Nos politiciens ont-ils détruit la France ?

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MARION MARÉCHAL détruit MACRON sur L’EUROPE UNIE

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Comme d’habitude, on décrypte l’actualité du jour. Aujourd’hui on s’attaque à l’intervention de Marion Maréchal. Si vous êtes nouveau : ici on vous explique les concepts, on vous apporte des connaissances personnelles, et on vous donne un avis subjectif sur les différents extraits présentés. Bon visionnage !

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Course à la Lune : une nouvelle guerre froide ?

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Émergence de nouvelles puissances spatiales, programmes ambitieux, nombreux lancements, et surtout regain d’intérêt pour la Lune : le 28 juillet dernier, l’Opinion évoquait les symptômes présageant d’une « nouvelle guerre de l’espace ».

Il ne faut pas se méprendre, nous ne sommes plus aux débuts de l’ère spatiale, où les projets ont principalement une dimension militaire. Les fusées, héritières des missiles balistiques, participent alors de la course à l’armement. Le contexte de la guerre froide place ainsi la haute atmosphère dans le champ de la conquête, où s’affrontent exclusivement les États-Unis et l’URSS. Dans une course de prestige et de démonstration de force, atteindre l’astre de la nuit est un couronnement. Seulement, après l’écrasant succès du programme Apollo, l’objectif Lune va très vite perdre de son intérêt. Les rivaux vont se rendre à la raison et reconnaître la vanité de leur compétition, ruineuse pour l’un comme pour l’autre. Le 17 juillet 1975, à 200 km au-dessus du plancher des vaches, la poignée de main entre Thomas Stafford et Alexei Leonov siffle la fin du match et scelle la première pierre de l’ère de la coopération. Ces premiers temps, fascinants mais un peu fous, semblent donc heureusement révolus, et pourtant…

Reprise de la course

Il est clair que le désir de lancer des vols habités vers notre satellite naturel est revenu au goût du jour. Cela augure-t-il nécessairement d’une reprise de la compétition dans l’espace ? Le grand retour de l’ambition américaine pourrait en être un indice. Depuis les années 1970, la NASA a perdu son avance , et certains sont en voie de lui disputer son trophée. D’où la volonté affichée par le président Trump en 2017 de « reconquérir la fierté américaine dans l’espace » de retourner sur la Lune d’ici 2024, réalisant ainsi le slogan «Make America Great Again».  Si le programme Artémis, lancé en 2020 et prévu initialement pour 2024, a déjà connu plusieurs reports, l’impulsion n’en pas moins été donnée.

Cela ne serait rien s’il cette volonté n’était pas piquée par la jalousie. La Chine apparait de fait comme un redoutable challenger. Elle a dévoilé le 12 juillet dernier son propre plan de mission habitée vers la Lune. Plan qu’il s’agit de prendre au sérieux au vu de ses récents succès. En effet, elle a posé avec une totale maîtrise une sonde sur la face cachée de notre satellite le 3 janvier 2019. Personne d’autre ne l’a jamais fait. La rapidité de ses progrès et sa rhétorique, qui lui fait souligner qu’elle ne se contentera pas de laisser sur le sol lunaire des drapeaux et des empreintes de pas montrent avec quelle ardeur elle répond au défi.

Comme le dit l’Opinion, la rivalité sino-américaine, sur fond de bras de fer économique, « a pris une dimension spatiale ». Cela est d’autant plus vrai que leurs différends ont conduit à rompre avec l’esprit habituel de coopération. Depuis l’amendement Wolf de 2011, les astronautes chinois n’ont pas accès à la station spatiale internationale. La Chine a d’ailleurs sa propre station spatiale, la CSS (China Space Station).

Autres acteurs, nouveaux enjeux

La brigue dont fait de nouveau l’objet la Lune, 50 ans après la passe d’arme soviéto-américaine, replace donc formellement l’espace dans le champ de l’affrontement. Le temps du monde des étoiles consacré, selon le traité de 1967, comme « l’apanage de l’humanité tout entière » semble dépassé. Seulement plusieurs faits creusent définitivement un fossé entre la guerre froide et notre décennie : la démocratisation des technologies spatiales (l’Inde, la Russie, l’Europe, le Japon sont aussi dans la course, sans compter les entreprises privées comme Space X et Blue Origins),  la dimension économique des projets (la découverte de ressources importantes motive au premier chef les programmes lunaires), et la spécificité du différend sino-américain. En effet, celui-ci n’empêchent pas les autres puissances de collaborer, avec l’un ou l’autre. C’est le cas de l’Europe.

L’humain touchera sans doute de nouveau la Lune, d’ici 2030. Quelle tournure prendra cette course ? S’il s’avère que le succès des uns fait le malheur, voire la colère, des autres alors peut-être pourrons-nous parler plus sérieusement d’une nouvelle guerre des étoiles.

Jean de Lacoste , Boulevard Voltaire

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L’immigration comme « politique de peuplement »: Macron dit enfin les choses !

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En marge de son déplacement en Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a accordé un entretien au Figaro. Il a évidemment été question des sujets qui n’en sont pas : le sentiment d’insécurité, couplé au sentiment d’invasions barbares. Emmanuel Macron, pas abîmé par le jetlag pour deux sous, est resté droit dans ses bottes. Même si chacun de ses pieds part «en même temps » d’un côté différent de l’autre, comme d’habitude. Le président de la République veut plus de fermeté et a constaté (on aimerait bien savoir comment) que la réponse judiciaire aux émeutes urbaines avait été «implacable »… mais il balaie d’un revers de main l’idée de supprimer les allocations familiales pour les familles de racailles. De même, sans désavouer Gérald Darmanin – le sociologue myope qui voit des Anglais, des Kevin et des Matteo partout -, Emmanuel Macron reconnaît qu’il y a un problème d’immigration. Jamais en retard d’une impuissance, le président constate qu’il n’y a « pas de statistiques ethniques » en France – comme s’il n’était pas en mesure de les exiger – puis reconnaît la présence d’émeutiers issus de l’immigration, avant de conclure que 90% d’entre eux sont français.

De la soupe. Un gloubi-boulga centriste qui résume bien l’incompréhension (volontaire ou due à l’idéologie) du phénomène d’invasion migratoire par les élites françaises autoproclamées. On y ajoute quelques approximations géographiques « croquignolesques » comme dirait Macron lui-même. Ainsi, le président déclare notamment que la France ne peut pas sous-traiter ses migrants au Rwanda, comme le font le Danemark et le Royaume-Uni, parce qu’elle n’est « pas une île ». On croit savoir que le Danemark non plus – mais bon, avec la montée des eaux, on n’est plus sûr de rien.

La France terre d’immigration, vraiment ?

Deux phrases font froid dans le dos et montrent que Macron ne craint ni le mensonge ni la dictature (pour ceux qui en doutaient). Le mensonge, d’abord: « nous avons toujours été un pays d’immigration ». Les premières migrations (si on exclut l’installation des Vikings en Normandie) datent de la fin du XIXè siècle et la plupart des travailleurs dont la France avait alors besoin sont ensuite retournés chez eux (2/3 des Italiens par exemple). Ce sont les années 1950 et 1960 qui ont changé la donne en faisant venir sur notre sol, pour la première fois (si l’on excepte deux ou trois occurrences comme la bataille de Poitiers ou l’hivernage des Turcs à Toulon), des musulmans et surtout des extra-européens. On peut lire Jérôme Fourquet à ce sujet, notamment sur la courbe des prénoms musulmans. Et surtout on peut sortir de chez soi et marcher quelques mètres pour constater la présence croissante d’extra-Européens.

La dictature, ensuite : Macron veut une « politique de peuplement » pour que les gens ne vivent pas « dos à dos ». « Beaucoup de gens disent “Non, nous, on ne veut pas voir de nouveaux arrivants chez nous”. Moi, je pense qu’on intègre d’autant mieux qu’on le fait de manière diffuse. Si vous mettez toutes les familles ukrainiennes qui arrivent dans les mêmes endroits, vous ne les intégrez pas ». En appeler aux Ukrainiens dans ce domaine, c’est un peu comme accuser les Anglais d’avoir commis des délits au Stade de France : c’est de la mauvaise foi. Quant à une politique de « peuplement », on est là dans le pire de ce que les dictatures communistes (mais pas seulement) peuvent offrir : mélanger les peuples pour qu’ils n’aient plus d’identité, se soumettre aux diktats économiques qui réclament de la main-d’œuvre et abandonner les autochtones à leur sort en donnant systématiquement raison aux arrivants.

« Une politique de peuplement de manière diffuse », c’est la manière optimiste de dire que l’on va, comme Macron l’a annoncé après les émeutes, « répartir les difficultés ». En bref : vous ne serez plus en sécurité nulle part. Vos filles et vos fils non plus : les unes sifflées comme des prostituées, les autres saignés pour un regard ou une clope. Vos voitures non plus : les belles bagnoles victimes de car-jacking, les autres cramées deux fois par an (31 décembre et 14 juillet, fêtes d’obligation de la diversité). Vos maisons non plus : cambriolages avec violence ou squat pendant votre absence. C’est la France que les électeurs ont voulue : une France dans laquelle Axelle ou Lola sont tuées par des enfants d’immigrés (que nous ne sommes pas tous, malgré les slogans) dans une totale indifférence, mais où la mort du « petit ange »Nahel fait brûler le pays. Une France qui dégringole au classement PISA mais règne sur le football. Voilà le résultat de ce peuplement dont les conséquences ne sont pas dues à des facteurs socio-économiques – il faudra bien qu’on en parle un jour.

Arnaud Florac, Boulevard Voltaire

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Toujours plus d’immigration : destituer Macron devient vital pour la France

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++ WEBTUBE : on ne peut être que d’accord avec Jacques Guillemin, cet homme est dangereux pour la France. Plus le temps passe et plus il inflige des coups qui petit à petit seront fatal à note pays. Il faut trouver toutes les possibilités institutionnelles possibles pour le destituer et redonner un vrai homme d’Etat à la France. Emmanuel Macron est le président de la République (peut-on parler d’un président) qui aura le plus délabré notre pays, tant au niveau économique en bradant nos plus beaux fleurons qu’au niveau des valeurs et du respect de la France.

De retour de Nouméa, Emmanuel Macron a ôté toute illusion chez ceux qui espéraient enfin une prise de conscience de la fracture identitaire qui disloque la nation. Il n’y aura aucun durcissement de la politique d’immigration et si la droite refuse le texte en préparation, le gouvernement usera du 49-3. Tout ce que propose LR avec trente ans de retard, est passé à la trappe.

https://www.bfmtv.com/politique/elysee/immigration-emmanuel-macron-n-exclut-pas-d-avoir-recours-au-49-3-pour-faire-passer-le-projet-de-loi_AN-202308020399.html

“Nous avons toujours été un pays d’immigration et nous continuerons de l’être”, dit Macron.

Il est clair qu’il n’a nullement l’intention de régler le problème existentiel du pays et qu’il entend poursuivre une immigration dévastatrice qui va tout emporter. Macron est bien là pour tout détruire, car prétendre que les émeutes n’ont rien à voir avec l’immigration relève soit de la psychiatrie, soit du cynisme le plus affirmé. Penchons pour la deuxième hypothèse, Macron sait très bien ce qu’il fait et poursuit minutieusement le travail de démolition souhaité par ses maîtres mondialistes.

Et il aurait tort de se gêner, puisque l’opposition est aux abonnés absents. Macron détruit le pays et la droite LR coopère pour mieux barrer la route au RN. Rien de bien nouveau depuis l’ère Mitterrand. Les Républicains préfèrent couler la France plutôt que de s’allier aux patriotes du RN et de Reconquête.

La loi sur l’immigration qui sera le 29e texte sur ce sujet depuis 1980, ne changera strictement rien au désastre actuel. Nous continuerons d’accueillir 500 000 immigrés par an, légaux et clandestins qui ne repartiront jamais. Et il n’y aura pas de blocage. Le 49-3 est là pour y remédier.

Pour notre guide suprême qui adore gouverner contre le peuple (70% des Français ne veulent plus d’immigration), les émeutes n’ont rien à voir avec l’immigration. Un discours de gauche, culpabilisant la société. Rien de bien nouveau depuis 1981.

“Ces émeutes ne sont pas un sujet d’immigration actuelle. C’est un sujet plus large de difficultés de certaines villes, de difficultés socio-économiques, de difficultés d’intégration dans certains cas et de fonctionnement de la démocratie à l’heure des ­réseaux sociaux”

Macron reconnaît un problème d’intégration, mais se garde bien de dire qu’une partie de nos immigrés refuse de s’intégrer, avec 75% des jeunes musulmans qui placent leur religion avant la République.

“Nous avons très clairement un problème d’intégration”

Et pour ceux qui souhaitent sanctionner les parents des émeutiers, c’est encore la douche froide : pas question de toucher aux allocations familiales, le remède étant pour Macron pire que le mal. Bref, on ne change rien. Il eut été très étonnant que Macron adhère à cette idée de frapper les familles au portefeuille. Sa mission est bien de couler le pays en détruisant son industrie, son nucléaire, son agriculture, son école, son système de santé, son armée, sa police, son histoire, sa culture, ses finances avec un emprunt perpétuel et surtout sa cohésion nationale par une immigration de masse qui ne s’intègre plus. 

Ce qu’il veut, ce sont des moyens pour nous ruiner un peu plus. Cassez tout et l’argent coulera à flots !

“On doit accompagner ces familles: donner beaucoup plus de moyens, mieux les préparer et en même temps les responsabiliser. Des “politiques de sanction” seront néanmoins appliquées aux parents “vraiment dans l’irresponsabilité”.

“Il faut sanctionner financièrement et facilement les familles”, dès “la première infraction.” Mais cette sanction financière doit être mise en place “au cas par cas, et pas forcément par les allocations familiales”

Vous l’avez compris, le bateau France continue de couler et Macron fait davantage de trous dans la coque. Encore 4 ans à ce rythme et la France sera au rang du Zimbabwe, avec une classe moyenne laminée et des conflits intercommunautaires incessants.

Non seulement l’insécurité atteint des proportions jamais vues, avec des agressions quotidiennes dans toute la France, mais l’inflation ruine la population, dont les plus faibles revenus ne peuvent plus se nourrir et élever leurs enfants décemment.

Macron devient dangereux pour la nation. Si l’opposition ne s’accorde pas pour le destituer, ce sera la révolte des gilets jaunes, en pire. Actuellement, ce sont les Républicains qui sauvent la mise du fossoyeur de la France. Pas très glorieux.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

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Émeutes : la prochaine fois, «je regarderai faire», à Marseille la lassitude des policiers

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++ WEBTUBE : On n’est pas pour le tout répression, ni pour les violences policières mais étant donné le niveau de violence atteint par les émeutes du mois de juin je trouve que finalement la Police française s’en est sorti plutôt bien, elle a globalement su garder son sang froid. Comme d’habitude les politiques n’osent pas défendre la Police de peur qu’on les catalogue de droite. Nos hommes politiques pensent plus à eux et leur carrière qu’à la France et à son avenir.

À Marseille, le policier placé en détention provisoire pourra-t-il sortir de prison ? La décision de la cour d’appel d’Aix-en-Provence devrait être donnée ce jeudi. Depuis sa mise en examen, plus de 800 policiers se sont mis en arrêt de travail, en signe de soutien. Pierre* est l’un d’entre eux. Les traits tirés, le brigadier-chef tente de se reposer, de s’aérer l’esprit, mais en vain. En arrêt de travail depuis plusieurs jours, il a du mal à digérer l’incarcération provisoire de son collègue.

“Les prochaines émeutes, je peux vous garantir que soit je n’irai pas, soit j’irai mais je regarderai faire. Le lundi on nous parlait de félicitations, de primes car nous avions bossé sans compter nos heures. Et le mardi on a eu une convocation de l’IGPN. Ça devient de plus en plus compliqué”, confie le policier.

www.europe1.fr

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IL VA FAIRE LE TOUR DU MONDE AVEC CETTE CITROËN DS DE 1969 !

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++ WEBTUBE : Les anciennes voitures et des fous comme Gérard Klein… On adore

Gérard Klein rêve encore à 80 ans, c’est ainsi que l’acteur animateur se présente avec sa DS Jaune qu’il emmène sur les routes de France du 7 au 31 Août 2023, à la rencontre des français tous les jours et en direct de 10h à 12 h sur Sud Radio, avant de partir en Amérique en 2024.Vous voulez contacter Gérard et connaître les dates et les villes qu’il visite : rendez vous sur www.gerardrevencore.fr

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Derrière les barreaux de Fresnes, une grande majorité d’étrangers

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Après des semaines d’émeutes, le débat est récurrent : y-a-t-il un lien entre immigration et délinquance ? À Fresnes, premier élément de réponse. Dans cette vieille prison françaises, plus de la moitié des incarcérés sont étrangers…

Il est 8 heures, ce mardi 29 novembre. Devant la large et haute porte bleu roi de la prison de Fresnes, à vingt kilomètres au sud de Paris, un petit groupe emmitouflé attend dans le froid. Il y a là, autour de la députée RN de Gironde Edwige Diaz, membre du bureau exécutif et vice-présidente du RN, quatre députés RN de la commission des lois, Stéphane Rambaud, Gisèle Lelouis, Marie-France Lohro et Timotée Houssin et une députée de la commission des affaires sociales, Bénédicte Auzanot, accompagnés de leurs attachés parlementaires et de cinq journalistes. Tous ont franchi un premier rideau, un mur surmonté de barbelés dont la porte est gardée et munie d’un passage levant. Ils ont longé les hautes murailles de la prison, sont passés sous les guérites. Sas, examen des bagages et habits, portes qui se déverrouillent et… nouvelle enceinte.

Edwige Diaz a été désignée par le groupe RN de l’Assemblée pour travailler sur la future loi sur l’immigration, dite loi Dussopt-Darmanin, du nom des deux ministres du Travail et de l’Intérieur. Un projet de loi ultra-sensible « pour l’asile et l’immigration dans la République ». Si sensible que l’exécutif donne la nette impression d’y aller… à reculons. Le texte qui devait déboucher en fin d’année devrait passer en Conseil des ministres en janvier puis au Sénat avant de revenir, en mars ou avril, à l’Assemblée. Avec près de six mois de retard. Le temps, pour la petite délégation, de creuser le sujet, d’arpenter le terrain et de visiter les prisons de France.

À Fresnes, rien ne semble avoir bougé depuis la construction de l’ensemble en 1898. Ni le vaste porche d’entrée, ni les trois immenses bâtiments qui barrent de part en part le quadrilatère ceint de murs, les « divisions », ni les murs d’enceinte surmontés de miradors. La délégation sillonne ce lieu d’Histoire. Les trois « divisions » sont desservies par des couloirs voûtés : 5 à 6 mètres de plafond à vue de nez, parquet au sol, fresques au mur représentant d’anciens prisonniers célèbres.

Chaque « division » est identique : vaste couloir central coiffé d’un filet (pour parer aux chutes volontaires des détenus qui enjamberaient les parapets), trois étages à droite et à gauche percés de petites portes de bois, basses, étroites. Sur chaque porte, un verrou manuel, une impressionnante serrure et un œilleton. Le tout, d’époque. Il règne une douce chaleur. En dépit des volumes, les prisonniers n’ont pas froid. Une odeur indéfinissable, de promiscuité, d’humidité et de nourriture tiède flotte dans l’air confiné. De temps à autre, un éclat de voix déchire le silence et résonne sous les voûtes. On ne distingue pas les propos, mal prononcés ou plus probablement hurlés en langue étrangère. Ils sont un ou deux par cellule de 10 à 12 m2. Le confort est sommaire : lit étroit, lavabo minuscule, cuvette de WC, table format poche, petite étagère.

Lorsqu’il fait froid comme aujourd’hui, les détenus laissent passer l’heure de la promenade et préfèrent rester au chaud dans leur cellule. Ils n’y vivent pas à plus de deux, actuellement, mais passeront à trois par cellule, bientôt, si les effectifs montent encore.

Chaque pensionnaire a droit à une heure et demie de sortie chaque jour, par groupes d’une trentaine de détenus, dans une minuscule courette entourée de murs de 6 mètres surmontés de barbelés. Des cours, on aperçoit les minces rubans de tissu anarchiques qui relient les unes aux autres les fenêtres des cellules : les prisonniers incarcérés se passent ainsi des produits ou de la drogue, achetés ou apportés lors des visites. Régulièrement, les employés nettoient ces fils que les prisonniers rétablissent aussitôt.

Le directeur, affable, attentif, répond à toutes les questions. Lorsqu’il sèche, ses services, papiers et chiffres en mains, complètent.

Fresnes respire encore l’Histoire de France. La prison verrouilla les écrivains Jean Genêt, Marc Sangnier (arrêté par la Gestapo), Robert Brasillach avant son exécution, Sacha Guitry, les politique Pierre Laval, Joseph Darnand, l’industriel de l’automobile Louis Renault. Brasillach, l’auteur des poèmes de Fresnes, reconnaîtrait sans difficulté le décor : rien ne semble avoir changé. Plus récemment, le collaborateur Paul Touvier, le patron d’Elf Loïk Le Floch-Prigent ou le tueur en série Michel Fourniret ont habité les cellules.

Mais Edwige Diaz n’est pas venue voir le décor de cette vieille prison française restée dans son jus. « Le but, c’est de savoir précisément quel est le nombre d’étrangers détenus ici », explique la députée. Le petit groupe a la réponse dès le début de la visite, dans les locaux de l’administration. « Fresnes abrite 1.915 détenus, dont… 887 étrangers », détaille un fonctionnaire pénitentiaire. Chiffres à fin novembre 2022, donc. Les étrangers détenus à Fresnes sont eux-mêmes issus de… 82 nationalités ! Et le nombre de doubles nationalités est inconnu. La tour de Babel échafaudée par le mondialisme se révèle là dans toute sa nudité. L’envers du discours sur l’intégration et le vivre ensemble parle de lui-même. Certaines nationalités sont mieux représentées que d’autres. En tête, les Algériens devancent en nombre les Marocains, les Tunisiens et les Roumains.

La proportion d’étrangers laisse les visiteurs sans voix. « Les chiffres déconcertent, je ne m’attendais pas à cela », confie Edwige Diaz qui précise que les prisons françaises détiennent environ un quart de ressortissants étrangers en moyenne. La France abrite 72.809 détenus au 1er novembre 2022, selon le ministère de la Justice« Ces chiffres valident notre conviction sur le lien entre immigration et délinquance, entre surpopulation carcérale et immigration », détaille la députée.

Un désastre pour les Français qui subissent les méfaits d’une population criminogène venue souvent illégalement. Des Français qui payent ensuite très directement sur leurs deniers le prix de la mise hors d’état de nuire des malfrats en prison, voire le coût de leur récidive et de leur réinsertion. « Ces personnes sont accueillies aux frais du contribuable : chaque détenu coûte environ 110 euros par jour », précise Edwige Diaz. Le prix d’un hôtel de bonne tenue. Chaque mois, un détenu coûte ainsi à la collectivité quelque 3.300 euros, deux fois le SMIC mensuel brut.

Comme si le maintien de l’ordre chez ses propres ressortissants ne suffisait pas, la France juge, défend, condamne et incarcère ainsi à ses frais une population de malfrats accourus du monde entier, souvent illégalement. Pour Edwige Diaz, trop, c’est trop. « Ce n’est pas aux Français trahis dans leur élan de générosité de régler les frais engendrés par la criminalité et la délinquance, tranche la députée. Nous sommes favorables à l’expulsion des délinquants étrangers. Ils effectueront (ou non d’ailleurs, peu importe !) leur peine dans leur pays d’origine : en tout cas, ils partent. Et ne reviennent pas. » De quoi mettre un terme, sans frais excessifs, à la surpopulation des prisons, thème cher à la gauche. C’est la NUPES qui devrait être contente !

Marc Baudriller, Article publié initialement le 03/12/2022 dans Boulevard Voltaire

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Le gouvernement lorgne sur l’argent des retraites du privé

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++ WEBTUBE : C’est vrai que cela fait tâche dans le paysage Français. Un système de retraite (l’Agirc-Arco) qui fonctionne et qui rend les gens heureux. S’en est trop, il faut absolument de Macron, Lemaire et sa clique mettent leur grain de sel dans cette mécanique bien huilée et efficace pour : 1) nous faire les poches et 2) rendre ce système rapidement déficitaire et obliger ces nantis de retraités à se relever les manches pour se trouver des petits boulots pour leur fin de mois…. Ben voyons

Bruno Lemaire a le sens de l’humour dilaté comme jamais. Il en faut une bonne dose, en effet, quand on est depuis six ans ministre de l’Économie sous la présidence d’Emmanuel Macron, pour oser donner des leçons sur la dette publique. Dans un entretien ahurissant donné à France-Info le 25 juillet, le petit maître de Bercy a professé « qu’une dette trop lourde c’est insupportable et que c’est un danger pour la nation française ». Qui croirait que, depuis qu’il est à Bercy, la dette publique a cru de 800 milliards d’euros en six ans, soit une augmentation de 27 % ! Elle dépasse aujourd’hui 3 000 milliards d’euros. La main sur le cœur et le portefeuille, le ministre s’en émeut et veut, pour sortir du rouge, « récupérer », en 2024, la moitié de la trésorerie détenue par les opérateurs d’État (CNRS, Pôle emploi, etc.) : soit un peu moins de 1,3 milliard d’euros au total. En regard, les seuls intérêts de la dette s’élèvent à 41 milliards en 2023 et augmenteraient jusqu’à 71,2 milliards en 2027 !

À en croire Le Maire, cette charge constituerait aujourd’hui le premier poste de dépenses de l’État. Il en omet un autre : les dépenses de retraites, qui « pèsent » quelque 338 milliards d’euros. Et c’est justement du côté des retraites que le gouvernement pourrait bien être tenté de chercher de quoi combler ses déficits (à commencer par ceux des régimes de la fonction publique).

L’Agirc-Arrco, régime de retraite complémentaire des salariés du privé, dispose de près de 68 milliards d’euros de réserve de financement, ce qui n’est pas considérable au regard des pensions de retraite versées chaque année (86,5 milliards d’euros en 2022), mais représente pour l’État une manne alléchante. Les organisations partitaires gestionnaires du régime ne l’ignorent pas et s’en inquiètent. Selon La Dépêche, des « responsables d’employeurs » soupçonnent le gouvernement de vouloir « utiliser cet argent afin de financer de nouvelles dépenses liées à la réforme des retraites ». Le quotidien toulousain citait, au mois de juillet, l’ancien président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, ou le vice-président de la Confédération des petites et moyennes entreprises, Éric Chevée, qui demandait au gouvernement de « clarifier ses intentions ».

Or, les réserves de l’Agirc-Arrco résultent des prélèvements opérés sur les cotisants. L’appropriation par l’État de cet argent et son utilisation à d’autres fins que le paiement des pensions des retraités affiliés à ce régime constituerait donc une spoliation flagrante.

Le feuilleton du transfert des cotisations à l’Urssaf

Les réserves ne sont pas la seule cible du pouvoir. En 2019, le gouvernement inscrivait, dans la loi de financement de la Sécurité sociale (LFSS) pour 2020, le transfert du recouvrement des cotisations de l’Agirc-Arrco à l’URSSAF – autrement dit, à l’administration. Cette mesure, qui devait entrer en vigueur le 1er janvier 2022, devait permettre à l’État de mettre la main à discrétion sur les ressources du régime, soit environ 90 milliards d’euros annuels de cotisations. Au passage, il était prévu que l’Urssaf facturerait à l’Agirc-Arrco cette captation de ses ressources, en prélevant des frais de gestion dont l’enveloppe augmenterait de 5 % dès 2024 : la cerise en pourboire sur le gâteau volé !

Toutefois, en raison de vives résistances à son projet, exprimées notamment par la présidente de l’Agirc-Arrco, Brigitte Pisa, par un rapport très critique du Sénat et par des campagnes de pétitions comme celle organisée par l’association Sauvegarde Retraites, l’application de la mesure fut reportée par deux fois, au 1er janvier 2023, puis 2024. Finalement, Élisabeth Borne l’annula, par le biais d’un article de la réforme des retraites, elle-même incluse dans la loi de financement de la Sécurité sociale rectificative. Fin du feuilleton ? Non ! Car au mois d’avril, le Conseil constitutionnel a annulé l’annulation, en considérant qu’elle n’avait pas sa place dans la loi de financement rectificative.

Aujourd’hui, le transfert des cotisations de l’Agirc Arrco à l’Urssaf reste donc programmé dans la loi. Certes, Elisabeth Borne s’est engagée à réinscrire son annulation dans le prochain projet de loi de financement de la Sécurité sociale, examinée à l’automne prochain ; mais le contexte a changé depuis l’annonce de son abandon par le Premier ministre, en janvier 2023 : en pleine contestation de la réforme des retraites, le gouvernement avait alors intérêt à désamorcer ce conflit supplémentaire avec les organisations gestionnaires de l’Agirc-Arrco. C’est moins le cas aujourd’hui, même si les négociations avec les syndicats se poursuivent. Élisabeth Borne tiendra-t-elle sa promesse (en politique, elles n’engagent souvent que ceux qui les reçoivent…) ou cédera-t-elle à la tentation de prendre le contrôle du pactole des cotisations du privé, convoité par Bercy ?

Éric Letty, Boulevard Voltaire

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Les journalistes du JDD n’osent pas dire combien Bolloré les a achetés…

Articles     : Aout 2023Juillet 2023Juin 2023Mai 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

++ WEBTUBE : Convictions de pacotille , tout s’achète surtout des journalistes aussi peu crédibles que ceux du JDD. Avec une bonne prime de départ tout est rentré dans l’ordre. Circulez il n’y a plus rien à voir. Bienvenue à Geoffroy Lejeune qui va rapidement rehausser le niveau du JDD qui était devenu une feuille de chou.

Franchement, chapeau les gars.

Ces journalistes du JDD viennent de donner à tout le pays une sacrée leçon. Ils ont résisté pendant six semaines contre le fascisme et son arrivée dans cet hebdomadaire. C’était Fort Alamo. Malheureusement, ils n’ont pas eu les renforts attendus et ont donc dû capituler. Comme ils disent dans leur dernier communiqué : « Ils n’ont pas gagné. » Étrange manière d’annoncer qu’on a perdu.

Notez que ces journalistes combattants n’étaient quand même pas des légionnaires. Ils n’avaient ni leur abnégation ni leur courage. La bataille du JDD ce n’était quand même pas Camerone.

On rappellera au lecteur qui ne le saurait pas que le 30 avril 1863, à Camerone au Mexique, 60 légionnaires firent le serment de se battre jusqu’à la mort contre une armée entière de Mexicains. Ils furent finalement vaincus et moururent tous après un combat héroïque qui coûta de terribles pertes aux Mexicains.

Héroïsme qui est invariablement commémoré chaque année par la Légion étrangère.

Au JDD, le combat fut héroïque, mais jamais ces vaillants journalistes combattants ne mirent leur vie en jeu.

Restons sérieux. Le combat ne s’est pas mené les armes à la main, mais à coup de communiqués et d’articles délirants dans les colonnes des journaux bien-pensants. Une prise de risques maximale.

Ces pauvres journaleux, qui ont joué aux résistants se levant contre les hordes fascistes qui envahissent le pays et souhaitent mettre en coupe réglée les médias du pays, n’ont au final été que les pitoyables acteurs rejouant jusqu’à plus soif la mauvaise pièce du « péril fasciste ».

On n’oubliera pas à ce sujet ce que Lionel Jospin, ex-leader du PS avant d’être Premier ministre, en disait sur France Culture le 27 octobre 2007 et qu’il répétera à plusieurs reprises au cours des années suivantes :

« Pendant toutes les années du mitterrandisme nous n’avons jamais été face à une menace fasciste et donc, tout antifascisme n’était que du théâtre. Nous avons été face à un parti, le Front National, qui était un parti d’extrême droite, un parti populiste aussi à sa façon, mais nous n’avons jamais été dans une situation de menace fasciste et même pas face à un parti fasciste. »

Il le redira également dans son livre Lionel raconte Jospin,  dans lequel il écrit :

« Je trouve ridicule la manière dont l’ensemble de la gauche, extrême gauche comprise, s’est ralliée bruyamment à Jacques Chirac sous le prétexte d’une croisade anti fasciste. Tout odieux que soit le Front National, il n’y avait pas en France de menace fasciste et la victoire du candidat de droite était absolument certaine sans onction socialiste. »

Normalement, tout individu intellectuellement honnête et objectif se rend compte à ce moment que depuis l’arrivée de Mitterrand au pouvoir en 1981, il s’est fait rouler dans la farine avec cette invention grotesque du péril fasciste qui menacerait le pays.

Et pourtant, cela continue de plus belle de nos jours. Cela fait donc 42 ans que cette théorie débile fait ses ravages et qu’un nombre considérable d’idiots font semblant d’y accorder du crédit.

C’est d’ailleurs le cas à Libération, qui fait sa «une» sur l’arrivée de Geoffroy Lejeune au JDD le 1er août, d’une manière absolument répugnante mais bien dans le style de ce journal immonde.

Geoffroy Lejeune serait donc le « saigneur » du JDD. Celui qui va égorger les courageux journalistes résistants. Alors voyons voir comment à l’occasion de son arrivée Geoffroy Lejeune a arrosé les murs du sang des journalistes résistants.

En réalité, en lieu et place de la boucherie annoncée par l’ineffable Libération, il y a eu une longue négociation avec les représentants des journalistes, en grève depuis 6 semaines.

Donc, quelles épouvantables conditions ont été faites aux courageux journalistes résistants dans l’accord trouvé avec les horribles Lagardère et surtout Bolloré (qui est en train de racheter Lagardère) ?

Tout d’abord, il est important de savoir que le salaire moyen d’un journaliste (pas les stars bien sûr) se situe à environ 2.500€ par mois. Donc, après une dizaine d’années d’ancienneté, on peut considérer que le salaire tourne autour de 3.000€ par mois.

L’accord qui vient d’être signé entre les représentants des journalistes et les patrons du JDD (Bolloré) a prévu les conditions suivantes :

  • 2 mois de salaire par année d’ancienneté, plafonné à 15 ans maximum.
  • 1 mois de salaire par année au-delà des 15 ans d’ancienneté.
  • 3 mois de salaire minimum pour ceux qui viennent d’arriver.

Rappelons que personne n’est obligé de partir. S’il le souhaite le journaliste peut rester ou sinon invoquer sa « clause de conscience ».

Tout cela c’est bien beau, mais en monnaie sonnante et trébuchante, qu’est-ce que cela représente ?

Si l’on prend comme salaire, le salaire moyen de la profession (2.500€) , cela donne :

  • 20 ans d’ancienneté = 15 X 5.000€ (2 mois/an) + 5 X 2.500€ (1 mois/an) … 87.500€.
  • 15 ans d’ancienneté = 15 X 5.000€ (2 mois/an) … 75.000€.
  • 10 ans d’ancienneté = 10 X 5.000€ (2 mois/an) … 50.000€.
  • 5 ans d’ancienneté = 5 X 5.000€ (2 mois/an) … 25.000€.
  • 2 ans d’ancienneté = 2 X 5.000€ (2 mois/an) … 10.000€.
  • 1 an d’ancienneté = 3 mois … 7.500€.

Avec un salaire de 3.000€ par mois, les chiffres s’envolent :

  • 20 ans d’ancienneté = 15 X 6.000€ (2 mois/an) + 5 X 3.000€ (1 mois/an) … 105.000€.
  • 15 ans d’ancienneté = 15 X 6.000€ (2 mois/an) … 90.000€.
  • 10 ans d’ancienneté = 10 X 6.000€ (2 mois/an) … 60.000€.Avec un salaire de 6.000 euros (fréquent pour un chef de service), cela fait le double…Avec un salaire de 12.000 euros (fréquent pour un rédacteur en chef), cela fait le quadruple !
  • On a vu pire comme conditions de départ. Même Médiapart, qui ne peut pas être accusé de collusion avec les « fascistes », le reconnaît en déclarant que ces conditions de départ sont très avantageuses et que les journalistes sont « soignés »… pas saignés.Boulevard Voltaire du 1er août indique à ce sujet :« À titre comparatif, le licenciement d’un salarié en CDI prévoit au minimum un quart de mois de salaire mensuel par année jusqu’à dix ans, puis un tiers de salaire par année supplémentaire. »La seule à faire tache dans le paysage médiatique étant la journaliste de Libération, Alexandra Schwartzbrod, qui propose de marquer ce jour d’une « pierre noire dans l’histoire de la presse ». Mais là, ce n’est plus une opinion, cela relève de la médecine.Un dernier mot.S’ils étaient logiques avec les principes qu’ils prétendent défendre, ces journalistes « résistants » ne devraient pas accepter cet argent puisqu’il vient de Bolloré, celui qui veut liquider la presse « libre » et imposer une presse d’extrême droite à tout le pays. C’est d’autant plus vrai que demander l’application de ce dispositif s’appelle « faire jouer la clause de conscience ».Curieusement les journalistes « résistants » du JDD ont sur le sujet des pudeurs de gazelle.Pas un ne semble décidé à refuser cet argent sale et qui pue puisque venant d’un « fasciste ».Mais où ai-je la tête, n’est-il pas vrai que l’argent n’a pas d’odeur ?Donc tout est sauf pour ces journalistes résistants, fors l’honneur. Mais en ont-ils seulement ?

Bernard GERMAIN, Riposte Laïque

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