Après l’annonce par Macron de l’instauration prochaine d’un passeport intérieur dit « sanitaire », l’UE prépare un plan similaire à l’échelle du continent entier.
L’Union européenne proposera en mars un projet de législation sur un passeport vaccinal électronique, a annoncé lundi 1er mars 2021 la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, pour lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19 sur le continent.
La semaine dernière, les chefs d’État et de gouvernement de l’UE sont convenus de travailler sur des passeports de vaccination pour les citoyens du bloc ayant reçu un vaccin contre le Covid-19.
Plusieurs pays – au premier rang desquels la Grèce et l’Espagne – poussent pour une adoption rapide d’un passeport vaccinal valable dans l’ensemble de l’UE afin de permettre à nouveau les voyages entre les pays membres et relancer le tourisme.
Avis :
Vous ne pourrez plus quitter le pays où vous vous trouvez sans avoir été vacciné par Big Pharma, l’accès aux aéroports, au départ comme à l’arrivée, étant conditionné par la vaccination.
Si on y ajoute le passeport intérieur pour aller au restaurant, au bar, à la piscine, à un concert ou pour emprunter les transports en commun, c’est la fin officielle de la liberté anthropologique de se déplacer.
On n’est plus très loin d’une résidence surveillée qui serait la norme pour toute l’Union Européenne.
La France apparait de plus en plus comme un laboratoire avancé de cette entreprise d’anéantissement culturel.
Des villes repeuplées de hordes d’afghans et de soudanais errants, l’état de siège permanent, Hanouna à la télévision à perpétuité, le chômage, la pauvreté, le déclassement.
Ce grand basculement est en train de se mettre en place…il aura fallu moins d’un an. Impressionnant !
La France était naguère encore un État-nation solide. La rencontre de deux titres d’ouvrages consacrés au macronisme nous invite à revoir ce jugement. Dans Liquidation, plongeant dans le passé pour mieux décrire notre avenir, l’universitaire Frédéric Rouvillois dévoile le sens caché du macronisme : sa volonté de liquider les réalités anciennes afin de leur substituer, sur tous les plans, un « nouveau monde » fluide, ouvert, sans identité ni barrière, afin que rien ne vienne gêner le mouvement perpétuel des individus et des biens qu’exige la mondialisation.
Le député Olivier Marleix, quant à lui, a été l’un des premiers à dénoncer le comportement de l’oligarchie technocratique d’origine socialiste, au moment de la vente d’Alstom. Il a alors découvert celui qui deviendrait un des plus grands liquidateurs du pays : Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie. Depuis 2017, le « chef de l’État » poursuit son projet : ouvrir les portes de la France aux capitaux et gouvernances étrangers, à une mondialisation déloyale.
On a le choix : liquidation comme pour une entreprise, liquéfaction comme lorsqu’un solide, un bloc devient liquide, et, évidemment, liquider comme lorsqu’on réduit un être vivant à l’état de cadavre. En fait, les trois sens correspondent à ce que notre pays subit de la part d’une prétendue élite pour laquelle le mot « national » ne peut être qu’une qualification ringarde, « moisie », voire un synonyme de « fasciste ».
Une nation est une communauté humaine fondée sur une identité culturelle et historique, souvent une langue, une religion, un roman national, c’est-à-dire l’histoire d’un passé volontairement glorifié, et le sentiment d’un destin commun. La France a, comme on dit, tout pour elle : une histoire, celle du plus vieil État-nation d’Europe, plus de mille ans de vie commune, de guerres et de conquêtes, de résistances à l’envahisseur, de construction d’un État par trop centralisé, dirigé à partir d’une capitale écrasante ; une culture et une langue d’une richesse prodigieuse, des travaux scientifiques à la pointe de l’humanité ; et même, une géographie d’une grande constance grâce aux montagnes du sud et de l’est, et malgré la fragilité du nord exposé aux invasions avec Paris à leur portée.
Malgré ces atouts évidents, malgré cette continuité exceptionnelle, la France est aujourd’hui menacée dans son existence. Son affaiblissement économique la rend dépendante de l’Europe et, donc, de l’Allemagne. Son évolution démographique laisse entrevoir un remplacement de population, une substitution de peuple. Son rayonnement culturel s’étiole avec la régression du français, avec le tarissement de sa créativité artistique et scientifique.
Quelle est la cause de ce suicide lent et inexorable ? La trahison des élites ! La France produit, depuis les lendemains des guerres mondiales, et plus encore depuis les années 1970, une caste de détenteurs de pouvoirs, politiques, économiques, culturels qui ne l’aiment pas. Peu à peu, il s’est agi de servir l’altérité, puis de déconstruire l’identité, puis de se servir du pays pour satisfaire des ambitions sans limite. Faut-il rappeler que le bien commun dont les politiques ont la charge, c’est celui de la communauté nationale, qui correspond aux limites de la souveraineté qui leur permet d’agir ? Des carrières personnelles outrepassent ces limites, dans le privé des grandes entreprises ou dans le public des organisations internationales, et créent une confusion détestable.
Trop de politiciens français voient dans un monde sans frontière leur avenir personnel, sans regard pour l’invasion migratoire que produit ce monde, et qui ne les touchera guère. Trop de responsables économiques agissent sur le vaste échiquier du marché mondial sans le moindre intérêt pour le sort de leurs compatriotes. Trop d’intellectuels français jouent avec les idées sans tenir compte de leurs conséquences dans la réalité. Lorsqu’un politicien favorise l’immigration par humanisme ou par intérêt économique, lorsqu’un dirigeant d’entreprise privilégie une fusion ou une cession désavantageuses pour le pays, lorsqu’un intellectuel développe une idée qui détruira un peu plus le tissu social de notre nation, il s’agit d’une trahison. Il faut, aujourd’hui, lancer un appel à la responsabilité des élites, ou à l’urgence de leur remplacement !
La planète entière sait qu’en France on peut frauder en toute impunité.
S’il y a un scandale où l’omerta est la règle, c’est bien celui de la gigantesque fraude sociale : un vol de 52 milliards par an, mis systématiquement sous le tapis. Pourquoi ce silence gêné ?
Parce que la fraude concerne majoritairement des étrangers.
C’est donc pour des raisons purement politiques que Macron refuse de s’attaquer à ce problème alors que la France est ruinée. Pas question ce créer un contentieux avec le Maghreb ou l’Afrique, toujours très chatouilleux dans leurs rapports avec l’ex-colonisateur.
Demander des comptes, c’est du néo-colonialisme, voire du racisme. Donc, Macron se couche.
Macron, c’est ce monsieur qui veut prélever 5 euros sur l’allocation logement des étudiants, ce qui représente quelques millions d’euros d’économie par an sur le dos des jeunes. Mais qui ferme sciemment les yeux sur le vol de de 52 milliards d’euros perpétré majoritairement par des étrangers.
Charles Prats, magistrat bien connu pour avoir dénoncé depuis des années cette fraude démentielle aux prestations sociales, a sorti cet automne un livre accablant pour le pouvoir, qui s’obstine à nier l’ampleur du phénomène : “Cartel des fraudes”.
Les chiffres fournis par Charles Prats ont de quoi révolter les contribuables les plus résignés, tant le scandale dépasse l’entendement et tant l’inertie du pouvoir complice est intolérable.
Mais le plus sidérant, si l’on en croit la Cour des comptes qui a fourni un rapport ultérieur à la parution du livre du magistrat, est que la réalité est bien pire qu’annoncé !
Pour la Sécurité sociale, les syndicats, les médias et bon nombre de parlementaires, la fraude sociale est marginale. C’est un fantasme d’extrême-droite et la combattre revient à faire la chasse aux pauvres et aux immigrés.
Et si la Caisse d’allocations familiales a accepté de coopérer dans l’évaluation de la fraude, l’assurance-vieillesse et l’assurance-maladie ont refusé.
En fait, c’est l’ensemble de l’administration qui est complice et interdit toute enquête sérieuse.
Même la Commission d’enquête parlementaire n’a pas livré la vérité, ni abouti à des mesures de lutte contre ce fléau. Toute enquête est sabotée sciemment, avec la volonté de l’Elysée et de Matignon.
“Une des dernières décisions d’Edouard Philippe a été en juin 2020 la suppression de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude, remplacée par une « mission » aux pouvoirs réduits. Aslors qu’il eût fallu au contraire étendre ses pouvoirs et sortir complètement la lutte contre la fraude des organismes sociaux qui ont peu de motivation pour cette lutte.”
Dénoncer une chasse aux pauvres est une insulte à ces derniers, qui sont certainement plus honnêtes que bon nombre de voleurs en col blanc, qui s’adonnent à une fraude fiscale également colossale.
La vérité est qu’il ne s’agit pas de fliquer les pauvres mais de traquer les voleurs. Car ce sont nos impôts qui partent en fumée.
La France championne des records les plus inattendus :
On apprend que le record de longévité de Jeanne Calment avec ses 122 ans, est pulvérisé :
Nous avons 3 vieux bénéficiaires des largesses sociales qui sont âgés de 128 ans, donc nés en 1892 ! Et 250 assurés dépassent allègrement les 120 ans !
Autre record toutes catégories :
Deux couples de Roumains ont déclaré 1200 grossesses et perçu 1,7 million d’allocations diverses !! Vous avez bien lu : 1200 !!
5, 2 millions de fraudeurs qui perçoivent RSA, retraite, allocations diverses ;
52 milliards de fraude par an ;
20% de jihadistes français résidant à l’étranger reçoivent des aides sociales ;
1/3 des numéros de Sécurité sociale attribués à des personnes nées à l’étranger, le sont sur la base de faux documents ;
3,1 millions de centenaires reçoivent des prestations sociales, alors que l’Insee n’en dénombre que 21 000 ;.
252 porteurs de cartes Vitale ont plus de 120 ans ! ;
50% des bénéficiaires de l’AME font une fausse déclaration de revenus.
“Ils pourront par exemple obtenir gratuitement de grandes quantités de Subutex (un substitut de l’héroïne) qu’ils revendront à prix d’or (jusqu’à 400 euros le comprimé) à l’étranger.”
“Pour bénéficier des mêmes prestations d’assurance maladie qu’un étranger illégal, un salarié français gagnant plus de 1056 euros par mois doit verser 4500 euros de cotisations dans l’année”.
Tout est bon pour frauder :
Faux documents, décès non déclarés, fausses résidences, faux trimestres travaillés pour augmenter la retraite, reconnaissances fictives de paternité permettant à la mère de devenir française, fausses déclarations de divorce pour obtenir les allocations de parent isolé, allocations chômage et logement versées à des personnes résidant à l’étranger, soins non remboursables reçus à l’étranger mais remboursés par l’assurance maladie française, faux handicapés, faux chômeurs, 10% de fraudeurs au RSA
Il y a 67 millions d’habitants, mais 73,7 millions de bénéficiaires de prestations sociales en 2020 selon Charles Prats. Soit un écart de 6,7 personnes, duquel il faut retrancher les retraités légaux partis à l’étranger. Il reste 5,2 millions de fantômes.
Mais selon la Cour des comptes, c’est pire. Il y aurait 8,2 millions de fantômes qui fraudent en toute impunité.
A 10 000 euros par an la moyenne des allocations versées, cela donne une fraude annuelle de 82 milliards !
Toujours selon la Cour des comptes, sur nos 14,5 millions de retraités, il y en aurait 7,7 millions qui seraient nés à l’étranger.
A croire qu’au cours de ces 50 dernières années, 50% des travailleurs en France étaient des étrangers !
Même en ne retenant que les chiffres de Charles Prats, donc 52 milliards de fraude, cela représente 1,5 fois le budget de la défense, alors que nos soldats font la guerre au Sahel avec des véhicules ou des Transall vieux de 40 ans.
Chaque Français doit savoir qu’il dépense 500 euros par an pour les armées, mais 750 euros pour les fraudeurs, étrangers pour la plupart.
A titre de comparaison :
la TVA rapporte 185 mds
L’impôt sur le revenu 90 mds
L’impôt sur les sociétés 67 mds
Les taxes carburant 17 mds
Divers impôts directs et indirects 57 mds
Total = 416 mds d’impôts et taxes.
La fraude sociale représente donc 12% des recettes de l’Etat.
Si tous les services publics s’écroulent. Si l’hôpital s’effondre par manque de personnels et de matériels, si les routes ne sont plus entretenues, si l’armée et la police se paupérisent, c’est parce que Macron et ses prédécesseurs ont toujours refusé de combattre la fraude sociale.
Si la France est l’enfer des contribuables, elle est surtout le paradis mondial des fraudeurs, avec ses 780 milliards de social distribués sans aucun contrôle.
Avec 3000 milliards de dettes et une immigration exponentielle encouragée par Macron, l’effondrement du niveau de vie n’est plus très loin. Car il ne sera bientôt plus possible d’emprunter pour masquer les gaspillages d’un Etat cigale irresponsable, ainsi que la fraude colossale dont il est complice.
Avec Macron la faillite de la France est inéluctable.