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Il n’y a rien à faire, dès que l’on creuse sur Anne Hidalgo, on ne trouve que de la pourriture la plus infâme et la plus immonde. Dès qu’on regarde de près, ça pue.
La première fois que je l’ai vue, c’était dans le cadre d’un débat en comité restreint en 2005-2006. Il était évident que c’était une idéologue de type stalinien à l’état pur, et qu’elle avait un mépris total pour toute personne ne partageant pas ses idées. Elle m’a immédiatement inspiré une immense antipathie.
Quels que soient les arguments avancés, elle ne répondait même pas en argumentant, elle répondait, « et bien tant pis, c’est comme ça ». Elle faisait bien comprendre que pour arriver à ses fins, elle était prête à faire 300 000 morts si nécessaire…
J’ai eu l’occasion de me rendre dans son bureau alors qu’elle n’était que premier adjointe. Son bureau qui donnait en face du BHV à l’angle de la rue de Rivoli et de la place de l’Hôtel-de-Ville devait mesurer 100 m²… Quand c’est pour elle, rien n’est trop beau, ni trop grand…
Depuis qu’elle a été élue maire de Paris, on constate chaque jour la descente aux enfers de la capitale, ex-plus belle ville du monde, qui est devenue sale, défigurée, insécure, mitée de logements sociaux soigneusement réservés à des familles de la diversité qui parlent langues et dialectes qui ne ressemblent en rien au français. Elle a préempté tout ce qui passait, par exemple récemment rue Saint-Dominique, dans le 7e arrondissement de Paris (le plus cher, où le prix au m² avoisine les 15 000 € ou plus) où bientôt les bons bourgeois trop blancs côtoieront les femmes voilées ou en boubou et leur progéniture, pour porter haut et fort toutes les couleurs chamarrées de la diversité africaine et de son exotisme. Les « cités » seront bientôt au cœur de Paris. N’est-ce pas merveilleux ?
N’oubliez jamais que Anne Hidalgo vient du Parti communiste, ce que quasi personne ne sait. En conséquence, elle agit en communiste, ce qui signifie que la règle de vie consiste à créer quelques apparatchiks qui sont prêts à tout pour avoir l’argent, le pouvoir et les passe-droit et que le reste de la population doit payer (cher) et subir ses délires.
C’est pourquoi, alors qu’elle a fait exploser l’endettement de la ville de Paris, elle n’en a strictement rien à faire ! Ce qui compte, c’est qu’elle puisse mener à bien son projet de Grand Remplacement à Paris, de changer la population et d’être réélue à vie.
Paris : sept milliards de dettes depuis l’arrivée d’Hidalgo | Valeurs actuelles
On se souvient qu’elle voulait allégrement favoriser l’islam à Paris, en finançant, au mépris de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État, l’Institut des cultures d’islam, qu’un contribuable parisien et son avocat ont partiellement stoppé. Ici aussi, elle n’avait pas lésiné sur les frais d’avocat puisque c’était la mairie qui payait…
Elle se fout complètement de la loi.
Elle ne respecte même pas la loi sur la parité, et la ville de Paris est sanctionnée d’une amende de 90 000 € pour avoir nommé trop de femmes aux postes de direction en 2018.
Lors du conseil de Paris mardi, Anne Hidalgo a fait part, non sans ironie, de sa « joie » lorsqu’elle a appris la nouvelle une semaine plus tôt. « Ce qui est très beau avec la bureaucratie, c’est qu’elle ne connaît absolument pas le discernement, et que donc elle ose tout », a-t-elle raillé. « Cette amende est évidemment absurde, injuste, irresponsable, dangereuse. Nous devons promouvoir des femmes avec détermination et rigueur car le retard partout en France est encore très grand », a-t-elle souligné. « Il faut accélérer le tempo et faire en sorte que dans les nominations il y ait plus de femmes que d’hommes », a jugé Anne Hidalgo toujours adepte de la novlangue qui transforme les pires crapuleries en « positif ».
Cette amende, qui par ailleurs vient d’être annulée par décision politique, ce qui montre qu’il n’y a plus aucune égalité devant la loi.
Cette amende de 90 000 €, Anne Hidalgo s’en foutait, et déclarait même éprouver de la joie (!).
Vous savez pourquoi ? Car ce n’est jamais elle qui paye.
Ce n’est jamais son argent. C’est l’argent des impôts des Parisiens qui payent ses caprices idéologiques et toutes ses saloperies.
De l’argent, il n’en manque jamais. Il suffit d’augmenter les impôts, de supprimer des places de stationnement et d’augmenter le prix de celles qui restent, d’augmenter les prix des amendes pour stationnement en mettant de jeunes chômeurs à chaque coin de rue pour surveiller les défaillants qui ont une minute de retard ou en utilisant des voitures radars, qui parcourent la ville en permanence pour relever les plaques d’immatriculation et envoyer les PV sans discontinuer. L’argent des amendes coule à flot.
Seul le résultat compte, et la règle de base, c’est d’avoir le pouvoir pour faire payer les autres, c’est-à-dire les cochons qui payent des impôts, s’endettent sur 30 ans pour payer leur appartements (ou doivent quitter la ville, car ils ne bénéficient d’aucun logement social, eux…).
Pour se faire élire, on est prêt à toutes les compromissions, toutes les alliances à gauche, quitte à se déchirer après, mais uniquement une fois qu’on a le pouvoir… et l’argent. En cela elle a donné une bonne leçon de pragmatisme politique à tous les abrutis de droite.
Elle a volontairement et sadiquement rendu la circulation impossible à Paris, tout en créant des espaces pour les vélos (qui restent vides toute la journée). Que ceux qui ont besoin de leurs voitures aient des crises de nerfs, elle n’en a cure. Ça la fait jouir, Anne. Elle sait parfaitement ce qu’elle fait. C’est une perverse.
Des commerces des rues et avenues prestigieuses comme la rue de Rivoli sont en train de dépérir puisque la circulation y est devenu interdite, et que des caméras filment et distribuent des PV à tous ceux qui osent l’emprunter.
Avec sa gestion de Paris, même des avenues prestigieuses comme l’avenue Victor-Hugo sont en train de dépérir avec des magasins fermés et des « bail à céder ». Mais Anne Hidalgo, elle s’en fout, elle n’est pas commerçante, elle n’a jamais eu à payer une fiche de paye ou un loyer. Son ancien métier d’inspectrice du travail consistait même à nuire le plus possible aux entrepreneurs, ces cochons qui ne pensaient qu’à essayer de gagner de l’argent. Bien fait pour eux, à ces porcs d’entrepreneurs capitalistes…
Même les livres qui dénoncent ses méfaits ne servent à rien et glissent sur son vice et sa fourberie.
Amazon.fr – Notre-Drame de Paris – Routier, Airy, Le Brun, Nadia – Livres
« Voilà donc la vérité sur l’action d’une élue qui rend invivable la vie quotidienne de dix millions d’habitants de Paris et de sa région tout en prétendant l’améliorer.
Cette femme cynique a cependant un talent : cet art de communiquer qui lui permet aujourd’hui encore de masquer ses échecs. On s’est – presque – habitué à ses prêches, de l’injonction du « vivre-ensemble » à l’exaltation de « l’impôt citoyen » !
Airy Routier, journaliste et Nadia Le Brun montrent l’envers du décor, de la saleté croissante des rues à l’organisation de la paralysie automobile.
La politique du logement, aussi provocatrice qu’inefficace, l’aveuglement face à l’afflux des migrants, sans oublier une dette qui a doublé en quatre ans pour compléter le tableau : le bilan à mi-mandat apparaît déjà désastreux.
Ce qui fait peur, c’est que la maire de Paris, Anne Hidalgo, n’écoute plus personne, au point d’inquiéter même le nouveau président de la République, qu’elle déteste.
Entre récit et révélations, ce livre iconoclaste dit tout haut ce que bien des Parisiens pensent tout bas. »
Aujourd’hui, alors que l’Assistance publique-Hôpital public de la ville de Paris annonce qu’elle manque de vaccins, on apprend qu’elle aurait détourné des vaccins réservés aux soignants pour les réattribuer à des membres de la Mairie de Paris. C’est un scandale qui sera étouffé, n’ayez aucun doute là-dessus.
L’AP-HP annonce suspendre les injections de 1ère dose de vaccin à partir de mardi (bfmtv.com)
Cette femme ne connaît que le mépris des gens qui ne pensent pas comme elle, les passe-droits et les privilèges dans la tradition apparatchik de l’ère communiste.
Naturellement, elle n’aimait pas Donald Trump et est très amie avec le maire islamique de Londres…
Le 11 mars 2017 le tribunal correctionnel de Paris condamne Anne Hidalgo, en raison de ses propos selon lesquels le Front national aurait « soutenu pendant la guerre la collaboration avec les nazis », à une peine avec sursis de 500 euros d’amende pour diffamation, ainsi qu’un euro de dommages et intérêts et 2 000 euros pour les frais de justice. La justice est toujours très clémente avec les gens de gauche…
Hidalgo condamnée pour avoir dit que le FN aurait «soutenu» la collaboration (lefigaro.fr)
Cette femme est une honte. Cette femme provoque et inspire la haine à des milliers de Parisiens qui n’en peuvent plus et subissent ses lubies (il suffit de discuter, ne serait-ce qu’avec les chauffeurs de taxi…). Eu égard à la crise du covid, elle n’a été élue la dernière fois qu’avec 11 % du suffrage des Parisiens qui n’ont voté qu’à 20 % par peur de la contamination.
Elle ne cache plus ses ambitions présidentielles (avec Audrey Pulvar qui est de la même veine qu’elle…).
2022 : Pour Olivier Faure, Anne Hidalgo ferait une “une excellente présidente” (parismatch.com)
Cette femme a ruiné et souillé Paris. Son ambition est à présent de souiller la France de son incurie et de ses délires staliniens despotiques. Elle est dangereuse. Très dangereuse. Il faut que ça se sache.
TOUT LE MONDE DOIT LE SAVOIR. ALORS FAITES-LE SAVOIR.
Albert Nollet, Riposte Laïque
I-Média n°333 – Gérald Darmanin. Scandales, dissolution et diversion
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01:09 L’image de la semaine Au sommaire aujourd’hui, nous commencerons cette émission avec une censure incroyable contre Boulevard Voltaire sur Twitter. L’objet du délit ? Le tableau de « La liberté guidant le peuple » de Delacroix. Tout un symbole !
06:06 Gérald Darmanin. Scandales, dissolution et diversion Nous reviendrons ensuite sur la volonté de Gérald Darmanin de dissoudre les Identitaires après une action contre l’immigration illégale dans les Pyrénées. Nous verrons que cette hystérie cache plusieurs choses…
19:12 Revue de presse
33:07 Affaire Yuriy : des médias très prudents Et enfin, nous nous intéresserons à Yuriy, cet adolescent d’origine ukrainienne tabassé et laissé pour mort le 15 janvier dernier. Entre occultation et volonté de salir, les médias ont été étrangement plus virulents que dans certaines autres affaires similaires…
En 2021, la grande dispersion des demandeurs d’asile ?
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En novembre 2020, la police délogeait sans ménagement, voire avec violence, y compris sur les militants d’ONG et les journalistes, les migrants venus camper sur la place de la République. Ces scènes qui ont choqué l’opinion étaient le résultat du démantèlement raté d’un campement situé à Saint-Denis. En 2021, le gouvernement a décidé de disperser non plus a posteriori mais en amont les demandeurs d’asile, conformément au « schéma national d’accueil des demandeurs d’asile et d’’intégration des réfugiés 2021-2023 », application de la loi asile et immigration adoptée en 2018.
Constatant que l’Ile-de-France concentre 46 % des demandes d’asile alors qu’elle n’abrite que 19 % des 107 274 places d’hébergement, chiffre qui a doublé depuis 2015, le schéma prévoit de diriger systématiquement les migrants vers d’autres régions, réputées en capacité de placer ces personnes à l’abri.
Ceux-ci devront y stationner « le temps de l’examen de sa demande d’asile » et ceux qui s’y refuseraient seront privés du pécule que leur verse l’Etat (204 euros pour ceux qui sont hébergés, 426 pour les autres). En conséquence, les 4 500 nouvelles places créées cette année seront donc toutes situées hors de la région parisienne. Ainsi Auvergne-Rhône Alpes devrait donc voir augmenter de 9 % à 13 % sa part dans l’hébergement des demandeurs d’asile. Bourgogne et Bretagne verront leur effort doubler…
L’extrême droite a rapidement pris pour cible le « plan Schiappa », du nom de la ministre déléguée à la Citoyenneté en charge de ce dossier, prédisant un flux mensuel de 2 500 « clandestins » quittant la capitale pour submerger les régions, dans le but de « cacher l’ampleur des flux migratoires ».
L’application du nouveau dispositif bénéficiera peut-être de la pandémie de Covid qui a réduit les flux migratoires l’an dernier. Les chiffres publiés par le ministère de l’Intérieur font en effet état d’une baisse de 20,5 %, quasi historique, de la demande de titres de séjour. La pression sur le système serait donc réduite de près d’un cinquième, ce qui n’empêche pas le ministère de l’Intérieur d’interdire le passage d’une quinzaine de cols pyrénéens pour faire face à un hypothétique afflux.
La dispersion permettra-t-elle de mieux intégrer les migrants, demandeurs d’asile ou non, et à quelles conditions, d’éviter la répétition d’incidents ? Alternatives Economiques a interrogé Didier Leschi et Delphine Rouilleault, deux spécialistes de l’accueil des migrants.
Didier Leschi : « Organiser géographiquement la prise en charge sociale »
Directeur de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii), auteur de Ce grand dérangement. L’immigration en face ( collection Tracts, Gallimard, 2020).
En 2021, l’Etat a l’intention d’orienter énergiquement les demandeurs d’asile vers les régions, afin de désengorger l’Ile-de-France. Une volonté qui provoque les protestations d’élus de droite…
Le schéma national est la codification publique de ce qui se pratique déjà ! C’est une fausse polémique montée par des élus qui nous font la même chose qu’au moment de l’évacuation de la « lande de Calais » en octobre 2016, lorsque nous avons évacué près de 8 000 personnes, déjà dans une répartition nationale. Ils disaient : « Vous allez créer des mini-Calais partout. » Cela ne s’est pas produit.
Mais il s’agit aussi d’une amplification, puisque plusieurs milliers de personnes devraient être concernées par des transferts ? Et n’est-ce pas une manière de rendre les migrants invisibles, donc de supprimer le problème politique qu’ils posent ?
Je pense que là encore, il s’agit d’une fausse polémique. L’an dernier, l’Ofii a procédé à plus de 40 000 orientations dans le dispositif national d’accueil, dont 80 % en région. Imaginer qu’orienter les personnes, c’est les rendre invisibles parce qu’on les fait quitter la région parisienne, c’est absurde….
Didier Raoult alerte sur un variant «marseillais» du Covid-19
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Une mutation du Covid-19, dont 2.106 cas ont déjà été identifiés depuis juillet par les chercheurs de l’Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuses de Marseille, serait «majeure», selon Didier Raoult.
Jeudi 28 janvier, Didier Raoult a publié sur son compte Twitter les données de l’Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuses de Marseille (IHU) sur un nouveau variant du Covid-19 baptisé «le variant Marseille 4» par ses chercheurs.
Selon les scientifiques, la deuxième vague de l’épidémie cet été à Marseille a impliqué «10 nouvelles variantes successives ou 28 concomitantes du Sars-Cov».
Une d’entre elles, identifiée dès le 19 juillet et baptisée Marseille 4, serait responsable d’une «épidémie qui a débuté en août remplaçant rapidement d’autres variants et (serait) toujours en cours».
Entre le 1er septembre et le 20 janvier, 2.106 cas d’infection par cette mutation ont été recensés à Marseille.
La Provence indique que d’après les chercheurs de l’IHU cette variante marseillaise diffère du Sars-Cov2 classique par «une fréquence 40 fois plus élevée d’hypoxémie».
Un variant résistant aux vaccins?
Toujours selon La Provence, une dizaine de patients ayant déjà été infectés une première fois auraient développé une infection au variant marseillais plusieurs mois plus tard. Les experts en sont venus à la conclusion qu’une première infection ne protège pas contre lui.
En ce qui concerne la résistance du variant marseillais aux vaccins, les chercheurs ont expliqué à La Provence qu’il «se situe dans le domaine de la protéine Spike qui est une cible majeure des anticorps neutralisants et des vaccins actuels». Selon eux, avec les variants anglais et sud-africain, il «devrait être considéré comme une variante majeure du Sars-Cov2».
Euh, « un confinement très serré », vous pouvez préciser, Gabriel Attal ? Ou vous taire !
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C’est donc l’os qui nous a été jeté, mercredi 27 janvier, au soir. Un temps, Jean Castex avait inauguré ce genre de métaphores animales, hippiques. Souvenez-vous : il était hors de question de nous lâcher la bride. Et, donc, ce mercredi, Gabriel Attal, qui se prend au jeu du porte-parolat – pour ne rien dire – nous a montré son joli jeu de quatre cartes, quatre scenarii allant du statu quo – exclu – à « un reconfinement très serré ».
Mais si lui n’a rien à nous dire, nous si. Flaubert a bien écrit son « livre sur rien ». Plus modestement, nous avons deux trois choses à lui dire, à Gabriel Attal et ses patrons plongés dans les études du Dr Delfraissy.
Primo : se rendent-ils compte que, dans l’exaspération des Français, pourtant très dociles, l’abus de la gestion de la crise par le feuilleton de la communication joue un rôle de plus en plus fort.
Deuzio : quand on n’a rien à dire et qu’on lance cette expression « confinement très serré », on se doit de développer, définir, expliquer. Il est tellement facile, après, de trouver ces Français tellement populistes, tellement « fakenewsers », tellement procureurs. L’expression peut faire naître les angoisses et les fantasmes les plus variés. Serré comment ? Un peu, beaucoup, etc. ? Avec autorisation de sortie d’une heure ? 2, 3 ? Avec le retour des distances d’un kilomètre autour de chez soi ? Avec les fermetures de commerces ? Le meilleur moyen d’éviter toutes ces légitimes questions est d’être clair, factuel, précis. Avec Gabriel Attal, c’est raté.
Et cela nous amène au tertio. Oui, les Français aimeraient savoir et ils ne comprennent plus. Ils seraient prêts à admettre ce « plus serré » si on leur expliquait les enjeux, si on leur fournissait les données « Delfraissy », les données « variants », les données vaccins, plus toutes les données qui justifient de telles mesures : les craintes sur les évolutions de l’épidémie, les caractéristiques de la maladie version variant anglais, etc.
Nous sommes au pays de Descartes : les Français veulent savoir. Et avec Gabriel Attal, le compte n’y est pas.
Frédéric Sirgant, source Boulevard Voltaire
Traître à la France, violeur, islamo-collabo : Darmanin dehors !
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Ainsi donc, Moussa Gérald Darmanin a-t-il osé demander la dissolution de Génération Identitaire, coupable de défendre les frontières de la France, submergée par une invasion migratoire, majoritairement musulmane, qui détruit le pays.
Dans le même temps, il laisse les milices gauchistes, antifas et Black Blocs, agresser les patriotes, à qui ils entendent interdire la rue.
Cet homme, en outre, a utilisé son mandat pour rendre des services politiques qu’il monnayait contre des relations sexuelles, comme le montre cet échange de tweets accablant que vient de publier Médiapart.
Sans parler des nombreuses trahisons de sa police, et des hommes qu’il envoie au massacre, quotidiennement, sans leur donner les moyens de se défendre.
Et bien sûr, main dans la main avec Schiappa, il organise l’invasion de nos campagnes, à qui il va faire subir la venue de 2.500 clandestins chaque mois, soit 30.000 cette année 2021, comme pour punir la France des Gilets jaunes de ne pas profiter de la chance d’une société multiculturelle qu’ils imposent au pays.
Pierre Cassen, Riposte Laïque.
Location de compte, repas, appart… Comment les réseaux exploitent les livreurs sans-papiers
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À Nantes, près d’une centaine de sans-papiers livrent illégalement pour Deliveroo et Uber Eats avec des comptes loués. Le phénomène existe quasiment depuis l’arrivée des plates-formes. Mais depuis quelques années, il s’est perfectionné. Pour comprendre, nous avons passé deux semaines avec un groupe de coursiers originaires de Guinée. Un moyen d’observer, de l’intérieur, comment un réseau s’enrichit sur le dos des migrants. Premier épisode de notre série sur les livreurs à vélo.
« On n’exploite personne, on s’entraide entre compatriotes », ricane Abdoulaye*. Ce livreur de 30 ans est arrivé illégalement de Guinée en 2017. Après quelques années à battre le pavé nantais, sac isotherme vissé sur le dos, il a obtenu son titre de séjour.
Mais pendant plusieurs mois, faute de papiers en règle, il n’a pas pu ouvrir un compte à son nom. Et a donc été obligé d’en louer un. Une pratique évidemment interdite, mais largement répandue : « À l’époque, tout se faisait sur internet. Maintenant, ça reste dans la communauté. »
Une centaine de sans-papiers roulent pour les géants de la livraison
La situation est presque devenue banale. À Nantes, près d’une centaine de sans-papiers louent des comptes Uber Eats, Deliveroo ou encore Stuart pour travailler. En clair, ils se tournent vers les micro-entrepreneurs déjà inscrits sur les plateformes pour rouler à leur place, en leur cédant une part de leur rémunération. « Ici, tu paies entre 80 et 100 € par semaine », calcule Abdel*, un Algérien de 26 ans….
Les migrants préfèrent désormais traiter avec des personnes de confiance. Ils cherchent pour cela à rencontrer ceux qui parlent la même langue ou qui sont de la même ethnie, par exemple. Un phénomène que connaît bien Olivier Peyroux, sociologue, spécialiste des migrations et de l’exploitation des exilés : « Faute de diaspora installée dans le pays d’accueil, faute d’oncle, de cousin qui le protégera et l’accompagnera pour honorer les liens de famille, le migrant devient une proie facile pour les compatriotes qui veulent profiter de lui. »
Car quelle que soit la nationalité en jeu, comme le démontre l’histoire des migrations, dit-il, « on trouve toujours, parmi les premiers immigrés arrivés, des personnes qui vont exploiter leurs compatriotes avec très peu de scrupules ».
Le ski cet hiver c’est possible malgré la COVID !
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Histoire vécue cet hiver.
Parti dans une station de ski française célèbre et limitrophe de la Suisse. Location d’un appartement et des skis en France pour une semaine.
Au programme : de belles randonnées en raquette en France, de l’excellent ski alpin en Suisse.
En Suisse, ils imposent les gestes barrières comme chez nous mais ils n’ont pas sabotés l’économie de l’or blanc. Résultat un sentiment étrange quand vous traversez la frontière. D’un coté en France une économie à l’arrêt avec très peu de vie en station, de l’autre côté en Suisse, des centaines de skieurs heureux et détendus de s’adonner à leur sport favoris avec des remontées mécaniques en fonctionnement.
On se croirait un peu dans l’ancienne Union Soviétique dans les années 80. D’un côté l’occident où tout est possible de l’autre côté le communisme, les restrictions et l’enfermement.
J’ai même pu manger au restaurant. En effet si vous vous adressez à un Hôtel qui fait restaurant, il sera possible de manger assis, il faudra juste indiquer que vous êtes client de l’hôtel si les autorités vous le demande et le tour est joué…tout en respectant la distanciation et les gestes barrières bien sûr.
En résumé, en Suisse on peu toujours skier, l’économie n’est pas sinistrée et la Covid ne fait pas plus de ravages que chez nous.
Pourquoi ne pas avoir défini des quotas en France pour les personnes voulant s’adonner à leurs activités hivernales ? Gestes barrières en station et dans les restaurants, couvre-feu à 18h00. Limitation du taux de personnes autorisées à utiliser les télésièges, limitation du nombre de personnes autorisées à s’séjourner en station. Avec de telles mesures la saison de ski 2020 / 2021 aurait été sauvée.
Frilosité de nos dirigeants, manque d’organisation légendaire française, aucune réflexion ni innovation dans la façon d’aborder un problème.
Le plus grave ici, c’est pourquoi les commerçants et les milieux économiques liés à l’or blanc n’ont-ils pas su proposer et convaincre pour s’imposer dans la négociation avec l’Etat ? Faut-il y voir une main de fer de l’Union Européenne ou bien une bêtise aveugle de nos dirigeants français ?
En attendant bon nombre de loueurs de matériel et d’hôteliers vont mettre la clé sous la porte cette année…au profit de qui ?
Rutube.fr
Les traîtres Républicains qui ont voté la destitution de Trump vont payer cher
Articles : Jan. 2021 – Dec. 2020 – Nov. 2020 – Oct. 2020
Non, Trump est loin d’être enterré et c’est depuis son fief de Floride qu’il règle ses comptes en coulisses.
Les turbulences au sein du Parti Républicain n’en sont qu’à leurs balbutiements, tant le séisme provoqué par la trahison de certains leaders s’annonce dévastateur.
C’est même l’avenir du GOP Républicain qui est menacé.
Tandis qu’une partie de l’appareil Républicain continue de se pincer le nez en parlant de son ancien patron, la base soutient toujours son champion et ce sont des dizaines de millions d’électeurs qui entendent faire payer les traîtres à leur propre camp.
Car, pour le peuple, si le camp Biden a pu gagner en trichant, c’est avant tout parce que les principaux décideurs Républicains ont couvert la fraude et trahi leur Président.
Une trahison qui a conduit à la perte de la Maison Blanche et du Sénat ! Un désastre électoral absolu par la faute d’une poignée de vendus ! Et ça doit se payer.
Parmi les responsables Républicains restés passifs durant la bataille judiciaire, par lâcheté ou intérêt personnel, on commence à réaliser, mais un peu tard, que le départ de Trump n’a fait que fracturer le parti. Entre une base restée fidèle à son champion et une direction qui l’a lâché en rase campagne, pour le seul profit de Biden.
Et, pour sauver leur peau lors des élections de mi-mandat en 2022, beaucoup se rangent maintenant du côté de la base patriote et nationaliste, pour faire payer les traîtres ouvertement déclarés, notamment les 10 représentants Républicains qui ont voté pour la destitution de Donald Trump, réclamée par Nancy Pelosi !
Un véritable sacrilège pour les patriotes.
Le chef des sénateurs Républicains, Mitch McConnell, ainsi que le leader des Républicains à la Chambre des représentants, Kevin McCarthy, continuent de faire porter le chapeau à Trump, pour les événements du Capitole, alors que Trump avait appelé au calme.
Après la défaite, nombreux sont les opportunistes qui font le choix du vainqueur. Les donateurs suspendent leurs aides aux élus Républicains, les banques refusent de travailler avec Trump, qui perd en outre plusieurs contrats. Sans oublier les grands médias qui continuent de le censurer.
Il y a donc bien une volonté de tuer Donald Trump socialement et économiquement.
Mais, politiquement, c’est une autre affaire, car la base le soutient avec ferveur. D’où l’acharnement des Démocrates à le destituer pour lui barrer la route en 2024.
Les trumpistes sont portés par les radios, les télévisions et les médias conservateurs qui se déchaînent contre les traîtres qui ont voté la destitution de Trump à la Chambre et contre ceux qui pourraient faire de même au Sénat, le 8 février.
En Arizona, les Républicains ont voté une motion de censure contre les trois membres du parti accusés d’avoir manqué de loyauté envers le Président sortant.
De son côté, un coup de fil de Trump a suffi à assurer la réélection de Kelly Ward à la tête du parti local à Phoenix. Fervente trumpiste, celle-ci avait soutenu le combat judiciaire du Président contre la fraude.
Les 10 traîtres qui ont voté la destitution de Trump font donc face à des mesures de représailles dans les instances locales. Motions de censure et appels à leur éviction en 2022 sont de rigueur.
Des menaces qui devraient freiner les ardeurs des sénateurs Républicains anti-Trump, lors de son procès le 8 février.
Évidemment, toute cette agitation au sein du Parti et cette soudaine exigence de faire payer les traîtres contrastent étrangement avec la passivité des élus Républicains durant la bataille judiciaire.
Car, pendant plus de deux mois, aucun de ces justiciers de la dernière heure n’a dénoncé la trahison des juges et des élus locaux, qui ont tous rejeté les plaintes pour fraude, malgré les preuves flagrantes de triche.
Coupables de complicité par leur mutisme, ils se posent soudain en justiciers implacables pour ne pas subir les foudres des électeurs en 2022. Jolis retournements de vestes !
De son côté, selon le Washington Post, Donald Trump envisage de créer son propre mouvement, surnommé le Parti patriote ou le parti MAGA.
Un sondage montre que 6 Républicains sur 10 soutiennent l’ex-Président contre l’appareil conservateur. Une loyauté indéfectible, à laquelle les traîtres du parti ne s’attendaient pas.
Il est clair que si Trump crée son propre parti, c’en est fini du GOP Républicain et de ses traîtres, qui ont porté des fraudeurs au pouvoir.
Depuis sa résidence en Floride, loin de lâcher prise, le milliardaire encourage ses fans à attaquer les Républicains qui l’ont poignardé dans le dos.
Ce qui va compliquer le vote du Sénat le 8 février, date de la poursuite du procès en destitution de Donald Trump. Un dilemme pour chacun.
L’accuser, c’est soutenir Biden et sa clique. C’est cautionner la fraude et compromettre son propre avenir politique.
Le blanchir, c’est faire allégeance aux extrémistes du Parti et encourager la violence.
Suivant l’issue de ce procès, c’est bien l’avenir du GOP Républicain qui est en jeu. Donner raison à Nancy Pelosi, c’est le séisme assuré.
Après avoir provoqué la perte de la Maison Blanche et du Sénat, les Républicains anti-Trump oseront-ils pousser la trahison jusqu’à faire éclater le Parti, né en 1854 ?
Réponse sous peu.
Mais il faudra bien que les élites occidentales, en Amérique comme en Europe, comprennent que, sans le peuple, il n’y a point de salut.
( source : Figaro )
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
Alexandra Henrion : c’est de la folie de vacciner des gens sains avec de l’ARN !
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Transcription des 6 dernières minutes, passionnantes et essentielles, de l’interview :
Voici, à présent, l’essentiel des 54 minutes qui les précèdent, tout aussi passionnantes et incontournables à qui veut comprendre ce qui se passe. Comme elle le dit à la fin, elle fait partie des quelques scientifiques dont les travaux sont signalés ou utilisés CHAQUE JOUR dans le monde entier…
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Résumé et transcription des passages les plus importants.
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Alexandra Henrion-Caude commence par dénoncer vivement le projet de loi 37-14, atroce, déposé le 21 décembre dernier, dite loi Castex, qui est une menace absolue contre les libertés individuelles.
https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3714_projet-loi
Focus sur l’article qui interdit aux médecins de communiquer quoi que ce soit qui ne soit pas “la vérité officielle”… Décret du 22 décembre !
Elle déplore l’absence de débats alors que la situation présente permettrait normalement des expériences réelles, des essais cliniques gigantesques qui n’avaient jamais été faits, des échanges de données au niveau mondial… Or il n’y a pas pas de débat, puisque dans le débat public ce ne sont pas les “vrais scientifiques” que l’on entend. Les experts sur l’ADN sont peu nombreux et pourtant on ne les entend pas ! On n’entend que du lavage de cerveau…
Il est même interdit de poser la question de l’origine du virus… Pourquoi est-ce dérangeant ?
On a pourtant des pistes… Un article du CNRS dit : “on dirait une création de laboratoire”…
Des essais du vaccin Pfizer ont eu lieu en Afrique du Sud. Les Sud-Africains se plaignaient d’être traités comme des cobayes. Or, aujourd’hui on est bien dans un essai clinique, essai qui doit se terminer en 2022. Les vaccinés ne sont-ils pas des cobayes ?
Le vaccin ne protège pas contre les cas sévères car il n’y a pas assez de malades du Covid.
Voir les données de l’épidémie, la comparaison depuis 1946. Il n’y a pas une énorme différence par rapport à ces dernières années, il n’y a pas de raison de paniquer.
Mieux encore, on constate, en regardant la mortalité mois par mois que les 2/3 de la surmortalité sont arrivés pendant les périodes de confinement. C’est beaucoup. D’autant que les pics d’épidémie très élevés ne sont survenus que dans les pays qui ont confiné.
Or, le confinement, c’est une assignation à résidence ! C’est comme une casserole qui bout, le couvercle va partir, tôt ou tard. Il y a forcément un rattrapage, le virus DOIT circuler ! Vous aurez beau faire, la nature est la plus forte, le virus DOIT circuler !
Il ne peut y avoir de notion d’immunité collective qu’une fois que le virus a bien circulé !
.Les tests PCR, qui donnent des “cas” mal nommés ! Si on est positif, on croit qu’on est un cas. Or, la technique PCR n’a pas de capacité de diagnostic, sauf à faire un séquençage !
L’isolement du virus qui a été fait est très critiquable car il ne suit pas le protocole de Koch. Normalement, quand on a de nouveaux malades et qu’on soupçonne un agent infectieux, on isole cette “soupe d’agents infectieux” pour voir s’il porte sur un modèle animal. C’était forcément une chauve-souris, un pangolin… je ne comprends pas que les Chinois ne l’aient pas fait. Il fallait démontrer que cet agent infectieux était capable de provoquer une infection et de faire l’inverse afin de pouvoir dire “c’est lui le responsable”.
Or, ce test n’a toujours pas été fait, les spécialistes attendent, on a besoin de cet élément manquant.
.Retour sur les cas positifs asymptomatiques. Chacun croit qu’il peut contaminer autrui, or c’est faux. Il y a eu un papier dans Nature, à partir d‘une expérience chinoise portant sur 10 millions d’individus, c’est énorme, les asymptomatiques ne sont pas porteurs du virus !
Pour être contagieux, il faut un certain nombre de particules virales dans la salive ! Et si j’en ai, mon organisme réagit forcément, d’une façon ou d’une autre.
Par ailleurs, un nouveau test se met en place, EASYCOV, très simple, c’est un test salivaire, on a la réponse 40 minutes après.
(Note de Christine Tasin : ce dernier est remboursé et la Haute Autorité de Santé a donné son autorisation pour qu’il soit utilisé quand le PCR n’est pas possible… donc pas encore de feu vert pour remplacer le PCR.
.Alexandra Henrion-Caude est enthousiasmée par l’examen des eaux usées. En les collectant, on peut voir la concentration du virus. C’est un outil remarquable mis en place par la France qui permet de voir dans vos urines, avant même que vous soyez malades, le marqueur du virus. Cela devrait définir une politique sanitaire réelle.
.Le Vaccin
Le mot vaccin n’est pas adapté à ce que nous faisons avec le vaccin Pfizer. Ces vaccins anti-coronavirus déclenchent des anticorps qui peuvent, ou neutraliser, ou – au contraire – faciliter l’entrée du virus. C’est ainsi qu’on peut avoir une augmentation du nombre de cas de coronavirus après l’injection : 4 500 cas, par exemple, en Israël !
Confer la déclaration de l’Académie de médecine (qui avait mis en valeur l’importance de la vitamine D pendant la crise minute 40) :
En vaccinant contre le coronavirus, on prend le risque d’empirer la maladie. Il faut un consentement éclairé au problème du coronavirus et c’est valable pour tous les vaccins, pas seulement le Pfizer.
En faisant des injections massives, sans savoir quand on injectera la deuxième dose, on court le risque de mettre les gens en danger, il faut renforcer les gestes barrière.
Je suis convaincue que l’ARN peut faire beaucoup de choses, je ne suis donc pas réfractaire à l’idée de soigner par ARN ! Mais c’est parce que je connais l’ARN et son potentiel que je considère que l’administrer à des individus sains, c’est de la folie !
C’est inconcevable, compte tenu de la versatilité de cette molécule. On avait avancé sur les thérapies à base d’ADN, on n’y arrive toujours pas sur des malades. Alors, le mettre en application sur une population saine, c’est de la folie ! Les risques, c’est des effets secondaires à long terme. Ce n’est pas un vaccin, c’est une information génétique expérimentale. On vous injecte une information génétique dans le corps, comme pour les tomates OGM ! C’est l’injection d’un virus et on demande à votre corps de produire une molécule de virus ! On ne connaît pas tous les effets d’une telle expérimentation.
D’autant que le vaccin est fabriqué par Pfizer, qui est le seul à avoir testé, et qui a été condamné plusieurs fois pour publicité mensongère, sur 13 médicaments !
Pfizer a déclaré que 2,7 % des vaccinés se retrouvent incapables de faire leurs activités quotidiennes, de travailler… après la vaccination. Le risque est plus grand que le risque Covid !
Un risque pareil n’est pas possible !
Ce risque est répertorié par Pfizer, donc, comme il est connu, on n’en parle pas !
Cerise sur le gâteau, l’efficacité du vaccin Pfizer n’a pas été évaluée sur la population des plus de 75 ans ! Ce sont donc des cobayes !
Tous ceux qui se font vacciner sont des cobayes, mais la parole scientifique est censurée !
Alexandra Henrion-Caude, spécialiste de l’ARN : c’est de la folie de vacciner des individus sains avec un ARN Messager
Christine Tasin, Riposte Laïque