Articles : Dec. 2020 – Nov. 2020 – Oct. 2020 – Sept 2020
“Mal Traités : Comment les malades ont été privés de remède efficace” est un documentaire réalisé par Alexandre Chavouet qui explore les raisons pour lesquelles des traitements aujourd’hui jugés efficaces ont été (et sont encore) complètement ignorés par les autorités sanitaires au profit de vaccins potentiels.
Le documentaire : https://maltraites-ledoc.com/
Le woke, ou la déferlante de l’extrême gauche américaine
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Dans la course folle aux droits des minorités, les États-Unis sont largement en tête en ce moment. Deux concepts étonnants se superposent pour réveiller lesdites minorités persécutées par les dominants, c’est-à-dire les hommes blancs : le woke, pour que ces persécutés se réveillent et soient vigilants, et la cancel culture, pour que le persécuteur identifié soit effacé, c’est-à-dire qu’il ne puisse plus s’exprimer.
De nombreux journalistes et professeurs d’université ont ainsi été licenciés ou ont dû donner leur démission, tant la pression des woke était insupportable. Leur crime nous laisse généralement pantois. Le cas le plus emblématique est celui de Bret Weinstein, professeur de biologie à l’université d’Evergreen. Il a dû démissionner, ne pouvant plus tenir ses cours et lâché par sa direction. Son crime ? S’être opposé à l’organisation d’un « Jour d’absence », c’est-à-dire un jour où les Blancs de l’université doivent rester chez eux pour qu’il n’y ait que des élèves de couleur.
Ce pauvre Weinstein n’avait pourtant pas le profil du mâle blanc dominant : juif de gauche et démocrate ayant soutenu Bernie Sanders lors des primaires. Mais peu importe, il s’était opposé, il fallait l’effacer. Dans un entretien au Figaro du 18 décembre, il confie son amertume et lance un cri d’alarme : « Les gens ne prennent pas ces mouvements au sérieux. Mais quand ils y sont confrontés, ils n’ont qu’un choix : soit se soumettre, soit être détruits. »
La même mésaventure est arrivée Bari Weiss, journaliste importante du très libéral New York Times, qu’elle a dû quitter après s’être inquiétée de ce phénomène. Un autre journaliste, Ian Buruma, a dû aussi quitter son journal pour avoir publié la tribune d’un homme accusé à tort d’agression sexuelle.
Le processus est toujours identique : pression maximale des réseaux woke sur le coupable qui finit par partir pour pouvoir retrouver une vie normale, et sur sa direction qui l’abandonne pour ne pas devoir partir elle aussi.
Tout cela a des sources anciennes mais a connu une très forte accélération en 2013 avec le mouvement Black Lives Matter et sous la présidence d’Obama avec la création, dans toutes les universités américaines, de bureaux de lutte contre le harcèlement sexuel, prétexte à une chasse aux sorcières permanente. Joe Biden joua un rôle actif dans ce processus.
Le mouvement s’étend au Canada où l’excellent Mathieu Bock-Côté nous apprend que les Québécois francophones sont accusés de racisme par les woke anglophones car ils occupent un territoire « non cédé ». Et en Angleterre, où la romancière Rowling (Harry Potter) est accusée de « transphobie » pour avoir écrit que la différence des sexes était une réalité biologique. Où donc va-t-elle chercher ça, en effet ?
Eugénie Bastié et Laure Mandeville ont publié une remarquable enquête sur le sujet (Le Figaro du 21 décembre) et il est à craindre que nous ayons à en reparler.
La France est, pour l’instant, moins touchée que le monde anglo-saxon, mais les premières vagues arrivent : statues d’hommes célèbres vandalisées, dénonciations incessantes de CNews, conférenciers interdits (Sylviane Agacinski à l’université de Bordeaux Montaigne pour cause d’hostilité à la PMA), la liste va nécessairement s’allonger.
Sam Abrams, professeur à New York ciblé par les woke, a déclaré au Figaro : « Ça fait tellement de bien de savoir que chez vous [en France] les parents peuvent encore dire à leurs enfants qu’ils sont un petit garçon ou une petite fille. Chez nous, on dirait : comment osez-vous assigner un genre ? »
Le combat sera rude.
Boulevard Voltaire
Rapport alarmiste sur les sans papiers algériens en Italie
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L’émigration clandestine vers l’Italie a augmenté de plus de 300 pourcents en 2020 malgré le pandémie de coronavirus (covid-19).
Selon le rapport annuel dévoilé cette semaine par le ministère italien de l’intérieur, 34001 migrants son arrivés clandestinement en Italie durant l’année 2020, contre 11439 migrants en 2019.
Dans le détail, 1458 sans papiers algériens (harragas) on rejoint l’Italie via le mer entre le 1er janvier et le 24 décembre 2020. Les Tunisiens représentent la majorité avec 12 847 migrants.[…]
Le tribunal de Milan rend une série d’ordonnances
En effet, selon le quotidien italien « corriere delle serra », ces sans papiers pourrait bénéficier d’une protection humanitaire, suite à une ordonnance de tribunal de Milan.[…]
L’article dans son intégralité sur Algérie 360
La chanson du jour, Live Forever – Oasis
Vous aimez la guitare électrique ? Ca tombe bien nous aussi. Avec Oasis retrouvez l’art et la manière de faire du rock de façon efficace avec un retour aux racines du rock.
Un son reconnaissable entre tous, des solos de guitares sans retenue…on aime on aime…et pas seulement ce morceau.
Un dîner en ville qui fait du bruit : Marion Maréchal courtisée par l’Élysée ?
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Tout le monde le sait, le peuple des journalistes comme celui des lecteurs, l’actualité est souvent en eaux basses, entre Noël et la Saint-Sylvestre. D’où la propension des médias à monter en épingle le moindre semblant d’événement, tel ce dîner entre Marion Maréchal et Bruno Roger-Petit, ancien porte-parole de la présidence et récemment nommé conseiller « mémoire » d’Emmanuel Macron, qui s’est discrètement tenu dans un restaurant parisien huppé de Montparnasse, Le Dôme, le 14 octobre dernier, auquel Le Monde consacre un long article.
Marion Maréchal a tôt désamorcé la bombinette : « Bruno Roger-Petit est passé par un ami pour me proposer de me rencontrer. J’ai accepté : je ne refuse jamais de discuter par principe. Surtout que j’étais assez curieuse de connaître celui qui s’amusait à me traiter de nazie toutes les deux semaines quand j’étais députée. »
Il est vrai qu’en la matière, notre homme est prompt à la réduction ad hitlerum. Le 21 mars 2011, c’est en ces termes qu’il stigmatise le scepticisme de Benoît Hamon vis-à-vis de Dominique Strauss-Kahn : « Benoît Hamon juge que DSK “ne respire pas les molécules françaises” : après la terre, l’air qui ne ment pas ? (…) J’ignore si DSK respire un air cosmopolite, vicié, apatride et antifrançais aux yeux d’Hamon. Ce que je sais en revanche, et tout bon républicain (et socialiste) pourra en convenir, c’est que ces propos sont, eux, irrespirables. » L’Élysée a les émissaires qu’il peut.
Pourtant, il s’agit bien là de sonder, tout en les courtisant un peu, les forces politiques en présence, même si Marion Maréchal ne fait plus de politique stricto sensu. Tous nos gouvernements l’ont fait et continueront probablement de le faire. Mieux : entre des partis donnés pour ennemis irréductibles, les passerelles informelles ont toujours existé. Quoi que Jacques Chirac ait pu prétendre, il rencontre longuement Jean-Marie Le Pen en privé, dans l’entre-deux-tours de l’élection présidentielle de 1988. Ce dernier a aussi un contact quasi direct avec François Mitterrand par l’intermédiaire de Guy Penne, son conseiller « africain », tout en entretenant les meilleurs rapports avec Roland Dumas et Michel Rocard, qu’il tutoie tous les deux, s’étant connus du temps de leur jeunesse, à l’Assemblée pour le premier, à l’UNEF pour le second.
Toujours dans le même registre, Julien Dray et Éric Raoult s’entendaient comme larrons en foire au Parlement. Le fait d’avoir tous deux voté, bravant les consignes de leurs partis respectifs (PS et RPR), contre la guerre du Golfe de 1990 ne fait que les rapprocher. On notera qu’Éric Raoult s’entendra fort bien avec Marie-France Stirbois, unique députée lepéniste de l’époque, tandis que celle-là apprécie la compagnie du chiraquien Pierre Mazeaud, tout en étant fort flattée de la complicité en coulisses d’Yvette Roudy, socialiste de choc, mais qui, forte d’un féminisme des plus cohérents, est scandalisée de la manière dont sa collègue est traitée en raison de son sexe et d’idées qu’elle est pourtant loin de partager.
Il n’y a donc pas là, que ce soit pour les journalistes et leurs lecteurs, raison de s’étonner et encore moins de s’indigner, ses relations extra-politiques n’étant le fait que de la seule nature humaine. Jany Le Pen ne dit pas autre chose dans les années 1990 lorsque se félicitant du soutien constant qu’apporte Roselyne Bachelot à son association SOS Enfants d’Irak.
Pour en revenir à ce dîner, nous apprenons qu’il aurait été facilité par Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction de Valeurs actuelles, à la fois proche de Bruno Roger-Petit, si l’on en croit Le Point, et ami de Marion Maréchal. Eh oui, chez les journalistes aussi, on peut aussi partager le pain et pas les opinions. Toutes choses bien pesées, c’est peut-être mieux que le contraire…
Boulevard Voltaire
Plus de 2.000 migrants en plus par an, en Nouvelle-Aquitaine : c’est cadeau, c’est Noël !
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En cette fin d’année 2020, les premières conséquences des restrictions sanitaires se font sentir dans l’économie du pays : dépôts de bilan, licenciements, pertes d’activité, les PME/TPE sont touchées de plein fouet par la crise et il ne fait aucun doute que la situation ne va pas aller en s’améliorant en 2021. Car si les quelques mesures mises en place ont permis à la majorité des entreprises de traverser les deux derniers confinements, c’est vraisemblablement au cours du premier semestre 2021 que la casse risque d’être la plus importante.
Dans ce contexte, on pourrait s’attendre à ce que le gouvernement diminue les dépenses inutiles ne bénéficiant pas aux Français, celles liées à l’immigration ou celles liées à la coopération internationale. Car après tout, la « crise sanitaire » n’a-t-elle pas mis en exergue les dangers de frontières incontrôlées et d’une libre circulation effrénée des personnes ?
Et pourtant, en cette période de fêtes, un document officiel est passé relativement inaperçu : le schéma national d’accueil des demandeurs d’asile et d’intégration des réfugiés. Dans ce document de 24 pages, le ton est donné dès le départ : « La capacité du parc d’hébergement des demandeurs d’asile en France a doublé depuis 2015. En dépit de cette progression importante de nos capacités d’accueil et d’un taux d’occupation lui-même très élevé (près de 98 % depuis l’été), le dispositif national d’accueil des demandeurs d’asile n’héberge aujourd’hui qu’un demandeur d’asile sur deux (51 %). Cette moyenne masque elle-même d’importantes disparités territoriales. » En clair, même si la France est le deuxième pays d’accueil en Europe, le gouvernement français va poursuivre largement dans cette voie, tout en veillant à répartir les demandeurs d’asile un peu partout sur le territoire national.
Récemment, en conseil communautaire, je m’étonnais de constater que bon nombre d’entreprises avaient vu leur CFE (cotisation foncière des entreprises) augmenter de près de 25 % en 2020 – alors même qu’elles avaient subi de lourdes pertes et que leurs charges fixes restaient inchangées. Il m’a été répondu qu’on ne pouvait aider que celles qui étaient les plus impactées par le Covid-19, en faisant preuve de prudence pour les mois à venir. Alors, pourquoi maintenir cette folle politique migratoire qui est un véritable gouffre financier pour le contribuable français, si nous sommes déjà dans l’incapacité d’aider nos propres compatriotes ?
Rappelons que le coût officiel de l’immigration a été estimé, récemment, par la Cour des comptes à près de 7 milliards annuels, que la seule prise en charge hospitalière des clandestins dépasse le milliard par an alors que, dans le même temps, la France compte près de 3 millions de chômeurs et 12 millions de pauvres (Français vivant sous le seuil de pauvreté).
Et pourtant, ce schéma ne laisse aucun doute : nous doublerons d’ici peu le nombre de « réfugiés » en France, mais avec une meilleure répartition sur le territoire national pour laisser un faux semblant d’immigration contrôlée, et surtout pour éviter les démantèlements de camps comme ce fut récemment le cas en région parisienne, démantèlements qui auraient un impact négatif pour la communication d’Emmanuel Macron.
Parmi les grands « gagnants » au jeu de l’immigration, la Nouvelle-Aquitaine devra accueillir 2.200 migrants de plus chaque année sur son territoire, tout comme l’Occitanie et l’Auvergne-Rhône-Alpes. Ce sera 1.700 pour la Bourgogne-Franche-Comté, 1.500 pour le Grand Est et la Normandie et près de 1.400 pour la Bretagne.
Et, bien sûr, nous ne parlons ici que des demandeurs d’asile… De quoi envisager une bonne année 2021.
Boulevard Voltaire
Les délits de la semaine, 20-26 décembre 2020
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20-26 décembre
Lille (59) : la prison pour Mohamed qui avait agressé et voulu «acheter» une jeune femme dans le métro
Arras (62) : remise en liberté d’un migrant marocain arrêté après une série de cambriolages
Tours (37) : quatre blessés, dont un “à la gorge” lors d’une rixe au couteau opposant migrants et “jeunes” du quartier
Abbeville (80) : un homme de 70 ans handicapé à 80 % tente de raisonner deux « jeunes » qui faisaient trop de bruit, ils le tabassent
Le Pont-de-Claix (38) : une femme entre la vie et la mort après avoir été poignardée en pleine nuit
Besançon (25) : deux « jeunes » mineurs placés en garde à vue après un incendie criminel
Montmagny (95) : attaqué par cinq individus cagoulés qui le rouent de coups pour sa voiture
La Rochelle (17) : « Dès qu’il n’a plus d’emprise, les relations deviennent cauchemardesques ». Mohamed Al Fakeri frappait, menaçait et harcelait ses ex-compagnes
Nancy (54) : il demande à Ibrahim de faire moins de bruit, 3 semaines d’ITT
France : « Impensable de rentrer au Mali sans rien, ni économie, ni projet, ni papiers » : arrivé dans le pays avec un visa étudiant, il vit dans l’illégalité depuis six ans
Argenteuil (95) : un jeune poignardé à la cuisse, des mères de familles de la ville veulent enrayer la montée de la violence entre quartiers
Arles (13) : un juge d’application des peines accorde une permission de sortie à un détenu dangereux, multirécidiviste des faits de violences qui doit encore purger 8 ans de prison, il s’évade
Lyon (69) : les images hallucinantes du quotidien des trafics et des bagarres
Trappes (78) : les policiers d’Élancourt arrêtent un migrant délinquant auteur d’une vingtaine de méfaits un peu partout en France
Île-de-France : en 2019, 63% des mis en cause pour des violences sexuelles et 93% des auteurs de vols simples dans les transports en commun sont de nationalités étrangères
Trafic de drogue : la France compte 3952 points de deal
Bordeaux (33) : depuis l’arrivée des mineurs isolés étrangers, la délinquance a explosé
Hendaye (64) : explosion de la délinquance, des migrants mineurs isolés interpellés, un syndicat de police sonne l’alarme
Paris (75) : la fête clandestine avec un « rappeur connu » dérape, plusieurs blessés
Pierrefitte-sur-Seine (93) : un chien policier se jette sur un « jeune » dealer, les élus LFI s’en émeuvent
Vidéo : https://twitter.com/YohanS_FI/status/1339986889865109504
Faches-Thumesnil (59) : un ado de 16 ans soupçonné de 13 cambriolages
Valenciennes (59) : un homme tente de poignarder un ado à la carotide à la gare
Val-de-Reuil-Louviers (27) : après trois tirs de mortiers trois soirs consécutifs, les policiers expriment leur ras-le-bo
l, un « groupe de jeunes » serait à l’origine des tirs
Montpellier (34) : deux migrants mineurs isolés de 16 ans arrêtés deux fois en 48 heures pour des cambriolages… ils sont remis en liberté
Les Sables-d’Olonne (85) : un Tunisien en situation irrégulière condamné pour « actes de torture » sur sa compagne et ses enfants
Saint-Nazaire (44) : un Afghan écope de six mois de prison avec sursis pour avoir agressé et léché le visage d’une collégienne
Saint-Genis-Laval (69) : des gendarmes ciblés par des tirs de mortiers
Montpellier (34) : il crache sur un policier et traite l’autre de “sale blanc”
Poissy (78) : « Je vais revenir. Je vais tout brûler, sur le Coran. Je vais te couper la tête », lance Sarah à une infirmière aux urgences
Strasbourg (67) : deux « jeunes » de 18 ans en garde à vue après une tentative de meurtre contre un policier
Meyzieu (69) : deux migrants sans titre de séjour pris en flagrant délit de cambriolage
Pringy (74) : il entend « obtenir des explications » sur des « insultes racistes », poignarde un homme à plusieurs reprises, écope d’une peine de prison avec sursis
Paris (75) : des migrants en situation irrégulière ont le quasi-monopole du trafic de crack dans le Nord-Est parisien, “tout l’argent gagné repart au Sénégal”
Paris (75) : poignardé en pleine rue alors qu’il résistait au vol de sa trottinette par six individus
Loire (42) : libre, sous le coup d’un contrôle judiciaire dans le cadre d’une procédure criminelle, il est interpellé après 8 violentes agressions de femmes, dont un viol
Segré (49) : deux enfants agressés sexuellement, un migrant afghan interpellé
Aix-les-Bains (73) : des policiers se font tirer dessus au mortier
Champigny-sur-Marne (94) : un individu interpellé avec une machette sur la voie publique, 2 policiers blessés
Champs-sur-Marne (77) : deux bandes rivales du 77 et du 93 s’apprêtaient à en venir aux mains avec des couteaux et des barres de fer, 14 personnes interpellées
France : quatre islamistes jugés pour le braquage d’une banque lors de l’acte I des gilets jaunes
Mantes-la-Jolie (78) : deux adolescents blessés par balle
Bordeaux (33) : un Marocain de 18 ans, déjà connu pour des faits de violence, interpellé après une « agression gratuite » au couteau qui a sérieusement blessé un homme à la cuisse
Caen (14) : un Somalien, présent en France depuis dix ans sans avoir jamais travaillé, touchait deux fois les mêmes allocations à Caen et à Rennes grâce à ses deux identités
Créteil (94) : une étudiante algérienne aurait été violemment tabassée, au Consulat d’Algérie
Marseille (13)/Saint-Tropez (83) : des bandes originaires d’Afrique du Nord interpellées après de nombreux « raids » qui se soldaient par des vols
Juvignac (34) : 4 ans de prison ferme pour Mohamed qui avait tiré sur le vigile de l’Intermarché
Dammarie-lès-Lys (77) : deux jeunes hommes âgés de 19 et 21 ans ont été blessés au thorax et à l’abdomen, après avoir été atteints chacun par une trentaine de plombs
Mont-de-Marsan (40) : déjà condamné 15 fois, un Marocain faisait passer des colis au-dessus de l’enceinte de la prison
Bordeaux (33) : menacé d’un couteau par des « jeunes » de 18 ans pour des écouteurs
Agressions et viol à Riorges (42) : il attaquait les femmes au volant de leur voiture et a violé l’une d’elles. Un suspect interpellé, il est âgé de 18 ans et originaire de Trappes
Nantes (44) : Un tir de mortier provoque un début d’incendie. Les tirs sont fréquents, « nuit et jour depuis plusieurs semaines »
Rilleux-la-Pape (69) : violences urbaines durant la nuit de Noël, des véhicules incendiés
Vidéo : https://youtube.com/watch?v=ViAyvKhr6zI
Val-de-Marne (94) : 12 “jeunes” en garde à vue après avoir séquestré et dépouillé trois nuits de suite des familles dans leur maison. Les suspects sont tous des migrants
Annecy (74) : un sexagénaire Turc, ancien imam, condamné pour agression sexuelle et interdit du territoire
Lyon (69) : un homme tenant dans un bus des propos menaçants sur «le président Macron et les Français en général» interpellé par le Raid
Port-Vendres (66) : un ressortissant algérien, connu des services de police, condamné pour trafic de migrants
Saleilles (66) : Armé d’un couteau, il menace les gendarmes venus l’interpeller. “N… vos mères, sales porcs de Français, vous êtes des porcs”
Hénin-Beaumont (62) : fiché S pour islamisme, il est condamné pour n’avoir pas pointé au commissariat
Belfort (90) : un jeune musulman agressé après la publication des photos de son repas de Noël, “Sale fils de blanc, je vais te montrer ce qu’est un vrai rebeu”
Bordeaux (33) : inquiétude après une multiplication des rixes et des fusillades entre quartiers
Nantes (44) : Agressions, voitures fracturées, vols à l’arraché : pas de trêve de Noël pour les délinquants clandestins
Toulouse (31) : un homme tué en pleine rue au Mirail après une fusillade
Montpellier (34) : un adolescent de 16 ans tué de plusieurs coups de couteau en pleine rue
Démocratie Participative
Ils nous livrent aux tueurs islamistes et on devrait croire en leur vaccin ?
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Un discours toujours aussi incisif de Pierre Cassen. Toujours très juste.
C’est donc ce jour que Mauricette, 78 ans, a été la première Française vaccinée. Seule problème (voir vidéo ci-dessous), ils avaient oublié de la prévenir, et elle ne savait pas qu’elle allait se faire piquer contre le virus ! Cela fait désordre ! Par ailleurs, comment croire que des dirigeants qui méprisent les Français, qui leur mentent depuis le début de la crise sanitaire, qui les privent des libertés fondamentales auxquelles ils ont droit, qui ont cassé le pays et son économie, jetant des millions de personnes au chômage, voudraient le bien de nos compatriotes ? Faut-il rappeler que ces dirigeants pourris sont les mêmes qui imposent l’islam et ses attentats à nos compatriotes, et que ce sont encore eux qui imposent 500.000 envahisseurs, nommés migrants, tous les ans, à notre pays, avec les conséquences inévitables : explosion du nombre de viols, de coups de couteaux, d’agressions et d’insécurité. Et ceux qui envoient les Français à la mort prétendraient les soigner contre le virus, avec ce vaccin ? A d’autres !
La charte républicaine menacée par le séparatisme? Plusieurs fédérations musulmanes tergiversent
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Le CFCM avait quinze jours pour présenter une charte républicaine de formation des imams. Un mois plus tard, il n’est toujours pas parvenu à un accord. Explications avec Anouar Kbibech, ex-président du CFCM.
Le fameux «code de déontologie» des imams est au point mort. Reçues par Emmanuel Macron le 18 novembre, les neuf fédérations composant le Conseil français du culte musulman (CFCM) avaient quinze jours pour présenter une charte républicaine destinée à la formation des imams. Aucun consensus ne semble émerger, malgré la bonne volonté affichée du Conseil français du culte musulman lors de son audition à l’Élysée.
En cause, la charte proposée par l’actuel président, Mohammed Moussaoui, ne semble guère convaincre certains membres du CFCM, qui se sont empressés d’en rédiger une nouvelle de leur côté. Il s’agit des fédérations Foi et Pratique, Musulmans de France (l’ex-UOIF, proche des Frères musulmans) et Millî Görüs (ou CIMG), d’obédience turque. Ces deux dernières étaient déjà mises en cause lors des précédentes discussions et soupçonnées de complaisance à l’égard de l’islamisme par l’Élysée. Selon les révélations de l’islamologue Mohamed Sifaoui dans les colonnes du Journal du Dimanche, c’est notamment sur la définition de l’islamisme et sa distinction d’avec l’islam que lesdites associations auraient tiqué.
Séparatisme ou divergences légitimes?
Des «échanges sont toujours en cours en interne», tient à préciser Anouar Kbibech. D’aillleurs, le président du Rassemblement des musulmans de France, l’une des neuf fédérations du CFCM, ne voulant pas «compromettre le travail en cours», refuse de s’exprimer sur la charte ou sur les querelles qui tiraillent le CFCM. Querelles qu’il juge toutes relatives, répétant le dévouement aux valeurs républicaines de l’institution créée par Nicolas Sarkozy, qu’il a lui-même présidée de 2015 à 2017:
«Le CFCM est une instance qui existe depuis 2003 et qui regroupe toutes les sensibilités de l’Islam de France; toutes les fédérations qui débattent autour de la table se déclarent respectueuses des valeurs et des lois de la République et veulent travailler à un islam républicain.»
Plusieurs points mécontenteraient toutefois les trois associations réfractaires, selon Mohammed Sifaoui. D’abord, la redéfinition de la laïcité, notamment dans le cadre scolaire. La charte aurait postulé qu’«aucune autorité religieuse ne peut remettre en question des méthodes pédagogiques». Semblent également demeurer certaines incompatibilités sur la non-criminalisation de l’apostasie et le droit de renoncer à une religion, puisque Musulmans de France s’y montre hostile.
Pour certains détracteurs de la démarche gouvernementale, les discordances exposées dans le JDD illustreraient la fin de l’illusion sur le séparatisme. Plusieurs responsables politiques, à l’instar de Bruno Retailleau, y voient là l’échec de l’Islam républicain et le laxisme du pouvoir, qui aurait dû rédiger lui-même le texte.
D’autant plus que la charte alternative, mijotée dans leur coin par les fédérations mécontentes, a par ailleurs été approuvée par l’ex-représentant du CCIF qui, rappelle le JDD, a été dissous à la demande de Gérald Darmanin.
«Sur le fond, tout le monde est d’accord»
Sans vouloir entrer dans ces détails fâcheux, le membre éminent du Conseil musulman reconnaît toutefois des désaccords internes. Des différends qu’il juge tout naturels, selon lui inhérents à toute organisation: l’adhésion commune n’empêcherait pas toutes les «différences de points de vue, tout comme au sein d’un parti politique ou d’un gouvernement», plaide-t-il.
Anouar Kbibech veut donc croire qu’un accord est toujours possible, et qu’Emmanuel Macron gardera patience avant de le valider pour de bon.
«Ce qui a été dit devant le Président de la République est toujours valable. Toutes les fédérations sont parties prenantes et volontaires pour signer une charte des valeurs républicaines. Et, même s’il y a encore des divergences, sur le fond, tout le monde est d’accord», continue de penser le président du RMF.
Mais les mots prononcés le 18 novembre par le Président de la République n’étaient pourtant pas dénués de menace: «Il y aura ceux qui signeront et ceux qui ne signeront pas. On en tirera les enseignements. Soit vous êtes avec la République, soit vous n’êtes pas avec la République», avait déclaré le chef de l’État, visant les organes les plus récalcitrants. Les discussions ne semblent pas terminées
pour autant, assure l’ancien président du CFCM. Sur la table, de nouvelles propositions pourraient bien concilier les différentes sensibilités: «Un nouveau texte a été élaboré et circule au sein du CFCM. A priori, il met cette fois-ci tout le monde d’accord», glisse Anouar Kbibech avant d’ajouter, prudemment: «Mais chacun prendra ses responsabilités le moment venu.» Sans doute faudra-t-il attendre encore un peu avant de voir une formation encadrée des imams, la même pour tous, conforme aux lois de la République.