La chanson du jour un OVNI ? ça en a tout l’air…mais que dire de la voix du chanteur et de ce clip ? Pas mieux. N’empêche cette chanson “Vamala” on l’aime bien. Alors pas de préjugés et on vous la propose.
Pour Macron, l’arabe serait une chance pour la France. La réalité dit tout le contraire !
Articles : Dec. 2020 – Nov. 2020 – Oct. 2020 – Sept 2020
Boulevard Voltaire
Depuis plus de trois longues années, les Français subissent l’arrogance d’un Président narcissique qui tient chacune de ses idées pour un trait de génie alors qu’elles naissent de la rencontre périlleuse entre quelques préjugés idéologiques superficiels et un total manque d’expérience. La dernière lubie de ce touche-à-tout consiste à mettre en avant la langue arabe chez les immigrés qui, selon lui, la parlent, ce qu’il considère comme une chance pour la France.
Démagogie suicidaire envers les immigrés, mépris constant de la France et de son identité culturelle dont il a déjà nié l’existence, contresens absurde pour lutter contre le séparatisme : on a l’embarras du choix pour qualifier cette sottise. Il n’est pas difficile d’y percevoir un avatar du fumeux « en même temps ». Les enfants de l’immigration nord-africaine ne s’assimilent pas à la France : souvent binationaux, tiraillés entre le pays qui les fait vivre et celui qu’ils aiment « de loin », ils cultivent, lorsqu’ils sont nombreux dans certains quartiers et au sein des écoles et collèges qui s’y trouvent, un séparatisme provocateur. Par voie de conséquence, les valeurs françaises, l’histoire de notre pays en particulier, sa culture sont rejetées. Cette tendance est d’autant plus redoutable que la démographie l’amplifie. Certaines banlieues sont perdues pour la République parce que le pouvoir a accepté qu’elles ne soient plus culturellement françaises. S’y développe une alliance entre une économie parallèle liée essentiellement à la drogue, la religion musulmane brandie comme identité opposée au pays d’accueil, qui tolère plus facilement le Haschisch que l’alcool, et la redécouverte de l’esprit « indigène », anticolonial, qui pousse à la guerre contre les intrus représentant l’État.
La bêtise de nos dirigeants, la gauche en priorité, a consisté à susciter et renforcer ce processus à travers la lutte contre un prétendu racisme, la culture de la repentance et la discrimination positive. Elle pensait y trouver des électeurs et se trouve face à des ennemis qui entendent interdire à la police et parfois aux pompiers d’entrer sur leur territoire afin d’y sauvegarder leurs trafics sous couvert de lutte pour l’égalité. La complicité d’une famille au moins et de collégiens, qui ont désigné la victime, avec l’assassin de Samuel Paty, le déchaînement sur les réseaux sociaux au nom de la lutte contre une prétendue « islamophobie », le grand nombre d’incidents (800) lors de l’hommage au professeur donnent la mesure du face-à-face annoncé par Gérard Collomb.
Ainsi donc, le génial maître du « en même temps » a trouvé la parade : pour éviter que cette identité de confrontation et de séparatisme prospère, notamment grâce à l’apprentissage de l’arabe dans les mosquées, c’est l’État qui va s’en charger, et donc former, miraculeusement sans doute par le biais d’enseignants magiciens, de bons petits Français heureux d’avoir réinventé leurs racines. Par là, on découvre que le « en même temps » élyséen n’est que la traduction du slogan commercial « gagnant-gagnant », en sabir énarchique. « Une chance pour la France », qu’il dit ! Où sont les enseignants de ce miracle à venir ? D’où viendront-ils ? Dans quel esprit enseigneront-ils ? Les élèves enrichis par cette culture d’importation pourront la transmettre aux autres, pourront voyager et « rendre le pays plus fort », qu’il dit ! À ce point du discours, on s’interroge : de quel pays s’agit-il ? En quoi la France sera-t-elle renforcée par des gens qui voyagent sans avoir avant tout appris à exporter la culture française, et notre langue qui la véhicule ? Le rap à l’intérieur jusque dans la cour de l’Élysée et la culture arabe pour rayonner dans le monde : renforcer la différence pour en finir avec la dissidence. Le brillant inspecteur des finances se dévoile en Gribouille !
Malika Sorel (qui conseillait François Fillon) rappelait que, dès 1991, le Haut Conseil à l’intégration préconisait la suppression des langues et des cultures étrangères parce que contraires à l’objectif d’intégration. Celle-ci ne peut se faire vraiment que par l’assimilation culturelle qui passe par la langue. Il sera toujours possible d’apprendre l’arabe littéraire pour les Français intéressés par la diplomatie, le commerce international ou les échanges culturels. Ceux chez qui le patois d’origine est une barrière à l’apprentissage du français et à l’assimilation de la culture française sont les derniers pour lesquels cette trouvaille présidentielle est une chance.
Macron 2022 : sa phrase énigmatique et inquiétante sur ce qu’il pourrait faire à la fin de son mandat
Articles : Dec. 2020 – Nov. 2020 – Oct. 2020 – Sept 2020
Boulevard Voltaire
Macron chez Brut, cela ressemblait furieusement à du racolage électoral communautariste. En outre, l’interview restera comme l’expression sans fard de son mépris pour la police, avec son idée de « plate-forme pour dénoncer » les contrôles. Pourtant, une autre phrase, plus énigmatique, passée inaperçue, intrigue : « Peut être que je ne pourrai pas être candidat. Peut être que je devrai faire des choses dans la dernière année, dans les derniers mois, dures parce que les circonstances l’exigeront et qui rendront impossible le fait que je puisse être candidat. Je n’exclus rien. On a vécu des choses absolument imprévisibles. »
Diantre : « des choses dures », dans les derniers mois avant l’élection, parce que les circonstances l’exigeraient ? Mais quelles choses dures ? Et quelles circonstances ? On veut savoir !
N’ayant pas eu d’exégèse du verbe présidentiel, nous en sommes réduits à passer en revue toutes les hypothèses possibles :
– une crise économique et financière grave, avec des mesures de blocage et de confiscation sur les dépôts bancaires pour assurer le remboursement de la dette publique et du Covid-19 ?
– une situation sociale explosive avec de violentes manifestations d’antifas cagoulés ?
– une révolte de la police ?
– une vague d’attentats islamistes ?
– un embrasement des banlieues nécessitant couvre-feux, état d’urgence, intervention de l’armée ?
– une 6e vague, bien plus meurtrière, de la pandémie Covid-19 ?
– un afflux de dizaines de milliers de migrants sur les côtes ?
– une guerre impliquant la Turquie ?
Toutes hypothèses complètement fantaisistes, et ne reposant sur aucun élément avant-coureur, n’est-ce pas ?
Emmanuel Macron, qui est devenu Président sous l’effet d’un remarquable coup politique en 2017, est-il en train de nous préparer le second, en instrumentalisant une situation qui, de fait, devient inquiétante ? L’état d’urgence sanitaire, avec toutes les mesures de contrôle, toutes les atteintes aux libertés fondamentales, est-il une répétition de ce qui se préparerait pour 2022 ? Après tout, si les Français ont accepté tout ça pour ce virus si peu létal, ils ne pourront pas refuser un tour de vis supplémentaire, voire deux, si l’une de ces hypothèses, voire deux, devenait réalité.
Ou, tout simplement, Emmanuel Macron sera-t-il victime d’une impopularité telle que, devant la hantise de l’arrivée au pouvoir du camp populiste, il s’effacerait devant le candidat le mieux placé de l’autoproclamé « cercle de la raison » ? Dans des élections « covidées » à faible participation ?
Des choses dures nous attendent, c’est certain. Emmanuel Macron a commencé à nous y préparer. On aurait peut-être le droit d’en savoir davantage plutôt que de se faire balader par les « castexeries » sur les jauges, les kilomètres, les centaines de millions de doses de vaccins aux effets inconnus…
Clandestins : le coût de l’aide médicale d’Etat s’envole et dépasse le milliard d’euros.
Articles : Dec. 2020 – Nov. 2020 – Oct. 2020 – Sept 2020
Plus de 330.000 clandestins ont droit désormais à cette couverture santé unique, dont l’enveloppe budgétaire dépasse désormais le milliard d’euros.
Un seuil historique vient d’être franchi. Pour la première fois, le coût estimé de l’aide médicale de l’État (AME) réservée aux seuls étrangers en situation irrégulière en France dépasse le milliard d’euros. La somme inscrite en «crédits de paiement» dans le projet de loi de finances pour 2021, actuellement discuté au Parlement, est exactement de 1 milliard et 61 millions d’euros.
Dans son dernier avis sur le volet «asile, immigration, intégration et nationalité» du projet de loi de finances pour 2021, la commission des lois du Sénat précise que «l’aide médicale d’État permet une première approche statistique du nombre de personnes en situation irrégulière sur le territoire, puisqu’elle autorise un accès gratuit aux soins médicaux et hospitaliers spécifique en faveur de ces étrangers». Elle ajoute que «334.546 personnes en bénéficiaient au 31 décembre 2019, soit une hausse de 5% par rapport à la même date l’an passé (318.106 bénéficiaires) et un doublement en quinze ans». […]LL