. Édouard Philippe appelle à ne pas voter pour lui


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°° WEBTUBE : Dans une longue interview accordée au Point, le candidat Édouard Philippe promet un programme parsemé de promesses qu’il ne révélera qu’a la veille des municipales 2026.  A l’Ouest, enfin du nouveau. Édouard Philippe se découvre rebelle. Ce n’est pas le moment d’aller flâner du côté de la mairie du Havre. « Je suis en colère » écrit l’ancien Premier ministre en introduction de son livre Le prix de nos mensonges à sortir le 4 juin prochain. Les passants s’éloignent de ces portes qui claquent et des volets qui battent. A l’intérieur, un esprit bouillant se prépare à dévoiler son « plan massif ». Depuis la fin de l’été dernier qu’il l’annonce, il va lui falloir en révéler le contenu. Il ne va pas tarder à tarder d’en décrire les contours. Flous pour l’instant, mais… Juste avant les municipales. Paf ! Le bruit du programme s’abattant sur le fer de l’enclume réveillera les Français. Le gaillard promet du lourd : « L’école, le modèle social et son financement, la réforme de l’État, la justice ». Et tout et tout. Au magazine Le Point, le futur candidat ne dit rien de ce qu’il mijote. La carotte est encore au réfrigérateur. Il n’en dévoilera la beauté qu’en temps utiles.

En guise de mise en bouche, Édouard Philippe adopte la posture du « Ça-ne-peux-plus-durer ». Grosse colère et Gilet jaune. Il lui en reste un qui fut confisqué à un manifestant. Même taille, même couleur fluo. Ses conseillers tentent de le dissuader de poser sur les affiches dans cette tenue. Maquillage façon éborgné non plus. C’est trop !

Banalité massive

Au travers les passages de son ouvrage cités par Le Figaro, le repenti semble faire sien le délabrement de la France. « Affaissement » « effondrement ». « situation difficile ». Ils seraient le résultat de ce qu’il a refusé de voir : « Nous nous mentons à nous-mêmes. Et donc nous ne réglons pas nos problèmes » explique l’auteur. Contre ce fameux « nous », le candidat part en guerre. Dans cette nébuleuse, il est celui qui se lève pour dire non. La pièce de théâtre est signée d’un grand de la Macronie. La saison 2 de la série l’a toutefois laissé sur sa faim. Dans une interview accordée au Point, l’édile déplore que le président ne « se soit pas engagé sur un programme clair » lors de sa seconde campagne.

A défaut de révélation d’un plan, la banalité est massive : il y a « partout dans le pays, de l’énergie, des pépites, une capacité de rebond ». Le pétard mouillé qu’il réserve aux médias ne demande plus qu’à être allumé. Le compte à rebours a débuté. Le savant mélange de poudre aux yeux et de perlimpinpin sera divulgué quelques secondes avant le “pshitt” de l’explosion. En attendant, Édouard Philippe se roule dans la fange laissée par les présidents précédents et celui en place. Nous, nous nous…. Nous n’aurions pas dû. C’est notre très grande faute. Ci-devant, voici venir le premier candidat se gargarisant de faire partie d’une classe politique qui a failli à sa mission. Seule clarté de son discours : ne pas voter pour lui. Merci Édouard.

Jany Leroy, dans BV

. Némésis, VA : l’agressions qui pourrait signer la fin des groupuscules de gauche

°° WEBTUBE : Ce mardi 27 mai au soir, l’extrême-gauche a encore frappé. Littéralement. Les collectifs des Jeunes du Parc de Belleville, Urgence Palestine et la Jeune Garde n’ont pas manqué à l’appel pour s’en prendre physiquement aux jeunes militantes féministes de Némésis et aux journalistes de VA+ qui couvraient leur action. Une attitude qui semble devenir habitude du côté des « antifascistes » qui avaient déjà agressé violemment les jeunes femmes en avril dernier.

Contre « l’extrême-droite », l’extrême agressivité

Des cris, des insultes, des menaces. C’est ce qu’on entend sur les vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux. Les images en disent encore davantage. On y voit une mêlée poussant par la force les membres de Némésis et deux journalistes du média Valeurs Actuelles. Ces derniers couvraient l’action des militantes féministes, venues dénoncer un rassemblement du Collectif des Jeunes de Belleville, qui manifestait contre le système d’OQTF. Face à ceux qui réclament qu’aucun clandestin ne puisse être renvoyé dans son pays, elles dénonçaient les « associations pro migrants qui occultent les violences faites aux femmes lorsqu’elles sont commises par des étrangers ».

Mais les choses ont immédiatement mal tourné sur le lieu de la manifestation où se trouvait par ailleurs l’actrice et militante féministe et anti-raciste, Adèle Haenel, selon des témoignages. « Notre action a eu une espérance de vie de 20 secondes », nous raconte Anaïs, porte-parole du collectif Némésis, présente sur place. « Ils se sont jetés sur nous », se rappelle-t-elle. À peine leur banderole dépliée, que les activistes identitaires se sont vues invectivées par une trentaine d’antifascistes. Après s’être fait traitées de nazies et de racistes, elle et ses compagnes, Anaïs se souvient avoir vu les assaillants « s’acharner sur les journalistes ». Les caméras visées en premier lieu, les agresseurs ne leur ont pas non plus épargné les coups. Etienne* témoigne auprès de BV avoir eu la main blessée par un coup qu’il a tenté d’esquiver. Ceux qu’il a reçus dans les jambes et dans le dos lui font encore mal. Résultat, du sang, et une probable entorse. Son collègue ne s’en sort pas mieux puisqu’un coup reçu à l’œil lui vaudra un cocard. Au total, 8 jours d’ITT requis par la police qui a reçu leur plainte. L’hôpital se chargera de les prescrire ou non.

Les mêmes techniques pour les mêmes voyous

Toujours les mêmes techniques chez ceux qui savent s’organiser pour agresser. « Ils ont cherché à nous diviser », assure Anaïs qui raconte avoir été « isolée » puis frappée « au niveau de la jambe droite et du dos ». Pendant l’agression qui a duré plusieurs minutes, elle témoigne s’être « retrouvée seule au milieu des militants » d’extrême gauche, tandis que les autres jeunes filles étaient menacées de se « faire casser la gueule » si elles tentaient de la rejoindre. Les journalistes ont, pour leur part, été poursuivis sur plusieurs centaines de mètres, selon Etienne, et comme en témoignent les vidéos.

Le plus terrifiant, selon Anaïs, ce ne sont pas les insultes qu’elle a l’habitude d’entendre venant de ces gens-là, mais c’est « la haine viscérale que l’on voit dans le regard de ces personnes ». « On ne les connait pas et ils ont envie de nous faire du mal ». Des plaintes ont été déposées, et un individu pris en flagrant délit en train de donner des coups a été interpellé par la police et placé en garde à vue. Peut-on enfin espérer une dissolution franche et assumée de ces groupuscules qui terrorisent et croient pouvoir jouer les victimes ?

*Le prénom a été modifié

Alienor de Pompignan, dans BV

. Macron/Bayrou : demander des efforts patriotiques et… démolir la patrie


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°° WEBTUBE : Le Premier ministre proposera début juillet “un effort à tous les Français” pour “équilibrer les finances publiques”. En demandant des efforts aux Français, François Bayrou met le doigt sur une contradiction lourde. Mardi matin sur BFMTV et RMC, le Premier ministre a évoqué un « plan de retour à l’équilibre des finances publiques qui va demander un effort à tous les Français », sur trois ou quatre ans. Il détaillera ledit effort « au début du mois de juillet ». Les Français ont compris, ils vont casquer.

Bayrou a évidemment raison sur le diagnostic. Après dix ans de présidence d’Emmanuel Macron, allié depuis l’origine avec le MoDem d’un certain François Bayrou, le royaume du “Mozart de la finance” est dans une situation financière catastrophique. La note de la France décernée par les grandes agences internationales a été dégradée. La Cour des comptes évoque le risque d’une « crise de liquidité » de la Sécurité sociale en 2027, ce qui empêcherait de payer les prestations des assurés. Et fait état d’ un dérapage de dépenses « hors de contrôle ». L’Europe gronde. Le FMI s’impatiente. Les perspectives de faillite générale ne relèvent plus, pour de nombreux spécialistes, de conjectures lointaines, mais de probabilités à court ou moyen terme.

« Prise de conscience »

Les présidents mondialistes, de Giscard (premier président de la République à présenter des budgets dans le rouge) à Macron, tous portés au pouvoir par les bourgeoisies d’argent et les esprits “éclairés”, ont accroché à la France une dette effarante. Après Fillon et quelques autres, Bayrou, peut-être parce qu’il a participé à ce désastre, en parle en connaisseur : « Depuis des décennies, on a laissé s’accumuler les déficits, on a laissé s’accumuler une montagne de dette », explique le Premier ministre. « Le pays est en situation de surendettement et, plus grave, la France est un pays qui produit moins que ses voisins, ajoute-t-il. Tous les mois, on dépense 10 % de plus que ce qu’il rentre dans les caisses. C’est une situation insupportable qui ne peut pas durer ». À qui la faute ?

Il faut donc trouver 40 milliards d’économies sur le prochain budget. Via une TVA sociale ? Ce n’est pas tranché. Bayrou se tourne en tous cas vers… nous ! « Je cherche la prise de conscience des Français », dit-il.

À ce sujet — Autre mauvaise nouvelle de la semaine : l’avertissement du FMI à la France

Mais les Français demandent – ils finiront par exiger – que l’État fournisse lui-même avant tout les efforts nécessaires. La France est le pays le plus taxé de l’OCDE. La gabegie est générale et régulièrement décrite par la Cour des comptes ou l’Ifrap d’Agnès Verdier-Molinié. Sortons de l’Élysée pour aller dans une PME. Le gérant qui a mené l’entreprise à la ruine peut-il demander sans vergogne un nouvel effort aux propriétaires déjà durement rançonnés ? L’hôtel le plus cher du monde peut-il demander aux clients d’essuyer ses fins de mois ?

L’amour de la patrie

La réalité est cruelle, mais logique. Nos dirigeants aussi mondialistes que des télévangélistes américains se sont consciencieusement privés du dernier argument pour demander aux Français un effort, un vrai : cette corde patriote, ce dévouement au pays, à la terre de ses ancêtres qui avait fait des miracles. Lors des deux dernières guerres mondiales, des hommes ont accepté sur cet argument simple de sacrifier leur vie. Lors des guerres coloniales, les militaires ont fait de même parce que c’est leur métier et parce qu’ils aimaient la France. Durant la guerre encore, la Russie de Staline avait exalté la fibre patriotique qu’elle combattait jusque là pour vaincre l’Allemagne. Bayrou et Macron n’ont rien exalté du tout.

De quel argument Bayrou et Macron disposent-ils donc pour exiger des efforts ? Le macronisme a accéléré la démolition de l’idée de nation, il a effacé les frontières, refusé l’idée même d’un peuple autochtone, nié jusqu’à la culture nationale – « Il n’y a pas de culture française » -, promu sans relâche l’Europe supranationale, encouragé une immigration record qui dilue et efface la qualité de Français, fait des gestes et prononcé à l’étranger des mots honteux pour la France… La liste est longue. L’État mondialiste en faillite ne peut refuser à un peuple l’amour de sa patrie et exiger de lui le lendemain des efforts, au nom de cette patrie et de ce peuple.

Soit être Français est une fierté qui vaut tous les sacrifices – ce n’est pas ce qu’on a entendu sous Macron -, soit ce peuple n’existe pas et le mot recouvre une honte, une vieillerie, une affection réactionnaire passéiste, voire fasciste. Il faut un certain culot à ceux qui vomissent la France et ses racines pour exiger d’un peuple maltraité qu’il vienne au secours de ses liquidateurs.

Marc Baudriller, dans BV

. La maire écolo de Strasbourg promeut la paix avec une carte de la Palestine sans Israël !


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°° WEBTUBE : L’édile de Strasbourg veut une paix juste et durable mais s’affiche avec la délégation palestinienne devant une carte de la Palestine sans Israël ! Voilà un jumelage Strasbourg-Aïda qui démarre en fanfare. Curieuse conception d’un retour à la paix de la part de l’élue d’Europe Ecologie les Verts qui dirige la municipalité de Strasbourg. Une fois de plus c’est une municipalité écolo qui choque et provoque un tollé. Cette fois, c’est le positionnement de la maire sur le conflit palestinien qui fait débat.

https://www.lejdd.fr/politique/surfer-sur-la-vague-du-hamas-flatter-lextreme-gauche-la-maire-ecologiste-de-strasbourg-annonce-un-jumelage-avec-camp-palestinien-et-souleve-un-tolle-158484

La ville de Strasbourg est jumelée de longue date à une commune israélienne proche de Tel-Aviv, Ramat Gan. Mais la maire vient de décider de geler ce jumelage pour lier un partenariat avec le camp de réfugiés palestiniens d’Aïda en Cisjordanie. C’est son droit.

Mais rien ne l’oblige à rompre avec la commune de Ramat Gan. Ce divorce facultatif qu’elle vient de décider ne peut donc  qu’exaspérer la communauté juive et l’opposition.

Par ailleurs, ayant invité les représentants du camp palestinien, ceux-ci lui ont offert un présent éminemment symbolique : une carte de la Palestine mandataire sans la moindre représentation d’Israël et barrée d’Est en Ouest du drapeau palestinien.

Chacun a le droit de se positionner pour Israël ou pour les Palestiniens, mais on ne prétend pas se poser en défenseur d’une paix juste et durable en présentant une carte de la Palestine s’étendant du Jourdain à la merC’est cautionner la charte du Hamas, classée organisation terroriste par tous les pays occidentaux et qui veut rayer Israël de la carte.

L’édile écologiste présente son choix comme « un acte fort de soutien adressé au peuple palestinien », ajoutant que ce jumelage « sera l’occasion pour la ville de Strasbourg de réitérer son attachement profond à une paix juste et durable, qui passe nécessairement par le cessez-le-feu immédiat et la fin du siège de Gaza, ainsi que la libération des otages et prisonniers détenus de façon arbitraire par l’ensemble des parties »

Elle aggrave donc son cas en mettant sur le même plan les terroristes prisonniers des Israéliens et les otages enlevés et séquestrés par le Hamas depuis son agression barbare du 7 octobre 2023 contre des civils israéliens, y compris des enfants.

À quoi joue donc la maire de Strasbourg, alors que la libération des derniers otages, dont une vingtaine seraient encore vivants, est espérée par les familles  ? Est-ce le moment d’attiser les braises sous couvert de promouvoir la paix ?

La carte offerte par la délégation palestinienne à la maire de Strasbourg est bien un projet politique conforme au souhait des islamistes : une Palestine sans Juifs, exactement comme le voulaient les Arabes en 1948, quand ils refusaient le partage de la Palestine en deux États et déclenchaient leur première guerre contre le tout jeune État hébreu.

L’ancien directeur de Frontex, Fabrice Leggeri, résume parfaitement  la sinistre réalité : « Ce que montre cette carte, ce n’est pas la paix, c’est la guerre, l’appel à la destruction d’un État »

Jacques Guillemain, Riposte Laïque