++ WEBTUBE : COMMUNIQUÉ DU RASSEMBLEMENT VENDÉEN Le mardi 23 janvier 2024 à 20 h, le film-documentaire “Moi, Capitaine” est programmée au Ciné Monts de Saint-Jean-de- Monts en Vendée. Cette projection sera suivie d’un échange avec les représentants locaux d’associations “humanitaires” partenaires de ce film de propagande immigrationniste, tels que SOS Méditerranée, France terre d’Asile, Ligue des droits de l’Homme, le Gam St-Jean-de-Monts (Groupement d’accueil des migrants), etc. La gauche-immigrationniste Montoise est prête à tout pour nous imposer l’immigration de masse. Elle fait la propagande de leur idéologie à travers ce film sur l’accueil des migrants. Ce film est diffusé dans une salle associative fonctionnant avec l’argent du contribuable montois. Ce sont donc nos impôts qui financent ce genre d’événement avec le soutien de la municipalité dirigée par madame Véronique Launay.
Par le prisme du cinéma, les associations immigrationnistes peuvent continuer leur œuvre de propagande, mais le peuple français n’en peut plus et commence à le faire savoir. Ce dernier en a assez de payer des séances de cinéma pour se faire cracher au visage et s’entendre dire que sa police est raciste, que ses ancêtres sont esclavagistes, que son pays doit tout à l’immigration.
En conséquence, dans l’esprit républicain d’équilibre de la parole et de la liberté d’expression, le Rassemblement vendéen propose à madame Véronique Launay, maire de Saint-Jean-de-Monts de faire programmer au Ciné Monts le très beau film d’anticipation “Et les cloches se sont tues“…
Dans l’attente, nous restons très attentifs à la suite donnée à notre requête. Si toutefois la parité des idées venait à être bafouée, le Rassemblement vendéen se donne la faculté d’agir par tous moyens légaux pour se faire entendre et se faire comprendre…
++ WEBTUBE : Il n’y a aucun répit à espérer dans l’Opération spéciale, tant que durera la campagne électorale américaine. Le camp démocrate sait très bien que s’il perd les élections, Trump se lancera dans une vaste opération de règlement de comptes, après avoir été volé de sa victoire en 2020 et après avoir subi quatre années de persécutions judiciaires injustifiées, alors que les milliers de plaintes contre la fraude électorale ont toutes été classées sans suite. Le clan Biden pourrait bien finir derrière les barreaux.
Pour sauver les meubles, Biden, au plus bas dans les sondages, met tout en œuvre pour barrer la route à son adversaire et pour retarder une nouvelle débâcle en Ukraine après l’humiliante débandade d’Afghanistan.
– persécution judiciaire
– tentatives de rendre Trump inéligible
– poursuite de l’escalade militaire
L’Otan multiplie les exercices et manœuvres interalliées contre la supposée menace russe.
Les armes nucléaires entreposées dans cinq pays d’Europe sont remplacées par une version modernisée plus puissante.
Les bases militaires de Suède et de Finlande sont déjà dans le collimateur de Washington pour y installer troupes et armements américains. Le Pentagone ne cesse de resserrer son étau sur la Russie.
Si Poutine était aussi irresponsable que les fous furieux de l’Otan, la planète serait déjà sous le feu nucléaire.
Avec un budget de 900 milliards de dollars et plus de 800 bases à travers le monde, la belliqueuse Amérique refuse l’inéluctable défaite en Ukraine. Elle devra pourtant s’y résigner car l’armée US n’est qu’un tigre de papier, pour parler comme Mao.
Selon le dernier bilan livré par Sergueï Choïgou, l’année 2023 s’est soldée par la destruction du potentiel de combat de l’armée ukrainienne.
«Au cours de l’année écoulée, les pertes de l’ennemi ont dépassé 215 000 personnes et 28 000 pièces d’armement», a poursuivi Sergueï Choïgou, assurant que les troupes russes conservaient l’initiative «sur toute la ligne de front».
«Avec l’assistance de ses parrains occidentaux, le régime de Kiev continue d’envoyer ses soldats à l’abattoir et cherche tous les moyens possibles pour reconstituer les rangs de l’armée ukrainienne», a-t-il ajouté. Avant de conclure : «Cela ne changera pas la situation sur le front, mais ne fera que prolonger le conflit».
En décembre 2023, le ministre russe de la défense avait annoncé que l’Ukraine avait perdu 383 000 soldats depuis le début de l’offensive russe, dont 160 000 pour la contre-attaque de l’été 2023, qui fut une inutile boucherie.
Mais Kiev ne capitule pas et ambitionne de recruter 500 000 soldats pour combler ses pertes. Comment ? Mystère. L’essentiel est de tenir encore quelques mois jusqu’aux élections américaines.
La vérité est que la situation de l’Otan est des plus critiques.
Quand Poutine voit chaque jour 1 500 volontaires venir défendre la patrie, les armées occidentales n’arrivent plus à recruter.
L’armée américaine, malgré son budget colossal, n’attire plus les jeunes.
La crise du Covid, qui a chassé les militaires refusant de se faire vacciner, la défaite en Afghanistan, l’entrée du wokisme et des délires LGBT au sein des armées, ont eu raison de bon nombre de vocations à servir sous la bannière étoilée. Il est vrai que la jupe et les talons hauts chez les militaires masculins, ça fait désordre.
Ajoutons à cela le retard technologique de l’armée américaine, qui ne maîtrise toujours pas le domaine de l’hyper-vélocité, et on comprend que même la Navy n’a plus les effectifs suffisants pour armer ses arrogants porte-avions.
Pour ceux qui n’ont toujours pas compris ce qu’est l’armée russe de 2023, voici un rappel de la panoplie des armements dont disposent les soldats de Poutine.
“Missiles hypersoniques à portée illimitée grâce à leur propulsion nucléaire, drones sous-marins indétectables capables de provoquer un tsunami géant, armes de brouillage, également défensives, de guerre électronique, armes laser uniques au monde… avec un budget militaire approximativement dix fois moindre, la Russie est parvenue à rétablir l’équilibre stratégique avec les États-Unis, rompu après la guerre froide.”
Les roquets européens qui tiennent un discours belliqueux face à l’Ours russe alors qu’ils n’ont que trois jours de munitions à lui opposer, feraient mieux de reconstruire des armées dignes de ce nom au lieu d’armer l’Ukraine en pure perte.
Quant aux États-Unis, s’ils ont la prétention d’intimider Poutine avec les manœuvres Otan et en agitant la menace du nucléaire tactique, ils se trompent lourdement.
Dans tous les domaines, la supériorité technologique de Moscou est écrasante et le patriotisme russe est resté intact depuis 1945. L’Occident avachi n’a aucune chance.
Entendre Scholz, qui n’a toujours pas digéré Stalingrad, est à se rouler par terre. Il est pire que les Polonais alors que son armée est incapable de faire la guerre.
Il est temps d’en finir avec une escalade stérile et d’admettre que nous avons choisi le camp des perdants. Poutine ne perdra jamais cette guerre et le peuple russe le suivra jusqu’à la victoire.
++ WEBTUBE : En raison de l’épisode de froid en ce moment, l’une des deux centrales à charbon de France, celle de Saint-Avold (Moselle), produit à nouveau de l’électricité depuis mardi 9 janvier tôt dans la matinée, a appris le même jour franceinfo de sources concordantes. Cette centrale à charbon, gérée par GazelEnergie, a mis en chauffe son unité de production lundi, à la demande des acteurs du marché, explique le gestionnaire à franceinfo. La centrale tourne à pleine puissance, 600 MW, depuis la nuit de lundi à mardi. (…)
++ WEBTUBE : Mathématicien, enseignant chercheur en mathématiques, Benoit Rittaud montre que la science sert désormais d’outil de censure au profit d’une idéologie qui, sous couvert de sauver la planète, installe ses rituels, ses légendes et ses prescriptions toujours plus exigeantes au cœur de notre société. Dans “Mythes et légendes écologistes”, le scientifique démontre que la mythologie écologiste postmoderne n’a rien d’une vision naïve et bien intentionnée. Pour Benoît Rittaud, derrière son sympathique imaginaire de façade, se cache en réalité un projet totalitaire qui combat l’aspiration même à un monde plus prospère et plus libre. Dans un entretien sans concessions, Benoît Rittaud évoque la mascarade de la Cop28 et revendique son statut “d’environnementaliste raisonnable” refusant de verser dans le catastrophisme global émanant d’un cartel de recherche qui interdit la dissidence et ne tolère pas la nuance.
++ WEBTUBE : Candacé vit un calvaire depuis un an et demi : sa maison à Grenoble est squattée par un individu pas très net. Reportage par Vincent Lapierre.
++ WEBTUBE : Dans le rôle du martyr, Trump excelle d’autant plus aisément qu’il est réellement victime d’une machination politico-judiciaire qui fait tout pour le broyer. Mais plus il est harcelé, plus il grimpe dans les sondages. Il est insubmersible. Coup d’envoi d’une campagne qui va chauffer, car pour les deux candidats la situation est restée figée au 6 janvier 2021, le “J6”, devenu le coeur du débat. Chacun se pose en défenseur de la démocratie. Et Trump se fout de son bégayant rival en défendant “la d…d…démocratie” Pour Biden, Trump reste l’instigateur de l’insurrection du 6 janvier 2021, qui avait fait trembler le Capitole. Un danger pour l’Amérique.
“L’assaut sur le Capitole fut une tentative de renverser une élection libre et équitable par la force et la violence”. “Les assaillants étaient des insurgés venus détruire la Constitution, pas des patriotes”, assène Biden.
Mais pour Trump, Biden n’est qu’un tricheur qui menace la démocratie et le 6 janvier n’est qu’un légitime soulèvement patriotique face à ce qu’il continue de dénoncer comme une élection volée.
“Cette élection est la dernière chance pour sauver l’Amérique.”
Mais le camp démocrate, alors que Biden est au plus bas dans les sondages, tente désespérément d’empêcher Trump de se présenter.
Le Colorado et le Maine ont déjà jugé Trump inéligible dans leur Etat. La Cour suprême des Etats-Unis doit trancher le 8 février. Ou bien elle annule les jugements de ces deux Etats et l’élection suivra son cours, ou bien elle botte en touche et les républicains devront se choisir un autre candidat, avec les risques d’émeutes de ces millions d’électeurs privés de leur champion, à la suite d’une machination judiciaire orchestrée par le camp Biden. Le chaos serait total.
“Il n’est pas étonnant que les mêmes forces corrompues qui nous ont combattus à chaque étape du processus, enfreignent maintenant toutes les règles et brisent toutes les normes dans une tentative désordonnée de nous empêcher de les vaincre dans les urnes”, a dit Trump.
“Les démocrates de la gauche radicale ont truqué l’élection présidentielle de 2020. Et nous ne les laisserons pas truquer celle de 2024. Je ne pourrai pas laisser faire ça.”
Trump promet son pardon présidentiel une fois élu, aux émeutiers jugés et emprisonnés après l’assaut sur le Capitole.
Il va de soi que dans le camp républicain, ces citoyens incarcérés ne faisaient que protester contre une élection truquée. Trump n’en démord pas.
Mais il accuse aussi des antifas et le FBI, d’avoir mené sciemment une provocation.
7 républicains sur 10 estiment qu’on accorde trop d’importance à cette affaire de Capitole et seulement 18% jugent que les manifestants étaient violents.
C’est donc une campagne violente qui s’annonce, avec d’un côté les mondialistes du camp Biden battus dans les sondages et de l’autre côté les vrais démocrates menés par Trump, qui en appellent aux urnes sans triche.
Il est clair que le camp mondialiste va tout faire pour garder le pouvoir, en usant des pires magouilles et des pires menaces envers ceux qui pourraient lui nuire.
Combien de juges ont été contraints de classer sans suite toutes les plaintes pour fraude, après avoir été menacés des pires représailles s’ils faisaient leur travail ?
Trump s’est fait voler au bas mot 8 millions de voix et trois ans plus tard, il maintient ses accusations. Pourquoi mentirait-il, alors que Biden lui-même a avoué que les élections étaient truquées ?
Pouvons nous dans ces conditions espérer des élections honnêtes ?
++ WEBTUBE : Au milieu du désastre qu’il a causé, le mouvement MeToo aura eu au moins un mérite : celui d’avoir levé le voile sur les pratiques d’abus sexuels dans le monde du show business. En effet, même si ses représentantes, ses excès et ses délires ont conduit à un mouvement horripilant et que beaucoup de celles qui composent ce monde se sont soumises et tues pour arriver au sommet, il était temps de nettoyer les écuries d’Augias… en espérant qu’elles fassent un peu moins rêver.
Mais qu’on ne se trompe pas, il s’agit plus d’un dépoussiérage superficiel que d’un nettoyage de printemps ! Puisqu’étant le monde des gros sous, de la célébrité, où la gloire et la visibilité ne dépendent absolument pas de la quantité de talent, il continuera d’attirer in primis les arrivistes et les croqueuses de diamant. Un monde où “gros porcs” plein de d’argent copulent gaiement avec les intrigantes prêtes à tout, selon un schéma où chacun trouve son compte…. ce que bien des pasionarias à la sauce MeToo ont tendance à oublier (ou à dissimuler) !
Et pour dissimuler cet état de fait, la notion d’emprise a bon dos. Aaah qu’elle est commode l’emprise ! Elle permet d’excuser tous les comportements, de légitimer les attirances foireuses, les rapports sexuels vains, les acceptations infructueuses. Une “emprise”, dans le cas des Madames Adultes, le plus souvent à géométrie variable : si l’homme capable de subjuguer est un salaud, un égoïste, un égotiste et que l’histoire finit mal, il sera taxé par la suite de “gros porc”. S’il est charmant, on vantera sa relation avec un mentor. Un charme souvent proportionnel à sa position sociale !
Et toutes (enfin, presque) de surfer gaiement sur la vague de “l’emprise”, de narrer leur petite histoire pour faire le buzz, s’assurer un peu de promotion cool, dans l’air du temps. Dans ce milieu imbu de libération sexuelle, les anecdotes et les expériences dégueulasses ne doivent pas faire défaut. On se demande quand même, si les parents d’alors, ceux qui étaient bien heureux d’introduire leur rejeton dans un tel milieu, pouvaient ignorer l’état de cette élite notoirement décadente et libertine. Encore une fois, pas de secret, pas de crime, pour ces gens c’était-là la normalité, le sexe est sans limites aucunes, désinhibé, transgressif : car la transgression, c’est la normalité.
Dans une courte vidéo, Judith Godrèche, une des actrices ayant raconté avoir subi une agression sexuelle de la part de Harvey Weinstein – sans toutefois en informer les autorités “pour ne pas nuire à sa carrière” (les suivantes la remercieront, vive la sororité) – revient sur sa propre expérience d’emprise. Elle lamente, alors adolescente et pour les besoins d’un film, de n’avoir su dire non à la quarantième reprise où, torse nue elle “roule des pelles à un homme de 45 ans“.
“Quelque soit la génération, l’éducation, il y a des situations qui sont tétanisantes.”
Certes. Mais à un certain moment, il faut bien admettre que ce qui peut arriver partout, est quand même une constante dans ce monde-là ! À croire que l’on découvre vraiment que le milieu du cinéma français gluant de lubies soixante-huitardes est toxique !
“L’idée du consentement n’existait même pas.”
Sérieux ? Mais sur quelle planète vivaient ces femmes ? Parce que sur la mienne – en France, dans les mêmes années – un non a toujours été un non. Le consentement n’était pas encore un hashtag à la mode, mais avoir le choix et en faire montre, remballer un homme, l’envoyer paître s’il exagère, était tout à fait normal. Or, dans le leur, entre des filles prêtes à tout pour un rôle ou s’introduire dans ce monde bling-bling et des “gros porcs” exigeant des petites gâteries en échange de quelques promotion, il est difficile d’établir avec certitude où se situe la ligne du consentement.
Cela étant dit, nous, braves gens, qui éduquons nos filles, qui exigeons un droit de regard sur leurs fréquentations, devons-nous vraiment prendre parti dans cette querelle de famille ?
Et pire, devons-nous tomber dans le panneau de l’amalgame entre les “gros porcs” du milieu artistique, et les hommes en général ? Là est le véritable désastre que ce mouvement a généré, en ajoutant un peu plus à la guerre des sexes en acte. Non les hommes ne sont pas tous les mêmes, non ce n’est pas la faute au patriarcat (sic) ! Mais de certains hommes provenant d’un certain milieu, nourris d’une certaine idéologie libérale libertaire…. libertine.
++ WEBTUBE : Il y a quelque chose de pourri au royaume des puissants. Non pas la perversité, qui se distribue indifféremment à tous les niveaux de l’échelle sociale, mais l’impunité. Lorsque la puissance vire au sentiment de toute-puissance. Lorsqu’on pense appartenir à un monde auquel ne s’applique pas la loi commune. Lorsque l’argent permet, avec l’aval de la Justice, de faire taire les victimes. L’affaire Epstein ne raconte pas seulement le parcours d’un prédateur sexuel dans l’Amérique des rich and famous. Elle montre également comment le milliardaire a su jouer de la fascination qu’exerçait sur ses proies ce monde inaccessible et comment il a su exploiter chez ceux qui lui appartiennent la tentation de s’affranchir de toute limite et de toute conscience morale. L’homme d’affaires new-yorkais a bâti un vaste réseau de trafic sexuel impliquant des jeunes femmes et des jeunes filles mineures afin de satisfaire ses perversions mais aussi en comprenant qu’il pourrait se servir d’elles pour favoriser son ascension sociale en les mettant à disposition de personnes influentes. Parmi les célébrités qu’il a fréquentées, qui s’est rendu complice de ses crimes ? C’est toute la question.
De nouveaux documents divulgués
Elle resurgit aujourd’hui, un peu plus de quatre ans après son suicide dans une cellule de la prison fédérale de Manhattan alors qu’il attendait son procès. Mercredi dernier, un juge de New York a commencé à rendre publics des documents judiciaires mentionnant les noms de proches, de connaissances, de victimes ou de complices présumés de l’homme d’affaires.
Les documents sont issus d’une action en diffamation intentée en 2015 par Virginia Giuffre, une des victimes présumées, contre Ghislaine Maxwell, ex-maîtresse et rabatteuse d’Epstein. Bien que l’affaire se soit terminée l’année suivante, le journal Miami Herald avait agi en Justice afin d’avoir accès au dossier. Une partie des documents avait par la suite été descellée.
Les nouveaux lots qui viennent d’être rendus publics n’ont pas donné lieu à des révélations fracassantes. La plupart des personnes mentionnées étant déjà connues. C’est, d’ailleurs, l’argument retenu par le juge chargé de l’affaire, qui a souligné que les noms des protagonistes avaient déjà été divulgués publiquement à l’occasion d’autres procédures et dans les médias.
Des noms déjà cités
Pour autant, cette nouvelle médiatisation n’est pas sans faire trembler certains qui auraient bien aimé qu’on oublie qu’ils avaient un jour croisé le détestable personnage. Parmi eux, le prince Andrew, que Virginia Giuffre avait accusé d’avoir abusé d’elle à plusieurs reprises alors qu’elle était mineure. En 2022, une transaction avait mis fin aux poursuites.
Dans l’un des nouveaux documents judiciaires descellés, un témoin anonyme, appelée « Jane Doe 3 » (John et Jane Doe désignent une personne non identifiée) déclare avoir été « contrainte d’avoir des relations sexuelles avec ce prince alors qu’elle était mineure dans trois lieux géographiques distincts ». Et notamment « sur l’île privée d’Epstein dans les îles Vierges américaines (lors d’une orgie avec de nombreuses autres filles mineures) ». Le frère de Charles III a régulièrement nié les allégations portées contre lui.
Autre célébrité évoquée, Bill Clinton, dont le porte-parole avait déclaré en 2019 qu’il ne savait rien des « terribles crimes » de Jeffrey Epstein. Bien qu’aucun acte répréhensible ne soit retenu contre lui, sans doute se serait-il, lui aussi, passé de cette nouvelle publicité. Son nom refait en effet surface des dizaines de fois dans les documents. Une victime présumée, Johanna Sjoberg, rapporte qu’Epstein lui aurait un jour confié que « “Clinton les aime jeunes”, faisant référence aux filles ».
Donald Trump est également mentionné comme une connaissance d’Epstein, mais sans qu’aucune accusation ne soit portée contre lui. En 2019, au moment de l’arrestation de l’homme d’affaires, Trump avait affirmé ne pas lui avoir parlé depuis environ 15 ans. « Je n’étais pas fan de lui, je peux vous le dire », avait-il déclaré.
Comme l’explique au Figaro Madame le journaliste Jean-Gabriel Fredet, auteur d’un livre sur Epstein, « Donald Trump a su prendre ses distances au bon moment ». « Au début des années 2000, il se voit déjà faire de la politique. Alors, en interview, il joue la carte de la prudence. Il dit de Jeffrey Epstein : “Il est brillant, il est drôle, il aime beaucoup les femmes, mais lui les préfère plus jeunes.” Il sait très bien ce que signifie “plus jeunes”. »
Dans les différents lots de documents, d’autres noms d’amis et de connaissances célèbres apparaissent, comme Michael Jackson, le magicien David Copperfield ou encore le physicien Stephen Hawking, sans pour autant contenir d’affirmations de conduites répréhensibles les concernant.
Une impunité persistante
Une enquête du Wall Street Journal, publiée en décembre dernier, a cependant montré comment Epstein s’était servi de son cercle de VIP pour séduire des jeunes femmes vulnérables et, en sens inverse, les avait utilisées pour attirer à lui des gens puissants.
« Il a attiré des dizaines de femmes en promettant d’utiliser ses relations avec des personnes puissantes pour leur trouver un emploi ou d’autres opportunités, relatait le quotidien américain. Il a ensuite formé la plupart de ces femmes afin de les exploiter sexuellement et a confié un groupe d’entre elles à d’autres hommes pour des relations sexuelles. »
Plusieurs femmes qui se sont confiées au Wall Street Journal ont indiqué ne pas avoir dénoncé Epstein de peur des conséquences. La peur, la honte, mais aussi les millions de dollars versés pour les faire taire, maintiennent dans l’ombre nombre de victimes ainsi que ceux qui ont abusé d’elles. Les documents divulgués, pour le moment, n’y changent rien.
++ WEBTUBE : Une étude OpinionWay, réalisée pendant la quinzaine de Noël (les « fêtes de fin d’année », les désormais traditionnelles FFA) pour La Tribune, livre des conclusions plus alarmantes que jamais sur le niveau d’inculture de la jeunesse française. Un échantillon représentatif a été interrogé sur un certain nombre de dates très classiques de l’Histoire de France. On ne parle pas de celles du roman national, hein, attention : pas de Bouvines, pas d’Azincourt, pas de baptême de Clovis, pas de mort de Louis XIV ou de traité de Verdun. Pas même d’Austerlitz ou des Trois Glorieuses. On se doute que ce serait beaucoup trop demander. Non, non, là, les questions concernaient l’Histoire comme on l’apprend depuis quelques décennies : avec une France qui commence par la République, des événements « incontournables » comme l’abolition de la peine de mort, la chute du mur de Berlin ou le droit de vote des femmes. Eh bien, même dans cette Histoire rabougrie et politisée, la jeunesse est nulle.
Commençons par les chiffres les plus affligeants. 46 % des sondés ignorent en quelle année a eu lieu la Révolution française. 60 % ne savent pas quand le mur de Berlin est tombé. 77 % sont incapables de donner la date de l’abolition de la peine de mort et 69 % échouent à situer la date à laquelle les femmes ont obtenu le droit de vote. Voilà. Tout simplement. Cette génération née entre 1999 et 2008, à peu près, ne sait rien. On pourrait même dire que plus les dates demandées sont récentes, moins ils en savent. « Ils sont fiers d’être cons », disait Desproges de la jeunesse de son temps, lors de son mémorable réquisitoire contre Cohn-Bendit sur France Inter. On pourrait ajouter que, non seulement ils en sont fiers, mais il n’y a aucune raison pour que cela change. 45 % de cette riante jeunesse, qui est notre relève, s’informe grâce aux réseaux sociaux.
On pourrait modérer un peu cette consternation en constatant deux choses. D’abord, la prédominance des réseaux sociaux ne va pas tarder à sonner le glas de la presse gauchiste subventionnée, du service public de propagande et de toute la cohorte qui va avec : amuseurs stipendiés, commissaires politiques déguisés en fact-checkers, séries qui représentent « la France telle qu’on voudrait qu’elle soit », comme disait Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, lors d’une audition parlementaire… Ensuite, c’est également la fin des totems de l’Éducation nationale à la papa, ce que montre bien le choix des « grandes dates » de ce sondage.
Voilà donc la jeunesse qui vient : une génération inculte et indifférente, disponible pour toutes sortes de bourrages de crâne, qui pense d’ailleurs symboliquement, à 41 %, que le but de la loi de 1905 est de « discriminer les musulmans ». Les francs-maçons de la IIIe République, qui ont voté cette loi par haine de la religion catholique, doivent faire des triples saltos dans leur tombe. Ces gens vont prendre le pouvoir quand nous vieillirons, puis quand nous mourrons. Et la plupart d’entre eux votent déjà, persuadés, pour citer à nouveau Desproges, que « Marceau, Berthier et Périphérique étaient des maréchaux d’Empire ». Il va falloir nous débrouiller avec ce constat. Et encore faut-il s’estimer heureux : on ne leur a pas demandé si la Terre était plate.