Mes amis, de retour pour ce nouveau 4-4-2(vidéo ci-dessous) afin de remettre un peu les pendules à l’heure en ces temps où le mensonge s’est installé durablement sur tous les médias et dans le gosier des politiques. Ces pantins — qu’ils soient journalistes ou politiques — collaborent volontairement contre le peuple, aveuglés par leur bêtise, leur haine, leur cupidité. L’accélération des élites dans l’application des restrictions ségrégationnistes ne faiblit pas dans cette course dictatoriale. L’objectif est à présent de s’attaquer aux enfants. L’heure est grave, il en va de la responsabilité des parents de faire front contre ces fous. Comme le dirait notre ami MYSA, « On a trop cédé de terre… C’est maintenant ou jamais… Si on ne veut pas plonger dans les abysses. Nos enfants nous regardent, le cœur battant. Notre force c’est eux. Et leur rempart c’est nous. »
Soyez certains que le Média en 4-4-2 tiendra sa part, à son niveau, afin d’alerter les Français du danger qui les guette un peu plus chaque jour. Pour le reste, je vous laisse déguster ce 4-4-2, reprendre des forces et je vous dis à très bientôt. Marcel D.
Créée il y a plus de quarante ans, la bande dessinée Thorgal, teintée de fantastique, est aujourd’hui encore la plus connue sur les vikings. Le nouveau tome opère un véritable retour aux sources !
Vers le VII ème siècle, une expédition Viking découvre un bébé dans une mystérieuse embarcation (en réalité une capsule spatiale). Le chef Viking, Leif Haraldson, adopte l’enfant et le nomme Thorgal Aegirsson en référence à Thor, le dieu de la foudre, et Aegir, le dieu des mers. A l’adolescence, Thorgal devient un formidable guerrier doté d’une exceptionnelle habileté au tir à l’arc. Il rencontre la jeune Aaricia, avec laquelle il va vivre ses premières aventures. Thorgal et son épouse Aaricia décident de quitter le peuple viking pour vivre à l’écart de la cruauté des hommes. Thorgal apprend qu’il est le dernier descendant du « peuple des étoiles », la civilisation atlante qui a fui la Terre des siècles auparavant. Au fil de leurs aventures, Thorgal et Aaricia donnent naissance à deux enfants : d’abord Jolan, qui développe rapidement des pouvoirs de modification de la matière, puis Louve, qui possède le don de communiquer avec les animaux. Thorgal a également eu un enfant, Aniel, avec Kriss de Valnor, aventurière sans scrupules, alors qu’il avait perdu la mémoire. Mais il devra sans cesse lutter contre la folie des hommes et des dieux…
Un nouvel album, intitulé Neokóra, vient de sortir. C’est un « bon Thorgal », qui opère un retour aux sources. A bord de leur embarcation, Thorgal, Jolan, Louve et leurs amis font route vers leur village. Mais une tempête fragilise la coque du bateau. Ils font escale dans le village de Nuuk (aujourd’hui la capitale du Groenland) et découvrent la tribu des Skraelings. Ils comprennent que les habitants, y compris Aaricia, sont soumis à un sortilège qui les réduit en esclavage. Ils vont affronter Kriss de Valnor. Thorgal revient enfin à l’île des mers gelées, contrée glaciale dans laquelle se tient le vaisseau spatial atlante qui l’a amené sur terre. Il espère ainsi détruire les armes terrifiantes qu’il renferme. Mais Kriss de Valnor souhaite s’emparer de ces armes…
Cette prestigieuse série est née de la rencontre improbable, en 1976, entre le scénariste belge Jean Van Hamme, passionné par la mythologie nordique, qui venait d’abandonner son métier de cadre commercial, et Grzegorz Rosinski, dessinateur polonais qui en avait assez de participer à la propagande communiste. Le choix du thème de cette série résulte de la situation politique en Pologne. A cause de la censure communiste, il faut éviter tout sujet politique ou religieux contemporain. Leur choix se porte alors sur le monde des vikings, avec une touche de science-fiction et de fantastique qui s’y greffera au fil des albums. Ainsi créée en 1977, cette série décrit les aventures d’un guerrier viking qui aspire, malgré la folie des hommes et des dieux, à vivre en paix avec sa famille. Après l’instauration en 1981 de la loi martiale en Pologne, les scénarios ne passant plus la frontière, Grzegorz Rosinski franchit le « rideau de fer ». Jean Van Hamme devient à cette époque le scénariste de bande dessinée le plus connu, grâce à ses trois principales séries : Thorgal (1977), XIII (1984) et Largo Winch (1990). La série Thorgal a ainsi suscité l’intérêt du jeune public pour l’histoire des vikings et la mythologie nordique. Si Jean Van Hamme imagine que les dieux nordiques existent réellement, il dénonce la brutalité des vikings, assoiffés de conquêtes. Le succès grandissant de la série tient au héros Thorgal, particulièrement charismatique, même s’il rejette la violence, le pouvoir et les richesses. Courageux, guerrier hors-pair, il ne se bat que pour défendre sa famille ou sa liberté. Son épouse Aaricia tient le rôle de la femme aimante au foyer, l’exacte inverse de Kriss de Valnor, aventurière malfaisante. Mais l’originalité de cette série résulte du mélange des genres (historique, science-fiction, fantastique) dans un ensemble qui reste exceptionnellement homogène.
A partir de 2007, la série Thorgal est scénarisée par Yves Sente. Dans le tome 32, Jolan doit se rendre dans le monde des dieux nordiques : il y rencontre Odin. C’est un changement radical et déroutant qui s’opère dans les tomes 34 et 35, sous des décors orientaux imprégnés de magie noire. On regrette un tel déracinement, Thorgal évoluant bien loin des mondes vikings et de la puissance des dieux du nord. Pour le tome 35 arrive un nouveau scénariste : Xavier Dorison, qui parvient à clôturer de façon cohérente et bien rythmée un dytique oriental imaginé à l’origine par Yves Sente. Mais le héros Thorgal, depuis de nombreux tomes, manque de charisme et de dynamisme. On peine également à admettre la bisexualité de Kriss de Valnor, les tromperies conjugales de Thorgal et Aaricia, le dépucelage de Jolan par une déesse, et même une pointe horrifique notamment dans les albums orientaux… La série semblait essoufflée, en deçà de la qualité scénaristique des débuts. Le scénariste Yann reprend le flambeau à partir du tome 37. Il imagine un Thorgal plus posé, tourné vers sa famille. Dans ce tome 39, Yann utilise un ingrédient habituel de cette série : le recours à l’aventurière Kriss de Valnor. Il a surtout la bonne idée de rappeler l’origine de Thorgal, enfant du peuple des Atlantes, avec un retour dans leur mystérieux vaisseau spatial. On retourne ainsi, enfin, à l’esprit des premiers tomes de cette série.
Le dessinateur Grzegorz Rosiński a également quitté la série. Il est remplacé par Fred Vignaux, dessinateur talentueux ayant déjà fait ses armes dans deux albums des Mondes de Thorgal. La colorisation de Gaétan Georges est maîtrisée.
Parallèlement à la série Thorgal ont été créées, dans les Mondes de Thorgal, trois séries parallèles : Kriss de Valnor, Louve et La jeunesse de Thorgal.
Dans la série Kriss de Valnor, scénarisée par Yves Sente puis Xavier Dorison, dessinée par Giulio de Vita, Roman Surzhenko puis Fred Vignaux, cette aventurière, après sa mort, doit convaincre les Walkyries qu’elle mérite d’entrer dans le Walhalla.
Scénarisée par Yann, la série Louve s’inspire des mythologies scandinaves. Yann construit son récit, riche en surprises, en y incorporant des personnages déjà rencontrés dans les albums des aventures de Thorgal : le nain Tjahzi, la Gardienne des clés, le méchant Volsung de Nichor. Le dessin de Roman Surzhenko, qui reste dans l’esprit de la série originelle, est si soigné qu’il ne fait pas regretter celui de
La série parallèle La jeunesse de Thorgal raconte, sur le mode initiatique, les aventures du héros entre ses 15 et 20 ans. Le scénariste Yann nourrit souvent son récit, bien rythmé, de traditions Vikings. Le superbe dessin de Roman Surzhenko rappelle celui de Rosinski. Cette série va encore durer, alors que les deux autres séries parallèles (Louve, Kriss de Valnor) ont pris fin en se raccordant à la série principale.
Kristol Séhec
Thorgal, t. 39, Neokóra, 12,45 euros. Editions Le Lombard.
M6 s’intéresse à l’éolien en baie de Saint-Brieuc à l’occasion d’une émission diffusée dimanche 5 décembre à 21h, dans Dossier Tabou.
Voici comment l’émission est présentée :
« Pour faire face au réchauffement climatique et réduire ses émissions de CO2, la France s’est lancée dans la “transition énergétique”.
Depuis, les éoliennes et les panneaux solaires fleurissent dans nos campagnes et soulèvent toujours plus d’oppositions. À tel point que ces énergies vertes sont devenues un thème majeur de la campagne présidentielle. Entre ceux qui les estiment indispensables et ceux qui les accusent de détruire les paysages ou de faire du bruit, le débat est vif »
L’émission est allée interroger un pêcheur breton pour l’occasion :
Julien Treorel est pêcheur au port d’Erquy depuis 20 ans. Il est l’un des leaders de la lutte contre les éoliennes de la Baie de Saint-Brieuc. Tous les jours, il part avec son équipage, à 3 heures du matin, pour pêcher dans la Baie de Saint-Brieuc et au-delà. Pour Julien, les futures 62 éoliennes de la baie constitueront un obstacle pour les bateaux de pêche. Mais aussi une atteinte au paysage et à la biodiversité. Il dénonce les effets que produiront ces machines surla faune marine.
Toute personne « contact » d’une autre, testée positive au nouveau variant du coronavirus, Omicron, devra être isolée même si elle est vaccinée, a indiqué samedi le ministère de la Santé.
« Toute personne contact à risque d’un cas possible ou d’un cas confirmé du variant B1.1.529, indépendamment de son statut vaccinal, doit être considérée comme ‘contact à risque élevé’ et doit ainsi être placée en quarantaine« , selon le texte envoyé aux établissements et professionnels de santé et dont l’AFP a obtenu copie.
Actuellement en France, où aucun cas confirmé de ce variant n’a encore été annoncé, si une personne est cas contact d’une personne infectée au coronavirus, elle ne doit s’isoler sept jours que si elle n’est pas vaccinée ou que son schéma vaccinal est incomplet et/ou qu’elle est immunodéprimée, selon l’Assurance Maladie.
51 millions de Français ont retrouvé la vide d’avant !*
Heureusement qu’ils ont pas écouté les complotistes et qu’ils ont préféré faire confiance à la science !
Dans le temps électoral présidentiel qui commence, les Français attendent que l’on nomme leurs préoccupations prioritaires et que l’on y apporte des réponses. Les démonstrations historiques ou philosophiques les intéressent certes, mais, dans le cadre d’une précampagne, et, a fortiori, de la campagne à venir, perçue d’ores et déjà comme celle de la dernière chance pour leur pays, ils voudront des questions claires, sans langue de bois ni tabous, et des réponses nettes. Radicales si nécessaire.
Quant à leurs craintes fantasmatiques de l’« incertitude » ou du « désordre », largement matraquées par les médias, elles pèseront bien moins que d’habitude. Car ce qui constitue désormais leur certitude du malheur qui vient va les désinhiber. Et le désordre, ils le vivent dès à présent. Le mythique « plafond de verre » n’y résistera pas.
Ces préoccupations prioritaires sont, de sondage en sondage, l’immigration, la criminalité, l’islamisation, le terrorisme, la menace sur l’identité majoritaire historique (qui est un droit de l’homme), mais pas seulement. Car il y a aussi le chômage, la désindustrialisation, la paupérisation, le déclassement (des classes moyennes), la baisse du pouvoir d’achat (ou la hausse des prix), la décadence des services publics (tous ces services, mais particulièrement la Justice et l’École). Et il y a, enfin, le recul des libertés, de l’État de droit et de la démocratie.
Pourtant, il existe une réponse globale – et une seule – à ces trois types de fléaux : elle consistera à rendre enfin aux Français leur droit démocratique fondamental de décider de leur destin et de celui de leurs enfants, notamment en ce qui concerne les grandes options politiques, économiques, industrielles, sociales, culturelles, militaires, diplomatiques. Cette réponse sera le retour (sur ces sujets) à une souveraineté nationale partielle, mais sans aller jusqu’au Frexit, car les Français en ont peur et ils rejetteraient le (la) candidat(e) qui le leur proposerait.
Ce retour rendra nécessaire une réforme par référendum de la Constitution afin :
– de replacer solennellement certains principes souverains au-dessus des traités européens ; – de déclarer la Constitution non modifiable sans référendum ; – d’instituer trois types de référendums : obligatoires, ou à la discrétion de l’exécutif, ou à la demande du peuple (par amélioration drastique des seuils du RIP actuel) ; – d’entrer dans un vrai système de représentation parlementaire proportionnelle ; – de révolutionner la Justice dont il y a bien peu à garder du système actuel ; – de poser dans la Constitution les principes souverains sur : migrations, droits des étrangers, nationalité.
Enfin, il conviendra de créer des juridictions d’exception pour juger les islamistes, adeptes d’une idéologie et pratique génocidaires (en Irak, en Syrie, en Libye, au Nigeria…), et auteurs ou complices de crimes contre l’humanité. Il faudra des prisons spéciales et lointaines pour ces crimes et complicités imprescriptibles et passibles de perpétuité incompressible.
Le (la) meilleur(e) Président(e) pour la France en 2022 sera celui (celle) qui écoutera les besoins essentiels et majoritaires des Français, fera des propositions de solutions puis les mettra en application sans faiblir. Encore faut-il qu’il (elle) soit élu(e). Et là, cela ne se pourra sans un minimum d’union. Souverainistes de tout le pays, unissez-vous derrière un programme commun et un projet politique ! Sinon, alors que le souverainisme est désormais majoritaire dans notre nation, l’Histoire vous désignera comme les coupables de la fin de la France. Et des grands désordres et souffrances qui surviendront.
Les chiffres sont rarement évoqués, mais les grandes migrations de ce siècle cachent une économie et des transferts de fonds gigantesques. Pas moins de 589 milliards de dollars, soit 520 milliards d’euros : telle est la somme colossale que les migrants du monde entier auront perçue dans leur pays d’accueil en 2021 et qu’ils auront envoyée dans leur pays d’origine, selon les estimations de la Banque mondiale publiées le 17 novembre. Un chiffre en hausse de 7,3 % sur un an, soit par rapport à 2020.
Ces fonds, perçus hors de leurs frontières et que les migrants rapatrient dans leur pays – des pays souvent à revenus faibles ou intermédiaires -, devraient continuer à croître en 2022 avec une augmentation de 2,6 %. Contrairement à ce que l’on peut imaginer, les effets de la pandémie n’ont quasiment pas impacté le cours de ces fleuves d’argent. Toujours selon la Banque mondiale, les transferts de fonds sont, aujourd’hui, trois fois supérieurs aux investissements directs à l’étranger (IDE) et aux aides publiques au développement (APD). Pour de nombreux pays, il s’agit d’une source considérable de revenus impactant largement l’économie du pays. C’est ainsi le cas du Liban (34,8 % du PIB), de la Gambie (33,8 %) et du Népal (24,8 %). Quant aux principaux transferts de fonds venus de l’Union européenne, ils se dirigent vers les pays du Maghreb, notamment le Maroc, l’Algérie et la Tunisie.
Dans ce concert, les chiffres d’Eurostat montrent que la France est le pays d’Europe qui envoie le plus d’argent vers l’étranger. En 2020, pas moins de 11,2 milliards d’euros ont, ainsi, quitté les frontières de l’Hexagone. Selon le rapport de la Banque de France, ces exportations financières vont en priorité vers l’Afrique du Nord et subsaharienne. De leur côté, les flux entrants sur le territoire français (venus, notamment, de Suisse et d’Allemagne) se sont considérablement affaiblis depuis 2009, tandis que les flux sortants, eux, sont en hausse. Ils ont bondi de 6,3 milliards, en 2009, à 11,2 milliards, donc, en 2020.
Les sommes d’argent qui voyagent entre les pays occidentaux et le tiers-monde peuvent être transférées par plusieurs canaux : par les banques et les établissements de monnaie (Western Union, MoneyGram…) ou bien par les systèmes informels tels que les porteurs de confiance ou le marché noir. En passant par des sociétés reconnues par l’État, le service des impôts français peut engager une réduction fiscale. D’après l’article 156 du Code général des impôts, ces versements sont considérés comme des pensions alimentaires. Il suffit de fournir une déclaration de revenus, un justificatif de l’état de besoin du bénéficiaire et un document attestant du lien de parenté.
D’après la Banque mondiale, cet argent représente une aide à la « précarité économique » pour « soulager les ménages mis à rude épreuve ». Pourtant, d’après les déclarations à l’Assemblée nationale de l’ancien directeur de la cellule anti-blanchiment de Bercy TRACFIN, Bruno Dalles, ce soutien familial fait partie aussi des sources de financement du terrorisme. Un financement qui bénéficie donc… d’une défiscalisation par l’État français. Un comble !
Toute la caste politicienne, journalistique, judiciaire, associative, syndicale, artistique, est mobilisée pour détruire, par tous les moyens, Éric Zemmour, et une candidature qui dérange le système.
L’objectif paraît clair : à travers la délation de sa vie privée supposée, et le guet-apens marseillais, il faut montrer aux Français que cet apprenti politicien n’a pas le profil pour postuler à l’élection présidentielle.
D’ailleurs, avec ses gros sabots, Marine Le Pen arrive à la conclusion souhaitée par ses adversaires, et appelle Éric à rentrer dans le rang, derrière elle, bien sûr. Elle avait fait le même coup aux généraux signataires de la célèbre tribune.
Sauf que la réalité est juste un peu plus compliquée. Depuis qu’il a annoncé sa possible candidature, c’est Éric Zemmour qui impose les thèmes de la campagne. Même les collabos de la Licra sont obligés d’en convenir : les Français partagent son diagnostic.
Et pour la plus grande honte de ceux qui osent encore contester la réalité du Grand Remplacement, Marine Le Pen – hélas – en tête, le remarquable reportage réalisé par le journaliste du Livre noir Jordan Florentin et son équipe est plus parlant que de longs discours.
Bien sûr que Marseille, mais aussi de nombreux quartiers de France et de Navarre, de plus en plus nombreux, est occupée par des personnes qui sont peut-être, pour certaines d’entre elles, Français de papiers, mais qui n’ont rien de Français par leur comportement, leurs mœurs, leur langage, leur mode de vie. Ce sont, pour beaucoup d’entre eux, des envahisseurs, des soldats dormants de l’islam, qui, par la loi du nombre, de la ruse ou de la violence, participent au changement de peuple et de civilisation de notre pays. Ce que Renaud Camus, le premier, avait appelé le Grand Remplacement.
La France, à Marseille et ailleurs, compte des milliers de territoires occupés, à cause de la politique menée par la gauche, depuis quarante ans, avec la complicité d’une droite collabo, incapable de lutter contre la destruction de notre pays mise en place par les mondialistes, et accélérée depuis les quinquennats de Hollande et Macron.
À leur façon, Jean Messiha et Kevin Bossuet, enseignant dans le 93, confirment l’œuvre funeste de la gauche dans cette mise à mort de la France.
Marseille, la France créolisée que veulent nous imposer les traîtres Macron et Mélenchon, en est l’illustration absolue. Choupinet, après une visite théâtrale, il y a quelques semaines, a décidé de donner 1,5 milliard de nos impôts à cette ville qui, dans beaucoup de quartiers, n’est plus la France, après que 6 milliards y ont été injectés en vain en quelques années. Quant à Mélenchon, à qui il a été attribué une circonscription sur mesure, il raconte partout que c’est la plus française des villes de notre pays.
Donc, dans ce contexte, les Français, et nous les premiers, s’en foutent de savoir si Zemmour a une relation amoureuse avec Sarah Knafo, s’il est le père de l’enfant que Closer annonce, s’il est toujours en couple avec son épouse ou séparé de corps, s’il fait ménage à trois et de toutes les histoires de « police de la braguette » que les médias mettent en place, spécialement contre Éric.
Ce qui nous intéresse est la question suivante : avons-nous envie que la France, dans dix ou vingt ans, ressemble à Marseille, aux quartiers Est du Paris d’Hidalgo, et à toutes les périphéries islamisées de France ? Autrement dit, qu’elle ne soit plus la France, et qu’elle meure, sous les assauts de l’invasion migratoire, de la démographie et de l’islam.
Ou bien pensons-nous que cette France, que les dirigeants français et les mondialistes ont condamnée à mort, « n’ait pas dit son dernier mot », et que, en votant massivement pour Éric Zemmour, et en l’élisant en 2022, elle n’envoie un sursaut salvateur à l’ensemble du monde, et principalement à l’Occident ?
Il faut le savoir, contre Éric Zemmour et son discours, ils sont tous complices, comme le confirme cet entretien, très complice, réalisé à Marseille, entre le président de la République et Mélenchon. Et là, les antifas, qui se disent anti-capitalistes, brillent par leur absence !
Nous avons vu en œuvre, en 24 heures de visite dans la capitale phocéenne, toute la pourriture du système. Aucun élu, sauf le courageux Stéphane Ravier, ne l’a accueilli. Les journalistes ont participé largement au guet-apens de sa promenade dans le quartier du Panier. L’Église catholique islamo-collabo l’a interdit de parole dans le quartier de la Bonne Mère. Les milices antifas ont tout fait pour pourrir sa visite, avec la complicité des autorités, qu’on a connues plus répressives en d’autres circonstances.
Ce Marseille est-il l’image de ce que sera la France dans dix ou vingt ans ? C’est tout l’enjeu de la candidature d’Éric Zemmour, et cela explique l’énergie et la haine que le système – dont le prochain candidat de LR, annoncé le 4 décembre – déploie à son encontre.
Nous n’avons qu’un mot à dire à Éric Zemmour, à quelques jours de l’annonce de sa candidature et du meeting du Zénith, le 5 décembre prochain : qu’il tienne bon, car la vraie France est derrière lui.
Ajmal Amani, 41 ans, a été abattu vendredi matin dans le couloir étroit d’un hôtel après avoir menacé plusieurs personnes avec un grand couteau de cuisine. Il a été touché à l’estomac et à la jambe et est décédé à l’hôpital.
Amani était un ancien interprète afghan pour les forces spéciales américaines. Il avait été blessé par balle à plusieurs reprises au cours de ses cinq années de service et souffrait de troubles de stress post-traumatique, selon ce qu’ont déclaré son ancien avocat.
Amani a été inculpé pour agression avec une arme en 2019 pour avoir tailladé au cutter un garde-forestier de la ville.
La police de San Francisco a publié de nouveaux détails et la vidéo d’une fusillade impliquant un officier la semaine dernière, qui a fait un mort.
La police a déclaré qu’elle répondait à un appel au 911 d’un homme brandissant un couteau et menaçant des personnes à l’intérieur d’un hôtel résidentiel dans le bloc 900 de Folsom Street lorsque l’incident s’est produit.
Les images des caméras corporelles de la police de San Francisco et les vidéos de surveillance des bâtiments montrent Ajmal Amani, 41 ans, tenant un couteau et chargeant les officiers John Quinlan et Danny de Leon Garcia.
Le commandant de la police de San Francisco, Paul Yep, a déclaré qu’Amani, qui a des antécédents de maladie mentale, est décédé plus tard des suites de ses blessures à l’hôpital général de San Francisco.
Cette affaire fait toujours l’objet d’une enquête menée par plusieurs agences indépendantes, ce qui est la pratique standard pour toutes les fusillades impliquant un officier.
Un policier de 29 ans a été agressé à l’arme blanche ce dimanche au centre commercial Italie 2, dans le 13e arrondissement. Deux agresseurs présumés ont été interpellés dans la soirée.
Un policier «hors service» de 29 ans a été grièvement blessé à l’arme blanche au centre commercial Italie 2, dans le 13e arrondissement de Paris, a appris Le Figaro de source policière. L’agression s’est produite ce dimanche 28 novembre vers 18h40 alors que le policier embrassait sa compagne.
Plusieurs jeunes – décrits dans le signalement que nous avons pu consulter comme «des individus de type africain» – auraient alors fait une remarque en disant qu’ils «en voulaient aussi». Le policier, qui était en train de mettre sa compagne à l’écart, a ensuite été bousculé par l’un des jeunes. Une explication s’en est suivie sur un parvis au 2e étage du centre commercial au cours de laquelle le policier a reçu deux coups de couteau à l’abdomen.
INFO ACTU17. Un policier hors service a été grièvement blessé au couteau ce dimanche soir au centre commercial Italie 2 à Paris (XIIIe). Plusieurs agresseurs sont en fuite et activement recherchés.
Violente agression à l’arme blanche vers 18h45 au centre commercial Italie Deux, à Paris. Un policier de 29 ans qui était hors service et qui se trouvait avec sa compagne, a reçu au moins un coup de couteau au thorax et s’est effondré selon nos informations.
Quatre ou cinq agresseurs sont recherchés activement par les forces de l’ordre. Pour l’heure, on ne connait pas les circonstances exactes de cette agression. Tout aurait débuté par un différend entre le couple et un groupe d’individus virulents d’après une source policière. On ne sait pas si ces derniers avaient connaissance de la qualité de policier de la victime.
🔴 [Info @Valeurs] Un policier hors service a été poignardé à l'abdomen à la suite d'un différend avec une bande de jeunes de "type africain" vers 18h40 ce dimanche, au centre commercial Italie 2 dans le 13e à Paris. Il a sorti son arme de service. Les agresseurs sont en fuite.
Insécurité des enseignants : «L'administration cherche à cacher le problème et pense qu'en déplaçant le professeur on va supprimer le problème», assure Didier Lemaire dans #LPSipic.twitter.com/D1ASCAfxk8