. Agressions dans les trains : 79 % des auteurs identifiés en Italie sont étrangers


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#webtube : Alors qu’un touriste américain était violemment poignardé au cou par trois jeunes d’origine maghrébine dans le Milanais et qu’une femme subissait un viol particulièrement brutal par deux Marocains de 19 et 39 ans à Rovigo, FS security publiait des données faisant état d’une importante surreprésentation des étrangers dans les agressions à bord des trains et dans les gares d’Italie.

FS security, la branche entièrement dédiée à la sécurité des trains, des gares, des employés de la compagnie nationale des chemins de fer italienne, a enregistré, du 1er janvier au 5 juillet 2025, plus d’une agression par jour dans le secteur ferroviaire. Et les données confirment « le ressenti » d’un nombre toujours croissant de personnes :

sur les 154 auteurs d’agression arrêtés par les forces de l’ordre, 122 sont étrangers (79%) et 32 ont la nationalité italienne (21%). Les citoyens italiens, de souche ou d’origine immigrée représentent 91% de la population résidant dans la péninsule, quand les étrangers sont 9% de la population. La propension des étrangers à commettre des agressions y est donc 38,6 fois supérieure à celle des Italiens (de souche ou d’origine immigrée), au regard de leur poids dans la population.

Durant la même période, 135 agressions aux opérateurs ferroviaires ont été recensées : 68 étrangers et 18 Italiens ont été identifiés, tandis que 49 responsables restent inconnus ou introuvables. Pour les 132 voyageurs impliqués dans des rixes ou des saccages, 54 étrangers et 14 Italiens ont été arrêtés.

L’argument fallacieux selon lequel le nombre considérablement plus élevé d’étrangers appréhendés par les forces de l’ordre serait dû à un contrôle plus fréquent ou un délit de faciès est réfuté par les autorités. C’est même plutôt l’inverse qui est vrai : le fait que de nombreux agresseurs ayant pénétré le territoire clandestinement soient sans papier ou adresse identifiable, leur confère l’anonymat et donc une certaine impunité.

Un contrôleur poignardé à la gare de Gênes ©Corriere di Roma

Une impunité qui atteint des sommets en matière de règlement des titres de transport. Une donnée difficilement quantifiable tant les contrôleurs renoncent à verbaliser ou à faire descendre du train les fraudeurs, par crainte d’être agressés mais également parce qu’ils savent que la démarche est vaine : les amendes pour absence de titre de transport sont très rarement payées, et ont très peu de probabilité de l’être lorsqu’il s’agit de clandestins.

Face à cette injustice qui croit proportionnellement aux entrées irrégulières, des citoyens s’arment de courage et commencent à réagir. Dans la vidéo ci-dessous, un homme est venu en aide à une jeune contrôleuse de train qui venait de se faire cracher dessus par un fraudeur. Des images qui peuvent paraître anodines, mais qui se multiplient dans toute la péninsule.

Le métier de contrôleur de train consistant à vérifier les titres de transport des voyageurs, mais aussi à assurer leur sécurité à bord des trains et sur les quais attire de moins en moins les femmes et est en passe de se masculiniser. Étonnamment, la parité tant recherchée par les féministes ne suscite pas beaucoup de controverse dans ce secteur, où le silence semble de mise.

On se demande bien pourquoi.

Audrey D’Aguanno


Breizh-info.com

. La violence des mineurs baisse ? Les médias jouent sur les mots, mais un rapport du Sénat est sans équivoque


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#webtube : Ils sont unanimes. Pour les médias subventionnés, « non, la délinquance des mineurs n’explose pas, c’est même l’exact inverse« . Le thème serait instrumentalisé politiquement par une extrême droite en plein délire sur une « supposée flambée de la violence chez les jeunes« , « qui ne serait pas le reflet de la réalité. » Un peu comme pour l’immigration, les uns campent sur leurs positions en appelant au spectacle de la rue quand les autres pointent du doigt un « sentiment d’insécurité » alimenté par certains médias. Au milieu, peu de chiffres, qui laissent le champ libre à toute sorte d’interprétation.

Car ces chiffres, que disent-ils ? Tout et l’inverse de tout. Et quand ils ne vont pas dans le sens qu’on voudrait leur faire prendre, on les tord ou on joue sur les mots. Un exemple ? « Depuis 2016, le nombre de mineurs poursuivis par la justice a baissé de 25 % », sous-titre Le Monde. Houra ! Ce serait-là la preuve que les petits rejetons qui habitent la France seraient de moins en moins violents. OU BIEN cela peut aussi signifier que les magistrats rechignent à les poursuivre.

Un rapport du Sénat sur la délinquance des mineurs (n. 885, 2021-2022) ne dit pas autre chose :

« De manière assez étonnante, le nombre de mineurs poursuivis
entre 2012 et 2019 diminue en matière d’atteinte aux personnes (- 6,6 %)
alors que le nombre de mineurs mis en cause par les forces de l’ordre
augmente, dans une moindre mesure toutefois que les atteintes aux biens
(- 15 %). Dans les augmentations les plus notables, il faut noter les mineurs
poursuivis pour crime (+ 69 %) et pour infractions à la législation sur les
stupéfiants (+ 87 %) quand ceux poursuivis pour contraventions, infractions
les moins graves, diminuent de près de 48 %. Le nombre de mineurs de
moins de 13 ans diminue en revanche de 28 % sur la même période. »

La baisse célébrée par Le Monde dans son article est pour le moins surprenante puisque le rapport y est cité, le journaliste ne pouvant donc pas ignorer la donnée ci-dessus mentionnée. Malgré cela, il prétend : « Pour autant, la communauté des chercheurs qui travaillent sur la question de la jeunesse et les statistiques officielles se rejoignent pour décrire une réalité identique : non, la délinquance des mineurs n’explose pas, c’est même l’exact inverse« …. sans fournir aucune source pour étayer cette déclaration.

S’il est admis, dans un petit paragraphe et après avoir déclaré que c’est en gros la faute au « sentiment d’insécurité » (1), que « les actes les plus violents chez les mineurs, très minoritaires mais médiatisés, augmentent, eux, assez fortement« , jamais l’article ne l’énonce clairement : la délinquance, à savoir un ensemble d’infractions et de délits, baisse, quand la criminalité, à savoir des crimes plus graves, elle augmente bel et bien. Bref, on joue sur les mots pour faire croire que tout va mieux. L’auteur Grégoire Biseau, insiste même lors d’un podcast sur le thème : « ça va beaucoup mieux, (…) la délinquance des mineurs baisse depuis une quinzaine d’années, c’est un phénomène massif, le signe que la société s’est apaisée. » On se demande un peu comment, avec des violences contre les personnes en forte augmentation – ce qu’il admet lui-même – on peut en arriver à affirmer que la société s’est apaisée…

Eric Dupond-Moretti, alors ministre de la Justice, évoquait quant à lui, non pas une baisse mais une stabilité de la délinquance juvénile :

«Les chiffres sont clairs, la délinquance des mineurs n’a pas augmenté dans notre pays depuis dix ans»

Mais le rapport du Sénat est clair : cette stabilité est due à la baisse des atteintes aux biens compensée par une hausse des atteintes aux personnes :

« Si le ministère [de l’Intérieur] constate, sur la période 2016-2019, une stabilité
globale des mineurs mis en cause par les forces de sécurité, celle-ci
s’explique par une hausse des atteintes aux personnes, compensée par une
baisse des atteintes aux biens. Ainsi, les coups et blessures sur personnes de
moins de 15 ans ont augmenté de + 12,4 %, les violences sexuelles sur
majeurs de + 42,8 % et sur mineurs de + 28,3 %. »

Les données sont certes sensibles, difficiles à exploiter tant les rapports, les études, les comptes-rendus se contredisent. Mais on voudrait comprendre par quel miracle, une baisse de la violence des jeunes pourrait-elle avoir lieu. Par quelle magie, la violence des mineurs peut-elle baisser dans un pays rongé par le trafic de drogue, où les institutions ne sanctionnent plus par choix idéologique et saturation des tribunaux, où les services d’aides à l’enfance sont démunis quand ils ne sont pas carrément pourris jusqu’à la moelle, où la pornographie et les sévices les plus extrêmes sont à portée de clic ? Sans parler de l’arrivée ou de la permanence sur nos territoires emprunts de tolérance et « d’état de droit »,  d’enfants provenant d’autres cultures hyper-répressives.

Mais on ne saurait toujours leur donner tort. La violence chez les mineurs, si elle ne diminue certainement pas, n’est pas nouvelle. Depuis des décennies nos contemporains se prennent des coups de lame pour un regard, une cigarette ou un portable. Et persister dans la négation est une insulte à toutes les victimes d’agressions de rue qui pourrissent le quotidien des Français.

Audrey D’Aguanno

(1)  citant Fabien Jobard, chercheur en sociologie : « Plus un phénomène social se raréfie, plus les formes de subsistance du même phénomène sont susceptibles de susciter une forte indignation dans l’opinion publique. »


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. À Argenton-sur-Creuse, l’agenda migratoire va bon train au nom de l’intégration


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#webtube : Le 4 juillet, la mairie d’Argenton-sur-Creuse (Indre) a signé avec la préfecture le premier contrat territorial d’accueil et d’intégration (CTAI) du département. Ce dispositif, financé par l’État, vise à accompagner l’installation durable de réfugiés dans la commune. Derrière les discours sur la « cohésion sociale » et le « vivre ensemble », c’est une nouvelle étape du déploiement migratoire dans les campagnes qui se met en place, avec l’aval de la mairie socialiste… et du ministère de l’Intérieur.

« Jamais assez »

Avec ses 4.500 habitants, Argenton-sur-Creuse accueille déjà deux centres d’hébergement pour demandeurs d’asile : l’un dans le quartier du Merle Blanc, l’autre, plus récent, face à la gare. Ce dernier héberge les migrants initialement destinés à Bélâbre, commune voisine où l’installation d’un centre avait été suspendue après une vive opposition locale. « Ironie cruelle », commente Me Pierre Gentillet, pour qui ces gens « n’en auront jamais assez ». Car non seulement le projet n’a pas été abandonné, mais il a été déplacé au cœur même d’une commune déjà largement sollicitée.

Pour structurer cet accueil, la municipalité vient de signer avec la préfecture de l’Indre un contrat territorial d’accueil et d’intégration (CTAI), financé par l’État jusqu’à 20.000 euros. Le dispositif, décliné en fiches-actions (cours de langue, accompagnement professionnel, mobilité…), vise à « adapter la réponse aux besoins spécifiques des réfugiés souhaitant s’installer durablement sur la commune ».

Officiellement, la municipalité évoque l’accueil de « 5 ou 6 personnes ». Mais auprès de La Nouvelle République, le maire Vincent Millan est plus direct : selon lui, Argenton-sur-Creuse « peut accueillir jusqu’à une centaine de personnes ».

Un passage en force

« Jamais consultés, toujours submergés », résume Pierre Gentillet, qui connaît bien cette ville où il a grandi. Mais il ne semble pas être le seul à se montrer réticent au projet. Lors du dernier conseil municipal datant du 20 juin dernier, un élu d’opposition s’est fait l’écho des plaintes de riverains du Merle Blanc, où les nuisances liées à l’arrivée des migrants sont devenues suffisamment notables pour que le quartier soit rebaptisé par certains « le Merle Noir ». Réponse de la majorité : « À chaque fois qu’il y a un problème, la commune s’en saisit. Ça marche ou ça marche pas… » De toute façon, affirme-t-elle, « les problèmes, il y en aura toujours », mais la faute au racisme et au trop de questionnement des habitants, selon elle. Le témoignage d’une élue insultée et importunée par ses voisins ne semble d’ailleurs pas l’émouvoir davantage. Il faut dire que l’État est de son côté.

Dans ses communications officielles, la Délégation interministérielle à l’accueil et à l’intégration des réfugiés (DIAIT) se félicite de ces nouveaux contrats, déjà expérimentés dans 22 territoires. Une première évaluation, relayée par l’OCDE, recommande leur généralisation. Autrement dit, les CTAI ne sont qu’une première étape.

Une mécanique bien huilée

Ces conséquences, Pierre Gentillet les connaît. « On connaît l’issue de la recette, déplore-t-il auprès de BVIl y a peu de chance pour que les mêmes causes produisent des effets différents : ces politiques finissent toujours par transformer les petites villes en cités de banlieues. »

À ce sujet — Bélâbre (Indre) : le projet de CADA bientôt enterré ?

D’une commune à l’autre, le même scénario se rejoue. Et l’enthousiasme flamboyant de la municipalité ne suffira pas à masquer ce qui s’apparente de plus en plus à un passage en force.

Alienor de Pompignan, dans BV

. Limoges et Compiègne : les derniers signes de la guerre civilisationnelle


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#webtube : Il faut savoir regarder les choses en face, sans les affadir sous le vocable commode de faits divers. Les flammes qui ont embrasé Limoges et Compiègne ne sont pas de simples étincelles allumées par l’ennui ou la misère ; elles sont les torches brandies par des mains qui défient la Cité elle-même. Là-bas, ce ne sont pas seulement des vitrines qui volent en éclats, ce sont les vitres mêmes de la Maison France qui se brisent sous les coups.

Car enfin, que voyons-nous ? Non point des citoyens en révolte contre l’impôt ou la disette, comme jadis les foules de nos campagnes, mais des bandes hostiles aux uniformes, aux drapeaux, aux pierres mêmes qui portent nos armoiries. On ne s’en prend plus seulement aux agents de la paix publique, mais à la Police comme incarnation de l’État. On n’insulte plus un homme en képi, on crache sur l’uniforme comme sur un symbole. Le feu prend à la caserne, au commissariat, à la mairie. Ce n’est pas un hasard : c’est un choix.

Et dans ce tumulte, quels emblèmes s’élèvent ? Non pas la bannière tricolore, celle qui unit dans son pli la mémoire des provinces et le sang des héros. Non : d’autres couleurs claquent au vent. L’étendard algérien, l’oriflamme palestinienne se font voir au cœur même de nos villes, tandis que les trois couleurs de la République sont arrachées, brûlées, piétinées. Nulle ambiguïté : ces gestes signifient qu’on refuse d’être de France et qu’on revendique d’autres allégeances. Voilà bien ce qui donne à ces émeutes leur caractère tragique et neuf  : ce ne sont pas seulement des désordres, ce sont des proclamations.

On dira encore qu’il s’agit de jeunes perdus, livrés à eux-mêmes. Mais qu’on y prenne garde : l’usage concerté des réseaux sociaux, l’appel organisé, la géographie précise des attroupements, tout cela désigne moins une explosion spontanée qu’une entreprise. Ces bandes n’errent pas au hasard : elles occupent, elles chassent, elles signalent par l’incendie que tel quartier n’est plus sous l’empire français mais sous leur loi. Elles s’installent dans la logique du défi territorial.

On se tromperait lourdement en enfermant ces événements dans les catégories commodes de l’assistance sociale et de la réforme urbaine. Il ne s’agit plus seulement de réparer des toits ou de bâtir des gymnases. Il s’agit de restaurer l’âme même du pays. Car ce que ces drapeaux étrangers dressés contre la nôtre proclament, c’est la négation de la France comme civilisation. C’est notre langue qu’ils bafouent, nos morts qu’ils insultent, nos lois qu’ils rejettent.

Devant cela, il ne suffit pas de gémir ni de promettre de nouvelles aides. Il faut rappeler ce que nous sommes : un peuple, une histoire, un État. L’émeute de Limoges et celle de Compiègne ne sont pas deux accidents locaux  ; elles sont les symptômes d’un affrontement plus vaste, d’une lutte sourde qui se livre sur notre sol entre ceux qui veulent continuer la France et ceux qui entendent la dissoudre.

Voilà pourquoi, au-delà des larmes et des discours, il faut que la France retrouve sa voix ferme, sa volonté souveraine et son courage d’hier. Car, sans cela, ce ne seront plus seulement des drapeaux ennemis qui flotteront sur nos rues, mais d’autres lois, d’autres mœurs, d’autres maîtres. Et alors, ce ne seront plus des émeutes : ce sera la fin.

Jean-Jacques Fifre, Riposte Laïque

https://www.bvoltaire.fr/limoges-nuit-de-guerilla-urbaine-le-maire-denonce-un-plan-structure

. La France de la méritocratie de Sarah Knafo et celle de la magouille de Najat Belkacem…


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#webtube : Sarah Knafo s’est attirée les foudres de toute la gauche, et principalement d’une obscure avocate lilloise, par ailleurs conseillère régionale socialiste. Quel crime a donc commis le député Reconquête ? Elle a osé, comme des millions de Français, s’indigner de la République des Coquins et des copines, et démontrer que Najat Belkacem n’avait aucune compétence particulière pour siéger à la Cour des Comptes.

Cela lui a naturellement valu les qualificatifs habituels, et le coup du racisme, ben voyons, comme dirait son compagnon Eric Zemmour. Mais il se trouve que Sarah Knafo n’est pas du genre à subir les injures de ses adversaires sans y répondre, toujours avec un joli sourire, mais avec des arguments et des exemples qui font mouche.

Finalement, si Sarah Knafo était une Najat Belkacem bis, elle n’aurait rien foutu à l’école. Elle se serait déclarée de gauche, parce que, bien que n’en ayant rien à foutre, c’est l’air du temps, et plus facile pour faire carrière. Juive, elle se serait plaint, comme BHL l’a fait toute sa vie, du racisme des Français et leur aurait demandé des excuses pour Pétain, en les qualifiant de vichystes. Elle aurait été élue conseillère régionale, serait devenue macroniste de gauche, et porte-parole d’un ponte du parti. Bien sûr, elle aurait couché utile, ce qui n’empêche pas d’épouser un futur ponte du parti, ainsi que tous les combats sociétaux de l’époque. Elle aurait gémi contre les Français sexistes, sans jamais rien dire contre les agressions des Africains, et aurait défendu le mariage LGBT tout en enseignant aux élèves que « Papa porte une robe ». Bien sûr, elle aurait demandé l’abolition des frontières, la libre entrée en France et la régularisation de tous les sans-papiers, l’interdiction de tous les sites « d’extrême droite » et des moyens supplémentaire pour lutter contre la haine !

Et comme il aurait fallu une juive de service au gouvernement, on l’aurait collée à l’égalité femmes-hommes, puis à l’Education nationale, bien que faisant trois fautes d’orthographe par ligne. Ensuite, vue sa nullité professionnelle, on l’aurait bombardée dans l’associatif, avant de la planquer à la Cour des Comptes, bien qu’elle ne sache pas davantage compter qu’écrire ! Et elle aurait traité d’antisémite tous ceux que cela indignait.

Mais Sarah Knafo est juive, amoureuse de la France, elle défend le droit d’Israël à exister, et à se défendre contre les islamistes, elle veut en finir avec l’Etat tentaculaire qui ruine les Français à cause de ses dépenses nuisibles et inutiles, elle veut construire 100.000 places de prison, parce qu’elle en a marre que des racailles multirécidivistes soient en liberté, et égorgent les nôtres. Et elle veut procéder à la remigration massive de ceux qui n’ont rien à faire en France, et que notre pays retrouve sa grandeur.

Et en plus, c’est une bête de travail, le fruit de la méritocratie républicaine, et elle ne doit sa réussite qu’à elle-même, et pas aux magouilles.

Bref, dans le langage de la parasite incompétente Najat Belkacem, c’est une raciste haineuse élitiste sioniste génocidaire d’extrême droite, et même une nazie bien que juive…

CYRANO, Riposte Laïque

. Crédit social : ma banque veut tout savoir sur moi


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#webtube : Je vous narre trois histoires personnelles qui me sont arrivés ces dernières heures et qui démontrent deux choses : on est chez les fous, et on est de plus en plus fliqués, notamment par les banques. De là à penser que nous allons vers un crédit social à la Française…

. La chanson du jour, The Days Of Pearly Spencer – Marc Almond


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#webtube : Une très belle reprise de ce morceau créé et chanté à l’Origine par David McWilliams. Une chanson qui a également représenté toute une génération. Quel morceau !

#webtube : A beautiful cover of this song, originally created and sung by David McWilliams. A song that also represented an entire generation. What a song!

La version originale de Mc Williams en 1967 ci-dessous :

. La guerre peut-elle encore sauver le dollar ?


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#webtube : La réunion annuelle des BRICS+ s’est tenue à Rio de Janeiro et a permis de constater qu’il y avait bien deux visions du monde qui ne pourraient plus cohabiter bien longtemps. Entre un monde monopolaire voulu par les occidentaux et la grande finance internationale qui compte toujours imposer sa domination grâce au dollar qu’elle peut émettre sans contre-partie et la perspective d’un monde multipolaire qui respecterait les souverainetés nationales, de plus en plus de pays ont choisi leur camp.

Les BRICS+ font de plus en plus d’adeptes

Leur première caractéristique économique est de favoriser les échanges commerciaux « trans-frontaliers ». Comme ce commerce se fera essentiellement  dans les monnaies des pays signataires et non plus en dollars, il y a là une grande source d’inquiétude pour ceux qui ont réussi à imposer ce dernier à la fois comme monnaie internationale mais surtout comme « monnaie de réserve ». Afin de se garantir contre les risques de change qui peuvent provenir des fluctuations du dollar par rapport à leur propre monnaie, la plupart des pays ont acheté des bons du Trésor américain qui étaient eux-mêmes libellés en dollars. Ainsi, la dette américaine était rachetée par le monde entier, évitant au peuple américain les charges et les inconvénients d’un endettement excessif.

Les premiers à en avoir pris conscience sont probablement les Chinois il y a une vingtaine d’années.

La cupidité des banquiers internationaux ayant fait de la Chine l’atelier du monde, son essor économique rapide lui a, par le biais des ses exportations payées en dollars, procuré une quantité impressionnante de « billets verts », faisant d’elle le premier créancier des États-Unis. Conscients de ce qui pouvait devenir une faiblesse (le contrôle du dollar leur échappant), les Chinois ont recherché des alliances avec d’autres pays, eux-mêmes exportateurs qui voulaient -à terme- s’affranchir du dollar. Au nombre de quatre à la création en 2009, ce groupe représente aujourd’hui plus de la moitié de la population mondiale et son PIB rapporté au pouvoir d’achat est largement supérieur à celui du G7.

D’autant plus que ses perspectives de développement sont énormes et qu’à terme on voit arriver une division du monde futur entre l’Occident et le reste du monde.

Une menace grandissante sur le dollar

Aujourd’hui encore, le dollar veut encore faire bonne figure. Pourtant, de moins en moins de gens lui font confiance et cette monnaie « fiduciaire » au départ se maintient uniquement sur la peur qu’inspire le gros bâton qu’ est la puissance militaire américaine.

Un récent article publié sur le « Réseau International » fait état de cette tension qui devient de plus en plus palpable :

« L’intransigeance de la diplomatie américaine, qui joue la surdité face aux revendications légitimes de la majorité mondiale, révèle que Washington se trouve aujourd’hui dans l’impasse. Il va de soi que la Chine aussi bien que le bloc des BRICS n’accepteront pas d’avaliser la primauté des intérêts de Washington sur leur droit à la souveraineté, au développement et à la sécurité. Dans ces conditions, la seule issue pour l’Empire américain est la destruction – du droit, de la diplomatie, des forces militaires adverses ».

Dans ce contexte, le rapport des forces entre l’Occident du dollar et le reste du monde qui n’en veut plus ne cesse d’évoluer au détriment du dollar qui risque de voir son rôle ramené à celui de la monnaie domestique américaine et de perdre ce que de Gaulle appelait « son privilège exorbitant » qu’il résumait en « ce dollar, qu’il ne tient qu’à eux d’émettre ! » 

Dès le mardi 08 juillet, Donald Trump menaçait également les BRICS et tous les pays qui seraient tentés de commercer avec eux dans ces termes :

 «Ils doivent payer 10% s’ils font partie des BRICS parce que les BRICS ont été mis en place pour nous nuire», a soutenu Trump lors d’une réunion du cabinet à la Maison-Blanche.

Affirmant que «quiconque fait partie des BRICS se verra imposer une taxe de 10%», Trump a déclaré qu’ils «devront payer des droits de douane de 10% rien que pour cela, et qu’ils ne seront pas seulement membres».

Une réunion cruciale qui va acter l’existence d’un monde multipolaire

La réponse du gouvernent russe ne s’est guère fait attendre. Dans une vidéo publiée également sur You Tube, la porte-parole a répondu du tac au tac à Donald Trump. Incontestablement, l’histoire est en marche. La réalité d’un monde multipolaire apparaît chaque jour un peu plus. Jusqu’à présent, les tenants du monde monopolaire, essentiellement occidentaux et vassalisés par l’État profond américain (devenu supra-national depuis Trump) ont traité les BRICS par le mépris et comme quantité négligeable. Cependant, certains avaient largement anticipé ce qui allait devenir une menace sur le dollar.

Ce fut le cas de Mark Carney (aujourd’hui Premier ministre canadien) mais Gouverneur de la Banque d’Angleterre en 2019. Dans son discours d’août 2019 à Jackson Hole, il disait qu’il fallait « hâter la fin du dollar » pour le remplacer par une monnaie électronique contrôlée par les banques centrales. Visiblement, il avait pris conscience du danger qu’allait représenter pour le dollar l’essor économique des pays « émergents ». Ce discours n’a eu comme effet, (mais peut-être était-ce celui recherché ?) que d’augmenter d’une manière quasi exponentielle les dettes publiques des pays qui ont joué le confinement et les vaccins liés au COVID 19.
Le recul du dollar dans les échanges internationaux a connu une brusque accélération en 2022 avec la guerre entre la Russie et l’Ukraine et notamment les sanctions infligées à la Russie et sa mise à l’écart du système « SWIFT », poussant cette dernière à commercer avec d’autres monnaies.
La réunion de Rio des BRICS fera date. Elle définit le cadre du conflit monétaire qui oppose d’ores et déjà les BRICS qui s’étendent progressivement à tout ce qu’il est convenu d’appeler « le Grand Sud » à ceux qui, à aucun prix, ne veulent perdre le contrôle du dollar.
Il faut dire que, pour ceux qui l’impriment, c’est un inépuisable pactole. Pensez-donc : ils impriment des billets à partir de rien, ce qui ne leur coûte que le prix du papier et de l’encre, alors qu’en contre-partie, ils encaissent des intérêts. Et ces intérêts n’ont pas du tout la même origine, Si nous pouvions les imprimer, nous aussi, comme l’a fait (entre autres) la Banque de France jusqu’en 1973, cela serait un moindre mal mais ce n’est pas le cas et nous devons travailler et nous serrer la ceinture pour les payer.

Cette année, les contribuables français vont payer 90 milliards de dollars au titre de ces intérêts produits par de l’argent venant de nulle part, au prix d’une simple règle comptable dont nous pourrions nous affranchir en reprenant le contrôle de notre monnaie.

Cela, les contribuables des BRICS et des pays qui vont les rejoindre l’ont compris.

Jean Goychman  

Breizh-info.com

. Nantes. Quartier Bellevue : les habitants du square des Rochelets à bout face à la cohabitation forcée avec des familles roms


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#webtube : À Nantes, dans le quartier « sensible » de Bellevue, la tension atteint un point de rupture au square des Rochelets, une copropriété privée de 360 logements. Depuis quatre ans, une partie des résidents vit un véritable calvaire en raison de troubles liés à l’installation de plusieurs familles roms dans les immeubles. Face à une situation qui ne cesse de s’envenimer, les habitants appellent désormais à une intervention urgente du préfet pour faire exécuter les expulsions prononcées.

Quatre ans de nuisances et d’inaction

Bruyantes soirées estivales, dégradations volontaires, jets d’ordures dans les parties communes, intrusions, incivilités quotidiennes : la liste des problèmes est longue. Certaines scènes rapportées frôlent l’absurde : excréments humains dans les ascenseurs, ascenseur saboté en y sautant à répétition, nudité impudique dans les espaces communs… Des actes qui, selon les habitants, sont devenus quotidiens.

« On ne vit plus, on survit. Il faut contourner les halls, éviter les groupes, chercher ses enfants à l’arrêt de tram. Et surtout ne rien dire, par peur des représailles », témoigne une mère de famille excédée.

Un gardiennage privé, en place de 17 h à minuit, a été engagé par la copropriété pour tenter de contenir les débordements. Coût : 12 000 euros pour deux semaines, pris sur les charges des résidents. Mais la mesure, jugée provisoire, ne résout rien en profondeur.

Des expulsions ordonnées… mais non exécutées

Des procédures judiciaires ont pourtant été menées. Trois familles font l’objet de décisions d’expulsion. Mais malgré les jugements, elles occupent toujours les lieux. Une seule demande de concours de la force publique a été officiellement transmise à la préfecture. Celle-ci indique qu’une enquête sociale et un examen du risque de trouble à l’ordre public sont en cours, comme le prévoit la loi.

« On a fait tout ce qu’il fallait : médiations, réunions, procédures. Mais tant que l’État ne prend pas ses responsabilités, on reste bloqués », souffle un propriétaire lassé, qui regrette d’avoir loué à des familles qu’il pensait pouvoir aider. Résultat : 20 000 euros de loyers impayés, frais de justice à répétition, et des relations de voisinage devenues explosives.

À l’origine, certains bailleurs avaient choisi d’accueillir ces familles roms, estimant qu’il fallait leur offrir une chance d’intégration. Mais pour plusieurs d’entre eux, l’expérience a tourné à la désillusion.

Du côté des habitants, l’exaspération est telle que certains évoquent, sur un ton inquiet, la peur de représailles, voire des rumeurs de tensions prêtes à exploser. Des altercations ont déjà eu lieu. La colère gronde, et certains n’excluent plus de déménager, même à perte, pour fuir un quotidien devenu insupportable.

Le square des Rochelets n’est pas un simple ensemble immobilier : il s’agit d’une copropriété en grande difficulté sociale et financière, bénéficiant d’un plan de sauvegarde de 3,5 millions d’euros sur cinq ans. À cela s’ajoutent 18,5 millions d’euros promis par l’Anah (Agence nationale pour l’amélioration de l’habitat), et une enveloppe globale de 350 millions pour le quartier Bellevue dans le cadre de la rénovation urbaine.

Mais pour les habitants, ces chiffres peinent à masquer l’essentiel : un sentiment d’abandon croissant et une impuissance face à un système incapable de garantir le respect des règles les plus élémentaires de vie en communauté.

Aujourd’hui, tous les regards se tournent vers la préfecture de Loire-Atlantique, seule habilitée à faire exécuter les expulsions. Pour les habitants, il y a urgence. Car dans ce quartier où le vivre-ensemble est devenu un slogan creux, le silence des autorités est perçu comme une forme de complicité.

Breizh-info.com

. Se baigner dans la Seine en compagnie de la bactérie E. coli ? C’est possible!


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#webtube : Les taux sont alarmants, mais tant que « l’eau est bonne », n’est-ce pas… Nicolas a payé, mais il ira se baigner à ses risques et périls. Malgré 1,4 milliard dépensé pour assainir la Seine, le fleuve reste dangereux pour la santé. Après quatre jours de fermeture de la baignade dans les eaux du fleuve parisien (du 6 au 9 juillet), l’agence régionale de santé le confirme : la Seine est polluée. Alors, un conseil : ne vous y trempez pas ! C’est Enzo Morel qui le révèle dans un post : « La baignade dans la Seine a été fermée du 6 au 9 juillet inclus, et a été à nouveau autorisée le 10. Pourtant, les prélèvements réalisés en amont du site de Grenelle, le 10 juillet à 15h09, donc en pleine activité, montrent un taux d’Escherichia coli supérieur au maximum toléré. L’ARS déclare, cinq jours plus tard, que l’eau était à cette date de qualité insuffisante pour la baignade. »

Les prélèvements ont été effectués à la baignade aménagée du bras de Grenelle, en face de l’île aux cygnes et de la tour Eiffel. Un lieu hautement touristique et destiné aux familles, nous dit fièrement la mairie de Paris. Des familles qui aiment le risque, si l’on en croit les résultats des analyses.

Pour une bonne qualité de l’eau, le taux de la bactérie Escherichia coli, en Nb/ml, doit être ≤100 et, pour être qualifiée de « suffisante », ≤900. Or, ce taux était de 1544 Nb/ml, durant ces journées. Mais curieusement, relève Enzo Morel sur son post (documents à l’appui), au point de prélèvement en aval, la qualité de l’eau était jugée propice à la baignade ! Un miracle qui n’est pas sans rappeler le contournement de nos frontières par les radiations de Tchernobyl…

Un précédent : les « fake news » des Jeux olympiques 2024

Souvenez vous. Dans la folie olympique qui nous a tenus en haleine l’été dernier, il y avait l’hypothétique déroulement des compétitions de natation dans la Seine. Il fallait rassurer le CIO et les athlètes, alors on a eu droit à la trempette de quelques politiques. On se rappelle ainsi Amélie Oudéa-Castera, ,alors ministre des Sports, descendant prudemment l’échelle en combinaison de plongée et bonnet de bain vissé sur la tête. On suppose qu’elle s’était fait piquer les fesses avant, histoire d’éviter une tourista ravageuse.

À ce sujet — [SATIRE À VUE ] Amélie Oudéa-Castéra fait trempette dans la Seine

En effet, malgré ses propos rassurants – « Hyper émouvant. On l’a fait. Elle est douce, elle est bonne », lançait alors le ministre au teint verdâtre –, ses bons amis de Mediapart publiaient, un mois plus tard, le 17 août, une enquête reprenant les données de l’ARS d’où il ressortait que, ce jour-là, « la Seine était complètement souillée ».

On se souvient aussi de la polémique autour du forfait de l’équipe belge de triathlon, les médias ayant révélé que la nageuse Claire Michel, triathlète belge, avait été hospitalisée quelques jours après sa course, entraînant son équipe à quitter la compétition. La presse de gauche montait aussitôt au créneau, dénonçant une cabale : « Non, une triathlète belge n’est pas hospitalisée depuis quatre jours après une épreuve dans la Seine », titrait alors Libération. La réalité était tout autre, assurait le quotidien, car « si l’athlète a bien consulté un médecin, elle n’a pas été hospitalisée ». Toutefois, confirmait le Comité olympique belge, « elle a été emmenée à la polyclinique du village olympique plus tôt dans la journée [de dimanche] pour y être soignée », mais elle est, « entre-temps, de retour dans sa chambre au village olympique ». La polyclinique n’est pas l’hôpital, donc c’est une « fake news ». Ledit comité de confirmer, néanmoins, le forfait de l’équipe belge pour la suite des compétitions. Ceci n’ayant, bien sûr, aucun rapport avec cela…

Escherichia coli et leptospirose

Le lecteur me pardonnera cette expression triviale, mais Escherichia coli, c’est Escherichia caca, autrement dit la bactérie des déjections. Tapie dans le tube digestif des humains et autres animaux à sang chaud, elle peut être mortelle, comme l’a révélé l’actualité récente : 23 cas d’intoxication alimentaire liée à la bactérie E. coli étaient recensés dans l’Aisne ; une enfant de douze ans en est décédée. La viande contaminée provenait de trois boucheries halal qui ont été fermées. De même, on a appris, le 15 juillet, que les magasins Fresh et Mon Marché rappellent leurs stocks de viande hachée dans toute la France.

Mais Paris sera toujours Paris et, les élections municipales approchant, il convient de divertir le bobo à la hauteur de ses attentes. Quitte à embouteiller les urgences hospitalières. On nous alerte sur la chaleur, la nécessité de boire quand on a soif ou pas, de dormir la nuit et de regarder nos urines du matin, mais pas question d’alerter sur les dangers d’une baignade en eaux troubles. L’infectiologue Benjamin Davido les énumérait, l’été dernier, au micro d’Europe 1 : « Dans l’eau de la Seine, les poissons cohabitent avec plusieurs bactéries et parasites et pour nous, boire la tasse n’est pas sans conséquences, avec un risque d’avoir une gastro-entérite, de violents vomissements à cause de la bactérie Escherichia coli. Autre problème, dans la Seine : les déjections de rats dans les égouts », qui peuvent transmettre une saloperie encore pire : la leptospirose.

Alors, à vous de voir…

Marie Delarue, dans BV