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C’est donc aujourd’hui que le “camp du Bien” prend les rênes de l’Amérique, en la personne de Joe Biden. Que les médias nous présentent comme le grand réconciliateur d’un pays traumatisé par quatre années de trumpisme malfaisant.
Avec Biden, c’est donc le retour du droit et de la décence, le retour de la justice et de la concorde. Toute la planète l’idolâtre après l’avoir adoubé dès le 3 novembre, malgré des preuves accablantes de fraude électorale dans les États clés.
La presse occidentale est en extase, comme si le dieu Biden l’avait délivrée du Mal.
Joe Biden, un saint incarnant la vertu et appelant à l’unité ? Le président de tous les Américains ? Mais qui peut croire à pareille fable ?
Biden, c’est le Président illégitime qui a avoué lui-même, dans un moment d’égarement dont il est coutumier, qu’il serait élu grâce à la mise en place du système de fraude le plus sophistiqué qu’on ait jamais vu.
“Nous avons mis en place, je pense, la plus large et la plus inclusive organisation de fraude électorale dans l’histoire de la politique américaine.”
Un aveu que tous les médias occidentaux ont aussitôt transformé en “fake news”, nous affirmant que Biden voulait dire tout le contraire.
En vérité, c’est une catastrophe qui s’est abattue sur l’Amérique. Avec Biden, ce sera le mandat de la revanche, implacable, à l’égard des Républicains.
Le camp du Bien, c’est celui qui a nié la fraude, écartant toutes les plaintes et toutes les preuves de triche les plus irréfutables.
Le camp du Bien, c’est celui qui a rejeté les 2 000 témoignages sous serment, les vidéos accablantes, les participations supérieures à 100 %, le vote des morts et des fantômes ne figurant sur aucune liste électorale.
Pas un seul juge n’a fait son travail. Pas une seule plainte n’a été instruite. Une infamie qui a sali à jamais la démocratie américaine.
Le camp du Bien, c’est celui qui méprise les 75 millions d’électeurs de Trump, ces “déplorables” incultes et bas du front qui refusent le mondialisme.
Le camp du Bien, c’est Nancy Pelosi qui s’acharne à destituer Trump une deuxième fois, pour mieux le détruire.
Le camp du Bien, c’est encore Nancy Pelosi qui veut retirer les codes nucléaires à Trump, jugé dangereux, alors que c’est Biden qui n’a plus toute sa tête, confondant son fils et sa petite-fille en plein meeting.
Le camp du Bien, ce sont les Big Tech qui violent impunément le 1er amendement de la Constitution et bannissent le Président Républicain ainsi que tous ses soutiens.
Le camp du Bien, c’est la Silicon Valley qui a toujours soutenu la gauche américaine contre les conservateurs.
Le camp du Bien, c’est aussi l’entreprise Dominion qui réclame 1,4 milliard de dollars à Sidney Powell pour avoir dénoncé la fraude gigantesque des machines à voter.
Le camp du Bien, c’est celui qui lance une vaste chasse aux sorcières contre tous ceux qui ont dénoncé la fraude ou aidé Trump dans son combat judiciaire.
Le camp du Bien, c’est celui qui veut la mort sociale de ses opposants, qui doivent être traqués sans relâche, licenciés de leur entreprise et bannis des médias.
Le camp du Bien, ce sont les stars du show-biz, comme Schwarzenegger, qui ose comparer l’intrusion dans le Capitole le 6 janvier, à la “nuit de cristal” de 1938. D’autres à Pearl Harbor, ou même au 11 septembre 2001 ! Et pourquoi pas Hiroshima, puisque c’est no limit dans la surenchère !
Le camp du Bien, c’est le réconciliateur Biden qui réserve les aides de l’État aux PME tenues par des Noirs, des Latinos, des Asiatiques, des Amérindiens ou des femmes.
Le Wasp (protestant blanc anglo-saxon), qui faisait la fierté de la grande Amérique victorieuse du nazisme, de l’impérialisme nippon et du communisme, est donc devenu un paria dans son propre pays !
Le camp du Bien, c’est celui qui veut la dissolution des polices municipales quand les émeutiers antifas ou BLM saccagent les villes. Mais qui transforme Washington en camp retranché avec 25 000 soldats pour protéger Biden le jour de son investiture.
Le camp du Bien, c’est celui qui fait de l’homme blanc, hétérosexuel et patriote attaché à son identité culturelle, un suspect aux idées racistes et homophobes.
Le camp du Bien, c’est celui qui excommunie tous les contradicteurs de la pensée unique.
En fait, ce 20 janvier 2021 signe le retour d’une infernale dictature de la pensée, qui va se traduire par la persécution de tous les opposants à la religion mondialiste.
Politiques, journalistes, enseignants, patrons et employés, juges, avocats ou artistes qui s’écarteront du droit chemin en émettant un avis non conforme à la parole officielle, seront aussitôt cloués au pilori, diabolisés, excommuniés et jetés en pâture à la vindicte du camp du Bien, détenteur de la seule morale qui vaille, celle de la gauche multiculturaliste.
S’il le pouvait, le camp du Bien rallumerait les bûchers de l’Inquisition.
Je plains les millions d’Américains qui ont voté Trump. La tolérance est un mot inconnu des Démocrates, comme on le voit avec leurs comportements hystériques depuis les incidents du Capitole.
Ce 20 janvier 2021 est un jour sombre pour l’Amérique.
Le Président qui a violé la Constitution et la démocratie, en trichant comme jamais, selon son propre aveu, va prêter serment sur la Bible et jurer de défendre et protéger la Constitution.
Quelle mascarade !
Heureusement, Trump ne s’est pas associé à cette farce hypocrite. Lui, au moins, sera resté digne jusqu’au bout, regagnant la Floride à bord d’Air Force One avant l’heure de l’investiture.
Malgré tous les mensonges et les insultes, Trump restera, pour une majorité d’Américains, le Président qui incarne l’amour de l’Amérique et de son peuple. Son slogan MAGA (Make America Great Again) restera dans l’Histoire.
Une Histoire qui lui rendra justice tôt ou tard, car la vérité sur ce hold-up électoral diabolique, qui n’a été possible que par la trahison de nombreux Républicains, éclatera un jour prochain à la face du monde.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque