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Salles de prières improvisées dans les universités : « C’est le signe d’une forme de maladie qu’on a laissée s’installer dans un certain nombre d’institutions qui sont censées être laïques » estime la sénatrice.
La chanson du jour, The Days Of Pearly Spencer – Marc Almond
Très belle reprise du tube de David Mc Williams sorti en 1967. Marc Almond est un merveilleux chanteur. Il peut tout chanter, du morceau le plus pointu jusqu’à la chanson la plus kitsch. Tout devient extrêmement intéressant et jouissif interprété par lui et cette voix magnifiquement timbrée, souple, puissante, sans maniérisme.
Pour les puristes la version originale de 1967 :
Pour aller encore plus loin avec cette chanson, une interprétation de ce morceau par David Bowie:
Mort de Napoléon, il y a 200 ans : les chances gâchées de la France
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On va célébrer, le 5 mai 2021, le deux-centième anniversaire de la mort de Napoléon Ier, prisonnier des Anglais, après une brillante et héroïque défaite, comme les Français les aiment, à Waterloo. J’ai la faiblesse de préférer les victoires calmes et laborieuses aux brillantes épopées mortelles. Comme, par exemple, l’œuvre d’apaisement et de prospérité d’Henri IV. Car Napoléon a laissé la France plus petite que celle qu’il avait trouvée à son avènement.
Il a commis beaucoup d’erreurs, mais aussi connu des victoires étincelantes. Notamment celle d’Austerlitz, le 2 décembre 1805. Toujours en 1805, il y avait eu d’autres victoires sur terre, mais des échecs sur mer. La situation, pourtant, n’était pas facile : le traité de Saint-Pétersbourg avait fondé une troisième et formidable coalition contre la France : Russie, Angleterre, Suède, Autriche. Mais le triomphe d’Austerlitz (que Villepin ne voulut pas commémorer) ne fut pas saisi comme une chance unique d’isoler l’Angleterre.
Rappelons une suite d’erreurs. De 1798 à 1801, la campagne d’Égypte fut insensée et se termina sans gloire : Napoléon lâcha Kleber pour poursuivre ses ambitions politiques en France. À cette époque, il aurait été bien plus avisé de libérer le Canada perdu trente ans plus tôt au lieu de vendre la Louisiane aux USA, en 1803, sans l’assentiment de l’Assemblée nationale et en violation des traités.
En 1805, la première erreur de Napoléon est de renoncer à susciter des révoltes en Écosse et en Irlande, puis à envahir l’Angleterre.
La deuxième erreur est d’avoir confié toute la flotte à Villeneuve, ce qui conduira à Trafalgar.
La troisième erreur – de beaucoup la plus grave – est de ne pas avoir utilisé l’extraordinaire victoire d’Austerlitz contre la coalition austro-russe. En effet, sous le coup de ce grand succès, la Prusse et même l’Angleterre (Pitt puis Fox) sont prêtes à négocier. Mais Napoléon va avoir la folie des grandeurs, redécouper les royaumes et les empires et caser sa famille sur des trônes.
Autre erreur : le blocus continental. Puis il y aura des révoltes populaires, en Calabre, en Espagne, au Tyrol… Les succès militaires saignent peu à peu la jeunesse française : un manque de pères qui creusera la pyramide démographique et fera qu’en 1870, la France se battra contre la Prusse et ses alliés à un contre deux. Il y aura la quatrième, puis la cinquième coalition. Napoléon va s’emparer de territoires de plus en plus éloignés du sol national, comme Naples, la Pologne, l’Ukraine, la Dalmatie… La sixième coalition sera fatale et le début de la fin, prévisible. La bataille d’Aspern-Essling, en mai 1809, fut une défaite française où Napoléon commença à recourir à des soldats de plus en plus jeunes. La suite est connue.
Longtemps, j’ai admiré l’Empereur. Bien plus tard, j’ai modifié mon appréciation. L’homme fut un général exceptionnel. Et son épopée flamboyante, extraordinaire. Mais si le bilan juridique et administratif est également impressionnant, le bilan politique – la seule chose qui compte – n’est pas bon. La France a perdu beaucoup de territoires (Louisiane, Belgique, Maurice, Seychelles, îles Anglo-normandes, Ligurie…) et elle est passée à côté de beaucoup d’occasions de paix ou de reconquêtes de territoires perdus (Canada, Haïti, Brésil…).
Et, surtout, l’Empire a perpétué, ou même accru, le climat de guerre civile permanente et les causes de multiplication de coups d’État et de révolutions qui ont commencé en France en 1791, confrontant, sur plus d’un siècle, royalistes, républicains et bonapartistes. Puis la gauche et la droite. Ce qui fait de nous un pays particulièrement passionnel. Napoléon puis Hitler ont voulu tailler dans l’Europe puis la recoudre à leur guise. À présent, la Commission européenne poursuit, par des moyens moins violents mais plus sournois, un projet tout aussi erroné et contre-productif. Un projet qui échouera lui aussi car il oublie les peuples d’Europe.
Henri Temple, Boulevard Voltaire
Cette dictature qui tisse sa toile chaque jour un peu plus…
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On l’a oublié, la liberté n’est pas donnée à tous les peuples comme un droit inaliénable. La liberté s’offre aux peuples intrépides, qui n’ont pas peur de l’avenir, et ne se terrent pas tous aux abris au premier coup de semonce. Elle est réservée aux peuples forts, capables d’en assumer les conséquences, capables de s’imposer y compris à leurs dirigeants. Le peuple Français est il encore réellement éligible à cette liberté, qui est une bénédiction, mais aussi une charge qu’il faut assumer, un trésor à défendre ? C’est là toute la question qui se pose aujourd’hui. Car la dictature, que l’on croyait définitivement chassée de nos contrées, pointe à nouveau le bout de son nez, revient à la charge, certes de façon “douce”, protectrice, compatissante à nos malheurs, mais elle revient bel et bien. Et elle revient sur un terrain soigneusement préparé depuis longtemps.
Le principe de précaution a été inscrit en 2005 dans la constitution française par Jacques Chirac. Sa position sacro-sainte fait que le pouvoir a désormais le devoir de suspendre des libertés en cas de risque sur la vie humaine. C’est exactement ce qui se produit sous nos yeux. Restrictions aux sorties, aux déplacements, interdiction de travailler, d’exploiter son commerce, les atteintes aux libertés sont d’une nature inédite, poussées à leur extrémité, en vertu du principe de précaution. Comme l’a dit Tiphaine Auzière, fille de Brigitte Macron embauchée comme chroniqueuse politique sur Europe 1, “la première des libertés, c’est de ne pas mourir”. Si l’on avait suivi ce principe en 1789, la Révolution Française n’aurait jamais eu lieu, comme tant d’évènements glorieux qui ont fait des Français un peuple libre. La peur du virus est certes le cheval de Troie de la dictature, la brèche avait été ouverte avec ce principe de précaution qui, poussé à son extrémité, paralyse toute velléité de rébellion. Mais les esprits sont préparés de longue date, sur plusieurs aspects : de la télé réalité aux réseaux sociaux, en passant par les caméras de surveillance, les gens sont désormais accoutumés à livrer leur intimité au public. Demain, si nous n’y prenons garde, ils seront formatés pour présenter un pass sanitaire, mais aussi pourquoi pas judiciaire, bancaire, voire politique pour disposer de ses droits élémentaires.
Et puis, il y a les droits des minorités, les lois mémorielles, les lois contre l’injure, l’insulte, appliquées à tort et à travers. Désormais, Annie Cordy est une infâme raciste, Tintin un suppôt du colonialisme, Babar un réac misogyne, Pépé le Putois un agresseur sexuel, et je ne parle même pas de Napoléon et de tant d’autres. La protection de la dignité de chacun sert à justifier une censure implacable, qui vient chercher la petite bête à la moindre parole ou attitude “douteuse”. Il me semblait qu’en régime de liberté d’expression, chacun devait se blinder, et accepter d’entendre des paroles douloureuses à ses oreilles. Mais tout cela est-presque-fini : au nom de la susceptibilité des uns et des autres, au premier rang desquels figurent “racisés”, musulmans et LGBT, il ne faut plus rien dire, voire même éviter de les évoquer : le simple nom de certaines communautés est devenu un tabou inattaquable.
C’est donc au nom de notre santé, de notre “dignité”, de notre sensibilité, de la protection des minorités, de l’antiracisme et de la lutte contre l’homophobie, que l’on est en train d’installer une dictature d’un nouveau genre, probablement la plus intrusive de l’histoire. Il faudra absolument trouver en nous la force d’y résister. Autrement, c’en sera fini de la France libre, fière et joyeuse que nous avons toujours connue.
Olivier Piacentini, R. Laïque.
Après la gauche pédophile, la gauche raciste
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Le remarquable Guy Millière publiait récemment, sur le journal ami Dreuz, un remarquable article intitulé : “La destruction de la civilisation par la gauche se poursuit”.
Parallèlement, en France, malgré le silence médiatique, les Français découvrent, quotidiennement, la réalité de ce travail de déconstruction, mené depuis mai 1968, avec un succès incontestable, hélas.
Ils ont d’abord découvert, suite au scandale Duhamel, que cette gauche avait encouragé, sans vergogne, la pédophilie en France, et qu’elle avait assuré l’impunité des Daniel Cohn-Bendit, Olivier Duhamel. Et combien d’autres, qui se sont distingués, hier et aujourd’hui, dans les pays du Maghreb en utilisant de la chair fraiche, sans vergogne ? Nos compatriotes ont pu découvrir ce monde de dégénérés, grâce au livre de Camilla Kouchner, “La Familia Grande”, et ont eu la confirmation que – dans ce monde – on poussait les enfants à avoir des relations sexuelles au plus vite, et que, sous couvert de leur émancipation sexuelle, cette caste se servait d’eux pour assouvir ses fantasmes. Ils ont pu découvrir le silence complice de Mélenchon et de ses compères, obsédés par les dissolutions de ceux qui ne pensent pas comme eux, et peu pressés de se mettre à dos des alliés potentiels, fussent-ils pédophiles.
A présent, les Français, qui pensaient que la gauche incarnait l’antiracisme, découvrent une mafia qui assume son racisme, sans le moindre complexe. Ceux qui suivaient le combat antiraciste, et le subissaient, connaissaient déjà depuis longtemps l’ampleur de l’imposture. Ils avaient compris que ce combat ne servait qu’à détruire l’Occident et sa culture, en culpabilisant le seul Homme Blanc, pourtant le moins raciste, et en taisant la réalité des agressions quotidiennes, subies par les Français et leurs enfants à l’école, qui vient toujours de la part des populations africaines – noires ou arabes – et jamais des Asiatiques. Ils avaient analysé que ce combat servait à imposer une immigration massive de peuplement, à changer notre mode de vie, notre culture, notre civilisation, et donc notre peuple.
Quand Sopo et ses complices osaient nier le racisme anti-blancs, cela ne faisait pas trop de vagues, tant était grande la complicité de l’ensemble du système mondialiste et de ses médias. Dans la plus parfaite logique, l’Unef a reproduit ce discours, mais a franchi une étape avec ses réunions racialistes, qui autorisent à certains de participer à des réunions que d’autres, à cause de leur couleur de peau, ne peuvent honorer de leur présence.
Ce qui est nouveau, c’est que toute cette gauche, après s’être vautrée dans la collaboration avec les islamistes du CCIF, par une manifestation contre l’islamophobie en novembre 2019, après s’être mise à genou devant le racialisme haineux des Black Lives Matter quelques semaines après, continue de tomber le masque en soutenant, et avec quelle virulence – n’est-ce pas Mélenchon ? – les racistes de l’Unef, dont une vice-présidente, qui s’est réjouie que Notre-Dame brûle et qui appelle ouvertement à “gazer les Blancs”. Et tous les anciens de l’Unef, qui ont, avec SOS Racisme, fourni les cadres de la gauche depuis quarante ans, montent au créneau, en dénonçant rien de moins qu’une campagne de l’extrême droite contre leur beau syndicat pourri, devenu raciste.
Ceux qui ont fait croire, depuis cinquante ans, que dénoncer l’invasion migratoire, l’islamisation de notre pays et l’insécurité qui va avec, c’était du racisme, tombent enfin le masque. Ils tiennent, et défendent, des propos racistes, justifiant l’exclusion des Blancs dans certaines réunions, alors qu’ils auraient demandé la dissolution du FN, et auraient multiplié les plaintes contre lui, s’il avait tenu les mêmes propos en excluant les noirs.
Après la gauche pédophile, voici la gauche raciste au service de la destruction de la France et de l’Occident, pour mieux imposer le mondialisme, la fin des Etats-Nations et de l’identité des peuples. S’il est une militante qui incarne cette dégénérescence, c’est bien Audrey Pulvar. Elle a protégé son père, syndicaliste de gauche en Martinique, mais aussi pédophile, dont la notoriété l’a aidée à entrer à la télévision. Elle racontait – il y a encore quatre ans – qu’il était un héros, avant de le rejeter, quand ses cousines ont dénoncé ce qu’il était vraiment.
Audrey Pulvar : “Mon père, ce héros et ce pédo”…
Et là, elle vient de se distinguer en tenant des propos ouvertement racistes, imposant aux Blancs de se taire devant les Noirs, rien de moins ! Et il se trouve des militants de gauche, chez les écolos et les Insoumis, pour soutenir de tels discours, qui devraient – si nous étions dans un pays normal – lui valoir les foudres de la 17e Chambre, qu’elle mérite bien plus que les Gérard Boyadjian, Eric Zemmour, Brigitte Bardot, Georges Bensoussan, Christine Tasin, Pierre Cassen, Renaud Camus et ces dizaines de persécutés par les collabos de l’antiracisme et le Parquet aux ordres du régime.
A ce jour, aucun commentaire des associations dites antiracistes, aucun commentaire d’Anne Hidalgo, dont elle défend les couleurs aux prochaines élections régionales comme tête de liste, aucune demande de démission : il faut sauver le soldat Pulvar par tous les moyens. Car, comme le disait l’avocat islamo-gauchiste Arié Alimi (amant d’une autre dégénérée, Cécile Duflot), autre spécimen de cette clique, penser qu’un Noir puisse être raciste, c’est de la paranoïa.
Il aura tant besoin d’eux, en 2022, pour glapir sur tous les plateaux de télévision que “les chars nazis sont aux portes de Paris”, que “la République est incompatible avec le racisme et le fascisme”, et autres escroqueries sémantiques qui ont aveuglé les masses depuis cinquante ans, pour le plus grand bonheur de ceux qui se sont donnés comme mission – comme Macron, Mélenchon, Jadot, les communistes, les gauchistes, les socialistes et les antiracistes – de détruire la France et sa civilisation. Et pour accomplir ce dessein, ils ont largement infiltré l’appareil d’Etat, depuis l’arrivée de Mitterrand au pouvoir.
En 2022, les Français auront le choix de voter pour la France, ou pour les mondialistes pédophiles racistes de gauche qui veulent la détruire.
Riposte Laïque
Risque de guerre civile: «La situation est bien plus grave que ce que les gens imaginent», selon Me de Montbrial
Articles : Mar. 2021 – Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020
Terrorisme, délinquance, insécurité: la France est-elle au bord du précipice? Alors que les émeutes embrasent Beauvais, Lyon, Amiens, selon l’avocat Thibault de Montbrial, «il est minuit moins cinq» avant que la France ne sombre dans l’abîme. Entretien sans concession.
«Nous avons encore une petite chance d’éviter une guerre civile. Il faut en tout cas tout faire pour l’éviter, sans pour autant renoncer à nos valeurs», prévient Thibault de Montbrial devant les caméras de Sputnik.
Pessimiste sur l’état de la menace qui pèse sur la sécurité nationale, l’avocat au barreau de Paris se montre très sévère à l’encontre de la classe dirigeante. Qu’elle soit de droite ou de gauche, celle-ci serait selon lui coupable de bien des renoncements.
Zones de non-droit
Paradoxe suprême, poursuit l’auteur de l’essai Osons l’autorité (Éd. de L’Observatoire), «tous les hommes politiques de la gauche républicaine jusqu’à la droite nationale sont parfaitement conscients de ces problèmes, même ils ne l’admettent pas forcément publiquement.» La menace se ferait pourtant, à l’en croire, de plus en plus précise au cœur même du territoire français. En témoigne la récente flambée de violences urbaines à Beauvais, mais aussi certains quartiers de Lyon ou d’Amiens.
«À partir du moment où l’autorité de l’État disparaît, certains en profitent et s’engouffrent dans la brèche […] Aujourd’hui, le gouvernement n’a ni les moyens ni l’intérêt d’aller à l’affrontement direct pour rétablir l’ordre dans les banlieues, car cela aboutirait très vite à des drames et des morts des deux côtés.»
D’autant plus qu’à l’augmentation de la délinquance et des actes de violence («de 15% à 20% depuis le mois de juin dans les villes moyennes françaises», avance notre invité) s’ajouterait la menace terroriste, plus réelle que jamais en France si l’on en croit celui qui est aussi le cofondateur du Centre d’analyse du terrorisme.
«Je suis très pessimiste concernant l’état de la menace terroriste: de nombreux djihadistes qui sont allés combattre en Syrie sont en fin de peine. Entre 2018 et 2022, plus de 250 combattants sont ou vont sortir de prison. Il faut s’attendre à des attaques de type militaire ou guérilla dans les années à venir», alerte Thibault de Montbrial.
Le vent du dimanche des Rameaux donne la tendance de l’été !
Articles : Mar. 2021 – Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020
Ce dimanche 28 mars est celui des Rameaux. D’après un ancien dicton populaire, “le vent des rameaux est le vent dominant de l’année, et plus particulièrement de l’été”. Si l’on en croit ce dicton météo, quelles seraient les conditions météo pour ces prochains mois? Analyse de La Chaîne Météo.
Les Rameaux 2021 ont lieu ce dimanche 28 mars, le dimanche qui précède le dimanche de Pâques.
Le vent ce dimanche sera de secteur sud à sud-ouest sur la France avec un temps sec et doux pour le dimanche des Rameaux. Les températures atteindront 14° à 20°C l’après-midi de ce dimanche sur la plus grande partie du pays, soit des températures légèrement supérieures aux moyennes de saison.
Que disent les prévisions saisonnières ?
La configuration majoritaire d’un flux orienté au secteur sud-ouest laisserait à penser que les prochains mois seraient marqués par un temps plutôt chaud jusqu’à la fin de l’été. L’orientation au secteur sud-ouest pourrait laisser envisager une tendance orageuse sur les régions de la moitié nord, si cela se vérifiait pendant l’été. Ce constat est d’ailleurs assez en phase avec nos prévisions saisonnières, dont les premières tendances envisagent plutôt un été chaud et possiblement orageux et plutôt en raison d’anticylones durablement prévus l’Europe continentale et de dépressions vers la péninsule ibérique.
Bien que les Rameaux soient une date changeante, comme Pâques, il est curieux de constater que ce dicton se vérifie, globalement, à près de 70%. L’été dernier en fut un exemple parfait, où le vent soufflait de secteur sud-est pour les Rameaux, synonyme d’été chaud et sec, ce qui fut le cas.
Les dictons météo associés aux Rameaux
“Le vent qui souffle sur les Rameaux, ne changera pas de sitôt” est l’un des dictons météo les plus populaires. Selon la croyance, le vent qui souffle le dimanche qui précède Pâques sera le vent dominant de l’année.
Différentes variantes de ce fameux dicton existent, toutes reliées à la même signification :
– “Le vent, pour les Rameaux, bénit. Toute l’année souffle et s’ensuit“
– “Vent qui bat les Rameaux, bat neuf mois de l’année“
– “Le vent qui a soufflé pendant l’office du dimanche des Rameaux sera le vent de l’année : c’est le coq du clocher qui en a décidé“
– “Le vent qui tire pour les Rameaux, tire toute l’année“.
Les origines du dimanche des Rameaux
Selon les écrits liturgiques, le dimanche des Rameaux célèbre l’arrivée triomphale de Jésus Christ en tant que messie en terre sainte. De nombreuses personnes, ayant entendu parler des prêches et des miracles accomplis par ce dernier, se regroupent à l’entrée de Jérusalem pour l’accueillir. Alors que Jésus arrive à dos d’un ânon, signe d’humilité, la foule brandit sur son passage des branches de palme tout en revêtant son chemin de manteaux.
Le dimanche des Rameaux marque aussi l’entrée des chrétiens dans la semaine sainte et la Passion du Christ, la dernière semaine du vivant de Jésus. Elle s’achève par le dimanche de Pâques, jour célébrant la résurrection de Jésus Christ.
Que signifie le mot « Rameaux » ?
Dans la tradition juive, le rameau de palmier (ainsi que le terme “Hosanna”) fait référence à la fête juive des récoltes. C’est aussi, dans la chrétienté, un cri de joie et de bienvenue : c’est par ce mot que Jésus fut accueilli à Jérusalem. Enfin, le rameau symbolise la prospérité et la victoire.
La messe des Rameaux
La célébration du dimanche des Rameaux commence à l’extérieur de l’église. Les chrétiens sont invités à apporter des rameaux ou une branche de palme, lesquels seront bénis par le prêtre. Cette procession étant accomplie, la célébration reprend à l’intérieur de l’église. Au terme de la cérémonie, les chrétiens accrochent les rameaux aux crucifix de leurs maisons. Ils les gardent jusqu’au Mercredi des Cendres l’année suivante, où ils peuvent les apporter pour les faire brûler. Cette date marque l’entrée de la chrétienté dans la période du Carême.
LaChaineMeteo.
Lyon revient sur la transformation de “Louis XIV” en “Louis 14” : victoire du camp du mal
Articles : Mar. 2021 – Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020
La restauration de la statue équestre de Louis XIV, sur la place Bellecour, à Lyon, avait commencé cette semaine. Tout allait bien. Pourtant, Dieu sait que la figure du Roi Soleil n’était pas tout à fait en phase avec les idées de la mairie écologiste. Pensez donc ! Patriarcal en diable, résolument hétéronormé, peu au fait des règles du consentement, terriblement ethnocentré (et probablement raciste), moyennement vegan, pas tellement anti-chasse, relativement peu soucieux de son empreinte carbone (quoiqu’à l’époque cela n’eût guère de répercussions), belliciste qui aima trop la guerre comme il en convint lui-même, Louis-Dieudonné Capet (dont même le deuxième prénom est devenu suspect) avait ce qu’on appelle un gros dossier.Mais que voulez-vous, les ploucs se sont habitués, ils aiment leur histoire rance et nauséabonde, et puis peut-être n’y avait-il pas de statue de Rosa Parks toute prête pour remplacer l’oppresseur. Allez savoir.Toujours est-il que la restauration commençait bien. La mairie fit alors l’erreur de communiquer sur Twitter dans les termes suivants : “Place Bellecour : la restauration de la statue de Louis 14 démarre”. Louis 14 et non pas Louis Croix Vé Bâton, comme le rappelait malicieusement Georges Michel ici même, au sujet des musées. Plus simple, sans doute.Levée de boucliers chez les internautes, qui s’insurgèrent contre ce nivellement par le bas. Une heure plus tard, la mairie retira cette idée généreuse, avec un smiley riant aux larmes : “Devant l’émoi provoqué par le chiffre 14, nous avons réintégré les chiffres romains. Bonne lecture !” Sous-texte du message : “Bon, ca ne passe pas aujourd’hui, les gens sont encore trop cons, ça passera demain et puis voilà.” Le Louvre et le British Museum le font déjà depuis des années, mais comme plus personne ne visite les musées, eh ben ça aide les Japonais, c’est tout.Saluons la réaction du Corriere della Sera du 17 mars, qui commentait sobrement, sans parler de cette restauration en particulier, mais de l’abandon des chiffres romains en général : “Cette histoire des chiffres romains représente une synthèse parfaite de la catastrophe culturelle en cours : d’abord on n’enseigne pas les choses, puis on les élimine pour que ceux qui les ignorent ne se sentent pas mal à l’aise, rappelant que les obstacles servent à apprendre à sauter”.Décidément, la mairie de Lyon semble engagée dans un concours avec celle de Bordeaux, et probablement quelques autres. Entre la charte des droits de l’arbre et la statue de Louis 14, on a l’impression de vivre dans MCMLXXXIV…
Arnaud Florac, Boulevard Voltaire
Déficit : la France danse sur un volcan
Articles : Mar. 2021 – Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020
115,7 % du PIB, 2.650 milliards d’euros, soit 40.407 € par Français : telle est, en 2020, la dette de la France, une dette colossale, jamais atteinte en temps de paix, explique Le Monde, le 26 mars. Il n’y a qu’au sortir de la Seconde Guerre mondiale que nous avions un taux plus élevé (145 % !). Le gouvernement, néanmoins, peut se satisfaire que le déficit soit moindre que celui annoncé : on prévoyait, au plus fort de la crise sanitaire, une dette à 120 % du PIB et un déficit à 11,3 %. Ce dernier, pour finir, n’a été que de 9,7 %.
Avant la crise du Covid-19, nous étions à 97,6 % du PIB et à 3,1 % de déficit, chiffres déjà très mauvais, car nous étions alors en période de prospérité et le déficit aurait dû être bien moindre.
En 2020, le PIB a plongé de 8,2 % et nous avons plus dépensé et encaissé moins : les dépenses des administrations publiques (État, collectivités et Sécurité sociale) ont progressé de 73,6 milliards (+5,5 %), dues à la hausse des prestations sociales, à celle des rémunérations dans le milieu hospitalier et des nombreuses aides versées aux entreprises. En outre, les recettes ont diminué de 61,3 milliards (-5 %) du fait d’un rendement moindre des impôts et des cotisations sociales.
Il est normal, en temps de crise, que le déficit s’accroisse avant de revenir doucement à la normale. On prévoit un déficit de 8,5 % en 2021, ce qui reste énorme ; or, la crise sanitaire a tendance à s’aggraver, compromettant la croissance attendue. La Banque de France ne prévoit que 1 % de croissance du PIB au premier et au second semestre 2021, ce qui est un chiffre honorable, mais loin de 5 % à 6 % annuel un temps espéré. La secousse économique de 2020 a été bien plus forte que celle encaissée en 2008. En 2009, les dépenses avaient crû de 4,1 % et les recettes diminué de 3 %, pour un déficit total de 7,2 %. Nous avions dû attendre 2017 pour que la dette se stabilise enfin à un haut niveau. Les espoirs de ramener, en 2022, le déficit à 0 % ont été enterrés avec la crise des gilets jaunes. La crise de 2020, qui se prolongera pendant des années, se produit alors que nous étions déjà dans une situation catastrophique. N’oublions pas que François Fillon parlait d’État en faillite en 2008 alors que la dette n’était qu’à 73 % du PIB !
On nous a seriné longtemps que les taux d’intérêt étant négatifs, s’endetter revenait à s’enrichir. Mais la brusque tension sur les taux qui sont revenus en terrain positif pour les prêts sur 10 ans a balayé ces illusions. 1 % sur 2.650 milliards d’euros nous coûtera 26,5 milliards de plus de déficit, ce qui reste supportable, même si c’est le quart de l’impôt sur le revenu, mais si nous glissons à 5 % (ce qui peut arriver très vite), nous devrons alors sortir de nos poches vides 132,5 milliards. Tout bonnement impossible.
Or, la France n’a absolument pas conscience de ces difficultés et des voix s’élèvent de partout pour exiger d’augmenter les dépenses en instituant le RSA pour les jeunes (+27 milliards), voire le revenu universel (au minimum +120 milliards). Le rêve de l’argent magique ne veut pas mourir, la France danse sur un volcan qui va bientôt exploser et le réveil sera atroce.
Les moyens pour éliminer le déficit qui seront mis en place risquent d’être intolérables : verra-t-on la suppression du RSA et la diminution de 30 % des pensions ?
Christian de Moliner, Boulevard Voltaire
La finance verte c’est du pipeau : l’ex-directeur de l’investissement durable de BlackRock balance !
Articles : Mar. 2021 – Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020
Media en 4-4-2
Cette fois-ci, l’information vient d’en haut, on espère qu’elle sera entendue. Tarik Fancy ex-directeur chez BlackRock a déclaré que le développement durable n’existe pas, que c’est du marketing, du greenwashing, de l’arnaque, de la fake news.
Il compare la finance verte, qui prétend sauver la planète, à un médecin qui donnerait du blé en herbe pour sauver le cancer. C’est inefficace et ça permet de donner bonne conscience tout en laissant la « maladie financière » prospérer et continuer à nous tuer. Tariq Fancy reproche à BlackRock sa fausse promesse de réconcilier investissements durables et rentables.