Parti dans une station de ski française célèbre et limitrophe de la Suisse. Location d’un appartement et des skis en France pour une semaine.
Au programme : de belles randonnées en raquette en France, de l’excellent ski alpin en Suisse.
En Suisse, ils imposent les gestes barrières comme chez nous mais ils n’ont pas sabotés l’économie de l’or blanc. Résultat un sentiment étrange quand vous traversez la frontière. D’un coté en France une économie à l’arrêt avec très peu de vie en station, de l’autre côté en Suisse, des centaines de skieurs heureux et détendus de s’adonner à leur sport favoris avec des remontées mécaniques en fonctionnement.
On se croirait un peu dans l’ancienne Union Soviétique dans les années 80. D’un côté l’occident où tout est possible de l’autre côté le communisme, les restrictions et l’enfermement.
J’ai même pu manger au restaurant. En effet si vous vous adressez à un Hôtel qui fait restaurant, il sera possible de manger assis, il faudra juste indiquer que vous êtes client de l’hôtel si les autorités vous le demande et le tour est joué…tout en respectant la distanciation et les gestes barrières bien sûr.
En résumé, en Suisse on peu toujours skier, l’économie n’est pas sinistrée et la Covid ne fait pas plus de ravages que chez nous.
Pourquoi ne pas avoir défini des quotas en France pour les personnes voulant s’adonner à leurs activités hivernales ? Gestes barrières en station et dans les restaurants, couvre-feu à 18h00. Limitation du taux de personnes autorisées à utiliser les télésièges, limitation du nombre de personnes autorisées à s’séjourner en station. Avec de telles mesures la saison de ski 2020 / 2021 aurait été sauvée.
Frilosité de nos dirigeants, manque d’organisation légendaire française, aucune réflexion ni innovation dans la façon d’aborder un problème.
Le plus grave ici, c’est pourquoi les commerçants et les milieux économiques liés à l’or blanc n’ont-ils pas su proposer et convaincre pour s’imposer dans la négociation avec l’Etat ? Faut-il y voir une main de fer de l’Union Européenne ou bien une bêtise aveugle de nos dirigeants français ?
En attendant bon nombre de loueurs de matériel et d’hôteliers vont mettre la clé sous la porte cette année…au profit de qui ?
Non, Trump est loin d’être enterré et c’est depuis son fief de Floride qu’il règle ses comptes en coulisses.
Les turbulences au sein du Parti Républicain n’en sont qu’à leurs balbutiements, tant le séisme provoqué par la trahison de certains leaders s’annonce dévastateur.
C’est même l’avenir du GOP Républicain qui est menacé.
Tandis qu’une partie de l’appareil Républicain continue de se pincer le nez en parlant de son ancien patron, la base soutient toujours son champion et ce sont des dizaines de millions d’électeurs qui entendent faire payer les traîtres à leur propre camp.
Car, pour le peuple, si le camp Biden a pu gagner en trichant, c’est avant tout parce que les principaux décideurs Républicains ont couvert la fraude et trahi leur Président.
Une trahison qui a conduit à la perte de la Maison Blanche et du Sénat ! Un désastre électoral absolu par la faute d’une poignée de vendus ! Et ça doit se payer.
Parmi les responsables Républicains restés passifs durant la bataille judiciaire, par lâcheté ou intérêt personnel, on commence à réaliser, mais un peu tard, que le départ de Trump n’a fait que fracturer le parti. Entre une base restée fidèle à son champion et une direction qui l’a lâché en rase campagne, pour le seul profit de Biden.
Et, pour sauver leur peau lors des élections de mi-mandat en 2022, beaucoup se rangent maintenant du côté de la base patriote et nationaliste, pour faire payer les traîtres ouvertement déclarés, notamment les 10 représentants Républicains qui ont voté pour la destitution de Donald Trump, réclamée par Nancy Pelosi !
Un véritable sacrilège pour les patriotes.
Le chef des sénateurs Républicains, Mitch McConnell, ainsi que le leader des Républicains à la Chambre des représentants, Kevin McCarthy, continuent de faire porter le chapeau à Trump, pour les événements du Capitole, alors que Trump avait appelé au calme.
Après la défaite, nombreux sont les opportunistes qui font le choix du vainqueur. Les donateurs suspendent leurs aides aux élus Républicains, les banques refusent de travailler avec Trump, qui perd en outre plusieurs contrats. Sans oublier les grands médias qui continuent de le censurer.
Il y a donc bien une volonté de tuer Donald Trump socialement et économiquement.
Mais, politiquement, c’est une autre affaire, car la base le soutient avec ferveur. D’où l’acharnement des Démocrates à le destituer pour lui barrer la route en 2024.
Les trumpistes sont portés par les radios, les télévisions et les médias conservateurs qui se déchaînent contre les traîtres qui ont voté la destitution de Trump à la Chambre et contre ceux qui pourraient faire de même au Sénat, le 8 février.
En Arizona, les Républicains ont voté une motion de censure contre les trois membres du parti accusés d’avoir manqué de loyauté envers le Président sortant.
De son côté, un coup de fil de Trump a suffi à assurer la réélection de Kelly Ward à la tête du parti local à Phoenix. Fervente trumpiste, celle-ci avait soutenu le combat judiciaire du Président contre la fraude.
Les 10 traîtres qui ont voté la destitution de Trump font donc face à des mesures de représailles dans les instances locales. Motions de censure et appels à leur éviction en 2022 sont de rigueur.
Des menaces qui devraient freiner les ardeurs des sénateurs Républicains anti-Trump, lors de son procès le 8 février.
Évidemment, toute cette agitation au sein du Parti et cette soudaine exigence de faire payer les traîtres contrastent étrangement avec la passivité des élus Républicains durant la bataille judiciaire.
Car, pendant plus de deux mois, aucun de ces justiciers de la dernière heure n’a dénoncé la trahison des juges et des élus locaux, qui ont tous rejeté les plaintes pour fraude, malgré les preuves flagrantes de triche.
Coupables de complicité par leur mutisme, ils se posent soudain en justiciers implacables pour ne pas subir les foudres des électeurs en 2022. Jolis retournements de vestes !
De son côté, selon le Washington Post, Donald Trump envisage de créer son propre mouvement, surnommé le Parti patriote ou le parti MAGA.
Un sondage montre que 6 Républicains sur 10 soutiennent l’ex-Président contre l’appareil conservateur. Une loyauté indéfectible, à laquelle les traîtres du parti ne s’attendaient pas.
Il est clair que si Trump crée son propre parti, c’en est fini du GOP Républicain et de ses traîtres, qui ont porté des fraudeurs au pouvoir.
Depuis sa résidence en Floride, loin de lâcher prise, le milliardaire encourage ses fans à attaquer les Républicains qui l’ont poignardé dans le dos.
Ce qui va compliquer le vote du Sénat le 8 février, date de la poursuite du procès en destitution de Donald Trump. Un dilemme pour chacun.
L’accuser, c’est soutenir Biden et sa clique. C’est cautionner la fraude et compromettre son propre avenir politique.
Le blanchir, c’est faire allégeance aux extrémistes du Parti et encourager la violence.
Suivant l’issue de ce procès, c’est bien l’avenir du GOP Républicain qui est en jeu. Donner raison à Nancy Pelosi, c’est le séisme assuré.
Après avoir provoqué la perte de la Maison Blanche et du Sénat, les Républicains anti-Trump oseront-ils pousser la trahison jusqu’à faire éclater le Parti, né en 1854 ?
Réponse sous peu.
Mais il faudra bien que les élites occidentales, en Amérique comme en Europe, comprennent que, sans le peuple, il n’y a point de salut.
Voici, à présent, l’essentiel des 54 minutes qui les précèdent, tout aussi passionnantes et incontournables à qui veut comprendre ce qui se passe. Comme elle le dit à la fin, elle fait partie des quelques scientifiques dont les travaux sont signalés ou utilisés CHAQUE JOUR dans le monde entier…
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Résumé et transcription des passages les plus importants. .
Alexandra Henrion-Caude commence par dénoncer vivement le projet de loi 37-14, atroce, déposé le 21 décembre dernier, dite loi Castex, qui est une menace absolue contre les libertés individuelles.
Elle déplore l’absence de débats alors que la situation présente permettrait normalement des expériences réelles, des essais cliniques gigantesques qui n’avaient jamais été faits, des échanges de données au niveau mondial… Or il n’y a pas pas de débat, puisque dans le débat public ce ne sont pas les “vrais scientifiques” que l’on entend. Les experts sur l’ADN sont peu nombreux et pourtant on ne les entend pas ! On n’entend que du lavage de cerveau…
Il est même interdit de poser la question de l’origine du virus… Pourquoi est-ce dérangeant ?
On a pourtant des pistes… Un article du CNRS dit : “on dirait une création de laboratoire”…
Des essais du vaccin Pfizer ont eu lieu en Afrique du Sud. Les Sud-Africains se plaignaient d’être traités comme des cobayes. Or, aujourd’hui on est bien dans un essai clinique, essai qui doit se terminer en 2022. Les vaccinés ne sont-ils pas des cobayes ?
Le vaccin ne protège pas contre les cas sévères car il n’y a pas assez de malades du Covid.
Voir les données de l’épidémie, la comparaison depuis 1946. Il n’y a pas une énorme différence par rapport à ces dernières années, il n’y a pas de raison de paniquer.
Mieux encore, on constate, en regardant la mortalité mois par mois que les 2/3 de la surmortalité sont arrivés pendant les périodes de confinement. C’est beaucoup. D’autant que les pics d’épidémie très élevés ne sont survenus que dans les pays qui ont confiné.
Or, le confinement, c’est une assignation à résidence ! C’est comme une casserole qui bout, le couvercle va partir, tôt ou tard. Il y a forcément un rattrapage, le virus DOIT circuler ! Vous aurez beau faire, la nature est la plus forte, le virus DOIT circuler !
Il ne peut y avoir de notion d’immunité collective qu’une fois que le virus a bien circulé !
.Les tests PCR, qui donnent des “cas” mal nommés ! Si on est positif, on croit qu’on est un cas. Or, la technique PCR n’a pas de capacité de diagnostic, sauf à faire un séquençage !
L’isolement du virus qui a été fait est très critiquable car il ne suit pas le protocole de Koch.Normalement, quand on a de nouveaux malades et qu’on soupçonne un agent infectieux, on isole cette “soupe d’agents infectieux” pour voir s’il porte sur un modèle animal. C’était forcément une chauve-souris, un pangolin… je ne comprends pas que les Chinois ne l’aient pas fait. Il fallait démontrer que cet agent infectieux était capable de provoquer une infection et de faire l’inverse afin de pouvoir dire “c’est lui le responsable”.
Or, ce test n’a toujours pas été fait, les spécialistes attendent, on a besoin de cet élément manquant.
.Retour sur les cas positifs asymptomatiques. Chacun croit qu’il peut contaminer autrui, or c’est faux. Il y a eu un papier dans Nature, à partir d‘une expérience chinoise portant sur 10 millions d’individus, c’est énorme, les asymptomatiques ne sont pas porteurs du virus !
Pour être contagieux, il faut un certain nombre de particules virales dans la salive ! Et si j’en ai, mon organisme réagit forcément, d’une façon ou d’une autre.
Par ailleurs, un nouveau test se met en place, EASYCOV, très simple, c’est un test salivaire, on a la réponse 40 minutes après.
(Note de Christine Tasin : ce dernier est remboursé et la Haute Autorité de Santé a donné son autorisation pour qu’il soit utilisé quand le PCR n’est pas possible… donc pas encore de feu vert pour remplacer le PCR.
.Alexandra Henrion-Caude est enthousiasmée par l’examen des eaux usées. En les collectant, on peut voir la concentration du virus. C’est un outil remarquable mis en place par la France qui permet de voir dans vos urines, avant même que vous soyez malades, le marqueur du virus. Cela devrait définir une politique sanitaire réelle.
.Le Vaccin
Le mot vaccin n’est pas adapté à ce que nous faisons avec le vaccin Pfizer. Ces vaccins anti-coronavirus déclenchent des anticorps qui peuvent, ou neutraliser, ou – au contraire – faciliter l’entrée du virus. C’est ainsi qu’on peut avoir une augmentation du nombre de cas de coronavirus après l’injection : 4 500 cas, par exemple, en Israël !
Confer la déclaration de l’Académie de médecine (qui avait mis en valeur l’importance de la vitamine D pendant la crise minute 40) :
En vaccinant contre le coronavirus, on prend le risque d’empirer la maladie. Il faut un consentement éclairé au problème du coronavirus et c’est valable pour tous les vaccins, pas seulement le Pfizer.
En faisant des injections massives, sans savoir quand on injectera la deuxième dose, on court le risque de mettre les gens en danger, il faut renforcer les gestes barrière.
Je suis convaincue que l’ARN peut faire beaucoup de choses, je ne suis donc pas réfractaire à l’idée de soigner par ARN ! Mais c’est parce que je connais l’ARN et son potentiel que je considère que l’administrer à des individus sains, c’est de la folie !
C’est inconcevable, compte tenu de la versatilité de cette molécule. On avait avancé sur les thérapies à base d’ADN, on n’y arrive toujours pas sur des malades. Alors, le mettre en application sur une population saine, c’est de la folie ! Les risques, c’est des effets secondaires à long terme. Ce n’est pas un vaccin, c’est une information génétique expérimentale. On vous injecte une information génétique dans le corps, comme pour les tomates OGM ! C’est l’injection d’un virus et on demande à votre corps de produire une molécule de virus ! On ne connaît pas tous les effets d’une telle expérimentation.
D’autant que le vaccin est fabriqué par Pfizer, qui est le seul à avoir testé, et qui a été condamné plusieurs fois pour publicité mensongère, sur 13 médicaments !
Pfizer a déclaré que 2,7 % des vaccinés se retrouvent incapables de faire leurs activités quotidiennes, de travailler… après la vaccination. Le risque est plus grand que le risque Covid !
Un risque pareil n’est pas possible !
Ce risque est répertorié par Pfizer, donc, comme il est connu, on n’en parle pas !
Cerise sur le gâteau, l’efficacité du vaccin Pfizer n’a pas été évaluée sur la population des plus de 75 ans ! Ce sont donc des cobayes !
Tous ceux qui se font vacciner sont des cobayes, mais la parole scientifique est censurée !
Alexandra Henrion-Caude, spécialiste de l’ARN : c’est de la folie de vacciner des individus sains avec un ARN Messager
Allant à contre-courant de la paranoïa des gouvernements occidentaux, Vladimir Poutine a annoncé ce jour le retour à la normale en Russie :
“En Russie, la situation avec le coronavirus se stabilise ; les restrictions imposées en lien avec la pandémie peuvent être progressivement levées. En général, la situation épidémiologique dans le pays se stabilise progressivement. Ce matin, j’ai écouté les rapports : nous avons déjà le nombre de guéris supérieur au nombre de malades. Le nombre de personnes infectées diminue, il est à moins de 20 pour mille. Cela permet de supprimer soigneusement les restrictions imposées.”
Actuellement dans la plupart des régions de la Fédération de Russie, il y a déjà très peu de restrictions depuis l’été dernier, comparativement aux pays occidentaux. Tous les services et commerces fonctionnent (bars et restaurants doivent dans plusieurs régions fermer à 23 heures… en théorie. En pratique, beaucoup ne ferment qu’à l’aube…). Les seules limitations sont l’obligation (ici aussi très théorique) du masque dans les transports et magasins, et la limitation à 50 % du taux d’occupation des cinémas, musées etc. Par ailleurs la population en grande partie ne suit que très peu les consignes stupides : le masque est peu porté, ou alors sous le menton. Quant aux “distances sociales”… voici une photo prise il y a quelques jours dans le métro de Moscou…
La portée de la déclaration de Vladimir Poutine est en fait très politique : elle montre au clan des globalistes en Russie, mené par le maire de Moscou qui désire renforcer les mesures pour s’aligner sur les pays occidentaux, que son petit jeu est terminé. En août, c’est déjà Vladimir Poutine qui avait ordonné au maire de Moscou de lever la quarantaine (le maire avait reçu un coup de téléphone en pleine réunion pour préparer l’annonce de la poursuite de la quarantaine et avait déjà commencé à faire envoyer des SMS pour en informer la population. Selon un témoin, le maire n’a rien dit durant 2 à 3 minutes, et à la fin de la communication a déclaré que la quarantaine était levée.). La semaine dernière, c’est encore le Président qui a ordonné au maire de Moscou de cesser l’enseignement “à distance” que celui-ci avait mis en place en octobre pour une grande partie des élèves. Aujourd’hui, il déclare donc, au plan national, que les choses ont assez duré.
S’il y a assurément une justification électorale à cette décision, par la chute de popularité du maire de Moscou à 80 % de mécontents qui se traduit par la chute de popularité de Poutine avec un énorme 40 % de mécontents), il semble évident, alors que les pays occidentaux rivalisent de paranoïa pour savoir qui enfermera le plus durement et longuement sa population, que Vladimir Poutine met clairement la Russie en dehors du plan globaliste. On rappellera par ailleurs les mesures nouvelles que la Russie a inscrites dans sa Constitution (par exemple le mariage = homme plus femme exclusivement, la réaffirmation de la foi en Dieu, la prédominance des lois russes sur les lois internationales, etc.) qui montrent clairement le chemin choisi, aux antipodes du projet de société mondialiste.
Le hold-up électoral réalisé par Biden et ses complices aux États-Unis va rapidement entraîner l’Europe de l’ouest dans une globalisation à marche forcée. Macron a d’ailleurs fait allégeance à Biden lors de leur premier entretien téléphonique hier. La Russie s’affirmera alors comme une oasis souveraine dans un monde fou. C’est d’ailleurs pour éviter cela que les globalistes font le forcing avec les tentatives de soulèvement fomentées par la “5e colonne” menée par Navalny et quelques oligarques.
Mais, comme le disait ici-même Konstantin Sergueïevitch : “la Russie a les moyens humains, financiers et militaires de tracer sa voie quelles que soient les réactions des globalistes.” Dans ce même article, Konstantin Sergueïevitch écrit : “Faute de réaction rapide, demain ou après-demain, le pire est déjà programmé”. La déclaration de Vladimir Poutine ce jour sur la fin de la folie autour du covid montre qu’il y a une réaction, qui devrait être suivie d’autres dans les semaines à venir.
FIGAROVOX/TRIBUNE – Antoine Valentin, le maire de Saint-Jeoire (74), alerte les pouvoirs publics sur la hausse de l’insécurité dans les territoires ruraux. Il appelle l’État à ne pas abandonner les campagnes françaises et à donner davantage de moyens aux forces de gendarmerie.
Ainsi, dans ma commune, tout le monde connaît les dealers, ils œuvrent en toute impunité. Multiples condamnés, ils sont rarement écroués. Quand par miracle ils quittent les bancs de la commune pour rejoindre ceux du centre de détention, un aménagement de peine leur fait généralement bien vite retrouver le bercail. Sans gêne, ils sont les propriétaires des plus beaux SUV du secteur, largement avant le médecin ou l’entrepreneur du coin. Les gendarmes, en sous-effectifs, peinent à démanteler les réseaux. Quand par une somme inouïe de travail, ils aboutissent, les peines sont si faibles qu’elles ne découragent personne, sauf peut-être les enquêteurs eux-mêmes.
(…)
C’est donc logiquement que nous voyons arriver de nouvelles populations, qui quittent les zones urbaines, pour venir faire fleurir leurs activités criminelles dans nos villages dépourvus de forces de l’ordre. Contaminant par là-même les plus faibles et fragiles de nos concitoyens, déjà bien mis à mal par le contexte économique.
(…)
Les administrés doivent désormais prendre leurs véhicules, pour parcourir plusieurs kilomètres, s’ils souhaitent déposer une plainte. De ce fait bon nombre de ruraux abandonnent toute velléité de faire enregistrer administrativement les faits dont ils ont été victimes. L’accroissement statistique, déjà exponentiel, des chiffres de la délinquance et de la violence en zone gendarmerie est donc à compenser d’une quantité non négligeable de faits passés sous les radars.