La chanson du jour, Too Much – Vibrazioni Production

Too much ? Non pas du tout, pour ce type de morceau on en fera jamais assez trop. Ca remue doucement avec un son “Old school” un peu désuet qui apporte tout son charme. C’est parfaitement orchestré et le saxo fait le job là où il faut quand il le faut.

Sondage catastrophique pour Macron et le gouvernement : les Français n’en peuvent plus

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

On nous avait dit que les Français avaient apprécié l’intervention d’Emmanuel Macron annonçant, le 30 octobre, le reconfinement. On nous disait encore hier que son Premier ministre Jean Castex – Monsieur déconfinement-reconfinement – sombrait dans des abîmes d’impopularité mais qu’Emmanuel Macron, lui, se maintenait.

Il n’a pas fallu une semaine d’attestations, de fermetures de rayons non essentiels et d’épisodes toujours plus hilarants de « Véran, fais-moi peur » pour que les Français, logiquement, manifestent leur exaspération devant la gestion des crises par le Président et le gouvernement.

Le sondage IFOP pour le JDD, publié ce dimanche, indique des niveaux d’impopularité record sur quasiment tous les sujets. Pour le directeur général adjoint de l’IFOP, Frédéric Dabi, cette enquête montre « l’inquiétude et l’épuisement des Français ». Et comment en irait-il autrement ?

Sur les trois grands sujets – crise économique, crise sanitaire, terrorisme islamiste -, la confiance dans le gouvernement recule sur tous les fronts : -6 points en moyenne en dix jours ! Même sur le volet économique et le soutien aux entreprises, où le gouvernement n’a qu’à annoncer des rallonges de milliards (sans nous dire comment tout ça se réglera ensuite…), il ne convainc plus que 45 % des Français. Sur la lutte contre le coronavirus, ils ne sont plus que 35 %… Sur la lutte contre le terrorisme islamiste, la désaffection vis-à-vis d’Emmanuel Macron est forte, en particulier chez les électeurs LR, pourtant soutiens constants du chef de l’État : ils ne sont plus que 37 % à lui accorder leur confiance. Les assassinats de Samuel Paty et des trois paroissiens catholiques de Nice semblent avoir ouvert les yeux à beaucoup. Et les gesticulations de M. Darmanin faisant la tournée des capitales du Maghreb pour négocier l’expulsion d’une poignée d’islamistes dont elles ne veulent à aucun prix ne convaincra personne…

Les crises sont toujours des révélateurs d’un état profond, mais que l’on ne voulait pas voir. 2020 constitue, de ce point de vue, un tournant : le roi est nu. Le roi, c’est l’état de la France. Affaiblie (pour ne pas dire plus) économiquement, déchirée par le poison islamiste qui n’hésite plus à se dire sur les réseaux sociaux, dans nos salles de classe et dans la rue, confinée et gouvernée à coups d’injonctions contradictoires par des pseudo-managers, elle se trouve sonnée en regardant ce qu’elle est devenue.

On fêtait, cette année, les 80 ans de « l’étrange défaite ». 2020 est l’année de « l’étrange découverte ». Et les Français, mutatis mutandis, sont tout aussi sonnés.

Que peut-il advenir ? Une poursuite du délitement, un affaissement supplémentaire ? Une fuite en avant dans la restriction de certaines libertés, déjà bien amorcée ? Un raidissement des élites prêtes à tout pour conserver le pouvoir sur une situation qui leur échappe, inspirées par un scénario Biden ?

Pour le Président et le gouvernement, les sondages catastrophiques de cette semaine contiennent encore une marge. De régression.

Boulevard Voltaire

La situation devient angoissante aux îles Canaries

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Depuis des semaines il ne se passe pas une seule journée sans une arrivée d’embarcations de fortune transportant des centaines de « migrants », en provenance des côtes africaines. 

En 48 h. au cours de ce dernier week-end, plus de 2 000 migrants, répartis sur une quarantaine d’embarcations, souvent des bateaux de pêche, ont pu débarquer clandestinement. 

Lundi dernier, 115 migrants ont été repêchés au large des eaux territoriales, avec une personne morte à bord. 

Dans la seule journée de samedi, plus de 1 000 migrants ont pu débarquer sur les côtes des îles Ténérife et El Hierro, a indiqué à l’AFP une porte-parole des services d’urgence des Canaries. 

Dans la matinée de dimanche, ce sont plus de 600 migrants qui ont été pris en charge par la Croix-Rouge des îles Canaries. 

Face à cette invasion migratoire, vendredi dernier, lors d’une visite dans l’archipel, la commissaire européenne aux affaires intérieures, Ylva Johansson, avait conseillé une augmentation des retours vers les pays d’origine de ces migrants, qui ne bénéficient pas du statut de réfugiés. Mais, apparemment, ce ne sont pas les ordres donnés par le gouvernement socialiste espagnol, ni de leur partenaire, l’extrême gauche Podemos, qui souhaite que les portes à l’immigration soient largement ouvertes 

Situé au large des côtes nord-ouest de l’Afrique, l’archipel des Canaries observe une véritable invasion depuis le début de l’année 2020. Plus de 12 000 migrants sont arrivés, selon le ministère de l’Intérieur, mais bien davantage selon les autorités locales. 

Ces milliers de migrants clandestins, déjà 7 fois plus nombreux qu’en 2019, prennent la direction des Canaries, de préférence à la Méditerranée, en raison des accords passés entre le Maroc et l’Espagne, concernant le contrôle des frontières de Ceuta et Melilla, et les « soi-disant » accords de contrôles frontaliers conclus avec la Turquie et la Libye, qui sont loin d’arrêter la vague migratoire. 

À ces arrivées massives de migrants sur les îles Canaries, l’Espagne, et surtout les côtes des provinces de Valence et d’Alicante, mais jusqu’au « Cabo de Gata », supporte quotidiennement les arrivées de « pateras » parties des côtes algériennes qui se présentent au large, après plusieurs jours de traversée en mer, pour certaines, et avec la complicité des ONG pour de nombreuses autres. 

La dernière, pour l’instant, est hier, mardi 10 novembre, avec 9 migrants à bord. Ils étaient onze au départ mais 2 sont tombés à la mer et ont disparu ? 

Les 9 survivants ont été secourus par la Croix-Rouge de la ville d’Alicante, tous adultes et de nationalité algérienne (Sources : La Provincia, diario de Las Palmas). 

On peut, à la rigueur, comprendre les Africains qui fuient la misère, la famine, les épidémies, les attaques meurtrières djihadistes et ethniques, et aspirent à une vie meilleure, dans cette Europe qu’on leur présente comme un « Paradis », mais les Algériens ? Pourquoi fuient-ils ? N’ont-ils pas obtenu l’indépendance de leur pays, après une longue et meurtrière guerre contre ces « affreux colonisateurs » français ? Qu’en est-il de l’Algérie aujourd’hui, et quel est son avenir, si une grande partie de sa jeunesse déserte ? 

Les Algériens ne s’enfuyaient pas vers la métropole ou l’Espagne « Au temps béni des colonies » !

Manuel Gomez, Riposte Laïque

La LREM Ilana Cicurel menace les journalistes qui parleront de Hold-up

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Florian Philippot se félicite des premières mobilisations qui se sont tenues la veille, dans une dizaine de villes de France. Il se réjouit que la chaîne “Les Patriotes” soit proche des 100 000 abonnés. Il défend le principe de la liberté d’expression, et s’indigne de la censure qui frappe le documentaire “Hold-up”, notamment sur les réseaux sociaux et l’outil de collecte.

Il épingle particulièrement la député européenne Ilana Cicurel, qui se prétend spécialiste de la liberté d’expression. Celle-ci, sur CNews, se permet de menacer la journaliste Sonia Mabrouk, qui a montré sa solidarité avec Pascal Praud, “coupable” d’avoir invité le producteur de Hold-up Christophe Cossé. Un morceau d’anthologie de la société que nous promettent Macron et ses sbires.

Lucette Jeanpierre (Riposte Laïque)

Haut-Karabakh, les arméniens brûlent leur maisons avant l’arrivée des azerbaïdjanais qui prendront le contrôle du territoire ce dimanche.

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Dimanche, l’Azerbaïdjan reconquiert de larges territoires qui étaient sous contrôle arménien depuis le début des années 1990.

Des maisons dans des villages du Haut-Karabakh dont l’Azerbaïdjan doit reprendre le contrôle dimanche 15 novembre étaient en feu samedi, incendiées par leurs habitants avant leur fuite vers l’Arménie, a constaté un journaliste de l’AFP.

«C’est ma maison, je ne peux pas la laisser aux Turcs», comme sont souvent qualifiés les Azerbaïdjanais par les Arméniens, a expliqué, le visage fermé, le propriétaire de l’une de ces maisons en jetant des planches de bois enflammées et tisons imbibés d’essence pour tenter d’incendier le parquet de son ancien salon, dans une habitation complètement vidée. «On attendait pour être fixé. Mais quand ils ont commencé à démonter la station hydro-électrique, on a compris», ajoute-t-il. «Tout le monde va brûler sa maison aujourd’hui (…) On nous a donné jusqu’à minuit pour partir». «On a aussi bougé la tombe des parents, les Azerbaïdjanais vont se faire un malin plaisir à profaner nos tombes, c’est insupportable», ajoute-t-il. La veille, au moins une dizaine d’habitations ont été incendiées dans ce même village et ses environs.

Bruxelles, c’est la racaille en nombre qui dicte sa conduite à la police bruxelloise

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Sans doute a-t-on été trop laxiste trop longtemps….sans doute aussi un manque d’effectifs de la police….enfin toujours ce même problème d’immigration massive….on paie aujourd’hui la facture !

La chansons du jour, Give Me a Reason – The Reed Conservation Society

Morceau atypique qui nous transporte dans les années 60. La trompette qui vient en arrière plan de temps à autres sonne juste et à propos. On valide !

Si Trump est réélu, les règlements de comptes seront sanglants

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

“Il faut que la justice puisse trancher” déclare Marine Le Pen à propos des élections américaines, dont l’issue reste des plus incertaines.

https://francais.rt.com/en-ce-moment/79189-elections-presidentielles-americaines-2020-actualites

Car contrairement au discours qu’on entend depuis le 4 novembre, niant farouchement la fraude gigantesque dans les États clés, ces élections pourraient bien se transformer en cataclysme pour Biden et tous les valets européens qui l’ont adoubé précipitamment.

À croire que tous ces idiots, en quatre ans, n’ont toujours pas compris que Trump était un battant bien plus rusé que tous ses adversaires.

Comme si on pouvait devenir milliardaire en étant un demeuré ! Trump a bien des défauts, mais il est loin d’être le niais inculte qu’on nous a vendu.

Marine a donc raison, tout comme Poutine, Xi Jinping et quelques leaders lucides, qui savent que notre “Rocky” de la Maison-Blanche est loin d’être KO.

Après l’euphorie de la “victoire volée”, le camp Biden se fait soudain plus discret, tout comme les médias français, d’ailleurs, qui ne disent pas un mot des procédures de justice qui s’annoncent.

Dans les chancelleries et les salles de rédaction européennes, sentirait-on  le vent tourner ?

Après les images de la foule en liesse, claironnant “Fin de partie pour Trump”, le rideau est tombé. On s’interroge. Et si la justice donnait raison à Trump ? Aucunmondialiste, aux États-Unis comme en Europe, n’avait à ce jour envisagé cette hypothèse apocalyptique pour le camp démocrate.

La résistance de Trump désarçonne tout le monde.

“C’est embarrassant”, déclare pitoyablement Biden, soudain moins euphorique.

Il y aura des gens qui iront en prison pour malversations en tous genres et par conséquent les langues se délient…

Il est vrai que “Sleepy Joe” et les médias, anti-Trump à 95 %, ne s’attendaient pas à une telle déferlante d’avocats et de juristes républicains dans les États clés où la fraude a été massive.

Preuves et témoignages accablants affluent, annonçant un torrent de plaintes et d’actions en justice, dont nous verrons les premiers effets dès la semaine prochaine, car le temps est compté.

La méthode de Biden consistant à marteler avant l’heure qu’il est le nouveau président “élu”, afin de mettre le camp adverse devant le fait accompli et d’intimider les juges, n’a été qu’un feu de paille.

C’est l’artillerie lourde que Trump a sorti, pendant que les démocrates et la presse serinaient une douce musique le poussant à accepter la défaite et à jouer la transition en douceur.

Mais à ceux qui s’impatientent et attendent la capitulation de Trump, Mike Pompeo a répondu, moqueur.

“Il y aura bien une transition en douceur… mais pour un second mandat de Trump”.

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/presidentielle-americaine-pompeo-promet-une-transition-en-douceur-vers-un-second-mandat-trump-20201110

Quant aux journalistes qui veulent nous faire croire que le camp républicain se délite et que bon nombre de proches de Trump prennent leur distance, c’est encore une fake new, propagée par des minables qui prennent leurs désirs pour des réalités.

Trump, que l’on nous présente isolé, est en réalité entouré de ses troupes en ordre de bataille.

Conscients de la ténacité et de la volonté de Trump, qui ne lâche rien face à des tricheurs sans foi ni loi qui lui ont volé la victoire au soir des élections, tous les républicains resserrent les rangs derrière leur leader.

Le monde entier sait que Trump a raison et que la fraude massive a faussé les élections, y compris Macron et la clique des valets mondialistes. Mais leur haine de Trump est telle que justice et vérité passent à la trappe.

Et pendant que Biden commence à rire jaune, se  demandant comment cela va tourner, Poutine et Xi Jinping se marrent.

Les gêneurs ? Virés, comme le chef du Pentagone. Le patron du FBI et la directrice de la CIA pourraient bien suivre le même chemin

Trump “ prévoit de renvoyer les chefs du FBI, de la CIA et du Pentagone s’il remporte la réélection ”

Ceux qui ont la fibre trumpiste un peu trop émoussée sont remerciés, ce qui calme les ardeurs défaitistes des plus faibles.

En fait, où en sommes-nous ?

Comme l’a si bien expliqué Maxime Lépante, qui suit l’affaire de très près, 44 États ne posent aucun problème.

Etats-Unis : 18 nouvelles infos capitales sur les fraudes électorales !

Pour ces 44 États, c’est Trump qui est gagnant, avec 232 grands électeurs contre 227 pour Biden. Total 459 grands électeurs.

Le litige vient donc des six États clés.

Ces six États sont la Pennsylvanie (20 grands électeurs) le Michigan (16) la Géorgie (16) le Wisconsin (10) le Nevada (6) et l’Arizona (11).

Total pour ces six États clés : 79 grands électeurs frauduleusement attribués à Biden.

Il manque donc à Trump 38 grands électeurs pour rafler la mise et atteindre le chiffre de 270. Il lui faut donc gagner la Pennsylvanie, où la fraude a atteint une échelle industrielle, la Géorgie qui semble à sa portée et un troisième État autre que le Nevada qui ne rapporte que 6 grands électeurs.

Mais Trump peut également tout rafler si la fraude est prouvée partout. Ce qui donnerait 321 grands électeurs au milliardaire.

Voilà pourquoi Trump se bat comme un lion et ne cède rien malgré les pressions. Parce que son combat est non seulement légitime mais il est surtout gagnable.

Avec des juges impartiaux, dignes d’une vraie démocratie, nous pouvons assister à un effondrement définitif du parti démocrate.

Déclaré vainqueur, la priorité de Trump devrait être de dissoudre à jamais ce parti d’escrocs et de tricheurs.

Quoi qu’il en soit, Trump reste encore le président des États-Unis pour deux mois, avec un pouvoir intact. Nul doute qu’il saura s’en servir.

Et tous ceux qui ont cru pouvoir l’enterrer vivant vont s’en souvenir…

Certains feraient bien de faire leur valise pour le Mexique !

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

Hold-up : LE film qui révèle les dessous du Covid-19

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

LE FILM INTEGRAL, ci-dessous.

Lien de secours : Hold-Up

« Dès lors que vous faites croire à quelqu’un qu’il est en danger de mort, vous en faites ce que vous voulez », explique l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel, dans ce film (bande-annonce ici) qui sort le 11 novembre. Produit par Pierre Barnérias et Christophe Cossé, Hold-up met en lumière les nombreuses contradictions et restrictions de liberté occasionnées avec cette crise pandémique.

« Devons-nous céder à la peur, au besoin de sécurité, ou préférer embrasser la vie et la liberté ? Ma démarche, notre démarche commune tant avec mes coproducteurs qu’avec toutes celles et ceux venus témoigner, c’est avant tout d’avertir sinon d’alerter, d’interpeller, d’informer le plus grand nombre », écrit Christophe Cossé dans une tribune dans France-Soir.

Pourquoi confiner toute une population saine et non malade tandis que les études ont démontré l’inefficacité et l’inutilité de cette mesure ? Pourquoi alerter sur la saturation de nos hôpitaux alors qu’elle est habituelle à cette saison de l’année ? Le producteur de continuer à s’interroger : « Que dire du bilan médical des malades admis en ce début du mois de novembre en réanimation ou en soins intensifs, si ce n’est un profil type d’individus de plus de 65 ans affectés par la comorbidité, victimes de saturation de leur système immunitaire ? Que dire du nombre réel de victimes du Covid alors que l’on recense comme tels les décès dus aux maladies cardio-vasculaires, aux cancers, aux diabètes ? »

Dénonçant également le manque de moyens de la médecine libérale, le fait que le gouvernement soit doté d’un Conseil scientifique dont les membres sont majoritairement proches des laboratoires pharmaceutiques, que nos libertés soient de nouveau restreintes, ce film, qui aurait aussi pu s’appeler « Coup d’État », écrit Christophe Cossé, choisit de donner la parole à ceux qui sont trop souvent censurés, faute de délivrer le discours sanitairement correct : le professeur Perronne, d’autres grands scientifiques de renom, des urgentistes, des médecins généralistes, des députés, dont Martine Wonner affirmant que « la démocratie a été totalement bafouée en France », et à des experts de la santé mondiale.

Alors oui, il y aurait matière à s’alarmer in fine, mais pas tant de l’aggravation de l’épidémie que des mesures disproportionnées qui nous sont imposées. Plus ou moins consentants, nous serions manipulés, prêts à tout accepter de cette technocratie sanitaire et ce bio-pouvoir mis en place avec, en ligne de mire, « la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu […] le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine… »

Christophe Cossé conclue sa tribune en présentant ce film (disponible en ligne le 11 novembre, à visionner sur le site de TPROD ou sur leur page Facebook) comme « un engagement pour la vie, le respect du vivant, [ses] enfants, parents, amis. Hymne à la vie, à l’amour, à l’âme humaine. »

Boulevard Voltaire

La contre-offensive juridique de Trump contre l’élection la plus frauduleuse de tous les temps commence à faire paniquer les médias

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Démocratie Participative

Après la désinformation médiatique massive de ce week-end où Joe Biden a été mensongèrement décrété « vainqueur » de l’élection présidentielle,  le ton est en train de changer.

Donald Trump, le président légitimement réélu, a refusé de céder au bluff des médias, du Parti Démocrate et de l’état-profond. Hier, ses équipes ont lancé une offensive juridique tous azimuts pour démonter les mécanismes de fraudes utilisés dans les états stratégiques contestés.

Après avoir tenté d’étouffer la contestation de la fraude à grande échelle durant le week-end en la qualifiant « d’infondée », les médias commencent progressivement à admettre que Trump n’a pas cédé et qu’il est temps de se préparer à la guerre juridique.

La réalité s’installe chez les alliés du président élu Joe Biden, qui estiment que la transition menant à son investiture pourrait être plus difficile que ne le pensaient beaucoup de gens dans le monde de Biden, ont déclaré deux responsables, une lutte juridique étant désormais possible

Les médias martèlent que Biden est le « président-élu » mais c’est faux. Seul le collège des grands électeurs peut donner ce statut à Biden lorsqu’il se réunira à la mi-décembre. Pour l’heure, Biden n’est qu’un candidat unilatéralement proclamé vainqueur par les mêmes médias qui ont passé les 5 dernières années à attaquer Trump.

Ce titre mensonger de « président-élu » va devenir de plus en plus difficile à vendre à l’opinion mondiale car les équipes de Trump montent des dossiers de plainte de plus en plus lourds qui ne peuvent déjà plus être ignorés d’un revers de main comme c’était le cas samedi et dimanche.

On ne va pas trop entrer dans les détails. Plusieurs états clefs sont concernés, notamment la Pennsylvanie, le Michigan, le Wisconsin, la Géorgie, le Nevada et l’Arizona. D’autres le sont sûrement aussi mais pas au point de changer fondamentalement le résultat dans ces états.

En Pennsylvanie, ce sont désormais 2,5 millions de bulletins de vote qui sont potentiellement compromis et qui vont devoir être analysés. La Pennsylvanie, avec ses 20 grands électeurs, est cruciale pour déterminer le résultat.

Dans le Michigan, 683,000 électeurs fantômes ont été ajoutés au corps électoral de l’état qui atteint de la sorte 109% d’électeurs totaux.

En Géorgie, un nouveau comptage est désormais acquis.

Sans parler des altérations de bulletins de vote organisées par les fonctionnaires de la poste, les manipulations de résultats par des machines de vote électronique ou les agrégateurs de résultats.

Dans tous ces états, les résultats sont serrés. C’est là que la fraude fait la différence.

Tout ça s’accumule actuellement devant les tribunaux et, au moins dans le cas de la Pennsylvanie, se terminera devant la Cour Suprême.

Le ministre de la Justice a ordonné une enquête fédérale dans les états impliqués, ce qui donne une nouvelle dimension à ce qui se passe. Jusqu’à présent, seul le Parti Républicain et les équipes électorales de Trump dénonçaient la fraude. Désormais, l’état fédéral va également enquêter.

FINALEMENT : Le procureur général Barr autorise les procureurs fédéraux à enquêter sur le vote

Politiquement, le Sénat à majorité républicaine soutient les efforts de Trump. Le Sénat est une institution très puissante et le fait qu’il soutienne Trump dans ses demandes de vérifications des votes montre qu’il a eu accès à suffisamment d’informations pour estimer que cela n’a rien de fantaisiste de la part de Trump. Même à majorité républicaine, le Sénat ne voudrait pas inutilement empêcher Biden de l’emporter si les accusations de fraude étaient imaginaires.

Le leader de la majorité au Sénat, Mitch McConnell, a déclaré que le président Trump était tout à fait dans son droit d’examiner les « irrégularités » de l’élection de la semaine dernière et n’a pas reconnu Biden comme président élu ou Harris comme vice-président élu

C’était ce que voulaient éviter à tout prix les conspirateurs. Ils comptaient sur une proclamation médiatique unilatérale suivie d’une « reconnaissance » par les gouvernements étrangers participants à ce coup d’état et convaincre le Parti Républicain de se séparer de Trump en ne soutenant pas ses demandes de vérification. Mitch McConnell, en refusant de rompre avec Trump, a largement contribué à l’échec de cette offensive qui dépendant de la rapidité avec laquelle les alliés politiques de Trump l’abandonneraient.

Maintenant, l’état profond, les médias et le Parti Démocrate vont devoir admettre progressivement que le résultat est contesté.

Le plus probable est qu’ils vont accuser Trump de ce qu’ils sont en train de faire, à savoir un coup d’état. Nous allons voir les médias redoubler de haine. En tout cas, tout cela prend la bonne direction même s’il faut rester prudent. Encore une fois, Trump n’était pas censé pouvoir résister. Or, une semaine après l’élection, il a considérablement renforcé sa position. D’ici une semaine, ce sera encore plus clair pour tous.

[…]

Intégralité sur “Démocratie Participative”