°° WEBTUBE : Voici 3 minutes 35 de bonheur total. Tranquilité, sérénité et simplicité. Tout dans ce morceau invite au “lâcher prise”. Alors ne vous retenez pas, partez sur votre petit nuage et sentez votre corps s’alléger et sélever dans les airs…. Mais si je vous l’assure vous volez. Bon voyage.
°° WEBTUBE : Here are 3 minutes 35 of total happiness. Tranquility, serenity and simplicity. Everything in this piece invites you to “let go”. So don’t hold back, go on your little cloud and feel your body lighten and rise in the air…. But if I assure you, you are flying. Have a good trip.
°° WEBTUBE : Mineurs isolés : certains tests osseux concluent à un âge médian de 29 ans ! Les mineurs isolés, voilà encore un dossier épineux que Macron refuse de prendre en mains. Après sept années de pouvoir à faire illusion sans jamais traiter le problème de l’immigration qui est en train de détruire la cohésion nationale et de ruiner le pays, les coutures de l’ASE, l’aide sociale à l’enfance, craquent de tous côtés. Totalement submergés, certains départements jettent l’éponge et en appellent à l’État en suspendant l’accueil des mineurs, faute d’éducateurs et d’hébergements suffisants.
Avec 600 millions de mineurs africains qui rêvent de l’Europe, la France, paradis du tout gratuit qui n’expulse personne, a du souci à se faire. D’ici 2050, la population de l’Afrique va doubler, atteignant 2,5 milliards d’habitants sans que le PIB suive cette folle croissance démographique.
C’est là une menace autrement plus grave que le réchauffement climatique mais que les Européens ont décidé d’ignorer au nom du mondialisme et de la diversité heureuse.
Le vrai problème est que le statut extrêmement protecteur du mineur isolé étranger a encouragé les trafiquants à en faire une filière d’immigration clandestine très convoitée.
En effet, tout mineur isolé :
– est inexpulsable
– bénéficie d’une prise en charge totale par le département
– obtient un titre de séjour automatique dès sa majorité
– bénéficie ensuite du regroupement familial.
Avec une telle protection, on comprend que les migrants adultes jouent à fond la carte du mineur isolé, allant jusqu’à contester les résultats des tests osseux les déclarant majeurs.
Test osseux
En théorie, il y aurait parmi les arrivants 55 % d’adultes. Mais selon les services de l’enfance de l’Ain, certains tests ont conclu à un âge médian de 29 ans !!
On veut bien admettre que la marge d’erreur de ces tests est de 2 ans, mais dans le cas cité, la marge est pulvérisée. Il en sera ainsi aussi longtemps que ces tests ne seront pas rendus systématiques. En effet, ils doivent être effectués sur décision de justice et avec l’accord de l’intéressé. Le débat continue, la gauche veut les interdire, la droite veut les généraliser.
Nombre de mineurs non accompagnés (MNA)
Près de 20 000 mineurs isolés supplémentaires ont été pris en compte en 2023. En 2022 la France en a accueilli 15 000. Combien de MNA sont actuellement pris en compte par l’ASE ? On peut penser qu’ils sont entre 40 000 et 50 000 à la charge des départements.
“Après la vague d’arrivée à Lampedusa, les autorités françaises se préparent à l’arrivée de nouveaux migrants à la frontière avec l’Italie. Et si les clandestins interpellés sont remis à l’Italie, les mineurs, eux, sont pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance. L’Assemblée des départements de France évoque un coût annuel de 50 000 euros en moyenne par an et par mineur.”
Avec un budget annuel de 10 milliards, lequel a doublé en 20 ans, l’ASE doit faire face à une dépense de 2 milliards au minimum pour l’accueil des MNA. On comprend que les départements refusent de charger la barque encore davantage.
Délinquance des MNA, une impunité qui aggrave le phénomène
« Nombre d’entre eux sont en réalité des majeurs ; ils peuvent être hyper-violents ; beaucoup rackettent, squattent les gares et, de plus en plus, les abords des établissements scolaires ; certains agissant sous l’emprise de stupéfiants ou de médicaments et ceux-là n’ont rien à perdre, ayant généralement grandi dans des pays où la violence est banale. »
Paris, devenue le bidonville de l’Europe devient aussi un coupe-gorge.
Tout s’aggrave et Macron reste les bras ballants. Alors que la France est déjà le pays le plus dangereux d’Europe, sa seule priorité est de combattre la Russie. Avec Macron, c’est l’Ukraine d’abord. La détresse des agriculteurs et la sécurité des Français n’ont jamais été sa priorité.
°° WEBTUBE : « Ne serait-il pas convenable qu’on entende sonner le glas de toutes les églises de France quand le Congrès réuni à Versailles lundi 4 mars votera l’inscription de la loi sur l’avortement ? » suggérait, il y a quelques jours, un prêtre sur les réseaux sociaux. Une protestation sonore symbolique assez logique si, à l’instar du pape le 7 février dernier, à quelques jours de la constitutionnalisation de l’IVG au pays de la fille aînée de l’Église, la Conférence des évêques de France ose encore affirmer que « l’avortement est un meurtre ». Ce serait peut-être « convenable », comme dit cet ecclésiastique, mais ça n’arrivera pas.
Non, le glas ne sonnera pas. Il a déjà sonné.
Glas des oppositions fermes de l’Église : les protestations se borneront sans doute à l’expression d’une « tristesse » et aux quelques exhortations au jeûne et à la prière déjà formulées par certains évêques à leurs fidèles. Les persécutions insidieuses récurrentes – à travers ses écoles qui ont commis le crime, par contraste, de révéler l’effondrement de l’enseignement public -, les scandales de pédophilie qui l’ont fragilisée ont fait douter l’Église de sa légitimité à se poser en parangon de morale.
Glas du débat : il n’y en a eu aucun, dans les médias en particulier. Aucun autre son de cloche pour filer la métaphore. L’IVG est le dogme, le tabou suprême. CNews a dû aller à Canossa après l’émission En quête d’esprit. Aucune féministe pour porter et faire connaître les souffrances dont témoignent, quand on veut bien – rarement – leur tendre le micro, certaines femmes ayant avorté. Ces violences psychologiques et physiques n’ont pas droit de cité.
Glas du courage : il ne s’agissait pas de se déclarer conte l’avortement, simplement de s’opposer à sa constitutionnalisation. Pas un seul groupe politique d’opposition ne l’a osé, seules quelques voix isolées – très isolées – ont osé dire non possumus.
Glas de la cohérence : prétendre réarmer démographiquement un pays et sacraliser l’IVG.
Glas de la décence : organiser un congrès inutile en vue de prévenir une fausse menace pour un coût évalué peu ou prou à 300.000 euros, soit une somme, rapportée au minimum vieillesse, permettant de faire vivre 300 personnes âgées pendant un mois.
Glas de l’action politique : le sociétal est devenu le seul simulacre d’avancée d’un gouvernement impuissant pour tout le reste. IVG, mariage pour tous, PMA. Puis (en attendant l’euthanasie et la GPA ?) on reprend un ticket pour un second tour de manège : constitutionnalisation de l’IVG… bientôt du mariage pour tous, de la PMA, etc. ?
Glas de notre souveraineté, en particulier la plus essentielle, alimentaire : les agriculteurs qui vendredi ont rejoint Versailles pour revendiquer eux aussi, tant qu’on y est, puisque le Congrès est rassemblé, d’être inscrits pour être précieusement gardés, comme un bijou de famille, dans le coffre-fort de la Constitution, ont été éconduits. Et pourtant, ne sont-ils pas infiniment plus menacés que l’IVG ?
Glas de notre civilisation : beaucoup de Français ignorent qu’une IMG (interruption médicale de grossesse) peut être pratiquée jusqu’à la veille de l’accouchement. À neuf mois de grossesse ! Oui, ils l’ignorent. Car s’ils le savaient, comment pourraient-ils, tout en se prétendant civilisés, vouloir graver dans le marbre de la Constitution cette possibilité ?
°° WEBTUBE : Le mardi 27 février, le Président Macron a reçu en grande pompe l’émir du Qatar Tamin ben Al-Thani à l’Élysée, venu entériner une promesse de dix milliards d’euros d’investissements en France à l’horizon 2030. Tant pis si le Qatar est cité dans de nombreuses affaires de corruption avérées ou présumées (souvenons-nous des conditions d’attribution douteuses du Mondial de football au Qatar en 2022 et, plus encore, du scandale de corruption du « Qatargate » qui a éclaboussé le Parlement européen, le 9 décembre 2022). Confrontés à cet événement, nous sommes saisis d’étonnement face aux choix du Président Macron.
Une proximité qui devrait étonner
L’annonce par l’émir du Qatar de cette promesse de dix milliards d’euros d’investissements tombe apparemment à pic pour un Président embourbé dans une tourmente politique sans fin et cherchant à faire oublier sa séquence peu glorieuse au Salon de l’agriculture. Emmanuel Macron, il faut le reconnaître, excelle dans la prestidigitation : il a l’art de produire, par son agilité manifeste, des illusions pour détourner l’attention.
Mais cette fois-ci, il se méprend grandement. Comment peut-il espérer détourner notre attention de sa fin de règne chaotique en évoquant, à propos du Qatar pointé du doigt pour ses liens douteux avec les réseaux fréristes, un « pays ami de la France, un partenaire fidèle, stratégique, sur lequel elle sait pouvoir compter dans les situations difficiles » ? Rappelons, en effet, que le Qatar est régulièrement cité pour son soutien, direct ou indirect, aux organisations islamistes, comme dernièrement le Hamas qui, le 7 octobre 2023, en Israël, a massacré avec une barbarie inouïe de nombreux civils israéliens et occidentaux.
Le Qatar et les islamistes : toute une histoire !
La position du Qatar au sujet des islamistes est paradoxalement aussi discrète qu’évidente. L’émirat offre depuis sa création refuge à des islamistes recherchés par la Justice. Abdullah al-Maliki, ex-membre de la présidence du Conseil des ministres du Qatar, aujourd’hui en exil à cause de ses critiques de l’émirat, a estimé à une douzaine le nombre des membres du Hamas vivant avec leurs familles à Doha. Leurs « dépenses quotidiennes » seraient même « intégralement payées par le bureau officiel de l’émir ». Et Monsieur al-Maliki d’ajouter : « Un jour, j’ai vu de mes propres yeux Khaled Mechaal [un des dirigeants du Hamas] marcher sur la corniche, entouré de deux escortes qataries. »
Le Hamas dirige depuis des années ses opérations depuis Doha, sous l’œil (on oserait presque dire « bienveillant ») des autorités qataries, dont le pays est aujourd’hui parvenu à s’attribuer une place centrale au sein des négociations pour libérer les dizaines d’otages occidentaux qui restent encore aux mains des terroristes du Hamas à Gaza.
La déclaration d’intention de ce mardi, entre le Qatar et la France, en matière de coopération humanitaire, notamment à Gaza avec un engagement conjoint de 200 millions d’euros en faveur des Palestiniens, n’offre donc aucune garantie que ces fonds seront réservés aux populations et ne tomberont pas dans les mains de terroristes du Hamas.
Un « partenariat culturel » qui interroge
Dans le cadre de ses dix milliards d’euros d’investissements en France à l’horizon 2030, Doha prévoit d’investir dans pléthore de domaines, des domaines-clés. La transition énergétique, les semi-conducteurs, l’aérospatial, l’intelligence artificielle, le numérique, la santé et les industries de la culture seront ainsi concernés. l’émir a même déclaré que « ces investissements iront renforcer les partenariats stratégiques entre nos deux pays ». Renforcer les partenariats stratégiques ou bien se procurer un accès privilégié à des domaines stratégiques de notre pays ?
Mais le pire n’est peut-être pas encore là. La venue de l’émir à l’Élysée a aussi scellé un partenariat culturel entre le Qatar et notre pays. Alors qu’il a été démontré que le Qatar a financé des mosquées islamistes et des instituts culturels fréristes en France, l’annonce de ce nouveau « partenariat culturel » pose légitimement question.
Faut-il rappeler que le combat culturel pour rendre nos sociétés occidentales « charia-compatibles » est la priorité des Frères musulmans dont l’objectif est de remplacer nos codes et nos lois par ceux de la charia, la loi islamique ?
Ce partenariat culturel conclu avec l’un des pays les plus conservateurs du monde, où la liberté d’expression n’existe pas, où l’homosexualité est un délit et les femmes entièrement soumises à leurs maris, en dit long sur l’efficacité de la politique du carnet de chèques pour participer à la banalisation des préceptes islamistes en France.
°° WEBTUBE : Pourquoi reposer la question des examens ? Gabriel Attal, lors de son passage éclair à la tête de l’Éducation nationale, avait fait plusieurs annonces, parmi lesquelles on trouvait une reviviscence du brevet des collèges, qui aurait repris sa place d’examen de fin de cycle et, donc, de sésame pour le passage dans le cycle supérieur. Dans le cadre de son fameux (mais déjà moribond) « choc des savoirs », il avait en effet déclaré vouloir « donner une véritable exigence au brevet des collèges », estimant qu’il pâtissait d’un « affaiblissement du niveau d’exigence ». Très bien, très bien. Depuis son départ, on n’entend plus parler de tout cela, dont on n’avait d’ailleurs pas vu le début d’une transcription dans quelque note de service ni circulaire que ce soit, alors même que le ministère produit chaque année 3.000 pages de circulaires. Il ne semble pas que Mme Belloubet ait l’intention de donner corps aux déclarations péremptoires de son prédécesseur, malgré l’enthousiasme naïf qu’elles avaient suscité dans une grande partie de l’opinion.
On peut s’en désoler. On peut, aussi, se demander si le réel n’aurait pas de toute façon très rapidement tempéré cet enthousiasme. Si l’on se penche un peu – pas trop, car cela donne le vertige… – sur le cas du brevet, on se prend un coup de réel qui fait vaciller. Les chiffres de réussite, quoique mirobolants puisqu’ils avoisinent les 90 %, ne faisaient pas taire les interrogations des chefs d’établissement concernant le devenir des élèves de 3e échouant à l’examen. Et la réforme annoncée du mode de calcul des points faisait frémir. Pourquoi ? Il faut comprendre dans quelles conditions se passe cet examen. La note finale est obtenue à moitié par les épreuves écrites de français, maths, histoire-géographie et sciences, passées en juin de façon anonyme, auxquelles s’adjoint un vague oral sur sujet libre, et à moitié par le contrôle continu.
Le CNESCO (Conseil national d’évaluation du système scolaire) avait fait en 2018 une enquête sur les résultats aux épreuves écrites du brevet. En Île-de-France, leur terrain de jeu, le taux de réussite à ces épreuves écrites était seulement de 42,8 %, avec de grandes disparités entre les territoires. Les territoires dits « très favorisés » obtenaient 57,5 % de réussite, contre 24,3 % dans les territoires dits « défavorisés », le taux descendant à 16 % dans certaines zones des Yvelines. Le taux de réussite de 87,3 % était donc obtenu grâce au contrôle continu, les mêmes élèves se métamorphosant visiblement lorsqu’ils sont en classe et envoyant leurs jumeaux maléfiques, et illettrés, passer l’examen final à leur place. Il faut, en effet, que les résultats au contrôle continu, c’est-à-dire la moyenne annuelle des élèves, soient vraiment très bons pour compenser les résultats calamiteux obtenus lors de l’examen, dont les copies sont anonymisées…
Pour bien prendre la mesure de cela, il faut aussi regarder les sujets (et les consignes de correction, dont il est peu de dire que la bienveillance est le maître mot). Mes élèves étaient en brevet blanc, cette semaine, et j’ai surveillé l’épreuve d’histoire-géographie. Voici ce qu’on leur a demandé : sur une carte de France, sur laquelle étaient dessinés les grands fleuves, et grisées les zones montagneuses, ils devaient… situer cinq grandes villes, nommer deux fleuves et positionner trois pays frontaliers, à savoir l’Espagne, l’Allemagne et le Royaume-Uni. Voilà, voilà… On ne teste pas seulement leurs connaissances par des questions dont l’exigence terrible explique le faible taux de réussite… on les fait aussi réfléchir et argumenter ! Le sujet d’EMC était un dessin sur lequel un jeune garçon se présentait devant le bureau de son directeur en disant : « Au nom du Conseil de la vie lycéenne, j’ai l’honneur de vous remettre ces 5.000 signatures pour rebaptiser le lycée Maurice-Ravel en lycée Beyoncé. » La question du paragraphe rédigé : « Pourquoi peut-on dire que la situation illustrée par le document 1 est garantie par la Constitution ? » (On ne leur demandait évidemment pas de la connaître ; on leur donnait les deux articles à utiliser.)
°° WEBTUBE : Il est midi, les portes du parc Chanot s’ouvrent. Non loin du Vélodrome de Marseille, ce n’est pas un match de foot ou un concert qui se prépare, mais le meeting de lancement de la campagne du Rassemblement national pour les élections européennes. Donné largement en tête des sondages (entre 29 et 31 %), le premier parti d’opposition ne compte pas s’en tenir là. Sur les chaises, des drapeaux français sont déposés ainsi que des pancartes variées « Vivement le 9 juin ; Marine et Jordan ». En effet, si la tête de liste européenne et chef du parti Jordan Bardella est la tête d’affiche de ce meeting, Marine Le Pen y est tout autant attendue.
L’Europe : oui, mais la France d’abord !
Sur le podium, pas de drapeau européen. Le drapeau français trône, souverain. Une décision audacieuse pour un meeting de lancement de campagne pour l’élection européenne. Les opposants au RN ne manquent pas de soulever ce qui peut sembler une incohérence. Mais le fil rouge de ce meeting pour le RN, peut-être même de cette campagne, c’est la (re)construction d’une Europe au sein de laquelle les nations restent souveraines.
⚠️ Ceci n’est ni un trucage ni une fake news.
À leur meeting de lancement de campagne des #Europeennes2024 cet après-midi à #Marseille, Jordan Bardella et Marine Le Pen s’affichent avec fierté SANS drapeau européen.🇪🇺
Les prises de parole s’enchaînent. Franck Allisio, député du RN des Bouches-du-Rhône, ouvre le bal en accueillant sur ses terres les deux pontes de son parti. Vient ensuite le discours de Marine Le Pen, puis de Jordan Bardella. Au menu : le bilan du mandat d’Emmanuel Macron, les solutions portées par le RN, l’importance du vote patriote. En un mot : l’Europe, oui, mais la France d’abord ! Le nouveau slogan de la campagne le résume bien : « La France revient, l’Europe revit ! »
Les jeunes avant tout !
Dans l’assemblée, toutes les générations sont captivées. La jeunesse, surtout. Elle, pourtant si touchée par le triste phénomène de l’abstention, est présente au rendez-vous, largement représentée. « Les jeunes avec Bardella », c’est ce que l’on peut lire sur de nombreuses pancartes. Lorsque la Marseillaise est entonnée, ce sont les jeunes qui entourent Marine Le Pen et Jordan Bardella. Et lorsque les deux figures de proue du RN descendent de l’estrade pour un bain de foule intense, ce sont les jeunes qui se massent pour obtenir un selfie avec l’un ou l’autre, jusqu’à mettre en difficulté les services de sécurité.
🔴 [IMAGES BV] Les images au plus proche de @MLP_officiel et @J_Bardella à la fin de leur meeting devant un public électrique à Marseille.
Bardella sait comment faire : pour que ces jeunes s’identifient à lui, il rappelle, lors de son discours, qu’il y a cinq ans encore, il n’était qu’un simple militant. Il s’adresse à sa « chère Marine » en ces termes : « Il y a cinq ans, vous m’aviez adressé votre confiance. Depuis, je n’ai été habité que par une seule chose : me montrer digne de cette confiance et ne jamais vous décevoir. » Les cris de la foule électrisée s’élèvent. Les jeunes se sentent comme lui, ils ne voudront pas le décevoir … Le RN cherche à mobiliser et fidéliser ses électeurs, galvanisés par la perspective de la victoire. Le 9 juin, c’est le « jour 1 de l’alternance » et le RN compte bien séduire les jeunes générations pour parvenir au pouvoir en 2027. La campagne est lancée en fanfare. Il faudra tenir le rythme !