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#webtube : « Les Etats n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts », disait de Gaulle. Mais en ce qui concerne l’Amérique de Trump, c’est bien pire. Non seulement il n’a pas d’amis, mais il traite ses alliés en ennemis, maniant plus facilement le bâton que la carotte, en se prenant pour le chef d’orchestre de la planète.
« Les Etats n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts », disait de Gaulle.
Mais en ce qui concerne l’Amérique de Trump, c’est bien pire. Non seulement il n’a pas d’amis, mais il traite ses alliés en ennemis, maniant plus facilement le bâton que la carotte, en se prenant pour le chef d’orchestre de la planète.
Sa dernière rodomontade ne manque pas de sel. En décidant de faire du secrétariat d’État à la Défense un ministère de la Guerre, Trump vient de déclarer que l’Amérique avait gagné les deux guerres mondiales ! Certes, depuis 1945 les Américains se prennent encore pour le centre du monde et les sauveurs de l’humanité, mais balayer d’un revers de la main le sacrifice des Européens en 14-18 et en 39-45, c’est afficher un mépris et une indécence sans limite envers ses alliés. Et c’est aussi se montrer vraiment ignare des réalités historiques. Il est vrai que Trump ne connait qu’une seule histoire, la sienne, à la gloire de l’Amérique.
En 1917, quand les premiers soldats américains ont débarqué en France, il a fallu les équiper de A à Z, fusils, canons, chars, etc. Sur les 5,7 millions de soldats alliés tués, les États-Unis en ont perdu 117 000. La France, deux fois moins peuplée que l’Amérique de l’époque, totalise quant à elle 1,4 million de soldats tués.
En 1945, les pertes militaires de tous les belligérants sont estimées à 25 millions de militaires tués, dont 10 millions de soldats russes. Ces Russes qu’on diabolise à outrance, mais qui sont les grands vainqueurs de cette guerre, pour avoir liquidé 80 % des armées hitlériennes. Sans leur sacrifice, aucun navire allié n’aurait pu débarquer le 6 juin 44 en Normandie.
Dans ce second conflit mondial, les Américaines ont perdu environ 200 000 soldats en Europe et autant durant la guerre du Pacifique. Soit 417 000 tués sur les deux fronts.
Mais sans les deux bombes atomiques larguées sur Hiroshima et Nagasaki, qui ont vitrifié instantanément 200 000 civils, hommes, femmes, enfants et vieillards, jamais les Américains n’auraient pu débarquer sur le sol japonais. Rappelons que toute la population de l’archipel avait été préparée pour faire face à l’invasion, y compris les femmes et les enfants.
Trump devrait savoir que ce que Koubilai Khan n’a pas réussi à faire au XIIIe siècle avec ses hordes mongoles, ce n’est pas Mac Arthur qui y serait parvenu avec ses légions. C’est uniquement la terrifiante arme atomique qui a mis fin à cette guerre.
L’arrivée de Trump2 était un espoir pour tous les conservateurs et patriotes européens. Le pourfendeur du mondialisme, du wokisme et des délires LGBT, le défenseur des valeurs conservatrices et de la famille traditionnelle allait enfin reprendre en mains cet Occident décadent qui semble bien décidé à s’autodétruire.
Mais si cette politique a bien été mise en œuvre aux États-Unis, elle s’est aussi accompagnée d’une guerre commerciale avec toute la planète. La loi du plus fort et l’appât du gain sont devenus les piliers de la politique américaine. Tout le monde doit se plier aux diktats de Washington, y compris ses alliés européens, considérés comme des vassaux que l’on peut soumettre et plumer à volonté. Tout se résume à l’argent.
Trump ne conçoit la diplomatie ou la guerre qu’en fonction des dollars qu’il y a à ramasser.
Dès son retour aux affaires, ses annonces aussi fracassantes que menaçantes sur la prise de contrôle du canal de Panama et l’annexion du Groenland et du Canada voisin ont eu l’effet d’une douche froide. Trump n’a pas d’amis, c’est clair.
En Ukraine, il a fini par comprendre que la Russie n’était pas le Panama et que la guerre n’était pas un simple litige frontalier qu’on pouvait régler en 24 heures.
Mais surtout, il a vite compris qu’il y avait de l’argent à se faire avec les terres rares en Ukraine, tout en caressant l’Ours russe dans le sens du poil, en lorgnant sur l’immense trésor géologique de Sibérie et, pourquoi pas, sur celui de l’Arctique en partenariat avec la Russie.
Tout en tapant sur la table de temps en temps, mais pas trop fort, Trump voit bien que cette guerre enrichit les lobbys américains de l’armement et du pétrole sur le dos des Européens, assez naïfs pour gober la fable de l’ogre russe qui veut dévorer non seulement l’Ukraine mais toute l’Europe. Non contents de se ruiner en armant l’Ukraine avec du matériel acheté aux Américains, les Européens visent un budget Défense égal à 5 % du PIB, conformément aux diktats de Trump. Plus l’Europe est en récession, plus elle engloutit des centaines de milliards en Ukraine.
Et croyant naïvement être protégés par l’article 5, les vassaux de Washington achètent des F-35 comme on contracte une assurance-vie. Ils veulent jouer les Rambo face à Poutine, mais tremblent comme une feuille face à Trump.
Nos génies de la géostratégie achètent le gaz liquéfié américain, trois fois plus cher que le gaz russe, tandis que la Chine et l’Inde profitent d’une énergie à bas coût avec Moscou.
Et ce sont les mêmes qui se sabordent volontairement, qui se plaignent de la concurrence déloyale de Pékin !
Mais le pire est que sans armée, sans matières premières, surendettés et en pleine récession, nos guignols ont la prétention d’envoyer des troupes en Ukraine.
Et pour couronner le tout et nous saigner un peu plus, Trump a obtenu d’Ursula von der Leyen, modèle de nullité absolue dans tous les domaines, un accord catastrophique qui impose 15 % de droits de douane pour nos exportations en Amérique, ainsi qu’un engagement de l’UE à acheter 750 milliards de dollars d’énergie américaine et à investir 600 milliards de dollars supplémentaires outre-Atlantique.
Il y a 25 ans, les grands prêtres de la construction européenne nous promettaient paix et prospérité économique. Aujourd’hui, l’UE s’effondre, dominée par les puissances du Sud global qui refusent l’ordre mondial issu de 1945 et entendent ne plus courber l’échine devant les États-Unis.
L’avenir appartient aux BRICS et le récent sommet de l’Organisation de Coopération de Shanghai, OCS, vient de le confirmer. Le trio Xi Jinping, Poutine et Modi n’a que faire des menaces de Trump. Un autre monde, multipolaire, se prépare.
Un monde où les partenaires se respectent et coopèrent, pas le monde de Trump, où seul le plus fort a tous les droits.
Trump peut pavoiser d’avoir asservi l’Europe et de la juger taillable et corvéable à merci. Mais les grands pays du Sud global ne sont pas ses vassaux. L’OCS représente la moitié de l’humanité et le quart du PIB mondial de 110 000 milliards de dollars.
Dans cette course mondiale sans merci, l’Europe est hors-jeu depuis longtemps. Et au sein de la classe européenne, le cancre c’est la France, qui se fait distancer par l’Italie de Giorgia Meloni.
Quand les Français ont porté Macron à l’Élysée, ils ont creusé leur tombe. C’est leur choix assumé, car rien ne les obligeait à le réélire en 2022.
Le salut de la France passe par le retour de notre souveraineté, loin des délires mondialistes et du paradis diversitaire qui nous ruine. Quittons l’UE et l’Otan. Fermons nos frontières et portons au pouvoir un vrai patriote comme Philippe de Villiers, malheureusement toujours réticent à s’engager.
Il est le seul à pouvoir restaurer la France souveraine qui décide seule de son destin. Il aura le soutien du peuple, comme aucun autre candidat. Aucun sauvetage n’est possible sans passer par l’Élysée.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
. Il a fallu 80 000 policiers pour empêcher 200 000 dégénérés de bloquer la France
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#webtube : On les connaît par coeur. Ils ne nous surprennent plus. Leurs mots d’ordre sont sans toujours les mêmes. Leurs méthodes aussi. Ils avaient annoncé un mouvement de type « Gilets jaunes » et on a eu dans trop d’endroits en France des initiatives de type « Nuit Debout ».
Des jeunes crétins, souvent fils de famille, qui ne connaissent rien de la vie, tapent dans les mains en se disant antifascistes, mais agressent physiquement et verbalement ceux qui ne pensent pas comme eux.
Les journalistes de Frontières sont obligés d’avoir recours à un service de sécurité pour pouvoir faire leur travail sans finir à l’hôpital, comme on peut le constater sur quelques scènes filmées à l’occasion du lancement de la nouvelle radio de la chaîne.
Des militants professionnels proches des LFI essaient de récupérer le mouvement, et surfent sur le rejet de plus en plus profond de Macron – qu’ils ont contribué à faire élire – pour s’autoproclamer porte-parole du peuple.
La plupart de ces branleurs sont des permanents syndicaux, associatifs ou politiques, des assistés sociaux ou des fonctionnaires. Ils ne vivent que par le travail d’une France qu’ils méprisent, les agriculteurs, les travailleurs indépendants et les salariés du privé.
Ils ne parlent que de la Palestine, et laissent éclater leur haine des Juifs, masquée derrière l’antisionisme, alors qu’ils ne connaissent rien à l’histoire de cette région.
Ils se disent démocrates, mais agressent les femmes de Némésis et les journalistes de Frontières et CNews.
Ils qualifient de fachos tous ceux qui ne pensent pas comme eux et qui osent afficher un drapeau français.
Leurs punks à chiens ressemblent au lumpen-prolétariat que Marx qualifiait de lie de la société, demandant aux ouvriers de les combattre sans concession.
Il a fallu mobiliser 80.000 policiers pour empêcher ces dégénérés de bloquer la France.
Ces abrutis sont l’armée de réserve des mondialistes qui veulent détruire les Nations pour imposer un Nouvel Ordre Mondial au service des prétendues élites.
Ils défendent l’immigration et l’islamisation de la France, sans comprendre qu’ils seront les prochains égorgés et les prochaines violées prostituées dans des bordels à migrants.
Ils n’étaient ce jour que 200 000, mais ce sont 200 000 de trop, qui menacent notre pays, notre démocratie et nos libertés les plus fondamentales. Nous ne pouvons que féliciter les forces de l’ordre qui leur ont fait face, en remarquant qu’il n’y a aucun blessé chez les fouteurs de merde, seulement 500 arrestations dans toute la France, alors que les Gilets jaunes avaient eu droit à un autre traitement, avec des éborgnés et des mains arrachées.
Deux France vont se faire face, celle de la rue et du bordel, et celle du travail et de l’ordre. La première tient la rue, avec l’appui de la racaille musulmane, la seconde vaincra par les urnes.
De la capacité d’imposer la victoire des urnes dépendra l’avenir de notre pays et celui des Français.
Cyrano, Riposte Laïque
. 10 septembre : 80.000 policiers mobilisés face à l’extrême gauche factieuse
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#webtube : La journée pourrait bien servir d’exutoire aux Black Blocs et autres militants de l’ultra-gauche anticapitaliste. Une menace prise très au sérieux. Lundi soir, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a dévoilé le dispositif prévu pour la journée du 10 septembre, ne cachant rien de son appréhension. « Je ne prends pas du tout cette date à la légère parce qu’au départ, il y a eu une mobilisation citoyenne. Celle-ci a été, depuis, confisquée et détournée. Elle n’a plus rien de citoyen.
Cela a été une radicalisation puisque c’est Monsieur Mélenchon qui a voulu la préempter, a expliqué le locataire de la place Beauvau, sur le plateau du 20 Heures de France 2. Ce sera la mouvance d’extrême-gauche et d’ultra-gauche. On sait que ces groupuscules sont déterminés et organisés. L’ultra-gauche est ultra-violente. Nous allons mobiliser beaucoup de forces, gendarmes et policiers, 80.000. »
🔴🗣 INFO #JT20h
— Le20h-France Télévisions (@le20hfrancetele) September 8, 2025
Bruno Retailleau dénonce la "radicalisation" et la "préemption" du mouvement "Bloquons tout" par Jean-Luc Mélenchon et annonce la mobilisation de 80 000 gendarmes et policiers. pic.twitter.com/5EGjiYfXm0
Aux abords des Champs-Élysées, des commerçants se préparent déjà au pire et comptent se barricader pour défendre leurs biens. Mais les dégâts pourraient potentiellement s’étendre bien au-delà de la capitale puisqu’une vingtaine d’opérations de blocage sont prévues, principalement dans des dépôts pétroliers et les plates-formes logistiques comme les aéroports et les voies ferroviaires. Des sabotages contre des sites stratégiques, notamment dans le domaine de l’énergie ou encore l’industrie de Défense, sont également redoutés. Selon une note des services de renseignement territorial, consultée par CNews, « des initiatives désorganisées et difficilement anticipables » seraient à prévoir, avec un « risque d’actions par des groupes radicaux et violents ». « Nous serons là. Nous n’avons pas peur. Nous protégerons le droit, la loi, les Françaises et les Français et la République, a d’ores et déjà averti le ministre, à l’attention des factieux d’ultra-gauche. On ne tolérera aucun blocage, aucune violence ».
Un dispositif XXL
Il faut comparer cette mobilisation de 80.000 forces de l’ordre à des dispositifs précédents pour prendre la juste mesure de la menace. Le 1er mai 2023, 12.000 agents avaient été déployés pour sécuriser les manifestations dans tout le pays. Pour les Jeux Olympiques de 2024, c’était une moyenne de 30.000 agents par jour pour toute la région Ile-de-France. Et le 14 juillet dernier, 65.000 policiers et gendarmes avaient été mobilisés en France afin de sécuriser des festivités devenues le prétexte aux défoulements barbares de la « nouvelle France ».
Les fameux « jeunes » issus des quartiers ne sont cependant pas les seuls capables de violence. Lors des mouvements sociaux, les black blocs prennent leur relai, s’attaquant eux aussi autant aux biens qu’aux personnes.
Ce mouvement – qui va très probablement s’inviter aux mobilisations du 10 septembre – s’est installé en tête des cortèges depuis les manifestations contre la « loi travail », en 2016. Il s’est notamment illustré lors de l’épisode des Gilets jaunes dont chacune des journées d’action s’était retrouvée infiltrée par ces factieux cagoulés et vêtus de noir.
Une violence tolérée
Que fait le gouvernement contre ces Black Blocs dont l’identité est souvent connue des forces de police ? Rien, ou si peu. « Nous ne pouvons pas interpeller un certain nombre de gens qui arrivent comme vous et moi en civil, et qui tout à coup s’habillent en black bloc, se mettent au milieu de la foule », s’était défendu l’ancien ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, en 2018. Il faut dire aussi que l’État n’est pas aidé dans sa volonté de lutte contre l’extrême gauche. En 2016, lors d’un défilé contre la loi travail, la participation de dizaines de militants identifiés comme dangereux avait été empêchée par des contrôles d’identité aux points d’entrée stratégique et la mesure avait à l’époque suscité l’indignation des ONG…
L’Élysée n’a pas pu nous recevoir.
— amnestyfrance (@amnestyfrance) November 27, 2021
Mais notre présidente @CecileCoudriou a rencontré @GDarmanin et @E_DupondM
Elle a réitéré notre demande : le cadre juridique doit être plus protecteur du droit de manifester.
Les médias de gauche sont globalement sur la même ligne et voient dans les black blocs le bras armé d’une lutte anti-capitaliste fort légitime. En juin 2023, France Inter avait ainsi invité ses auditeurs à poser sur ces militants un regard plus indulgent, estimant que « le gouvernement les pointe du doigt pour justifier des dispositifs de plus en plus musclés ». « Ces Black Blocs sont-ils devenus un fléau ou un mal nécessaire ? Comment les arrêter, et le faut-il seulement ? », ajoutait encore la radio publique. Des questions qu’il faudrait sans doute poser aux centaines de policiers blessés ou handicapés à vie chaque année par ces milices d’ultra gauche.
- Jean Kast, dans BV
. Matignon : Lecornu sort vainqueur du casting de l’horreur politique
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#webtube : La France ne manque pas de candidats pour diriger un pays en faillite. Suspect… a France sait. Le ministre de la Défense Sébastien Lecornu devient le septième Premier ministre d’Emmanuel Macron. Enfermé à l’Elysée, le président de la République a livré son choix dans un délai record. Et pour cause, sans fusible, sans bouclier, soumis aux appels croissants à la démission, il était dangereusement exposé.
Il a choisi un proche, fiable, presque un garde du corps, dans un réflexe de défense et de crispation face au danger imminent. « Un macroniste qui sera tenu en rênes serrées par Macron », analyse Marine Le Pen. La principale opposante au pouvoir n’est pas dupe : « Le président tire la dernière cartouche du macronisme, bunkerisé avec son petit carré de fidèles. Après les inéluctables futures élections législatives, le Premier ministre s’appellera Jordan Bardella ». Bien considéré par l’armée, Lecornu rappelle Charles Hernu, le fidèle ministre de la Défense de Mitterrand qui passait pour un homme énergique au tempérament droito-compatible avant que l’on ne découvre qu’il avait été rémunéré durant des années par le KGB soviétique… Faute de KGB, Lecornu ne court pas ce risque. Il court le risque d’être considéré pour ce qu’il est, soit l’ombre de Macron. L’homme qui hurlait en meeting « parce que c’est notre projet !» n’en a plus. Pour Lecornu, le principal défi consiste donc à gouverner auprès d’un président usé politiquement, décrédibilisé et qui ne parvient pas à écarter l’idée qu’il est en sursis… court. Le contexte n’est donc pas idéalement porteur pour rassembler et constituer une majorité à la chambre.
La France ne manquait pas de candidats. Pour reprendre les rênes d’un pays plombé par 3.400 milliards d’euros de dettes, ingouvernable car divisé en trois grands pôles (extrême gauche, centre et droite nationale), entravé par l’Europe, menacé socialement par la poussée de l’islam fruit d’une immigration sans limite, on se bouscule au portillon. C’est en soi assez curieux, voire suspect. Car ce n’est pas un lit de rose qui attend l’heureux élu s’il veut faire vraiment son travail, c’est-à-dire redresser la France après huit ans de macronisme. Les banlieues sont une poudrière, les agriculteurs, les policiers, les profs, les ouvriers, les patrons, les riches et les pauvres, les jeunes et les vieux « boomers », la droite et la gauche, tous les compartiments de la société sont à bout. La France a fait le chemin de l’horreur économique vers l’horreur politique et sociétale. « Que ceux qui veulent mourir lèvent le doigt », lançait le Cyrano de Rostand, épée en main. Les doigts levés sont nombreux…
Les fantômes d’une maison hantée
Plus personne heureusement n’a parlé de Lucie Castets, objet d’une intense campagne de communication orchestrée par la France insoumise et son baryton Jean-Luc Mélenchon qui a fait flop. Cette étoile sans la moindre expérience pour occuper un poste éjectable est passée dans l’oubli sans provoquer de regrets excessifs de part et d’autre de l’échiquier politique.
À ce sujet — L’affaire du poulailler de Yaël Braun-Pivet rebondit
Mais certains noms sont revenus comme les fantômes d’une maison hantée. Pas de prévisions sans entendre le nom de Gérald Darmanin dont le bilan après des années passées au service de la macronie à l’intérieur puis à la justice ne brille pas par des résultats spectaculaires en matière de sécurité, d’ordre public, de lutte contre l’islamisme ou de maîtrise de l’immigration…. Au grand dam de Kevin et Matteo accusés à tort de dévaliser les spectateurs de foot anglais…
Autre personnalité citée un temps pour Matignon, Catherine Vautrin, ministre du Travail et de la Santé. En 2022, Macron lui avait préféré la très sectaire et ancienne socialiste Elisabeth Borne qui cumulera les 49.3 pour faire passer ses mesures. Un choix judicieux salué avec enthousiasme et perspicacité sur Twitter à l’époque par… Catherine Vautrin : « Enfin une femme à Matignon ! Bravo à @Elisabeth_Borne et plein succès à la France. » Chacun peut aujourd’hui constater que le vœu de « plein succès à la France » n’a pas été suivi d’effet sous le mandat de Borne… Troisième possibilité écartée, Xavier Bertrand, président LR de la région des Hauts-de-France, dont la grande qualité aux yeux du centre, de la gauche et sans doute du président Macron est sa haine anti-RN réflexe, technique et viscérale. Eternel candidat à Matignon, Bertrand aura tout fait pour décrocher la timbale, sans négliger aucune compromission ni aucune bassesse, déclarant volontiers préférer les communistes aux « identitaires du RN ». Lorsqu’il reconnut son appartenance au Grand Orient de France dans une interview, en 2008, François Fillon aurait eu ce mot rapporté par le Canard enchaîné : « Maçon, je le savais, en revanche franc… »
Mer démontée
La journée du 9 septembre avait même amené une nouvelle candidate, Yael Braun-Pivet. Macroniste sans nuances, la présidente de l’Assemblée nationale, qui aura réussi à confier ses poules à d’autres qu’aux policiers chargés de sa protection, se sentait appelée à un destin qui la porte au-dessus du perchoir.
« Chacun peut gouverner lorsque la mer est belle », disait Publius Syrus. La mer démontée appelle des qualités et un courage exceptionnels. Lecornu sera-t-il la personnalité sacrificielle destinée à devenir l’homme ou la femme providentiels dont la France a un besoin aujourd’hui vital ? Emmanuel Macron qui avait pris 51 jours pour nommer Michel Barnier, avec le succès que l’on sait, a décidé vite pour nommer… son double. Avec Lecornu, le macronisme bégaye mais ne change en rien.
Marc Baudriller, dans BV
. Règlement Chat Control : vers une surveillance de masse des communications privées en Europe ?
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#webtube : L’Union européenne s’apprête à franchir une étape décisive dans l’adoption de la législation controversée surnommée « Chat Control ». Officiellement appelé Règlement visant à prévenir et à combattre les abus sexuels sur enfants, est une proposition législative de l’Union européenne qui vise à lutter contre l’exploitation sexuelle en ligne des mineurs.
Proposé par la Commission européenne en mai 2022, ce texte obligerait les fournisseurs de services de messagerie et de courrier électronique à analyser les communications pour détecter du matériel pédopornographique (connu ou nouveau). Il prévoit également la création d’un Centre européen pour la prévention des abus sexuels sur enfants, qui serait chargé de coordonner les efforts et de gérer une base de données de contenus illégaux.
Les principales mesures et les controverses
Ce règlement soulève un débat majeur entre la protection de l’enfance et le respect de la vie privée. Voici un aperçu des mesures clés et des points de friction :
- Détection obligatoire sur les plateformes « à haut risque » : Le règlement imposerait un balayage côté client, c’est-à-dire une analyse des messages directement sur l’appareil de l’utilisateur, même pour les services chiffrés comme WhatsApp ou Signal.
- Analyse du grooming : Le texte prévoit également la détection des tentatives de sollicitation sexuelle via l’analyse de textes, d’images et de vidéos, avec des rapports automatiques aux autorités.
- Risque pour la vie privée : De nombreux experts en cybersécurité et des ONG alertent sur le fait que l’analyse côté client pourrait compromettre le chiffrement de bout en bout, une protection essentielle pour la vie privée et la sécurité en ligne. Pour eux, cela pourrait ouvrir la voie à une surveillance de masse.
En septembre 2025, le règlement n’a pas encore été adopté, mais les discussions avancent. Le Conseil de l’Union européenne devrait voter au plus tôt le 14 octobre 2025, bien que l’opposition de certains pays comme l’Allemagne et les Pays-Bas se fasse de plus en plus forte. Des modifications ont été proposées pour atténuer les critiques, mais la mobilisation citoyenne et des entreprises tech comme Proton reste très forte pour amender ou bloquer le texte. Le Parlement européen doit également se prononcer, et si le texte est adopté, son application pourrait débuter dès la fin de l’année 2025 ou le début de l’année 2026.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter le texte officiel de la proposition (en anglais) sur le site d’EUR-Lex
« Une trahison de l’image de l’Europe »
Pour Yaël Ossowski, directeur adjoint du Consumer Choice Center, cette législation va à l’encontre de l’identité que l’Union aime à se donner : « Chat Control, tel qu’il est conçu actuellement, trahit l’image que l’Europe aime se donner de protecteur des droits humains et de la vie privée ».
En d’autres termes, au lieu d’incarner un modèle face aux excès sécuritaires d’autres puissances, Bruxelles risquerait de suivre un chemin déjà emprunté par des régimes autoritaires. « Forcer le scan des messageries chiffrées s’apparente davantage au modèle chinois de surveillance d’État qu’à celui d’une société libre », avertit Ossowski.
La fin du chiffrement de bout en bout
Le cœur du problème se résume en une formule : le chiffrement de bout en bout serait vidé de son sens. Actuellement, les échanges sécurisés reposent sur un système de clés privées et publiques qui garantissent que seul le destinataire prévu peut lire le message. Or, avec le « client-side scanning », chaque contenu serait d’abord transféré vers une base de données pour être analysé, avant même d’être livré.
« Cela revient à imposer une attaque de type “homme du milieu”, qui rend inutile l’existence même du chiffrement », explique Ossowski. Et d’ajouter : « Une fois Chat Control mis en place, cela signifiera qu’il existe un processus légal obligeant à ce que toutes les informations soient rendues disponibles aux autorités, en permanence ».
La justification de la protection des enfants
Les partisans de la mesure invoquent la nécessité de protéger les mineurs. Mais pour Ossowski, il s’agit d’un alibi : « Encore une fois, on se sert d’un exemple odieux que toute personne rationnelle abhorre — les images d’enfants abusés — pour justifier de nouveaux pouvoirs de surveillance policière ».
En réalité, la police dispose déjà d’outils juridiques pour accéder aux appareils ou demander des données, souligne-t-il. Le danger, selon lui, est d’ouvrir une brèche qui sera tôt ou tard utilisée pour d’autres motifs : discours jugés offensants, débats sur les vaccins, contestations politiques, voire opinions légales mais dérangeantes pour le pouvoir.
Journalistes, dissidents, citoyens : tous menacés
L’une des inquiétudes majeures réside dans les risques pour ceux qui dépendent de communications sûres. Ossowski prend un exemple concret : « Si un gouvernement autoritaire veut identifier qui organise des manifestations via ces applications, il lui suffit d’ajuster les filtres pour repérer les participants et obtenir les identifiants de leurs appareils. L’arrestation devient facile ».
Cette perspective ne relève pas de la science-fiction : de nombreux États dans le monde utilisent déjà ces techniques pour surveiller les opposants.
Une Europe qui perd son modèle
Au-delà des libertés individuelles, le projet menace aussi la crédibilité du continent. « Le génie de l’innovation et du chiffrement ne peut pas être remis dans sa bouteille. Il a permis à des centaines de millions d’Européens, et à des milliards d’autres dans le monde, de communiquer librement et en sécurité », rappelle Ossowski.
En s’engageant dans cette voie, l’Europe prend le risque d’affaiblir son propre écosystème numérique, de faire fuir les talents et les entreprises, et de rendre ses communications plus vulnérables aux attaques informatiques. « Introduire des obstacles, c’est affaiblir toutes nos interactions en ligne et les rendre exploitables par des hackers », ajoute-t-il.
Autre risque évoqué par les experts : celui du « function creep », soit l’extension progressive des outils à d’autres usages que ceux initialement prévus. Ossowski constate que les précédentes réglementations numériques européennes (Digital Services Act, Digital Markets Act) ont déjà ouvert la voie à un contrôle toujours plus étendu des communications et des contenus.
« Le danger n’est pas que l’Europe devienne brutalement totalitaire, mais que nous laissions nos droits s’éroder, loi après loi, jusqu’à donner à n’importe quel gouvernement les outils de l’oppression », alerte-t-il.
Enfin, ce projet illustre une impasse géopolitique. L’Europe, coincée entre la domination des géants technologiques américains et le modèle chinois de surveillance totale, semble incapable de tracer une voie autonome. « On peut seulement imaginer ce qu’auraient fait les services de la Stasi avec de telles règles si la technologie avait existé à leur époque », souligne Ossowski.
Une Europe à la croisée des chemins
L’habeas corpus numérique, c’est-à-dire le droit de communiquer sans surveillance préalable, risque de disparaître avec Chat Control. L’Europe, qui se targue de protéger les droits fondamentaux, se retrouve accusée de renier son propre héritage.
Au moment où le Conseil européen doit formaliser sa position (12 septembre) avant un vote crucial prévu le 14 octobre, les critiques se multiplient. Le choix est clair : protéger réellement les citoyens en utilisant les outils juridiques déjà existants, ou basculer dans une ère où chaque message privé sera suspect et potentiellement scanné.
Comme le conclut Ossowski : « Nous n’avons pas besoin de casser le chiffrement pour avoir une société avec loi et ordre. Nous avons besoin d’outils légaux efficaces pour poursuivre les criminels, pas de transformer les citoyens ordinaires en suspects permanents ».
Breizh-info.com
. La chanson du jour, The War On Drugs – Thinking Of A Place
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#webtube : “Thinking of a Place” de The War on Drugs est une pépite introspective et envoûtante. Cette chanson, avec ses 11 minutes de voyage sonore, tisse une ambiance hypnotique grâce à ses guitares aériennes et ses synthés qui évoquent une douce nostalgie. Un bijou du rock moderne !
#webtube : The War on Drugs’ “Thinking of a Place” is an introspective and captivating gem. This song, with its 11-minute sonic journey, weaves a hypnotic atmosphere thanks to its airy guitars and synths that evoke sweet nostalgia. A modern rock gem !
. 40 ans de politique anti-FN et de front républicain, ça donne ça !
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#webtube : Souvenez-vous, Bayrou a écarté l’immigration, pourtant largement assistée, comme cause de la dette, alors qu’elle entraine une perte de PIB de 100 milliards par an selon l’Observatoire de l’immigration et de la démographie. Faites le calcul sur des décennies. Ce monsieur soi-disant plein d’expérience, préfère faire porter le chapeau aux boomers, qui ont connu les semaines de 48 heures, la retraite à 65 ans et les trois semaines de congés payés.
Quand on dramatise à juste titre sur la faillite du pays, on a au moins l’honnêteté d’en analyser les causes réelles sans trembler devant la dictature du politiquement correct. Bayrou paie le prix de son manque de courage.
La vérité est que l’immigration de millions de déshérités sans diplômes a détruit le pays. A raison de 500 000 arrivées par an, alors que la croissance est nulle, ne peut que nous ruiner. N’importe quel crétin peut comprendre cela. Seul un immigré qualifié peut apporter le bien, mais certainement pas
En un peu plus de 2000 ans d’histoire, depuis Vercingétorix, aucune guerre, aucune invasion, aucune révolution, n’a pu anéantir notre France millénaire. Le pays légué par nos ancêtres a relevé tous les défis, surmonté toutes les tragédies. Pourquoi ?
Parce que le peuple gaulois, depuis la bataille de Gergovie à celle de Verdun, a montré un courage et une détermination sans faille pour défendre et sauver sa terre, au prix de lourds sacrifices. C’est le même sang qui coulait dans les veines des intrépides guerriers gaulois face aux légions de César, comme dans celles des Poilus des tranchées de 14-18 face aux Prussiens : le sang versé sans compter par des patriotes indomptables face à l’ennemi.
Mais le Gaulois de 2025 n’est plus celui de Gergovie ni celui de nos ainés tombés à Verdun. 80 ans de paix et de confort matériel ont incontestablement ramolli les corps et anesthésié les esprits. Mais ce sont surtout les délires mondialistes qui ont sabordé les nations européennes et remisé le patriotisme au rang de curiosité d’un autre temps, aussi malsaine qu’incompatible avec la paix de 1945.
C’est ainsi que tous nos politiques se gargarisent avec « nos valeurs républicaines », sans jamais les définir clairement. Je n’ai jamais entendu Macron parler de notre France éternelle ou citer les personnages illustres de son histoire. La nation et le patriotisme sont pour lui des notions d’un autre âge. Il se dit patriote européen et prêt à partager notre dissuasion nucléaire, donc notre indépendance nationale, avec toute l’Europe.
Dans la France de 2025, où les mots « valeurs républicaines » sont prononcés 10 fois lors de chaque discours politique, les principes qui fondent notre société, liberté, égalité, fraternité ou laïcité, sont en réalité systématiquement bafoués.
Quand le patriotisme devient ringard, que la famille traditionnelle n’est plus défendue, quand la nation et la démocratie deviennent des mots vides de sens, on ne peut que constater que notre idéal de société, inscrit dans la Constitution et dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, s’est dissipé comme un mirage dans le désert.
Le dernier garant des valeurs républicaines a été Charles de Gaulle. Depuis, ses successeurs ont dilapidé son héritage.
Mais c’est au cours des 40 dernières années que tout a vraiment empiré.
En une seule génération nos politiques de droite comme de gauche ont réussi l’exploit de détruire la France et ses 2000 ans d’histoire. Car si notre pays s’est relevé des guerres, des invasions et des révolutions, il ne peut aucunement survivre à un changement de peuple, dès lors que immigration de masse qui le submerge ne s’intègre plus.
Le drame de la France est que toute la politique menée depuis des décennies n’a eu qu’un seul objectif : faire barrage au Front national, le seul rempart contre l’immigration extra-européenne qui bouleverse la société et ruine le pays. Tout le reste, aussi bien pour l’Elysée que pour Matignon, est devenu secondaire. La haine anti RN est générale, sauf chez les citoyens, qui, à 70%, ne veulent plus de cette immigration nuisible au pays.
Dès 1980, JMLP tirait la sonnette d’alarme. Gauche et droite l’ont diabolisé.
Et en 2024, alors que toute la presse annonçait que le front républicain était mort depuis longtemps, on a pu voir toutes les formations politiques se liguer contre le RN au deuxième tour des législatives.
« Pas une seule voix pour le RN », tel était le mot d’ordre général. On en voit le résultat :
Au lieu d’une majorité clairement à droite, nous avons une Assemblée paralysée, donc inutile. C’est la valse des gouvernements comme au temps de la IVe République, avec une France à l’arrêt, dont la dette titanesque continue de grimper sans qu’un seul politicien lucide ne s’impose aux cigales de la République, totalement irresponsables.
40 années de politique de droite comme de gauche se résument à diaboliser le seul parti patriote refusant de disparaitre dans le tourbillon mondialiste et multiculturaliste.
C’est bien le front républicain qui a rendu la France ingouvernable.
Le seul parti qui n’a jamais gouverné est coupable de tous les maux. Pourtant, tout lui donne raison.
La France n’est plus qu’une république bananière où seule compte la gamelle des élus.
Il n’y a plus qu’à attendre que Fitch dégrade vendredi la note souveraine de la France, ce qui fera monter les taux. Le niveau de vie sauvegardé par l’emprunt perpétuel, c’est fini. Les Français vont enfin comprendre qu’on leur impose de partager leur niveau de vie avec des millions d’immigrés dont la France n’a nul besoin.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
. Raciste, la fête du cochon ? 15.000 personnes festoient à Hayange
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#webtube : Face aux accusations de LFI, reportage de BV sur une fête populaire dans la plus pure tradition française.
À votre arrivée à Hayange, les « cathédrales d’acier » vous accueillent. Dans cette commune de Moselle de 16.000 habitants, les hauts-fourneaux étaient le fleuron de la sidérurgie lorraine depuis le XVIIIe siècle. Leur fermeture en 2011 fut un drame que le grand public assimila à la commune voisine de Florange, où se trouvait l’entrée de l’usine, propriété d’ArcelorMittal, et une partie de la production. Désormais, l’ombre de ces géants plane sur la ville qui attend leur démantèlement programmé. C’est dans ce contexte de détresse et de colère sociale qu’en 2014, le Rassemblement national s’empare de la mairie après dix-sept ans de socialisme.
Parmi les mesures prises rapidement par le maire, remettre au goût du jour la fête du cochon était un engagement de campagne. La douzième édition de ce rendez-vous populaire se déroulait ce dimanche 7 septembre. Et le succès était à nouveau au rendez-vous, pour cette grande journée placée sous le signe du porc et de la musique rétro. Ici, le cochon se décline sous toutes ses formes : porchetta, saucisses, cochon de lait à la broche, charcuterie et, parmi elle, le fuseau lorrain, « spécialité fumée à la sciure de hêtre », nous raconte fièrement Frédéric, derrière son stand. Le soleil est de la partie. Sous une cinquantaine de grandes tentes, petits et grands cherchent un peu d’ombre et profitent surtout des longues tables dressées en enfilade pour siroter sodas et bières et déguster convivialement les spécialités cuisinées pour l’occasion. Manèges, sauts à l’élastique, pêche à la ligne : les yeux des plus petits pétillent.
De « la cochonaille, de la bonne bouffe française »
Fierté de la municipalité, la participation des associations de la commune à l’événement, qui tiennent les différents stands et bénéficient de ses recettes. L’amicale des sapeurs-pompiers aux grillades est victime de la popularité des soldats du feu. La bière coule à flots grâce aux bons services des club de football et de rugby. À la fête du cochon, fidèlement aux consignes du ministre de la Santé. on n’oublie pas de s’hydrater…
Entre le service de deux pressions, Guillaume se félicite de la réussite de l’événement qui compte parmi « les traditions françaises » et pour lequel « les gens viennent de loin ». Dégustant son jambonneau, Jacky est revenu, cette année encore, pour profiter de « la cochonaille, de la bonne bouffe française », « ras-le-bol des kebabs », précise-t-il, tout en soulignant que cette fête n’exclut pourtant personne, « tout le monde est mélangé ». Dans la foule déambule le député RN de la circonscription, Laurent Jacobelli. « C’est un beau moment de partage où les gens se retrouvent pour faire la fête dans une ambiance conviviale et familiale », s’enthousiasme, auprès de BV, le parlementaire, très à l’aise sur ses terres. Tapes dans le dos, accolades, poignées de mains à ces messieurs, bises à ces mesdames : l’élu est en terrain conquis. Il fait partie des quatre parlementaires du Rassemblement national que les Mosellans ont envoyés à l’Assemblée nationale, parmi les neufs que compte le département.

Accusations de racisme
Qu’est-ce qui, dans ce décor champêtre, au succès indéniable, peut bien gêner la bien-pensance de gauche ? Car depuis la création de la fête du cochon en 2014, c’est un déferlement de polémiques alimentées par une presse souvent militante. L’année dernière, c’est Jean-Michel Aphatie qui traitait la manifestation de « grossièreté ». « Jean-Michel Aphatie est au journalisme ce que mes chansons sont à l’opéra lyrique », lui répondait, un brin caustique, Patrick Sébastien, tête d’affiche de la précédente édition. Cette année, c’est au tour de Thomas Portes de traîner dans la boue l’événement populaire. Le député LFI de Seine-Saint-Denis reprochait, il y a trois jours, à la fête du cochon d’Hayange d’être « au service du racisme et de la haine des musulmans ». Laurent Jacobelli s’indigne : « Il veut séduire un électorat communautarisé. » Et accuse le député insoumis de « diviser la population ». Avant de l’inviter à venir voir « sur place comme les gens échangent et s’amusent ».
« Allez viens boire un petit coup à la maison. » Gilou et son petit accordéon anime la scène avant que ne se succèdent plusieurs groupes rétro aux tubes emblématiques : Plastic Bertrand (Ça plane pour moi), Boris (Soirée disco) ou encore Partenaire particulier. Lio (Banana Split) s’est, quant à elle, décommandée. La pression aura été trop forte pour son producteur qui, d’après nos informations, craignait que face à la polémique, avoir chanté « pour une ville RN » ne soit un frein. « Encore une fatwa contre les artistes », fustige le député RN, « décidément, LFI adopte tous les codes des islamistes ».
« Plus de cochon, moins de mouton »
Cathy et Laureta sont, pour leur part, ravies de ce « moment de retrouvailles » car aujourd’hui, « les réseaux sociaux, ça coupe ». Alors, quand on évoque le mot « racisme », les deux sexagénaires suffoquent : « N’importe quoi, c’est une fête populaire. » En revanche, face à « l’actualité anxiogène », la première vote RN « depuis l’année dernière » et s’apprête à reprendre ses cours de « self défense » pour se protéger ; la seconde est décidée pour le prochain scrutin : « J’en ai ras le bol », prévient-elle, avec un regard déterminé. Sur une table, une dizaine de jeunes arborent fièrement leur tee-shirt « Plus de cochon, moins de moutons ». À n’en pas douter, nos confrères de Libération n’auraient vu qu’eux. Ils sont, en réalité, une goutte d’eau parmi les « 15.000 personnes présentes », lance Laurent Jacobelli, dans une petite prise de parole précédée par celle de Fabien Engelmann, l’édile de la commune. Lui savoure. Dans son bureau de l’hôtel de ville où il reçoit Boulevard Voltaire, il s’accorde une brève pause dans cette journée marathon. « Plus on nous salit, plus on a de monde. » Il y a dix ans, 2.000 participants osaient braver l’interdit moral. Désormais, « la fête est installée », se félicite le maire RN. Élu en 2014, réélu au premier tour à 63,2 % en 2020, le maire affiche son optimisme avant les municipales de 2026. « Les bobos n’aiment pas notre fête car c’est ringard », s’amuse-t-il. L’homme de 46 ans balaie d’un revers de main les accusations de l’extrême gauche : « Dès que vous êtes contre l’immigration massive et l’islam radical, vous êtes dans son collimateur. » Au micro, devant la foule, en fin d’après-midi, le maire égratigne « les discours moralisateurs des élites déconnectés ».

Le maire Fabien Engelmann et la mascotte
« Les musulmans modérés me soutiennent »
Tous, à la fête du cochon, veulent faire la part des choses entre la politique et la fête. La polémique ne les touche guère. Au stand bière, Guillaume nous avait prévenu, la fête est pour tous, « beaucoup de musulmans viennent », « les gens s’excluent tout seuls ». Même son de cloche à la mairie de la part de Fabien Engelmann : « Les musulmans modérés me soutiennent. »
À la nuit tombante, nous croisons Tayeb et Ahmed sur les marches du parvis de l’imposante église, à quelques mètres des cochons grillés. Algériens arrivés en France en 1957 pour l’un et 1970 pour l’autre, ils ont les traits burinés par l’âge et une canne pour assurer leurs pas. « Nous, on ne mange pas de porc, bien sûr », assurent-ils, mais cette fête ne les « dérange pas ». D’ailleurs, « beaucoup d’amis » s’y rendent sans respecter l’interdit alimentaire musulman. « Il y a bien la fête du mouton à côté, alors… » Le 9 août avait lieu ladite fête à Marspich, ancienne commune désormais quartier rattaché à la ville… d’Hayange.
- Yves-Marie Sévillia, dans BV
. Macron, tombé à 15 % dans les sondages, partira sous les tomates
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#webtube : Le pire fossoyeur de la France, celui qui a le plus promis en 2017 mais qui a le plus détruit avec ses délires mondialistes, Macron suscite un rejet du peuple encore jamais vu. Les 2/3 des Français veulent son départ.

Voici la pétition lancée par Philippe de Villiers. Notre Vendéen refuse la mort du peuple gaulois. Dans le JDD, il en appelle donc au peuple, seul capable de décider de son destin.
Le pire fossoyeur de la France, celui qui a le plus promis en 2017 mais qui a le plus détruit avec ses délires mondialistes, Macron suscite un rejet du peuple encore jamais vu. Les 2/3 des Français veulent son départ.
https://www.bvoltaire.fr/sondages-macron-bat-son-record-dimpopularite-des-gilets-jaunes
Et avec le chaos qui s’annonce une nouvelle fois par sa faute, avec sa dissolution démentielle, nous verrons les 3/4 des Français exaspérés réclamer sa démission.
Mais sans une procédure de destitution, il ne cédera pas au peuple qu’il méprise.
Oui, Philippe de Villiers a raison. Après huit ans de délires macroniens, la France cumule toutes les crises imaginables.
– crise de souveraineté avec notre soumission à Washington et à Bruxelles
– crise financière majeure avec plus de 3400 milliard de dettes et des taux en hausse
– crise budgétaire qui n’en finit pas, avec 180 milliards de déficit public
– crise économique avec une grave récession du PIB hors stocks
– crise politique avec chutes en série des gouvernements, faute de majorité
– crise démographique avec, pour la première fois, plus de décès que de naissances
– crise identitaire avec une immigration de masse qui ne s’intègre plus
– crise civilisationnelle face aux défis du mondialisme et de l’islamisme
– crise sécuritaire, avec plus de 3000 agressions gratuites par jour, dont 1000 déclarées
– crise de l’État régalien qui abandonne aux narcotrafiquants le soutien aux familles
– crise énergétique, qui nous fait payer le pétrole américain 3 fois plus cher que le pétrole russe
– crise diplomatique qui rend la voix de la France inaudible faute de cohérence
– crise existentielle provoquée par un changement de peuple qui s’accélère
En un mot, une crise multiforme sans précédent qui conduit notre France millénaire à sa sortie de l’Histoire. C’est bien pire que toutes les guerres, les invasions et les révolutions que notre pays a traversées depuis Vercingétorix.
Le pronostic vital de la France est engagé et il se peut même qu’il soit déjà trop tard pour agir, tant nos élus, mais aussi le peuple, ont manqué de lucidité et de courage pour stopper la glissade vers l’enfer. Comment les Français ont-ils pu réélire Macron en 2022 ? Y a-t-il eu fraude au premier tour ? On s’interroge. On a vu bien pire aux États-Unis.
Face à cette faillite criminelle de l’État, Philippe de Villiers lance une pétition pour obtenir un référendum sur l’immigration afin de sauver la France du naufrage.
Car notre pays est en perdition. Toutes les coutures de la République sont en train de craquer. Il n’y a plus d’État.
Sur 130 000 OQTF prononcées, seulement 11 % sont exécutées.
Les islamo-gauchistes imposent leur loi, tandis que les juges du Conseil constitutionnel ou du Conseil d’État imposent la leur, au mépris des intérêts du pays et du peuple.
L’antisémitisme se répand à grande vitesse en toute impunité, chassant les familles juives vers des pays moins hostiles. Ceux qui aiment la France la quittent à regret, tandis que d’autres qui la détestent arrivent en masse. Macron est incapable de protéger le peuple.
Sur le plan économique, faisons simple :
En 2019, les intérêts de la dette coûtaient 30 milliards. En 2025, c’est 67 milliards et en 2029 ce sera une ardoise de 107 milliards, soit plus de 3 points de PIB alors que nous sommes en récession, si on écarte les stocks du calcul de la croissance (Marc Touati). Le constat est limpide :
Nouveaux déficits = hausse de la dette = hausse des taux d’intérêts = chute de l’immobilier et de la consommation = chute des investissements = chute de la croissance = hausse du chômage = nouveaux déficits = hausse de la dette, etc.
C’est le cercle vicieux dont la France se montre incapable de sortir.
On n’a jamais vu un pays s’enfoncer à une telle vitesse depuis l’arrivée de Macron.
Soit c’est le plus crétin de tous les dirigeants que la France a connu depuis Clovis, soit il le fait exprès. Je penche pour la deuxième hypothèse, ce qui explique le naufrage de la nation minutieusement programmé. Mis en place par les mondialistes, Macron a la haine des nations. Il se dit d’ailleurs patriote européen, c’est tout dire. Notre histoire, notre héritage culturel, nos racines judéo-chrétiennes, tout cela ne représente rien pour lui. Ce n’est que de la bouillie franchouillarde totalement dépassée face au mondialisme supranational.
Mais ce que je ne comprends pas, c’est la passivité de toute la classe politique, qui accepte sans sourciller la disparition du pays et détruit l’avenir des générations futures. À croire qu’ils sont tous complices. À part Mélenchon, personne ne veut sa destitution.
En attendant, Macron s’invente une petite guerre avec la Russie sans en avoir les moyens. Ce qui lui permet de faire diversion en oubliant son bilan, le plus calamiteux de la Ve République.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
. Sarah Knafo sur BFM TV : Le pouvoir d’achat, c’est l’argent que l’Etat ne vous prend pas
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#webtube : Sarah Knafo, députée française de Reconquête au Parlement européen, était l’invitée de BFM TV le dimanche 7 septembre 2025. Elle déplore qu’en 9 mois, il ait été incapable de proposer un euro d’économie aux Français et qu’il se découvre aujourd’hui donneur de leçons