++ WEBTUBE : Jeudi 18 janvier, le président Emmanuel Macron s’est rendu à Clichy-sous-Bois pour afficher sa nouvelle prise politique en présentant Rachida Dati, nouveau ministre de la Culture issu des rangs des Républicains. Malgré les sourires capturés lors de la séance de photos avec les enfants, en coulisses, des murmures laissent entendre que le chef de l’Élysée ne serait pas au mieux de sa forme. En effet, la grogne des agriculteurs semble être la principale source d’inquiétude pour le président.
++ WEBTUBE : Il y a toute une série d’émissions sur France Télévisions qui suivent le même modèle. C’est « C à Vous », avec Patrick Cohen, « C ce soir », avec Karim Rissouli, ou « C dans l’Air » avec Axel de Tarlé. Ces émissions-là donnent le ton officiel du régime macroniste sur toutes les questions. Tout ce qui se situe en dehors des opinions qui y sont admises est invariablement « complotiste », hors du champ de la raison, d’ultra-droite, « populiste ». Ne pas penser comme ces gens-là vaut également excommunication sociale dans les cercles dirigeants. C dans l’Air, en particulier, est chargé de donner un vernis « d’expertiste » à des projets délirants sur la scène mondiale. Ce sont d’ailleurs toujours les mêmes invités.L’autre jour, un ancien officier, s’est épanché sur la Russie de Poutine qui « supplie pour un cessez-le-feu » parce qu’il a besoin de « 4 ans » pour « reconstruire son armée ». Il a aussi exigé que les Français aillent mourir en Ukraine pour l’Union Européenne. Au sens propre.
"L’Europe et la France redécouvrent qu’ils sont concernés par la guerre (…) Si la #Russie gagne en #Ukraine, Poutine a déjà annoncé qu’il s’attaquerait aux Pays Baltes, à la Pologne, à la Roumanie. On sera obligés d’aller se battre ou c’est la fin de l’#Europe". @guillaume_ancelpic.twitter.com/xyXCtPdEop
L’armée russe n’a jamais été aussi puissante qu’aujourd’hui, bien plus puissante qu’elle n’a jamais été depuis la fin de l’Union Soviétique. Chaque mois, 40,000 hommes supplémentaires rejoignent ses rangs, soit un demi-million d’hommes par an. Elle est soutenue par une véritable économie de guerre qui progresse chaque mois en volume.
Il n’existe rien de comparable en Europe, ni aux USA. Déjà parce que la Russie, contrairement à l’Union Européenne, n’est pas en faillite.
Les sanctions occidentales ne ressemblent plus à des armes miraculeuses. L’économie russe s’est contractée de seulement 2,2 % en 2022 et a recommencé à croître en 2023. Le commerce russe a été réorienté vers l’Asie ; les relations financières, technologiques et commerciales avec la Chine sont florissantes. Des États géopolitiquement ambivalents, tels que la Turquie et les Émirats arabes unis, aident Moscou à atténuer son isolement économique. Il est vrai que le coût des conflits a exacerbé les déséquilibres économiques en Russie. Mais il n’y a pas de perspective à court terme d’effondrement de l’économie ou de la machine de guerre qu’elle soutient.
Il n’est pas non plus évident que l’Occident sera bientôt confronté à une Russie affaiblie et humiliée, incapable de menacer sérieusement ses voisins. Certes, le pays de Poutine a subi de lourdes pertes en hommes et en matériel. Mais le gouvernement a mobilisé des centaines de milliers de nouveaux soldats et mis l’économie sur le pied de guerre. Le Kremlin injectant des fonds dans le secteur de la défense, la production militaire monte en flèche : en 2024, la Russie produira plus d’obus d’artillerie que les États-Unis et l’Europe réunis.
Poutine a évincé du système politique la plupart des modérés restants et a surmonté les contestations internes de son pouvoir. Il a renforcé ses partenariats avec l’Iran, la Chine et la Corée du Nord, d’autres autocraties qui fournissent aujourd’hui à la Russie un soutien militaire et économique.
La Russie qui émergera de cette guerre pourrait être une puissance révisionniste hyper-mobilisée et hyper-illibérale, dotée d’un vaste réservoir de main-d’œuvre militaire entraînée et d’un profond sentiment de mécontentement à l’égard de l’Occident. C’est une recette pour des problèmes sur le front oriental de l’OTAN – et pour des demandes globales accrues sur la puissance militaire américaine.
Ce tableau correspond davantage à la réalité.
Une macroniste de plateau, riche à crever était également présente, s’enthousiasmant pour une future économie de guerre où les gens seraient rationnés tandis que leurs fils se feraient tuer dans les tranchées stupides d’Ukraine.
On a trop ignoré l’infâmie intérieure de la grande bourgeoisie française qui peut tout à la fois remplacer le peuple par l’Afrique et l’envoyer mourir à 3,000 kilomètres par -20 degrés.
Ces discussions témoignent d’une appréhension grandissante face à la solidité russe. D’ici 2025, l’armée russe sera un rouleau compresseur qui pourra broyer n’importe quoi.
La situation ressemble de plus en plus à l’aventure de Napoléon III contre la Prusse, en 1870. Napoléon III ne s’est jamais demandé s’il avait effectivement une armée pour attaquer les Allemands. L’idée ne lui a même pas traversé l’esprit avant de déclarer la guerre à la Prusse.
++ WEBTUBE : Coup de théâtre dans l’élection présidentielle américaine : Élections américaines: DeSantis se retire de la course à l’investiture républicaine et soutiendra Donald Trump. #USA#Trump
Coup de théâtre dans l’élection présidentielle américaine : Élections américaines: DeSantis se retire de la course à l'investiture républicaine et soutiendra Donald Trump. #USA#Trumppic.twitter.com/AZHX6iAuKB
++ WEBTUBE : Chaque mois depuis des décennies, un drame se joue dans chaque foyer français. Cela revient encore et encore, comme un cauchemar. Certaines familles le traversent douze fois par an tout au long de leur vie. Ce drame s’appelle : la fin du mois. C’est le moment où, pour plus de gens qu’on ne le pense, le pouvoir d’achat disparaît. Nous n’avons plus les moyens d’économiser un seul centime, nous n’avons plus les moyens de sortir, d’acheter des vêtements pour les enfants, parfois même de nous nourrir, de payer le chauffage ou l’abonnement téléphonique. Nous allons être pauvres jusqu’au prochain salaire. Nous avancerons à découvert, verrons les agios augmenter, devrons vivre de rien, vivre mal, vivre tristement. Au moindre imprévu, on va paniquer. Les politiques – qui ne l’ont pas vécu et, pour la plupart, ne l’ont même jamais vécu dans l’enfance – trouvent mille explications à ce drame à la fin du mois selon les années. C’est la crise énergétique. Ce sont les taux d’intérêt. C’est l’héritage du gouvernement précédent. C’est la mondialisation. Ainsi, les Français souffrent chaque fin de mois, année après année. Ils se résignent. Ils finissent par croire que c’est inévitable, que c’est inévitable, comme un phénomène météorologique, une punition venue du ciel .
++ WEBTUBE : Les propos hostiles à la Russie, tenus par Macron lors de sa conférence de presse, ne doivent surtout pas être sous-estimés par les conséquences qu’ils peuvent avoir pour la France. En annonçant clairement qu’il refusait d’accepter la victoire de la Russie que plus grand-monde ne conteste, en promettant la livraison de canons Caesar et de missiles Scalp à l’Ukraine, Macron a délibérément mis la France en première ligne d’un conflit qui au départ ne concerne absolument pas notre pays. L’épisode de la frappe russe qui a tué soixante-deux Français, mercenaires ou soldats réguliers, aggrave la situation, montrant une fois encore l’engagement en première ligne de notre pays contre la Russie de Vladimir Poutine. La convocation de l’ambassadeur de France par les autorités russes ne peut qu’être liée à cet épisode.
En jouant les va-t-en-guerre contre la Russie, en provoquant une politique d’escalade, Macron se voit en fer de lance de l’Union européenne, pour prendre la place, dans le conflit, des États-Unis, qui paraissent avoir compris qu’ils ont mieux à faire que de continuer une guerre jusqu’au dernier Ukrainien sur le continent européen.
Un esprit curieux pourrait se demander pourquoi le chef d’un pays endetté à plus de 3000 milliards, à la tête d’une armée décimée, incapable de se maintenir en Afrique, sous-équipée, se lance en première ligne dans une guerre où la France a tout à perdre tant la supériorité militaire russe est évidente.
Certains répondront rapidement que notre chef de l’État est fou et disserteront sur les particularités du personnage, ses ambiguïtés sexuelles, son immaturité, son narcissisme, sa mégalomanie. Ils auront raison mais ils passeront à côté de l’essentiel.
Dans son livre “L’Homme qui n’aimait pas la France“, aux éditions Max Chaleil, le haut fonctionnaire Roland Hureaux a une autre approche du personnage.
Il rappelle d’abord que la victoire de Macron n’a été possible que par le coup d’État politico-judiciaire qui a éliminé François Fillon.
Il explique que Macron remplit parfaitement sa mission, qui est celle de détruire la France, au service d’un projet de gouvernement mondial qui doit donc briser les États-Nations.
Macron, depuis 2018, ne dirige la France que par des crises que, s’il ne les provoque pas, comme les Gilets jaunes, il accentue, pour tenir les Français par la peur. Et cela lui sert à se mettre en scène et à faire tourner la France autour de lui.
Lors des Gilets jaunes, soulèvement qu’il a fait réprimer avec une violence qui n’a jamais touché aucun autre mouvement social, il a fait diaboliser les manifestants avec la complicité de journalistes zélés et il a occupé l’espace médiatique durant trois mois, avec des conférences bidons où il a monopolisé la parole. Pendant ce temps-là, l’invasion migratoire, qu’il a accélérée, continuait, avec ses conséquences mortifères pour la France.
De 2020 à 2023, il a été le zélé relais de la dictature sanitaire mondiale et de toutes les remises en cause des libertés publiques durant cette crise, allant jusqu’à sanctionner des salariés non-vaccinés comme jamais aucun travailleur ne l’avait été depuis 1945, les privant pendant près de deux ans d’emploi et de traitement. Il a fait vacciner le pistolet sur la tempe des millions de Français, avec un chantage sordide à leur emploi ou à leurs activités culturelles ou sportives.
À peine le Covid terminé, grâce au refus des peuples de continuer à s’empoisonner avec un faux vaccin qui n’a jamais marché, il a remis la France à feu et à sang avec la question des retraites, sur injonction de Bruxelles, puisque les subventions touchées par la France étaient conditionnées à une feuille de route qui devait faire passer l’âge de la retraite d’abord à 64 ans, première étape vers les 67 ans.
Cette nouvelle crise terminée, son régime paraît à bout de souffle. Pas de majorité à l’Assemblée, mais refus de sa part de la dissoudre, donc utilisation récurrente, jusqu’à la caricature, du 49-3 par Borne, qui se discréditera à jamais par ces multiples passages en force permis par la complicité des LR et l’imbécillité des Nupes.
Donc, exit Borne et place au bébé Macron appelé Gabriel Attal, avec un gouvernement grotesque où les ministres accumulent les bourdes et les maladresses, à l’image de Stéphane Séjourné et d’Amélie Oudéa-Castera. Mais les trois piliers au bilan catastrophique demeurent, ils s’appellent Gérald Darmanin, Éric Dupond-Moretti et Bruno Le Maire. Chacun connaît les surnoms affectueux que nous leur attribuons.
Le ministre de l’Intérieur le plus liberticide de l’histoire de la Cinquième République, en accord avec Macron, multiplie les dissolutions de la seule mouvance patriotique, quand il laisse une paix royale aux islamistes et aux gauchistes. Donnant raison à Roland Hureaux, il remet en cause, sans vergogne, une des libertés les plus fondamentales, celle de manifester, au détriment là encore de la seule famille patriote. Il ira même jusqu’à interdire une réunion d’hommage, dans un lieu privé, à Dominique Venner, dix années après son suicide, sous le prétexte de propos qui pourraient se tenir lors de cet hommage. Et il vient d’essayer de faire interdire une retraite aux flambeaux, dans les rues de Paris, en hommage à Louis XVI, une initiative qui se tient tous les ans sans le moindre problème.
Et bien sûr, cela s’accompagne d’une censure des réseaux sociaux pour laquelle la France a peu de concurrents dans le monde, d’une répression judiciaire contre les patriotes qui osent relever la tête, du harcèlement mené contre CNews et les médias appartenant à Bolloré, et d’un appareil d’État, notamment médiatique, mis au service de Macron et du camp mondialiste et immigrationniste.
Si Roland Hureaux a raison, force est de reconnaître que Macron a parfaitement continué, en l’accélérant, le travail de ses prédécesseurs Hollande et Sarkozy. Notre école publique est plus que jamais à l’agonie, notre hôpital public se transforme en cauchemar pour ceux qui sont obligés d’y aller, la surdélinquance due à l’immigration de masse explose au quotidien, les islamistes sont plus arrogants et menaçants que jamais, la police ne peut plus faire son travail et est humiliée trop souvent dans son quotidien et les juges s’acharnent sur les Français en relâchant les criminels étrangers multi-récidivistes. Le sabotage des derniers joyaux de notre industrie, comme la filière nucléaire ou Alstom, confirment la volonté de nuire à la France de celui que des électeurs abrutis par la propagande ont élu à deux reprises, en 2017 et en 2022. N’oublions pas les médias, qui n’ont jamais été autant arrosés, et donc conciliants avec le pouvoir, ni l’Union européenne, qui ne se cache même plus pour donner des ordres à la France, que le pouvoir exécute servilement.
Il reste trois années à Macron pour terminer son travail et, dans ce contexte, une situation de guerre serait une aubaine pour ses calculs. Il espérerait, dans le climat hystérique entretenu contre la Russie et son président, jouer de la situation pour fédérer, dans une union nationale, le pays autour de lui, contre l’ennemi. Il espère, à quelques mois d’élections européennes prometteuses pour le RN et Jordan Bardella, inverser la tendance en les faisant passer pour des traîtres alliés de Poutine, en guerre contre la France. Cela lui serait bien sûr le prétexte pour restreindre encore davantage la liberté d’expression, la liberté d’association, la liberté de manifestation, au nom bien sûr de l’état d’urgence imposé par la guerre.
Certains verront dans ces hypothèses de la paranoïa complotiste, et nous souhaiterions vraiment avoir tort. Mais avec Macron, il faut se préparer au pire, et des sites comme Riposte Laïque, qui ne cachent pas préférer la Russie de Poutine à l’Otan des Américains et à l’Union européenne, pourraient rapidement être dans l’œil du cyclone de Gérald Darmanin.
Alors, écoutez ce jour les conseils de notre fondateur, qui encourage chaque lecteur de Riposte Laïque à s’inscrire sur notre nouvelle chaîne Telegram, et éventuellement à soutenir notre bataille sur les réseaux sociaux en renforçant notre compte X-Twitter.
++ WEBTUBE : La nationalité n’est pas un critère, mais elle est devenue un problème. L’hebdomadaire Marianne a rendu public en août 2023 un courrier de Ia Société Francophone de transplantation datant de 2018. Depuis quelques années, écrivent les auteurs, nous constatons l’afflux de patients refugiés (Ukraine, Georgie, Albanie, etc) qui, amenés par des passeurs, arrivent dam nos services d’urgence en situation souvent très précaire, nécessitant des séances de dialyse immédiates et désirant rapidement s’inscrire sur nos listes de transplantation. Contactée, la SFP ne s’exprime pas. Depuis sa fenêtre brestoise, Yann Pailler confirme. « Je croise beaucoup d’étrangers au service de néphrologie de l’hôpital de la Cavale-Blanche…»
Autrice d’un rapport sur le cout des soins dispensés aux étrangers en situation irrégulière, remis à l’Assembler nationale en mai 2023, la deputée LR Veronique Louwagie a constaté que les étrangers, qui représentent 7 % de la population résidente, bénéficient de 14 % des greffons depuis 2015 » Ils sont pris en charge à 100%. D’où viennent-ils ? « Je demande à le savoir depuis plusieurs années, mais on m’oppose la confidentialité des données personnelles. »
« C’est une réalité, il y a des organisations mafieuses qui déposent des migrants malades » dans les hôpitaux français, affirmait le docteur A. T. en janvier 2020 lors d’un café éthique rapporté par la Revue de bioéthique de Nouvelle-Aquitaine. Notre pays est très accueillant. Lorsqu’un migrant arrive en Allemagne avec une insuffisance chronique terminale rénale, il n’est pris en charge en dialyse que quinze jours. Au bout de ces quinze jours, selon le praticien, «ces patients sont reconduits à la frontière. Nos collègues de Strasbourg nous racontent régulièrement que leur centre de dialyse est saturé de ressortissants des pays de l’Est, déposés a la frontière française par nos collègues allemands…»
« L’Agence nationale de la biomédecine traite le problème les yeux grands fermés, considère Nicolas Pouvreau-Monti, cofondateur de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie, groupe de réflexion créé en 2020. Des réseaux vendent aux patients étrangers la liste des hôpitaux français qui font tel type de greffe et dans quel délai. A force d’angélisme, on va tarir les dons.»
(…)
En définitive, en effet, ce sont sur les donneurs que tout repose. L’intérêt bien compris de la médecine française pourrait être de mettre son expertise reconnue en matière de greffe au service de patients étrangers. « Cela se fait déjà, souligne Nicolas Pouvreau-Monti. Des Algériens viennent se faire greffer en France, à leur charge, avec leur donneur. » Celui-ci doit être compatible avec le receveur. Or, en la matière, l’origine ethnique compte beaucoup. Un Congolais qui vient en France dans l’espoir d’une greffe pose un défi financier, éthique mais aussi médical. Chaque malade possède son propre profil immunologique, déterminé en partie par ses origines géographiques, écrit l’Agence nationale de la biomédecine dans un communiqué du 7 septembre 2013 relatif à la greffe de moelle osseuse, une des plus exigeantes qui soient en termes de compatibilité entre le donneur et le receveur. « Il est donc essentiel que le registre reflète les diversités des origines telles qu’elles existent en France et dans le monde pour améliorer les chances de trouver un donneur pour chaque malade. » Il existe plus de 350 anti-gènes à la surface des globules rouges, qui conditionnent la réussite d’une greffe. Leur fréquence varie selon les ethnies. Contactée, l’Agence refuse de dire lesquelles sont sous-représentées parmi les donneurs… Tout porte à croire qu’elles sont issues du Maghreb, du Proche-Orient et tout particulièrement de l’Afrique subsaharienne, où les tabous culturels (et non religieux) entourant la mort sont si forts que les familles s’opposent aux prélèvements d’organes. Au Burkina Faso, relevait la jeune médecin Linéa Ouédraogo dans une thèse soutenue en avril 2022, les dons d’organes sont inexistants.
++ WEBTUBE : Alors que 60 combattants étrangers majoritairement Français, dont 22 officiers, ont été tués par des tirs de précision russes ciblant un immeuble de Kharkov, c’est la cacophonie généralisée au sommet de l’État et la désinformation habituelle dans les médias. Pour les experts des plateaux TV, l’information est invérifiable donc elle est fausse. C’est prendre le communiqué officiel russe avec une extrême légèreté car l’identité des victimes sera connue tôt ou tard. De plus, on voit mal pourquoi l’ambassadeur de France à Moscou serait convoqué au ministère russe des Affaires étrangères, et pourquoi la Douma envisagerait de demander des explications au Parlement français sur la présence de ces “mercenaires” en Ukraine !!
Pour le ministère français des Affaires étrangères, tout cela est faux :
« La France n’a pas de mercenaires, ni en Ukraine, ni ailleurs, contrairement à d’autres. Il s’agit d’une nouvelle manipulation grossière russe. Il ne faut pas lui donner plus d’importance qu’aux précédentes et qu’aux suivantes qui ne manqueront pas d’arriver »
Mais pour le ministre de la Défense Sébastien Lecornu, le discours est tout autre :
” La France, en tant que pays démocratique, ne peut interdire aux citoyens ordinaires de se rendre volontairement en Ukraine pour participer aux hostilités.”
Mais ce ministre parle de ce qu’il ne connaît pas. Les Russes ont raison de lui rappeler que la France interdit le mercenariat et le punit sévèrement. Monsieur le ministre, informez vous !
La loi n° 2003-340 du 14 avril 2003 relative à la répression de l’activité de mercenaire est très claire :
“Les sanctions pénales réprimant l’activité de mercenaire pourront aller jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende pour les mercenaires, et jusqu’à 7 ans d’emprisonnement et 100 000 euros d’amende pour ceux qui organisent ou dirigent une telle activité”.
En attendant, le président de la Douma entend bien interpeller le Parlement français au sujet de ces “mercenaires” combattant en Ukraine au mépris de la loi française.
“En France, le mercenariat est interdit par la loi. C’est pourquoi les députés de la Douma d’État doivent s’adresser à l’Assemblée nationale française sur cette question. Il est important pour nous de savoir s’ils sont conscients que quelqu’un, en violation des normes de la loi, envoie des mercenaires combattre en Ukraine…” Et d’ajouter :
“Il fut un temps où nos grands-pères et nos arrière-grands-pères luttaient ensemble contre le fascisme. Mais aujourd’hui, il s’avère que des mercenaires français meurent pour le régime nazi en Ukraine. Les citoyens français et les députés qui représentent leurs intérêts sont-ils au courant ?”
Plus tôt, le ministère russe de la Défense avait déclaré que l’armée russe avait lancé une frappe de précision sur un site de déploiement temporaire de combattants étrangers, principalement français, à Kharkov. La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré à l’agence TASS que l’ambassadeur de France en Russie, Pierre Lévy, avait été convoqué au ministère russe des Affaires étrangères.
Qu’attendent nos généraux pour dire “stop” à l’escalade et déposer képis et casquettes, alors que Macron mène une guerre contre Moscou sans l’aval du Parlement ?
Macron désosse notre armée comme jamais. Selon le classement du site anglo-saxon « Global Fire Power », l’armée française chute au 11e rang mondial. Elle était au 5e rang en 2017 !
Ces “mercenaires”, qui sont sans doute des officiers et des militaires d’active, ont-ils vocation à mourir pour défendre un régime nazi, mafieux et corrompu qui n’a rien d’une démocratie ?
Ont-ils vocation à mourir pour une guerre américaine qui n’est pas la nôtre, l’Ukraine n’étant ni dans l’Otan, ni dans l’UE ?
C’est au Parlement de répondre à ces questions.
Ces militaires français sont morts pour rien, car Macron a choisi le camp des perdants. Jamais les Russes ne perdront cette guerre.
Personnellement, je pense que cette information est bien réelle et qu’elle est un coup de semonce adressé à Macron, qui prend plaisir à attiser les braises sans percevoir le moins du monde qu’il jongle avec des flacons de nitroglycérine.
Qu’il est loin le temps où de Gaulle envoyait des pilotes français combattre le nazisme aux côtés des pilotes russes.
Le fou furieux de l’Élysée ne sait plus ce qu’il fait et choisit la politique du pire.
++ WEBTUBE : Il faut anticiper tous les mauvais coups, les amis. Nous vous avons déjà encouragés par le passé à rejoindre notre chaîne Telegram. https://t.me/ripostelaiqueofficiel Dans un contexte où Macron met la France en première ligne dans une dangereuse escalade contre la Russie, la prudence est de mise, car ces périodes correspondent souvent avec des mesures d’exception. Donc, contre la censure qui s’annonce, rejoignez-nous sur cette nouvelle chaîne Telegram.
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++ WEBTUBE : « Spillover » (débordement) désigne, en épidémiologie, le moment précis où un virus, une bactérie, un parasite ou un autre pathogène infectieux se transmet d’un animal vers un être humain. Dans l’histoire d’une épidémie zoonotique, cet événement est l’équivalent du Big Bang. Et c’est ce qui se déroule devant nos yeux ce matin-là sur un marché de Brazzaville, en République du Congo. Une femme en robe rouge et noir, masque sanitaire baissé sur le menton, s’approche d’un petit stand où l’on peut se procurer un mets très particulier : des chauves-souris. Elle demande que les os des ailes soient retirés afin de pouvoir enrouler l’animal pour le transporter plus facilement avant de le cuisiner, probablement en soupe ou en ragoût.
La consommation de viande de brousse prospère sur le continent africain. Ce trafic entraîne une hausse des risques de propagation des zoonoses, ces maladies, qui comme le Covid-19, se transmettent de l’animal à l’être humain. Un reportage de @VincentJolly_. pic.twitter.com/5XIsPnvQjm
Pour 1000 francs CFA (environ 3 euros), le vendeur souscrit à la demande de sa cliente, s’empare d’un couteau, réalise une fine incision et utilise ses dents pour retirer le long cartilage. Ni l’homme, ni la cliente, ni aucune des personnes présentes sur le marché ne fait attention à ce geste parfaitement anodin pour les consommateurs. Mais pour les chercheurs en épidémiologie c’est ce bref instant, qui représente le « spillover » ; un moment que Brent Stirton, photojournaliste habitué des pages du Figaro Magazine, parvient à saisir.
Si cette chauve-souris est porteuse d’une maladie, l’homme l’attrape instantanément. C’est ce que l’on appelle une zoonose, une maladie transmissible de l’animal à l’homme. Dans son enquête sur les ramifications du trafic de viande de brousse et de son impact sur la naissance de nouvelles épidémies que Brent Stirton a menée pendant deux ans, cette photographie est la pièce à conviction la plus importante versée au dossier. Elle illustre le « premier contact » et la création d’un « patient zéro ».
++ WEBTUBE : Charles-Henri Gallois est président de Génération Frexit. Il vient de sortir le nouveau livre. Les propos tenus dans cette vidéo par le ou les personnes interviewées n’engagent que leur(s) auteur(s) et ne reflètent pas nécessairement la position du Média pour Tous.