue et la seule et unique possibilité de faire que les choses changent, mais sans garantie qu’elles changent dans le bon sens.
Seulement, nous n’avons pas le choix.
Car, déjà, les dirigeants français préparent la partition de notre pays pour donner des territoires indépendants aux musulmans. Dans ces territoires, ils pourront se multiplier, se renforcer et préparer une armée de millions de combattants puissamment armés qui fondront sur nos territoires encore libres et nous écraseront.

https://fr.gatestoneinstitute.org/12932/macron-partition-france#.W4ZI_JvJK98.facebook

D’ailleurs, Macron prépare déjà une « mutilation » de la loi de 1905 pour donner encore plus de liberté et de pouvoir aux musulmans :
https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-05-novembre-2018

Dans un cas, nous allons vers la guerre civile inter-ethnique, inter-religieuse et inter-raciale, et dans l’autre, nous allons vers la libanisation de la France, et ce, pour des siècles, avec la disparition totale de notre culture et l’effondrement de notre civilisation.

L’Histoire du monde a connu bien d’autres disparitions de cultures et de civilisations…

Je vous recommande de regarder et d’écouter attentivement cette vidéo d’une intervention d’Alain Wagner, un spécialiste de l’islam bien connu, qui vous permettra peut-être de comprendre bien des choses :
« ALAIN WAGNER : 1975, nos élites européennes ont vendu l’Occident à l’islam »

https://www.youtube.com/watch?feature=youtu.be&v=w6Cb4sFhopU&app=desktop





Castaner : risques décuplés d’attentats par la faute des Gilets jaunes

Publié le 21 novembre 2018 – par Jean Sobieski (dans Riposte Laïque)

CASTAPAIRE (de 2) VIRE AU COMIQUE.

« Risques décuplés d’attentats par la faute des Gilets jaunes ». Décuplés ! La précision du chiffre fait froid dans le dos. On imagine une multiplication par vingt, par cinquante, les cheveux se dressent face au centuple. Existe-t-il un milluple ? Un simple triple ne serait-il pas plus raisonnable ? Des tueurs en gilet jaune, ça changerait quand même de la tenue antifa, de la djellaba, du caleçon piégé.

Au fait, beau gosse : la centaine de clandestins qui se posent à Bayonne chaque jour, aucun risque ?
Les quatre cents chiards d’égorgeurs qui s’apprêtent à devenir adolescents dans leur milieu de culture halal, aucun risque ?
Les cellules dormantes bien au chaud dans les cités, protégées par l’omerta de la « communauté », aucun risque ?

Et votre indécrottable stupidité, à vous, nos gouvernants, qui pensez pouvoir apprivoiser l’animal en sabordant la loi qui nous préservait de son haleine fétide, de ses feulements, de ses griffes et de ses pérennes appétits, aucun risque non plus ? Et si vous mettiez la même énergie à nettoyer la ménagerie de la République que vous en dépensez à nous faire ployer sous votre paniquarde impéritie, une idée, comme ça, en passant ?…

https://www.marianne.net/politique/christophe-castaner-suggere-que-le-risque-d-attentat-est-decuple-par-les-gilets-jaunes





À Avignon, les religieuses ont dansé avec les gilets jaunes !

Sur les réseaux sociaux, la vidéo est devenue rapidement virale. La scène se passe à un barrage près d’Avignon. La manifestation les ayant forcées à s’arrêter, deux religieuses – deux dominicaines du Saint-Esprit – sont sorties de leur voiture et, se joignant aux gilets jaunes, ont dansé avec eux, telle Thérèse d’Avila jouant des castagnettes avec ses novices. Dans leur long habit blanc, leur grand rosaire de bois virevoltant à la ceinture, à peine gênées par leur grand voile noir sur la guimpe, elle esquissent en chaussettes dans leurs sandales les pas d’un Madison oublié, comme jadis, en escarpins, les jeunes filles gaies qu’elles étaient… qui ignoraient encore – ou ne le disaient pas – qu’elles allaient offrir leur vie.

Et les gilets jaunes ébahis rient et applaudissent en rythme, finissent pas faire un cercle autour d’elles. L’un d’eux, qui est peut-être DJ dans son village pour le bal du 14 Juillet, fait l’animation, enflant sa voix avec son accent du Sud, pour soulever une ovation enthousiaste : « Alleeeeez ! elleeeeees sont lààààààà, les sœurs, ou elleeeees sont pas lààààà ? » Oui, elles sont là, mais elles s’en vont déjà. Soyons sérieux, il faut qu’elles repartent. Puis, d’ailleurs, ce n’est pas elles qu’il faut applaudir, mais Lui : l’une d’elle brandit le crucifix qui pend au bout de son rosaire. Elle parle ensuite avec une manifestante, le son est trop mauvais pour qu’on distingue les paroles, mais son doigt est levé : vers le ciel. Avant de s’engouffrer dans leur voiture et redémarrer, sous les vivats de l’assistance. Il n’y a pas d’heure ni de lieu pour évangéliser. Et celui-ci, somme toute, n’est pas plus mal choisi qu’un autre. Il est peut-être même plutôt bien trouvé. Leur ange gardien, facétieux et qui avait sans doute des fourmis dans les pieds, les a bien inspirées.

Le temps était gris et pluvieux – eh oui, même à Avignon c’est possible – et l’humeur au diapason : c’est poussés par la détresse, la colère et la peur du lendemain qu’ils sont venus manifester. Et voilà que la petite vertu espérance, comme disait Charles Péguy, incarnée par deux joyeuses « bonnes sœurs », est venu les dérider.

Beaucoup – la plupart ? – ne croient ni à Dieu ni à diable et seraient bien en peine de dire par quel bout se prennent les boules en buis qui pendent à leur taille. Peu importe.

Ces religieuses, aussi furtives et déterminées dans leur façon de danser que dans leur manière de s’en aller – trois petits tours et puis s’en vont -, semblent sorties d’un film de Louis de Funès, d’une douce France dont ils sont nostalgiques et que l’on n’appelait pas encore, alors, la France périphérique. Une France fantasmée, parfois – certaines grand-mères vous diraient que, dans les pensions, les religieuses n’étaient pas toutes aussi rigolotes que celles-là -, mais dont ils veulent confusément retrouver le terreau pour la réinventer. Non, cette France n’est pas à bout de souffle, triste et décatie. Non, il n’est pas de seule religion vivante dans ce pays que celle, en pleine expansion, dont on croise les fondamentalistes sombres et menaçants.

Comme dit Karl Lagerfeld dans la publicité, le gilet jaune peut vous sauver. Même de la morosité.





Gilets jaunes : ce n’est plus le prix du litre le problème, c’est Macron !


Publié le 20 novembre 2018 – par Jacques Guillemain (Riposte Laïque)

Emmanuel Macron ne s’en relèvera pas. Entre le peuple et lui le divorce est total et irréversible. Quelle que soit l’issue du conflit, essoufflement ou radicalisation, la révolte des Gilets jaunes restera une tache indélébile dans son quinquennat, qui est définitivement plombé.

Si le mouvement se calme, il reprendra de plus belle sous une autre forme, aussi longtemps que le gouvernement restera sourd à la détresse du peuple.

Car plus les jours passent, plus les débats s’enchaînent sur les plateaux TV, plus les politiques s’expriment, qu’ils soient aux commandes ou dans l’opposition, plus les syndicats tentent de s’intégrer dans la gronde populaire pour se l’approprier, et plus on constate que tout ce joli monde n’a strictement rien compris à cette révolte et aux souffrances que le peuple ne supporte plus.

Et Macron encore moins que les autres. Nous avons atteint un point de non-retour. Le pays part en vrille et la seule réponse est de ne rien changer !

Cette situation explosive, il y a longtemps que les sites de réinformation la pressentent, tirant chaque jour la sonnette d’alarme sur l’injustice sociale et les dangers de l’immigration qui a ruiné et disloqué le pays.

Mais Macron voudrait les faire taire en leur interdisant de s’exprimer. Trente années de mensonges ne parviennent plus à masquer l’ampleur du désastre. Toutes les coutures de la société sont en train de craquer.

Le litre de gasoil peut bien baisser de 20 centimes, c’est trop tard. Ce n’est pas ça qui calmera les révoltés de l’injustice sociale qui veulent le départ de Macron, un président arrogant qui les méprise, les insulte et les prend de haut en leur disant qu’il garde le cap.

Il faut s’appeler Wauquiez pour croire que l’annulation des taxes sur le gasoil va calmer le jeu. On n’en est plus là !

Les Gilets jaunes ce sont tous ceux que Macron traite d’illettrés, d’alcooliques, de fainéants, de moins que rien. Mais il oublie que ce sont tous ceux qui ne sont rien qui font les révolutions et changent le monde.

C’est le peuple allemand de l’Est qui a abattu le mur de Berlin. C’est le peuple anglais qui a voté le Brexit, c’est le peuple américain qui a porté Trump au pouvoir, c’est le peuple italien qui a renversé la table en portant la Ligue et le M5S à la tête de l’Italie.

L’Histoire est un éternel recommencement. C’est toujours le peuple qui décide et finit par s’imposer. Par les urnes, ou par la force comme à Berlin en 1989. Ce ne sont pas les cols blancs qui décident en dernier ressort.

Le mouvement des Gilets jaunes participe de la puissante lame de fond populiste qui ne supporte plus la dictature des élites arrogantes et qui va tout submerger.

Cette gronde populaire n’a rien à voir avec les manifs syndicales corporatistes.

Rien à voir non plus avec Mai 68, qui fut une révolte très politisée, alors que la France des Trente Glorieuses était riche et prospère, connaissait le plein emploi avec 6 % de croissance et avait le 5e niveau de vie au monde.

Sur les ronds-points bloqués, on croise des Gilets jaunes de droite, de gauche ou des extrêmes.

C’est un mouvement contre les élites incompétentes et pas seulement un ras-le-bol fiscal.

Pas un seul drapeau cégétiste, mais des drapeaux français, çà et là, et souvent la Marseillaise, voulant exprimer tout simplement ce qu’exprimait JMLP il y a 40 ans : les Français d’abord. On sent beaucoup de patriotisme dans ce mouvement.

Le peuple français veut vivre et ne pas disparaître.

C’est tout cela que Macron ne veut pas comprendre, totalement aveuglé par ses délires mondialistes, destructeurs de l’identité gauloise.

Le peuple aime la France, Macron aime l’Europe et veut rayer 2 000 ans d’Histoire.

Des malheureux ne peuvent même plus se chauffer avec l’explosion des taxes sur le fuel et le gaz, et Macron leur demande de changer de chaudière !

Ils n’ont même plus de quoi faire un plein et on leur demande de changer de voiture.

Des mères de famille, souvent parents isolés, pleurent de ne pas pouvoir offrir de cadeaux à leurs enfants pour Noël et on leur dit que tout ira mieux à la fin du quinquennat.

Une autre mère, avec un fils handicapé, ne reçoit aucune aide de l’État.

Une autre encore réalise que ses dépenses de transport pour aller travailler font qu’elle gagne moins que celui qui vit de l’assistanat.

Des millions d’étrangers vivent des minima sociaux, alors que dès le 15 du mois des millions de travailleurs français sont déjà dans le rouge.

Bon nombre de familles ne peuvent plus s’offrir le luxe de manger de la viande, mais le débat politique est de savoir si on doit supprimer le porc dans les cantines scolaires pour ne pas froisser les musulmans ! C’est ahurissant !

Pour ces familles, pas question de vacances ou même de séances de cinéma à 10 euros la place !

Nos vieux font les poubelles, mais les migrants sont pris en charge par les mairies.

Macron a figé les retraites, mais il a consacré 1,25 milliard pour accueillir 25 000 mineurs isolés en 2017 et plus de 2 milliards pour en accueillir 40 000 en 2018.

Combien de milliards supplémentaires en 2019 ?

Sans parler des retraites payées à des centenaires étrangers disparus depuis 30 ans.

Un million de Français attendent un logement social, parfois depuis huit ans, mais 25 000 clandestins sont logés à l’hôtel.

Cinq millions de Français n’ont pas de mutuelle, mais Macron porte le budget de l’AME à 1 milliard par an pour soigner les sans-papiers, couverts à 100 % !

Somme à comparer avec le milliard sur 10 ans que le gouvernement prévoit pour le désenclavement routier ! On croit rêver.

Et que dire de la fraude sociale, des millions de fausses cartes Vitale, des fausses déclarations de paternité, des milliers de mariages blancs, des faux certificats maladie, des faux chômeurs ?

La France est l’hôpital du tiers-monde pendant que les Français modestes diffèrent leurs soins faute de moyens.

Le tourisme médical détruit notre système de santé. Il n’y a aucun contrôle. La même carte Vitale peut servir à 10 personnes, mais on rembourse de moins en moins bien les vrais affiliés qui cotisent à la Sécu. La gabegie est monstrueuse.L’État ferme les yeux.

Que dire des dizaines de milliers de polygames, qui, comme celui de Bobigny avec ses 4 femmes et ses 46 enfants, perçoivent un pactole social sans travailler ?

Et pendant que nous distribuons nos largesses à toute la planète, dans nos campagnes, tous les deux jours, un paysan ruiné et désespéré se suicide dans l’indifférence générale.

Quand on travaille 15 heures par jour, sans repos ni vacances, pour gagner 350 euros par mois, et qu’on vous dit que sans l’Europe ce serait pire, il y a de quoi devenir fou.

Les 22 milliards qu’on donne à l’UE chaque année, ça paierait largement la PAC !

Et que dire de nos policiers et gendarmes, toujours méprisés, privés de moyens et auxquels l’État a retiré toute autorité par peur d’un incident dans les cités.

Les racailles sont systématiquement relâchées, mais à la moindre interpellation un peu musclée, nos forces de l’ordre sont présumées coupables de violences et doivent subir les foudres de l’IGS.

On en a marre de voir nos policiers caillassés, nos personnels soignants agressés, nos enseignants insultés, nos pompiers victimes de guet-apens.

Ce ne sont pas les Gilets jaunes qui sèment le désordre.
Le chaos, il est dans les cités devenues des zones de non-droit.

Macron est en train de semer les germes de la révolution, tant il reste enfermé dans sa tour d’ivoire, sans réaliser le moins du monde le niveau de détresse du peuple.

Le peuple est en train de crever de faim mais pour les migrants il y a toujours plus d’argent, plus de logements, plus de transports gratuits, plus d’aides de la mairie, plus de bénévoles pour les encadrer et les aider.

Tout le mal vient de cette odieuse préférence étrangère qui veut qu’on laisse crever nos paysans et nos petits salariés, en consacrant toute l’énergie du pays à l’accueil de centaines de milliers de migrants toujours plus nombreux.

Macron n’a pas compris que sa politique ne peut pas réussir car le tsunami migratoire va tout emporter sur son passage. L’échec est devant lui.

On ne peut pas éradiquer la pauvreté quand on accueille des centaines de milliers de pauvres chaque année et que la croissance est de plus en plus faible.

Pour supporter le poids de l’immigration, Macron ne peut qu’emprunter et augmenter les impôts. Avec les MNA, les départements sont aux abois. Un coût de 2,5 milliards pour 2018, mais ce sera pire en 2019.

Et comme le PIB ne grossit pas, le niveau de vie se maintient artificiellement par l’emprunt. La France surendettée vit à crédit et emprunte toujours plus pour payer ses dettes antérieures. 2 300 milliards de dettes alors que Macron, le Mozart de l’économie, est aux commandes de nos finances depuis six ans.

La gestion Macron, c’est la gestion à la Madoff, le virtuose de la pyramide de Ponzi, qui a escroqué des milliers d’Américains avant de ramasser 150 ans de prison dans les geôles US.

Car aux États-Unis, ce n’est pas la justice du « mur des cons ». On tape sur les malfrats et pas sur les victimes.

Au cours des multiples débats, je n’ai jamais, absolument jamais entendu le mot « immigration » dans la bouche d’un participant. C’est pourtant la cause essentielle de notre ruine et donc de la détresse des classes populaires. Les caisses sont vides, et si on veut améliorer le sort des plus démunis, il faut emprunter.

Seule Marine a dit la vérité en déclarant que, pour les migrants, il y a toujours plus d’argent. Elle est la seule à tenir un discours de bon sens.

Il ne faut donc pas s’étonner que les sondages confirment la chute de Macron aux européennes. On parle même de 24 % pour le RN dans un prochain sondage Ifop !

RN : 21 % ; +4
LREM : 19 % ; -1
LR : 13 % ; -2
FI : 11 % ; -3
PS : 7,5 % ; +1,5
EELV : 7 % ; -0,5
DLF : 7 %; +0,5
UDI : 3 % ; +0,5
Générations : 2,5 % ; -0,5
PC : 2 % ;

Mélenchon, grande gueule que plus personne ne croit, a perdu sa base gauloise et se raccroche à l’électorat immigré pour tenter de se refaire une santé.

Bref, avec un PS disparu des écrans radar, les Républicains divisés et inaudibles, et Macron discrédité, c’est Marine qui est en train de rafler la mise.

En 2 mois, les sondages se sont retournés.

LREM est passée de 20 % à 19 %. Le RN est passé de 18 % à 21 % !

Et l’écart devrait encore se creuser car, d’ici mai 2019, date des européennes, ce ne sont pas les Gilets jaunes qui vont améliorer la cote de popularité de Macron.

Il peut toujours brailler au retour des années 30, plus personne ne croit à cette farce d’un RN nazifié.

Au lieu de se ridiculiser avec son discours alarmiste sur les années 30, il ferait mieux de dénoncer l’échec de l’intégration, les ravages de l’antisémitisme musulman et le racisme anti-Blancs qui disloquent la nation.

On a rarement vu un président aussi incompétent, aussi sourd et aveugle aux souffrances du peuple et aussi détesté.

Il nous avait promis le paradis sur Terre, et comme il échoue, il nous ressort le couplet sur l’héritage !

On croirait entendre Mitterrand en 1983. Il avait coulé le pays en deux ans et il braillait que c’était la faute à Giscard !

Voilà six ans que Macron affiche son incompétence économique.

En politique comme ailleurs, on récolte toujours ce que l’on a semé.

Pour conclure, les Gilets jaunes doivent comprendre qu’au guichet social ils seront toujours les derniers servis, pour la simple raison que Macron n’a qu’une seule religion : le mondialisme et le multiculturalisme, et qu’une seule obsession : combattre les nationalismes.

Cela dit, les Gilets jaunes doivent être conscients du fait que leur salut passe nécessairement par un vote en faveur du seul parti qui stoppera la folie mondialiste, le RN. C’est par les urnes que les peuples américain, italien et anglais ont renversé la table.

Il faut savoir être au-dessus des rancœurs que beaucoup ruminent à l’égard de Marine. Elle nous a déçus. Mais à part elle, qui d’autre dépasse les 20 % dans les sondages ?

Elle seule a fait le bon diagnostic de cette révolte. Elle seule a le courage de dénoncer les ravages de l’immigration. Elle reste la seule à vouloir protéger le peuple français de la folie mondialiste qui va détruire le pays.

La vague populiste qui s’exprime aujourd’hui autour des ronds-points et sur les autoroutes doit devenir un tsunami dans les urnes en mai 2019.

Seul un désaveu cinglant dans les urnes fera reculer le gouvernement.

Et que les Gilets jaunes n’oublient pas ce principe élémentaire de toute démocratie :

Le bulletin de vote d’un lépreux populiste pèse autant que celui d’un élu arrogant. Et les lépreux ont le nombre pour eux. Leur avenir, il est dans leur bulletin de vote.





Le revenu disponible des Français a baissé de 440 euros en 8 ans

[…] D’après une étude réalisée par l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) et publiée mardi 20 novembre, le revenu disponible des ménages (revenu dont dispose effectivement un ménage afin de consommer ou d’épargner) aurait baissé en moyenne de 440 euros dans l’Hexagone entre 2008 et 2016. Une perte qui avoisine les 160 euros pour les 5 % de foyers les plus modestes et 2.500 euros pour les 5 % les plus aisés.
[…] Les auteurs se sont concentrés exclusivement sur l’impact des réformes sociales et fiscales mises en places sous les deux précédents quinquennats, les évolutions démographiques et celles du marché du travail. Des facteurs qui ne suffisent pas, manifestement, à tout expliquer. […]

A elles seules, les mesures socio-fiscales auraient en effet grignoté de 500 euros en moyenne le revenu disponible des ménages. Le découpage est simple : la hausse des cotisations et contributions sociales ainsi que celle des impôts sur le revenu et le patrimoine ont coûté (en moyenne toujours) 750 euros, alors que la revalorisation des prestations familiales, des minima sociaux et des aides aux travailleurs pauvres en rapportait 250.

Mais un autre phénomène a joué à plein : l’augmentation dans la population de la part des personnes seules et des familles monoparentales. Les ménages, plus éclatés, ont rapetissé, et leurs revenus avec. Un phénomène accentué par le vieillissement de la population. D’après l’OFCE, cet « effet démographie » a représenté une baisse de 400 euros du revenu moyen. Il semble que toutes les tranches de la population soient concernées, puisque les pertes de revenu touchent tous les vingtiles entre 1 % et 1,4 %. […]

Le Monde





Gilets jaunes : mais où étaient donc les musulmans, le 17 novembre ?

Publié le 19 novembre 2018 – par Christine Tasin (Riposte Laïque)

La « diversité », les « nouveaux Français », la « France de demain » chère à Mélenchon : aux abonnés absents, le 17 novembre !

Ces gens si prompts à agiter leur carte d’identité ne se sentiraient pas concernés quand les Français d’origine sont dans la rue ?

Eux si prompts à l’occuper, la rue, à pleurnicher, à quémander, à réclamer une égalité de droits (ou plutôt une supériorité de droits – mais pas de devoirs…). À moins qu’ils ne soient tellement occupés à lécher le cul de Macron pour obtenir un statut spécifique et privilégié pour l’islam qu’ils ne veulent absolument pas le fâcher ?

Tous les témoignages reçus, toutes les images, toutes les vidéos concordent. La France du 17 novembre est la France des « de souche », la France des lépreux, la France d’il y a 50 ans, blanche, mixte, goguenarde, aimant rire et persifler, aimant danser, hommes et femmes main dans la main, et se révolter. Des Français qui disent « nos ancêtres les Gaulois » et qui ne se posent pas la question de savoir si leurs ancêtres sont Gaulois, Francs, Normands, Romains, Italiens, Espagnols, Portugais, Vikings… Des Français qui se sentent chez eux – pour combien de temps encore ? – en France.

Mais où étaient-ils, ces immigrés, et notamment ces musulmans qui occupent tant nos dirigeants et qui intéressent tellement les politiques qu’ils obsèdent ?

Ils obsèdent l’ONU et la CEDH, qui cherchent par tous les moyens à modifier nos lois et nos coutumes pour nous imposer les barbus et les voilées. Ils obsèdent Collomb, mort de peur, qui a même préféré s’enfuir la queue basse plutôt que de les gérer. Ils obsèdent Macron, qui passe ses jours et ses nuits à chercher quoi leur offrir pour obtenir la paix, au moins tant qu’il est aux manettes. Ils obsèdent les tribunaux, qui ne savent plus où donner de la tête devant les délinquants musulmans, devant les plaintes contre les Résistants à l’islamisation. Ils obsèdent policiers et pompiers, vivant dans la crainte de devoir intervenir dans leurs quartiers, au risque de finir grillés dans leur voiture…. Liste illimitée, mais chacun comprend ce que je veux dire.

La Seine-Saint-Denis, les quartiers nord de Marseille, Lille… les 1 000 quartiers à problèmes (devenus de ce fait « prioritaires » !) ont fait les morts le week-end dernier, c’est indubitable. D’ailleurs, s’ils ne l’avaient pas fait, la contestation aurait tout de suite tourné en scènes d’horreur, en voitures et poubelles brûlées, en vitrines cassées, en rues dévastées… Il y a un monde entre notre manière de manifester, de façon bonhomme, et la violence endémique de toute manifestation islamique. C’est d’ailleurs, pour le moment, leur force, leur moyen de pression. Même la CEDH a refusé la liberté d’expression à une Autrichienne par peur des émeutes…

Pas une émeute. Pas d’Allahu akbar. Rien de tout cela, une preuve de plus que la diversité n’était pas là.

Les musulmans se fichent de nos demandes, de nos contestations, ils ne se joignent pas à nous. Pourquoi ?

Ne seraient-ils pas concernés par le prix de l’essence ?

Ne vont-ils pas travailler ?

Ne circulent-ils pas ?

Cochez la bonne réponse. On peut en cocher plusieurs.

– Ils ne travaillent pas.

– Ils ont des moyens de vivre dépassant largement ceux du Français moyen, du sans-dents.

– Ils sont tellement formatés par l’islam que seule la défense de cette saloperie d’islam les fait sortir de chez eux et se mobiliser.

Leur mission est en train d’aboutir, la France est presque totalement islamisée, presque totalement soumise à la charia, en douceur et par le chantage, à la fois par les efforts conjugués de la taqîya des Frères musulmans et à la fois par la violence des masses musulmanes en émeute et celle des terroristes. Macron prépare l’islam de France, il se prépare à signer le Pacte mondial des migrations… Bientôt, il prendra Marwann Muhammad comme Premier ministre… Les musulmans ne voudraient surtout pas, par une participation maladroite à la contestation en masse de Macron, permettre à ce dernier de reculer…

Quelles que soient les raisons que vous avez cochées, il n’y a qu’une conclusion à tirer de tout cela : les musulmans qui se mettent à l’écart d’un mouvement de masse comme celui des gilets jaunes montrent qu’ils ne se sentent pas français, qu’ils ne sont pas français, ce qui démontre, ô combien, ce que nous affirmons depuis des lustres : l’islam est incompatible avec la France, avec la République, avec les Français.

Christine Tasin

http://resistancerepublicaine.eu/2018/11/19/gilets-jaunes-mais-ou-etaient-donc-les-musulmans-le-17-novembre/





Paris: un sexagénaire traité de « mécréant » en pleines courses de Noël

Une enquête a été ouverte pour violences volontaires commises en raison de la religion.
Il avait fait ses courses de Noël. Il sortait du métro Alesia (XIVe arrondissement) et se dirigeait tranquillement vers l’avenue du Maine (XIVe arrondissement), les bras chargés de son paquet emballé dans du papier cadeau très « Noël ». Les faits ont eu lieu mercredi à 18h20.

Un inconnu l’a abordé, bousculé, giflé, faisant tomber ses lunettes à terre. Et lui aurait déclaré, avant de tourner les talons : « Voilà ce qu’on fait aux mécréants. »

Le sexagénaire, choqué, a remonté l’avenue du Maine en direction du commissariat du XIVe arrondissement pour porter plainte. Une enquête a été ouverte pour violences volontaires commises en raison de la religion.

Le Parisien





Au moment où Brigitte combat la fessée, Macron se prend une grande claque

Dîner pincé, le 17 novembre au soir, à l’Élysée. Le menu est pourtant excellent, mais les nouvelles contrarient le jeune Président, qui n’aime pas être contredit. On ne contredit pas un énarque sorti de l’« Inspection », comme on dit entre initiés.

Juste au moment où Brigitte se lance dans un émouvant, et ô combien utile, combat contre la fessée – ce mal du siècle -, son petit mari se prend une grande claque de la part de cette valetaille de gilets jaunes. De quoi vous flanquer une indigestion de pigeonneau en gelée au jus de truffes.

L’image du winner startuper mondial en prend un sacré coup : et qui l’a ainsi métamorphosé en loser ? Ces gens qui ne sont rien. Lui qui rassemblait, autour de lui, tout le gratin mondial la semaine dernière, se permettant de se payer la tête de Trump et d’insulter les mal-pensants Serbes, le voilà ravalé au rang de petit Président contesté par ceux qu’il ignore superbement depuis son investiture.

Car ce sont bien les oubliés qui se rappellent à lui subitement et en nombre malgré les avertissements désintéressés, bien sûr, de la presse bien-pensante : « Que risquent les gilets jaunes ? » Devant des policiers qui leur ressemblent, les Français, comme je n’en avais récemment vu qu’aux obsèques de Johnny, sont sortis de chez eux. Vous savez, pas ceux qu’on voit en toute occasion dans les télés pour célébrer la « diversité », mais des Céfrans qui n’ont pas la possibilité de passer à la télé, déjà parce qu’ils bossent et qu’ils sont, de plus, ignorés par la plupart des journalistes. J’ai même vu un gilet jaune prévenir : « Gaulois en colère ».

La banlieue subventionnée assiste en silence à leur sortie en force. Grigny et Viry-Châtillon en restent stupéfaites. Curieusement, aussi, je n’ai pas vu de drapeau algérien brandi par ces manifestants-là, juste de nombreux drapeaux bleu-blanc-rouge.

Surpris, aussi, les policiers qui s’entendent interpeller par des « La police avec nous » que seuls les plus anciens d’entre eux avaient déjà entendus. Résonnent aussi de nouveaux « Pose ton casque », « Fais comme les Italiens ». Diable, à l’Élysée on n’en arrive à ne pas savourer le délicieux moelleux au pur cacao bio et équitable d’Équateur. Soirée gâchée.

Source Boulevard Voltaire