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Observatoire de l’islamisation
Aux États-Unis, les administrations démocrates successives ont jugé bon de renforcer depuis les années 1990 l’influence des Frères musulmans et, sous l’Administration Obama, au sein même du gouvernement. Pour Alexandre del Valle, cette tentative de courtiser l’électorat musulman pourrait se retourner contre les démocrates, en persuadant ceux qui craignent le séparatisme islamiste que Trump est le meilleur garant de la sécurité nationale.
Si les musulmans ne représentent que 1% de la population totale des États-Unis, leur nombre est considérable dans les principaux États du « champ de bataille », les « swing States », comme la Floride et le Michigan. « Dans le Michigan, par exemple, Trump avait distancié son rival de seulement 10 000 voix, ce qui éclaire sur le rôle stratégique d’électorats minoritaires « pivots », et d’après nos recherches, il y a environ 150 000 électeurs musulmans inscrits dans le Michigan », se félicite Wa’el Alzayat, l’influent directeur général d’Emgage Action, un lobby islamiste électoral pro-démocrate sur lequel nous allons revenir. On se rappelle qu’en février 2016, à la suite d’un attentat terroriste à San Bernardino, en Californie, et de l’appel de Trump à interdire des voyages en provenance de certains pays musulmans, Obama avait visité pour la première fois la Société islamique de Baltimore — son premier passage dans une mosquée, alors qu’il s’agit d’un fief des Frères musulmans.
Joe Biden sur les pas pro-fréristes de Clinton, Obama et Sanders
En 2019, Joe Biden s’est affiché quant à lui très amicalement avec la Société islamique d’Amérique du Nord (ISNA) dans le cadre de cette même course démocrate aux voix islamistes. Étonnamment « réhabilitée » par l’administration Obama, l’ISNA, issue des Frères musulmans, a pourtant une longue histoire d’intégrisme, d’antisémitisme et de soutien au terrorisme palestinien du Hamas. En 2009, des documents du FBI découverts au cours du procès pour terrorisme de la Holy Land Foundation ont confirmé que l’organisation a été co-conspiratrice-financière de cellules palestiniennes terroristes des Frères musulmans, à travers des « Comités Palestine ». Malgré cela, l’ISNA a attiré depuis des grands noms à sa Convention démocrate annuelle, organisée à Houston, notamment le comédien Trevor Noah, l’activiste précitée Linda Sarsour, l’escrimeur olympique Ibtihaj Muhammad (par vidéo), le Premier ministre pakistanais Imran Khan, ou encore l’ex-candidat à la présidence, désormais soutien de Joe Biden, Bernie Sanders. Ce dernier a ainsi souligné la nécessité de « forger des coalitions progressistes et de renforcer la solidarité entre les communautés si un candidat démocrate espère vaincre le président Trump en 2020 ». Bref une alliance « islamo-gauchiste » contre le candidat républicain Trump honni. Rappelons que lors de la primaire, Sanders avait déjà reçu l’aval de nombreux élus et groupes musulmans, dont les représentants Ilhan Omar et Rashida Tlaib, les deux premières femmes musulmanes élues à la Chambre. S’exprimant devant les 6000 participants du forum, Sanders a soigneusement adapté sa rhétorique multiculturaliste-islamophile à son public en affirmant que la défense des lobbies islamistes américains participerait de la « lutte sociale en faveur des pauvres » et de l’antiracisme, rappelant à son auditoire qu’il avait protesté contre l’interdiction de voyager de l’Administration Trump pour les ressortissants de certains pays musulmans. Pour cet ex-candidat démocrate à la présidence de premier plan, s’adresser à la conférence de l’ISNA va dans le sens du chemin pro-Frères musulmans tracé par l’ex-membre du Congrès américain, le converti musulman frériste Keith Ellison, démocrate, candidat au leadership du parti démocrate, et rappelle le choix fou d’Hillary Clinton, de sa plus proche collaboratrice, Huma Abedin, de la vice-présidente Tim Kaine et du président Obama lui-même, de défendre les Frères musulmans tant aux Etats-Unis que dans le monde arabe durant son mandat. Premier élu musulman démocrate au Congrès, Keith Ellison, qui a passionnément soutenu les manifestations de Black Lives Matter, entretient quant à lui une relation de longue date tant avec les associations des Frères musulmans qu’avec la très radicale et antisémite Nation of Islam de Louis Farrakhan, le « black muslim » fanatique qui vante Hitler et prône le suprémacisme noir-islamique. Le Global Muslim Brotherhoods Daily Watch a ainsi rappelé qu’en décembre 2008, Ellison se rendit en pèlerinage à La Mecque lors d’un voyage payé par la Muslim American Society (MAS), un des dispositifs des Frères musulmans américains lié à l’organisation égyptienne, et qu’en septembre 2012, il assista à la 49e convention annuelle de l’ISNA avec Tariq Ramadan et Rachid Ghannouchi, le leader des Frères musulmans tunisiens du parti Ennahda. En février 2011, ce membre démocrate du Congrès déclara que les craintes d’une prise de pouvoir de l’Égypte par les Frères musulmans relevaient du « conspirationnisme » et étaient un « épouvantail », et il soutint activement, comme Obama, le candidat islamiste Mohamed Morsi, issu des Frères (parti frériste de la Justice et de la Liberté, PJL), face aux nationalistes et modérés égyptiens. Signe que l’administration Obama défendait officiellement les Frères musulmans durant le printemps arabe égyptien, Barak Obama insista pour qu’au moins 10 membres des Frères musulmans égyptien du PJL soient autorisés à assister à son discours historique très islamophile, dit « du Caire », en juin 2009. Rappelons aussi que juste avant les primaires démocrates, en 2020, des groupes islamistes ont invité tous les candidats démocrates à assister à la convention annuelle de la Société islamique d’Amérique du Nord, l’un des plus grands rassemblements de musulmans Lire la suite dans Valeurs Actuelles version abonnés
Etats-Unis : 69% des musulmans ont voté Biden contre 17% pour Trump.
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Contrairement aux précédents scrutins, ils sont plus d’un million de musulmans ayant pris part aux élections présidentielles du 3 novembre aux Etats-Unis. Une forte participation qui a bénéficié à Joe Biden. Aux Etats-Unis, le vote confessionnel détermine l’identité du locataire de la Maison blanche. Les musulmans ayant la nationalité américaine ont parfaitement assimilé cette donne locale et ont largement voté en faveur de Joe Biden.
Aux Etats-Unis, le vote confessionnel détermine l’identité du locataire de la Maison blanche. Les musulmans ayant la nationalité américaine ont parfaitement assimilé cette donne locale et ont largement voté en faveur de Joe Biden. […]
Lors de la campagne électorale, Joe Biden a promis de réviser «cette infâme interdiction faite aux musulmans», comme il l’avait qualifié en juillet dernier. Tiendra-t-il sa promesse une fois installé aux commandes des Etats-Unis ? En attendant cette abrogation du «Muslim ban», force est de constater que la main tendue de Biden aux membres de cette communauté s’est avérée payante pour lui. […]
La charia supérieure aux lois de la République? «L’affrontement que l’on voit se dessiner a de quoi effrayer»
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SPUTNIK : https://fr.sputniknews.com/france/202011101044750469-charia-lois-republique-affrontement-effrayer/
Selon une étude de l’IFOP, 57% des jeunes musulmans placent la Charia au-dessus des lois de la République. Un bond de 10 points par rapport à l’automne 2016. Pour Céline Pina, militante et essayiste engagée en faveur de la laïcité, les pouvoirs publics doivent réagir de toute urgence afin d’éviter le pire. Analyse.
Ils sont à présent une majorité de jeunes musulmans à estimer la Charia plus importante que les lois séculières de la République française.
Les résultats d’un sondage mené par l’IFOP pour le Comité Laïcité République (CLR)*, rendu public le 5 novembre, révèlent ainsi que 57% des jeunes (15-24 ans) de confession musulmane sont d’accord avec l’affirmation «la loi islamique (Charia) est plus importante que la loi de la République». Ce sont 10 points de plus que dans un précédent rapport, de l’institut Montaigne, intitulé «un islam français est possible», paru à l’automne 2016.
Tout comme en 2016, cette étude survient dans un contexte particulier: celui de la multiplication des attentats islamistes sur le sol français. À noter toutefois que l’échantillon de 515 personnes, jugé représentatif de la population de confession musulmane en France, a été interrogé au mois d’août, soit avant les attentats survenus en réponse à la republication début décembre des caricatures de Charlie Hebdo. Mais une seconde série de questions relatives aux mesures prises dans la foulée de l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine ont été posées en octobre**. Dans celle-ci, on apprend que 64% des musulmans –de tous âges– se déclarent opposés au droit de montrer des caricatures sur des sujets religieux à l’école.
Laïcité caricatures… un «inquiétant» fossé
«Inquiétant, mais pas étonnant», réagit auprès de Sputnik Céline Pina, ancienne élue locale et conseillère régionale (PS), engagée en faveur de la laïcité, fondatrice du mouvement Viv (r) e la République et auteur de l’essai Silence coupable (Éd. Kero, 2016). «Inquiétant», car cette loi islamique «va aussi bien dans l’intime que dans l’organisation des pouvoirs» souligne-t-elle avant de développer:
«C’est une logique qui s’oppose complètement à la nôtre. Donc on ne peut pas avoir sur le même territoire deux peuples qui n’ont absolument pas les mêmes références, surtout quand ces dernières sont conflictuelles. […] C’est un affrontement que l’on voit se dessiner, qui a de quoi effrayer et qui montre un échec total de l’intégration d’une population, d’une population particulière. Cet échec se fait au nom de l’adhésion à une vision très rigoriste de la religion», estime Céline Pina.
Cette dernière se montre particulièrement critique envers ceux qui, sur fond de «clientélisme» municipal, ont à ses yeux laissé l’Islam politique s’immiscer, s’installer, «prendre de plus en plus de place». «Il est logique que son influence sur les populations ciblées ait grandi, puisqu’il a été aidé et reconnu par les pouvoirs publics qui n’ont pas compris qu’ils jouaient avec un feu qui risquait de les dévorer», accuse-t-elle.
Depuis les attentats du Bataclan, les attentats se succèdent et se ressemblent, les hommages aux victimes aussi. Pour Céline Pina, le bilan est plus que mitigé. Dans le Figaro, cette dernière prenait récemment la plume pour s’indigner que le «pas de vague» puisse continuer à l’emporter en France et flinguer la «désinvolture d’une administration pléthorique qui paraît de plus en plus incapable de toute réaction à la hauteur.»
À l’origine de ce coup de sang, la volonté du proviseur d’un lycée de Saône-et-Loire (Léon Blum, au Creusot) de rendre «facultatif» l’hommage à Samuel Paty, cet enseignant décapité en pleine rue à Conflans-Sainte-Honorine pour avoir montré des caricatures de Mahomet lors d’un cours sur la liberté d’expression. «Les élèves ne souhaitant pas s’y associer pourront prendre un temps de pause» a ainsi écrit dans un mail aux responsables des élèves en prévision de cette journée hommage dans les établissements scolaires, qui fut marquée par quelques incidents.
Face à la poussée islamiste, l’administration démissionnaire
«Les choses bougent, mais de façon extrêmement contradictoire», regrette Céline Pina. Au-delà de la «possible» dissolution du CCIF, l’essayiste souligne certains résultats obtenus par Gérald Darmanin comme la dissolution de l’ONG BarakaCity (démarche que seuls 34% des musulmans interrogés par l’IFOP** approuvent). L’essayiste souligne également la «forte attente» de la population française sur des thématiques telles que la déchéance de nationalité, d’une «prise de distance» avec la CEDH, ou encore les discussions autour de la suspension de l’espace Schengen.
En revanche, la militante souligne un sentiment d’absence de «doctrine globale», ainsi qu’une administration qui lui semble «faire un peu ce qu’elle veut dans son coin». Elle oppose ainsi à ses précédents exemples celui du soutien apporté par le ministre de l’Éducation nationale à la principale du collègue de Samuel Paty.
«Non seulement cette dame a failli, mais je suis également très étonnée du silence des collègues de Samuel Paty. Je ne sais pas si cet homme ne s’est pas retrouvé très seul, pas seulement abandonné par sa hiérarchie […] Celle-ci n’a pas été à la hauteur et a privilégié le “pas de vague”» assène Céline Pina, et d’ajouter: «Jean-Michel Blanquer, en la couvrant, semble montrer que le “pas de vague” est ce qui est choisi à l’intérieur des administrations […] on a de plus en plus le sentiment que même quand le politique décide, ses ordres ont du mal à descendre.»
Autre exemple qui pour Céline Pina illustre la prédominance du «pas de vague» au sein de l’appareil d’État face à l’islamisme: celui de l’étrange limogeage du commissaire Jean-Luc Taltavull «cassé par le préfet des Yvelines, grand ami de Pierre Bédier, qui est lui-même quelqu’un qui n’a jamais négligé le clientélisme dans sa façon de conquérir le pouvoir», assène Céline Pina.
Une lutte contre l’islamisme qui «ne plaisait pas à tout le monde»
Comme le révélait mi-octobre Marianne dans une enquête, le tord de ce fonctionnaire limogé par le préfet des Yvelines la veille des Municipales aurait été de souligner au détour d’un rapport la grande proximité du président du conseil départemental et ancien maire de Mantes-la-Jolie, Pierre Bédier, avec des éléments radicaux au sein d’institutions musulmanes locales. Ce commissaire avait notamment, souligne l’hebdomadaire, donné un second souffle aux services de renseignements territoriaux (RT) des Yvelines en matière de lutte contre l’islamisme radical.
Une lutte qui «ne plaisait pas à tout le monde» concédait un ex-enquêteur du commissaire déchu, qui relatait que le Préfet de ce département francilien qui compte 500 fichés S pour radicalisme islamiste les avait redirigés sur la surveillance des milieux évangélistes.
«On n’a plus le temps des hésitations et du “en même temps”. Le gouvernement gagnerait beaucoup à établir une doctrine que tous ses ministres –et leurs administrations– partageraient sur ces questions», estime l’essayiste.
Autres points où les musulmans interrogés par l’IFOP se démarquent du reste de la population française: sur la possibilité de porter des signes religieux en tous lieux, l’instauration d’horaires de piscine réservés aux femmes et l’autorisation du burkini ainsi que de l’instauration de jour férié islamique (Aïd-el-Kébir).
Dernier point et non des moindres: la question de la loi de 1905, sur la séparation de l’Église et de l’État. Seule une petite majorité de musulmans (54%) sondés se disent favorables à la «laisser telle qu’elle est», 37% souhaitant en «assouplir certains aspects». Quant aux 9% restant, ceux-ci plaident pour sa suppression pure et simple.
Si sur ce tout dernier point, les musulmans ne sont pas si éloignés des 7% de catholiques souhaitant l’abrogation de cette loi. On remarquera cependant que ceux-ci devancent les personnes s’affichant comme «laïcs» au rang des plus gros soutiens de cette loi. Même chose concernant l’instauration de cours au collège sur les valeurs de la République et de la laïcité ou encore quant au respect d’observer une neutralité dans l’espace public.
Certains y verront probablement un paradoxe, mais il semblerait qu’en France, les catholiques soient les plus âpres défenseurs de la laïcité, pilier d’une République française toujours plus divisée.
* «Étude IFOP pour le Comité Laïcité République réalisée par questionnaire auto-administré en ligne auprès d’un échantillon de 2.034 personnes, représentatif de l’ensemble de la population vivant en France métropolitaine âgée de 15 ans et plus (20-22 octobre 2020) et d’un échantillon de 515 personnes, représentatif de la population de religion musulmane vivant en France métropolitaine âgée de 15 ans et plus (6-17 août 2020).»
** «Dans ce rapport, deux questions portant sur des mesures consécutives au meurtre de Samuel Paty (16 octobre) ont été posées aux Français musulmans interrogés au sein de l’échantillon national représentatif de 2.000 personnes sondées du 20 au 22 octobre 2020.»
La chanson du jour, Hypnotize Love – Roni Iron & Christos Fourkis
Si vous êtes squatté, n’attendez rien de l’Etat, et réglez le problème…
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Encore une nouvelle affaire de squatt à Bondy ! Pourtant, la secrétaire d’Etat au Logement avait promis que désormais, c’était réglé, et que les propriétaires seraient protégés. Du pipeau! Sauf que cette fois, le cave s’est rebiffé, et a fait le ménage lui-même, aidé par quatre gros bras. Et bien sûr, cela lui a coûté 48 heures de garde-à-vue, et une plainte de la squatteuse ! Mais la maison est récupérée, alors que sinon, il y en avait pour des mois, voire davantage. Conclusion : si cela vous arrive, n’attendez rien de l’Etat, et réglez le problème vous-même.
Ceux qui connaissent Trump savent que l’élection est loin d’être finie
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Pour toute la presse française, Trump poursuit une chimère et mène ses électeurs en bateau, puisqu’il n’a aucune chance de voir les procédures de justice lui donner raison.
Autrement dit, tous les juges américains seraient corrompus au point de se faire complices de la plus gigantesque fraude électorale de tous les temps !
Mais ce qu’oublient nos bobos anti-Trump, c’est que celui-ci lance des procédures légales, alors que Biden s’est vautré dans la fraude organisée la plus flagrante.
Vidéos, témoignages multiples et aveu du candidat lui-même prouvent que cette machination a été savamment orchestrée de longue date.
Trump le savait depuis des mois et s’y était préparé.
Que Poutine et Xi Jinping soient les seuls chefs d’État à ne pas féliciter Biden avant l’issue des procédures de justice en dit long sur la conception de la démocratie de tous ces dirigeants occidentaux, qui s’empressent de ripoliner l’escroc Biden et d’en faire un vainqueur à la loyale. De parfaits complices et adeptes des méthodes mafieuses les plus sordides.
C’est aussi ahurissant que scandaleux.
En définitive, ce sont les soi-disant despotes à la tête de la Chine et de la Russie qui nous donnent des leçons d’éthique et de civisme !
Mais toutes ces tentatives de mettre le peuple américain devant le fait accompli et de faire pression sur les juges peuvent très bien se retourner contre le camp démocrate. Rien n’est joué si les juges appliquent la loi sans états d’âme et refusent de faire de l’Amérique un État mafieux bafouant la démocratie.
Si les journalistes se croient permis de désigner le vainqueur de leur choix avant l’heure, rien ne les autorise à rendre le verdict à la place des juges.
Ceux qui pressent Trump d’accepter la défaite et de faire une sortie “honorable”, craignent en fait le verdict des juges.
Toute invalidation des élections dans un État provoquerait un séisme et prouverait officiellement que le camp démocrate a triché.
Même un seul État invalidé suffirait à salir à jamais l’élection de Biden.
Trump se bat et il a raison.
“Le fait est que cette élection est loin d’être finie. Joe Biden n’a été certifié vainqueur dans aucun État, et certainement pas dans les États hautement contestés qui vont faire l’objet de recomptages obligatoires, ou d’autres États où notre campagne a lancé des procédures judiciaires valides et légitimes qui pourraient désigner le vainqueur ultime”.
“Monsieur Biden se pose faussement en vainqueur mais dès la semaine prochaine, nous serons devant les tribunaux”.
Le chef de campagne, Bill Stepien, appelle à des manifestations prochaines pour soutenir le Président Trump.
Avec 71 millions d’électeurs, 7 de plus qu’en 2016, et en conservant le Sénat, Trump est loin d’être fini.
Les mois d’octobre et de novembre pourraient bien être lourds de révélations dévastatrices pour le camp Biden.
C’est bien pour cela que les démocrates et les médias occidentaux pratiquent une fuite en avant, en espérant intimider les juges et rendre la situation irréversible.
Mais c’est la Cour suprême fédérale qui aura le dernier mot.
Jacques Guillemain (Riposte Laïque)
Joe Biden : youpi, c’est la fête !
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N’ayons pas peur des mots : depuis samedi soir, c’est la fête. Tout à la fois Pâques, 14 Juillet et Noël. Comme un package festif. Une sorte d’avant-goût de ce que sera la grande teuf mondiale, le jour où le virus sera vaincu. En attendant, c’est Trump, cette espèce de bête du Gévaudan qui mange les enfants et parle mal, qui a été terrassé. Il fallait que ça explose, que ça exulte, que ça… Enfin, vous voyez ce que je veux dire. Ça ne pouvait plus attendre. Il fallait annoncer la victoire de Biden. La nouvelle est arrivée en France comme une sorte de déconfinement à domicile. Une invitation à partager l’enthousiasme de cette scie de Nicole Bacharan, préposée inamovible à la défense du parti démocrate américain sur nos plateaux télé et radio, et de tant d’autres commentateurs.
Et c’est là que le miracle s’est produit. Jusqu’alors, il s’agissait de battre Trump. Peu importait, finalement, l’homme qui portait cet espoir, que dis-je, cette espérance. On avait trouvé Joe Biden. Il ferait bien l’affaire. L’homme, d’apparence plutôt falote, jusqu’alors, semblait passer entre le mur et le papier peint de la Maison-Blanche qu’il avait fréquentée durant huit ans sous Obama. Eh là, subito, on a découvert toutes les vertus de ce charmant monsieur d’un certain âge, comme on dit aujourd’hui. Plus question de dire que s’il va au bout de son mandat, il aura alors 82 ans révolus. L’âge devient même un atout. Son premier mandat de sénateur remonte à 1972 (an 5 av. Macron). Presque quarante années de vie politique, c’est de l’expérience en barre. De la sagesse certifiée sur facture. Tout le contraire de l’autre dingo. En plus, il est catholique. Mais attention, un catholique ouvert : son premier message est à l’adresse des « communautés » diverses et variées. Pas le genre de la juge que Trump a nommée in extremis à la Cour suprême. C’est aussi l’art d’être grand-père qui entre à la Maison-Blanche. On n’avait pas connu ça depuis longtemps. Zappons pudiquement le fiston qui ne serait pas blanc-blanc dans ses affaires pour s’émouvoir de la petite-fille qui se jette dans les bras de son daddy : « Trop mignon », s’exclame, dès potron-minet, sur le plateau de BFM TV, la journaliste de service, si l’on peut dire ainsi. Trop mignon ! Tout un programme politique, finalement. Enfin, on verra bien…
En 2017, chez nous, c’était la jeunesse – celle d’Emmanuel Macron – qui était un atout, un plus, un must, comme celle – relative – d’Obama, en 2008. L’inexpérience, aussi. On ne ferait jamais plus de politique comme avant. Mieux : c’était la fin de la politique, comme d’autres avaient vu, jadis, la fin du tragique et de l’Histoire. Quelques crises plus tard, on a vu, on a vécu. Aujourd’hui, c’est la vieillesse, si l’on peut encore s’exprimer ainsi, qui semble à la mode. La mode, c’est comme la queue du chien : ça va, ça vient. En attendant, youpi, la fête ! En respectant les gestes barrières, of course.
Boulevard Voltaire
Zemmour, avant c’était le pouvoir qui censurait les médias, aujourd’hui ce sont les médias qui censurent le pouvoir. C’est un coup d’Etat médiatique contre Trump.
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Sénatrice anti-Trump, procureur intraitable, proche d’Hollywood et de Wall Street: qui est vraiment Kamala Harris?
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Pourquoi Joe Biden a-t-il choisi Kamala Harris comme colistière dans sa campagne présidentielle? Si l’enthousiasme semble gagner l’opinion médiatique face à la venue de la potentielle première femme de couleur au poste de vice-Présidente, gare aux mauvaises surprises. Harris est une nouvelle dame de fer.
Printemps 2004, début de soirée dans le quartier populaire de Bayview à San Francisco, en Californie. Isaac Espinoza, officier du département de police de San Francisco effectue avec son collègue l’une de leurs dernières rondes avant la fin de leur service. Ceux-ci remarquent alors un homme au comportement suspicieux, et s’en approchent en véhicule. Lorsqu’ils l’appellent pour lui signaler leur présence, ce dernier se retourne et tire sur les officiers avec un fusil d’assaut de type AK-47. L’officier Espinoza, touché par plusieurs balles, meurt de ses blessures quelques minutes plus tard. Son collègue, touché une fois à une jambe, survivra.
La candidate à la vice-présidence était alors fraîchement élue procureur du district de San Francisco. Elle vit tomber sur son bureau un dossier particulièrement épineux qui allait directement la mettre face à ses convictions. Kamala Harris avait fait campagne contre la peine de mort, arguant que l’emprisonnement à vie sans liberté conditionnelle est une sanction plus efficace et plus rentable que la peine capitale. La jeune procureur décida donc de ne pas requérir celle-ci et David Hill fut condamné à deux fois à la perpétuité.
Remise en cause de la peine de mort
Cette décision lui a valu les foudres de la classe politique de l’époque, et ce même au niveau national. Les syndicats de police furent outrés de sa décision. Même la sénatrice démocrate Dianne Feinstein indiqua qu’elle ne lui aurait pas apporté son soutien durant sa campagne pour devenir procureur si elle avait su que Kamala Harris prendrait une telle décision dans un dossier pareil.
Dans les années 1990 et au début des années 2000, la fermeté face à la criminalité était très en vogue outre-Atlantique, à New-York bien sûr, mais aussi en Californie. Cet épisode coûta politiquement cher à Kamala Harris. À cette époque, il était très difficile de concilier le fait d’être «progressiste», une identité politique qu’elle revendiquait, et le poste qu’elle occupait.
Critiquée par une partie de la communauté noire
Par la suite, la jeune procureur a pris des positions bien plus fermes, voire conservatrices, lors de ses mandats au sein du département de Justice. Fille d’une immigrée indienne et d’un immigré jamaïcain, Kamala Harris a été critiquée pendant 15 ans par la communauté noire et le camp progressiste pour sa politique de fermeté en tant que procureur de San Francisco (de 2004 à 2011) d’abord, puis de Californie (de 2011 à 2017) ensuite. Et ce, jusqu’à ce jour. Comme le titrait le Los Angeles Times le 24 octobre 2019: «Le passé de la Californie en matière de lutte contre la criminalité hante Kamala Harris».
Nombreux sont ceux qui lui en veulent encore dans la communauté noire pour des décisions qu’elle a prises, ou pas prises, et qui ont coûté des années d’emprisonnement à un grand nombre de jeunes hommes et femmes noirs, ou non, en Californie. Et ceux-ci, jusqu’à ce jour, le lui rendent bien. En atteste le tweet ci-dessous, qui ironise sur la loi défendue par Kamala Harris visant à mettre derrière les barreaux les parents dont les enfants sont scolarisés, mais manquent leurs cours et commettent régulièrement des crimes.
raduction: Des images exclusives de Kamala Harris saluant les mères noires célibataires qu’elle a mises dans le bus en direction de la prison parce que leurs enfants avaient trop souvent manqué l’école.
En tant que procureur, Kamala Harris a fait campagne pour des programmes d’aide au retour à l’emploi au lieu d’envoyer les condamnés en prison. Elle s’est également battue pour que les gens restent en prison même après avoir été reconnus innocents. Elle a refusé de requérir à la peine de mort contre un homme qui a tué un policier, mais elle a défendu le système californien de peine de mort devant les tribunaux. Un parcours de procureur équivoque donc, loin et proche à la fois de l’aile progressiste de son parti.
Une fois élue au Sénat, en 2017, ses positions se rapprochent toutefois de celles du camp progressiste au sein du parti Démocrate, ce qui fait d’elle une candidate de choix pour être la colistière de Joe Biden. Mais ce revirement politique semble pourtant contradictoire avec son action au sein du département de la Justice où elle n’aurait donc, selon ses détracteurs, peu fait bouger les lignes en faveur des minorités.
Une machine à lever des fonds
Sur la colline du Capitole, comme représentante puis sénatrice de la Californie, Kamala Harris s’est surtout fait remarquer par l’autorité par ses interventions lors des auditions des personnes nommées par Donald Trump, comme par exemple lors de la nomination de Jeff Sessions au poste de procureur général des États-Unis, ou celle de Rod Rosenstein pour le poste de procureur général adjoint, pour ne citer qu’eux.
En 2019, elle se lance dans la primaire démocrate. Elle est alors considérée par nombre d’observateurs comme l’un des favoris. Elle se retirera pourtant assez rapidement de la course, citant un «manque de fonds». Mais le retard qu’elle accusait derrière le duo de tête Biden et Sanders semble la raison la plus probable de son retrait.
En effet, Kamala Harris est extrêmement efficace pour lever des fonds. De Hollywood à Wall Street, la potentielle vice-Présidente ne manque pas d’entregent. Dans les 48 heures qui ont suivi l’annonce de Joe Biden qu’il choisissait Kamala Harris comme colistière au mois d’août, la campagne Biden a levé 48 millions de dollars supplémentaires. À titre de comparaison, la campagne Biden avait levé 140 millions de dollars sur l’ensemble du mois de juillet 2020. Reste à savoir si, dans le cas où Joe Biden et Kamala Harris gagnent définitivement la course à la Maison-Blanche, ces donations ne seront pas liées à des intérêts qui dicteront leur politique.
Les journaleux ricains ont donc décidé que Biden avait gagné !
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Alors que les preuves de fraude massive se multiplient, et que Donald Trump a entamé des procédures judiciaires contre les tricheurs, pour ne pas se faire voler l’élection, les principaux journalistes américains ont donc annoncé, sans vergogne, la victoire de Joe Biden, en même temps que l’avocat des Républicains, Maître Giuliani, tenait une conférence de presse. Et, rompant avec toutes les règles protocolaires et diplomatiques, Macron, Merkel, Trudeau, Johnson, Van der Leyen, Conte et d’autres se précipitent pour féliciter l’usurpateur. La classe politique française (excepté le RN, Philippot et Asselineau) fait de même. Pour tous ces manipulateurs, le réveil risque d’être douloureux…
Pierre Cassen
La vidéo de Pierre toujours aussi jubilatoire…..