Les nouveaux commandements tombent les uns après les autres : distance de deux mètres minimum, « ne parlez plus », « ne téléphonez plus dans les transports », « n’enlevez plus votre masque dans TOUT l’espace public ». Et l’Académie nationale de médecine n’a pas fini d’égrener son décalogue. On nous a même prévenus que ces nouvelles obligations ne nous dispenseraient pas d’un troisième confinement. La sainteté sans le paradis.
Réaction, dans la salle ? Rien. On n’entend même plus les cris de ras-le-bol qui, tout bruts qu’ils fussent, nous rassuraient au moins sur la permanence d’un certain instinct de survie. La France a peur, comme disait l’autre. Le variant, les variants nous attendent au tournant. Alors, pas intérêt à faire le mariol, mon gars. Plus qu’à marcher droit, derrière Véran, Attal, et à espérer qu’on pourra obtenir notre ticket de vaccination, sans passer par le marché noir. Plus personne ne moufte. L’anesthésie est générale. Toute la Gaule est passée sous domination…
Toute ? Non ! Un petit réduit, entouré de camps retranchés de redoutables censeurs, a décidé de lancer, sur Twitter, un hashtag de résistance : #JeNeMeConfineraiPas. Vendredi soir et samedi matin, il accédait au « Top 5 ». Des milliers de tweets exprimaient l’envie de s’opposer à ce troisième confinement annoncé. Et certains messages méritent le détour : « #JeNeMeConfineraiPas parce que sortir ou rentrer chez moi, quand je veux, comme je veux, est une liberté vitale, essentielle, qui plus est indispensable à ma bonne santé physique et mentale, et absolument nécessaire à ma vie sociale. » Comme une évidence que des philosophes (où êtes-vous ?) mais aussi des médecins, des psychiatres ne peuvent qu’approuver et qu’ils devraient relayer, eux qui voient quotidiennement dans leurs cabinets les dégâts collatéraux de cette rupture historique dans l’exercice de la liberté et de la sociabilité, notamment chez les étudiants. Mais tellement évidente qu’elle nous paraît lointaine, d’un autre temps, cette exigence naturelle, normale, de liberté de se déplacer, d’être, de vivre. Une aspiration et une requête élémentaires.
Mais voilà, désobéir, ce serait mal, ce serait faire courir un danger aux autres. Et nous sommes tellement bien catéchisés, les prêtres tellement péremptoires depuis leurs chaires. Et puis, il y a la hantise que le grand prêtre Salomon ne revienne nous lancer, comme il y a un an, ses mille morts quotidiens, voire plus. Alors oui, nous nous reconfinerons, nous battrons notre coulpe pour avoir osé sortir sans masque dans une rue déserte.
Mais, de grâce, les #JeNeMeConfineraiPas, tenez bon, persistez, résistez, rappelez-nous que nous ne sommes pas tous devenus des êtres de trouille prêts à abdiquer toute liberté et toute raison !
Jeudi dernier, pour la première fois de son histoire, le camp national s’est intéressé au contenu proposé par Cyril Hanouna dans son émission Balance Ton Post. Raison ? Thaïs d’Escufon, jeune égérie de Génération Identitaire était invitée pour défendre son mouvement après une nouvelle opération « Defend Europe » (Défendez l’Europe) menée en début de semaine par ce « Greenpeace de l’identité » afin de bloquer symboliquement la frontière espagnole pour alerter la population sur les risques de l’immigration clandestine.
Une victoire par chaos de la jeune Thaïs.
Thaïs, 21 ans et sans expérience sur les plateaux TV, s’est retrouvée accompagnée de Jean Messiha, ex-cadre du RN, et de Geoffroy Lejeune, rédacteur en chef chez Valeurs Actuelles, pour débattre face à 7 chroniqueurs haineux, particulièrement agressifs, discourtois, manipulateurs et malhonnêtes. La troupe de hyènes, accompagnée de Cyril Hanouna, lui aussi de parti pris dès le départ de l’émission, a pendant plus d’une heure exigé la dissolution pure et simple de Génération Identitaire.
Pourtant, face à des insultes et des calomnies (« néo-nazis », « crypto-fascistes »…), à des fakes news grossières (GI a été accusé d’avoir passé à tabac des migrants lors de leurs opérations « Defend Europe », sans aucune preuve évidemment), ou encore face à des questions totalement indécentes de la part de notre ami Cyril (« Vous êtes raciste ? », « Vous pourriez sortir avec un non-blanc ? », « Vous n’avez rien de mieux à faire de votre vie ? »), Thaïs a su garder son sang-froid, rester digne, intègre, souriante et ne pas s’abaisser à répondre à la haine par la haine.
Résultat, alors que pendant toute la durée de l’émission le camp en faveur de la dissolution de Génération Identitaire a monopolisé le temps de parole pour manipuler l’auditoire, le sondage de fin d’émission auquel des dizaines de milliers de spectateurs ont répondu, a révélé que la grande majorité des sondés étaient contre la dissolution de Génération Identitaire. Victoire par chaos pour la droite européenne.
Des chroniqueurs haineux pourtant bourrés de casseroles
Au-delà de cette victoire, force est de constater que face à la jeune Thaïs lors de ce débat, nombre de chroniqueurs étaient très mal placés pour donner des leçons de morale à la militante, tant ces derniers ont des casseroles au cul qu’il serait bon de leur rappeler sur un plateau TV.
Florilège.
1) Yann Moix, l’homme qui niait l’existence des chambres à gaz
Yann Moix était particulièrement déchaîné ce soir là. Allant jusqu’à qualifier la jeune étudiante identitaire de « crypto-fasciste », Moix n’était pourtant pas en position de faire de leçon de morale. En effet, rappelons que Yann Moix a pendant longtemps été un dessinateur de caricatures antisémites et un rédacteur de textes négationnistes. Il y a quelques années, Yann Moix, l’homme qui niait l’existence des chambres à gaz dans la revue Ushoahia, pensait être tiré d’affaire après avoir fait quelques courbettes chez Ruquier ; cependant, il est certain qu’il aurait été plus que jouissif de faire ressortir ce dossier dans cette émission en direct.
2. Éric Naulleau, l’homme qui écrit un livre avec Alain Soral
Naulleau cherche depuis bien longtemps à se faire pardonner sa collaboration avec Éric Zemmour afin de pouvoir continuer à manger à la cantine de Canal +. Ainsi, il a cherché tout au long de l’émission à disqualifier la pensée identitaire par les stratagèmes les plus absurdes et sordides afin de manipuler l’opinion. Cet excès de zèle face à une jeune femme de 21 ans est logique, au-delà de sa collaboration avec Zemmour, car c’est bien la co-écriture d’un livre avec le polémiste Alain Soral, souvent accusé d’antisémitisme, que le journaliste de gauche souhaite se faire pardonner. Quitte à user de tous les stratagèmes comme nos adversaires, doubler par la gauche Naulleau en lui rappelant l’existence de son livre Dialogues Désaccordés avec Alain Soral aurait été plus qu’efficace.
3. Agathe Auproux, la femme qui « ni*** les arabes »
Chroniqueuse chez Hanouna depuis plusieurs années déjà, ce petit bout de femme aux traits asiatiques n’en était pas moins remontée fortement contre Génération Identitaire. Sous des airs de légalisme forcené, elle n’a cessé d’appeler à la dissolution du mouvement de droite sous prétexte que celui-ci véhiculerait une idéologie raciste. Cependant, si l’on souhaite jouer à ce jeu là, rappelons que de nombreux tweets d’Agathe Auproux ont été retrouvés dans lesquels la bien-pensante faisait l’apologie d’Adolf Hitler, appelait à « ni*** les arabes » ou encore utilisait des hashtags aux caractères homophobes…
4. Karim Zéribi, l’homme qui détournait des fonds publics
Karim Zéribi, ancien homme politique, a lui aussi été particulièrement infâme. Prétextant expliquer à la jeune Thaïs ce que voulait dire «être français », il en a conclu que le mouvement GI était antirépublicain et devait, par conséquent, être dissout. Ce légaliste qui porte haut les couleurs de la République a pourtant été condamné à deux ans de prison avec sursis et 50 000€ d’amendes pour avoir détourné des fonds publics… Sans commentaires.
5. Yassine Bellatar, le clown qui appelle à crier « Allahu Akbar » dans ses spectacles
Le pseudo-humoriste Yassine Bellatar, également très proche du Président Macron en tant que conseiller sur les banlieues, avait au final beaucoup moins d’humour que Jean Messiha sur le plateau. Son but ? Combattre Génération Identitaire pour satisfaire son agenda politico-religieux, d’extrême-gauche et islamiste. En effet, l’homme qui souhaitait la disparition de Zineb el Rhazoui, s’était également illustré en faisant crier à son public lors de ses spectacles à Paris la trop célèbre formule « Allahu Akbar » qui est également utilisée par quasiment tous les terroristes islamistes avant leur passage à l’acte. Les familles de victimes du Bataclan apprécieront…
Comme par hasard, tous les covidistes, formule rendue célèbre par Florian Philippot, sont également immigrationnistes ; à l’exception de Marine Le Pen, qui réussit l’exploit de soutenir la politique liberticide de Macron tout en se contentant de la critiquer à la marge.
Sinon, aucun immigrationniste, depuis un an, ne réclame la fermeture de nos frontières pour nous protéger du virus. Aucun n’a protesté contre le premier confinement. Aucun n’a été choqué qu’on impose le masque, d’abord dans les grandes villes, puis dans les lieux fermés, partout, puis dans les rues, partout, puis sur les lieux de travail. Et même à nos enfants, dans les écoles, d’abord à partir de 11 ans, puis à 6 ans.
De même, aucun immigrationniste n’est heurté par la politique du couvre-feu, qui a commencé à 21 heures, dans quelques endroits, puis est arrivé à présent à 18 heures dans toute la France.
Ils ont laissé le pouvoir imposer un deuxième confinement, et attendent, résignés, soumis et complices, que le troisième confinement, qu’ils rêvent de mettre en place, soit décidé par le régime.
Qu’ils soient les collabos de LR, toute la gauche immigrationniste, politique, syndicale, associative, la plupart des journalistes et des toubibs de plateau à la Pelloux-Marty, tous appellent de leurs vœux ce régime à tuer définitivement la France – ce pour quoi il a été mis en place -, à infantiliser toujours davantage les Français, à réprimer toujours plus durement, par des amendes à 135 euros, ceux qui osent ne pas porter de masque dans la rue, ou qui, sur les réseaux sociaux, contestent la politique sanitaire criminelle menée par ce régime.
Ils abandonnent les Français et les livrent à Macron, à sa dictature sanitaire et au projet mondialiste qui l’accompagne. Ce sont des collabos de la tyrannie.
Et, pendant ce temps-là, l’ensauvagement de la France se poursuit, avec son lot de violences gratuites, d’agressions sordides de personnes handicapées, âgées, en situation de faiblesse, ou tout simplement qui ont la mauvaise idée d’être au mauvais endroit au mauvais moment.
Il est révélateur de noter la différence de traitement de l’information d’un site comme Fdesouche, agence de presse patriote, qui, en prenant simplement les sources de la presse nationale ou locale et les émissions télévisées ou radiophoniques, établit une hiérarchie de l’information totalement différente de celle imposée par les grands médias, propriétés de milliardaires, mais gavés de subventions par nos impôts.
De temps en temps, une agression, ou un meurtre, plus spectaculaire que la moyenne des cas, réussit à percer le mur du silence durant quelques heures, voire une journée. Et puis, le matraquage médiatique avec le lavage de cerveau quotidien reprennent.
Personne ne parlera, bien sûr, de la politique de peur que subissent les Français. Et principalement, nos gamins, notamment dans les écoles, mais aussi dans les rues. Ils sont obligés de mettre en place des stratégies de survie qui se traduisent, bien sûr, par l’acceptation de la propagande officielle : la France se doit d’accueillir toujours plus de clandestins, l’immigration est une chance pour notre pays, et il n’y a aucun problème avec l’islam, qui est bien sûr une religion de paix. Les petits Blancs sont souvent obligés de rester entre eux, et surtout de ne pas sortir seuls.
Et quand, sur un plateau de télévision, un Zemmour ose dire la vérité, il est immédiatement sali, interdit d’antennes, criblé de procès, insulté grossièrement par des minables qui ne lui arrivent pas à la cheville.
Il faut voir le sort subi, sur l’émission “Balance Ton Post”, lors de l’émission de Cyril Hanouna, par la porte-parole de Génération Identitaire, Thaïs d’Escufon. Insultée, méprisée, ringardisée, calomniée, nazifiée, par des salopards qui s’appellent Zeribi, Belattar, Moix, Naulleau, Garrido, Sailliet, pour avoir simplement émis cette évidence : les agressions sexistes, verbales et physiques des jeunes Françaises, dans la rue, sont très majoritairement le fait de personnes d’origine africaine. Elle aurait pu ajouter que les prisons sont majoritairement remplies par ces personnes, que les viols ont explosé, en France, depuis les années 2015 avec le déferlement migratoire sur la France et l’Europe, que l’ensauvagement de la France est lié au nombre ahurissant de 450.000 nouveaux venus, majoritairement africains et musulmans, dans notre pays. Sans doute n’aurait-elle jamais pu terminer le propos…
Les priorités d’Hanouna….faire de fric. La France peut bien creuver.
Voilà du Garrido pur jus. Toute la pourriture des Insoumis et de la secte de Mélenchon est résumée par ce twitt : Le lâche lynchage de #Yuriy est une abjection. J’espère que les auteurs seront vite appréhendés et punis. Compassion et soutien pour lui et sa famille. Dégoût pour les charognards d’extrême-droite qui se servent de Yuriy pour relativiser leur propre complaisance avec la violence.
Un pertinent commentateur de Fdesouche répond : « Vous noterez que cette répugnante truie rouge de Raquel Garrido réserve le mot “charognards” à des supposés instrumentalisateurs “d’extrême-droite”, mais évoque poliment les “auteurs” pour désigner les chiens pouilleux afro-blédards. »
Et il manquait dans la liste la Licra, qui, de manière pulsionnelle, par son président Mario Stasi, réclame régulièrement la dissolution de Génération Identitaire, mais jamais celle d’associations musulmanes, dont les coreligionnaires tuent pourtant régulièrement des Juifs, comme Mireille Knoll, Gisèle Halimi, et trop d’autres.
Cette caste de criminels, les immigrationnistes, ont sur les mains, comme le dit régulièrement Philippe de Villiers, le sang de toutes les victimes de l’islam, lors de ses innombrables attentats commis sur notre sol. Ils sont responsables et coupables de toutes les autres morts, provoquées par des attaques souvent gratuites (une agression toutes les 45 secondes en France) et des traumatismes qui demeurent chez ces innocents, presque toujours Gaulois d’origine, massacrés par des psychopathes, presque toujours venus d’ailleurs.
L’épouvantable agression subie par le jeune Yuriy, d’origine ukrainienne, âgé de 15 ans, élève de 3e, fait partie de ces épisodes dramatiques qui ensanglantent notre pays tous les jours. Cette fois, la barbarie est telle qu’elle a percé le mur du silence, et que les médias sont obligés d’en parler ; donc les politicards de réagir. Autant on peut accorder de la sincérité aux protestations d’élus comme Marine Le Pen, Nicolas Dupont-Aignan, Florian Philippot, Frédéric Poisson qui sont légitimes ; mais entendre Gérald Darmanin, Clémentine Autain ou Raquel Garrido est un rare foutage de gueule. Ce sont des personnes comme elles, comme Mélenchon, comme Besancenot, comme les écolos, comme les socialauds, comme les antiracistes, comme les ONG, comme les journaleux, comme les juges qui sont tous responsables du sort subi par le jeune Yuriy. Et par toutes les victimes qui, comme Marin, si elles demeurent en vie, garderont des séquelles toute leur vie de la barbarie de ces agresseurs, qui n’ont rien à faire en France, et encore moins en liberté.
Ce qui est arrivé à Yuriy peut arriver à n’importe lequel de nos enfants, dans une école, à la sortie ou dans la rue. Cela peut toucher n’importe quel Français. Tout le monde sait, n’en déplaise aux fachos d’Hanouna qui réclament la dissolution des Identitaires, qu’il y a 99,99 % de chances sur cent pour que les agresseurs soient des Arabo-musulmans. Ce qui se passe en France, c’est un djihad quotidien, qui impose la terreur aux nôtres, et les habitue à subir, pour les plus jeunes, la dictature de l’islam.
Il y a un mois et demi, l’enseignant Samuel Paty se faisait décapiter à la sortie de son école, par un musulman qui n’avait rien à faire en France. Après l’émotion suscitée, il ne s’est rien passé, si ce n’est une charte ridicule où les islamistes, déguisés en paisibles musulmans républicains, ont à nouveau prouvé au gouvernement qu’ils faisaient la loi en France.
L’invasion migratoire se poursuit, les crimes, viols, cambriolages et agressions se multiplient, et les collabos continuent à exiger la dissolution de Génération Identitaire, et à insulter ceux qui résistent au virus sanitaire, migratoire et islamique.